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Incidence de la maladie des racines roses (Pyrenochaeta terrestris) sur la variété d’oignon (Allium cepa) «Violet de Galmi», en fonction de la fertilisation du sol et de l’état d’infestation des plants en sortie de pépinière
La maladie des racines roses de l’oignon est causée par un champignon microscopique Pyrenochaeta terrestris (Hansen). C’est une des maladies de l’oignon (Allium cepa L.) les plus répandues en Afrique de l’Ouest, où elle est présente depuis 1980. Elle est particulièrement sévère dans les sols ayant servi de support à une longue période de culture de l’oignon. -
Synthèse par culture des méthodes de lutte disponibles
Ce document constitue un recensement des méthodes de lutte applicables immédiatement (I) et des méthodes de lutte potentielles (P). Pour chaque méthode de lutte, il est indiqué le pays ou l’organisme où l’on peut obtenir de plus amples informations. -
Rapport National sur la situation des Pesticides Extrêmement Dangereux (PED) au Niger
Au Niger les pesticides fournis par l’Etat sont homologués par le Comité Sahélien des Pesticides (CSP) du CILSS. Or, la majorité des produits pesticides en vente sur le territoire nigérien, et utilisés par les producteurs maraîchers sont principalement importés du Nigeria et du Ghana, pays non membres du CILSS et qui sont de grands producteurs. Les produis non homologués sont les plus dangereux et interdits d’utilisation, même la vente se fait de façon frauduleuse. -
Directives pour la lutte intégrée contre les ennemis de maïs
Le mais est généralement considéré comme originaire d'Amérique, bien que certains botanistas le croient venu d'Asie ou d'Afrique. Le mais était la nourriture de base des autochtones quand Christophe Colomb découvrit le Nouveau Monde en 1492. Deux générations-plus tard, ce produit avait fait le tour du globe. Parmi les cultures alimentaires, le mais présente aujourd'hui pour l'humanité autant d'importance que la pomme de terre, venant seulement après le blé et le riz. C'est la principale nourriture d'une centaine de millions d'hommes. Le mais est particulièrement précieux dans beaucoup de pays en développement d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine où il constitue une culture de subsistance. Il joue aussi un grand rôle dans l'agriculture des États-Unis et de quelques autres pays développés; il tient une place importante dans l'économie de ces pays et il contribue appréciablement à la productivité et à l'équilibre de l'agriculture mondiale. -
Lutte biologique contre la MEM
General objective: to determine the level of millet resistance varieties to millet head miner damage. For this purpose, 25 varieties of millet were tested to assess their behavior to the pest. The study was in Burkina Faso, Mali and Niger. He infestation varied from 10.20 to 86.98% with an average of51.37%. -
Protection intégrée de la tomate en Guyane
Nous détaillons ici les techniques de production de la tomate en pleine terre. Les techniques de production hors-sol sont complexes et ne seront pas détaillées ici. Par la suite, les problématiques phytosanitaires et les méthodes de lutte seront traitées. Production des plants en pépinière. Le semis est réalisé au préalable en terrine ou en mini-motte dans un terreau sain. Les graines germent en 3 jours avec une température du sol de 20 à 25 °C. Après 12 jours, les plantules sont repiquées dans des mottes de terreau de 7 cm ou en godet.En cas d’ensoleillement intense, une ombrière peut être installée pour protéger les plantules. -
Principaux insectes ravageurs du riz en Afrique et méthodes de lutte non chimiques
En Afrique, les ravageurs de culture posent assez de problèmes pour la production agricole. C'est dans ce cadre que cette étude a été réalisée pour apporter des méthodes de lutte biologique aux insectes qui s'attaquent aux cultures de riz dans certains pays de l'Afrique. -
Évaluation Environnementale et Sociale du Projet
Le Niger a connu au cours de l'année 2004 une invasion de Criquet pèlerin d'une ampleur exceptionnelle comme certains pays sahéliens. Les conséquences de cette invasion, combinées dans certaines zones à celles du déficit pluviométrique sont un déficit céréalier de l'ordre de 300 000 tonnes dont 30% est imputables au criquet pèlerin. Les 70% restants sont imputables au déficit pluviométrique enregistré dans ces zones. Une baisse de la production fourragère de 4 462 219 tonnes est enregistrée dans ces zones accompagnée d'un mouvement de transhumance prématuré. Suite à l'invasion, la Direction de la protection des végétaux a reçu de la part des partenaires au total de 383.160 litres. Les quantités ayant été utilisées se chiffrent à 169.250 litres. Le reliquat des pesticides en stock essentiellement au niveau central et dans certaines régions est de 213.910 litres. Ces produits utilisés ont été tous ceux des produits homologués par le comité sahélien de pesticides et recommandés par les directives de la FAO et au total 241 250 hectares surface ont été traitées. -
Protocoles de diagnostic pour les organismes nuisibles réglementés
Les phytoplasmes sont présents dans le monde entier. La répartition géographique et l’incidence des maladies dues aux phytoplasmes dépendent de la gamme de plantes hôtes du phytoplasme considéré ainsi que de la présence et du comportement alimentaire de l’insecte vecteur. Certains phytoplasmes touchent beaucoup d’hôtes différents et sont transmis par des vecteurs polyphages, ce qui leur assure une large présence. D’autres, en revanche, n’infectent qu’une gamme de plantes restreinte et sont
transmis par des insectes oligophages ou monophages; leur répartition géographique est donc plus limitée. La question de la répartition géographique des principaux groupes taxonomiques de phytoplasmes a été étudiée par Foissac et Wilson (2010). -
Phytoplasmes et phytoplasmoses
Les récents progrès concernant la connaissance de la fraction 16S et de l’espaceur 16S-23S de l’ADN ribosomique ont mis en évidence les particularités des micro-organismes anciennement désignés sous l’appellation «Mycoplasma-like organisms : MLOs» et justifié la nouvelle dénomination «phytoplasmes» choisie par le Comité de taxonomie des mollicutes de l’«International Organization for Mycoplasmology (IOM)». Les principaux caractères des phytoplasmes permettant leur classification au sein des bactéries et des virus sont décrits. La méthode PAUP (Phylogenetic analysis using parcimony) a été appliquée à la fraction 16S et à l’espaceur intergénique 16S-23S de l’ADN ribosomique afin d’établir la position phylogénétique des phytoplasmes parmi les bactéries. Ultérieurement, des tentatives de classification des différentes maladies à phytoplasmes ont été entreprises d’abord en utilisant le polymorphisme des fragments de l’ADN ribosomique amplifiés par des amorces universelles de phytoplasmes. Puis, la connaissance des séquences de la fraction 16S et de l’espaceur intergénique 16S-23S a permis d’établir un arbre phy logénétique des phytoplasmes en utilisant la méthode PAUP.