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Cahier du formateur: techniques de production des cultures irriguées -- ( de la laitue)
Le présent document sert à renforcer les capacités des formateurs dans le domaine du maraîchage irrigué ; il explique clairement, les techniques de production de la culture culture de la laitues au Niger, en cinq grandes étapes
1 -- Généralités sur la culture de la laitue au Niger
2 -- Description de l’installation d’une pépinière de culture de laitue ;
3 -- Explication des opérations d'entretien de la culture de laitue;
4 -- Description des techniques de production locale de semences;
5 -- Évaluer les apprentissages -
Fiche technico-économique pour la culture de laitue
La laitue en Houassa Salati, est une culture de courte durée qui se cultive sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder. Sur les sites de Tiss et Middick en périphérie de la ville de Zinder, la laitue se cultive toute l’année, tandis que sur les autres sites elle reste encore une culture de saison sèche froide. Les superficies exploitées varient de 250 à 2500 m2 en saison sèche froide. -
Fiche technico-économique pour la culture de la laitue
La laitue ou « salati » en haoussa est l’une des principales cultures irriguées du département de Doutchi (région de Dosso). Les bassins de production sont Matankari, Kiéché et Doutchi. Au cours de l’année, un producteur peut effectuer 5 à 6 cycles de production. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 500 à 1 500 m2. En moyenne pour une surface de 1000 m² on obtient une production de 1 650 kg (64 planches de 10 m²) qui permet de dégager par cycle de production 272 000 F.CFA pour 23 410 F de charges opérationnelles et une marge brute de 248 590 F. -
Niébé et arachide à Zinder : une année à chenille poilue
En ce début de saison des pluies, l’arachide, le niébé mais également le mil, le sésame ou la pastèque subissent des dégâts importants à cause de la chenille poilue dont le nom scientifique est Amsacta moloneyi. C’est une chenille polyphage, c'est-à-dire qu’elle peut se nourrir de nombreuses plantes cultivées ou non. Il a été observé des dégâts jugés sévères de la chenille poilue dans des localités des départements de Matameye mais aussi de Mirriah et de Magaria Les chenilles peuvent atteindre 4 cm de long. Elles sont de couleurs vives (jaune, orange, brun) et surtout portent de longs poils serrés. En début de saison, la chenille poilue d’Amsacta moloneyi s’attaque principalement aux plantules du niébé. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’oignon
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture d'oignons. Cette lutte passe par l'identification des principaux ennemis de cette culture. -
Utiliser le piment contre les fourmis, pucerons, chenilles, insectes
Cette note porte sur la fabrication du piment contre les fourmis, pucerons, chenilles, insectes -
Produire des semences de laitue dans un itinéraire agrobiologique
Ce guide porte sur la production des semences de Laitue dans un itinéraire agrobiologique -
Protection intégrée de la laitue en Guyane
Ce présent guide porte sur la protection intégrée de la laitue en Guyane -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Les larves de la mouche du chou et les chenilles de divers papillons provoquent les principaux dégâts d’insectes en
culture biologique de chou, et peuvent être responsables d’importantes pertes économiques. Cependant, une vigilance accrue et divers moyens de lutte permettent de limiter ou éviter ces dégâts. Les altises, pucerons et aleurodes peuvent également demander une attention particulière. Vous trouverez dans cette fiche quelques points de vigilance concernant les principaux ravageurs du chou. -
Conseiller en maraîchage - Fusariose sur laitue / Visites des sites de Kirkissoye, Saga et Nogaré
Les maraichers ont appelé le Centre d’Appels à partir de plusieurs sites de production : Kirkissoye, Saga et Nogaré. Ils n’ont pas observé de ravageur mais un dessèchement des plants, le type de symptôme qu’il est impossible à interpréter pour un conseiller à distance même avec des photos. Des séries de visites ont été entreprises sur ces sites pour mieux identifier le problème. Etant la meilleure plante pour les maraichers urbains, la laitue se vend seulement 21 jours après le repiquage et procure donc des revenus mensuels. En plus, elle se transporte difficilement ce qui empêche la concurrence extérieure et limite celle des autres régions. Mais voilà, depuis 3 ans est apparue sur plusieurs sites de production une « maladie » qui a pris beaucoup d’ampleur cette année -
Yaki da cuta mai rubar da amfanin noma
Cette affiche nous donne des informations sur l'attaque de fusariose sur l'oignon. "Elle est due à un champignon microscopique, donc invisible à l’œil nu, qui est présent dans le sol. C’est une maladie « fongique », c’est le mot employé pour dire qu’un champignon en est responsable. Les produits de traitement sont appelés « fongicides »". (Extrait de la note RECA, la fusariose de l'oignon; 2020). -
Lutte contre la pourriture blanche (fusariose)
Ce poster montre comment reconnaître et lutter contre la fusariose -
La fusariose de l'oignon
Lors des cultures de saison sèche 2019 - 2020, les producteurs de la région de Tahoua ont constaté un développement important d’une maladie de l’oignon. Cette maladie a toujours existé mais elle est maintenant présente dans de très nombreux sites de production et elle a entrainé des pertes importantes tant en pépinières que dans les parcelles après repiquage. Cela a notamment été le cas à Tabalak où les pertes ont été considérables. Cette maladie s’appelle fusariose en français. Elle est due à un champignon microscopique, donc invisible à l’œil nu, qui est présent dans le sol. C’est une maladie « fongique », c’est le mot employé pour dire qu’un champignon en est responsable. Les produits de traitement sont appelés « fongicides ». -
Fiche technico-économique pour la culture de laitue en hivernage
La laitue ou « salati » en langues locales (Haoussa et Zarma) est l’une des principales cultures irriguées dela région de Dosso. Elle se pratique toute l’année aussi bien en campagnes sèches froide et chaude qu’en hivernage. Les principaux bassins de production en hivernage sont : bassin de Doutchi (sites de Tapkin Sow et Takoidawa) et bassin de Gaya (sites de Kokore et Lamgoro). -
Fiche technique pour la culture de la laitue et pratiques des producteur
La laitue est un légume feuille consommé en salade. Sa culture est très développée autour des centres urbains car elle est facile à produire, son cycle est court et elle procure des revenus réguliers aux producteurs et productrices. Elle se récolte 25 à 30 jours après le repiquage. La laitue ne supporte pas un long transport, ce qui explique également sa présence dans la majorité des sites maraichers, notamment autour des villes. -
Impact of Irrigation Water on the Bacteriological Quality of Lettuce (Lactuca sativa) in the Market Garden
Zone of Niamey, Identification of EnterobacteriaThe urban community of Niamey is characterized by a prodigious development of urban and periurban agriculture. Lettuce (Lactuca sativa) is one of the main crops grown in these urban and periurban areas. The aim of this study is to assess the impact of irrigation water on the bacteriological quality of lettuce produced in the market gardening zone of the Niamey city. Three (3) market garden sites were studied (Harobanda (site 1), Gamkallé (site 2) and Gounti yéna (site 3). Eighteen (18) lettuce samples and twenty-nine (29) irrigation water samples were taken from the market garden sites and subjected to microbiological analysis using conventional methods appropriate to each indicator. Thus, five (5) indicators of contamiantion were searched, Total Mesophilic Aerobic Flora (TMAF), total coliforms (TC), faecal coliforms (FC), enterobacteria (Ent), Faecal streptococci (FS), Escherichia coli (E. coli) and Clostridium perfringens (CP).