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Fertilisation : modes d'utilisation de l’Urée et du NPK sur les cultures irriguées
Cette affiche explique la fertilisation et montre les modes d'utilisation de l' Urée et du NKP sur les cultures irriguées. C'est un outil pédagogique conseillé aux acteurs du Conseil Agricole. -
Méthode de compost en tas
Cette affiche présente les techniques et méthodes de compost en tas -
Méthode de compostage en fosse multiple
Cette affiche présente les techniques et méthodes de compost en fosse multiple -
Le compost : Y'a t'il une différence entre ces deux fumures? -Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Y a-t-il une différence entre ces deux fumures ? Télécharger l’élément 1, 2,3 Mo
- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
- 4. Quel est le processus de fabrication du compost en fosse ? Télécharger l’élément 4, 8,2 Mo
- 5. Quel est le processus de fabrication du compost en tas ? Télécharger l’élément 5, 4,6 Mo
- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Comment choisir son engrais vert ?
Cette fiche technique a pour but de passer en revue les différents avantages que l’on peut tirer des engrais verts. C’est une première grille de lecture pour répondre à la question «quel engrais vert utiliser pour obtenir le résultat que je recherche ?». Pour des compléments d’information consultez les liens à la fin de la fiche. -
Promotion de la technique de compostage aérien au niveau de l’exploitation maraîchère
L’un des facteurs limitant de la production agricole est l’insuffisance ou la carence des sols en éléments fertilisants (Guéro et al, 2002). L’utilisation de la matière organique sous forme de compost est l’une des solutions écologiques et durables les plus recommandées. Il existe plusieurs méthodes de fabrication du compost. La technique du compostage aérien permet la fabrication à même le sol du compost à partir des débris organiques (fumier des animaux, ordures ménagères organiques, et autres matières organiques). -
La fertilisation localisée au semis des cultures ou microdose
La fertilisation localisée au semis des cultures ou le « microdosage » consiste à mettre, au moment du semis, de petites quantités (doses) d’engrais minéraux appropriés dans les trous de semis d’une culture, communément appelé poquets ; cette technique remplace la pratique de l’épandage (application de l’engrais à la volée ou en ligne) sur toute la superficie d’un champ. Cette méthode peu onéreuse, et particulièrement bien adaptée aux cultures de mil et de sorgho, permet une utilisation plus efficace de l’engrais et une augmentation des rendements agricole de manière durable. -
Plan de réforme du secteur des engrais au Niger : Synthèse
Le Gouvernement s’est engagé dans un Plan de réforme du secteur des engrais au Niger. Cette réforme s’avère nécessaire du fait de la faible contribution du secteur des engrais aux objectifs d’une agriculture forte au Niger. Ce Plan devrait contribuer à mettre en place un système efficace et durable, capable d’assurer la disponibilité et l’accessibilité d’engrais de qualité dans toutes les régions du Niger. Il vise également à élaborer un cadre opérationnel de la subvention aux engrais destinée aux producteurs ciblés. Ce Plan s’appuiera sur une participation plus dynamique du secteur privé dans l’importation et la distribution des engrais. Il s’appuie également sur le rôle de régulation de l’Etat dans la promotion d’un secteur des engrais plus transparent et concurrentiel. Pour élaborer le plan de réforme, la démarche a consisté en quatre étapes : i) une revue documentaire et la mobilisation d’une expertise nationale et internationale ; ii) la conduite des études thématiques complémentaires ; iii) la consultation de toutes les parties prenantes dans les huit régions ; iv) un atelier national de validation du projet de plan de réforme. Ce Plan de réforme comprend un Cadre Institutionnel et Réglementaire : un Programme Opérationnel de la Subvention ; et un rôle adapté de la CAIMA. -
Rapport annuel 2017 : les statistiques du secteur de l’élevage
Le Ministère de l’Élevage est le Ministère chargé de la conception, de l’élaboration, de la mise en oeuvre du suivi et de l’évaluation de la politique nationale en matière de développement de l’élevage, conformément aux orientations définies par le gouvernement. Le Ministère de l’Élevage emploie environ 1500 agents tous grades confondus, répartis dans les différents services aussi bien à Niamey qu’à l’intérieur du pays. -
Plan de Développement Economique et Social 2017-2021
Ce rapport porte sur le plan de Développement Economique et Social au Niger, Horizon 2017-2021 -
La fertilisation organique des cultures
Ce present fiche technique porte sur les techniques de fertilisations ecologiques -
La fertilisation en maraichage biologique
C’est dans les exploitations maraîchères que l’on rencontre les systèmes agricoles les plus intensifs, caractérisés par des successions de cultures rapides sur la même parcelle. La majorité de ces exploitations sont spécialisées, de ce fait la fertilisation est réalisée à partir d’intrants. Les exportations conséquentes et les besoins ponctuels importants de certaines cultures entraînent très souvent l’utilisation d’engrais -
Raisonner sa fertilisation en maraîchage biologique
Cette fiche technique porte sur la fertilisation en maraîchage biologique -
Utilisation des fumures organique et minerale sur cultures maraîchères en Cote d’Ivoire
La mise à la disposition des maraîchers ivoiriens des techniques culturales adaptées aux conditions locales est l’un des objectifs de la filière de l’IDESSA chargée des cultures maraîchères. Afin de mieux apprécier les techniques actuelles de fertilisation de ces cultures, une enquête a été effectuée par cette filière, en mai 1993, dans le domaine maraîcher ivoirien -
Fertilisation minérale chez les cultures maraichères
La fertilisation, c’est l’action qui consiste à effectuer des apports d’engrais organique ou minéraux, nécessaires au bon développement des végétaux. Elle peut donc être réalisée sous forme d’amendements humifères (organique) ou minéraux (chimique). Les engrais sont des substances le plus souvent des mélanges d’éléments minéraux destinées à apporter aux plantes des compléments d’éléments nutritifs. La fertilisation organique ou amendements, c’est l’incorporation au sol, de matières organiques plus ou moins décomposées, tels que les fumiers. Elle permet d’améliorer la structure du sol et d’augmenter la capacité du complexe argilo-humique à stocker les éléments nutritifs. Le processus de minéralisation de la matière organique libère de manière progressive les éléments nutritifs dont la plante a besoin pour son développement. -
Agrodok : Gérer la fertilité du sol
Ce guide technique explique comment faire le diagnostic des sols, ce que sont les constituants organiques et chimiques des sols, comment améliorer la fertilité du sol, etc. Il présente plusieurs techniques de fertilisation de sol -
Bouse de vache pour la protection et la fertilisation des végétaux
Insecticides – fongicides : des méthodes naturelles pour protéger les plantes contre les ravageurs -
Formation maraîchage sur sol vivant : 6 : calcul des apports d'azote
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Plan de Développement Économique et Social 2017-2021
Le PDES 2017-2021 est articulé autour de cinq chapitres. Le premier chapitre analyse le contexte et dresse le bilan-diagnostic actuel de la situation du pays. Le deuxième chapitre présente les orientations stratégiques qui en découlent, tout en se référant au Programme 2030 des Nations Unies, à l’Agenda 2063 de l’Union Africaine et le Document d’Orientations Économiques. Le troisième chapitre porte sur la structure programmatique du PDES, le quatrième chapitre présente les mécanismes de mise en œuvre et de suivi évaluation et le cinquième porte sur l’analyse et la mitigation des risques et facteurs de succès. -
Fertilisation des Plantes à Parfum et Plantes Aromatiques
Les plantes à parfum (PàP) et les plantes aromatiques (PA) biologiques représentent en 2011 un peu plus de 1 800 hectares sur la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
La majorité des plantes à parfum et plantes aromatiques est cultivée dans les Alpes de Haute-Provence et le Vaucluse. -
Le montage du fumier Bokashi
La présente fiche porte sur le montage du fumier BOKASHI -
Microorganisme Efficaces (Fertilisant bio)
technique de fertilisation biologique -
Fertilisation en arboriculture
En cultures pérennes et plus particulièrement en arboriculture, on recherche d’abord à maintenir un milieu biologiquement actif avec un équilibre sol/plante garantissant une croissance puis une fructification optimale. Les vergers n’exportent que peu d’éléments minéraux comparativement aux cultures annuelles, seuls les besoins en potassium sont élevés. -
Essai fertilisation sur les légumes- fruits : Solanum melongena
Ce présent guide porte sur l'essai fertilisation sur les légumes- fruits particulièrement sur Solanum melongena (aubergine). -
Nourrir le sol : les engrais verts
L’engrais vert s’implante par semis entre deux cultures. Il est enfoui ou non dans le sol en fin de cycle afin d’agir sur la culture suivante. -
Le charbon de bois à usage agricole
Le charbon de bois est le produit de la combustion incomplète du bois (la combustion complète donnant de la cendre). Incorporé dans le sol, il a plusieurs vertus, grâce notamment à sa structure poreuse, qui améliorent les propriétés du sol. -
Les engrais verts
Cette fiche technique propose des informations sur les engrais verts -
Les engrais verts
Ce présent document porte sur les engrais verts -
Le charbon de bois à usage agricole
Cette fiche technique montre les principes, bénéfices et techniques de fabrication du charbon de bois -
Utilisation des fumures organique et minérale sur cultures maraîchères en Cote d’Ivoire
Eléments techniques sur l'utilisation de fumures minérales et organiques en Côte d'Ivoire -
Synthèse des résultats pluriannuels sur la fertilisation de la tomate
Résultats d'essais conduits au Mali sur la fertilisation de la tomate -
La fertilisation organique de l’ananas Victoria à la Réunion
Ce présent guide porte sur la fertilisation organique de l’ananas Victoria à la Réunion -
La sélection de légumineuses comme engrais verts/cultures de couverture
Cet article présente des éléments de choix pour la sélection de légumineuses pour jouer un rôle d'engrais vert et/ou de cultures de couverture -
Effets de I'apport de bouses de zébus sur les composantes
du rendement du mil, sur les mauvaises herbes et sur l'encroûtement superficiel
du sol au NigerCe présent document porte sur les effets de I'apport de bouses de zébus sur les composantes du rendement du mil, sur les mauvaises herbes et sur l'encroûtement superficiel du sol au Niger -
Manuel de l'apprenant : Utilisation des micro-organismes du sol pour accroître la productivité agricole
Document dans le domaine de l'utilisation des micro-organismes du sol, et notamment les bactéries promotrices de la croissance des plantes et les champignons mycorhiziens à arbuscules, pour améliorer la productivité agricole tout en améliorant la santé des sols. -
Les micro-organismes efficaces - Compilation de documents et témoignages cubains sur le fonctionnement, la production artisanale et l'usage de microorganismes efficaces en milieu paysan
Document sur la fabrication et l'utilisation de micro-organismes bénéfiques, en milieu paysan -
Plan de développement économique et social
Avec le présent plan de développement économique et social ( PDES) 2012-2015 ,le Niger renoue véritablement avec l'exercice de planification économique après plusieurs décennies d'affaiblissement de la fonction de planification -
Plan de développement économique et social ( PDES ) 2012-2015 plan d'action prioritaire
Le gouvernement du Niger a adopté le 1er août 2012, le plan de développement économique et social 2012-2015.dans le cadre des modalités de sa mise en oeuvre,il est prévu l'élaboration d'un plan d'action prioritaire. -
Plan de développement économique et social (PDES) 2012-2015 cadre de mesure des résultats stratégiques
Comme indique dans le document du PDES, son dispositif de suivi et évaluation s'inspire des acquis et des enseignements tirés de la mise en œuvre de ceux de la SDRP et des stratégies sectorielles. -
Plan de développement économique et social 2012-2015 : plaquette de présentation
Les choix stratégiques pour le Niger ,tels qu'exprimés par les plus hautes autorités nationales,visent à concilier les impératifs de court terme-consistant en la recherche de solutions aux préoccupations urgentes-et la nécessité d’élaborer et mettre en oeuvre une stratégie à moyen terme permettant d'optimiser la gestion des ressources naturelles et d'assurer un développement économique et social inclusif équilibre,équitable et durable -
Plan de développement économique et social au Niger
Ce plan constitue une édition intermédiaire nécessitée par les besoins par la table ronde de Genève -
Plan de développement économique et social 1987-1991
Aide-memoire pour le suivi de la table ronde sur le secteur du développement ruraleA l'occasion de la confèrence de la table ronde sur le secteur du développement rural qui s'est tenue à niamey du 24 au 26 mars 1988 -
Fertilisation des cultures maraîchères
Dans ce guide on parle de la fertilisation et du but principal des plantes, qui est de remplacer les éléments nutritifs soustraits au sol et exportés avec les récoltes, ainsi que de compenser les pertes d’éléments nutritifs occasionnées par ailleurs. Une fertilisation répondant aux besoins des cultures constitue la base d’une production durable de légumes de qualité (Finck 1979). Le développement qualitatif dépend impérativement de la disponibilité de chaque élément nutritif en quantité optimale, tout au long de la culture. -
Annuaire statistique régional 2011 - 2015
La Direction Régionale de la Statistique (DR/INS) de Niamey a le plaisir de vous présenter la quatrième (4ème) édition de l’annuaire statistique régional. Ce document qui présente les principales données socio-économiques de la région de Niamey sur la période 2011-2015, comporte 18 chapitres qui portent notamment sur les informations générales de la région, la climatologie, l’hydraulique, la démographie, l’emploi, la santé, l’éducation, l’agriculture, l’élevage, l’environnement, l’énergie, le transport, le tourisme et l’hôtellerie, les prix, la justice, la jeunesse et le sport, la gouvernance et le développement local. Il a été élaboré à partir des données collectées auprès de différentes structures de l’administration publique et para-publique, de celles produites par l’Institut National de la Statistique (INS) et la Direction Régionale de l’INS. Les informations publiées dans ce document les sont à un niveau agrégé. Le lecteur désireux d'avoir plus de précisions par rapport à un domaine spécifique, peut s'adresser à la Direction Régionale de l’INS ou à la source des données indiquées en bas des tableaux. Aussi, accueillerons-nous, bien volontiers, vos observations, remarques et suggestions pour l’amélioration de nos prochaines éditions. Nous adressons enfin, nos plus vifs remerciements aux autorités régionales pour leur engagement personnel dans la promotion des activités statistiques, à toutes les administrations, services publics, parapublics et organismes qui nous ont apporté leur précieux concours pour l'élaboration du présent document, et les encourageons à persévérer davantage dans les efforts, en vue de rendre disponibles et fiables les données statistiques au niveau de la région de Niamey. -
Effets de la fertilisation à base de la biomasse du Sida cordifolia L. sur les performances agronomiques et la rentabilité économique de la tomate (Lycopersicum esculentum Mill.) en culture irriguée
Publication scientifique, sur l'effet de la fertilisation organique de type "engrais vert" sur la culture des tomates en irrigué. -
Rapport annuel 2018 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger pour la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution vivant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2018, le cheptel est estimé à 48.460.804 têtes toutes espèces confondues soit 19.016.316 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 4.100 milliards de francs CFA. -
Rapport annuel 2019 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2019, le cheptel est estimé à 50.528.787 têtes toutes espèces confondues soit 19.921.981 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 400 milliards de francs CFA. -
Stratégie Nationale de Développement de la Statistique (SNDS)
La mise en place du Système Statistique National remonte au début des années 1960 avec la création, au sein du Commissariat Général au Plan, rattaché à la Présidence de la la République, d'un service de la statistique. C'est ce service qui s'est transformé progressivement pour devenir aujourd'hui l'Institut National de la Statistique (INS). -
Assistance et formation en faveur du développement rural
Le Développement économique et social ne peut se concevoir sans une véritable participation volontaire des populations. Beaucoup de programmes ou de projets ont été voués à l'échec parce qu'ils avaient nié cette réalité, privilégiant les aspects techniques au détriment du facteur humain. Il est clair que cette participation passe par un préalable la formation; elle doit être convaincante, adaptée, efficace. Conscient de cet impératif, le Gouvernement du Niger fait de la formation, sous toutes ses formes, une imposante privilégiée des projets de développement. -
Les statistiques sur l'élevage au Niger : Situation et perspectives; 28 au 30 octobre 2013, Hôtel Terminus Niamey, Niger
Du 28 au 30 octobre 2013 s’est tenu à l’Hôtel Terminus à Niamey au Niger, l’atelier sur "Les Statistiques de l'Elevage au Niger: Situation et perspectives''. Ont pris part à cet atelier, les délégués du Burkina Faso, du Mali et de la Mauritanie mais aussi les représentants des Coopérations Belge (CTB) et Suisse, et les représentants d’organisations internationales ou centres étrangers de recherche tels que : l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), la Banque Africaine de Développement (BAD), la Banque Mondiale, l’Observatoire Economique et Statistique d’Afrique Subsaharienne(AFRISTAT), le Fonds des Nations Unies pour l’Agriculture et l’alimentation (FAO), Vétérinaires Sans Frontière (VSF), le Centre National français de la Recherche Scientifique (CNRS). -
Méthode simple de caractérisation du sol
Cette affiche porte sur la fertilité des sols par des test technique de terrain. -
La fertilisation organique des cultures : les bases
L’agriculture biologique se développe depuis plus de 30 ans au Québec. Guidée au départ par des principes relativement théoriques et venus des expériences américaines et européennes de l’agriculture biologique, les pratiques de fertilisation des cultures ont évolué en fonction des réalités du terrain et des résultats obtenus à travers les années par les producteurs d’ici. Grâce aux travaux et expérimentations menés pendant ces 30 ans par les producteurs et productrices, le plus souvent avec très peu de moyens, un certain nombre d’ajustements ont été effectués afin d’améliorer les pratiques de fertilisation en régie biologique. -
Fertilisation raisonnée en arboriculture fruitière
Ce guide est destiné à toutes les personnes désirant réaliser une fertilisation qui optimise la qualité de la production et le résultat économique du verger, tout en préservant l’environnement. Une première étape, indispensable pour aboutir à ce résultat, réside dans une bonne connaissance des besoins des différentes espèces fruitières. Comment se nourrit l’arbre ? Quels sont les éléments minéraux nécessaires et en quelles quantités ? À quels moments sont-ils prélevés ? L'observation du fonctionnement du sol est la base de la nutrition des arbres fruitiers. Cela passe par une observation indispensable du profil racinaire des arbres, une bonne préparation du sol avant plantation et une gestion de l'alimentation hydrique adaptée au sol. Pour faciliter le raisonnement différents outils sont actuellement disponibles. L’analyse de sol guide sur les fumures de correction à apporter. Le reliquat azoté permet un pilotage en temps réel de la fumure azotée du verger. Enfin l’analyse foliaire permet de valider le pilotage de la fertilisation réalisé à partir de l’analyse de sol et du reliquat azoté. -
Enquête sur la vulnérabilité à l'insécurité alimentaire des ménages (Décembre 2007)
L'objectif principal de cette enquête est d'évaluer et de caractériser la vulnérabilité à l'insécurité alimentaire des ménages afin de mieux asseoir le diagnostic dans un contexte post récolte et de dégager les perspectives pour les prochains mois. -
Inventaire des documents disponibles au service analyse des politiques et coordinations des statistiques au 1er Avril 2002
Le présent document est un inventaire disponible au service analyse des politiques et coordination des statistiques. L'inventaire documentaire concerne les secteurs des Statistiques Agricoles, du Secteur privé, de la Sécurité alimentaire, de la Pauvreté, de l'Irrigation, de l'Environnement, de l’Éducation et Santé, des Politiques Agricoles, des Politiques Économiques, de l'UEMOA. -
Plan de Développement Économique et Social : sous secteur agriculture (2000-2004)
L'agriculture représente la principale activité de plus de 85% de la population active du pays. Sa part au PIB national a représenté, au cours de ces quatre dernières années. -
Système d'irrigation par gravitation du nord de l'inde : le rôle du capital social dans la gestion locale des ressources communes
La gestion sociale de l'eau est l'un des nouveaux défis auxquels devra répondre l'Inde. Après la remise du rapport de la Commission nationale sur la gestion intégrée des ressources en eaux1, les débats qui ont actuellement cours en Inde sur la politique de l'eau en général, et de l'irrigation en particulier, marquent un changement d'orientation important. L'amélioration de la gestion des ressources en eau et des infrastructures existantes devra être prioritaire, plutôt que le développement de nouvelles capacités2. En effet, la politique des grands travaux d'irrigation (barrages-réservoirs et canaux) et la multiplication incontrôlée des forages individuels (puits tubés) sont sérieusement remis en cause au vu des coûts économiques, écologiques et humains qui leurs sont associés aujourd'hui. -
Recensement Général de la population et de l'habitat 2012
L'objectif de ce rapport est d'étudier les caractéristiques sociodémographiques des ménages nigériens. Ceux-ci ont connu un taux d’accroissement annuel moyen de 3,7% entre le RGPH de 2001 et celui de 2012, passant de 1 632 344 à 2 430 440 ménages au cours de la période intercensitaire. Les ménages ordinaires représentent 99,6% de l’ensemble des ménages dénombrés. -
Plan de Développement Économique et Social (PDES) 2022-2026 : Rapport d'analyse diagnostique globale
Le présent rapport d’analyse diagnostique constitue la première phase du processus de formulation du PDES 2022-2026. Cette analyse porte sur la situation de la gouvernance, du développement du capital humain, des infrastructures, équipements et secteur privé, de la modernisation du monde rural et des contributions régionales. Il procède également à une hiérarchisation des défis majeurs auxquels le pays fait face, en tenant compte des contraintes, difficultés, potentialités et moyens mobilisables. Cette analyse, qui résulte de la contribution des différents acteurs permet de déterminer les orientations stratégiques globales, sectorielles et régionales pour accélérer le rythme des progrès économiques et sociaux, en vue de répondre aux aspirations de développement des populations. -
Effet de l'adoption de la technique du microdosage d'engrais sur la disponibilité et l'accessibilité céréalière des exploitations agricole à base de mil et de sorgho au Mali
Cette étude examine l’effet de l’adoption de la technique de microdosage d’engrais sur l’autosuffisance céréalière des exploitations agricoles à base de mil et de sorgho au Mali. Des données ont été collectées au cours de deux campagnes agricoles, à partir des enquêtes auprès de 108 exploitations agricoles. Les résultats montrent que l’application de la technique de microdosage par les producteurs sur les cultures de mil et de sorgho permet d’obtenir des rendements plus élevés comparativement à l’ancienne pratique des producteurs. Les résultats montrent aussi que l’adoption de la technique à grande échelle par les agriculteurs contribue l’amélioration de la sécurité alimentaire par la couverture des besoins céréaliers des exploitations agricoles. -
Présentation des résultats préliminaires du quatrième (4ième) Recensement Général de la Population et de l'Habitat (RGP/H) 2012
L’Institut National de la Statistique (INS) a réalisé le dénombrement général du Quatrième (4ème) Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH) 2012, du 10 au 24 décembre 2012. -
Module 4 : Application du compost et du NPK
L’engrais doit être appliqué au bon endroit pour éviter : des brulures sur les jeunes plants, l’éloignement des nutriments vis-à-vis de la plante donc inefficacité des apports, Pour maximiser son utilisation par la plante pour éviter le gaspillage des ressources. -
Module 6 : épandage de l'urée
L'épandage de l'urée permet de maintenir la croissance de la plante, de permettre une meilleure formation des épis, apporter à la plante des nutriments supplémentaires pour sa croissance surtout dans le cas du mais. -
Guide des plantes de pépinière et d'ornement : culture et lutte intégrée
La publication 841F du MAAO intitulée Guide des plantes de pépinière et d’ornement, culture et lutte intégrée, renferme des renseignements détaillés sur la lutte contre les ravageurs et les maladies, la nutrition et la qualité de l’eau. Elle se veut le complément de la publication 840F. Guide de protection des cultures de pépinière et d’ornement, qui contient la liste des produits homologués pour une utilisation sur les plantes de pépinière et d’ornement. Ensemble, ces guides remplacent la publication 383F, Plantes de pépinière et d’ornement, culture et lutte intégrée, du MAAO. -
Développement communautaire et réduction de la pauvreté dans un contexte de décentralisation
Ce document est composé de cinq parties. La première présentera le contexte socioéconomique des pays des pays francophones de l’Afrique de l’Ouest. Elle sera suivie de la présentation du concept de développement communautaire et de son utilisation dans la lutte contre la pauvreté. La troisième partie se focalisera sur la présentation de quelques études de cas (Burkina Faso, Mali et Niger). La dernière partie portera sur la présentation des leçons apprises sur l’amélioration des conditions de vie des populations, la réplication des expériences réussies et l’amélioration de la gouvernance. -
Le développement communautaire un concept, une histoire, des valeurs
Dans le champ du travail social actuel, le développement communautaire apparaît comme une méthodologie de plus en plus plébiscitée, sinon par les travailleurs sociaux eux-mêmes, en tout cas par les mandataires politiques, régionaux pour la plupart, qui proposent depuis dix à quinze ans des programmes de développement en tout genre. Mais que recouvre donc ce concept, souvent présenté comme novateur ? A quelles réalités renvoie t-il ? Quels sont ses enjeux idéologiques, politiques, institutionnels, organisationnels, éthiques… ? C’est à l’exploration de ces questions que se propose, modestement, de contribuer cet article. -
Phosphate : la recherche insiste depuis 40 ans sur ce facteur limitant des cultures pluviales
Cette note a été rédigée à partir de plusieurs textes relatant des résultats ou des rencontres des chercheurs de l’Afrique de l’Ouest et/ou du Niger. Le RECA pense que ces travaux ne doivent pas être oubliés au moment où différentes équipes travaillent sur les « technologies disponibles et diffusables » pour améliorer la productivité des cultures, y compris fourragères. -
Application à la volée de l'engrais phosphaté soluble ou naturel sur les cultures pluviales
Cette fiche technique édifie de manière synthétique les objectifs de la fertilisation minérale et ensuite les performances de son usage. -
Etude sur l'approfondissement du diagnostic et l'analyse des systèmes de production agrosylvopastoraux dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie de développement rural
Le présent rapport est le résultat de la consultation pour l'approfondissement du diagnostic du secteur rural et pour l'analyse des systèmes agro-sylvo-pastoraux au niveau de la région de Diffa.
Le rapport est établi sur la base des informations fournies par les différents cadres régionaux. La collecte de données a été effectuée suivant des fiches établies conformément aux besoins d'information dans chaque volet du secteur rural. Le consultant n'a pas eu toutes les informations voulues et ce malgré les entretiens qu'il a organisés avec chacun des responsables des services concernés en vue de repréciser certaines questions et d'obtenir des informations qui ne sont pas
consignées sur papier. Ce rapport qui est issu de l'exploitation des fiches et de la compilation des données recueillies lors des entretiens comprend six parties essentielles. Le chapitre 1 est descriptif. Il donne la position géographique de la région et sa superficie. Il donne également le découpage administratif, le zonage agro-écologique, les infrastructures rurales et les aspects démographiques de la région.
Dans le second chapitre il est décrit les principaux systèmes de production et les activités y afférentes, allant de la production jusqu'à la commercialisation. Il spécifie pour chaque système les unités de production, les filières, les différents marchés, les acteurs et leurs stratégies ainsi que les contraintes et potentialités de développement.
La troisième partie du document traite des productions spécifiques à la région. Elle est présentée sous fonne d'encadré. Quant à la quatrième partie, elle aborde les autres activités rurales qui ne sont pas des domaines de l'agriculture, de l'élevage et de l'environnement. Le chapitre 5 est lui consacré aux conditions de vie et de production du monde rural dans la région. Il précise les sources de revenu, la vulnérabilité, les conflits fonciers, l'organisation des acteurs ruraux, la disponibilité et la circulation de l'information. La dernière partie donne les perspectives de développement de la région. Il y est aussi rappelé les problèmes majeurs que connaît la région sur la base desquels les propositions d'orientations stratégiques ont été formulées. -
Guide pratique sur les boutiques d'intrants
Ce livret a été développé sur la base du manuel de gestion de boutiques d’intrants (BI) à caractère coopératif (manuel du gérant élaboré en 2006 par le projet Intrants/FAO). Un atelier participatif de révision de ce manuel, organisé en mars 2010, a proposé de le présenter sous forme de trois livrets illustrés pour faciliter sa compréhension. -
Effet comparé de la fertilisation à base de biochar, engrais organique et engrais chimique sur les éléments minéraux et la production de l’oignon (Allium cepa L.)
Le biochar tient son nom du terme « bio » en référence à des résidus organiques et « char » pour charbon. En effet, ce fertilisant est une autre forme d’engrais organique qui contient des éléments minéraux nécessaires pour l’enrichissement du sol. Il est produit à partir des résidus des cultures, de biomasse, des mauvaises herbes, des déjections animales ou de forêt (bois) à travers une méthode de pyrolyse. Afin de le différencier du charbon de bois, la définition adoptée par International Biochar Initiative (IBI) spécifie que, la finalité de cette substance est son utilisation en tant qu’amendement pour les sols (Sohi et al., 2010). Le biochar est un matériel qui se présente sous forme de fragments noirs, légers, poreux, sec et facile à transporter. -
Le guano, fertilisant organique naturel alternatif au fumier, testé sur la production de la laitue verte (lactuca sativa L.) dans l’oasis de Balla (département de Gouré), Zinder, Niger
Au Niger Est, la faible disponibilité sur les marchés ruraux, la cherté et le faible pouvoir d’achat des paysans limitent l’application des engrais minéraux. L’objectif de cette étude est l’évaluation de l’effet du guano sur la production de la laitue. Le dispositif expérimental est un bloc complet randomisé avec dix-sept traitements issus de la combinaison entre 4 doses de guano, 2 doses de fumier et 2 doses d’engrais en trois (3) répétitions. Les paramètres étudiés portent sur les diamètres de pomme, la hauteur des parties aériennes, le développement foliaire et le rendement. Les résultats obtenus révèlent que le guano a un effet significatif sur la production de laitue. A la dose optimale 3,5 t/ha, le guano a permis d’augmenter la production de la laitue de 833 et 628% par rapport au témoin et aux parcelles ayant reçues uniquement la fumure minérale. La combinaison guano et fumure organique a permis d’accroitre le rendement par rapport aux parcelles fertilisées avec le guano seulement, tandis que l’apport de l’engrais minéral a un effet dépressif sur le rendement. Pour assurer une bonne production de laitue dans la cuvette de Balla, il serait préférable d’utiliser la combinaison guano (3,5 t/ha) avec du fumier. La préservation de la population de chauves-souris permettrait d’assurer la durabilité de la filière guano. -
Projet RESILAC (Redressement Économique et Social du Lac Tchad) : note de présentation
Le lac Tchad est un pôle rural attractif en ressources et en emplois, essentiel pour la vie des millions d’habitants de son arrière-pays. Alors qu’il constitue une zone emblématique des menaces du changement climatique et de ses enjeux dans les pays pauvres, il est désormais aussi au centre d’une crise sécuritaire régionale liée au groupe Boko Haram. Les défis de développement de la région sont donc multiples : politiques, socio économiques, écologiques, hydrologiques et de gouvernance. Pour que son potentiel puisse contribuer durablement au développement économique régional, les mesures d’urgence déjà déployées devront être prolongées par des actions à moyen terme et de plus grande ampleur. -
Rapport de synthèse de l'analyse diagnostique transfrontalière : partie nigérienne du Bassin du Lac Tchad
Ce document sur les ressources en eau de la portion nigérienne du bassin du Lac Tchad doit contribuer à l’élaboration de la partie consacrée aux Données de Base dans le Bassin Conventionnel, tel que décrit dans les grandes lignes de l’ADT. L’élaboration de l’ADT est un processus participatif impliquant les acteurs locaux, nationaux et régionaux. Aussi, ce rapport a-t-il servi de base de discussions à l’atelier national ADT/PAS auquel ont pris part les membres du Comité National Inter-Ministériel de Pilotage tenu les 28 et 29 juin 2006. -
Effet des touffes de Hyphaene thebaica (Mart) sur la production du mil dans la région de Maradi (Niger)
La région de Maradi est confrontée à la saturation de l’espace et à la baisse généralisée de la fertilité des sols. Pour faire face à cette situation, les paysans ont adopté l’association céréales – légumineuses, l’apport des fertilisants par micro-doses et l’utilisation des ligneux dans les champs. Ainsi, dans le terroir de El Guéza, les céréales sont cultivées en association avec l’arbuste Hyphaene thebaica, très répandu dans la localité. C’est dans cette optique que cette étude a été conduite pour évaluer l’influence des touffes de Hyphaene thebaica sur la production du mil dans ce terroir. Ainsi, des essais de culture du mil ont été menés selon un dispositif en blocs randomisés complet sur 3 parcelles avec touffes de Hyphaene thebaica et une parcelle témoin (sans touffes). Les résultats obtenus ont révélé qu’autour de la touffe de Hyphaene thebaica, le mil présente un enracinement très dense et bien développé alors qu’hors Hyphaene thebaica, il a des racines fines, moins denses et développées latéralement. -
Étude complémentaire et d’actualisation pour la caractérisation des sites menacés de dégradation et leurs enjeux environnementaux dans les Sept (7) Pôles de Développement Economique (PDE) du Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) dans la région de Tahoua
Dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF), le renforcement de la résilience des communautés face au changement climatique constitue une des priorités majeures pour l’atteinte des résultats en matière de développement de l’agriculture familiale. A ce titre, le ProDAF s’est assigné objectif global de contribuer à assurer durablement la sécurité alimentaire des ménages ruraux et au renforcement de leurs capacités de résilience aux crises, tout en inscrivant dans la Stratégie de développement durable et de croissance inclusive (SDDCI).. Le programme vise Spécifiquement à accroitre durablement les productions des petits producteurs agro-sylvo-pastoraux, à améliorer les activités de post-production et de commercialisation des productions des petits producteurs agro-sylvo-pastoraux organisés des régions de Maradi, Tahoua et Zinder. -
Household socio-economic factors and soil fertility management on millet fields of southwestern Niger
Declining soil fertility is a major threat to agricultural productivity and livelihoods in sub-Saharan Africa, particularly in Niger, where most farmers have few resources and depend on degraded lands. Large-scale adoption of soil fertility management technologies (SFMT) by small-scale farmers is among the proposed solutions, but this remains low because of various constraints. A better understanding of the socio-economic factors that influence farming practices is needed to adapt SFMT to farmers'use. A survey using semi-structured interviews with 101 household heads was conducted in 2013 in Karabedji, Niger. The influence of household socio-economic factors on soil fertility management practices (SFMP) was assessed through farmers that were involved in demonstration activities as part of a long-term research project (13 years) on the estoration of soil fertility on farmers’ fields. The results showed that the farmer's household size was between 9 and 14 people and that the majority of farmers did not attain formal education. -
Projet de Recherche-Développement pour la Sécurité alimentaire et l'adaptation au changement climatique : rapport de la revue interne
L’objectif global de cette revue interne est de montrer et mesurer les changements opérés du fait des actions du projet REDSAACC à travers l’évaluation des effets/impacts de la mise en œuvre de l’approche du projet dans le transfert des technologies et le partage des innovations locales pour une adaptation des systèmes de production agricole aux changements climatiques. -
Étude sur l’amélioration de l’inclusion économique dans les filières agricoles en Afrique sub-saharienne : analyse des dispositifs publics/privés de mise à disposition d’informations pour les agents économiques des zones rurales
La présente étude répond donc à la nécessité de mieux orienter l’intervention publique en matière de mise à disposition d’informations à destination des acteurs économiques du monde rural d’ASS. Il s’agit donc de formuler un ensemble de recommandations basées sur un inventaire et une analyse des dispositifs publics et privés les plus significatifs sur le continent. -
Projet de relance et de développement de la région du Lac Tchad (PROLAC) : cadre de politique de réinstallation (CPR)
La région du Lac Tchad fait partie des zones d’Afrique les plus troublées où sévit une insécurité chronique et une dégradation des conditions de vie des populations. Jadis, considéré comme un exportateur net de produits alimentaires et un pourvoyeur d’emplois saisonniers, le bassin du lac Tchad est aujourd’hui confronté à des problèmes de pauvreté, d’insécurité physique et alimentaire. Si la région du Lac représentait un centre de production alimentaire, c’est parce qu’elle offrait tout au long de l’année une source relativement sûre d’eau, de fourrage et de terres fertiles. De plus, ses systèmes agricoles et halieutiques principalement familiaux correspondaient à des activités à forte intensité de main-d’œuvre et généraient un nombre important d’emplois (transformation, commerce, artisanat et transport). -
Contribution des cultures maraichères dans le renforcement de résilience sociale : cas de commune de Malbaza dans la Région de Tahoua
Le maraichage est une activité très pratiquée dans la commune de Malbaza. Dans cette étude l’effet de maraichage dans le renforcement de la résilience sociale a été étudié. Des fiches d’enquêtes ont été administrées auprès des producteurs maraichers de site de Malbaza. Au total 40 producteurs ont été enquêtés. L’ensemble des données collectées est soumis à des traitements. L’analyse des données collectées a permis de faire l’état de lieu de la contribution de maraichage à la sécurité alimentaire. Ainsi cette activité présente des incidences socioéconomiques non négligeables. Le revenu annuel moyen généré par cette activité s’élève à 434328, 75FCFA, ce qui montre que le maraichage est non négligeable dans la commune. L’oignon, tomate et chou sont les spéculations les plus faites dans la commune. Ainsi les maraichers rencontrent des problèmes dans la pratique de cette activité, ces problèmes sont liés à la source d’eau, d’écoulement des produits maraichers, insuffisance de l’encadrement, l’accès aux crédits agricoles et les attaques des ravageurs. Par ailleurs pour bonne marche de cette activité la création des marchés agricoles, encadrement techniques, l’approfondissement des puits et l’accès aux crédits agricoles afin d’accroitre leurs productions sont les recommandations proposées par les producteurs. -
Évaluation de la production du Moringa oleifera Lam. sur substrat constitué de boue de vidange en fonction de la fertilisation et de la dose d’irrigation
Dans le contexte de développement durable, la gestion des déchets, quelle que soit leur nature occupe une place importante. La non valorisation des boues de la Société d’Exploitation des Eaux du Niger (SEEN) a motivé la réalisation de cette étude. Menée en condition semis contrôlée, elle avait pour objectif d’évaluer la production du Moringa oleifera sur boue de vidange en fonction de deux doses d’irrigation combinées à différents types de fertilisation. Le dispositif expérimental était un split plot à quatre répétitions et deux facteurs: la dose d’irrigation (0,5 L et 1 L) et la composition du substrat (B, BSC, BSE, BC, BS et S). Les paramètres observés sont : le taux de survie, la hauteur des plantules, le nombre de feuilles, le diamètre au collet de la plante, l’élongation racinaire et la biomasse totale. Les résultats ont montré que la dose d’irrigation de « 1 litre » a été plus favorable sur l’ensemble des substrats et que les plants issus des substrats Boue + Sol ; Boue + Sol + Engrais et Boue + Sol + Compost ont donné les meilleurs résultats. Par contre, une forte létalité des plantes sur les substrats composés uniquement de Boue a été observée. Cette boue pourrait être utilisée en agriculture à condition qu’elle soit supplémentée par des fertilisants organiques. -
Nourrir l'Afrique : stratégie pour la transformation de l'agriculture africaine 2016-2025
La présente Stratégie vise à intensifier les efforts antérieurs, et non à faire double emploi avec ceux-ci, à travers la mise à l’échelle des interventions en cours et couronnées de succès sur le continent, tout en développant davantage les capacités requises des acteurs, tant publics que privés, intervenant dans l’ensemble du système, de façon à pérenniser les impacts positifs de ces interventions. Le Groupe de la Banque africaine de développement est bien placé pour jouer un rôle particulièrement important dans une telle transformation, à travers la présente Stratégie, en agissant comme catalyseur de tels efforts, notamment à travers l’utilisation, entre autres atouts, aussi bien de son levier financier pour mobiliser les investissements nécessaires que de son pouvoir de mobilisation pour amener les différents partenaires autour d’une même table et renforcer l’obligation de rendre compte. -
Le GAFSP permet-il de toucher les petits producteurs agricoles du Niger?
Au Niger, le GAFSP soutient le Projet de Mobilisation des Eaux pour le Renforcement de la Sécurité Alimentaire dans les Régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERSA-MTZ). Ce projet a pour objectif le renforcement de la sécurité alimentaire par l’augmentation, de façon durable, de la production et de la productivité agricole à travers la mobilisation des eaux de surface et souterraine. Il cible 213 000 producteurs partenaires directs et 460 000 producteurs partenaires indirects des régions de Maradi, Tahoua et Zinder, où vivent près de 60% de la population du Niger. Les trois régions sélectionnées présentent des taux particulièrement élevés de malnutrition, de pauvreté et d’insécurité alimentaire par rapport à l’ensemble du Niger. -
Dynamique actuelle impacts socio-économiques du barrage de Kassama dans la région de Zinder au Niger
L’objectif du présent travail est, d’une part, étudié le fonctionnement et le comportement hydrologique du barrage de Kassama et, d’autre part, les impacts socio-économiques de cette retenue. Dans la partie occidentale du Niger, les recherches portées sur le fonctionnement hydrodynamique de plusieurs bassin verssants ont conclu que l’augmentation du ruissellement (malgré la diminution des précipitations) [16] est générée par des modifications des états de surface du sol. Les champs de cultures ou les glacis en général sont le théatre de cette modification. Dans le secteur de Kassama, cette unité géomorphologique (glacis) couvre une superficie de 9 950 ha soit 55 % par rapport aux autres unités géomorphologiques. Les sols de cette unité sont constitués sur le matériau granitique où le ruissellement est important. De ce fait, les unités hydrogéomorphologiques du bassin versant de Kassama s’expliquent par la conjugaison des activités anthropiques et la nature du sol (en général nu) [17]. D’après l’analyse du paysage et les entretiens avec la population locale, les aménagements antiérosifs installés dans le cadre du barrage, ont joué un rôle significatif sur la dynamique hydro-érosive. Autrement dit, ces aménagements ont réduit la ménace d’ensabement du barrage. -
Projet intégré de désenclavement des zones de productions transfrontalières Hamdara-Wacha-Doungass-Frontière Nigeria
Le Gouvernement de la République du Niger va obtenir de la Banque Africaine du Développement un appui financier pour la mise en œuvre du Projet Intégré de Désenclavement des Zones de Productions Transfrontalières Hamdara-Wacha-Doungass-Frontière Nigéria (PIDZPT). Dans ses efforts inlassables de lutte contre la pauvreté, d’améliorer le capital humain et les conditions de vie des populations, surtout du monde rural, le Gouvernement du Niger s’est doté d’une politique nationale de développement économique et social, qui s’est fixée comme but principal, le développement socioéconomique durable qui passe indélébilement par la construction d’infrastructures routières durables. C’est dans cette optique que s’inscrit la mise en œuvre de la composante B du projet. -
Décentralisation et développement : la reconstruction du développement local : cas de la commune rurale de Guidimouni (Niger)
Depuis son lancement en 1993, le processus de décentralisation connaît plusieurs reports liés à la persistance des troubles politiques (cohabitation gouvernementale en 1995, Coup d’État et révision de la constitution en 1996 et 1999) ; il ne connaîtra sa concrétisation qu’en 2004 avec l’organisation des élections municipales. Si l’adoption de la décentralisation suscite beaucoup d’espoir, sa mise en œuvre est objet de questionnements. La commune rurale de Guidimouni dans le centre-est du pays nous livre un aperçu sur ce point. L’analyse de la conduite du processus de décentralisation dans cette commune interpelle sur la participation des acteurs locaux dans la conception 10 du projet. L’implication des acteurs locaux est indispensable pour impulser une dynamique de changement dans le quotidien des populations de cette commune. -
Développement communautaire et gestion des connaissances pour l'initiative Satoyama au Niger
L’objectif principal du programme est de développer une bonne gestion durable de la biodiversité et des activités durables de subsistance avec les communautés locales dans les paysages de production socio-écologique pour maintenir, reconstruire et revitaliser les paysages, en conformité avec les cinq perspectives suivantes de l’Initiative Satoyama à savoir : (i) l’utilisation des ressources dans les limites de la capacité de charge et de la résilience de l’environnement ; (ii) l’utilisation cyclique des ressources naturelles ; (iii) la reconnaissance de la valeur et de l’importance des traditions et des cultures locales ; (iv) le gestion des ressources naturelles par les différentes entités participantes et coopérantes et (v) les contributions aux activités socio-économiques locales. -
Impact des pratiques de gestion de la fertilité sur les
rendements en mil dans le Fakara (Niger)
En vue de promouvoir l’utilisation par les agriculteurs de pratiques améliorées de gestion de la fertilité des sols, il est essentiel de pouvoir établir préalablement l’impact en conditions réelles de ces pratiques sur les rendements. C’est dans cet objectif qu’un essai en milieu paysan a été mis en place pour une durée de 3 ans dans 3 villages de la région du Fakara, au sud-ouest du pays. L’essai vise principalement la validation de la technique de placement d’engrais au poquet et la caractérisation de l’impact de pratiques indigènes de gestion de la fertilité. Il combine 3 variétés de mil (locale, ICMV IS 89305 et Zatib), 3 niveaux d’application d’engrais (témoin, DAP : phosphate diammonique et DAP + urée) et plusieurs pratiques de gestion des amendements organiques (transport de fumier et parcage) ainsi que leurs effets résiduels (un et deux ans après application). -
Profil des moyens d’existence région de Zinder Magaria et Dungass – Zone agricole centrale de culture de céréales et des légumineuses Niger
L’agriculture se pratique sur le sol sablonneux, bien qu’on y trouve de l’argile dans certaines parties de la zone. Malgré que cette zone présente certaines potentialités agricoles modérées, elle n’est pas autosuffisante en matière de sécurité alimentaire, même au courant d’une année des bonnes récoltes. Les principales cultures vivrières sont le mil, le sorgho. Il faut noter que la production du sorgho a diminué ces dernières années en raison de la dégradation progressive des sols et des déficits pluviométriques ne permettant aux cultures de boucler leur cycle normal de culture. Cependant, le niébé, l’arachide et le sésame sont les principales cultures de rente dans cette zone. En effet, le sésame est en train de prendre la place de l’arachide suite à la forte demande de ce produit sur les marchés surtout du Nigeria. Pourtant cette zone était autrefois la première zone de production d’arachide au Niger qui a conduit à la création d’une usine de transformation de l’arachide. -
Rapport définitif de l’enquête sur les productions irriguées 2020-2021
Le présent document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2020-2021. L’engouement suscité cette année encore par la campagne irriguée, en particulier à travers les différents projets et programmes intervenant dans la promotion des cultures irriguées dont les objectifs et résultats attendus, renforce notre conviction et notre volonté sans cesse grandissante que l’évaluation de ladite campagne est importante à plus d’un titre : mesures des performances, contribution à la résorption des déficits alimentaires, exportations et revenus, etc. les attentes des utilisateurs des résultats de cette opération sont donc multiples et diverses mais elles ne lui enlèvent rien de sa valeur scientifique et statistique. Que ceux-ci (les utilisateurs) veuillent bien nous excuser des insuffisances qu’ils pourront constater et ne retenir que l’essentiel : les résultats qu’ils peuvent désormais utiliser comme outils de travail, d’analyse et de prospectives. -
Etude de cas pour la validation du standard CCB (Volet Communautés)
La présente étude réalisée sur un échantillon de 4 grappes (Chabaré dans la région de Maradi, commune rurale de Maïjirgui, Chéri dans la région de Diffa, commune urbaine de Maïné Soroa, Lido dans la région de Dosso, commune rurale de Guéchémé et Tchida dans la région de Tillabéry, Commune rural de Dantchiandou) a été commanditée pour évaluer l'évolution du bien-être économique et social des communautés et comparer le scénario "avec projet" à celui "sans projet" en vue d’élaborer un document d'informations sur les avantages du projet, en conformité avec les standards CCB. Pour l’exécution de la tâche, des outils d'enquête ont été au préalable élaboré puis, validés par l’Unité de Gestion du Projet. Ces outils, composés de quatre guides d'entretien, étaient destinés aux : (i) Membres de la grappe ; (ii) Pépiniéristes ; (iii) Charretiers et (iv) autres bénéficiaires. La mission terrain pour la collecte d’informations s'est déroulée avec l'assistance d'enquêteurs pluridisciplinaires recrutés pour la circonstance. -
Recensement Général de la population et de l'habitat 2012 (Décret N° 2011-059/PCSRD/ME/F DU 27 Janvier 2011) : monographie régionale de Zinder
Le présent document présente la monographie des populations de la région de Zinder. Les données utilisées sont celles du quatrième (4ième) Recensement Général de la Population et de l’Habitat du Niger réalisé en 2012. Elle a pour but de donner la photographie de la situation des populations vivant dans la région de Zinder. Il s’agit spécifiquement d’avoir la répartition de l’effectif des populations de la région par âge, sexe et niveau géographique. A cela s’ajoute les informations relatives à l’éducation, à la nuptialité, à la fécondité, à la mortalité, à la participation économique des populations et à la situation de l’habitat ; ce qui permet de mettre à la disposition des utilisateurs des données (gouvernement, ONG,…etc.), des indicateurs de suivi des politiques et programmes spécifiques à cette frange de la population. -
Investir dans la gestion durable des terres au Niger pour un développement économique effectif
Le présent rapport est rédigé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
Charte de Développement Durable des parcs d'activités
Le manque de stratégie cohérente de développement local et d’aménagement du territoire a trop souvent conduit à une grande banalité du développement urbain et plus particulièrement des zones d’activités. -
Mesurer le développement durable
Le concept de développement durable englobe trois dimensions du bien-être – économique, environnementale et sociale – unies par un jeu de synergies et d’arbitrages complexes (graphique 1). Cette édition des Cahiers statistiques fait le point sur les progrès accomplis en matière d’élaboration d’indicateurs du développement durable et décrit certains des défis qui restent à relever. -
La gouvernance du développement durable
En 2011, l’Institut de la Francophonie pour le Développement durable (IFDD), organe subsidiaire de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF)a produit, en partenariat avec la chaire en éco-conseil de l’université du Québec à Chicoutimi, des fiches techniques (profils nationaux) regroupées dans un ouvrage unique sur l’état de la gouvernance du développement durable dans chacun de ses États et gouvernements membres1. Depuis ce temps, de nouveaux enjeux sont apparus et les États ont adopté le 27 septembre 2015 le Programme de développement durable à l'horizon 2030 dans lequel on retrouve les 17 objectifs du développement durable (ODD) et leurs 169 cibles. -
Productivité et rôles socio-économiques des cultures maraîchères dans les Communes de Tibiri Gobir et de Madarounfa (Niger)
Le maraîchage est une activité prépondérante qui prend de plus en plus de l’ampleur en milieu urbain et péri-urbain. Les communes urbaines de Madarounfa et Tibiri gobir ne sont pas en reste. Dès lors, l’objectif général de cette étude est d’évaluer la productivité et les rôles socio-économiques des cultures maraîchères sur les sites d’étude. La méthode de collecte des données a essentiellement concerné des enquêtes individuelles et des focus groupes sur chacun des deux (2) sites. Au total 50 producteurs ont été retenus sur chaque site. En vue de confronter les expériences des producteurs, des focus groupes ont été faits. Il ressort de cette étude que dix-huit (18) et dix-sept (17) cultures maraîchères sont pratiquées respectivement à Tibiri gobir et à Madarounfa. Les cultures les plus pratiquées à Madarounfa sont l’oignon avec une proportion de 23% suivi de la tomate (15%), le chou (15%) et de l’anis (15%). Par contre, dans la commune de Tibiri gobir c’est la tomate (28%) qui est la représentée puis viennent l’oignon (18%) et la citrouille (13%). -
Revue synthétique des résultats 2009-2020 , Niger renforcer la résilience
La présente revue synthétique des résultats au Niger examine les progrès de développement du pays au cours des dix dernières années et la manière dont la Banque a contribué à ces résultats. Le rapport s’intéresse en particulier aux cinq priorités de l’Institution, les High 5, à savoir : « Éclairer et fournir de l’énergie à l’Afrique », « Nourrir l’Afrique », « Industrialiser l’Afrique », « Intégrer l’Afrique », et « Améliorer la qualité de vie des populations africaines ». Le présent rapport passe en revue la réalisation de ces cinq priorités dans le contexte du Niger, en se basant sur une série d’indicateurs extraits du Cadre de mesure des résultats de la Banque. Le chapitre introductif donne une vue d’ensemble de la situation économique du Niger et s’intéresse à l’appui de la Banque dans les domaines transversaux et stratégiques. Les cinq chapitres suivants examinent consécutivement les High 5, tant au niveau des progrès du Niger qu’au niveau de l’appui de la Banque. Enfin, le chapitre 6 analyse l’efficacité avec laquelle la Banque gère ses opérations au Niger. -
Perceptions et stratégie paysannes de gestion de la fertilité des sols dans la région de Tillabery de l'ouest du Niger
L’agriculture au Niger est considérée comme une agriculture « minière » en ce sens qu'elle prélève du sol, chaque année, plus d'éléments nutritifs qu'elle n'en retourne (Abdoul-Habou et al., 2016). Cela implique une diminution de la fertilité des sols et des rendements de culture liés à cette exploitation sans restitution des résidus de récolte et la faible utilisation d’engrais (Amonmidé et al., 2019). La baisse de la fertilité des sols constitue alors un des facteurs les plus contraignant pour la production agricole au Niger et de la sous-région Sahélienne en général (Bielders, 2015, Ravonjiarison et al., 2018, Nguessan et al., 2019. -
Le maraichage : technique de production et difficultés, rencontrées par les producteurs de moundou au Tchad
Cette étude analyse la contribution du maraichage à l’amélioration des conditions d’existence des ménages pauvres, dans la ville de Moundou au Tchad. Les ménages qui s’adonnent au maraîchage sont généralement les plus pauvres, contraints à rechercher quotidiennement les revenus monétaires et la nourriture. Cette étude a pour objectif de contribuer à la réflexion sur l’état de connaissance de la contribution du maraîchage à la sécurité alimentaire. Les données et informations ont été collectées par l’observation directe, les entretiens de groupe et les entretiens individuels à travers un questionnaire. Les résultats ont montré que les maraîchers sont majoritairement originaires de la province dont Moundou est le chef-lieu. -
Cadre de gestion environnementale et sociale
Au Sahel, sous le leadership du CILSS, la Banque Africaine de Développement (BAD) a initié depuis 2014 le financement et la mise en œuvre du Programme régional de résilience à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel (P2RS). Une solution durable à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel nécessite l’amélioration de la résilience au changement climatique, le maintien de la productivité des terres, le financement à long terme du secteur agricole, le développement du commerce et l’intégration régionale. En apportant des investissements soutenus à plus long terme pour la résilience des ménages, on réduira considérablement les coûts de l’aide d’urgence et à terme, on aboutira ainsi à la rupture du cycle des famines récurrentes. C’est dans ce cadre que le P2RS a été conçu. -
Rapport général du module maraichage
Le présent rapport fait partie d’une série de publications sur les résultats des six modules de la deuxième phase de l’opération. Il s’agit des cultures pluviales, l’arboriculture fruitière, les cultures irriguées, le tronc commun, l’élevage et la pêche. -
Stratégie de recherche - formation - innovation pour l'agriculture sur le moyen et long terme au Niger
La production végétale au Niger est une la plus grande source de revenus et d’aliments pour les populations rurales et apporte une contribution significative à l’économie nationale. Dans ce pays où la croissance démographique continue à un rythme supérieur à 3% par an, l’augmentation de la production agricole est un facteur déterminant du maintien, si ce n’est de la progression de l’approvisionnement alimentaire des populations. -
Soutenir et valoriser le patrimoine de cultures locales au Burkina Faso et au Niger pour améliorer les conditions de vie et les écosystèmes : Rapport sur le processus de sélection des NUS et des zones cibles
Dans ce document, nous présentons les résultats de l'activité A1.1 de la première année du projet SUSTLIVES, c'est-à-dire l'activité consacrée au choix des espèces sur lesquelles concentrer les activités du projet et les zones où les mettre en œuvre. L'activité s'est déroulée sur une période d'environ six mois, au cours de laquelle de nombreuses réunions ont eu lieu entre les partenaires du projet, des missions dans les deux pays, et la construction d'une base solide d'acteurs clés qui donnent plus de souffle et de durabilité future aux objectifs du projet. -
Systèmes d’innovation agricole
La production et l’utilisation de nouvelles connaissances sont importantes pour toutes les entreprises, y compris dans l’agriculture. Mais, bien souvent, le nouveau savoir susceptible d’accroître la productivité, la compétitivité et la viabilité d’une exploitation agricole n’est pas adopté à grande échelle. Ce manque d’innovation dans l’agriculture a conduit à une quête de nouveaux plans cadres tels que des « systèmes d’innovation » qui aident à comprendre comment se déroule le processus d’innovation agricole et comment augmenter sa pertinence et sa qualité. -
Comment pérenniser les acquis de la lutte antivectorielle ?
En Afrique de l’Ouest comme dans d’autres régions, l’échec de la plupart des projets de développement de première génération a souvent été attribué à l’incapacité des bénéficiaires à poursuivre les actions, une fois ces projets arrivés à terme. Les problèmes de développement, auxquels on a cru avoir trouvé des solutions durables, se posent de nouveau, souvent avec plus d’acuité. C’est le cas notamment des campagnes de lutte contre la trypanosomose animale où la ré infestation rapide des zones assainies s’est toujours révélée désastreuse pour l’élevage bovin en particulier. Parmi les causes des nombreux échecs, le manque d’implication des populations dans la conception et la mise en œuvre des programmes figure en première place. -
Chaine de valeur oignon : commercialisation des oignons en Afrique de l'Ouest, analyser les chiffres
De nombreuses institutions font réaliser des études sur les chaines de valeur. Les experts chargés de ces études utilisent des données en citant les sources. Il nous semble important de croiser autant que possible les données disponibles et surtout de les commenter pour évaluer leur crédibilité car les variations entre les sources peuvent être considérables. Cette note sur la filière oignon rassemble différentes informations par rapport à la commercialisation de ce produit dans la partie Est de l’Afrique de l’Ouest dont le Niger est un des acteurs majeurs. -
Les championnes de la résiliences
Le Sahel, de part de nombreux facteurs écologiques, structurels, économiques, politiques et sociaux, est l’une des régions les plus vulnérables au monde. Depuis 2005, les périodes de sécheresse répétitives, l’appauvrissement du sol, l’accroissement de la population, et la dégradation des ressources naturelles, contribuent aux crises alimentaires et nutritionnelles qui exposent les plus vulnérables à un risque accru d’insécurité alimentaire. -
Proposition d'actions pour le développement des de chaines de valeurs et de micro-entreprises agroalimentaires au Niger
Ce document est le dernier volet d’une étude réalisée en 2021-2022 dont l’objectif a été de sélectionner puis d’étudier en profondeur six Chaînes de Valeur (CDV) Agro Alimentaires prometteuses en vue d’appuyer leur développement durant les 5 à 10 années à venir. En conclusion de ces études, le présent document présente les diverses interventions réalisables pour développer ces six Chaînes de Valeur. 21 Chaînes de Valeur ont d’abord été présélectionnées, puis analysées selon de nombreux critères pour déterminer lesquelles étaient les plus à-même de pouvoir se développer rapidement dans un proche futur, une fois leurs contraintes courantes levées par la mise en œuvre d’interventions ciblées. Ce processus de sélection a fait intervenir un panel de spécialistes nigériens de toutes origines, afin d’en valider les résultats, avant de débuter les analyses approfondies. -
Bulletin des statistiques du commerce extérieur : données définitives 2017-2021
Dans le cadre de l’amélioration des statistiques produites, l’Institut National de la Statistique (INS) a mené, en décembre 2019, des travaux sur la base de données du commerce extérieur. L’objectif est de s’aligner davantage sur les recommandations des Nations des Unies en matière de commerce international des marchandises. Ces travaux s’inscrivent dans la ligne directrice que l’INS s’est fixée qui consiste à produire et fournir aux utilisateurs des statistiques fiables, aussi exhaustives que possible et de meilleure qualité. Ainsi, à l’issue des travaux, des corrections ont été apportées aux données. Par conséquent, les flux d’exportation et d’importation ont diminué sur l’ensemble de la période couverte par la base des données (1996 à 2019). En effet, les importations des ambassades et grandes organisations internationales ont été exclues des statistiques conformément aux recommandations du manuel des statistiques du commerce international des marchandises dans son édition 2010 (SCIM2010). -
Site Institutionnel de l'Institut National de la Statistique (INS)
Site nigérien d'information sur la statistique crée par la loi N°2004-011 du 30 mars 2004 portant sur l’organisation de l’activité statistique et créant l’Institut National de la Statistique (INS), modifiée et complétée par la loi N°2014-66 du 05 novembre 2014. Ce site web vous donne accès aux différentes publications du SSN, ainsi que plus de quarante (40) bases de données anonymisées à travers les Archives Nationales des Données (ANADO). Vous y trouverez également la plateforme des projections démographiques 2012-2024, les résultats des recensements de la population, les rapports d’enquêtes et certaines études approfondies, etc. -
Niger : décorticage des chiffres du riz
A la lecture de cette étude, des questions habituelles sur la cohérence de certains chiffres se posent, ce qui est normal car c’est le cas pour la plupart des filières / chaines de valeur. Mais pour la chaine de valeur riz, l’actualisation des chiffres d’importations fournies par l’Institut National des Statistiques (INS) pour les années postérieures à 2018 a apporté des interrogations. En 2018, le Nigera importé 526 000 tonnes de riz. En 2021, les importations étaient de 825 000 tonnes (INS) soit 300 000 tonnes de plus, une augmentation de 57% en trois ans. Quelle peut être la destination de ces 300 000 tonnes supplémentaires de riz importé, une augmentation de la consommation ou des réexportations ? Cette note tente de rechercher l’explication à partir de l’étude sur la chaine de valeur riz. -
Financement alternatif et innovant de l’Agriculture en Afrique
En Afrique, les méthodes de financement alternatives et innovantes ne sont guère utilisées en agriculture, parce qu’elles sont nouvelles et que beaucoup de parties prenantes ne les connaissent pas. Cependant, les avantages qu’elles peuvent apporter à l’agriculture africaine sont considérables. Notamment, les engagements d’investissements privés massifs dans l’agriculture, l’intensification de l’innovation agricole, la formation et le renforcement des capacités des agriculteurs, la fourniture d’un environnement agricole infrastructurel fondé sur le développement, la mobilisation des finances, des marchés et de l’agriculture en faveur des pauvres, des régions rurales, des femmes et de jeunes par le biais d’une croissance inclusive. -
Programme d'appui au développement de l'élevage (PRADEL)
Le programme d´appui au développement de l´élevage – Kiyo Arziki, d’un montant de 14 millions d’euros, et d’une durée de 4 ans a pour objectif général de renforcer la sécurité alimentaire, la résilience et les revenus des populations liées à un élevage familial. Ce programme vise à rendre les systèmes d´élevage plus résilients, performants et durables, dans lesquels des emplois, surtout des jeunes et des femmes sont créés ou renforcés ; qui contribuent à la sécurité alimentaire et la résilience des populations vulnérables ; et qui peuvent faire face aux défis croissants du secteur (changement climatique, pression foncière, croissance démographique, dégradation des ressources naturelles, problèmes sécuritaires, ...). -
Développement des petites exploitations d’élevage : note sur la transposition à plus grande échelle
D’après les estimations, il faudra accroître de 50 à 70% la productivité alimentaire mondiale pour nourrir neuf milliards de personnes à l’horizon 20501. L’élevage fournit environ 26% des protéines consommées par l’homme et 13% du total des calories. On estime que la demande de produits animaux devrait plus que doubler au cours des 20 prochaines années, en raison de l’urbanisation, de la croissance économique et des changements des modes de consommation dans les pays en développement2. Le secteur de l’élevage représente près d’un milliard de petits éleveurs dans les pays en développement, contribue au PIB agricole à hauteur de 40% et assure de 2% à plus de 33% du revenu des ménages3. -
RAPPORT ANNUEL DES STATISTIQUES DE L’ELEVAGE
1.1. SITUATION DU PERSONNEL
1.2. INFRASTRUCTURES SANITAIRES ET MATERIEL DE FROID
1.3. SITUATION DU PARC AUTOMOBILE AU 31 Décembre 2011
1.4. SITUATION DU PARC MOTOS AU 31 Décembre 2011
ESTIMATION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL
2.1. ESTIMATION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL PAR DEPARTEMENT
2.2. ESTIMATION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL PAR REGION
2.3. EVOLUTION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL PAR ANNEE DE 1970 à 2011 -
Deuxième Stratégie Nationale de Développement de la Statistique (SNDS II) 2014-2018
La mise en œuvre de la première(1ère) Stratégie Nationale de Développent de la Statistique (SNDS I) du Niger est arrivée à terme en 2012. En conséquence, et sur la base des nouvelles orientations politiques de développement du pays notamment : le Plan de Développement Economique et Social (PDES) 2012-2015, l’initiative 3N : « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens », le Niger s’est engagé dans le processus d’élaboration de sa deuxième(2ème) Stratégie Nationale de Développement de la Statistique (SNDS II) pour la période 2014-2018. Cette élaboration est basée sur l’approche de la Gestion Axée sur les Résultats (GAR) et la méthode d’analyse des Forces, Faiblesses, Opportunités et Menaces. Les étapes de ce processus sont les suivantes : (i) travaux préparatoires, (ii) élaboration du diagnostic, (iii) élaboration du document provisoire et (iv) production du document final. -
Stratégie mondiale pour l'amélioration des statistiques agricoles et rurales
Les décideurs politiques et les responsables du développement chargés de développer des stratégies d’investissement pour promouvoir la croissance économique doivent faire face à de nombreux défis de mutations et de changements qui affectent l’agriculture du XXIe siècle. L’agriculture, en plus de son rôle productif de fournir des aliments, des vêtements, du carburant et des logements pour répondre aux besoins de la population mondiale sans cesse croissante, joue d’autres rôles essentiels dont l’importance est de plus en plus reconnue. En plus de son rôle clé au niveau de la sécurité alimentaire, le développement agricole est perçu comme une source vitale ayant un impact important sur la réduction de la pauvreté. Cependant, l’agriculture est également vue comme une source qui génère des problèmes environnementaux et contribue au réchauffement climatique, à la rareté de l’eau, la pollution et la dégradation de la terre. Son potentiel en tant que fournisseur de services environnementaux doit donc être défini, suivi et évalué. La majeure partie des problèmes et des développements que connaît le secteur agricole transcende les frontières nationales. -
Plan de Développement Économique et Social (PDES) 2022-2026 : Volume I Diagnostic stratégique
Le présent rapport d'analyse diagnostique constitue la première phase du processus de formulation du PDES 2022-2026. Cette analyse porte sur la situation de gouvernance, du développement du capital humain, des infrastructures et équipements, du secteur privé et de la modernisation du monde rural. Elle prend en compte les contributions régionales et sectorielles, ainsi que différentes études réalisées dans ces domaines. -
Plan de développement Économique et Social
Le PDES 2017-2021 est articulé autour de cinq chapitres. Le premier chapitre analyse le contexte et dresse le bilan-diagnostic actuel de la situation du pays. Le deuxième chapitre présente les orientations stratégiques qui en découlent, tout en se référant au Programme 2030 des Nations Unies, à l’Agenda 2063 de l’Union Africaine et le Document d’Orientations Economiques. Le troisième chapitre porte sur la structure programmatique du PDES, le quatrième chapitre présente les mécanismes de mise en œuvre, de suivi-évaluation et de coordination, et la cinquième porte sur l’analyse et la mitigation des risques et facteurs de succès. -
Niger 2035 : Un pays et un peuple prospères. Tome - II : Scénarii, Vision et Orientations Stratégiques - Stratégie de Développement Durable et de Croissance Inclusive (SDDCI)
Le diagnostic relève que le Niger dispose des atouts significatifs, en particulier, son potentiel humain, ses ressources agro sylvo pastorales et halieutiques et minières, la résilience de sa population et la ferme volonté politique qui anime ses élites. Mais il a été également souligné dans ce diagnostic, l’ampleur des contraintes qui pourraient entraver la réalisation des objectifs de développement et la mise en œuvre des réformes qui s’imposent. -
Stratégie de développement durable et de croissance inclusive (SDDCI) Niger 2035
Cette stratégie de long terme est portée par le peuple nigérien dans toutes ses composantes ainsi que par ses dirigeants à tous les échelons. Ce condensé met en exergue les éléments suivants : le processus d’élaboration de la SDDCI Niger 2035, les défis de développement, la vision à l’horizon 2035, l’objectif de développement, les résultats stratégiques, les axes stratégiques, les risques, les mécanismes de mise en œuvre et le suivi-évaluation. -
Rapport sur les Objectifs de Développement Durable
Le Rapport sur les objectifs de développement durable 2018 donne un aperçu des progrès accomplis durant la troisième année de mise en œuvre du Programme de développement durable à l'horizon 2030. Il met en relief les progrès et les lacunes qui subsistent pour chacun
des 17 objectifs, en se basant sur les dernières données disponibles, et examine les liens existant entre certains objectifs et cibles. Les chapitres qui suivent approfondissent les six objectifs qui seront examinés en juillet 2018, lors du Forum politique de haut niveau sur le développement durable. -
Rapport d'activités : IFDC Niger
IFDC (International Fertilizer Development Center) créée en 1974 et basée à Alabama aux Etats-Unis, est une institution publique internationale œuvrant pour la sécurité alimentaire, la réduction de la pauvreté dans les pays en développement à travers le développement et la dissémination de technologies efficientes de gestion de la fertilité des sols, le développement de marchés d’intrants agricoles et de marchés de produits agricoles. -
Note sur la situation économique : renforcer la résilience financière des éleveurs face à la sécheresse
Cette note sur la situation économique du Niger 2023 s’articule en deux chapitres. Le premier chapitre présente les évolutions économiques et de la pauvreté observées dans le pays en 2022 ainsi que les perspectives de 2023 à 2025. Ce chapitre est suivi d’un résumé des analyses d’impact macroéconomique et de pauvreté pour le Niger dans le rapport CCDR du Sahel (2022). Le chapitre 2 propose une analyse approfondie du potentiel du financement des risques de catastrophe et des instruments d’assurance pour réduire les impacts socio-économiques négatifs des chocs climatiques. -
Gestion communautaire et développement local : résultats GESFORCOM
Au Niger, le bois constitue la principale source d’énergie pour 90% des ménages. Il est un produit de première nécessité pour des popula tions urbaines qui s’accroissent de plus de 3% par an. Jusqu’à la fin des années « 80 », l’État et les commerçants-transporteurs détenaient le monopole de son exploitation et de sa commercialisation. Les populations rurales étaient exclues de la jouissance des revenus financiers générés. À partir de 1989, par l’adoption du décret 92-137 relatif à l’organisation de la commercialisation et du transport de biens dans les grandes agglomérations et la fiscalité qui lui est applicable, l’État s’est engagé dans une réforme pour la conception et la mise en œuvre d’une Stratégie Energie Domestique fondée sur le transfert de gestion des forêts aux communautés villageoises. -
Évaluation finale du Projet d'Appui au Développement du Nord Niger phase 2 (PADNN2)
Ce rapport développe les constats et propose des recommandations plus détaillées. Il intègre également, dans la mesure du possible, les remarques jugés recevables qui ont été formulées lors de la restitution provisoire, tant au siège de l’ONG Tilat à la fin de la mission de terrain, que dans le cadre de la formation en suivi-évaluation de projet de développement à Niamey. -
Manuel de formation statistique sur les engrais en Afrique
En juin 2006, les dirigeants Africains se sont réunis à Abuja dans le cadre du Sommet Africain sur les fertilisants avec pour objectif de souligner l'importance des engrais pour réaliser une révolution verte Africaine. -
Projet d'Appui à la sécurité alimentaire et au développement dans la région de Maradi (PASADEM)
L’objectif général du PASADEM est d’améliorer les conditions des vie et de renforcer les capacités de résilience aux crises des populations rurales dans la région de Maradi avec comme objectif de développement d’améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle de 65,000 ménages ruraux autour des cinq pôles de développement économique ruraux centrés sur les marchés intermédiaires (demi gros) de céréales, de produits maraîchers et de bétail dans les 18 communes de la région de Maradi. -
Promouvoir une gestion locale concertée et effective des ressources naturelles et foncières n° 21 : Réaliser le transfert de compétences en GRN pour assurer l’effectivité de la décentralisation et consolider la démocratie - Le cas du Mali
Au Mali, la protection de l’environnement et la gestion foncière font partie des compétences partagées entre l’État et les collectivités locales. Mais le transfert de compétences est bloqué, ce qui empêche les collectivités locales de jouer leur rôle. Or, les ressources naturelles sont une base essentielle de la vie des populations rurales, et une source importante de revenus pour les communes. Il convient dès lors de dépasser les blocages. -
Dynamiques des activités d’ingénierie sociale dans le pole de développement économique (PDE) de bande (région de Zinder)
Dans le cadre de son intervention au Niger, le programme FIDA a adopté, depuis 2012, une approche innovante en termes d’appui à la commercialisation des produits agro–sylvo- pastoraux. Elle est axée sur les pôles de développement économique (PDE). Il s’agit à travers cet article de saisir la dynamique des activités d’ingénierie sociale dans le développement des infrastructures routières et marchandes au niveau du pôle de développement économique de Bandé dans la région de Zinder. L’ingénierie sociale suppose la concertation de tous les acteurs autour des centres de collectes et des PDE. Le cadre de concertation, communément appelé « Hadin Gwiwa », est mis en place par le Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) du FIDA. L’étude a porté sur les marchés hebdomadaires de Bandé et de Babban Roua. -
Annuaire des statistiques 2009-2019
Le Système Statistique National (SSN) est régi par la loi N°2004-011 du 30 mars 2004 qui organise les activités de production, de traitement, d’édition, de diffusion et d’utilisation des statistiques au Niger. Elle consacre l’indépendance scientifique dans la production et la diffusion des statistiques et fait obligation au secret professionnel, à la neutralité, à l’objectivité, à l’impartialité et à l’anonymat des fournisseurs des informations primaires ou des répondants aux questionnaires. Elle impose également le principe de transparence : accès égal pour tous aux données et compréhension partagée des objectifs et des résultats attendus -
Étude sur les activités d'adaptation réalisées et en cours entre 2006 et 2019
Projet, « Régionalisation de l’Adaptation à Base Communautaire au Niger » dénommé ABC-Maradi, est mis en œuvre dans le cadre du Programme d’Action National pour l’Adaptation (PANA) aux changements climatiques. Il est financé par le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) à travers le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). Le projet ABC est la suite logique du projet PANA « Renforcement de la résilience au secteur agricole » mis en œuvre sur la période 2010-2014. Le Niger voudrait expérimenter une mise à l’échelle et la diffusion aux niveaux national et régional des pratiques d’adaptation qui ont donné de bons résultats dans le cadre du PANA Résilience. -
Annuaire des statistiques - 2020
Le Système Statistique National (SSN) est régi par la loi N°2004-011 du 30 mars 2004 qui organise les activités de production, de traitement, d’édition, de diffusion et d’utilisation des statistiques au Niger. Elle consacre l’indépendance scientifique dans la production et la diffusion des statistiques et fait obligation au secret professionnel, à la neutralité, à l’objectivité, à l’impartialité et à l’anonymat des fournisseurs des informations primaires ou des répondants aux questionnaires. Elle impose également le principe de transparence : accès égal pour tous aux données et compréhension partagée des objectifs et des résultats attendus. -
Promouvoir l’autonomisation économique des femmes rurales pour améliorer la sécurité alimentaire et la nutrition au Niger
Cette fiche de bonne pratique se concentre sur le projet d’accélération des
progrès vers l’autonomisation économique des femmes rurales, qui avait le but de garantir les moyens de subsistance et les droits des femmes rurales dans les régions de Dosso et Maradi au Niger.