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# Dossier photographique : Attaque de puceron (Aphis fabae), un piqueur suceur, sur l'ail à Abarakan.
Attaque du puceron (Aphis fabae), un piqueur suceur, sur l'ail à Abarakan. Le puceron noir de la fève est une espèce de petits insectes de l'ordre des hémiptères, de la famille des aphididés, qui parasite de nombreuses plantes cultivées. Ses dégâts sont souvent aggravés par la production de fumagine due au miellat sécrété par les pucerons -
Conseiller en maraîchage / des cas pratiques (2)
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers et animateurs maraîchers (OP, services techniques, GSC, GIE, projets …). Il s’agit d’une ferme installée dans le dallol Bosso à l’entrée de Birni Ngaouré (Région de Dosso), avec un système d’irrigation goutte à goutte pour les cultures de tomate, poivron, piment et melon principalement. Le 6 février, date de la visite, il y avait des parcelles de tomates en production et des parcelles de poivron en floraison. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : Les nématodes parasites des cultures maraîchères
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les nématodes parasites des cultures maraîchères au Niger -
Les nématodes parasites du Moringa dans la zone périurbaine de Niamey (Niger)
Moringa (Moringa oleifera Lam) est une culture qui prend de plus en plus de l’importance au Niger mais très peu d’intérêt a été porté aux problèmes phytosanitaires. L’objectif de l’étude était d’identifier les nématodes parasites qui lui sont associés.
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Gestion des pucerons dans les champs de haricots et de légumes
Cette vidéo explique comment lutter contre les attaques de pucerons par des techniques biologiques
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Microorganisme Efficaces (Fertilisant bio)
technique de fertilisation biologique -
Utiliser le piment contre les fourmis, pucerons, chenilles, insectes
Cette note porte sur la fabrication du piment contre les fourmis, pucerons, chenilles, insectes -
# Dossier photographique : Nématodes-e-phytia
Ce dossier montre les dégâts causés par les nématodes sur des pieds de carotte -
Les nématodes parasites des cultures maraîchères
Pour lutte contre les nématodes parasites des cultures maraîchères, il faut aider, diagnostiquer un problème nématologique et donner des notions de base pour le résoudre -
Comprendre quelques fonctionnements écologiques dans une parcelle cultivée pour prévenir le puceron de la salade
L'agrosystème, partie cultivée de l'écosystéme, est simplifié au profit d'une ou quelques plantes cultivées. -
Effet de quatre types de fumiers d’animaux domestiques sur le développement de Meloidogyne javanica et la croissance du poivron (Capsicum annuum) sous serre.
Les nématodes à galles du genre Meloidogyne constituent un facteur limitant à la production des cultures maraîchères dont les Solanacées (poivron, tomate, aubergine, etc.). Au Niger, la lutte chimique par utilisation de nématicides de synthèse est la méthode la plus utilisée contre ces ravageurs. Pour trouver un substitut à cette méthode très onéreuse et qui pollue l’environnement, une étude sur l’effet de fumiers d’ovins, de caprins, de bovins et de volaille sur le développement de Meloidogyne javanica et la croissance du poivron a été menée sous serre dans des pots plastiques.
Le plus grand effet dépressif sur ces paramètres nématologiques est obtenu avec la plus grande dose de 20 % de fumier tandis que la croissance du poivron a été améliorée avec un effet plus important à la dose de 10 %.
Conclusion et application : Tous les types de fumier ont eu un effet dépressif sur le développement de Meloidogyne javanica sur le poivron. Ils peuvent donc être utilisés en amendement du sol pour lutter contre cet important ravageur des cultures maraîchères. -
Parasitisme des nématodes à galles des racines (Meloidogyne) à l'égard de différentes plantes au Niger
Les différentes rapports sur la situation nématodologique au Niger indiquent la présence de nombreux nématodes phytoparasites. Parmi ces phytonématodes, ceux du genre Méloidogyne, communément appelés nématodes à galles des racines, attaquent de nombreuses plantes d'importance économique. -
Plant-parasitic nematode communities associated with Moringa tree (Moringa oleifera Lam.) in western Niger
Moringa (Moringa oleifera Lam) is a cropthat is becoming more and more important in Niger, but very little attention has been devoted to its pest problems. Nematode fauna survey was undertaken inthree important Moringa producing sites inwesternNiger. Soil and roots samples were taken fr -30-cm deep. Nematological analysis of these samples revealed the presence of 11 genera of plant-parasitic nematodes among which the most frequent and abundant were Meloidogyne spp., Helicotylenchus spp. and Hoplolaimus spp. The average prominence values of these three nematodeswere 236.69, 105.25 and97.93, respectively. Inroots, Meloidogyne spp. alone represented up to 90% of the plant-parasitic nematode communities. Itsaverage prominent value was591.46. -
Yaki da kwaro mai tsotse ruwan shibkoki
Le puceron est un insecte ravageur qui affaiblit les plantes en s'attaquant surtout aux feuilles et aux fleurs. Sur cette affiche, il relève des images qui illustrent de l'attaque de l'insecte sur les plantes et les méthodes de lutte appropriée contre cet insecte. -
Yaki da tsutsa mai bata sayyun shibka
L'affiche fait cas des nematodes qui s'attaquent aux racines des plantes comme le piment vert, la tomate...et propose des méthodes pour empêcher aux ravageurs de s'attaquer aux cultures. -
La fertilisation organique des cultures : les bases
L’agriculture biologique se développe depuis plus de 30 ans au Québec. Guidée au départ par des principes relativement théoriques et venus des expériences américaines et européennes de l’agriculture biologique, les pratiques de fertilisation des cultures ont évolué en fonction des réalités du terrain et des résultats obtenus à travers les années par les producteurs d’ici. Grâce aux travaux et expérimentations menés pendant ces 30 ans par les producteurs et productrices, le plus souvent avec très peu de moyens, un certain nombre d’ajustements ont été effectués afin d’améliorer les pratiques de fertilisation en régie biologique. -
Des produits « miracles » sont proposés aux producteurs, de quoi s’agit-il ?
Pour faire simple, un biostimulant va stimuler les processus physiologiques de la plante avec un effet sur le rendement, indépendamment de son apport nutritionnel. Par exemple, un produit qui va favoriser l’absorption des minéraux, ou améliorer la fertilité du pollen, ou diminuer les conséquences du stress hydrique. -
Influence de la rotation culturale avec apport de matières organiques exogènes et d’une fertilisation minérale sur les nématodes phytoparasites en culture du sorgho au Centre Ouest du Burkina Faso
L’infestation du sol et des racines du sorgho (sorghum bicolor (L.) Moench) par les nématodes phytoparasites a été étudiée en 2008 sur un essai agricole à l’Ouest du Burkina Faso. Cet essai agricole est représentatif de la production du sorgho avec utilisation de différentes pratiques agricoles incluant la rotation culturale, l’apport de matières organiques exogènes et une fertilisation minérale. L’objectif était de déterminer l’effet de ces pratiques sur les taux d’infestation du sol et des racines par les nématodes. Les nématodes du sol ont été extraits selon la méthode de « l’élutriateur » de Seinhorst et ceux des racines selon la méthode de « l’asperseur » de Seinhorst. Le sol et les racines du sorgho ont été plus infestés par les nématodes dans la monoculture de sorgho par rapport aux rotations sorgho – niébé et sorgho – coton. -
Influence de la rotation culturale avec apport de matières organiques exogènes et d’une fertilisation minérale sur les nématodes phytoparasites en culture du sorgho au Centre Ouest du Burkina Faso
L’infestation du sol et des racines du sorgho (sorghum bicolor (L.) Moench) par les nématodes phytoparasites a été étudiée en 2008 sur un essai agricole à l’Ouest du Burkina Faso. Cet essai agricole est représentatif de la production du sorgho avec utilisation de différentes pratiques agricoles incluant la rotation culturale, l’apport de matières organiques exogènes et une fertilisation minérale. L’objectif était de déterminer l’effet de ces pratiques sur les taux d’infestation du sol et des racines par les nématodes. Les nématodes du sol ont été extraits selon la méthode de « l’élutriateur » de Seinhorst et ceux des racines selon la méthode de « l’asperseur » de Seinhorst. Le sol et les racines du sorgho ont été plus infestés par les nématodes dans la monoculture de sorgho par rapport aux rotations sorgho – niébé et sorgho – coton. -
Effet des touffes de Guiera senegalensis (J.F. Gmel) sur la fertilité des sols dans la région de maradi (Niger)
A Guidan Bakoye, dans la région de Maradi au Niger, pour faire face à la dégradation et la baisse de la fertilité des terres, les paysans ont entre autres adopté la régénération naturelle assistée des espèces ligneuses telles que Guiera senegalensis (Guiera du Sénégal). Cette étude traite de l’influence des touffes de cet arbuste sur la fertilité des sols dans le terroir de Guidan Bakoye. Méthodologies et résultats : Un dispositif en blocs randomisés complet avec trois répétitions des touffes, a été utilisé en plein champ. Des prélèvements des sols ont été effectués autour des touffes selon les points cardinaux, les distances 0, 50, 100, 150 et 200 cm de la touffe et la profondeur du sol (0 -10 ; 10 -20, 20 -30 et 30 -40 cm), et leurs caractéristiques physico-chimiques ont été déterminées. Les résultats obtenus ont révélé généralement une amélioration significative des paramètres physico-chimiques des sols localisés à proximité des touffes de Guiera senegalensis. -
Sanitized human urine (Oga) as a fertilizer auto-innovation from women farmers in Niger
Poor soil chemical fertility and climate change restrict pearl millet grain yield in Niger Republic. Apart from the seedball technology, which targets majorly early phosphorus supply to the plants, the recommended practices of mineral fertilization and seed treatments (coating and priming) are barely affordable to the local farmers in particular. In the case of female farmers, who usually have chemically infertile farmlands often located far away from their homestead, low pearl millet grain yield can be exacerbated. In quest for a cheap, affordable, and effective solution, we hypothesized that the application of sanitized human urine (Oga), in combination with organic manure (OM) or solely, increases pearl millet panicle yield in women’s fields and on different local soils. In on-farm large-N trials (N = 681) with women farmers in two regions of Niger (Maradi, Tillabery), pearl millet panicle yields were compared between the control (farmer practice), and a combination of Oga and OM in the first and second year, and Oga alone in the third year. Our results showed an average panicle yield increase of about +30%, representing +200 to +300 kg ha−1. Major factors determining the yield effect are season, village, and local soil type. This study shows for the first time that Oga innovation can be used to increase pearl millet panicle yield particularly in the low fertile soils of women’sfarmlands in Niger. Oga innovation is affordable, locally available, and does not pose a risk to resource-poor femalefarmers of Niger.
L’urine humaine aseptisée (Oga) en tant qu’auto-innovation en engrais par les agricultrices du Niger
La faible fertilité chimique du sol et le changement climatique limitent le rendement en grains de mil perlé en République du Niger. Mis à part la technologie des boules de semence, qui cible principalement l’approvisionnement précoce en phosphore des plantes, les pratiques recommandées de fertilisation minérale et de traitement des semences (enrobage et amorçage) sont à peine abordables pour les agriculteurs locaux en particulier. Dans le cas des agricultrices, qui ont généralement des terres agricoles chimiquement infertiles souvent situées loin de leur ferme, le faible rendement en grains de mil perlé peut être exacerbé. À la recherche d’une solution bon marché, abordable et efficace, nous avons émis l’hypothèse que l’application d’urine humaine aseptisée (Oga), en combinaison avec du fumier organique (OM) ou uniquement, augmente le rendement en panicule de mil perlé dans les champs des femmes et sur différents sols locaux. Dans les essais à la ferme avec de grandes N (N = 681) avec des agricultrices dans deux régions du Niger (Maradi, Tillabery), les rendements en panicule de mil perlé ont été comparés entre le contrôle (pratique agricole) et une combinaison d’Oga et d’OM la première et la deuxième année, et d’Oga seul la troisième année. Nos résultats ont montré une augmentation moyenne du rendement en panicule d’environ +30%, représentant +200 à +300 kg ha−1. Les principaux facteurs déterminant l’effet de rendement sont la saison, le village et le type de sol local. Cette étude montre pour la première fois que l’innovation Oga peut être utilisée pour augmenter le rendement en panicule de mil perlé, en particulier dans les sols peu fertiles des terres agricoles des femmes au Niger. L’innovation Oga est abordable, disponible localement et ne pose pas de risque pour les agricultrices nigériennes pauvres en ressources. -
Effet du système de riziculture intensive sur les émissions de gaz à effet de serre, la dynamique des populations des nématodes parasites, et la production du riz ( Oryza Sativa L.) sur le périmètre irrigué de Sébéri au Niger
Le riz a pris une place importante dans l’alimentation des pays du Sahel, et en particulier au Niger. Pourtant, la production nationale reste très faible, à cause des nombreuses contraintes liées aux effets du changement climatique, à la pauvreté des sols, aux mauvaises pratiques agricoles, aux ennemis des cultures, etc. Pour pallier ce problème, le système de riziculture intensive (SRI) apparait comme une alternative à la riziculture conventionnelle. L’objectif de cette étude est l’évaluation de l'efficacité du SRI en vue de l’amélioration de la résilience du système de riziculture du Niger. Cette pratique a été comparée à celle de la riziculture conventionnelle à travers un essai en station. L'expérimentation a été conduite sur le périmètre irrigué de Sébéri dans un dispositif en blocs de Fisher à 4 répétitions. Les traitements retenus sont : SRI avec 5 t/ha de compost, SRI avec 10 t/ha de compost, et la pratique conventionnelle (témoin). Les émissions de GES, les populations de nématodes parasites et libres du sol ainsi que les composantes du rendement ont été déterminées. Les résultats montrent une réduction des émissions de GES de -2,43t CO2eq de méthane sur le SRI, comparativement à la pratique conventionnelle dont les émissions ont augmenté de 2,66t CO2eq. L’apport de compost de 5t/ha et 10t/ha a permis une gestion efficace des nématodes parasites exophytes et endophytes, de 4 à 10 individus/250 cm3 et de 7 individus respectivement. Une augmentation de nématodes libres de 8 à 12 individus ; celle du nombre de talles de 85 à 115% ; ainsi qu'une augmentation significative (p≤ 0,05) des rendements paddy de l'ordre de 71,83% à 76,57%. -
Les nématodes parasites du riz irrigué au Niger
Quatre genres de nématodes phytoparasites (Hirschmanniella, Tylenchorhynchus, Longidorus,Dorylaimus) ont été rencontrés sur le riz dans les quatre plus importants périmètres rizicoles de la zone du fleuve Niger. De fortes populations de Hirschmanniella oryzae ont été trouvées sur plusieurs parcelles où la croissance du riz était très faible. La densité de H. oryzae dans les racines des plants infectés dépasse 1000 individus par gramme de racine sèche sur la plupart des plantes affectées. Tylenchorhynchus sp. Et Longidorus sp. étaient aussi très répandues car trouvées respectivement dans 75 et 100 % des sites avec des fréquences toujours supérieures à 40 %. Les nématodes phytoparasites, spécialement H. oryzae, pourraient être considérés comme un facteur majeur affectant la croissance du riz dans les périmètres irrigués du Niger. -
La lutte contre les nématodes
Ce poster montre comment reconnaître et lutter contre les attaques de nématodes -
La lutte contre les pucerons
Ce poster montre comment reconnaître et éviter les attaques de pucerons -
Systèmes d'élevage et transferts de fertilité
La fumure animale est, dans la zone des savanes, la technique la plus fréquemment utilisée par les paysans pour maintenir la fertilité des champs permanents. La fonction fertilisante ainsi assurée par les herbivores domestiques met en jeu diverses fonctions physiologiques de l'animal : ingestion, digestion et excrétion, mais aussi mobilité. Dans la première partie de cette communication, les auteurs rappellent quelques grandes caractéristiques de la réalisation de ces fonctions biologiques en milieu tropical, en insistant sur les bilans organique, carboné et azoté de la digestion, ainsi que sur le cout énergétique de la mobilité animale. -
Guide d'animation en assainissement productif (version 1.0)
Ce guide est élaboré dans le souci de donner aux agents de développement que sont les animateurs / relais communautaire un outil assez précis visant à leur faciliter la tâche. L’animateur / relais communautaire doit retenir qu’il n’est pas un professeur ou un maître. Son rôle est d’aider à la réflexion. Il doit donc amener les groupes à :
Æ Identifier les questions qui sont importantes pour eux
Æ Décrire leurs problèmes
Æ Examiner / analyser les problèmes identifier
Æ Trouver des pistes de solutions -
Augmenter la production agricole des petits producteurs Tester l’Assainissement Productif (AP) à Aguié au Niger
Une “révolution jaune” est en cours dans le département d’Aguié au Niger! Des tests participatifs dans huit villages montrent l’effet de l’urine hygienisée (Takin Ruwa) comme engrais liquide dans la production agricole. Suite aux résultats de la saison de maraichage, la demande est élevée pour les urinoirs et les latrines qui facilitent la collecte de nouveaux fertilisants. Actuellement des tests sont en cours sur le sorgho et le mil. Les vulgarisateurs agricoles jouent un rôle clé dans le conduit des tests de démonstration et la formation sur l’application des urines dans les villages. -
Note sur le contrat de parcage
Le contrat de parcage/ fumure, appelé en Djaway en zarma, Dabbidji en peulh et saptché matchayi a gona en Haoussa est une pratique très ancestrale qui se fait de manière non formelle, il s’agit d’un échange de biens et services entre les éleveurs et les producteurs agricoles. Les éleveurs cèdent les déjections de leurs animaux aux agriculteurs sur lesquels ils laissent les animaux passés les nuits, en contrepartie les producteurs leurs apporte des vivres pendant la durée de leur séjour dans les champs. C’est une méthode de fertilisation du sol par les déjections des animaux, consistant à garder les animaux la nuit dans un parc mobile que l’on établit successivement sur la parcelle à enfumer. -
Un biofertilisant à base de Moringa Oleifera
Le biofertilisant à base de Moringa Oleifera favorise la
croissance des plants, renforce la résistance des cultures,
notamment face aux maladies et aux ravageurs. -
Le purin de Tithonia Diversifolia
La Tithonia Diversifolia (aussi appelée tournesol mexicain) est une plante herbacée ou arbustive aux fleurs jaunes, disponible dans de nombreux pays africains. Elle agit comme fertilisant après transformation sous forme de purin. -
Les ouvrages promus à AP-Aguié
Le volet technique du projet Assainissement Productif à Aguié (APA) s’appuie sur la construction des ouvrages permettant la collecte des urines et fèces humains. Cette collecte est faite avec des urinoirs et des latrines conçus pour faciliter l’hygiènisation (traitement) de
l’urine et fèces. Les ouvrages AP doivent aider à éliminer les pathogènes et garder les fertilisants. Les urinoirs et latrines AP sont ainsi des unités de production des fertilisants tout en protégeant la santé.