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Comment reconnaitre l'araignée rouge et ses symptômes
Les signes qui permettent de reconnaitre l'attaque de l'araignée rouge -
Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge. Document 5
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Lutte contre les acariens ravageurs des cultures maraîchères
Dans le cadre de la poursuite de la mise en œuvre de l’Initiative 3N « les nigériens nourrissent les nigériens » en vue d’atteindre l’objectif « faim zéro » d’ici 2021, un accent particulier est mis sur le développement des cultures irriguées. -
Rapport de mission sur le traitement phytosanitaire contre les acariens ravageurs des cultures au niveau de cinq (5) sites des départements de mirriah, takieta et matameye
A la suite des constats faits au niveau des sites de cultures irriguées à l’issue d’une mission de prospection et à partir des rapports mensuels des différents Directeurs Départementaux. Il est apparu une recrudescence des attaques des acariens sur beaucoup de cultures surtout les solanacées avec le tissage des toiles bloquant ainsi la photosynthèse. La lutte menée par les producteurs sur cet ennemi n’a jamais eu un résultat satisfaisant car, ils utilisent des insecticides pour lutter contre les acariens. Cette façon de faire favorise le développement de l’ennemi car le traitement élimine tous les auxiliaires qui le contrôlent -
Utilisation de quatre types de piégeage pour l’étude de la dynamique des populations de Tuta absoluta (Meyrick, 1917) (lepidoptera : gelechiidae)
La tomate représente un des légumes-fruits le plus cultivé et le plus recherché
(Laumonier, 1979). Cette espèce est originaire de l'Amérique de Sud, où sa domestication remonte
à plus de 5000 ans. La mondialisation de son développement sera significative à partir de la fin du
19ème siècle (Peron, 2006). Elle fut introduite en Algérie par les espagnoles au 17ème siècle, dans la
région d'Oran en 1905 puis elle s'est entendue vers le centre du pays (Benbadji, 1977).
La tomate, comme toutes autres solanacées, peut être attaquée par de nombreux
champignons, bactéries, virus, et ravageurs. Les pertes de récoltes dues à ces différents agents
pathogènes sont parfois très sévères. Parmi les ravageurs de la tomate, une nouvelle espèce invasive
a été signalée pour la première fois en 2007 en Algérie : il s'agit d'un insecte phytophage, Tuta
absoluta (Meyrick, 1917), connu sous le nom de la mineuse de la tomate. Cette espèce est un
microlépidoptère appartenant à la famille de Gelechiidae et originaire d'Amérique de sud. Elle est
inféodée aux plantes de la famille des solanacées (préférentiellement la tomate), mais aussi, sur
poivron, aubergine, pomme de terre, et les solanacées adventices comme morelles, datura, tabacs ...
ect (Koppert, 2008 -
L'acarien vert du manioc : Une autre menace pour la production de manioc au Niger
Lors d'une prospection sur les ravageurs du manioc dans la communauté urbaine de Niamey, nous avons constaté l'existence de l'acarien vert du manioc. Ce ravageur est reconnu comme des facteurs limitants les plus importants à la production du manioc en Afrique. Cette fiche est rédigée pour sensibiliser les acteurs de la filière manioc sur le danger qui plane sur cette culture, surtout en ces moments où l’État s’investit pleinement dans l'opération bouture de manioc qui augmente substantiellement les superficies emblavées : ce qui pourrait aider à augmenter le revenu des producteurs et à lutter contre l'insécurité alimentaire dans le pays.