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Carte des acteurs – PromAP Composante 1
Ce document présente les acteurs du PromAP par composantes. -
Mission de pré-identification - Programme d'appui aux acteurs non étatiques - 9ème FED - Etat des lieux des acteurs non étatiques au Niger
Ce rapport de mission présente une analyse des acteurs non étatiques (ANE) au Niger, afin de contribuer à l’identification d’un futur programme d’appui à ces acteurs. Ce programme devrait les renforcer, pour augmenter leurs capacités de contribuer à la lutte contre la pauvreté. -
Etude sur les possibilités de développer la culture du blé et du maïs dans la région d'Agadez - Communes de Tchirozérine, Dabaga et Agadez
Le défi du développement ou de l’intensification des cultures du blé et maïs dans le département de Tchirozérine pourrait être relevé à travers la mise en œuvre des priorités ci- après :
-Intensification de la production du blé et maïs à travers l’introduction des nouvelles variétés performantes,
-Structuration de la commercialisation du blé et du maïs par la création d’un pôle de commercialisation
-Soutien aux initiatives de transformation du blé et maïs -
Coopératives et valorisation des blés de qualité au Maroc (2007–2009)
Cette affiche porte sur la production et la valorisation du blé tendre de qualité au Maroc -
Utiliser le tabac pour lutter contre les mouches blanches ainsi que la rouille du haricot et du blé
Cet article porte sur la fabrication d'insecticide à base de Tabac contre les pucerons mineuses des feuilles, les charançons, la mouche blanche, les chenilles, la rouille du haricot et du blé -
Culture du blé dans la région d'Agadez
Cultivée dans la plupart des jardins en saison sèche froide, le blé est produit une seule fois dans l’année dans l’Aïr. Il a un cycle de 120 jours (4 mois). La période propice au premier semis du blé est généralement début novembre et il existe selon les dires des producteurs 4 périodes de semis au delà desquelles la culture devient impossible. -
Note sur la production de blé au niveau du périmètre irrigué de Djirataoua et du site de Madarounfa
Au Niger, les bassins de production de blé sont : les vallées de la région d’Agadez, le périmètre de Konni (Tahoua) et le périmètre de Djirataoua (Maradi). La production de blé est faible ; elle est de 4807 tonnes par an (FAO, 2018). Le blé est surtout cultivé avec des faibles superficies variant de 0,1 à 0,5ha par exploitation (AcSSA-Afrique Verte, 2011). Au niveau de la région de Maradi, le périmètre irrigué de Djirataoua et le site Maraicher ‘’Alkamomi’’ de Madarounfa sont des ‘’anciens’’ bassins de production de blé.
Cette note présente des informations sur les itinéraires techniques de production de blé collectées sur le périmètre irrigué de Djirataoua et le site Maraicher ‘’Alkamomi’’ de Madarounfa suite aux entretiens avec 11 producteurs et les comptes d’exploitation de 5 producteurs -
Rapport du voyage d’échange des acteurs de la pêche du Niger au Centre national de spécialisation de la pisciculture au Nigeria
Les Programmes de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO ou WAAPP en anglais) ont été mis en place par la CEDEAO avec l’appui de la Banque Mondiale. Ils concernent actuellement 13 pays de la CEDEAO dont le Niger et le Nigeria. Ils ont pour objectif d’augmenter la productivité des filières prioritaires de chaque pays en favorisant l’élaboration de technologies par la recherche, le transfert des technologies et de créer dans chaque pays un Centre national de spécialisation (CNS) sur une filière prioritaire avec vocation régionale. Aucun pays de la CEDEAO n’a les ressources suffisantes pour être performant sur toutes les chaînes de valeur, aussi dans le cadre de l’intégration régionale en matière d’agriculture, d’élevage et d’aquaculture, chaque pays peut se spécialiser sur un produit ou un groupe de produits et faire bénéficier les autres pays de ses résultats. -
Production de blé dans la région d'Agadez
Blé Agadez -
Fiche 3 : Composition et structuration des OIP
Le schéma organisationnel des acteurs impliqués dans les filières agricoles présente plusieurs types d’organisations. Si pour les organisations professionnelles que constituent les groupements, associations paysannes, coopératives, organisations de producteurs (OP) etc., le problème semble ne pas se poser en ce qui concerne la compréhension de leur composition parce qu’elles regroupent des acteurs d’une même fonction (regroupement horizontal) ; ce n’est pas le cas pour les organisations interprofessionnelles (OIP) dont le type de regroupement des acteurs est vertical. Qui peut être membre d’une OIP ? Comment sont identifiés les acteurs pouvant constituer une OIP ? De façon globale, cette fiche « Composition et structuration des OIP » vise à clarifier la question de la composition et de la structuration des OIP. Spécifiquement, elle mettra l’accent sur les catégories d’acteurs rencontrées dans les OIP, la structuration des OIP ainsi que les rôles et responsabilités des organes et des membres. -
Implication des éleveurs transhumants dans la gestion des terroirs
De plus en plus les programmes de développement rural sont basés sur une participation active de la part de la population au processus d'analyse jusqu'à l'exécution des activités. Néanmoins, les pasteurs mobiles ont souvent été ignorés et de plus en plus mis à l'écart par ces programmes visant le plus souvent la gestion des ressources naturelles par ses utilisateurs (Greil, 1995). La question posée par Marty (1993) "La gestion de terroirs : un outil d'exclusion ou de négociation ?" est prise en compte par PADATA (= Programme d'Appui au développement de Damagaram-Takaya) en incluant dès le début tous les groupes d'utilisateurs dans le processus d'organisation et d'analyse de la problématique. PADATA a opté pour une stratégie dite de "table ronde » : - afin d'intégrer tous les groupes partageant les mêmes ressources naturelles ; - et afin de préparer tous les groupes à des discussions et à des négociations sur un pied d'égalité. -
SUSTLIVES : Coordination et alignement avec DeSIRA et sur la planification et les priorités de l’Union Européenne
Le projet SUSTLIVES a délimité son champ d’intervention (à travers le choix des NUS et des sites) durant la première année et, sur cette base, durant la deuxième année il a, d’un côté, renforcé le dialogue stratégique entamé, notamment avec le CIRAD et le Roppa (Réseau des Organisations Paysannes et de Producteurs de l’Afrique de l’Ouest), et, de l’autre, approfondi la collaboration opérationnelle avec d’autres acteurs, comme le CGIAR (Consultative Group for International Agricultural Research) et l’Agence Espagnole de Coopération au Développement (AECID) dans le cadre d’initiatives déjà identifiées.