Recherche
7 items
-
Terres vertes
L’ONG TERRE VERTE intervient au Burkina Faso depuis 1989 à travers des associations inter-villages locales, dans la réalisation de périmètres bocagers (wégoubri en langue mooré), un concept nouveau d’aménagement rural mis au point par la Ferme pilote de Guiè dans les années 90 et maintenant repris dans d’autres fermes pilotes burkinabè. -
La Ferme de Guié : le laboratoire des paysans du Sahel
Depuis 25 ans, la ferme de Guié, à 60km au nord de Ouagadougou au Burkina Faso, expérimente des techniques pour refertiliser les terres du Sahel et ça marche ! A retrouver dans C'est pas du vent sur RFI : http://www.rfi.fr/emission/est-pas-vent/ -
Syntèse d'inventaires et de calcul de bilans hydriques de barrages et mares d'infiltration au Niger
Ce document constitue le rapport provisoire de l'étude.Après avoir donné dans la première partie un aperçu de la situation hydrographique et hydrogéologique -
L'aménagement d'un périmètre bocager au Sahel - Manuel technique
Un périmètre bocager (wégoubri en mooré) consiste en un regroupement de parcelles agricoles au sein d’un même site protégé de l’érosion et du bétail. Chaque paysan reçoit un lot de parcelles dont il devient propriétaire, l’ensemble des zones communes étant géré par un système de copropriété, au sein d’un groupement foncier formé par le rassemblement des différents propriétaires.
Un périmètre bocager consiste d’abord en la désignation d’une zone particulière destinée à la production agricole. Cette zone pourra alors être facilement défendue et valorisée, au travers de plusieurs aménagements, tels que haies protectrices, diguettes antiérosives, mares pour la récupération des eaux, etc... Au sein de ces périmètres protégés, chacun des paysans bénéficiaires possède plusieurs parcelles sur lesquelles il lui est possible de mettre en place une rotation culturale permettant de participer à un maintien durable de la fertilité du sol.
En regroupant les zones de culture sur une zone concentrée et pérenne, il devient cohérent et financièrement soutenable de protéger ce site contre les différentes menaces pesant sur l’agriculture. Cette sécurité dans la production est un préalable à une politique d’intensification durable de l’agriculture paysanne, visant à l’enrichissement des sols plutôt qu’à leur appauvrissement. -
WEBOUGRI, le bocage sahélien
Présentation du modèle agricole réalisé sur le périmètre bocager de la ferme de Guiè -
Barrage de Kandadji : Étude de faisabilité, rapport de synthèse
Le Ministère des Travaux Publics à l'origine, puis le Haut Commissariat du Barrage de Kandadji(HC/BK), ont été le maitre d'oeuvre de plusieurs études effectuées depuis 1976. Ces études ont prouvé de facon convaincante que le parcours nigérien du fleuve Niger, le site de Kandadji était sans conteste l'emplacement le mieux approprié à la construction d'un barrage. -
Dynamique actuelle impacts socio-économiques du barrage de Kassama dans la région de Zinder au Niger
L’objectif du présent travail est, d’une part, étudié le fonctionnement et le comportement hydrologique du barrage de Kassama et, d’autre part, les impacts socio-économiques de cette retenue. Dans la partie occidentale du Niger, les recherches portées sur le fonctionnement hydrodynamique de plusieurs bassin verssants ont conclu que l’augmentation du ruissellement (malgré la diminution des précipitations) [16] est générée par des modifications des états de surface du sol. Les champs de cultures ou les glacis en général sont le théatre de cette modification. Dans le secteur de Kassama, cette unité géomorphologique (glacis) couvre une superficie de 9 950 ha soit 55 % par rapport aux autres unités géomorphologiques. Les sols de cette unité sont constitués sur le matériau granitique où le ruissellement est important. De ce fait, les unités hydrogéomorphologiques du bassin versant de Kassama s’expliquent par la conjugaison des activités anthropiques et la nature du sol (en général nu) [17]. D’après l’analyse du paysage et les entretiens avec la population locale, les aménagements antiérosifs installés dans le cadre du barrage, ont joué un rôle significatif sur la dynamique hydro-érosive. Autrement dit, ces aménagements ont réduit la ménace d’ensabement du barrage.