Recherche
11 items
-
La culture fruitière sous les tropiques
Ce guide technique du CTA montre comment réussir une culture fruitière sous les tropiques -
Le Biochar – Une maison biologique pour les microbes du sol
Le biochar a reçu beaucoup d’intérêt à l’échelle internationale au cours des dernières années, en particulier à la lumière de la demande croissante en cultures alimentaires et en carburant, et des débats animés sur la façon de ralentir radicalement le changement climatique incontrôlé. -
La conduite d'un verger en agriculture biologique principes de base
Ce présent document porte sur la conduite d'un verger en agriculture biologique principes de base -
Intégration de l’arboriculture dans le maraîchage
L’arboriculture est une nouvelle pratique sur la majorité des sites maraichers de la commune de Malbaza. Le projet DryDev a introduit cette activité depuis 2016. Plusieurs espèces d’arbres fruitiers sont introduites au niveau des sites de Combi et Guiddan Idder. Le bananier, Papayer,
Goyavier, des arbres qui produisent dès la 1ère année, ne sont pas en compétition avec les légumes
et qui créent un microclimat utile dans l’environnement aride sahélien. Cette initiative de diversification et de culture en étage est une réussite au niveau du site Goumbi. -
Point sur les porte-greffes pour la plantation des agrumes au Niger
Au Niger, seulement deux variétés de porte-greffes adaptées au Sahel sont disponibles : le Bigaradier (Citrus aurantium), et le Volkameriana (Citrus limonia osbek). Ces deux espèces sont présentes depuis de nombreuses années. Elles peuvent être trouvées chez certains arboriculteurs qui utilisent leurs graines afin de produire des porte-greffes, sur lequel un greffon sélectionné sera ensuite ajouté. Il est également possible d’acheter des graines de ces porte-greffes. Chacune a ses caractéristiques. -
Manuel à l’usage des formateurs et des paysans - Les arbres - Pourquoi protéger les végétaux
Dans le cadre du Jardin Potager Africain crée par le Programme International pour les Cultures en Zones arides (IPALAC) ; l’intensification de la production des arbres fruitiers (manguiers, papayers, dattiers, agrumes et ziziphus (Pomme du Sahel), a pour but de mettre à la disposition des petits paysans des arbres sains, à haut rendements qui donneront des fruits de très bonne qualité.
L’institut International de Recherche sur les Cultures des Zones Tropicales Semi-Arides met beaucoup d’accent sur la protection des arbres fruitiers afin de mettre à la disposition des agents d’encadrement et des paysans un outil fiable pour le management des plantations. -
Visite de la ferme d’un promoteur à Balleyara : Particularité du site arboriculture et aliment bétail
Dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif du Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA) dans les régions d’intervention du PromAP, l’approche « visite terrain » a été privilégiée, afin de permettre l’adéquation des services fournis avec les réalités du terrain. Des visites sont réalisées dans les départements de Say et de Ballayara (zones prisées par les promoteurs et représentant un pourcentage important des investissements de type agrobusiness, par une équipe de la Chambre Régionale d’Agriculture de Tillabéri et du RECA, composée de responsables du conseil agricole, du Centre d’Appels, et du chargé du CIAPA. Ces visites ont pour but de mettre en lumière les expériences existantes au Niger en matière d’irrigation et de techniques de production innovantes, mais également les besoins pouvant être exprimés par les producteurs afin de mieux cerner leurs attentes. Les visites ont été centrées autour des promoteurs possédant un ou plusieurs systèmes techniques innovants au sein de leur exploitation : utilisation de serres, réseau d’irrigation goutte à goutte ou Hadari avec ou sans réservoir d’eau (château d’eau, bassin de stockage d’eau, ou réseau d’irrigation direct sans retenue d’eau), système californien adapté… -
Effet comparé de la fertilisation à base de biochar, engrais organique et engrais chimique sur les éléments minéraux et la production de l’oignon (Allium cepa L.)
Le biochar tient son nom du terme « bio » en référence à des résidus organiques et « char » pour charbon. En effet, ce fertilisant est une autre forme d’engrais organique qui contient des éléments minéraux nécessaires pour l’enrichissement du sol. Il est produit à partir des résidus des cultures, de biomasse, des mauvaises herbes, des déjections animales ou de forêt (bois) à travers une méthode de pyrolyse. Afin de le différencier du charbon de bois, la définition adoptée par International Biochar Initiative (IBI) spécifie que, la finalité de cette substance est son utilisation en tant qu’amendement pour les sols (Sohi et al., 2010). Le biochar est un matériel qui se présente sous forme de fragments noirs, légers, poreux, sec et facile à transporter. -
L'arboriculture fruitière au Niger
Ce diaporama présente différentes espèces végétales cultivées au Niger -
Module de formation des animateurs /PADL/DA en technique de maraichage et arboriculture
La formation agricole représente un grand enjeux pour beaucoup de programme et projet censé accompagner les producteurs. Ce module, après avoir défini quelques termes utilisés en vulgarisation se penche ensuite sur les techniques pour mener à bien une démonstration en formation agricole au profit des producteurs maraichers et pépiniéristes. -
Le biochar : une pratique pour augmenter la qualité des sols et leur productivité face aux changements climatiques
Le biochar ou « bio-charcoal » est un charbon obtenu artificiellement, d’origine biologique. Composé à plus de 60 % de carbone, le biochar s’obtient par pyrolyse1 ou carbonisation (avec peu ou pas d’oxygène) de matières organiques diverses (résidus agricoles, fumier, résidus d’exploitation forestière, etc.). Sa composition n’est pas précisément définie car elle dépend de la nature de la biomasse utilisée et du processus de pyrolyse. Cette pratique ne doit pas être confondue avec le charbon de bois.