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Association canne à sucre au maïs en système irrigué
La canne à sucre et le maïs sont deux des plus importantes cultures irriguées du Département de Gaya au Niger. Les productions de ces cultures fluctuaient entre 120 à 160 mille tonnes pour la canne à sucre et 2 à 3 mille tonnes pour le maïs. Dans le Dallol Maouri, les méthodes culturales observées sont très variables. -
Les bonnes associations au jardin
Un formateur en environnement présente des exemples d'associations végétales utiles en maraîchage. -
Association culturale
Note sur les associations culturales -
Intégration de l'irrigation et de l'aquaculture en Afrique de l'Ouest : concepts, pratiques et perspectives d’avenir
Le présent volume contient les documents de référence et les exposés présentés à l’occasion de l’Atelier FAO-ADRAO sur l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA), tenu à Bamako, au Mali, du 4 au 7 novembre 2003, ainsi que les résultats des missions des experts de la FAO sur l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA) dans la région de l’Afrique de l’Ouest. La logique qui sous-tend le développement de l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA) est le fait qu’elle offre des possibilités pour accroître la productivité des ressources peu abondantes en eau douce, pour améliorer la sécurité alimentaire et la
réduction de la pauvreté, et pour réduire la pression sur les ressources naturelles, en particulier dans les pays de l’Afrique de l’Ouest prédisposés à la sécheresse. -
Association de plantes
Cette fiche technique montre comment et pourquoi réaliser des associations de cultures -
Les associations de plantes
En milieu naturel, les interactions entre les plantes sont omniprésentes, notamment par les sécrétions racinaires ou encore par l’émission de signaux olfactifs. Elles modifient alors leur environnement, les unes favorisant la croissance des autres ou à l’inverse, inhibant leur développement. Au jardin, des influences entre légumes sont également observables. Il faut alors veiller à favoriser les associations positives et éviter les négatives. Par exemple, associer des radis aux laitues évite la montée en graines
de ces dernières. Ces associations, issues d’expériences observées localement en Guyane et à Macapa, ont une multitude d’effets dont voici un panel non exhaustif -
Aquaculture : Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) – guide de l’animateur
Ce Guide de l’animateur sur l’aquaculture complète d’autres guides d’animation existants des stages pratiques et écoles de terrain pour jeunes agriculteurs (JFFLS) que vous pouvez trouver sur le site de la FAO : www.fao-ilo.org/?id=20904. Il est le fruit d’un travail conjoint de trois divisions de la FAO : le Département pêche et aquaculture, le Département économique et social et le Département de la gestion des ressources naturelles et de l’environnement -
La question de l’après récolte dans la pêche et l’aquaculture. Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour Jeunes (JFFLS) - Guide de l’animateur
La récolte du poisson (sauvage ou d’élevage) est le point de départ de toute une chaîne d’activités. La chaîne d’approvisionnement du poisson débute sur le lieu de pêche, en mer, dans les eaux intérieures ou sur le site d’aquaculture et se termine avec le consommateur local ou international. La chaîne d’approvisionnement associe un réseau de collecteurs, détaillants, distributeurs, transporteurs, lieux de stockage et fournisseurs qui travaillent tous ensemble pour produire, livrer et vendre le produit au consommateur. -
Contribution à la connaissance de la reproduction de quelques espèces d'intérêt halieutique dans le delta central du Niger
Des études bio-écologiques axées sur la reproduction des poissons ont été entreprises sur les principales espèces présentant un intérêt halieutique dans le Delta Central du Niger. Il s'agit de comprendre les caractéristiques du renouvellement des stocks dans cette région, soumise à des aléas climatiques, un effort de pêche élevé et sollicitée par de nombreux aménagements hydro-agricoles. -
Reproduction artisanale des silures
Les poissons du genre Clarias sont des poissons à peau nue dont le régime alimentaire est qualifié d’omnivore à tendance vorace ; cela signifie qu’ils mangent de tout mais, pour grandir, ils ont besoin de beaucoup de protéines qu’ils trouvent en consommant des petits poissons (tous ceux qui passent à sa portée et qui sont plus petits que la largeur de sa bouche). Le Clarias est doté d’un système de respiration aérienne qui lui permet de survivre dans des eaux très pauvres en oxygène. Il résiste bien aux manipulations. Toutes ces caractéristiques font de lui le compagnon d’élevage idéal des Tilapias car il débarrasse l’étang exploité en polyculture Tilapia - Clarias des alevins excédentaires indésirables. -
L'amélioration du rendement du mil par l'association avec le niébé en zone sahélienne
Au Niger, la production agricole est essentiellement basée sur l’association et la rotation céréales/légumineuses avec des rendements généralement faibles. Afin d’améliorer ces rendements, les effets de densités de semis et de génotypes de niébé en association avec le mil ont été étudiés en 2014 et 2015 en zone sahélienne du Niger. Le dispositif expérimental est un split plot à trois répétitions. Les génotypes de niébé étaient en grandes parcelles, et les deux densités de semis (1 :1 et 1 :2, mil et niébé) en petites parcelles. Par ailleurs, quatre parcelles de mil pur cultivées au cours des deux années ont été utilisées comme témoin. L’analyse de variance révèle que pour le niébé, le rendement en biomasse, en graines, le poids de cent graines et l’indice de récolte en graines ont été significativement affectés par les génotypes pendant les deux années. -
Effet combiné de la disposition et du niveau de coupe des plants de Moringa oleifera sur le rendement en fruits de l’aubergine
L’association de l’espèce ligneuse Moringa oleifera et des cultures maraîchères est devenue une forme d’utilisation des terres permettant aux exploitants de faire un usage judicieux des terres surexploitées. Aussi, parmi les cultures associées au M. oleifera figure aujourd’hui Solanum melongena (aubergine). Cette étude a pour objectif de passer en revue l’effet combiné des facteurs disposition et niveau de coupe des plants de M. oleifera sur les rendements en fruits de S. melongena. Ces facteurs comprennent respectivement trois et deux niveaux. Ainsi six (6) traitements A1B1, A1B2, A2B1, A2B2, A3B1 et A3B2 et un traitement témoin (T) ont été utilisés. -
Fixation de l'azote chez l'arachide et le niébé en condition de sécheresse pour l'amélioration de la productivité au Sahel
L'identification des variétés d'arachide et niébé tolérantes à la sécheresse et bonne fixatrices d'azote augmenterait leurs productions et celles des céréales associées ou en rotation. Des variétés d'arachide et de niébé ont été évaluées, au champ et en pots, en condition de sècheresse ont réduit la plupart des paramètres étudiés , dont notamment le nombre nodules (40%) et le poids des gousses (30%). -
Effets de dix (10) variétés de sésame (Sesamum indicum (L.)) en association avec le Niébé (Vigna unguiculata (L.) Walp) dans la lutte contre Striga Gesnerioïdes (Willd.) Vatke. au Niger
Striga gesnerioïdes est une plante parasite qui cause des dégâts importants sur le niébé et les méthodes de lutte testées restent insatisfaisantes. L’étude vise à mettre au point, une référence de technique d’association sésame-niébé pour contribuer à lutter efficacement contre Striga gesnerioïdes. À cet effet, un dispositif en Split-Plot est utilisé sur un terrain naturellement infesté par Striga gesnerioïdes. Trois comptages à des périodes différentes (42, 56 et 70 jours après semis) du nombre de plants de Striga gesnerioïdes émergés par poquet de niébé ont été réalisés. -
Intégration Maraichage Pisciculture (IMP)
L’accès à une alimentation diversifiée à tout moment, basée sur la disponibilité et l’accessibilité des denrées alimentaires pour les ménages, est un droit universel pour tous. Cette alimentation nécessite une combinaison de trois catégories d’aliments dans l’assiette : les aliments de fonctionnements (légumes, feuilles et fruits), de croissances (noix, graines, légumineuses et protéines animales) et de forces (céréales, racines, tubercules, huiles et graisses). Cependant, nombreuses sont encore les personnes pour qui cette combinaison d’aliment n’est pas aisé toute l’année, notamment en saison sèche ou les denrées alimentaires se font rares et le manque de moyens ne permet pas d’y avoir facilement accès. -
Les bonnes associations de plantes et celles à éviter
Les producteurs ont souvent mal associé les cultures. Cette pratique à des impacts négatifs sur le rendement. Cette affiche vient élucider les producteurs sur les bonnes associations de plantes et celles à éviter. -
Loi n° 2021-003 portant régime de la Pêche et de l'Aquaculture au Niger
La présente loi transpose Ia directive n° 03/2014/CM/UEMOA instituant un régime commun de suivi, contrôle et de surveillance des pêches au sein de l'UEMOA et la directive n° 04/2014/CM/UEMOA, portant régime commun de gestion durable des ressources halieutiques dans les États membres de l’UEMOA et complète les spécificités nationales. Elle fixe également le cadre juridique de gestion durable et concertée des ressources halieutiques et de la valorisation des produits halieutiques. -
Loi n° 2023-17 modifiant et complétant la loi n° 2021-003 du 16 mars 2021, portant régime de la pêche et de l'aquaculture au Niger
Cette LOI n° 2023-17 du 15 mai 2023 modifie et complète la loi n° 2021003 du 16 mars 2021, portant régime de la pêche et de l'aquaculture au Niger.
Lien de la loi du 16 mars 2021 sur DUDDAL : https://duddal.org/s/bibnum-promap/item/14288 -
Le haricot mungo, Vigna radiata (L.), une alternative à l’association sorgho-niébé pour la diversification des cultures en conditions soudano-sahéliennes ?
La diversification des cultures est un des leviers qui pourraient contribuer à stabiliser, voire améliorer, les rendements dans les régions soudano-sahéliennes contraintes par des conditions climatiques semi-arides et des sols très faiblement fertiles. Elle peut permettre aussi d’atténuer les risques liés aux marchés. Cette diversification peut être mise en œuvre par la pratique des associations et des rotations ainsi que par l’enrichissement de celles-ci avec de nouvelles espèces. Pendant trois années d’expérimentation, nous avons comparé sept espèces, dont quatre légumineuses y compris le haricot mungo, cultivées seules ou en association avec le sorgho. Le haricot mungo est apparu comme une espèce très bien adaptée aux conditions semi-arides du Burkina Faso. Parmi les sept espèces testées, c’est celle qui a produit le plus de grains, entre 0,8 et 1,8 t ha 1 en culture pure et entre 0,35 et 0.9 t ha 1 en association avec le sorgho. Nos résultats confirment aussi le gain de rendement de la culture de sorgho associée avec les légumineuses par rapport à la culture pure. Vingt-cinq producteurs du centre nord du Burkina Faso ont testé le haricot mungo dans leurs parcelles et apprécié sa productivité et sa rusticité. Ils ont obtenu un rendement moyen de 0,7 t ha. Toutefois, l’absence de marché, par comparaison au niébé, reste un frein à sa diffusion.