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Production de l'ail en irrigué
Cette fiche présente l'itinéraire technique de la production de l' ail ; elles explique les dispositions à prendre pour réussir la production de l’ail en culture irriguée
selon Mr Assoumana Moussaproducteur du village de Dara, commune de Tamaské, département de Keita. -
# Dossier photographique : Attaque de puceron (Aphis fabae), un piqueur suceur, sur l'ail à Abarakan.
Attaque du puceron (Aphis fabae), un piqueur suceur, sur l'ail à Abarakan. Le puceron noir de la fève est une espèce de petits insectes de l'ordre des hémiptères, de la famille des aphididés, qui parasite de nombreuses plantes cultivées. Ses dégâts sont souvent aggravés par la production de fumagine due au miellat sécrété par les pucerons -
Production de l’ail sous irrigation
La culture associée de l’ail en irrigué est une innovation endogène initiée en 2002 par Mr Assoumana Moussa. Il est natif du village de Dara, commune de Tamaské, département de Keita. Il est âgé de 47 ans, scolarisé jusqu’en classe de 4ème. L’innovation rentre dans le cadre de la diversification des cultures et de l’amélioration des revenus des ménages -
Les micro-jardins du Sénégal
Les micro-jardins sont de petits jardins adaptés aux villes et en particulier aux quartiers avec une haute densité de population sans espace autour des habitations. Les micro-jardins permettent aux familles à faibles revenus de produire à la maison des légumes et divers condiments pour enrichir le repas en vitamines et oligoéléments essentiels pour la santé. La technologie des micro-jardins est simple et peu coûteuse et tout le monde peut cultiver les micro-jardins car ils ne requièrent que peu d’efforts physiques. -
Agriculture urbaine et périurbaine, une activité créatrice de revenu : le maraîchage de Niamey
Cet article tente de montrer que l’agriculture urbaine et périurbaine peut répondre la pauvreté dans la ville de Niamey. Il montrera aussi que l’activité maraîchère de Niamey ne demande pas de gros moyens financiers. Cette étude a été réalisée à partir d’un guide d’entretien qui a été adressé à 30 producteurs de trois localités (gounti yéna, saga, et la corniche Kamkalley). Les données quantités recueillies entre 2010 et 2012) ont été complétées par celles qui sont secondaires provenant du Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC), de l’Institut National de la Statistique (INS) et de la Direction Générale de la Statistique Agricole (DGSA). -
Manuel de culture de l' ail
C’est une plante vivace de la famille des Liliacées -Légume bulbeux. 10 têtes d'ail pèsent en moyenne un demi-kilo (500 gr). Chacune se compose d'une dizaine de caïeux bons à planter. Il faut prévoir une cinquantaine de caïeux, soit 5 têtes d'ail, afin de planter un mètre carré (1 m2). Le cycle de la culture d'ail est d'environ 5 mois. La durée varie en fonction de la date de plantation et des conditions climatiques. -
Les pratiques agroécologiques dans les exploitations agricoles urbaines et périurbaines pour la sécurité alimentaire des villes d'Afrique subsaharienne
L’agriculture maraîchère urbaine et périurbaine peut cependant offrir plusieurs bénéfices importants pour les citoyens et la gestion écologiques des villes. Elle participe d’une part à l’approvisionnement en aliments frais localement produits pour les citoyens urbains de diverses classes sociales. Elle a des impacts positifs sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle ainsi que sur les conditions économiques des ménages à faible revenu. La proximité des marchés et des services urbains offrent aussi des avantages intéressants pour les producteurs qui peuvent écouler leur marchandise hautement périssable sur les marchés urbains et s’approvisionner en intrants dans les commerces et les industries urbaines. -
Impact de l’urbanisation sur les terres maraichères de
l’Arrondissement Communal Niamey VLe maraichage joue un rôle important dans la croissance économique du Niger. Il permet de lutter contre l’insécurité alimentaire et constitue une importante source de revenus pour les producteurs maraichers de l’arrondissement communal Niamey V. Cependant cette activité pratiquée à Niamey diminue de plus en plus à cause de la croissance démographique de la population et de l’urbanisation. Ce travail a consisté à évaluer la contribution des cultures maraichères dans la sécurité alimentaire et la croissance économique de la population de la commune Niamey V. Notre population cible a été les producteurs maraichers de l’arrondissement communal Niamey V. Un sondage a été effectué sur les producteurs en vue de connaitre les impacts de l’urbanisation sur les terres maraîchères de l’arrondissement communal Niamey V. Ainsi, 100 maraichers ont été interrogés dont 20 au niveau de chaque village enquêté. Enfin les résultats obtenus montrent que le maraichage contribue positivement dans la sécurité alimentaire de la population de ces villages mais l’urbanisation impacte négativement les terres maraîchères à travers leurs diminutions car les dispositions réglementaires du Code Rural sur l’occupation du sol ne sont pas suffisamment appliquées.