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CG Space (bibliothèque du CGIAR)
Bibliothèque virtuelle mutualisée du CGIAR -
Bibliothèque virtuelle du CILSS
Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) a été créé le 12 septembre 1973 à la suite des grandes sécheresses qui ont frappé le Sahel dans les années 70. Il regroupe de nos jours treize(13) Etats membres dont : 8 Etats côtiers (Bénin, Côte d’Ivoire, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Mauritanie, Sénégal, Togo) ; 4 Etats enclavés (Burkina Faso, Mali, Niger, Tchad) et 1 Etat insulaire (Cap Vert).
Au plan organisationnel, le CILSS est structuré en trois (03) entités établies sur leurs sites respectifs, à savoir le Secrétariat Exécutif basé à Ouagadougou, l’Institut du Sahel à Bamako et le Centre Régional AGRHYMET à Niamey.
Le Secrétariat Exécutif héberge un Centre de Documentation ouvert depuis 1976. Il met à la disposition du grand public des outils de recherche d’information scientifique dans les domaines de la lutte contre la sécheresse et la désertification, la gestion des ressources naturelles, la sécurité alimentaire et la maîtrise de l’eau. Ce centre à pour mission de collecter, traiter et organiser une documentation variée se rapportant aux domaines couverts par le mandat du CILSS. Il a aussi pour mission de diffuser les travaux de recherche, les études, les publications et toute documentation sur le Sahel en général et le CILSS en particulier.
Le fonds documentaire de ce centre est estimé à environ 7000 unités d’information. Plus de 6000 références sont contenues dans la base de données documentaire et comprennent généralement des monographies, des thèses et mémoires, des rapports et études, des comptes rendus de réunions, d’ateliers et des publications du CILSS et du Club du Sahel.
Le Site du Centre de Documentation héberge en outre plus de 4000 publications scientifiques et techniques.
La majorité des documents de ce fonds a été numérisé et peut être accessible sur cette base de données. -
Centre Technique Agricole (CTA)
La mission du CTA est de faire avancer la sécurité alimentaire, la résilience et la croissance économique inclusive en Afrique, dans les Caraïbes et dans le Pacifique par le biais d’innovations dans l’agriculture durable.
La vision du CTA est de faire de l’agriculture de petite échelle une activité dynamique, moderne et durable qui crée de la valeur pour les producteurs, les entrepreneurs, les jeunes et les femmes, et qui produit une nourriture abordable, nutritive et saine pour tous. -
Point sur le dispositif e-Extension Informations et conseils agricoles aux producteurs
(+) Le Smartphone et WhatsApp ont entrainé une véritable « révolution » pour le conseil agricole à distance tant pour les conseillers que pour les producteurs. Ils permettent au Dispositif e-Extension d’être en liaison directe et permanente avec des centaines de producteurs, de conseillers agricoles et de sites de production. Cette année, les producteurs, membres des groupes WhatsApp mis en place par le dispositif e-Extension, se sont réellement appropriés ces outils pour des échanges directs et un conseil de producteur à producteur. -
Agriculture numérique : le Sénégal montre l’exemple
Des paysans plantent de l’artemisia à Tivaouane, au Sénégal -
Guide pour la création de villages intelligents : Le modèle du Niger
Le présent guide explique, étape par étape, comment procéder pour mettre en place, gérer et diriger un projet de village intelligent au service du développement durable. Dans un monde où près de 80% des personnes vivant dans l'extrême pauvreté vivent en zone rurale où ils dépendent pour la plupart de l'agriculture, il est désormais essentiel de se concentrer sur les villages ruraux pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD)1 des Nations Unies grâce à la transformation numérique. Le niveau élevé de la pauvreté, des revenus bas, une infrastructure défectueuse et l'absence de connectivité à l'Internet comptent parmi les plus grandes difficultés auxquelles se heurtent les habitants des zones rurales partout dans le monde. Fin 2018, l'UIT confirmait que 49% des habitants de la planète n'ont pas accès à l'Internet. Il s'agit pour la plupart de personnes vivant dans un pays comptant parmi les moins développés et dans des zones rurales. -
Interview du DG de l'ANSI sur la bibliothèque numérique DUDDAL
Cette interview replace la bibliothèque numérique Duddal dans le contexte de l'initiative Niger 2.0 - Villages intelligents -
Interview du DG de l'APCA
Cette interview replace la bibliothèque numérique Duddal dans le contexte de l'Agence de Promotion du Conseil Agricole (APCA) -
Interview du SE du RECA
Cette interview replace la bibliothèque numérique Duddal dans le contexte du Réseau national des Chambres d'Agriculture du Niger (RECA) -
Interview du SGA du Ministère de l'Agriculture et de l'Elevage
Cette interview replace la bibliothèque numérique Duddal dans le contexte de la stratégie du Ministère de l'Agriculture et de l'Elevage -
kakemono de présentation de duddal 2/2
Ce kakemono fait partie du kit de communication sur la bibliothèque numérique duddal -
Plaquette de présentation de duddal
Cette plaquette fait partie du kit de communication sur la bibliothèque numérique duddal -
Kakemono de présentation de duddal 1/2
Ce kakemono fait partie du kit de communication sur la bibliothèque numérique duddal -
Rapport annuel du programme E-Extension - Année 2020
Dans le cadre du Projet d’appui à l’agriculture sensible aux risques climatiques (PASEC), le Réseau National des Chambres d’Agriculture du Niger et les Chambres Régionales d’Agriculture du Niger ont été chargés de développer un dispositif e-Extension d’informations et de conseils agricoles en direction des producteurs et productrices. Ce programme a démarré en septembre 2017 avec la mise en place du Centre d’Appels pour un conseil agricole. Ce rapport présente les activités et les résultats de la troisième année du programme. -
Manuel visuel des bonnes pratiques apicoles à l’usage des petits apiculteurs d’Afrique
La présente publication est un manuel visuel et pratique sur l’apiculture durable destiné aux petits apiculteurs des régions rurales d’Afrique. Elle a été conçue pour servir de guide de formation sur l’apiculture et a vocation à devenir un document de référence sur les bonnes pratiques apicoles élémentaires à l’usage des petits apiculteurs. Son objectif consiste à transmettre aux producteurs de miel les connaissances nécessaires pour élever des abeilles, mais également produire et récolter du miel de façon durable. Ce manuel ne prétend pas être exhaustif; il est volontairement concis afin de livrer aux petits apiculteurs d’Afrique les informations les plus fondamentales et les plus utiles sur l’apiculture. Il ne donne donc pas d’informations détaillées sur les activités postérieures à la récolte, qui doivent idéalement être réalisées dans un bâtiment spécifique (miellerie). -
Analyse de la performance des chaines de valeur miel au Bénin
La présente étude porte sur l’apiculture, une activité de grand intérêt aux plans économique et environnemental. L’apiculture constitue une source importante de revenus et d’emplois pour de nombreux producteurs en Afrique au Sud du Sahara (Carroll et Kinsella, 2013; Iritie et al., 2014) et contribue à réduire la pression humaine sur les forêts. Elle entretient aussi des colonies d’agents pollinisateurs, utiles à la flore et aux cultures agricoles (Paterson, 2008; Champetier et al., 2012; Yédomonhan et al., 2012) . Au Bénin, l’apiculture est une activité génératrice de revenus (Yédomonhan et al., 2009; Paraïso, 2015). Elle génère divers produits tels que le miel, la cire, le pollen, la propolis, la gelée royale, le venin d’abeilles, etc. dont l’utilisation aussi bien en alimentation qu’en thérapeutique est établie. Les utilisations variées de ces produits par l’homme assurent un bon marché et représentent un revenu d’appoint pour l’apiculteur (Iritie et al., 2014). En dépit de ses potentialités économiques et des services écosystémiques qu’offre l’apiculture, elle bénéficie de peu d’attention dans les stratégies et politiques de développement rural (Paraïso et al., 2012). -
Étude sur l’amélioration de l’inclusion économique dans les filières agricoles en Afrique sub-saharienne : analyse des dispositifs publics/privés de mise à disposition d’informations pour les agents économiques des zones rurales
La présente étude répond donc à la nécessité de mieux orienter l’intervention publique en matière de mise à disposition d’informations à destination des acteurs économiques du monde rural d’ASS. Il s’agit donc de formuler un ensemble de recommandations basées sur un inventaire et une analyse des dispositifs publics et privés les plus significatifs sur le continent. -
Rapport sur la numérisation de l'agriculture africaine : 2018-2019
Ce rapport montre que la D4Ag est un secteur certes naissant mais qu’elle suscite de plus en plus d’intérêt. Toutefois, sans politiques et investissements appropriés, c’est un développement fragmenté, non durable et non inclusif qui menace. Pour saisir cette occasion, nous devons veiller à ce que le développement soit coordonné, que les meilleures pratiques soient diffusées et qu’une approche collaborative, axée sur l’utilisation accrue des solutions par les agriculteurs, soit adoptée pour déployer l’innovation numérique à plus grande échelle. -
Les agriculteurs à l'ère du numérique
Dans les pays ACP, les femmes qui essaient de développer des agroentreprises prospères se heurtent à d’importants obstacles : accès au marché, aux informations sur le marché, aux services financiers et autres… Souvent, elles ne possèdent pas les compétences techniques, de management et de leadership nécessaires à la gestion d’une entreprise dans la durée. L’autonomisation des femmes, qui doit leur donner les moyens de surmonter ces difficultés, ainsi que la promotion de l’entrepreneuriat et de l’emploi des jeunes sont donc des volets clés du travail du CTA. Et les TIC peuvent ici réellement changer la donne en créant un environnement propice aux femmes et aux jeunes et à leur autonomisation. -
L'apiculture en Afrique : les pays du nord, de l'est, du nord-est et de l'ouest du continent
C'est une présentation de l'apiculture des pays de quelques régions d'Afrique: Afrique du Nord (Algérie, Égypte, Libye, Maroc, Tunisie), de l'Est (Kenya, Tanzanie, Ouganda), du Nord-Est (Djibouti, Éthiopie, Somalie, Soudan) et de l'Ouest (Bénin, Burkina, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Côte-d'Ivoire, Liberia, Mali, Niger, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone, Togo). La revue concernant ces 26 pays porte sur les races d'abeilles mellifères, y compris les races africaines, les plantes mellifères, la production de miel et d'autres produits de la ruche, les prédateurs et les maladies des abeilles mellifères, la chasse au miel, l'apiculture traditionnelle avec des ruches traditionnelles, l'apiculture moderne qui emploie des ruches modernes. On présente également des données sur l'histoire de l'apiculture, les activités de recherche et les pionniers de la recherche apicole dans ces pays, à l'exception toutefois du Mali, du Niger et de Sierra Leone. Les recherches les plus nombreuses ont été conduites en Égypte, en Tanzanie, en Éthiopie, au Nigeria et au Sénégal. Les projets, les associations professionnelles, les stages de formation, les publications spécialisées, les séminaires, ateliers et conférences organisés dans ces pays sont également cités. L'apiculture de ces pays africains réclame pour son développement plus d'organisation, de coopération, de modernisation, de formation, d'extension et de recherches. -
Identification des approches TICs appropriées pour le renforcement de capacités des acteurs de la formation et du conseil en petite irrigation dans le contexte spécifique de la République du Niger - Rapport Final
Ce ne sont pas nécessairement les technologies les plus récentes et les plus avancées qui sont les plus appropriées vis-à-vis des objectifs poursuivis par le projet. L'accent doit être mis sur le développement de systèmes techniquement robustes et viables sur le plan financier. Le développement de solutions TIC doit également être centré sur les futurs utilisateurs et leurs besoins. La réalité des capacités techniques, financières des bénéficiaires et leur volonté d’adopter des solutions TIC doivent être pris en compte dans la conception de solutions appropriées -
Outils des technologies de l’information et de la communication
(TIC) en appui à la petite irrigation (PI) en Niger.Ce diaporama liste un ensemble d'applications utilisables pour le développement de l'agriculture numérique au Niger -
Restitution de la mission "Identification des approches TICs appropriées pour le renforcement de capacités des acteurs de la formation et du conseil en petite irrigation dans le contexte spécifique de la République du Niger"
Ce diaporama restitue les conclusions de l'étude sur l'identification de solutions TIC appropriées pour soutenir la formation des acteurs de la petite irrigation au Niger -
Services « groupés » à base de mobile : le programme Agri-Fin Mobile
Le programme Agri-Fin Mobile de Mercy Corps fournit un « bouquet » de services financiers et de conseil rural en plus d’informations de marché aux petits producteurs par le biais de leur téléphone portable. Grâce à cette approche, le programme rapproche les différents acteurs y compris les banques, les opérateurs du réseau mobile, les groupements de petits producteurs, les prestataires de services de conseil rural et les gestionnaires de contenu et d’hébergement de plateforme afin de construire une suite complète de services qui répondent à tous les problèmes auxquels se heurtent les agriculteurs. En utilisant une nouvelle stratégie du nom de services groupés, le programme allie des produits et services pour fournir une offre combinée unique sur le téléphone portable. -
Téléphones mobiles pour des services de conseil rural
Durant les dernières décennies, les technologies de l’information et de la communication (TIC) ont offert des possibilités immenses pour le développement socio-économique des populations rurales, certaines avec plus de succès que d’autres. La téléphonie mobile fait partie des technologies qui se sont considérablement développées ces dernières années ; les taux d’abonnement dans les pays en développement sont passés de 22 pour 100 habitants en 2005 à 91,8 pour 100 en 2015. La technologie mobile transcende les obstacles géographiques, socio-économiques et culturels. -
Etude de marché et stratégie de marketing de la filière miel au Niger (Régions de Tillabéy et Niamey)
Au Niger l’apiculture existe, mais elle reste encore très largement traditionnelle et n’intéresse que quelques régions du Sud et du Sud - Ouest du pays. En termes statistiques en 2014, environ 27000 litres de miel ont été produits au Niger dont 3643 litres provenant des zones de Torodi, Makalondi et Tamou (Ibrahim Madougou, 2014). Selon le Projet NIGLEM en 2018, toujours au niveau de ces zones, la production est de 46.638 litres, ce qui dépasse de loin les données de 2014 avec un apport financier d’environ 140 millions de FCFA pour le miel filtré et vendu.