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Le Biochar – Une maison biologique pour les microbes du sol
Le biochar a reçu beaucoup d’intérêt à l’échelle internationale au cours des dernières années, en particulier à la lumière de la demande croissante en cultures alimentaires et en carburant, et des débats animés sur la façon de ralentir radicalement le changement climatique incontrôlé. -
Rapport final: Projet de réhabilitation des abattoirs frigorifiques de Maradi, Zinder et Tahoua
Pour rendre opérationnelle et atteindre les objectifs de développement durable le Niger a élaboré plusieurs politique et programmes sectoriels de développement -
Projet de développement de l'élevage dans la zone du Liptako Gourma -
Analyse diagnostique et situation de référence - composante C : commercialisationL'aménagement des marchés à bétail est un élément important pour la maitrise et la revalorisation de l'apport du secteur de l'élevage à l'économie de la région et du pays tout entier. Le commerce traditionnel du bétail sur pieds doit aujourd'hui évoluer et devenir plus formel. -
Effet comparé de la fertilisation à base de biochar, engrais organique et engrais chimique sur les éléments minéraux et la production de l’oignon (Allium cepa L.)
Le biochar tient son nom du terme « bio » en référence à des résidus organiques et « char » pour charbon. En effet, ce fertilisant est une autre forme d’engrais organique qui contient des éléments minéraux nécessaires pour l’enrichissement du sol. Il est produit à partir des résidus des cultures, de biomasse, des mauvaises herbes, des déjections animales ou de forêt (bois) à travers une méthode de pyrolyse. Afin de le différencier du charbon de bois, la définition adoptée par International Biochar Initiative (IBI) spécifie que, la finalité de cette substance est son utilisation en tant qu’amendement pour les sols (Sohi et al., 2010). Le biochar est un matériel qui se présente sous forme de fragments noirs, légers, poreux, sec et facile à transporter. -
Projet de construction du nouvel abattoir frigorifique moderne de Saga Gorou (CUNIV)
Dans le cadre du projet de construction d'un nouvel abattoir frigorifique moderne à SAGA GOROU, village situé dans la commune Niamey IV, une étude d'impact environnementale et sociale simplifiée a été demandée par le promoteur dudit projet. L'objectif visé à travers cette étude était de dégager les grands groupes d'impacts environnementaux et sociaux positifs ou négatifs et proposer une projection sommaire des impacts environnementaux et sociaux majeurs relatifs aux activités liées à la mise en oeuvre du projet. Il s'agissait conformément aux termes de références de l'étude, de fournir: i) une situation environnementale et sociale de référence c'est-à-dire l'état des lieux de l'environnement; ii) une description des différentes composantes environnementales et sociales pouvant être impactées par la mise en oeuvre du projet; iii) une description des impacts positifs et négatifs majeurs pouvant résulter de la mise en oeuvre du projet; iv) les grandes lignes des mesures d'atténuation à mettre en oeuvre pour atténuer les impacts négatifs ou bonifier les impacts positifs. L'étude a été conduite conformément au cadre juridique et institutionnel et suivant une approche participative privilégiant la collecte des informations auprès des différents acteurs et particulièrement les populations du village de Saga Garou et environnantes. En termes d'impacts notamment sur le milieu biophysique et humain, deux zones d'influence du projet ont été identifiées. La zone d'influence environnementale qui est une zone d'impact direct pour les aspects biophysiques qui se situe dans les environs immédiats de l'abattoir, et la zone d'influence diffuse pour les aspects socio-économiques qui s'étend sur la communauté urbaine de Niamey et aux autres régions qui seront desservies par l'abattoir. L'abattoir étant classé dans la catégorie des établissements dangereux, insalubres et incommodes, les principaux impacts négatifs potentiels identifiés restent la production des déchets solides et liquides et particulièrement les odeurs incommodes, le risque de pollution et d'eutrophisation des eaux notamment celles de surface, et le risque des maladies liées aux pollutions et nuisances. Les mesures d'atténuation proposées sont entres autres, le renforcement du dispositif de suivi de la qualité des eaux souterraines et des eaux de surface, le respect d'une distance réglementaire minimale entre le site et les premières habitations. Pour ce faire, le promoteur devra: mettre en place une ceinture végétale; prendre en compte la direction et la fréquence des vents ; respecter les règles d'hygiène et d'assainissement énoncées dans le code de l'hygiène publique; mettre en oeuvre des procédures adéquates de formation en matière de santé et sécurité ; procéder à l'épuration des effluents liquides et à leur analyse avant tout rejet dans le milieu naturel par la mise en place à une distance horizontale suffisante des eaux de surface d'une station d'épuration, Instaurer un système de nettoyage régulier ; désinfecter les aires de stockage des déchets, les réseaux d'égouts, et prévoir des aires d'entreposage adéquates des flux sortants et entrants. Toutefois, pour mieux cerner tous les risques environnementaux et sociaux et prévoir au mieux les mesures d'atténuation et/ou de compensation, et leurs coûts de mise en œuvre, il est impératif de conduire une étude plus détaillée. -
Le biochar : une pratique pour augmenter la qualité des sols et leur productivité face aux changements climatiques
Le biochar ou « bio-charcoal » est un charbon obtenu artificiellement, d’origine biologique. Composé à plus de 60 % de carbone, le biochar s’obtient par pyrolyse1 ou carbonisation (avec peu ou pas d’oxygène) de matières organiques diverses (résidus agricoles, fumier, résidus d’exploitation forestière, etc.). Sa composition n’est pas précisément définie car elle dépend de la nature de la biomasse utilisée et du processus de pyrolyse. Cette pratique ne doit pas être confondue avec le charbon de bois. -
Sensibilité et prévention des conflits (SPC) dans les projets de développement du secteur élevage en zone pastorale sub-saharienne : aires d'abattage
Une aire d’abattage est une infrastructure de plein air destinée à ce que l’abattage des animaux s’effectue dans un endroit déterminé pour respecter des conditions d’hygiène générale, d’inspection sanitaire vétérinaire ante et post-mortem et de bien-être animal, adaptées à un contexte local où l’activité d’abattage ne permet pas de rentabiliser une infrastructure plus lourde d’abattoir (bâtiment fermé).