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Centre régional AGRHYMET
Créé en 1974, le Centre Régional AGRHYMET est une institution spécialisée du Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) regroupant treize pays qui sont : Bénin, Burkina Faso, Cap Vert, Côte d'Ivoire, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad et le Togo. C'est un établissement public inter-étatique doté de la personnalité juridique et de l'autonomie financière. Il a un statut international avec siège à Niamey au Niger.
le Centre Régional AGRHYMET a pour objectifs principaux :
- de contribuer à la sécurité alimentaire et à l'augmentation de la production agricole dans les pays membres du CILSS et de la CEDEAO.
- d'aider à l'amélioration de la gestion des ressources naturelles de la région du Sahel et de l'Afrique de l'Ouest en assurant l'information et la formation des acteurs du développement et de leur partenaire dans les domaines de l'agro-écologie au sens large (agro-climatologie, hydrologie, protection des végétaux,…). C'est un outil à vocation régional, spécialisé dans les sciences et techniques applicables aux secteurs du développement agricole, de l'aménagement de l'espace rural et de la gestion des ressources naturelles
Au fil des années, le Centre AGRHYMET s'est affirmé comme un centre régional d'excellence en matière de :
- formation des cadres des pays du Sahel et d'ailleurs;
- suivi agrométéorologique et hydrologique au niveau régional;
- statistiques agricoles et de suivi des cultures;
- banques de données régionales; - gestion et de diffusion de l'information sur le suivi des ressources naturelles au Sahel; - documentation sur : l'agrométéorologie, la protection des végétaux, le suivi de l'environnement, la désertification, la gestion des ressources naturelles, etc. - maintenance des instruments météorologiques et des équipements électroniques; - renforcement de la coopération inter-Etats à travers l'échange de méthodologie et technologies. C'est à ce titre que les cadres du Centre sont de plus en plus sollicités par des organismes bilatéraux et multilatéraux. (USAID, FAO, OMS, IRD, CIRAD, …) et qu'il prend part, en relation avec le CILSS, aux rencontres internationales liées à la sécurité alimentaire, au développement durable, à la gestion des ressources naturelles et à la lutte contre la désertification. -
Mémento de l’agronome
Cet ouvrage présente une collection d'informations techniques utiles à l’agronome sur le terrain -
Rapport de mission : la recherche de l'agronomie au Niger
L'INRAN a institué comme une tradition depuis quelques temps la réunion annuelle de tous les cadres et services du développement rural dont le but est de procéder a l'examen et à l'évaluation des programmes de pluridisciplinaire conduits par l'INRAN au cours de la saison d'hivernage écoulé -
Rapport final: Projet de réhabilitation des abattoirs frigorifiques de Maradi, Zinder et Tahoua
Pour rendre opérationnelle et atteindre les objectifs de développement durable le Niger a élaboré plusieurs politique et programmes sectoriels de développement -
Mémento de l’agronome
L'accès à l'information s'est améliorée ces dernières années. Il demeure néanmoins problématique pour les professionnels de terrain, et surtout pour ceux qui travaillent loin des centres urbains. Leur métier a également profondément évolué. La conception de cette nouvelle version du Memento de l'agronome a tenu compte de ces deux constats. -
Projet de développement de l'élevage dans la zone du Liptako Gourma -
Analyse diagnostique et situation de référence - composante C : commercialisationL'aménagement des marchés à bétail est un élément important pour la maitrise et la revalorisation de l'apport du secteur de l'élevage à l'économie de la région et du pays tout entier. Le commerce traditionnel du bétail sur pieds doit aujourd'hui évoluer et devenir plus formel. -
CATALOGUE NIGERIEN DES VARIETES
DE CEREALES ET LEGUMINEUSESL'Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a le plaisir de vous présenter le Catalogue des Variétés proposées aux agriculteurs nigériens. C'est le premier d'une série de documents que l'Institut se propose
d'éditer tout au long de l'année 1995pour ses 20 ans (1975-1995). Cette année anniversaire a été volontairement placée sous le signe de la communication et de l'ouverture vers les principaux utilisateurs des produits clé la recherche : les
paysans, les services de vulgarisation, les projets de Développement et les Organisations Non Gouvernementales (ONG) intervenant dans le monde rural. C'est-à-dire sous le signe d'une solide liaison entre la recherche et la
vulgarisation. Contrairement aux éditions précédentes de 1984 et 1987, le présent catalogue des variétés est illustré par des photos en couleur et comprend deux volumes:
-Vol I - Céréales et Légumineuses;
-Vol II - Plantes Horticoles.
Les variétés qui y sont décrites sont le fruit des efforts intenses et soutenus de l'ensemble du personnel de l 'INRAN, et de leurs collègues d'autres Institutions
Nationales et Internationales de Recherche Agronomique. Ces variétés sont soit directement issues du patrimoine génétique national, soit des introductions faites à partir de pays voisins ou même lointains, soit des créations nouvelles
des sélectionneurs de l'INRAN. Dans tous les cas, il a fallu les choisir selon des critères spécifiques, les étudier dans des conditions différentes pendant plusieurs années sur nos stations de recherche et en milieu paysan. La sélection d'une
variété, quel que soit l'espèce végétale considérée, est un travail d'équipe de chercheurs et de techniciens de disciplines différentes qui nécessite patience, persévérance et parfois intuition.
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Projet de construction du nouvel abattoir frigorifique moderne de Saga Gorou (CUNIV)
Dans le cadre du projet de construction d'un nouvel abattoir frigorifique moderne à SAGA GOROU, village situé dans la commune Niamey IV, une étude d'impact environnementale et sociale simplifiée a été demandée par le promoteur dudit projet. L'objectif visé à travers cette étude était de dégager les grands groupes d'impacts environnementaux et sociaux positifs ou négatifs et proposer une projection sommaire des impacts environnementaux et sociaux majeurs relatifs aux activités liées à la mise en oeuvre du projet. Il s'agissait conformément aux termes de références de l'étude, de fournir: i) une situation environnementale et sociale de référence c'est-à-dire l'état des lieux de l'environnement; ii) une description des différentes composantes environnementales et sociales pouvant être impactées par la mise en oeuvre du projet; iii) une description des impacts positifs et négatifs majeurs pouvant résulter de la mise en oeuvre du projet; iv) les grandes lignes des mesures d'atténuation à mettre en oeuvre pour atténuer les impacts négatifs ou bonifier les impacts positifs. L'étude a été conduite conformément au cadre juridique et institutionnel et suivant une approche participative privilégiant la collecte des informations auprès des différents acteurs et particulièrement les populations du village de Saga Garou et environnantes. En termes d'impacts notamment sur le milieu biophysique et humain, deux zones d'influence du projet ont été identifiées. La zone d'influence environnementale qui est une zone d'impact direct pour les aspects biophysiques qui se situe dans les environs immédiats de l'abattoir, et la zone d'influence diffuse pour les aspects socio-économiques qui s'étend sur la communauté urbaine de Niamey et aux autres régions qui seront desservies par l'abattoir. L'abattoir étant classé dans la catégorie des établissements dangereux, insalubres et incommodes, les principaux impacts négatifs potentiels identifiés restent la production des déchets solides et liquides et particulièrement les odeurs incommodes, le risque de pollution et d'eutrophisation des eaux notamment celles de surface, et le risque des maladies liées aux pollutions et nuisances. Les mesures d'atténuation proposées sont entres autres, le renforcement du dispositif de suivi de la qualité des eaux souterraines et des eaux de surface, le respect d'une distance réglementaire minimale entre le site et les premières habitations. Pour ce faire, le promoteur devra: mettre en place une ceinture végétale; prendre en compte la direction et la fréquence des vents ; respecter les règles d'hygiène et d'assainissement énoncées dans le code de l'hygiène publique; mettre en oeuvre des procédures adéquates de formation en matière de santé et sécurité ; procéder à l'épuration des effluents liquides et à leur analyse avant tout rejet dans le milieu naturel par la mise en place à une distance horizontale suffisante des eaux de surface d'une station d'épuration, Instaurer un système de nettoyage régulier ; désinfecter les aires de stockage des déchets, les réseaux d'égouts, et prévoir des aires d'entreposage adéquates des flux sortants et entrants. Toutefois, pour mieux cerner tous les risques environnementaux et sociaux et prévoir au mieux les mesures d'atténuation et/ou de compensation, et leurs coûts de mise en œuvre, il est impératif de conduire une étude plus détaillée. -
Sensibilité et prévention des conflits (SPC) dans les projets de développement du secteur élevage en zone pastorale sub-saharienne : aires d'abattage
Une aire d’abattage est une infrastructure de plein air destinée à ce que l’abattage des animaux s’effectue dans un endroit déterminé pour respecter des conditions d’hygiène générale, d’inspection sanitaire vétérinaire ante et post-mortem et de bien-être animal, adaptées à un contexte local où l’activité d’abattage ne permet pas de rentabiliser une infrastructure plus lourde d’abattoir (bâtiment fermé). -
MANUEL EN AGRICULTURE
CULTURE DU MAISDe son nom scientifique Zea mays, le maïs est la troisième céréale la plus cultivée dans le monde après le blé et le riz. Dans le monde, il joue un rôle très important dans l’alimentation
humaine et animale. Au Cameroun par exemple, sept (7) personnes sur dix (10) mangent le maïs sous de formes variées.
Avant d’entreprendre une opération de culture de maïs, il faudrait d’abord s’assurer que l’on dispose des semences en quantité suffisante. Pour la culture pure du maïs, il faut en moyenne 20 à 25 Kg de semences par hectare. En association avec une autre culture, cette quantité est diminuée de moitié. Au Cameroun, plusieurs variétés ont été mises au point par l’IRAD (Institut de recherche Agricole pour le Développement), notamment les CMS (Cameroon Maïze Sélection) adaptées aux zones forestières de basses et moyennes altitudes ; les CHC (Cameroon Highland Composite) adaptées aux zones de hautes altitudes de l’Ouest du pays et les CHH (Cameroon Highland Hybride) qui sont des hybrides des hautes terres de l’Ouest.