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Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment choisir ses variétés - Zarma
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions. -
Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment faire les différentes tailles - Zarma
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : comment se fait le choix du terrain - Zarma
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : dose et fréquence d'irrigation - Zarma
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : : quel est le processus de plantation - Zarma
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : : quelle quantité de fumure - Zarma
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Plantation et entretien des manguiers au Niger : une cuvette où une couronne ? - Zarma
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Le compost : Y'a t'il une différence entre ces deux fumures? -Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Y a-t-il une différence entre ces deux fumures ? Télécharger l’élément 1, 2,3 Mo
- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
- 4. Quel est le processus de fabrication du compost en fosse ? Télécharger l’élément 4, 8,2 Mo
- 5. Quel est le processus de fabrication du compost en tas ? Télécharger l’élément 5, 4,6 Mo
- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Le compost-C'est quoi le compost ?-Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
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Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
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- 5. Quel est le processus de fabrication du compost en tas ? Télécharger l’élément 5, 4,6 Mo
- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
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Le compost : quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? -Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
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Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
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- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
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Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ? Zarma Document 1
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
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L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Quand commence l’araignée rouge où la trouve–t-on au Niger ?
- 4. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
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Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ? Zarma Document 2
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
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L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Quand commence l’araignée rouge où la trouve–t-on au Niger ?
- 4. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
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Quand commence l’araignée rouge et où la trouve–t-on au Niger ? Zarma Document 3
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
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L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
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Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ? Zarma Document 5
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
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L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
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- 4. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
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Le compost-Quel est le processus de fabrication du compost en fosse?-Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
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Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
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Le compost-Quel est le processus de fabrication du compost en tas ?-Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
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Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
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Le compost-Comment vérifier l’état de décomposition du compost-Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
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Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
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Kolkoto noonizo kan si gane annasarakine ga spodoptera frugiperda
Annasara jiiri 2016 nga no noonize tagi fo bangay iri africa laabu bobo yan ra,laabey kan yan ra a go nga gati(nigeria,benin,togo afrique du sud,kala ama koy laabu gerey ra) nankanyan ana hasarawo bobo te kolkoto ga. I sintin ga diya Torodi nda Maradi gandara novembre hando 2016, sonhon nango bobo na go iri niijer laabo ra. Nankan haya ga hunburandi koyne noonizo din halada haynay nadi manan kayidiya wate, Maradi Torodi batama beeri yan ra yadin ga hasarawo bobo no aga te dumizey kan yan I ga fare bon ihima no ga fondo konno sanbu ga duga tangame nda. -
Tomato noonizo kan se i gane “TUTA”
A te alwati kan iri Niger laabu alfarey i go gadi sanday tomato farmo do zaama noonize fono goono kan ga tomato fuunu fuunu. A to jiiri hinza kan noonize tagi fo banguay noonizo din ga kaina gumo;amma halla ga ka sohon alfarey mana fahame ase; hasarawo booba kan agate se, nga no nan alfari foyan na tomato farmo gaayi. -
Dadara kira kan se ngane annasara ciine ga : acarien rouge
Hunkuna day iri ga salan aran se no nda anwarize kaynafo kan booro ga hini ga diya moga kan zi gane dadara kira. Alfarey ga bay zama a ga nga fuwo ciina dumizey koptey ga wana wana wana obergino tomato tattasey,tonko,nda pommpi terro. dabayan a ga lanba ga nga fuwo ciina dumizey koptey bandey ga alfarey ga bay zama aga hini ga dumizey me a me hasara wane wane dumizey kanyan iri ki za bene. -
Almaney biiri ga neera goyo tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Sooro boobo kulu no RECA ce yaù nango kaù se i ga ne Issalan ga du hayaù almaney biiri yaùey bon. Iri Niizeer laabu, alfarey nda kurkey kulu no ga almaney biiri ga neera fondey bay. Wo-din si ganji, iri ga sanni yaù filla kaù ga naù biiriyano ma boori. Sintina jina, iri ga borey fongandi kaù almaney biiri ga neera goy no kaù ga arzaka boriyandi. Almano kaù boro ga suuban, alman no kaù mana je, a gonda sanda jiiri hinka deedandi, da feeji gaaru no wala binde hincini jindi no. Da boro na almano suuban, ni ga a naasandi no, hay kaù ga naù a ma te nooru. Da boro ga ba biiri ga neeraa ma te nafa, boro mana hima ga almano biiri ga ba handu hinza (3). Da biiriyaù alwaato bisa ya-din, da boro laasabu, goyo sinda albarka kulu. -
Tomaato nooniizo (Helicoverpa armigera) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Tomaato nooniizo wo ciini alfaga caw-caw no, zama a si fatta kala za wayna kaù kala mo ma bo. Da ba yaù, alfaga caw-caw wone hari boosa boosa no fatey ga ga. Tira wo, tomaato nooniizo bon no a ga salaù zama nga no ga ti tomaato aùùwaara i kulu ilaala, waana waana hayni waate. Tomaato nooniizo ga tuurize boobo digsa sanda tattaasa, la wala binde haabu wala mo kolkoti. Tomaato nooniizo ga ti, hayni ra, tomaatey aùùwaara laala. Niizer jarjarey kulu ra no a ga diya. -
Mouche blanche : Zarma : Hamniize kwaara kaù se i gane faransi ciine ga mouche blanche (Bemisia tabaci) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Hunkuna, iri ga salaù araù se nda jaw-kali goyey aùùwaara fo kaù ga hasaraw te hala manti mooso, kaù alfarey nda kurkey ga bay ga boori, nga ga ti « hamniize kwaara ». Ba da alfarey ga hasarawey kaù hamniize kwaara wo ga te bay, i si bay doorey kaù a ga hin ga kande ga daù tuurey ga. -
Suwo nooniizo kaù se i ga na fransi cine ra « teigne » tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Su nooniizo kaù se i ga ne faransi ciine ga « teigne » : alfaga caw-caw kayniyaw fo no ga a hay (A si beeri ga ba soboro, Foto 1) Niger fi azulmata ra no a go, su aùùwaara i kulu ilaala no. Amma a si laala kala dungay waate annasaara handu hinzanta ga koy iguwanta. A ga hin ga su fari kulu alandaaba. -
Manuel de l'apprenant en alphabétisation fonctionnelle de niveau 1 : lecture et écriture / Zarma - Caw nda hantum, cawka tiraa, jiiri sintina
Le présent manuel est un support pédagogique destiné à l’utilisation des apprenants pour suivre les enseignements/apprentissages en langue zarma dans les centres d’alphabétisation fonctionnelle du niveau 1 au profit des acteurs de la petite irrigation. -
Manuel de l'apprenant en alphabétisation fonctionnelle de niveau 1 : mathématiques / Zarma - Laasaabu, cawka tiraa, jiiri sintina
Le présent manuel est un support pédagogique destiné à l’utilisation des animateurs pour les enseignements/apprentissages des calculs mathématiques dans la langue zarma dans les centres d’alphabétisation fonctionnelle du niveau 1, au profit des acteurs de la petite irrigation -
Guide de l'animateur en alphabétisation fonctionnelle de niveau 1 : mathématiques / Zarma-Laasaabu, cawandika tiraa, jiiri sintina
Le présent guide est un support pédagogique destiné à l’utilisation des animateurs pour les enseignements/apprentissages des calculs mathématiques dans la langue zarma dans les centres d’alphabétisation fonctionnelle du niveau 1, au profit des acteurs de la petite irrigation -
Guide de l'animateur en alphabétisation fonctionnelle de niveau 1 : Lecture et écriture / Zarma-Caw Nda Hantum, cawandika tiraa, jiiri sintina
Le présent guide est un support pédagogique destiné à l’utilisation des animateurs pour les enseignements/apprentissages de la lecture et de l’écriture de la langue zarma dans les centres d’alphabétisation fonctionnelle du niveau 1, au profit des acteurs de la petite irrigation. -
Lexique des mots et termes météo
Le présent ouvrage, réalisé dans le cadre du programme BRACED, est le fruit d’un long processus d’échange de l’ensemble des acteurs des secteurs publics et privés, les ONGs et Institutions impliqués dans le processus de production et de diffusion de l’information climatique au Burkina Faso. Le processus d’élaboration de ce document a permis de lever le traditionnel quiproquo qui existe entre les spécialistes de la météorologie et les hommes des médias. En effet depuis belle lurette, les deux camps se rejettent mutuellement la faute quand il est question de transmettre le contenu des messages météos à la population qui ne comprend pas souvent le contenu des messages et informations diffusées. -
Criquets ravageurs du Niger : guide de l'agriculteur / zarma
Adapté de l'ouvrage de Michel Lecoq « Les criquets du Sahel » (CIRAD, 1988) par Alana Burnham, Idrissa Maiga, Michel Lecoq et Arianne Cease, cette étude revient sur le criquet qui a toujours été parmi les plus grands ravageurs de plantes en Afrique. Ce travail, consiste à identifier, l'insecte dans les différentes régions du Niger et sa manière de s'attaquer sur les plantes. Enfin elle propose des méthodes de lutte efficace. -
Mate no i ga te ga pompi kaŋ go fooraazi ra ka ?
I hima ga pompi kaŋ go fooraazi ra ka ga nyum, ga hanse wala ga barmay. Goy no kaŋ ga sandi. Goy no kaŋ i ga te waati kaŋ pompo si ga goy, waati kaŋ mo kuuraŋo i na a kayandi. Boro boobo ne hima ga goy care bande ga du ga goyo wo gasu zama da i goy care bande, tuyya si bagi, pompo si deeji fooraazo ra. -
Mate kaŋ i ga pompi ɲum nda, nda mate i ga a yeeti fooraazi ra
Da araŋ ga ba ga pompi ɲum, araŋ hima ga bara nda zaara-zaara, eponzu, guuru boros nda babbakaan kaŋ ra hari kaŋ ra i na safun kar go. I ga ba, araŋ ma boro yaŋ soola kaŋ ga araŋ ga, araŋ ma pompo yeeti fooraazo ra. -
Mate kaŋ i ga wayno dijey batama soola nda mate kaŋ i ga a hallasi nda ?
Araŋ ma bay kaŋ wayno dijey batama hallasi yaŋo no ga naŋ boro ma du kuuraŋ hanno -
Mate no i ga te ga day ra pompi hallasi nda ?
Ce poster explique comment nettoyer une pompe immergée dans un puits -
Guide d'alphabétisation fonctionnelle de phase 2 : mathématique Zarma
Ce guide de formation a été développé dans le cadre du PromAP pour renforcer les compétences techniques et managériales des producteurs/ productrices ainsi que leurs organisations à travers l’alphabétisation fonctionnelle. Il constitue un support de formation pour une seconde phase d'alphabétisation. -
Guide d'alphabétisation fonctionnelle de phase 2 : univers social zarma
Ce guide de formation a été développé dans le cadre du PromAP pour renforcer les compétences techniques et managériales des producteurs/ productrices ainsi que leurs organisations à travers l’alphabétisation fonctionnelle. Il constitue un support de formation pour une seconde phase d'alphabétisation. -
Guide d'alphabétisation fonctionnelle de phase 2 : langue - zarma
Ce guide de formation a été développé dans le cadre du PromAP pour renforcer les compétences techniques et managériales des producteurs/ productrices ainsi que leurs organisations à travers l’alphabétisation fonctionnelle. Il constitue un support de formation pour une seconde phase d'alphabétisation. -
Mate no i ga te ga daaray nya hiijandi ɲda tuuri kambe fasante ?
(Comment faire le greffage en fente d'un pommier du Sahel - jujubier ?)Ce poster montre comment faire un greffage en fente de la pomme du Sahel (jujubier) -
Mate kaŋi ga te ga leemey hiijandi ɲda ?
(Comment greffer un agrume en écusson ?)Ce poster montre comment greffer un agrume en écusson -
Mate kaŋi ga te ga mangu hiijandi ɲda hampayaŋdabaro ?
(Comment faire le greffage du manguier par plaquage simple ?)Ce poster montre comment faire un greffage de manguier par plaquage simple -
Mate no i ga te ga mangu nya hiijandi ɲda tuuri kambe fasante ?
(Comment réaliser le greffage en fente du manguier ?)Ce poster propose une méthode pour réussir le greffage en fente des manguiers -
Teerey kaŋboro mana hima ga te da araŋgo ga tuuri kambe hinka hiijandi/ daŋcare ga
(Mauvaises pratiques à éviter lors d’un greffage en fente)Ce poster décrit les pratiques à éviter lors d’un greffage en fente -
Mate no i ga mangiize duma ga sasare fangal ra ?
(Comment réaliser une pépinière de manguiers en pleine terre par la méthode du touche à touche ?)Ce poster montre comment réaliser une pépinière de manguiers en pleine terre par la méthode du touche à touche -
Mate kaŋi ga mangu gura duma leedayzey ra ? (Dabari sintina)
Comment réaliser une pépinière de manguiers en pots ? (méthode 1)Ce poster propose une méthode pour réaliser une pépinière de manguiers en pots -
Mate kaŋi ga mangu gura fi fi ranta duma leedayze ra (Dabari hinkanta)
Comment réaliser une pépinière de manguiers en pots ? (méthode 2)Ce poster propose une méthode pour réaliser une pépinière de manguiers en pots -
Teerey kaŋboro mana hima ga te mangu gurey biiri yaŋnango do
(Mauvaises pratiques à éviter lors de la réalisation d’une pépinière de manguiers)Ce poster montre quelques pratiques à éviter lors de la réalisation d'une pépinière -
Cawkey kunda
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Loi fixant les principes d'orientation du code rural
Li fuali po tuona sanjala nuanmaCe guide édité en langue gourmantchéma, fait état de la loi fixant les principes d'orientation du Code Rural -
Hygiène pour la production de lait
Waayiyan waate hananyanGuide sur les bonnes pratiques hygiéniques à prendre en compte au moment de traire les animaux. -
Pourquoi pratiquer l'embouche ovine pour la Tabaski? (audio zarma)
Émission radio produite par le RECA sur l'embouche ovine destinée à la vente pour la fête de Tabaski au Niger. De la sélection à l'alimentation en passant par la durée d'embouche, le conseiller explique dans cet audio comment réussir son élevage de bélier pendant cette période. -
Maladie de la variole aviaire (audio zarma)
La variole aviaire est une maladie virale fréquente des oiseaux domestiques (poulets, dindons, pigeons). Elle est nommée Ziguawan en Zarma et Waké en Haussa. Il s’agit d’une maladie se propageant lentement qui est caractérisée par la formation de lésions cutanées sur les parties non couvertes de plumes tels que la tête, le cou, les pattes et les pieds (formes cutanées) et/ou de lésions de la partie supérieure de l’appareil respiratoire. Cette maladie est due à un virus du genre Avipoxvirus. -
Maladie de la variole aviaire : comment reconnaitre la maladie et la prévenir? (audio zarma)
La forme cutanée : (de la peau) reste la plus répandue et la plus rencontrée dans les élevages de volailles notamment chez les poulets, pigeons et dindes.
La forme diphtérique : es symptômes varient en fonction de la sévérité des lésions
Comment la prévenir ?
La clé de la lutte contre la variole aviaire c’est la prévention et la vaccination pour maîtriser la
maladie et empêcher sa propagation :
• Le maintien d’une hygiène irréprochable dans un poulailler est essentiel : nettoyage régulier
et désinfection ;
• Programme de biosécurité pour empêcher le personnel et l'équipement contaminés de
l'extérieur de pénétrer dans les poulaillers ;
• Contrôler le cannibalisme en réduisant l'intensité lumineuse de l'environnement ;
• Eviter de mélanger des volailles de différents âges ;
• Les volailles infectées doivent être mis en quarantaine ou abattues ;
• Il est conseillé de donner des anti-stress après chaque vaccination qu’elle soit dans l’eau de
boisson ou injectable. -
Maladie de la variole aviaire : la vaccination (audio zarma)
La vaccination existe pour les poules pondeuses et les reproducteurs. Elle se réalise avec deux injections, la primovaccination au 26ème jour et le rappel à la neuvième semaine de vie. La vaccination doit avoir lieu avant l'exposition au virus. Il faut s’adresser aux vétérinaires (SVPP) ou à leurs auxiliaires d’élevage. Les produits sont disponibles à leur niveau mais les flacons sont de 500 ou 1000 doses en général selon les fabricants. -
Maladie de Newcastle (audio zarma)
Émission radio sur l’aviculture au Niger. Dans cette émission, il ressort que l’aviculture est pratiquée par un nombre important de nigériens surtout par les femmes en zone rurale. Cependant, cette filière rencontre des problèmes liés à la santé du volaille. -
Production de la luzerne (audio zarma)
Émission radio en langue sur les techniques production de la luzerne. -
Maladie de la grippe aviaire (audio zarma)
La maladie de la grippe aviaire, ou influenza aviaire, constitueune menace pour les éleveurs de volaille. Cette maladie est apparue au Niger en 2006. Depuis, elle réapparait plus ou moins régulièrement. Ainsi, en début 2022, une épizootie a sévi dans les régions de Niamey, Dosso et Tillabéri, et a causé la mort de 90 000 sujets de volaille. En décembre 2022, des foyers de la maladie ont été identifiés dans la Région de Tahoua et à Niamey et environ 10 000 volailles ont dû être abattues. -
Maladie de la grippe aviaire : comment les volailles attrapent - elles cette maladie? (audio zarma)
Le virus se transmet d'un oiseau malade à un autre oiseau sain par contact direct. Le virus peut être transporté par des oiseaux sauvages, par des volailles qui viennent d’élevages contaminés, par les hommes ou les outils, et aussi par le vent et les poussières. -
Maladie de la grippe aviaire : comment prévenir cette maladie? (audio zarma)
Pour se protéger contre la maladie de la grippe aviaire, il faut mettre en place des gestes barrières : − Ne pas introduire des volailles venant d’ailleurs ou les mettre en quarantaine avant l’introduction dans le poulailler ; − Ne pas tuer et préparer des volailles à proximité de son élevage et toujours prendre en compte le sens du vent pour éviter que celui -ci aille vers l’élevage ; − Éviter ou empêcher que les oiseaux sauvages soient en contact direct avec les volailles, l’eau et la nourriture ; − Ne pas laisser des personnes visiter votre élevage ou venir à proximité, il faut empêcher également le contact des volailles avec des personnes ou des enfants ; − Se laver fréquemment les mains à l’eau et au savon surtout après avoir touché des oiseaux ; − S’assurer que toute personne ayant touché des oiseaux morts se lave les mains au savon ; − Laver les vêtements, les chaussures, les véhicules et les cages à l’aide de savon ou de désinfectant ; − Bruler et enterrer les oiseaux morts ou infectés à 2 mètres de profondeur et il faut porter des gants et un masque. -
Médicament vétérinaire (audio zarma)
Ce vocal a pour objectif de sensibiliser les éleveurs sur le danger de certains produits vétérinaires vendus dans les marchés et chez les vendeurs ambulants. -
Médicament vétérinaire (audio haoussa)
Ce vocal a pour objectif de sensibiliser les éleveurs sur le danger de certains produits vétérinaires vendus dans les marchés et chez les vendeurs ambulants. -
Déparasitage des animaux domestiques (audio zarma)
Document audio sur le déparasitage des animaux domestiques. -
Respect de délai avant consommation de la viande (audio zarma)
Cet audio fait état du délai que doivent respecter les éleveurs avant l'abattage de leurs animaux suite à une campagne de déparasitage ou de vaccination. -
La maladie de la rage au Niger (audio zarma)
La rage est une maladie virale qui touche le système nerveux central des mammifères (chiens, chats, certains animaux sauvages), dont celui de l’homme. Le virus est particulièrement présent dans la salive et le cerveau des animaux infectés, le plus souvent des chiens. Il est généralement transmis par la morsure d’un animal malade. Les chauves-souris représentent également un réservoir important du virus dans certaines régions. -
Sensibilisation sur la campagne de vaccination annuelle des animaux domestiques (audio zarma)
Document audio de sensibilisation sur la campagne de vaccination annuelle des animaux domestiques (bovins, ovins, caprins et camelins) . -
Charbon bactéridien (audio zarma)
Le charbon bactéridien, appelé aussi fièvre charbonneuse, ou anthrax en anglais, est une maladie d'origine bactérienne qui touche principalement le bétail : bovins, ovins, caprins, dromadaires et chevaux. Le charbon bactéridien est une maladie infectieuse aiguë particulièrement mortelle et virulente, présente au Niger. Cette maladie est une zoonose, c’est à-dire qu’elle affecte principalement les animaux mais peut également atteindre l’homme. -
Comment reconnaitre le charbon bactéridien (signes cliniques) ? (audio zarma)
• Difficulté respiratoire, respiration haletante voire détresse respiratoire (asphyxie) ;
• Forte fièvre et tremblements, abattement et convulsions ;
• Formation d’œdème, gonflement des tissus à la gorge, ou sous l'encolure, la mâchoire,
l’abdomen;
• Emission de sang noir gluant et incoagulable par tous les orifices naturels du cadavre;
• Des signes digestifs : coliques sévères, diarrhée hémorragique ;
Possibilité d’une mort subite qui peut intervenir dans les 72 heures suivant le début des signes cliniques ;
• Baisse de la lactation (lait aqueux sans goût);
• Morbidité (nombre d’animaux malades) et mortalités élevées -
Le charbon bactéridien se transmet-il à l’homme ? (audio zarma)
Le charbon bactéridien est une zoonose, c’est-à-dire une maladie qui peut se transmettre de l’animal à l’homme. Chez l'homme, hôte accidentel, la transmission se fait directement ou indirectement à partir d'animaux infectés, ou du fait d'une exposition professionnelle à des produits animaux contaminés. La fièvre charbonneuse se manifeste sous 3 formes distinctes :
• La forme cutanée est la plus fréquente ; la contamination se produit durant la manipulation d’animaux ou de produits d’origine animale contenant des spores. Les éleveurs et les bouchers contractent la maladie par contact avec des animaux atteints ou des cuirs contaminés. Les spores peuvent pénétrer par les plaies ou les éraflures cutanées, où elles causent des lésions locales.
• La forme digestive est contractée par ingestion des spores en consommant de la viande contaminée d’un animal malade.
• La forme respiratoire, par inhalation (respiration) de poussières contenant des spores. -
Maladie du charbon bactéridien : comment prévenir (éviter) cette maladie? (audio zarma)
La clé de la prévention est de maîtriser la maladie et d’empêcher sa propagation.
• Ne jamais ouvrir les carcasses contaminées. Pourquoi ? Au contact de l’oxygène de l’air, la bactérie du charbon bactéridien va produire de spores qui contamineront le milieu pour longtemps.
• Empêcher l'accès aux carcasses contaminées par les charognards.
• Eliminer correctement les carcasses d’animaux morts de préférence par incinération sur place (destruction par le feu), ou bien par enfouissement dans des fosses profondes recouvertes de chaux vive. -
Que peut_on dire des haies vives? (audio zarma)
Une haie vive est une clôture végétale dense et alignées qui sert à protéger les jardins contre les vents violents, les animaux et le vol.