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Point sur le dispositif e-Extension Informations et conseils agricoles aux producteurs
(+) Le Smartphone et WhatsApp ont entrainé une véritable « révolution » pour le conseil agricole à distance tant pour les conseillers que pour les producteurs. Ils permettent au Dispositif e-Extension d’être en liaison directe et permanente avec des centaines de producteurs, de conseillers agricoles et de sites de production. Cette année, les producteurs, membres des groupes WhatsApp mis en place par le dispositif e-Extension, se sont réellement appropriés ces outils pour des échanges directs et un conseil de producteur à producteur. -
Mieux valoriser les foins, les gousses d’Acacia radiana et le son de céréales en embouche ovine au Sahel
L’embouche ovine, activité traditionnelle est réalisée à grand frais de fanes de légumineuses, de grains et son de céréales. Il est nécessaire de mettre au point des rations plus économiques pour l’embouche ovine sans concurrence avec l’alimentation humaine. -
Le traitement de la paille à l’urée Cas de la Région de Diffa
Cette note a été rédigée dans le cadre du partenariat entre le RECA et le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), le RECA étant chargé de réaliser une évaluation des technologies éprouvées dans deux régions du Niger et d’identifier les préoccupations des producteurs et de leurs organisations. Elle est basée sur des entretiens menés par la Chambre Régionale d’Agriculture de Diffa avec des membres des Services techniques, des éleveurs, des OP et des projets, et complétée par la lecture de documents. Le RECA ne prétend pas avoir fait le tour de la question, ni vu toutes les expériences, ni rencontré tous les acteurs. Les observations et analyses sont provisoires. Cette note sera progressivement complétée et améliorée. Les apports et compléments sont souhaités afin d’enrichir ce travail de capitalisation sur la situation des technologies et techniques générées et/ou diffusées au Niger par l’ensemble des acteurs. -
Alimentation des poulets et entretien des poulaillers
Notes prises à partir de la vidéo https://youtu.be/Zn1OXW79eXQ (Vidéo tournée au Centre Régional de Songhaï Porto-Novo au Bénin) -
La pierre à lécher
Cette fiche porte sur la fabrication de la pierre à lécher pour les ruminants -
Comment produire des termites pour nourrir la volaille ?
Ce guide porte sur la production de termites afin de nourrir la volaille -
Guide pour la création de villages intelligents : Le modèle du Niger
Le présent guide explique, étape par étape, comment procéder pour mettre en place, gérer et diriger un projet de village intelligent au service du développement durable. Dans un monde où près de 80% des personnes vivant dans l'extrême pauvreté vivent en zone rurale où ils dépendent pour la plupart de l'agriculture, il est désormais essentiel de se concentrer sur les villages ruraux pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD)1 des Nations Unies grâce à la transformation numérique. Le niveau élevé de la pauvreté, des revenus bas, une infrastructure défectueuse et l'absence de connectivité à l'Internet comptent parmi les plus grandes difficultés auxquelles se heurtent les habitants des zones rurales partout dans le monde. Fin 2018, l'UIT confirmait que 49% des habitants de la planète n'ont pas accès à l'Internet. Il s'agit pour la plupart de personnes vivant dans un pays comptant parmi les moins développés et dans des zones rurales. -
Technique d'alimentation des lapins
Cette fiche technique propose des conseils pour gérer l'alimentation d'un élevage de lapins -
kakemono de présentation de duddal 2/2
Ce kakemono fait partie du kit de communication sur la bibliothèque numérique duddal -
Plaquette de présentation de duddal
Cette plaquette fait partie du kit de communication sur la bibliothèque numérique duddal -
Kakemono de présentation de duddal 1/2
Ce kakemono fait partie du kit de communication sur la bibliothèque numérique duddal -
Rapport annuel du programme E-Extension - Année 2020
Dans le cadre du Projet d’appui à l’agriculture sensible aux risques climatiques (PASEC), le Réseau National des Chambres d’Agriculture du Niger et les Chambres Régionales d’Agriculture du Niger ont été chargés de développer un dispositif e-Extension d’informations et de conseils agricoles en direction des producteurs et productrices. Ce programme a démarré en septembre 2017 avec la mise en place du Centre d’Appels pour un conseil agricole. Ce rapport présente les activités et les résultats de la troisième année du programme. -
Diversité et conditionnement des résidus de culture commercialisés comme alimentation des animaux dans la communauté urbaine de Niamey
Les résidus de culture jouent un rôle important dans l’alimentation des ruminants, et leur commercialisation prend de plus en plus de l’ampleur dans la communauté urbaine de Niamey. Cependant, ces résidus de culture sont diverses et présentés sous différentes formes de conditionnement. Pour évaluer la disponibilité et les caractéristiques physiques des résidus de cultures utilisées en alimentation des ruminants domestiques à Niamey, un échantillon de 93 acteurs dont 33 grossistes/semi grossistes ; 41 vendeurs revendeurs et 19 vendeurs ambulants a été enquêté et suivi selon les saisons.
Il ressort de ce travail que le type, le prix, le poids et la disponibilité des produits sont fonctions des acteurs et des saisons. Il serait donc important de sensibiliser les éleveurs sur les lieux d’approvisionnement en fonction des périodes de l’année. Ceci permettra une meilleure rentabilité de l’activité. -
Caractérisation des pâturages naturels au Niger : Diversité et modes d’exploitation. Synthèse bibliographique
Cette étude vise à caractériser la diversité et les modes d’exploitation des pâturages naturels au Niger. Ces derniers regorgent une diversité d’espèces végétales valorisées principalement dans l’alimentation (humaine et animale), la médecine indigène (pour soigner les maladies humaines et animales) et l’artisanat. Cependant, le changement climatique couplé à des activités anthropiques inappropriées a perturbé de manière drastique le fonctionnement de ces écosystèmes. C’est ce qui a entrainé la baisse de la productivité de ces milieux, la raréfaction voire la disparition de certaines espèces fourragères, et surtout la prolifération des espèces végétales envahissantes tel que Sida cordifolia, Cassia mimosoides, Mitracarpus scaber, Fimbristylis hispidula. Cette synthèse bibliographique présente en premier lieu la typologie de ces pâturages ainsi que la richesse floristique en fonction des compartiments phytogéographiques du pays. Ensuite, elle essaie d’énumérer les espèces végétales menacées de disparition et celles réfutées envahissantes et leurs effets sur les pâturages naturels. -
Note de suivi des unités communautaires de fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés (BMND) pour bétail dans le département de Mayahi (Région de Maradi)
Pour résoudre le problème crucial de la sous-alimentation et la mortalité d’animaux, des technologies ont été développées dont la fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés (BMND) pour le bétail. C’est une technologie simple mise au point par l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) en collaboration avec le PPAAO-Niger et la FAO. Ces blocs sont fabriqués à base de fourrages locaux, de tiges de mil (entières et broyées), de gousses de Faidherbia albida entière et broyées (gao), de tourteaux de coton broyés, de sons de blé, de minéraux (sels, phosphate, calcaire) et de liants (gomme arabique ou farine de manioc).
Le BMND fournit aux ruminants les nutriments dont ils ont besoin pour leur entretien quotidien. Sa consommation favorise l’assimilation rapide des fourrages grossiers, augmente la consommation d’eau et améliore leur état de santé et leur résistance au stress d’origines diverses. La technologie de fabrication de BMND est de plus en plus maitrisée par les organisations paysannes (OP) notamment grâce à l’appui de projets. En effet, depuis 2014, Sahel Bio vulgarise cette technologie dans le département de Mayahi, grâce au financement de la fondation Suisse HEKS-EPER. La production-vente du BMND est, de nos jours, une source de revenu pour les populations des zones concernées. La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Maradi a effectué un suivi au niveau de quatre (4) unités communautaires de fabrication de BMND du département de Mayahi. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (1)
L’offre d’éducation/formation des populations pastorales dans les zones transfrontalières déroulée dans le cadre du PREPP (Programme Régional d’Éducation et formation des Populations Pastorales en zones transfrontalières), depuis fin 2013, est une innovation majeure.
Le présent travail d’ingénierie des référentiels de formation a permis d’élaborer des modules de formation exclusivement conçus pour soutenir la formation accélérée qualifiante (FAQ) des éleveurs pasteurs en zones transfrontalières.
Le choix délibéré est fait de construire des contenus et processus d’enseignement-apprentissage selon la démarche DCTP et l’approche par compétences (APC) afin de « Parvenir à une meilleure intégration sociale, politique et économique des populations pastorales transhumantes des zones transfrontalières par l’éducation et la formation professionnelle ».
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur les productions animales, se focalisent sur le thème de la « Production fourragère » et se déclinent comme suit : 1. les cultures fourragères ; 2. la production du foin ; 3. le traitement de la paille à l’urée. Ces modules d’un volume horaire global de 31 heures sont élaborés selon une organisation pédagogique et andragogique qui privilégie la résolution de situations-problèmes. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (2)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Complémentation alimentaire » et se déclinent comme suit : Valorisation des sous-produits agro-industriels et fabrication des Compléments Minéraux Vitaminés (CMV) -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" -Projet pédagogique 1 : les aliments pour bétails - VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Les éleveurs pour assurer une alimentation pérenne au bétail doivent pouvoir : identifier les différents types de pâturage dans son environnement et son terroir ; identifier les principales espèces appétées par les animaux dans sa région ; décrire au moins 10 espèces de plantes appétées et leur utilisation ; expliquer le dynamisme des pâturages ; faire du bon foin. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 1 : Les aliments pour bétail - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 1.1 : Pâturages naturels tropicaux - Le présent document tentera d’apporter des solutions aux préoccupations des éleveurs à travers les points suivants : classer les aliments par rapport à la valeur nutritive (fourrage, concentrés, groupes d'aliments) ; gérer les ressources fourragères (pâturage naturel, résidus de récoltes et fourrages cultivés) ; traiter chimiquement et mécaniquement les fourrages ; traiter la paille à l’urée, faire la fenaison) ; citer d'autres aliments (tels que les gousses et fruits de ligneux) ; répertorier les différentes sources d'eau ; énumérer les contraintes majeures de la gestion des ressources hydriques ; citer les éléments clés d’un contrat d'utilisation des résidus de récolte entre agriculteur et éleveur.
Module 1.2 Compléments alimentaires - En période de sécheresse où les fourrages sont rares et que ceux restant perdent une bonne partie de leurs qualités nutritives, l’apport de compléments alimentaires devient nécessaire pour couvrir les besoins des animaux. Il est donc nécessaire que les éleveurs connaissent une meilleure utilisation de ces compléments.
Le module suivant abordera dans son contenu les points ci-après : l’importance des compléments alimentaires ; la composition de la ration alimentaire ; la fabrication des pierres à lécher et des blocs multi nutritionnel. -
Comparaison du commerce des fanes de niébé et arachide dans le marché de fourrage en zone urbaines et rurales au Niger
En Afrique de l'ouest 80% des petits exploitants agricoles vivent dans des systèmes de culture-élevage / agro-pastorales mixtes. Les agriculteurs peuvent obtenir un revenu supplémentaire important de la vente des fanes de niébé, et d'arachide et ils doivent porter attention au rendement des fanes et la résistance aux maladies . -
Amélioration de la conduite alimentaire des troupeaux allaitants
L'élevage laitier en dépit de sa proximité de la ville et des dépenses importantes engendrées par l'alimentation, est confronté à un faible niveau de performance de production. Ceci est du à plusieurs raisons, à savoir notamment le bas niveau nutritionnel, le faible potentiel génétique des animaux, la non maitrise de santé animale et le faible niveau technique des éleveurs. -
Développement des stratégies d'utilisation efficiente des résidus de cultures, des sous-produits agro-industriels et des fourrages cultivés dans l'alimentation du bétail
Les résidus de cultures et les sous-produits agro-industriels constituent une source vitale de suppléments alimentaires pour le bétail, notamment durant la saison sèche lorsque le disponible fourrager est faible et de mauvaise qualité. Malgré leur utilisation courante par les éleveurs et leur valorisation par les projets de développement de l'élevage, force est de reconnaître que les diverses pratiques de supplémentation du bétail, n'ont pas eu d'impact perceptible sur la productivité des troupeaux. -
Effets de la complémentation avec des blocs multi nutritionnels concentrés à base de Sida cordifolia L., une plante invasive, sur les performances zootechnico-économiques des antenais de race Balami à Déréki / Dosso (Niger). [2016]
Au Niger, comme dans la plupart des pays sahéliens, l’élevage joue d’énormes rôles socioculturel, économique et de sécurité alimentaire pour les populations. Classé comme la deuxième activité socio-économique après l’agriculture, il représente le deuxième produit d’exportation du pays après les ressources minières [1]. Ainsi, le cheptel bétail nigérien toutes espèces confondues, estimé à 39 413 500 têtes dont 27,23% de bovins, 27,24% d’ovins, 36,31% de caprins et 4,31% de camelins, contribue pour 11% au PIB national, 24% au PIB agricole et 25% au budget des ménages [2]. Cependant, plusieurs facteurs limitent encore son essor et son développement au Niger, dont les plus importants sont les maladies, mais surtout les déficits alimentaires quantitatifs et qualitatifs, avec comme corollaire l’insuffisance de la couverture des demandes en produits carné et laitier de la population jadis croissante. -
Commercialisation et valeur nutritive des fourrages dans les centres urbains au Niger : cas des villes de Maradi et de Niamey
Dans les pays du Sahel, la population vit essentiellement de l’agriculture et de l’élevage dont la productivité est dépendante des aléas climatiques, de la fertilité des sols, de la disponibilité des terres et de l’eau. Face à une demande croissante de nourritures liées à une démographie galopante et à l’urbanisation, les systèmes actuels de production s’avèrent peu efficaces. La tendance à l’intensification du secteur primaire rend les exploitations agricoles dépendantes des marchés pour l’acquisition des intrants agricoles,zootechniques et vétérinaires, et l’écoulement de la production. En zones urbaine et périurbaine, les terres qui sont les premiers facteurs de production primaire, s’amenuisent progressivement [1]. L’agriculture urbaine est définie en Afrique comme une variété d’activités agricoles et pastorales pouvant prendre place dans les limites ou en périphérie des agglomérations urbaines. L’agriculture urbaine contribue à l’autosuffisance alimentaires des pays d’Afrique occidentale [2]. Pour satisfaire la demande en nourritures des populations citadines, l’agriculture et l’élevage périurbains connaissent un essor important ces dernières année. -
Effets du ramassage des fourrages sur l'environnement et sur les activités agro-sylvo-pastorales et commerciales dans les régions sahéliennes au Niger
Au Sahel, pour répondre à la demande croissante en produits animaux, les éleveurs utilisent essentiellement les fourrages naturels sur pieds et récoltés. Cette pratique affecte surtout les écosystèmes péri-urbains. La présente étude vise à évaluer les effets visibles du prélèvement des fourrages sur l’environnement et sur les activités rurales en zones périurbaines. Une enquête de perception des populations sur les effets de la collecte de paille, conjuguée à la mesure de la matière organique, à l’inventaire forestier, au comptage de surfaces dénudées et de ravins sur un hectare en deux répétions, a été réalisée dans les sites de collecte de 12 villages des régions de Maradi et Tillabéry. -
Apport d’un fourrage vert tropical, Centrosema pubescens, en complément au granulé : effet sur les performances de croissance et sanitaire du lapin (Oryctolagus cuniculus)
L’objectif de ce travail est d’évaluer la digestibilité du fourrage vert, C. pubescens, et son impact sur la croissance ainsi que la santé digestive du lapin de chaire en élevage artisanal. Deux lots de 15 lapins sevrés à 35 jours, élevés en cage individuelle et nourris à l’aide de deux aliments complémentés ou non avec du C. pubescens ont été constitués. La digestibilité des nutriments à 50 jours d’âge de la ration contenant le fourrage C. pubescens est supérieure à la ration sans fourrage. Ainsi, la digestibilité de la MS, MO, MAT, ADF, NDF, Hc est respectivement de 1,6, de 1,5, de 1,8, de 2,2, de 1,6 et de 1,3 fois plus élevée dans la ration ayant reçu le fourrage C. pubescens en complément par rapport au témoin sans fourrage. L’indice de risque sanitaire est réduit de moitié avec l’apport de fourrage. Cependant, l’ingestion des 2 rations est équivalente, la moyenne est de 68 g/j entre le sevrage et 70 jours. Le gain de poids quotidien est également identique avec l’apport ou non de C. pubescens. La moyenne entre 35 et 70 jours d’âge est de 26,5 g/j. -
Analyse de la structure et du fonctionnement de la filière fourrage dans les villes de Ouagadougou et Bobo-Dioulasso au Burkina Faso
Cette étude a été conduite dans les deux grandes villes du Burkina Faso (Ouagadougou et Bobo-Dioulasso), dans le but d’analyser la structure et le fonctionnement de l’activité de commercialisation du fourrage qui est en pleine expansion, en vue de proposer des actions d’amélioration et de sauvegarde de l’environnement. Elle a consisté dans un premier temps à faire un inventaire des sites de vente de fourrage, puis à conduire des enquêtes auprès des vendeurs de fourrage et accessoirement auprès des éleveurs acheteurs de fourrage. Douze (12) sites ont été recensés dans la ville de Ouagadougou et 15 sites dans la ville de Bobo-Dioulasso. La date d’implantation des sites est variable, les plus anciens ont 27 ans et 30 ans respectivement à Ouagadougou et à Bobo-Dioulasso. Les fourrages vendus sont de divers types : le fourrage vert, le foin, la paille de céréale, les fanes de légumineuse et des fourrages ligneux. -
Étude sur l’amélioration de l’inclusion économique dans les filières agricoles en Afrique sub-saharienne : analyse des dispositifs publics/privés de mise à disposition d’informations pour les agents économiques des zones rurales
La présente étude répond donc à la nécessité de mieux orienter l’intervention publique en matière de mise à disposition d’informations à destination des acteurs économiques du monde rural d’ASS. Il s’agit donc de formuler un ensemble de recommandations basées sur un inventaire et une analyse des dispositifs publics et privés les plus significatifs sur le continent. -
Cultures fourragères : Panicum maximum
Le panicum est une haute graminée vivace qui peut atteindre 1 à 3 m et qui produit des feuilles de 10 mm à 25mm et développe en fin de saison des pluies une grande panicule qui atteint 50 cm. Elle produit des feuilles larges de 10 mm à 25 mm et développe en fin de saison des pluies une grande panicule de 30 cm à 50 cm. -
Rapport sur la numérisation de l'agriculture africaine : 2018-2019
Ce rapport montre que la D4Ag est un secteur certes naissant mais qu’elle suscite de plus en plus d’intérêt. Toutefois, sans politiques et investissements appropriés, c’est un développement fragmenté, non durable et non inclusif qui menace. Pour saisir cette occasion, nous devons veiller à ce que le développement soit coordonné, que les meilleures pratiques soient diffusées et qu’une approche collaborative, axée sur l’utilisation accrue des solutions par les agriculteurs, soit adoptée pour déployer l’innovation numérique à plus grande échelle. -
Les agriculteurs à l'ère du numérique
Dans les pays ACP, les femmes qui essaient de développer des agroentreprises prospères se heurtent à d’importants obstacles : accès au marché, aux informations sur le marché, aux services financiers et autres… Souvent, elles ne possèdent pas les compétences techniques, de management et de leadership nécessaires à la gestion d’une entreprise dans la durée. L’autonomisation des femmes, qui doit leur donner les moyens de surmonter ces difficultés, ainsi que la promotion de l’entrepreneuriat et de l’emploi des jeunes sont donc des volets clés du travail du CTA. Et les TIC peuvent ici réellement changer la donne en créant un environnement propice aux femmes et aux jeunes et à leur autonomisation. -
Caractérisation des poulets locaux au Niger : étude biométrique et phanéroptique des poulets Kolonto en station
Cette étude est le fruit de la collaboration et du travail de nombreuses personnes. De ce fait, je tiens ici à exprimer ma profonde reconnaissance au Docteur Salissou Issa pour m’avoir proposé ce sujet combien intéressant et d’avoir accepté d’encadrer mon travail et pour sa disponibilité constante. Je tiens ici à lui exprimer toute ma gratitude pour sa rigueur et ses conseils scientifiques judicieux. -
Identification des approches TICs appropriées pour le renforcement de capacités des acteurs de la formation et du conseil en petite irrigation dans le contexte spécifique de la République du Niger - Rapport Final
Ce ne sont pas nécessairement les technologies les plus récentes et les plus avancées qui sont les plus appropriées vis-à-vis des objectifs poursuivis par le projet. L'accent doit être mis sur le développement de systèmes techniquement robustes et viables sur le plan financier. Le développement de solutions TIC doit également être centré sur les futurs utilisateurs et leurs besoins. La réalité des capacités techniques, financières des bénéficiaires et leur volonté d’adopter des solutions TIC doivent être pris en compte dans la conception de solutions appropriées -
Outils des technologies de l’information et de la communication
(TIC) en appui à la petite irrigation (PI) en Niger.Ce diaporama liste un ensemble d'applications utilisables pour le développement de l'agriculture numérique au Niger -
Restitution de la mission "Identification des approches TICs appropriées pour le renforcement de capacités des acteurs de la formation et du conseil en petite irrigation dans le contexte spécifique de la République du Niger"
Ce diaporama restitue les conclusions de l'étude sur l'identification de solutions TIC appropriées pour soutenir la formation des acteurs de la petite irrigation au Niger -
Services « groupés » à base de mobile : le programme Agri-Fin Mobile
Le programme Agri-Fin Mobile de Mercy Corps fournit un « bouquet » de services financiers et de conseil rural en plus d’informations de marché aux petits producteurs par le biais de leur téléphone portable. Grâce à cette approche, le programme rapproche les différents acteurs y compris les banques, les opérateurs du réseau mobile, les groupements de petits producteurs, les prestataires de services de conseil rural et les gestionnaires de contenu et d’hébergement de plateforme afin de construire une suite complète de services qui répondent à tous les problèmes auxquels se heurtent les agriculteurs. En utilisant une nouvelle stratégie du nom de services groupés, le programme allie des produits et services pour fournir une offre combinée unique sur le téléphone portable. -
Téléphones mobiles pour des services de conseil rural
Durant les dernières décennies, les technologies de l’information et de la communication (TIC) ont offert des possibilités immenses pour le développement socio-économique des populations rurales, certaines avec plus de succès que d’autres. La téléphonie mobile fait partie des technologies qui se sont considérablement développées ces dernières années ; les taux d’abonnement dans les pays en développement sont passés de 22 pour 100 habitants en 2005 à 91,8 pour 100 en 2015. La technologie mobile transcende les obstacles géographiques, socio-économiques et culturels. -
Activity report of the animal production adviser
This report concerns the activities we carried out from March through September 1996, as animal production adviser in the "Institut National de Recherche Agronomique du Niger" (INRAN). These activities are mainly in line with the first point of our Terms of Reference (TR) :
" While working in close collaboration with the scientists of the "Programme d'Amélioration des Productions Animales" (PAPA), to identify feeding and nutritional constraints in order to enhance the zootechnical performance of local breeds, and to propose simple' and cheap technologies which can easily be transferred to herders". Based on that TR, we were motivated to implement the operation titled: " Development of strategies for the efficient use of crop residues, agro-industrial by products and cultivated fodders by ruminants " An overall approach to animal feeding, in general, and to supplementary feeding, in particular, was used. The methodology consisted of carrying out surveys on feed resources and animal numbers and husbandry in rural and urban zones. The investigation concemed also the successes and failures of projects operating in livestock sector as weil as the constraints and solutions to Livestock development from herders perspectives. The objectives are to describe and assess most parameters of animal production systems. -
Comment cultiver des herbes comme andropogon gayanus pour lutter contre l’érosion et pour mieux nourrir les animaux
Ce document est un manuel de formation. Il a été élaboré dans le but d’informer et de former les producteurs agricoles qui font face au phénomène de la dégradation de la nature et dont leurs sols sont devenus pauvres. Ce manuel peut les aider à récupérer et à restaurer ces sols nus pour l’agriculture et l’élevage à travers l’utilisation de la technique du tapis herbacé. -
L'alimentation de la poule
Lorsque notre élevage de poules grandit, on est rapidement confronté au problème de la nourriture qu’il faut donner. L’aliment complet ne se trouve pas partout et coûte cher. Voici des idées qui devraient vous permettre de composer vous-même votre aliment. Vous adapterez le mélange en fonction de ce que vous trouverez dans votre région.