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Étude pour l'harmonisation des schémas et plans d’aménagement et de gestion des ressources naturelles, en soutien à la gestion durable des terres au Niger
Pour s'assurer d'une meilleure développement de la politique de développement rural, les autorités du Niger se sont engagées dans un processus d'harmonisation des interventions en faveurs du secteur rural et de mise en cohérence des appuis apportés à ce secteur par ses partenaires techniques et financiers. La SDR est le cadre opérationnel unique et global qui a été retenu pour la mise en oeuvre des actions, afin de prendre en compte l'ensemble des missions et les avantages comparatifs de chacun des acteurs. -
Migration, Urbanisation, Emploi, Aménagement du territoire
La croissance démographique du Niger pose plusieurs interrogations aux responsables politiques à qui incombe la charge de prendre les décisions appropriées pour agir. Mais l'action ne peut être efficace que si l'on identifie, face à cette problématique, les causes profondes ainsi que ainsi que les conséquences permettant d'envisager des solutions et des actions conformes aux orientations globales de la politique de développement du pays. -
Évaluation de la mise en œuvre de la décentralisation au Niger
Après plus d’une décennie de mise en œuvre de la décentralisation, divers constats ont été relevés à savoir : (i) des écarts importants entre les réalisations actuelles et les objectifs prévus dans les programmes de décentralisation ; (ii) des capacités financières et techniques limitées de l’État impactant du coup,le fonctionnement et la viabilité des collectivités territoriales ; (iii) de la complexité des actions au vu de la diversité d’acteurs sur la scène locale. -
Les investissements dans la terre : les résultats de «l’agrobusiness » en Afrique de l’Ouest sahélienne présentation de deux études
Au Niger, de plus en plus, des personnes venant de secteurs autres que l’agriculture investissent dans le foncier agricole. Dans un contexte d’insécurité alimentaire chronique, soutenir les investissements privés nationaux dans l’agriculture, autrement dit « l’agrobusiness » peut sembler une solution intéressante pour moderniser l’agriculture. Cela repose sur l’idée que ces agro-investisseurs nationaux vont apporter des innovations techniques, produire en quantité, vendre sur le marché local et générer des emplois. Deux études faites dans la sous-région, dont une en partie au Niger, apportent des éléments d’analyse sur ce phénomène : elles montrent que, globalement, les effets attendus ne se produisent pas et que l’installation des agrobusinessmen a des conséquences négatives. -
Un fonctionnaire qui prépare sa retraite en investissant dans l’agriculture
Installé il y a de cela 5 ans, le jardin Kallon Mota « Ataymatchi Al Oumma » est l'œuvre d’un fonctionnaire. Le jardin est situé à 15 km de Doutchi sur la route goudronnée allant vers Dosso, non loin de la Commune de Kiéché. Il couvre une superficie de 3,5 ha, clôturée en matériaux définitifs. Le jardin est placé sous la responsabilité de son frère (un agriculteur traditionnel) assisté par deux employés permanents (ouvriers sans formation spécifique), résidant sur le site, et deux employés semi-permanents. En dépit de la présence des cultures commercialisables comme le moringa, le manioc, la tomate, le poivron, le piment, la pomme de terre, le jardin continue à être financé exclusivement par le « Propriétaire Entrepreneur » pour les dépenses liées aux salaires des employés, à l’achat des intrants (semences/plants, coque d’arachide, fumier, etc.). -
Note sur les visites des fermes / exploitation agricoles Visite de la ferme semi-moderne (route Say)
Située sur la route de Say, cette ferme créée il y a 4 ans appartient à une personne passionnée par l’agriculture et l’élevage depuis son plus jeune âge. Il a réalisé cette activité en vue d’une future rentabilité financière pour sa retraite. D’une superficie de 7 ha, deux employés permanents y travaillent, chacun avec des blocs de cultures à sa charge. Depuis le démarrage des activités, la ferme est divisée en plusieurs parties. -
Jury chargé de l'organisation des concours du Salon de l'Agriculture, de l'Hydraulique, de l'Environnement et de l’Élevage (SAHEL)
Dans le cadre de l'organisation de la septième édition du Salon de l’Agriculture, de l’Hydraulique, de l’Environnement et de l’Elevage (SAHEL-Niger 2022), du 25 février au 02 mars 2022 au Palais du 29 Juillet à Niamey, un jury a été mis en place par arrêté N°0059/MAG/SG/DACPOR du 15 février 2022 portant création, composition, attributions et fonctionnement du Jury chargé de l’organisation des concours dudit Salon. -
Visite d’une ferme aviculture – pisciculture – horticulture avec de très bon résultats dans la Région de Tillabéri
Cette note présente la ferme « pluriactivités » d’un ancien fonctionnaire qui s’est lancé dans l’agrobusiness avant même de revenir au pays après une longue carrière professionnelle à l’international. Elle décrit le modèle conçu par le promoteur lui-même avec la collaboration des techniciens qu’il a choisi pour son accompagnement dès le démarrage de son activité.
Ce modèle est duplicable par les futurs promoteurs, et où les promoteurs désireux d’améliorer leurs fermes en vue d’une rentabilisation à court et à moyen terme. -
L'agrobusiness : réponse à une demande alimentaire ?
Qu'est-ce que l'agrobusiness et qu'est-ce qui le différencie des systèmes précédents ? On l'a vu, l'agrobusiness résulte d'un choix politique : celui de privilégier une politique — que d'aucuns qualifieront de réaliste de recherche de l'efficacité agricole au détriment de — ou parfois parallèlement à — une politique de développe ment rural intégré. Il est bien évident d'ailleurs que ce choix théorique n'est bien souvent pas possible : l'agrobusiness dans agriculture inondée du Bangladesh, ou le développement rural intégré dans les zones vierges ou inhabitées restent des vues de l'esprit. D'autre part les productions s'y prêtent plus ou moins bien. Ce choix politique est le fait d'une structure étatique et ceci nous donne la première clef de l'agrobusiness : c'est l’État qui est le décideur et le maître d’œuvre, le projet répondant aux impératifs de sa politique alimentaire ou à ses besoins d'exportations. -
Études pour la réalisation des travaux d'aménagement de polders et réalisation des pistes de desserte de polders dans la zone du PADL/Diffa / Phase II : avant projet détaillé
L’étude pour la réalisation des travaux d’aménagement de polders et de pistes de desserte s’effectue dans le cadre du Projet d’appui au développement local dans la région de Diffa (PADL Diffa). En effet, le projet d’aménagement de polders en bordure du lac Tchad pour cultures de décrue, objet de la présente étude, est une activité de la composante A du Projet d’Appui au Développement Local de Diffa (PADL - Diffa) et a été conçu à titre de projet pilote visant à valoriser de manière durable l’immense potentiel que constituent les terres fertiles des abords du lac Tchad. -
Diagnostic de l’agrobusiness dans l’aire périurbaine de l’agglomération de la ville de Niamey (Niger)
Cette note présente les conclusions de l’étude, réalisée par un stagiaire de l’Institut Pratique du Développement Rural (IPDR) de Kollo, portant sur les exploitations de l’agrobusiness, à proximité de la ville de Niamey. L’étude, qui s’est déroulée entre les mois de juin et d’aout 2020, a permis d’interroger 23 exploitants de l’aire urbaine de Niamey répondant aux caractéristiques de l’«agrobusiness », afin de mieux les caractériser. -
Assurance qualité pour l'élaboration du livre blanc du schéma d'aménagement foncier dans la région de Tillabéri
Cette consultation d'assurance qualité avait pour objectif d'appuyer les autorités nationales dans l'élaboration du livre blanc du SAF de Tillabéri -
Agri ou agro business autour de Niamey / Typologie des exploitations
Dans les périphéries de Niamey, la mode est à l’acquisition de « jardins ». Ces acquéreurs ne sont pas des exploitants agricoles mais des urbains dans la majorité de cas exerçant une activité économique non liée à l’agriculture. Et ces derniers se lancent dans cette activité de façons spontané avec des investissements assez importants et du matériel moderne répondant à la production agricole (château d’eau, pompe solaire, système d’irrigation, tracteur...etc.) -
Centre agro-entreprise : Mali sustainable economic growth
Au terme de sa deuxième année d’exercice, les résultats obtenus par le Centre Agro Entreprise (C.A.E.) indiquent un démarrage effectif des activités de développement des filières agroalimentaires. Des appuis bien ciblés ont été apportés aux entreprises pour soutenir ces actions de promotion des produits au sein des filières. Les résultats atteints par le Centre, en matière d’amélioration de la transformation et de la commercialisation des produits agroalimentaires, sont ci-dessous présentés, lesquels constituent des résultats intermédiaires du programme SEG. -
Le PPR : une contribution à l’aménagement et à la gestion concertés du potentiel naturel productif des régions de Tahoua et d’Agadez
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation. Cette publication est réalisée par l’assistance technique au Projet Pôles Ruraux, le consortium IRAM–RAIL–ECO Consult–Interarchi.