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Cahier du formateur : Techniques de production de cultures maraîchères. Arboriculture fruitière
Le présent document sert à renforcer les capacitésdes formateurs dans le domaine de l’agroforesterie en PI; il explique les techniques de production des cultures fruitières au Niger, en six grandesz étapes :
1 -- Généralités sur les techniques de production des cultures fruitières au Niger;
-- 2: Production des plants en pépinière ;
-- 3: Opérations de conduite d’un verger de manguiers
-- 4 : Opérations de conduite d’un verger d’agrumes.
-- 5: Opérations de conduite d’un verger de dattiers.
-- 6: Evaluer les apprentissages -
Cereal yield response to conservation agriculture practices in drylands of West Africa: A quantitative synthesis
To address the decline in crop productivity in the drylands of West Africa, many initiatives have focused on combating soil degradation. Various practices including (1) parkland trees associated with crops, coppicing trees, green manure, mulching, crop rotation and intercropping, and traditional soil/water conservation have been tested. The present study attempts to provide a comprehensive, quantitative synthesis of existing reports on the effect of conservation agriculture (CA) practices on crop yield response in Burkina Faso, Mali, Niger and Senegal. Out of a total of 155 reports found, 63 fulfilled all the appropriate criteria to be included in the meta-analysis of the effect of various conservation agriculture practices on the yield response of maize, millet and sorghum. The study revealed significant variability in cereal yield response (and hence risk) with all the practices examined. Despite the variability, the mean effects of the six CA practices on crop yield were more positive than negative except with parkland trees.
However, for this last practice, species like Faidherbia albida exerts more positive impact on crop yield. Yield increases relative to the control were higher with green manure and mulching than with coppicing trees and parklands. Increases in yield in the six CA practices were higher on low to medium productivity sites for maize, millet and sorghum. Coppicing trees and rotations improved yields when the rainfall is >800 mm whereas the opposite happens with parkland and soilewater conservation measures. Mulching performed better when the rainfall is <600 mm. The variability (and hence yield risks) calls for more understanding of the processes and application of appropriate tree management to reduce crop yield losses while still providing products (fruits, leaves, wood, etc.) and services (soil carbon building up) for long-term sustainability of the production systems in drylands of West Africa. -
L’agriculture de conservation
Alors que toute l’histoire de l’agriculture consiste, concrètement et symboliquement, à travailler la terre, la réduction du travail du sol est aujourd’hui présentée par certains acteurs comme un levier intéressant pour améliorer les performances des systèmes agricoles. Cette réduction, voire suppression du travail du sol, est emblématique des systèmes dits en «agriculture de conservation». Mais cette dénomination générale cache en fait une grande diversité de pratiques. Quelles sont les implications de ces pratiques pour le fonctionnement des systèmes de culture? Quelles conséquences réelles ont-elles sur les performances économiques, sociales et environnementales?Et qu’en est-il des potentialités de généralisation de ces systèmes en France?
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Conservation farming
La formation aux techniques de Conservation Farming s’adresse aux producteurs adultes qui ont acquis un savoir et un savoir-faire agricole traditionnel. Ces producteurs ne viennent pas à la formation avec zéro connaissance. Il sera alors utile d’être très modeste et de parler de la technique sans trop entrer dans les détails technico-techniques qui, souvent, sont bien maîtrisés par les producteurs. La formation sur le Conservation Farming se veut très pratique et non théorique. C’est pourquoi elle sera autant que possible séquentielle, principalement pour des auditeurs producteurs amenés à mettre en œuvre le CF : c’est-à-dire découpée en petits modules de quelques heures répartis sur la saison (des modules peuvent être regroupés et dispensés à la suite). Le présent guide se veut un outil de formation des producteurs : il propose de façon simple ces modules pour leur déroulement auprès des producteurs. -
Gestion agro écologique des cultures fruitières et maraîchères
Aujourd'hui, les systèmes horticoles doivent évoluer pour à la fois augmenter leur productivité et prévenir les risques pour la santé humaine et l’environnement. la maîtrise des bio-agresseurs sans recours aux pesticides de synthèses, constitue une voie privilégiée pour la mise au point des systèmes horticoles de demain. l'augmentation de la diversité des plantes cultivées et sub-spontanée dans les systèmes de culture, en favorisant notamment le développement des organismes axillaires ( prédateurs, pollinisateurs, parasitoïdes ... ), permet de contrôler plus durablement les populations de ravageurs. -
L’agriculture de conservation, qu’est-ce que c’est ?
L’agriculture de conservation, nom qu’on a finalement donné à ces nouvelles orientations de production agricole, était née. L’AC (écrit également ACS pour agriculture de conservation des sols), en résumé, ce sont donc les principes suivants : - Le non labour (arrêt de la charrue ; le travail du sol est simplifié, cela va des TCS au pur semis direct SD). - L’implantation de couverts végétaux d’interculture. - Une rotation diversifiée avec le plus possible d’associations végétales (dans le temps et dans l’espace). Aujourd’hui, la tendance va vers une évolution de la terminologie en préférant parfois parler d’agriculture régénérative. -
La culture fruitière sous les tropiques
Ce guide technique du CTA montre comment réussir une culture fruitière sous les tropiques -
Guide de formation sur l'arboriculture fruitière
Ce guide de formation sur les techniques de l’arboriculture fruitière est destiné aux agents d’encadrement des exploitants agricoles pratiquant ou désirant pratiquer l’arboriculture pour une plus grande efficacité dans la conduite des opérations culturales. L’objectif visé à
travers ce document est d’amener ces agents à maîtriser les techniques de l’arboriculture fruitière principalement en zone sahélienne afin qu’ils puissent mieux encadre les exploitants
agricoles. -
L’agriculture de conservation au Maghreb : Les agriculteurs
font évoluer leurs pratiquesCe dossier synthétise une collaboration de Fert avec les agriculteurs et autres acteurs
de l’agriculture de conservation au Maghreb, qui ont été au coeur de la réflexion et de l’action -
Guide pratique de choix des semoirs directs
Ce guide porte sur ma mécanisation du semis en agriculture de conservation au Maghreb au Maroc et en Tunisie -
Le semis direct en Tunisie : situation actuelle et perspectives
Etude réalisée dans le cadre du projet « Agriculture de Conservation au Maghreb » -
Fertilisation en arboriculture
En cultures pérennes et plus particulièrement en arboriculture, on recherche d’abord à maintenir un milieu biologiquement actif avec un équilibre sol/plante garantissant une croissance puis une fructification optimale. Les vergers n’exportent que peu d’éléments minéraux comparativement aux cultures annuelles, seuls les besoins en potassium sont élevés. -
Etude de capitalisation sur l’expérience marocaine en agriculture de conservation depuis 1980
L’Ecole Nationale d’Agriculture de Meknès a été mandatée par l’association Fert pour réaliser une étude de capitalisation sur l’expérience marocaine en agriculture de conservation depuis les années 1980. Le contrat qui lie les deux institutions tente de répondre à la question centrale suivante : Quelle est la situation de l’agriculture de conservation au Maroc et quelles sont les mesures à mettre en place pour son développement à une grande échelle ?
L’objectif principal de l’étude est de disposer d’une image claire sur la situation de l’agriculture de conservation au Maroc et de comprendre comment et pourquoi son développement jusqu’à ce jour est encore limité ? L’étude s’est attachée par ailleurs, à dresser les perspectives d’évolution et à émettre des recommandations et des pistes de réflexion susceptibles d’accompagner son développement. -
Enjeux de l’agriculture de conservation (ac) en zones de montagnes au Maroc
Cette présente note porte sur les enjeux de l’agriculture de conservation (ac) en zones de montagnes au Maroc -
Un semoir de semis direct innovant pour petite mécanisation et traction animale
Note d'information sur des semoirs pour pratiquer le semis direct -
Réduction des doses de cuivre : Vigne, Pêcher, Pommier-Poirier, Olivier
Le cuivre est largement utilisé en viticulture et arboriculture. Avec le soufre, c’est l’un des rares éléments autorisés en agriculture biologique (AB). Il permet de lutter de façon préventive contre de nombreux pathogènes dont il inhibe la germination des spores. Cependant, du fait de son accumulation dans le sol, il peut devenir toxique pour certains organismes qui y vivent. -
Dynamiques d'adoption de l'agriculture de conservation dans les exploitations familiales : de la technique aux processus d'innovation
L’agriculture de conservation (AC) est encore peu adoptée par les exploitations familiales des pays du Sud malgré´ des investissements importants en recherche et développement. Cet article, basé sur une revue non exhaustive de la littérature scientifique et sur les travaux présentés dans ce numéro thématique, explique la faible adoption de l’AC en milieu paysan due à des difficultés de mise en œuvre par les agriculteurs. -
Le semis direct sur couverture végétale permanente (scv)
Ce guide a pour objectif de faire connaître les SCV à un public élargi
• Vulgariser et contribuer à la diffusion des résultats issus de la Recherche
& Développement sur l’agroécologie
• Donner aux lecteurs une base de connaissances et des références pour
de plus amples investigations
• Présenter des études de cas destinées à donner aux lecteurs des
exemples concrets de projets réussis de mise en place de SCV dans les
pays du Sud
• Sensibiliser les acteurs locaux et les décideurs à ce système de culture
• Alimenter les prospectives de diffusion des SCV
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Etude de capitalisation sur l’expérience marocaine en agriculture de conservation depuis 1980
Cette étude capitalise l'expérience du Maroc en matière d'agriculture de conservation depuis 40 ans -
Fiche maraîchage n°3 : le greffage en maraîchage
Cette fiche montre différentes techniques de greffage en arboriculture -
Cultiver sur couverts végétaux couchés en maraîchage, faisabilité et premiers résultats : courge en Occitanie
Cette présentation évalue la faisabilité de la mise en place technique et pratique d’une culture de courge derrière un engrais vert préalablement couché -
Agriculture du carbone : Couverts végétaux, Techniques superficielles, Agriculture Biologique et Agroforesterie
Synthèse des deux journées de rencontre et d’échanges entre agriculteurs du Sud-Ouest de la France -
Agriculture de conservation : meilleures pratiques pour les petites exploitations agricoles aux ressources limitées
L’agriculture de conservation (AC) est une approche de gestion des terres qui permet d’économiser les ressources et qui optimise et maintient la capacité des sols à produire de la nourriture. -
Fascicule de cours : gestion intégrée de l'arboriculture fruitière
L'arboriculture fruitière comme le maraichage constitue une activités complementaire de la protection vivrière qui est le fondament de toute politique d'autosuffisance alimentaire. -
Potentiel agrumicole de Timia
Au Niger, quatre régions produisent 95% de la production du pays en agrumes. Il s'agit de la région d'Agadez qui produit 41%, suivie de Zinder, de Maradi et Tillabéry 5% (MDA, 2008).
L’essentiel de la production d’agrume qui place la région d’Agadez première en agrumiculture provient essentiellement des communes de Timia, Tabelot, Dabaga et Tchirozerine.
C’est dans ce cadre que cette étude sur le potentiel de production de Timia et diagnostic de la filière agrumicole, a été initiée par l’ONG HED Tamat et exécuté conjointement par la Direction régionale de l’Agriculture (DRA) d’Agadez et le GIE Tagazt. Elle a pour objectif global de guider les acteurs locaux et nationaux pour la mise en œuvre de politiques efficaces et cohérentes de valorisation des productions d’agrumes de Timia. De façon spécifique, l’étude doit permettre une meilleure connaissance du potentiel productif de la commune et faire le diagnostic de la filière.
Le présent rapport est la synthèse des travaux de recherches documentaires et une enquête terrain réalisés dans les communes dans une dizaine de sites et dans 382 vergers d’agrumes. Il rappelle le contexte de l’étude, la méthodologie de travail et les résultats de l’étude. -
L'ABC du verger
Livre grand public vulgarisant des techniques arboricoles, principalement à destination d'un public occidental. -
Analyse des pratiques agricoles des producteurs d’Aguié: opportunités et contraintes pour le développement des systèmes d’agriculture de conservation
Dans les villages d’Aguié les systèmes de cultures se différencient par leurs diversités. On distingue 8 systèmes de culture (SC) à El Guéza et Guidan Bakoye dominés par des associations culturales. Dans chaque type d’association les céréales sont toujours présentes avec une légumineuse. Selon les producteurs d’Aguié, les systèmes de cultures sont aujourd’hui caractérisés aussi par la rotation entre une association des cultures (céréales + légumineuses) et une céréale en pure sur une année de production. Cette rotation est guidée par le souci premier des producteurs de gérer de la fertilité des sols qui constitue l’une de leurs préoccupations. -
État des lieux sur l’expérience de l’Agriculture de Conservation au Niger
Le Niger est situé dans la région Sahélienne qui traverse la bande du désert du Sahara. Le pays fait partie des pays les plus pauvres du monde et possède une population de 14 millions d’habitants dont la majorité (85%) pratique l’agriculture de subsistance (République du Niger. 2008) En Afrique sud saharienne, la sécurité alimentaire demeure une préoccupation majeure. Le développement de la production agricole observé ces dix dernières années est loin d’atteindre les besoins d’une population sans cesse croissante, 239 millions sur 863 millions de personnes sont mal nourris en 2010 (FAO, 2011). Les rendements des cultures restent parmi les plus faibles du monde ; l’extension des superficies de la production céréalière durant ces 50 dernières années a atteint 60% alors que les rendements ne sont que de 40% (Challinor et al., 2007). -
Fertilisation raisonnée en arboriculture fruitière
Ce guide est destiné à toutes les personnes désirant réaliser une fertilisation qui optimise la qualité de la production et le résultat économique du verger, tout en préservant l’environnement. Une première étape, indispensable pour aboutir à ce résultat, réside dans une bonne connaissance des besoins des différentes espèces fruitières. Comment se nourrit l’arbre ? Quels sont les éléments minéraux nécessaires et en quelles quantités ? À quels moments sont-ils prélevés ? L'observation du fonctionnement du sol est la base de la nutrition des arbres fruitiers. Cela passe par une observation indispensable du profil racinaire des arbres, une bonne préparation du sol avant plantation et une gestion de l'alimentation hydrique adaptée au sol. Pour faciliter le raisonnement différents outils sont actuellement disponibles. L’analyse de sol guide sur les fumures de correction à apporter. Le reliquat azoté permet un pilotage en temps réel de la fumure azotée du verger. Enfin l’analyse foliaire permet de valider le pilotage de la fertilisation réalisé à partir de l’analyse de sol et du reliquat azoté. -
Etude de Développement des Oasis Sahéliennes en République du Niger (EDOS)
Support de formation sur l'arboriculture fruitièreCe guide de formation sur les techniques de l'arboriculture fruitière est destiné aux agents d'encadrement des exploitants agricoles pratiquant ou désirant pratiquer l'arboriculture pour une plus grande efficacité dans la conduite des opérations culturales. -
Définition du conservation farming : les projets et programmes au Sénégal
L'Agriculture de Conservation (AC) ou Conservation Farming (CF) est un système de production basé sur la conservation des sols, voire l'amélioration de leur potentiel productif naturel (fertilité), en vue d'obtenir des rendements optimums et réguliers. -
Généralités sur le conservation farming
L’Agriculture de Conservation (AC) ou Conservation Farming (CF) est un système de production basé sur la conservation des sols, et voire l’amélioration de leur potentiel productif naturel (fertilité), en vue d’obtenir des rendements optimums et réguliers. -
Tronc commun aux conservations farming
La conservation Farming sur le volet tronc commun nécessite un meilleur choix et test du sol, une mesure de la parcelle et des mesures des interlignes et des interplants. -
L'arboriculture fruitière au Niger
Ce diaporama présente différentes espèces végétales cultivées au Niger -
Rapport général du module maraîchage
Les caractéristiques des sites de production, les caractéristiques socioéconomiques des exploitants, les superficies, les productions, le chiffre d’affaires, les difficultés sont autant d’informations utiles à l’élaboration des politiques dans le maraîchage. Pour ce qui concerne, les caractéristiques des sites, on comptait en 2008 environ 4 844 sites maraîchers. La majorité (79,5 %) de ces sites est exploitée de façon saisonnière. Sur plus de 68 % des sites maraîchers, les exploitants ne sont pas organisés et seulement 29,8 % des sites maraîchers abritent des groupements d’exploitants maraîchers. -
Contribution à l'amélioration de l'agriculture de conservation (conservation farming) dans la commune rurale de Doungou (Kantché/Zinder)
Cette étude à contribuer pour l'amélioration de l'agriculture de conservation dans la commune rurale de Doungou. Les données sont collectées à travers des enquêtes individuelles. -
Etude des jardins de Tabelot et des Bagzan dans le massif de l'Air : contribution au développement local dans le Nord Niger
Cette partie, après avoir présenté l'historique de la création des jardins, propose de décrire le fonctionnement technique des jardins. Pour cela, il est nécessaire de caractériser d'abord les moyens de production nécessaires au fonctionnement d'un jardin, à savoir le foncier, les ressources en eau, la main d'œuvre et le capital. Dans un deuxième temps seront analysés les traits dominants des systèmes de culture en place tout en insistant sur certains aspects singuliers de ces systèmes. Cette présentation se justifie pour plusieurs raisons : les jardins constituent non seulement un objet d'étude pour l'agronome impliqué dans le développement de la région, mais le fonctionnement des jardins est également une composante essentielle du système agraire de l'Aïr. En effet, les systèmes de production sont variés et dépendent de chaque exploitation mais les systèmes de culture (et d'élevage) sont relativement homogènes. Ces derniers sont largement dictés par les conditions d'exploitation du milieu (disponibilité en eau notamment) ainsi que par les marchés et filières en place. Comprendre l'organisation du système agraire régional implique une analyse descriptive détaillée du fonctionnement des jardins et des systèmes de production en place. Cette partie débouche sur un certain nombre d'observations concernant la dynamique actuelle des jardins et sur les orientations que cela implique en termes de stratégies de développement. -
Note technique : le grenadier et la production de grenades
Originaire du proche Orient (Iran et régions voisines), le grenadier fait partie de la famille des Punicaceae. En général, on utilise le mot grenade pour le fruit et grenadier pour désigner l’arbre. Le mot « grenadine » est utilisé pour le sirop ou le jus de fruit obtenu avec les fruits. Cependant, au Niger, le mot « grenadine » sert à désigner les fruits. Les grenades sont mondialement reconnues pour leur teneur exceptionnelle en antioxydants et leurs multiples vertus pour la santé. La grenade a pour nom scientifique Punica granatum. En langue Tamasheq elle est nommée jernat, rôeman ou alkadam, d'autres l'appellent kawandan, en langue Haoussa rouman. -
Visite de la ferme d’un promoteur à Takalmaoua particularité du site : arboriculture, pisciculture, maraichage et élevage
Le site de ce promoteur est situé dans la vallée de Takalmaoua sous les coordonnées géographiques N14°58’01.31’’ E05°18’07.14’’, à 10 km au Nord-Est de la ville de Tahoua. Il a été créé en 2013 par un privé passionné d’agriculture, descendant d’un pisciculteur de Gaya. Les investissements réalisés sont financés sur fonds propres de l’exploitant. Le site couvre une superficie de plus de 8 hectares, le promoteur a recruté six (6) ouvriers permanents qui vivent jours et nuit dans cette exploitation, il emploie également plus de 10 personnes en main d’œuvre temporaire qui sont mobilisées en cas de besoin pendant les travaux de préparation du sol, le repiquage, le sarclage et la récolte. Cette exploitation comporte différents systèmes de culture :
- L’arboriculture fruitière (manguiers, agrumes, goyaviers, dattiers, papayers, etc.) ;
- Le maraichage (tomate, poivron, oignon, ail, pastèque et moringa) ;
- Pisciculture (carpe, capitaine, silure) ;
- Élevage (bovins, ovins, caprins, lapins, poules, pigeons, canards). -
Renouvellement arboricole et régénération des palmeraies dans la région d’Agadez
Dans le bassin de production de Timia, la production d’agrumes connaît une progression ces dernières années, si on tient compte des quantités commercialisées qui passent de 253 tonnes en 2013 à 551 tonnes en 2018). Cela liée surtout à la progression des superficies emblavées. Cela est lié à la rentabilité de cette culture malgré certaines insuffisances en techniques de production. Les conditions d’une amélioration de la production et de la rentabilité existent vue l’engagement des producteurs et les disponibilités en terres, en eau et en technologies nouvelles. Cependant, le souci principal des producteurs demeure : comment mieux vendre les agrumes aujourd’hui et demain? Dans les nouvelles zones de production, à savoir Tabelot, Dabaga, Tchirozérine et Ingall (Carte 1), la production est embryonnaire, compte tenu du niveau technique faible des producteurs et de l’insuffisance de l’eau d’irrigation durant une partie de l’année. Dans la Commune Urbaine d’Agadez, un type nouveau de producteurs a fait son apparition, notamment des fonctionnaires et des commerçants, avec des superficies assez importantes et une ambition pour faire une production améliorée et variée. -
Le succès d’un verger repose aussi sur des plants sains
En Suisse, l’approbation/la certification des arbres fruitiers n’est pas encore ancrée dans les habitudes, bien qu’elle constitue l’unique garantie d’avoir des plants exempts de virus et de phytoplasmes. Comme la certification est facultative en arboriculture fruitière, l’offre en plants certifiés dépend de la demande. Les virus et phytoplasmes peuvent provoquer des dommages économiques plus ou moins graves selon l’année, l’espèce fruitière et la variété. Ces pertes à la récolte ont été calculées avec le modèle ARBOKOST développé par Agroscope. Une virose réduisant le rendement de 15% seulement peut se traduire par une perte de 50000fr./ha dans une culture de Golden Delicious établie depuis quinze ans.