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Profil de Moyens d’Existence: Agriculteurs Djerma-Zone Agricole Centrale - Département de Dosso
L’installation des premières populations djerma dans la zone et la fondation de la majorité des villages remonte à plusieurs siècles, le plus souvent datées du XIVe au
XIXe siècle. Ces populations étaient à la recherche de terres cultivables et de points d’eau mais parfois aussi en fuite et cherchant à échapper à des guerres tribales ou à la
traite des esclaves qui se manifestait principalement par des incursions Hausa en
provenance du sud. -
Etat des lieux des banques céréalières
Les banques céréalières ont pour but l’amélioration de la sécurité alimentaire à travers une politique visant à assurer la disponibilité et l’accessibilité des céréales aux ménages en période de soudure. Dans ce sens, beaucoup de Partenaires Techniques Financiers (PTF) prévoient d’accompagner le Gouvernement dans la mise en place des banques céréalières au cours des prochaines années. C’est le cas du PAM à travers l’Intervention Prolongée de Secours et de Redressement (IPSR) (2007-2009) et le CP destiné, entre autres, à la création et au renforcement des BC. En outre, la CCA prévoit chaque année des ressources (Stock National de Sécurité et/ou Fonds Commun des Donateurs) pour la mise en œuvre de la composante BC de son plan de soutien aux populations vulnérables.
Toutefois, en dépit de la volonté affirmée du Gouvernement et des efforts consentis ces dernières années avec l’aide de ses PTF, les résultats atteints restent mitigés comme en témoignent les conclusions de l’étude sur le recensement des BC au Niger (Ministère du Développement Agricole, Juillet 2006).Ainsi, selon cette même étude, plus de la moitié des BC ne sont ni opérationnelles ni viables par rapport au niveau actuel de leurs ressources et totalisent près de 900 millions de Francs CFA de crédits non remboursés. -
Intensification de l'agriculture par le renforcement des boutiques d'intrants coopératives (IARBIC) : Réhabilitation et renforcement des moyens de subsistance de population rurale du Niger face à la flambée des prix des denrées alimentaires et intrants agricoles
Le Niger, pays enclavé caractérisé par un climat rigoureux et des sols pauvres en voie de désertification présente une forte croissance démographique et de très faible indicateurs sociaux. L'économie du pays repose essentiellement sur le secteur primaire (agriculture et élevage) qui représente 36 pour cent du produit intérieur brut et qui fournit 84 pour cent des emplois. L'insécurité alimentaire est caractérisée par des déficits récurrents au niveau des ménages entre le production des denrées de base et les besoins alimentaires. -
Stratégie nationale des banques céréalières du Niger
La présente stratégie nationale traduit la volonté de l’État et les divers intervenants de définir un cadre cohérent et adapté à la réalité nigérienne en vue de promouvoir les banques céréalières au Niger soutenues par divers partenaires techniques et financiers. Elle comporte les éléments essentiels pour assurer la réussite des banques céréalières. -
Profil des moyens d'existence : Région de Zinder, Magaria - zone centrale de cultures de céréales, de niébé et d'arachide
La zone de subsistance centrale de cultures de céréales, de niébé et d’arachide de Magaria est située dans le sud-est du département qui est entouré au nord par la zone de subsistance irriguée de Magaria/Kantché et au sud par la région qui longe la frontière entre le Niger et le Nigeria, à l’extrémité sud du département. Cette région était, autrefois, la première région de production d’arachide au Niger, ce qui explique qu’aujourd’hui l’arachide est la culture la plus associée à cette zone. Outre l’agriculture, les principales activités économiques sont l’élevage du bétail, le petit commerce et le travail indépendant comme la production d’huile d’arachide et la vente de bois de chauffage.