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Stratégie de la Petite Irrigation au Niger : Plan d'actions
Dans l'optique d’appuyer la mise en oeuvre de la SPIN, un plan d’action assorti d’un cadre logique sous-tendant l’intervention ont été élaborés. Le plan d’action est une traduction en termes d’activités et de budget des ambitions de la SPIN qui doivent conduire à terme à un développement décentralisé pérenne de la petite irrigation basé sur une demande contributive. Le cadre logique illustre les liens entre les résultats attendus à court terme (18 produits identifiés), les résultats à moyen terme (2 effets globaux auxquels se rattachent 4 effets spécifiques) et le résultat à long terme (l’impact). -
Plan Stratégique de Renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation
Le PSRCA/PI est un cadre d’orientation pour l’ensemble des interventions de l’administration et des projets ou des Partenaires Techniques et Financiers dans le renforcement des compétences en PI. Il trace les principaux axes d’orientation de l’Etat du Niger dans le domaine du renforcement des compétences des acteurs de la PI.
Le plan stratégique clarifie et organise l’utilisation des ressources disponibles pour atteindre l’objectif global.
Il s’appuie sur une le contexte, la situation, et les différentes études complémentaires concernant les besoins en formation des différents acteurs de la PI dégage Les objectifs et Les orientations pour les dix ans à venir. -
Le dispositif institutionnel de la SPIN
Cette affiche présente le cadre institutionnel de la SPIN avec les différents organes. -
Évaluation du potentiel et des contraintes de la petite irrigation au Niger -- renforcement des capacités d’élaboration d’un plaidoyer et de dialogue politique des organisations paysannes
Ce document est une synthèse du rapport d' évaluation du potentiel et des contraintes de la petite irrigation au Niger : renforcement des capacités d’élaboration d’un plaidoyer et de dialogue politique des organisations paysannes . il traite des points ci-dessous:
-- Investissements, charges d’exploitation et résultats économiques;
-- Risques économiques, maîtrise de la production et de la commercialisation a traité des points ci-dessous:
-- Financement de la petite irrigation;
-- Sécurisation foncière et marché des terres;
-- Ressource en eau et potentiel irrigable;
-- Renforcement des capacités des Organisations paysannes. -
Entretien des infrastructures hydrauliques de petite irrigation: Note de synthèse
Cette note afirme que selon la FAO, chaque année, les surfaces aménagées sont abandonnées à cause du mauvais entretien des infrastructures.
Les petits périmètres n’échappent malheureusement pas à cette loi. C’est pourquoi, cette problématique doit être mise en débat dans toutes ses composantes auprès de l’ensemble des acteurs concernés. -
Manuel du formateur : conception et analyse technique, économique et financière des projets en petite irrigation
Ce manuel est destiné aux prestataires de services (publics et privés) en charge de l’élaboration des dossiers de projets de la petite irrigation.
Il propose à chaque étape les connaissances et les techniques de base nécessaires à l’élaboration des plans de déroulement des modules, à l’animation des séquences de formation et à l’élaboration des épreuves d’évaluation des apprentissages. -
Techniques de production des cultures irriguées -- Carottes
Le présent document s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du PSRCA. Il traite des techniques de production des cultures maraîchères (Carotte). Le manuel aborde cette culture dans sa généralité, dans la conduite de la culture, la production des semences etc... -
Techniques de production des cultures irriguées -- Poivron et piment
Ce document sert de guide aux formateurs afin de parfaire leurs compétences professionnelles en terme pédagogiques. il traite des techniques de production des cultures irriguées"poivron et piment à travers les séquences ci-dessous:
1 -- Généralités sur la culture du poivron et du piment au Niger.
2 -- installation d’une pépinière de culture de piment ou de poivron.
3 -- Opérations d’entretien d’une culture de poivron et du piment.
4 -- Techniques de production locale de semences;
5 -- Evaluer les apprentissages -
Cahier du formateur : Techniques de production de cultures maraîchères -- Aubergine
Ce manuel est destiné aux prestataires publics et privés chargés du renforcement des capacités des producteurs de la PI. Il sert de guide aux formateurs afin de parfaire leurs compétences dans la production de l' aubergine . Ce cahier encourage une approche à la formation axée sur la compétence qui se fonde sur les principes de l’apprentissage des adultes. -
Irrigation par Aspersion
La gestion de l’eau d’irrigation constitue l’une des thématiques prioritaires du PSRCA/PI. le présente module de formation sur « l’irrigation par aspersion a été élaboré dans ce cadre. il aborde le principales composantes du système d'irrigation par aspersion, l’équipement et techniques de raccordement ,les types de réseaux adaptés. -
Entretien et réparation de la moto-tarière
Ce module est destiné à ceux qui utilisent régulièrement la moto tarière, plus particulière aux prestataires de service dans le domaine du captage d’eau d’irrigation. Il peut être utiliser aussi dans les centres de formation professionnelle et technique (CFPT). L' objectif visé est de fournir des informations nécessaires pour une bonne utilisation de la moto tarière. -
Technique de fonçage des forages maraichers manuels
Ce manuel est élaboré dans le cadre de la mise en oeuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministèredel’Agriculture avec l’appui du PromAP à travers sa composante2, qui a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation.
Il destiné aux prestataires de services en charge du renforcement de capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la PI. Il donne aux formateurs des références théoriques et pratiques pour mettre en oeuvre des actions de formations. -
Réparation et entretien des petites motopompes
Le présent document s’inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre du PSRCA-PI.du« Plan Stratégique de Renforcement des compétences des Acteurs de la Petite Irrigation » (PSRA-PI) qui prévoit l’élaboration de curricula et modules de formation officiellement reconnus. il traite de spécification technique des motopompes, typologie et réparation et d'entretien des motopompes. -
Cahier du formateur : Techniques de production maraîchère -- Oignon
Ce manuel est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la PI. Il explique les techniques de production de l'oignon selon les étapes ci-dessous:
1 -- Description des généralités sur la culture de l’oignon au Niger;
2 -- Description de la conduite d’une pépinière de culture d’oignon;
3 -- Opérations d’entretien d’une culture d’oignon;
4 -- Techniques de production locale de semences;
5 -- Evaluation des apprentissages. -
Cahier du formateur: techniques de production des cultures irriguées -- ( de la laitue)
Le présent document sert à renforcer les capacités des formateurs dans le domaine du maraîchage irrigué ; il explique clairement, les techniques de production de la culture culture de la laitues au Niger, en cinq grandes étapes
1 -- Généralités sur la culture de la laitue au Niger
2 -- Description de l’installation d’une pépinière de culture de laitue ;
3 -- Explication des opérations d'entretien de la culture de laitue;
4 -- Description des techniques de production locale de semences;
5 -- Évaluer les apprentissages -
Cahier du formateur : Techniques de production des cultures maraîchères : chou
Ce document sert de guide aux formateurs afin de parfaire leurs compétences professionnelles en terme pédagogique avec de bonnes bases pour amorcer l’élaboration des activités.
Ce cahier traite en effet, de:
1 -- Description des généralités sur la culture du chou au Niger;
2 -- Description de la conduite d’une pépinière de culture de chou;
3 -- Explication détaillée des opérations de conduite d’une culture de chou;
4 -- Description des techniques de production locale de semences -
Techniques de production des cultures irriguées -- Moringa (cahier du formateur)
Destiné aux prestataires publics et privés chargés du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la petite, ce cahier de formateur qui traite des techniques de production du moringa à savoir:
1 -- Généralités sur la culture de Moringa au Niger;
2 -- Conduite d’une pépinière de culture de Moringa;
3 -- Opérations de conduite de la culture du Moringa;
4 -- Description des techniques de production locale de semences de moringa
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Manuel d’irrigation goutte à goutte dans la Région de Zinder
Le présent manuel présente les techniques d'irrigation aux goutte à goutte appliquées aux spécificités de la région de Zinder -
Production et vente de la nigelle à Atkaki au Niger
Cette fiche explique l'itinéraire technique sur la culture de la Nigelle. Elle explique les travaux du sol , la qualité des gousses et la facilité à la récolte. le choix des semences, la meilleure période de semis, le type et le dosage d'engrais par hectare, le respecter la fréquence des arrosages. -
Utilisation du réseau californien pour les cultures irriguées
Cette fiche explique la technique du réseau californien qui est un système de micro-irrigation développé en Californie. Il consiste à distribuer l’eau aux cultures par des tuyaux souterrains en PVC rigide (diamètre 40-50 m). Le réseau de tuyaux est enterré à 0,5 m pour les protéger des UV et des travaux agricoles. -
Irrigation par goutte à goutte
cette fiche présente une brève description de l’innovation
"’irrigation par goutte-à-goutte "" qui est une est une innovation
exogène introduite en zone de cultures maraîchères par des projets de développement, institutions de recherche et services techniques. C’est un procédé qui consiste à utiliser des microdiffuseurs installés sur les canalisations, très proches du sol. -
Utilisation du pompage solaire pour l'irrigation
Cette fiche explique le pompage solaire, qui est une innovation exogène recommandée aux producteurs par des ONG, projets de développement et services techniques au Niger. Elle s’inscrit dans le cadre de l’optimisation du captage et de l’exhaure de l’eau pour la petite irrigation. Mr Sidi Bila, producteur et natif du village d’Alikinkin, commune urbaine d’Agadez, a adopté l’innovation; il explique les différentes étapes à suivre. -
Production de l'ail en irrigué
Cette fiche présente l'itinéraire technique de la production de l' ail ; elles explique les dispositions à prendre pour réussir la production de l’ail en culture irriguée
selon Mr Assoumana Moussaproducteur du village de Dara, commune de Tamaské, département de Keita. -
Production du gombo en irrigué
Cette fiche d'innovation présente les différentes techniques de production du gombo en irrigué au niveau du village de Chacott, Région de Tahoua. Originaire de l’Ethiopie le gombo est une plante de saison sèche, très exigeante en chaleur, lumière et humidité. Produit en irrigué pour La commercialisation cette culture est une innovation endogène initiée en 2009 par des femmes du village de Guidoma, Région de Tahoua au Niger. -
Système californien d’irrigation à basse pression
Le document explique le système de distribution à basse pression connu sous l’appellation de « réseau californien » ; un système d’irrigation très efficient pour les groupes de fermiers à petite échelle africains. -
Production de la tomate dans les zaї en hivernage
La culture de la tomate dans les Zaï en hivernage est une innovation endogène initiée en 2016 par Mr Tahirou Sabo, natif de village de Magou, département de Torodi.
La période propice est la saison sèche fraiche ; l'itinéraire technique décrit pas à pas les différentes étapes de cette technique. -
Irrigation par aspersion à Agadez
Cette fiche d'innovation traite de la technique d’irrigation par aspersion s’adapte à la plupart des types de sol. Elle est une bonne irrigation pour les sols sableux à taux d’infiltration assez fort. L’aspersion est une technique d’irrigation innovante exogène introduite par le GIE AÎR à Gofat Est, Agadez. L’eau est apportée aux plantes sous la forme d’une pluie artificielle. -
Aménagement et préparation du terrain en maraîchage. Pratiques paysannes au Niger
Cette note présente les explications du choix des planches de 10 m2 et fait un tour des pratiques paysannes que l’on rencontre au Niger. Ces pratiques peuvent s’expliquer, dans la majorité des cas, par les contraintes que rencontrent les producteurs et productrices et donc des choix raisonnés pour s’adapter. -
Typologie des systèmes irrigués Afrique de l'Ouest
La typologie suivante a été établie dans le cadre du projet APPIA pour la partie Afrique de l’Ouest. Elle concerne cinq pays sahéliens : Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Sénégal. -
Conférence électronique - Entretien des infrastructures hydrauliques de petite irrigation - Étude de cas : périmètre de Tillakaina
Cette étude porte sur le périmètre de Tillakaïna, il est le plus petit (3438 ha), d’un ensemble de 4 périmètres réalisés pour la polyculture.
Ce périmètre, à l’instar des autres est confronté à plusieurs problèmes dont le mauvais entretien des différents réseaux d’irrigation, de drainage et de circulation. -
Séminaire national sur le Développement de l' Irrigation au Niger -- Annexes
Ce document est une compilation des contributions de différents Ministères et institutions invités sur le développement de l' irrigation au Niger au cours du séminaire national tenu à Birni Konni du 1ier au 6 février 1989. -
Diagnostic des acteurs et des systèmes d’innovation dans la petite irrigation au Niger
le présent document analyser les dynamiques institutionnelles et organisationnelles des systèmes d’innovation de la petite irrigation au Niger pour créer un environnement propice à l’identification, la validation et la diffusion des innovations de la petite irrigation . Il aborde les systèmes d’innovations dans la PI, dont :
- les rôles des acteurs
- les institutions concernées
- les contraintes, les défis;
- la caractérisation de la « culture d’entreprise des acteurs.
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Étude de faisabilité de construction de contre puits dans la petite irrigation dans l'Aïr
Ce document et le résultat d'une étude menée par le PromAP en vue d'une mise au point technique, économique et sécuritaire sur la stabilisation des contre-puits dans la petite irrigation afin de faciliter l’exhaure d’eau par motopompe. Il identifie tous les types d’accidents relatifs à l’utilisation des contre puits inadaptés sur les sites maraîchers; il propose des solutions techniquement adaptées servant des prémices à l’élaboration du module relatif. -
Étude diagnostique des innovations en petite irrigation dans la région de Tillabéri
Cette étude diagnostique est centrée sur les contraintes des producteurs; elle vise à apprécier la pertinence des innovations agricoles dans le domaine de la petite irrigation dans les trois zones du PromAP, selon les 3 éléments de base :
1- technologique, y compris de nouvelles variétés ou races et les pratiques de gestion des sols ou de l’eau ;
2 - organisationnel, dans le sens d’organiser et de transmettre des connaissances suivant une nouvelle méthode ;
3 - institutionnel, en matière de règles, cultures, valeurs, normes, comportements, politiques et lois. -
Étude au laboratoire sur les risque liés à l'utilisation du gaz butane comme source d'énergie sur les moteurs à 4 temps sur l'homme et son environnement
Cette étude fait l’analyse au laboratoire des risques liés à l’utilisation du Gaz Pétrolier Liquéfié (GPL), comme source d’énergie sur les moteurs thermiques 4 temps à essence, sur l’homme et son environnement en petite irrigation. Cas d'un motopompe à essence au Niger. -
Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de Daibéry : Région de Tillabéri - Niger
Cette étude a été initié par le projet USAID/ WAIPRO aborde quatre volets d'activités interconnectées :
- 1: Diagnostic comprenant étude générale, analyse participative des contraintes et des opportunités des systèmes irrigués existants.
- 2: élaboration des plans d'intervention, et les mettre en oeuvre sur des systèmes irrigués pilotes;
- 3: Renforcement des capacités, synthèse, communication et diffusion des leçons apprises;
- 4: Promotion de l'eau agricole et de l'irrigation à petite échelle . -
Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de Djirataoua: département de Madarounfa -Niger
Cette étude a été initié par le projet USAID/ WAIPRO aborde quatre volets d'activités interconnectées : - 1: Diagnostic comprenant étude générale, analyse participative des contraintes et des opportunités des systèmes irrigués existants.
- 2: élaboration des plans d'intervention, et les mettre en oeuvre sur des systèmes irrigués pilotes;
- 3: Renforcement des capacités, synthèse, communication et diffusion des leçons apprises;
- 4: Promotion de l'eau agricole et de l'irrigation à petite échelle . -
Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de Galmi -Niger
Cette étude a été initié par le projet USAID/ WAIPRO aborde quatre volets d'activités interconnectées :
- 1: Diagnostic comprenant étude générale, analyse participative des contraintes et des opportunités des systèmes irrigués existants.
- 2: élaboration des plans d'intervention, et les mettre en oeuvre sur des systèmes irrigués pilotes;
- 3: Renforcement des capacités, synthèse, communication et diffusion des leçons apprises;
- 4: Promotion de l'eau agricole et de l'irrigation à petite échelle . -
Enquête sur l'impact lié à la formation des réparateurs de motopompes dans la gestion de l'eau sur les sites de la zone d'intervention du PromAP à Agadez
Cette étude vise à apprécier les effets et les changements résultant de ces formations sur la conduite du maraîchage au niveau des sites d’intervention du PromAP /antenne d’Agadez. Le document traite des informations sur la qualité de la prestation, les pannes les plus fréquentes, l'impact sur la production, les effets de la sensibilisation sur les risques liés à l'utilisation des motopompes. -
Étude sur la situation de référence sur l' irrigation privée au Niger
Le présent document se propose d'apporter des informations relatives au diagnostic de la situation actuelle au niveau de développement des technologique des exploitations,à la mise en valeur des principales spéculations, pratiquées , aux contraintes et atous liés au développement de l'irrigation privée et enfin aux aspects institutionnels. -
Etude diagnostique pour la mise en réseau des acteurs autour des chaînes de valeur prioritaires au niveau des sites de production du PromAP dans les régions d’Agadez et Tahoua
pour faciliter l’initiation des plateformes d’innovation de la petite irrigation dans les sites de production autour des chaines de valeur prioritaires identifiées dans les régions de Tahoua et Agadez et d’analyser les initiatives des plateformes déjà existantes dans la région de Tillabéri afin d’en tirer les leçons pour la mise en place et l’accompagnement des nouvelles plateformes.
Ce rapport présente les constats et les recommandations issus du processus de mise en oeuvre de cette prestation qui a concerné les régions de Tillabéri, Tahoua et Agadez -
Irrigation privée et petites motopompes: Au Burkina faso et au Niger
Ce document analyse les résultats d'une enquète portant sur 115 maraichers répartis sur 8 régions du Burkina Faso. -
Comment adapter une motopompe pour l’alimenter au gaz butane ?
Fixer le flexible au détendeur
Fixer le détendeur à la bouteille
Contrôler la tête du gicleur
Serrer le collier de fixation du tuyau au gicleur
Vérifier le bon fonctionnement de l’aspiration et du refoulement -
Le jardin potager dans les zones tropicales
Livre produit par le CTA, proposant des conseils pratiques pour la production maraîchère et arboricole -
L’utilisation du gaz butane pour la petite irrigation au Niger
Au Niger, utiliser du gaz butane en remplacement de l’essence pour alimenter une motopompe permet de réduire les coûts de l’irrigation -
Comment adapter une motopompe pour l’alimenter au gaz butane ?
Trois étapes sont nécessaires pour modifier l’alimentation d’une motopompe afin qu’elle fonctionne avec du gaz butane. -
Comment adapter une motopompe pour l’alimenter au gaz butane ?
Ce poster décrit comment adapter une motopompe pour l'alimenter au gaz butane -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce document décrit la tomate (Lycopersicon esculentum), les itinéraires techniques de sa production et conditionnement au Sénégal et la gestion des ennemis de cette cultures -
Critères de dimensionnement solaire pompe tuyaux réservoir
Comment dimensionner un système d'irrigation solaire en fonction des paramètres du captage (profondeur, capacité de recharge,...) ? -
Analyse des contraintes hydrauliques du périmètre irrigue de Daibery (Niger) et mise en place d’un jeu d’indicateurs de performance
Cette étude a été réalisée sur le périmètre irrigué de Daïbéry au Niger dans le cadre du projet WAIPRO. Elle consiste à analyser les contraintes hydrauliques par le biais d’un bilan de fonctionnement hydraulique et d’une mise en place d’un jeu d’indicateurs de performance sur le périmètre. Elle a été basée sur des données collectées sur le terrain et quelques rapports techniques relatifs à ce périmètre. Un état de lieu du périmètre a été réalisé, ainsi que des estimations ont été faites sur les quantités d’eau lâchées au niveau de la station de pompage et les besoins en eau des cultures. -
Système d'information sur la petite irrigation
Le système d’information développé dans les régions de Maradi et Dosso dans le cadre du programme UNIL-PAPI a pour but de fournir une base de données et un ensemble d’analyses permettant d’adapter les modes d’action du PAPI aux réalités très diverses des zones d’interventions.
Globalement les données dont nous disposons confortent l’intérêt pour la petite irrigation -
Stratégie de petite irrigation au Niger (SPIN)
La disparité et dispersion des moyens apportés aux producteurs de la petite irrigation, la faible harmonisation des procédures d’appui et soutien aux exploitants, ainsi que le manque de cohérence entre les stratégies et interventions des différents partenaires, ont amené le Gouvernement avec les représentants des Collectivités territoriales, les Partenaires Techniques et Financiers à élaborer la Stratégie de la Petite Irrigation du Niger (SPIN).
Les principes directeurs de cette stratégie sont basés sur l’exploitant ; un engagement basé sur une demande motivée, une appropriation viable et durable des aménagements qui reposent sur un processus programmatique décentralisé et déconcentré.
La SPIN représente ainsi le cadre unique d’harmonisation et programmatrice du sous-secteur de la petite irrigation en regroupant toutes les actions de réponse aux expressions de demande du renforcement de l’appareil productif des producteurs. -
Stratégie de la Petite Irrigation au Niger : Plan d'actions
Le Niger dispose d’un potentiel de terres irrigables estimé à 270.000 ha, soit environ 2% de la surface cultivable où seuls, 107.000 ha sont mis en valeur. Les ressources en eau sont relativement importantes. Le potentiel en eau de surface est sommairement estimé à 32 milliards de m et les écoulements souterrains renouvelables représentent un volume annuel d’environ 2,5 milliards de m. Dans la plupart des zones potentielles de la petite irrigation (PI), l’eau est accessible même s’il faut signaler des déficits perceptibles par une baisse du niveau dynamique dans l’Aïr, les cuvettes du Manga, de la Maggia et de la Tarka. -
Manuel d’utilisation du système d’irrigation solaire à distribution goutte à goutte, Makalondi - Niger
La surface horticole de Makalondi se trouve à environ 8 km en direction Sud Est du centre du commun. En cette zone la nappe a une profondeur d’environ 10 mètres, en proximité d’une surface qui présente de l’eau libre en saison de pluies. L’area objet des installations est composée par deux parties séparées par une haie. La première partie est au Nord de la haie et a un périmètre irrégulier. La deuxième partie se trouve au Sud de la haie et a une forme semblable à celle d’un trapèze. -
Culture et entretien de la nigelle (Nigella)
La nigelle cultivée (Nigella sativa L. 1753) ou cumin noir est une plante annuelle de la famille des Renonculacées originaire du sud-ouest de l'Asie. Les graines sont utilisées comme remède traditionnel ou comme épice dans de nombreux pays du monde (particulièrement dans le monde musulman). -
Guide pratique du maraîchage au Sénégal
La dernière partie de ce document contient une série de fiches techniques relatives à la production de quelques vingt-trois espèces maraîchères couramment cultivées au Sénégal.
Ces fiches techniques sont certainement les fiches qui ont été le plus ‘’utilisés'' au Niger. De nombreux documents sont directement tirés de ces fiches, encore aujourd’hui. -
Note technique pour la culture du chou
Nous avons consulté une dizaine de fiches techniques sur la culture du chou, de différents pays, et les recommandations des sociétés productrices des variétés en vente au Niger. Il existe des variations importantes sur les itinéraires techniques possibles. Dans cette note nous avons choisi de partir de la fiche technique sur le chou incluse dans le « Manuel Technique de l'irriguant privé » du projet PIP2 (juin 2008) et de donner aux conseillers maraîchers des éléments de réflexion sur l’itinéraire technique pour les aider à mieux adapter leurs conseils à la situation des producteurs et productrices. -
Les techniques de forage manuel
UNICEF, Practica et EntrepriseWorks/VITA ont développé une mallette pédagogique à l’intention des pays africains souhaitant s’engager dans la professionnalisation du secteur du forage manuel. Cette mallette pédagogique comprend des fiches et manuels techniques, des éléments de plaidoyer, des cartographies des zones appropriées pour le forage manuel, des études de cas, et des manuels de formation et de mise en œuvre. Cette initiative contribue à renforcer les capacités du secteur privé local de façon à répondre aux besoins en eau potable des zones rurales qui ne cessent de croître. Cette fiche technique est la quatrième d’une série de cinq. -
Contribution de la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-niya) au renforcement des capacités des producteurs maraîchers de l’arrondissement communal Niamey 5
Ce travail est consacré à la problématique de renforcement des capacités des producteurs maraîchers dans un contexte d’usage concurrentiel du foncier entre activité maraîchère et habitation. Dans cette situation où la dynamique foncière se développe en défaveur du maraichage urbain, la FCMN-Niya mène des actions en collaboration avec ses partenaires techniques et financiers (appui-conseil de proximité, accès aux intrants) pour la sauvegarde et le développement du maraichage. Pour montrer l’usage concurrentiel du foncier qui caractérise le maraichage urbain ainsi que le rôle de la FCMN-Niya dans le développement des activités maraîchères. -
Association canne à sucre au maïs en système irrigué
La canne à sucre et le maïs sont deux des plus importantes cultures irriguées du Département de Gaya au Niger. Les productions de ces cultures fluctuaient entre 120 à 160 mille tonnes pour la canne à sucre et 2 à 3 mille tonnes pour le maïs. Dans le Dallol Maouri, les méthodes culturales observées sont très variables. -
Fiche technico-économique pour la culture de la canne à sucre
La canne à sucre est une plante cultivée principalement pour ses tiges qui contiennent un jus sucré d’où on tire le sucre. Elle appartient à la famille des graminées comme le mil, le sorgho ou le maïs. Au Niger, elle est surtout utilisée en consommation directe, comme canne de bouche. La canne à sucre est cultivée comme plante annuelle avec une récolte 8 à 10 mois après la plantation. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
L’oignon est une des principales cultures irriguées dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis (Goulbi Maradi et Goulbi Kaba) et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données de 2015 du Ministère de l’Agriculture, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34.200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. La surface moyenne par producteurs est d’environ 1.200 m2 et le rendement moyen est évalué à 20 tonnes/ha (conseil de gestion aux exploitations 2017). -
Fiche technico-économique pour la culture de laitue
La laitue en Houassa Salati, est une culture de courte durée qui se cultive sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder. Sur les sites de Tiss et Middick en périphérie de la ville de Zinder, la laitue se cultive toute l’année, tandis que sur les autres sites elle reste encore une culture de saison sèche froide. Les superficies exploitées varient de 250 à 2500 m2 en saison sèche froide. -
Le poivron rouge de Diffa
Le poivron rouge de Diffa, communément appelé « Tatassaye », est cultivé en irrigué dans la vallée de la rivière Komadougou Yobé et le bassin du Lac Tchad. Il est principalement commercialisé séché et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria. C’est la production irriguée majeure de la vallée de la Komadougou. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 8.000 à 10.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron est la culture « locomotive » de la vallée de la Koumadougou avec environ 6.000 producteurs. -
Etude de faisabilité Projet d’aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri
L’AFD a fait part aux Autorités nigériennes de son intérêt à participer à la préservation des ressources naturelles et à l’inversion de la tendance à la désertification, dans le cadre de la SDR, à travers une opération destinée à améliorer les conditions de vie de la population rurale grâce à l’augmentation de leurs revenus. L’AFD s’est rapprochée de la GTZ-Niger qui avait une expérience reconnue dans l’aménagement des bassins versants dans la région de Tahoua et a décidé de collaborer avec cet organisme pour mettre en œuvre un nouveau projet. C’est la région de Tahoua qui a été choisie. Une mission d’identification de l’AFD a séjourné au Niger du 8 au 17 avril 2008 et retenu, avec les autorités nigériennes, le bassin versant de Badaguichiri, dans le département d’Illela. Sur la base de cette première identification, il s’agissait, comme l’indiquent les termes de références figurant en annexe, d’effectuer l’étude de faisabilité de ce projet d’aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri. Cette mission devait remettre un document d’étude proposant le projet aux instances de financement de l’AFD et de la GTZ-Niger. -
Atelier / Rencontre Indications géographiques et marques, les questions qui se posent
A la demande du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), un atelier d’échanges sur les Indications Géographiques a été organisé par le RECA en marge de la Journée nationale de l’oignon dans les locaux du SNAD le 26 juin 2013. Le thème de cet atelier a porté sur les Indications géographiques et marques, les questions qui se posent ? Le souci du choix de ce thème pour le PPAAO est de permettre aux responsables des organisations professionnelles agricoles de mieux comprendre le contenu des IG, les relations avec les marques et les questions de synergie avec les autres projets ayant des composantes IG comme le PRODEX, au regard d’expériences d’autres pays. -
Production de l’ail sous irrigation
La culture associée de l’ail en irrigué est une innovation endogène initiée en 2002 par Mr Assoumana Moussa. Il est natif du village de Dara, commune de Tamaské, département de Keita. Il est âgé de 47 ans, scolarisé jusqu’en classe de 4ème. L’innovation rentre dans le cadre de la diversification des cultures et de l’amélioration des revenus des ménages -
Manuel des techniques d'irrigation sous pression
Ce manuel vise à offrir aux agriculteurs, techniciens d'irrigation et vulgarisateurs qui travaillent sur le terrain un guide pratique sur l'utilisation des techniques d'irrigation sous pression. Dans cette deuxième version ce manuel, traduit en français pour la première fois, a été considérablement remaniée et propose en particulier de nouveaux chapitres sur les systèmes abordables d'irrigation goutte-à-goutte et de distribution à l'intention des petits exploitants agricoles. -
La promotion des cultures maraîchères à travers des petits périmètres irrigués collectifs féminins ou mixtes
Le projet initial vise à améliorer la sécurité alimentaire et les moyens d’existence de 100 ménages agriculteurs du village de Bala-Gouré (Zinder) à travers la promotion des cultures maraîchères. -
Gestion de l'irrigation à petite échelle
L’unité de gestion de l’irrigation à petite échelle (GIPE) est généralement une parcelle d’une superficie inférieure à 0,5 hectare. Les systèmes de GIPE peuvent être gérés soit par un exploitant agricole individuel soit par des groupes, des communautés. Le principe directeur d’une gestion durable de l’irrigation à petite échelle est l’efficacité de l’utilisation de l’eau -
Options technologiques pour une popularisation de l’agriculture irriguée
Il existe essentiellement trois méthodes d'irrigation : l'irrigation de surface, l'irrigation localisée, l'irrigation par aspersion. Cette note décrit chaque type d'irrigation et détaille la gestion de l'eau à la parcelle. -
Restitution des résultats 2017 du Conseil de gestion aux producteurs de poivron de Gourgia et Laouni (Commune de Gazaoua)
La Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi et l’Union Son Kowa de Gourgia ont mis en place un suivi de 60 producteurs de poivron sur les sites de Gourgia et Laouni au cours de la campagne 2016 – 2017. Deux animateurs de l’Union (M. Saadou Leko à Gourgia et M. Hayo Mahamane à Laouni) ont aidé les producteurs à enregistrer les dépenses et les résultats de leurs parcelles de poivron. Ces résultats ont ensuite été analysés par la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi puis les éléments principaux ont été restitués aux producteurs de deux sites. -
Mémento de l'irrigation
La mise en place d'un système d'irrigation ne s'improvise pas. Une série d'éléments sont à prendre en considération, depuis la conception du projet jusqu'au processus de gestion à long terme des installations. Le présent mémento a pour but de baliser de manière succincte les différentes démarches à entreprendre. Il s'agira principalement de rappeler quelques notions de base, non de traiter de façon exhaustive toutes les questions qui pourraient survenir. Si des informations plus précises s'avéraient nécessaires, il est conseillé de consulter les ouvrages de références repris dans la bibliographie. -
Capitalisation d’expériences sur le développement de la petite irrigation privée pour des productions à haute valeur ajoutée en Afrique de l’Ouest.
En Afrique de l'Ouest les forages manuels sont pratiqués depuis de nombreuses décennies. Depuis les années 1960, Richard Koegel, de la FAO, en a introduit le concept au Niger. Par la suite, dans les années 1970 et 1980, vont se succéder au Niger et Nigeria, des expériences sur le développement de méthodes de forage manuel à faible coût. Ces techniques de forage vont prendre leur essor dans les années dans les années 1990 au Niger. -
De l’eau pour le maraîchage : expériences et procédés
Cet ouvrage propose une méthode pour guider les maraichers dans l’évaluation de leurs besoins et de leurs contraintes et les aider à choisir un système d’irrigation adéquat. Chacune des questions destinées à guider le choix est approfondie et illustrée dans les chapitres suivants. Le premier chapitre explique comment calculer les besoins en eau des cultures. Le deuxième chapitre présente les systèmes de distribution de I ’eau dans les champs et leurs avantages et inconvénients respectifs. Le troisième chapitre présente les différents systèmes de pompage qui sont ensuite comparés, notamment sur le plan économique. Enfin sont définies des notions plus complexes qui permettent de bien comprendre les mécanismes du pompage. Des fiches de présentation de matériels et une bibliographie permettront à ceux qui veulent en savoir plus de s’orienter dans leur recherche d’information. -
Fiche technique : Le repiquage du Poivron
Cette fiche technique a été réalisée dans le cadre du Projet d’appui à la Mutuelle N’Gada (Diffa). Elle sera progressivement améliorée à partir des travaux avec la recherche, les structures d’appui conseil et les producteurs. -
Fiche technique : Conduite pépinière poivron
Cette fiche technique a été réalisée dans le cadre du Projet d’appui à la Mutuelle N’Gada (Diffa). Elle sera progressivement améliorée à partir des travaux avec la recherche, les structures d’appui conseil et les producteurs. -
Fiche technico-économique pour la culture de la tomate
La tomate est l’une des principales cultures de la région de Maradi. Elle est produite en culture irriguée et en décrue le long des Goulbis Maradi et Kabba. Le cycle de production dure entre 90 et 120 jours. Les superficies exploitées varient entre 200 et 3.000 m² par producteur. Avec une superficie moyenne de 500 m², on peut obtenir un rendement de 1 tonne soit un produit de 76.000 F.CFA pour 33.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 43.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre fait partie des cultures maraichères les plus pratiquées dans la région de Maradi. Elle est cultivée sur presque tous les sites situés le long des Goulbi Maradi et Goulbi Kaba, principalement sur le site de Mafalia situé à l’extrémité ouest de la ville de Maradi. Sa production se fait en une campagne, en saison sèche froide, avec un cycle variant entre 70 à 120 jours selon les variétés. En moyenne, une production d’environ 1 000 kg pour 1 000 m2 permet de dégager un produit de 200 000 F.CFA pour 91 000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 109 000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
Dans la région de Maradi, l’oignon est principalement cultivé dans les zones traversées par le Goulbi Maradi et le Goulbi Kaba, et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données du Ministère de l’Agriculture de 2015, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34 200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. Le rendement obtenu est évalué entre 15 à 50 tonnes/ha. En moyenne, pour 1000 m², une production de 3 tonnes (rendement de 30 tonnes/ha) permet de dégager des revenus de 200 000 F.CFA pour 52 000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 148 000 FCFA et un ratio produits/charges supérieur à 2 -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds. Il est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou est de 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 2.215 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un produit de 155.000 FCFA pour 77.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 78.000 F.CFA. -
Le Blanc de Gothèye, l’autre oignon du Niger
Le Niger, le pays des oignons … L’oignon est la première culture maraîchère au Niger. La production annuelle est estimée à 500.000 tonnes, classant le Niger au deuxième rang des producteurs ouest-africains. Le Niger est le premier exportateur d’oignons de la CEDEAO. Le Niger exporte sa variété la plus connue, le Violet de Galmi, dont le goût, la tenue dans les sauces et les aptitudes à la conservation ont conquis tous les pays de l’Afrique de l’Ouest. Mais le Niger est aussi le pays des oignons par le nombre de ses « écotypes », c'est-à-dire de nombreuses variétés d’oignons. -
Interactions entre la variabilité des écotypes de l’oignon (Allium cepa L.) et les facteurs agro-climatiques au Niger
L’oignon est la première culture maraîchère au Niger. La production annuelle est estimée à près de 561.000 tonnes, classant le Niger au deuxième rang des producteurs ouest-africains derrière le Nigeria. Une collecte portant sur des cultivars locaux d’oignon du Niger réalisée en 2008 a été suivie d’une étude de leur interaction avec les facteurs agro-climatiques du Niger. Les méthodes classiques de collecte de matériel végétal (localisation des sites de collecte sur la carte, identification et description des échantillons, historique des écotypes, conditions culturales, etc..) ont été utilisées. L’aspect variétal vis-à-vis des facteurs agroclimatiques des différentes zones de collecte a été mis en évidence. Le travail a permis de réunir 21 écotypes locaux d’oignon comprenant le Violet de Galmi répartis sur toute la zone de collecte. Il a également permis de montrer que certaines caractéristiques variétales comme la couleur des bulbes, le cycle sont liées aux différences agro-climatiques et géomorphologiques des sites de collecte tandis que d’autres se révèlent indifférentes. -
Diffusion de forages à faible coût
Les techniques de forages généralement utilisées en Afrique sont bien adaptées aux grandes profondeurs et aux terrains durs. Pour les faibles profondeurs (moins de 12 m.) et les terrains légers (sables), il existe des techniques mieux adaptées : celles des forages manuels, sans compter les forages à la lance1 -
Etude/diagnostic sur les technologies d’irrigation dans le sous-secteur de la petite irrigation
Développement petite irrigation initiée et accompagnée par nombreuses techniques et technologies d’irrigation au début années 2000 en Afrique de l' Ouest et dans les pays du CILSS; ces technologies ont aujourd’hui des fortunes diverses. Cinq (5) principales technologies jugées performantes ont été adoptées par les acteurs notamment les irrigants. -
Le pompage solaire
Les préoccupations dictées par les enjeux de développement durable, et le souci de maîtriser les coûts d’exploitation dans un contexte de renchérissement du prix du gasoil incitent en effet à étudier de près l’option « solaire » pour le pompage des eaux destinées à l’approvisionnement en eau de boisson, mais aussi pour le développent des activités maraichères qui procurent sécurité alimentaire et revenus. La technologie du photovoltaïque a beaucoup progressé dans la période récente en termes de performance et de réduction des coûts, à l’investissement initial comme en termes de charge d’exploitation. -
La professionnalisation du secteur du forage manuel au Niger
La professionnalisation du secteur du forage manuel passe par l’amélioration des compétences techniques et de la gestion des petites entreprises locales de forage à faible coût. De plus, il est nécessaire d’intégrer un nouveau système de contrôle de la qualité et des spécifications techniques de mise en œuvre des forages manuels. Pour la réussite et la durabilité de la mise en œuvre de programmes d’approvisionnement en eau, deux composantes sont essentielles ; il s’agit de la formation et le suivi des usagers ainsi que la mise en place d’une filière d’approvisionnement de pièces de rechange, de réparation et d’entretien des pompes. Ceci est valable non seulement pour l’ensemble du secteur de l’approvisionnement en eau des zones rurales mais aussi pour les activités de forage manuel.
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Note visite des sites maraichers de Tiss et Midick
La CRA a initié le lundi 22 janvier 2017 une sortie sur les sites maraichers de Tiss et de Midick en périphérie de Zinder. La Direction Régionale de l’Agriculture et la Fédération de Coopératives Maraichères du Niger (FCMN-Niya) ont été associées à cette visite dont l’objet est d’observer les pratiques de production maraîchère et d’échanger avec les producteurs sur les techniques de production, l’approvisionnement en intrants, l’accès à l’eau, les problèmes phytosanitaires rencontrés et le crédit agricole. -
Fiche technico-économique pour la culture de la courge Bagobira
La courge, Kabewa en Houassa, est une culture que l’on retrouve sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder, particulièrement dans les départements de Mirriah (sites de Falki et Mirriah), DamagaramTakaya (site de Guidimouni), Kantché (sites de Doungou et Massassaka Haousa), Magaria (site de Bandé), Doungass (sites de Wacha, Kakibaré et Gayi), Gouré (site de Gassafa) et à Zinder (site de Tiss). Les parcelles exploitées varient de 250 m2 à 2 500 m2. En moyenne, pour 2 500 m2, un cycle de production de la courge dure 90 jours et donne un rendement de 24 Kwarya (12 tonnes) avec des récoltes pouvant s’échelonner sur 6 mois. Elle permet de dégager une marge brute de 1.668.500 F.CFA pour 131.500 F.CFA de charges. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche froide
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. Dans la région de Dosso, la principale zone de production est le Dallol Maouri, Département de Tibiri, avec des surfaces cultivées variant de 0,05 ha à 1 ha par producteur. Elle est souvent cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 9,24 tonnes (42 korya) de pastèque permet de dégager des revenus de 840.000 F.CFA pour 230.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 610.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour l’oignon rouge
L’oignon rouge de Sokoto ou encore appelé Dan Yaouri en haoussa est une des principales cultures irriguées de la commune de Gaya. Cet oignon a un cycle de 90 à 115 jours du repiquage à la récolte. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 0,1 ha et 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 7 tonnes permet de dégager des revenus de 788.000 F.CFA pour 158.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 630.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l'oignon blanc
L’oignon blanc appelé « albassa koiraye » en Djerma ou « faral albassa » en Haoussa est cultivé principalement dans la Commune rurale de Soucoucoutane, département de Doutchi. Cela reste une variété peu connue, avec une production limitée, mais qui pourrait trouver une meilleure place sur les marchés dans les années à venir (diversification). Le cycle de la culture varie entre 90 à 120 jours quand les bulbes produits sont destinés à la vente directe sur le marché, et entre 120 et 150 jours quand il s’agit des bulbes de conservation. En moyenne, pour 1000 m², on obtient une production d’environ 3.640 kg qui permet de dégager un produit de 448.000 F.CFA pour 130.000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 318.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la laitue
La laitue ou « salati » en haoussa est l’une des principales cultures irriguées du département de Doutchi (région de Dosso). Les bassins de production sont Matankari, Kiéché et Doutchi. Au cours de l’année, un producteur peut effectuer 5 à 6 cycles de production. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 500 à 1 500 m2. En moyenne pour une surface de 1000 m² on obtient une production de 1 650 kg (64 planches de 10 m²) qui permet de dégager par cycle de production 272 000 F.CFA pour 23 410 F de charges opérationnelles et une marge brute de 248 590 F. -
Fiche technico-économique pour la culture de la carotte
La carotte est une production très cultivée sur le site de Soumarana situé à 5 km de Maradi. La production se fait en une campagne en saison sèche froide. La variété la plus cultivée est la carotte « Touchon » en provenance du Nigeria. Elle est vendue sur le site et acheminée par les acheteurs sur les marchés de Maradi pour sa commercialisation. Le cycle de la carotte varie de 90 à 120 jours avec un rendement de 19 à 49 tonnes à l’hectare, soit près de 290 planches de 3 m2. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 3,5 tonnes permet de dégager des revenus de 159.500 F.CFA pour 89.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 70.500 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds autour des puits et forages. Les principales zones de production sont : Mafalia (Maradi), Garin Daouré (Tibiri), Gourjia et Laouni (Gazaoua). Le chou est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou dure 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 1.680 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un revenu de 118.600 F.CFA pour 39.100 F.CFA de charges et donc une marge brute de 79.500 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour le piment vert
Le piment appelé Tonka en Haoussa comme en Zarma, est une culture que l’on pratique sur presque tous les sites maraîchers du département de Gaya. Les superficies exploitées se situent entre 0,25 ha et 0,75 ha. Un cycle de production de piment vert dure 5 à 6 mois. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 4 tonnes permet de dégager un produit brut de 650.000 F.CFA pour 72.000 FCFA de charges et donc une marge brute de 578.000 F.CFA et un ratio produits/charges de 9. Ce résultat est obtenu par les exploitations agricoles employant principalement de la main d’oeuvre familiale -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre communément appelée « dankali tourawa » en haoussa est l’une des principales spéculations maraîchères de la région de Dosso. Elle est cultivée au niveau du département de Doutchi et de Tibiri et dans une moindre mesure dans la commune de Harikanassou. Selon la variété le cycle de la pomme de terre varie de 70 à 120 jours. Les surfaces mises en valeur varient de 200 à plus de 6.500 m² selon les localités de production. En moyenne, pour 0,5 ha on obtient une production d’environ 6.328 kg qui permettent de dégager 1.582.000 FCFA pour 558.250 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.023.750 FCFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du poivron
Le poivron est la culture principale pratiquée le long du Goulbi Kaba situé au Sud du chef-lieu du département de Gazaoua dans la région de Maradi. Selon une estimation de la CRA réalisée en 2014, plus de 12.000 tonnes de poivron frais sont produits par an dans la région. Le poivron a un cycle de 120 à 150 jours avec 5 à 8 récoltes par campagne pour un rendement évalué entre 10 et 15 tonnes/ha. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 1,5 tonne permet de dégager des revenus de 284.000 F.CFA pour 93.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 190.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche chaude
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une Cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. La principale zone de production concernée est le Dallol Maouri département de Tibiri avec des surfaces cultivées variant de 0,05 à 1 ha par producteur. Elle est principalement cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 11 tonnes permet de dégager un produit brut de 1.785.000 F.CFA pour 235.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 1.550.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon feuilles
L’oignon-feuilles, encore appelé en haoussa Albassa mai gangné ou shafa, est une des principales cultures irriguées de la région de Zinder. Les principales zones de production sont les départements de Mirriah, Damagaram Takaya, Kantché, Magaria, Doungass et Gouré. L’oignon-feuilles a un cycle de 90 à 110 jours du repiquage à la récolte. Les surfaces cultivées sont disparates et varient souvent de 0,1 à 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 9 tonnes permet de dégager des revenus de 1.700.000 F.CFA pour 250.000 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.450.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 6. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est l’une des cultures principales du département de Tibiri qui constitue l’un des plus grands bassins de production de la zone. Les superficies moyennes cultivées par producteur varient de 100 m² à 5.000 m2. Une production moyenne de 2500 m2 permet de générer des revenus de 275.000 F.CFA pour 77.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 198.000 F.CFA et un ratio (produits/charges opérationnelles) supérieur à 2. -
Fiche technico-économique du poivron rouge
Le poivron rouge de Diffa, communément appelé « Tatasay », est cultivé en irrigué dans la vallée de la Komadougou Yobé et le bassin du Lac Tchad. Il est principalement commercialisé séché et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Rendement : meilleurs producteurs 1.800 kg par ha de poivron sec, producteurs moyens 1.300 kg par ha de poivron sec. En année normale, les superficies emblavées en poivron sont estimées à environ 7.000 ha pour une production de poivron sec de 8 à 11.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron rouge est la culture « locomotive » de la vallée de la Komadougou avec environ 5.000 producteurs. -
Conseiller en maraîchage - Site de Falki
La mare de Falki se situe à 4 km au Sud-Est de la ville de Mirriah. Cette mare est un site important de cultures irriguées. -
Conseiller en maraîchage / des cas pratiques (2)
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers et animateurs maraîchers (OP, services techniques, GSC, GIE, projets …). Il s’agit d’une ferme installée dans le dallol Bosso à l’entrée de Birni Ngaouré (Région de Dosso), avec un système d’irrigation goutte à goutte pour les cultures de tomate, poivron, piment et melon principalement. Le 6 février, date de la visite, il y avait des parcelles de tomates en production et des parcelles de poivron en floraison. -
Conseiller en maraîchage - Visite site de Gafati
Gafati est une commune rurale située à 15 km à l’Est de la ville de Zinder. Ce 12 février 2016, les producteurs de Gafati signalent des attaques fortes des plants de piment, jeunes et adultes, se traduisant par des déformations, des décolorations ou chlorose des feuilles (principalement des jeunes feuilles mais aussi des feuilles adultes) et un rabougrissement des plants. On dénombre 40 à 50% de plants attaqués alors que la production n’a pas encore commencé. -
Conseiller en maraîchage / Cas pratiques (4) Attaques sur tomates
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers maraîchers (OP, services techniques, GSC, …). Il s’agit d’une visite auprès des producteurs de tomate de Bourboukabé à 15 km au nord de Niamey. Dans ce village, les producteurs pratiquent la culture de la tomate depuis plus de 25 ans, avec différents cycles de production adaptés aux différents terrains disponibles. Le premier cycle de production correspond à des semis en pépinière au début du mois d’août et une récolte qui commence en octobre alors que les prix sur le marché de Niamey sont encore élevés (15.000 à 18.000 F le panier de 32 kg). C’est une production économiquement importante pour ces producteurs. La production se fait sur des sols sableux de chaque côté de la vallée qui est encore inondée. -
Formation maraîchage : la pépinière Conseiller en maraîchage
Cette note a été rédigée par l’équipe technique de la Chambre Régionale d’Agriculture de Dosso avec l’appui du RECA. Cette note est produite à l’intention des conseillers et animateurs maraîchers des dispositifs d’appui conseil (OP, ONG, GSC, STD), notamment dans le cadre du programme de formation de jeunes agriculteurs et agricultrices. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger -- Document technique : la protection de la tomate
La gestion intégrée des ravageurs et maladies est un système de lutte économique qui emploie toutes les techniques et méthodes appropriées pour maintenir la population des ravageurs à des niveaux limitant les dommages : utilisation de variétés résistantes/tolérantes, pratiques de culture appropriées et l’application rationnelle de pesticides (en mettant l’accent sur les pesticides biologiques). La tomate est une des cultures les plus répandues à travers le monde. La tomate est cultivée partout au Niger pendant les trois saisons : saison sèche fraiche, saison sèche chaude et saison hivernale. La production principale se situe pendant la saison sèche fraiche. La tomate est un légume fruit de la famille des solanacées, c'est-à-dire de la même famille que le poivron, la pomme de terre, l’aubergine ou le piment. Cela signifie que certains ravageurs seront communs à ces plantes de la même famille et surtout qu’il ne faut pas qu’elles se succèdent dans la rotation. -
Conseil en maraîchage - Site maraîcher de Gourdjia (Maradi)
Les 4 et 21 mars 2016, une équipe technique composée de la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi et du RECA a rendu visite à l’Union des producteurs de Gourdjia sur le site de production maraîchère de Darto. Gourdjia est une vallée où la culture principale est le poivron. En 2014, les producteurs de Gourdjia Darto ont bénéficié d’un champ école paysan du PPI Ruwanmu sur la culture de l’oignon. Les producteurs participant au CEP ne pratiquaient pas cette culture. -
Formation sur les principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères observées sur les sites de Gourdjia suite au suivi CGEF de la campagne 2015 2016
Les maladies de plantes c’est comme le paludisme. Souvent, on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu’on est très malade (fièvre, froid, chaud). Dans ce cas il faut aller à l’hôpital (payer), acheter des médicaments (payer) et on sort affaibli. Mais on devrait s’intéresser au paludisme pour ne pas l’attraper. Dans ce cas on se protège avec une moustiquaire, on enlève les points d’eau pour empêcher la multiplication des moustiques… Ce sont des mesures à prendre – avant pour éviter d’être malade. C’est la même chose pour les cultures. Pour que les plantes ne soient pas attaquées, malades ou détruites, il faut prendre des dispositions avant. C’est l’objet de ce module de formation. -
Formation des formateurs Jeunes agriculteurs et agricultrices Module sur la pépinière
Les pépinières sont des endroits où le maraîcher fait germer et pousser ses graines en pleine parcelle ou sur pilotis ou planche surélevée. L’objectif de ce module permet de maîtriser la conduite d’une pépinière afin d’optimiser les rendements des cultures maraîchères. -
L’aménagement des terres agricoles pour l’irrigation
L’irrigation fait partie des axes d’intervention de l’Initiative 3N « les Nigériens nourrissent les Nigériens », c’est même l’objet du premier programme d’investissement prioritaire : « accroissement des productions sous irrigation ». On peut se demander ce que prévoit le dispositif législatif et réglementaire lors de la réalisation d’aménagement pour l’irrigation, au niveau du foncier et de l’accès à l’eau. -
Stratégie de la Petite Irrigation au Niger –SPIN
Ce rapport porte sur le plan d'action stratégique de la Petite Irrigation au Niger -
Stratégie de la Petite Irrigation au Niger - 2015
Ce document présente la stratégie de la Petite Irrigation au Niger -
Fruits et légumes biologiques des régions tropicales : Information de Marché, Certification et Production pour Producteurs et Sociétés de Commerce Internationales
Ce rapport porte sur la production et principes de base de l’agriculture biologique -
Techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale
Cette fiche technique porte sur les techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale -
Le pompage photovoltaïque : manuel de formation à l'intention des ingénieurs et techniciens
Manuel de cours à l’intention des ingénieurs et des techniciens -
Guide pratique du maraîchage au Sénégal
Ce guide porte sur le maraîchage au Sénégal -
Étude de développement des oasis sahéliennes en République du Niger (edos) : support de formation sur les techniques des cultures maraichères
Dans le cadre de son programme d’appui aux cultures de contre saison, l’Etude de Développement des Oasis Sahéliennes en République du Niger (EDOS) a initié des formations à l’endroit des producteurs maraîchers de ses sites afin de mieux les accompagner dans la mise en valeur.
Le présent support est destiné aux exploitants des sites maraîchers. Il comporte l’ensemble de la démarche à suivre dans la conduite des cultures maraîchères -
Conception de systèmes horticoles innovants
Conception de systèmes horticoles innovants -
Les pépinières maraîchères en Afrique soudano-sahelienne
Ce document constitue un guide technique et est destiné aux vulgarisateurs, aux maraîchers professionnels ainsi qu’aux personnes qui désirent se spécialiser dans la production de plants maraîchers. A l’heure actuelle, la plupart des maraîchers produisent eux-mêmes leurs plants en pépinière. Quelques-uns conduisent également des plants pour la vente, mais cette activité reste marginale. L’amélioration de la qualité des plants produits en pépinière dans les zones à forte production maraîchère ne pourra se faire que par la mise en place de pépiniéristes professionnels spécialisés. -
Guide pratique implantation pepinieres
Guide pratique implantation pepinieres -
Problématique de trois systèmes irrigués en Afrique (Fleuve Niger, Fleuve Sénégal, Lac Alaotra) : Bilan et évolutions institutionnelles
La libéralisation des économies, les phénomènes généralisés de croissance démographique et d’urbanisation ouvrent de larges perspectives, d’une part, aux productions vivrières locales et en particulier à la riziculture qui devrait rester largement dominante sur les périmètres, et d’autre part, aux autres productions irriguées (fruits et maraîchage notamment). Le marché n’est pas une contrainte au développement de ces productions sous réserve de leur compétitivité et de leur accessibilité aux circuits de commercialisation. -
Etude d’Impact Environnemental du projet d’aménagement du casier « D » de M’Bewani
Ce rapport présente l'étude d’Impact environnemental du projet d’aménagement du casier « D » de M’Bewani -
Typologie des systèmes irrigués en Afrique de l’Ouest sahélienne
Ce présent rapport porte sur la typologie des systèmes irrigués en Afrique de l’Ouest sahélienne: Burkina Faso – Mali – Mauritanie – Niger – Sénégal -
Fiche technico-économique pour la culture de la tomate Région d’Agadez
La tomate est l’une des principales cultures maraichères pratiquées dans la région d’Agadez. Elle est produite toute l’année. Le cycle de production par campagne dure entre 100 et 120 jours. Les superficies exploitées par producteur varient entre 160 et 6.700 m²1. Le rendement moyen est près de 11 tonnes à l’hectare (variant entre 2 et 29 T/ha). Avec une superficie moyenne de 1.000 m², on obtient un produit de 210.000 F.CFA pour 47.400 F.CFA de charges opérationnelles, soit une marge brute de 162.600 F.CFA. -
Note sur les expériences d’irrigation solaire pour le maraichage dans les villages de Soumarana et Adraoua (commune de Safo)
Le solaire est perçu comme une technologie verte valorisant l’énergie renouvelable qu’est le soleil et permettant des économies sur les charges courantes d’achat de carburant ou d’électricité. Selon les données des maraichers suivis en conseil de gestion par la CRA de Maradi en 2018 à Soumarana, l’achat de carburant pour l’irrigation représente 45% des charges de production sur la carotte et 22% sur l’oignon. Cela justifie bien pourquoi, les investissements pouvant permettre une irrigation solaire pour le maraichage (panneaux solaires et pompes immergées) sont de plus en plus demandés par les producteurs de Maradi pouvant bénéficier d’un crédit agricole avec subvention. -
Cahier du formateur « Techniques de fonçages des forages maraichers manuels »
Ce cahier du formateur porte sur les « Techniques de fonçages des forages maraichers manuels » -
Techniques de fonçage des forages maraichers manuels
Ce guide technique porte sur les techniques de fonçage des forages maraichers manuels -
Guide du Formateur sur « Les techniques de CES-DRS dans la petite irrigation »
Le présent guide s’inscrit dans le cadre des activités du programme de promotion de l’agriculture productive (PromAP) finance par la coopération allemande. Le PromAP à travers la composante 2, a prévu : « le renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation pour améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et prives dans le domaine de la petite irrigation. Quatre (4) thèmes sont développés à travers ce manuel à savoir : ✓ Adaptation au changement climatique; ✓ Lutte contre l’érosion hydrique; ✓ Lutte contre l’érosion éolienne; ✓ L’approche bassin versant -
Manuel du formateur : conception et analyse technique, économique et financière des projets en petite irrigation
L’objectif de ce manuel est de renforcer les competences des formateurs dans le domaine de l’élaboration des projets en petite irrigation. Il vise à encourager une formation axée sur la compétence qui se fonde sur les principes de l’apprentissage des adultes. Ce qui sous-entend une formation est à caractère participatif, pertinent et pratique. -
Projet petite irrigation
Ces présents documents de projet portent sur l’amenagement et mise en valeur d’un site maraicher a tchollondi au profit de M. Boubacar sylla, la fixation des dunes pour la protection du site maraicher de matamèye et l’appui en infrastructures, matériels/équipements et intrants de qualité pour la petite irrigation par binôme sur un site d’une superficie de ………ha. -
La production de la pastèque dans le département de Guidan Roumdji (Maradi)
La pastèque, KANKANA en Haoussa, appartient à la famille des cucurbitacées. D’origine africaine, elle est riche en eau et a une saveur sucrée. La pastèque de Guidan Roumdji a acquis une réputation compte tenu de ses qualités et du savoir-faire des producteurs et elle est bien prisée par les consommateurs locaux mais aussi étrangers. Elle arrive à concurrencer celle des pays voisins dont le Nigeria. De l’avis de ce jeune producteur, la culture de la pastèque est pratiquée en deux saisons : la culture pluviale, plus développée dans la commune de Guidan Sori, et la culture de contre saison développée sur tout le long du Goulbi Maradi, donc dans la commune de Guidan Roumdji. -
Elaboration d’un curriculum sur l’elaboration des Projets en petite irrigation au Niger
Ce présent manuel du formateur porte sur l'etude d’impact environnementale et sociale simplifiee d’un projet de petite irrigation -
Cahier du formateur « Réparation et entretien des petites motopompes »
Ce présente guide porte sur la formation pour la réparation et entretien des petites motopompes -
Module de formation : Irrigation par aspersion
Ces guides porte sur les nouvelles technologies de captage et irrigation -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères
Le présent manuel est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui du PromAP à travers sa composante 2 : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. -
Gestion rationnelle de l’eau d’irrigation
Ce présent document porte sur la gestion rationnelle des eaux d'irrigation. -
Techniques de production des cultures irriguées
Ce présent manuel porte sur les Techniques de production des cultures irriguées -
Cahier du formateur « transformation et la conservation des produits maraichers »
Le présent manuel montre à l’utilisateur des modules et support pédagogique un ensemble de techniques de transformation et conservation et les possibilités de stockage de six produits maraîchers cibles (Chou, Moringa, Oignon, Poivron, Pomme de terre et Tomate). -
Module de formation des prestataires de services publics et prives sur la transformation et la conservation des produits maraichers en petite irrigation
L’objectif visé à travers l’élaboration de ce module est de permettre aux prestataires de services publics et privés d’apprendre davantage sur les opérations de transformation et du stockage/ conservation des produits maraichers que sont le chou, l’oignon, le moringa, le poivron, la pomme de terre et la tomate. -
Curriculum sur la strategie de la petite irrigation au Niger (spin)
L’objectif de ce manuel est de renforcer les capacités des formateurs dans le domaine de la connaissance de la Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SPIN) et ses annexes notamment : (i) le plan d’action de la SPIN et (ii) le plan stratégique de renforcement de capacités Il vise à encourager une formation axée sur la compétence qui se fonde sur les principes de l’apprentissage des adultes (l’andragogie). Cela signifie que la formation est à caractère participatif, pertinent et pratique. Les principes de l’andragogie se fondent sur l’hypothèse selon laquelle les adultes participent aux stages de formation car : ▪ Ils sont intéressés par le sujet; ▪ Ils désirent améliorer leurs connaissances et performances professionnelles ; ▪ Ils désirent participer activement aux activités du cours. -
Gestion rationnelle de l'eau d'irrigation
Ce présent document porte sur la gestion rationnelle de l'eau d'irrigation -
Diffusion du maraîchage féminin au Niger
L’essor récent du maraîchage féminin le long du fleuve Niger offre aux géographes une excellente opportunité d’aborder les phénomènes de propagation spatiale dans une perspective qui privilégie l’explication à la formalisation. -
Atelier de capitalisation d'expériences sur le développement de la petite irrigation privée à haute valeur ajoutée en Afrique de l'ouest: Présentation des expériences de la petite irrigation au Bénin
Capitalisation des expériences du projet de la petite irrigation au Bénin -
Guide pratique sur la culture du niébé pour le Burkina Faso
L’Institut international d'agriculture tropicale (IITA) est le principal acteur de la recherche en Afrique pour la résolution de la faim et de la pauvreté. Notre recherche pour le développement (R4D) s’intéresse aux besoins de développement des pays tropicaux. Nous travaillons avec nos partenaires pour améliorer la qualité, la productivité des cultures et réduire les risques afin de générer des richesses venant de l’agriculture à la fois pour les consommateurs et les producteurs. L’IITA est une organisation à but non lucratif fondée en 1967, dirigée par un conseil d’administration et financée par plusieurs pays. L'IITA est membre du consortium CGIAR.