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PromAP - Formation des associations féminines sur la conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région d'Agadez
Dans le cadre de ses activités, le PromAP a décidé de soutenir les associations féminines des productrices à travers une session de formation sur les techniques de conservation/transformation des produits maraichers notamment l’oignon ; la pomme de terre ; la tomate ; le chou et le moringa.
Le présent rapport s’articule au tour des 5 principaux points suivants :
1-- Introduction
2 -- Rappel des objectifs et des résultats attendus
3 -- Organisation de la formation
4 -- Contenu et progression de la formation
5 -- Conclusion/Recommandations -
PromAP -- Formation des OP des femmes et jeunes adultes en conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région de Tahoua
Le présent rapport rend compte du déroulement et de l’évaluation d'une mission de formation , par le Cabinet Agri-Bilan pour l’animation d’une formation sur la transformation et la conservation des produits maraichers. L’a formation a regroupé les associations féminines de 13 groupements féminins de la région de Tahoua sur les innovations et les problèmes liés aux techniques de conservation et transformation de l’oignon, tomate, chou et pomme de terre récoltés sur leur exploitations . -
Matakan Tsapta: sapta jiki -- L’hygiène du personnel dans la transformation des produits maraîchers de la petite irrigation -- Bonnes et mauvaises pratiques
Ces affiches présentent les bonnes et mauvaises pratiques relatives à l’hygiène du personnel dans la transformation des produits maraîchers de la petite irrigation:
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Transformation et conservation des produits maraîchers en petite irrigation
L’objectif visé à travers l’élaboration de ce module est de permettre aux prestataires de services publics et privés d’apprendre davantage sur les opérations de transformation et du stockage/ conservation des produits maraîchers que sont le chou, l’oignon, le moringa, le poivron, la pomme de terre et la tomate.
-- L’hygiène dans les unités de transformation et de conservation
-- Transformation et la conservation du chou, du moringa, de l'oignon, du poivron; de la pomme de terre -
Transformation des céréales : hygiène et techniques
Ce livret de l' apprenant constitue un guide/ un référentiel de base pour les membres des OP sur tout ce qui a trait aux techniques de transformation des céréales au Niger.
Thèmes développés :
1 -- Définition des céréales
2 -- Conditionnement
2.1 -- L’emballage
2.2 -- L’étiquetage
3 -- Équipements
4 -- Bonnes pratiques (higiène, fabrication, conservation , emplacement...).
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Utilisation des séchoirs solaires
Le séchoir solaire utilisé pour le séchage des produits maraichers a été repéré dans les régions d’Agadez et Tahoua par PromAP en 2016.
C‘est une innovation exogène adoptée par des groupements des femmes. En raison de son coût initial. Cette fiche présente le séchoir solaire, ses foncfions et les avantages qui en découlent. -
Hangar amélioré pour la conservation de la pomme de terre
Cette fiche présente les techniques de conservation de la pomme de terre dans un hangar amélioré appelée « Mallam Tanda » . C'est une innovation endogène initiée par Mr Issoufou Hamidou à Shett Fandou, Filingué, région de Tillabéri. on construit un hangar dans un endroit bien aéré et dégagé sur 7 m de longueur, 6 m de largeur et 2 m de hauteur soit un volume de 84 m3. Il utilise des tiges de mil ceinturé de sécko et soutenu par quatre poteaux en terre avec des traverses en bois... -
Bilan des actions de transfert des technologies. Les magasins « RESEDA » pour la conservation de l'oignon.
Rapport provisoireUne consultation des structures impliquées dans la construction ou l’utilisation de magasins Réséda a fourni une liste de 280 à 290 magasins existants. Hors construction en 2013 et 2014, la majorité des magasins se situe dans la région de Tahoua (252).
Cependant, au cours des visites de terrain, ce nombre n’a pas été confirmé par les différents responsables locaux d’ANFO. Seul 46 magasins de type Réséda ont été identifiés. Même si certains magasins n’ont pas été identifiés au cours de l’enquête, ce nombre est très loin du nombre initial annoncé.
50% des anciens magasins Réséda visités (antérieurs à 2013) sont effondrés ou disparus et seulement 25% sont utilisés. Les résultats de ce premier travail donnent un bilan assez décevant. Attention, ces pages ne sont pas une « condamnation » du magasin Réséda, elles ont pour ambition de partager avec les acteurs concernés des observations, des interrogations et certaines analyses ou hypothèses pour améliorer les pratiques et les résultats. -
Stockage du niébé : formation des techniciens
La vision du projet est de pouvoir en 5 ans, stocké 50 % du niébé par les producteurs à l’aide du stockage hermétique. En effet, l’objectif du projet est de couvrir 28000 villages dans 10 pays, en 5 ans à travers la vulgarisation du triple ensachage (démonstrations au village, sensibilisations par la radio), la facilitation de l’établissement d’un système durable de production et de distribution des triples sacs (grossistes, distributeurs, paysans), l’adoption du triple ensachage par les producteurs et les commerçants de niébé, l’accroissement des revenus des petits producteurs et l’augmentation de la qualité marchande du niébé. -
La conservation du niébé : goulot d’étranglement de la filière et innovation technologique
Cette note est tirée d’une communication intitulée « Innover pour développer les marchés : le cas de la conservation du niébé au Burkina Faso ». Les connaissances utilisées dans cette communication proviennent des travaux menés par le CIRAD1 avec la collaboration de l’INERA2 dans le cadre de son partenariat avec le Programme d’Appui au Développement de l’Agriculture du Burkina Faso (PADAB II / 2006‐2011) sur sept filières (niébé, poisson, bétail viande, volaille, karité, gomme arabique, bois énergie) dans trois régions du pays (Est, Centre Est, Sahel). Ce programme est soutenu par la Coopération danoise. -
Le triple ensachage pour la conservation du niébé - Un point de situation
Cette note a été rédigée dans le cadre du partenariat entre le RECA et le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), le RECA étant chargé de réaliser une évaluation des technologies éprouvées dans deux régions du Niger et d’identifier les préoccupations des producteurs et de leurs organisations. -
Amélioration de la conservation des mangues 4ème gamme par l’utilisation d’un enrobage, d’un traitement antimicrobien et du conditionnement sous atmosphère modifiée
Cette thèse porte sur l'amélioration de la conservation des mangues 4ème gamme par l’utilisation d’un enrobage, d’un traitement antimicrobien et du conditionnement sous atmosphère modifiée -
Formation sur le stockage et la conservation des produits agricoles
Ce guide se resume sur le renforcement des compétences des techniciens/ciennes à former les opérateurs/trices (producteurs/trices, transformateurs/trices, commerçants/tes) sur le stockage et la conservation des produits agricoles afin de limiter les pertes post-récoltes et améliorer la sécurité alimentaire et le revenu des différents opérateurs des chaines de valeurs des produits agricoles -
Le séchage des produits agricoles
Ce présent fiche technique porte sur le procédé de stabilisation et de conservation de tomate -
Unité de production de tomates séchées
Ce rapport présente une unité de production de tomates séchées -
Séchage de la tomate (Lycopersicon esculentum) : une autre alternative pour sa valorisation au Bénin
Cette étude valorise la tomate sous forme séchée. Huit lots de 115 g de tomate var. Akikon ont été soumis chacun à un prétraitement spécifique (T1 à T8) mettant en exergue simultanément les mécanismes de blanchiment et de déshydratation osmotique avec différents solutés. Les tomates ont été séchées à l’étuve à 45°C pendant 16 h. Des essais de reconstitution dans l’eau chaude (1) à 100°C et dans l’eau à la température ambiante (2) ont été conduits. -
Guide de formation sur les techniques de transformation et conservation des produits agricoles
Le présent guide de formation élaboré dans le cadre de L’Etude de Développement des Oasis Sahéliennes en République du Niger (EDOS) au cours de sa 4ème année d’exécution est un outil destiné aux cadres de développement pour leur permettre de mieux encadrer les hommes et/ou les femmes qui exercent de petites activités individuelles ou collectives de type AGR (Activités Génératrices de Revenu).
Le présent guide concerne les techniques de transformations/conservation des produits agricoles tels la tomate, les courges, le niébé en couscous ou « Béroua » en Haoussa le riz en couscous -
Réduction des pertes post-récolte en Afrique: Basée sur l’expérience du CIRAD
Ce diaporama porte sur la réduction des pertes post-récolte en Afrique -
Filière oignon au Niger : processus intégré de conservation et de warrantage. Expérience de la SNV dans la zone de production de Saouna gomma, Tamaske et Sabon Guida
Le principal objectif de ce projet est de : Instaurer le système de warrantage sur l’oignon à travers une relation quadripartite (SNV, producteurs, SFD, LCB) avec l’introduction d’un système d’abris de conservation adapté et accessible aux producteurs d’oignon afin de réduire les pertes importantes et de réussir définitivement le warrantage qui permets de créer des emplois rémunérateurs et durables et de générer des ressources additionnelles aux producteurs. -
Cahier du formateur « transformation et la conservation des produits maraichers »
Le présent manuel montre à l’utilisateur des modules et support pédagogique un ensemble de techniques de transformation et conservation et les possibilités de stockage de six produits maraîchers cibles (Chou, Moringa, Oignon, Poivron, Pomme de terre et Tomate). -
Module de formation des prestataires de services publics et prives sur la transformation et la conservation des produits maraichers en petite irrigation
L’objectif visé à travers l’élaboration de ce module est de permettre aux prestataires de services publics et privés d’apprendre davantage sur les opérations de transformation et du stockage/ conservation des produits maraichers que sont le chou, l’oignon, le moringa, le poivron, la pomme de terre et la tomate. -
La conservation des fruits et des légumes
Détérioration des aliments : causes, effets et prévention, les étapes de préparation de la conservation. les différentes technique de conservation des aliments. structuration de la vente des produits conservés -
Module de formation sur les techniques de stockage et de conservation des céréales
Ce module déroulé en trois jours expliques les procédures d'hygiène et de conditionnement des produits. le stockage et les dates de péremption en fonction des produits -
La méthode "Sagar" pour stocker sans électricité
"Sagar", c'est le nom d'une structure de stockage sans électricité propulsée au Tchad par l'ingénieur de génie civil, Djasrabaye Adolphe. Cette technique vise à aider les petits commerçants et exploitants tchadiens à réduire les pertes après récolte et conserver certains aliments au frais -
La conservation de la pomme de terre dans la zone de production de Bonkoukou
Cette note présente les techniques traditionnelles de conservation de la pomme de terre des producteurs de la commune d’Imanan, la «pomme de terre de Bonkoukou» comme appelée sur les marchés. Avant cela, les différentes infrastructures (modernes) ayant pour but de stocker la pomme de terre sont présentées. -
Ethnomédecine vétérinaire : une approche pratique du traitement des maladies du bétail en Afrique subsaharienne
Le présent guide porte sur une approche pratique du traitement des maladies du bétail
en Afrique subsaharienne -
Production et stockage d'arachide au Sahel : défis et opportunités dans les régions de Maradi et Zinder au Niger.
L’arachide Arachis hypogaea (L.), est une culture légumineuse importante après le niébé Vigna unguiculata (L. Walp) au Niger. Cependant, son importance économique a diminué en raison de plusieurs défis. Une enquête auprès de 800 agriculteurs a été menée dans 40 villages des régions de Maradi et Zinder pour évaluer les contraintes et les opportunités d’améliorer la production et la commercialisation de l’arachide.
La taille et le rendement moyens des terres variaient selon la région : 1,3 ha par agriculteur et 461,3 kg/ha à Maradi, 1,7 ha par agriculteur et 417,2 kg/ha à Zinder.
Les insectes ravageurs (pucerons) constituaient la contrainte de production la plus importante. -
Étude diagnostique de la réduction des pertes après récolte de trois cultures : manioc, tomate et pomme de terre
Ce présent rapport porte sur l'étude diagnostique de la réduction des pertes après récolte de trois cultures: Manioc, tomate et pomme de terre -
Connaissances paysannes sur la conservation du sorgho et du mil dans le département d’Aguié au Niger
Cet article porte sur la conservation du sorgho et du mil dans le département d’Aguié au Niger -
Manuel technique sur la fabrication et l’utilisation de silos métalliques familiaux pour la conservation des céréales et des légumineuses à graines
Conçu comme un manuel de formation sur la fabrication, l’utilisation et la gestion des silos métalliques familiaux, ce manuel s’adresse aux agriculteurs qui, pour assurer leur sécurité alimentaire, produisent des graines et des céréales de base destinées à leur propre consommation, ainsi qu’aux ferblantiers, forgerons et autres artisans, qui, à partir des indications fournies, pourront fabriquer ces silos et les adapter facilement en fonction de la contenance demandée. -
La maladie hémorragique virale (VHD) du lapin.
Cette fiche technique apprend comment reconnaître et éviter la maladie hémorragique du lapin -
Fiche technique : Reconnaissance des ravageurs du maïs en stockage au Bénin et méthodes de lutte
Cette fiche technique enseigne comment reconnaître et lutter contre les ravageurs du maïs stocké -
Manuel sur les technologies de récolte, de stockage et conservation et de transformation du maïs au Bénin
Le présent manuel, avec ses fiches techniques et posters en annexe, est élaboré pour servir d’outil d’aide aux productrices, producteurs, transformatrices et transformateurs afin qu’ils puissent améliorer leurs pratiques des opérations de récolte, de stockage & conservation et de transformation du maïs. Ce manuel, avec ses fiches et posters, participe au renforcement de capacité des acteurs de la filière maïs. -
Mémento "Bien-être de l'animal d'élevage"
Mémento sur le bien-être des animaux d'élevage, permettant une amélioration de la production. -
Etude de faisabilité pour investissement : contrat à terme et le réseau du warrantage en appui aux stratégies nationales
Au Niger, le plan d’investissement 2012-2015 de l’initiative « les Nigériens nourrissent les Nigériens (I3N) a visé principalement le financement de projets d’irrigation, avec un certain succès (production irriguée en hausse de 30% par an en moyenne). Ce choix a été conforté par une évaluation des risques agricoles de la Banque Mondiale (2013) qui avait identifié comme prioritaires les risques liés aux aléas climatiques, les invasions acridiennes et les risques de hausse des prix pour les consommateurs. En 2014, le Haut-Commissariat I3N et PARM sont convenus d’intégrer les petits producteurs dans le cadre du Plan d’Action pour la Gestion des Risques Agricoles (PAGRA). Trois domaines stratégiques ont été identifiés : l’accès des petits producteurs aux services financiers (crédits et épargnes), aux marchés et à l’information. Cette orientation est cohérente avec une étude de l’IRAM (2016) qui identifiait la dépendance de la production au climat, le risque prix, le risque de marché et le risque de conservation physique des stocks comme des risques agricoles majeurs. C’est dans ce contexte que PARM a suscité la présente étude sur les contrats à terme et le warrantage, et leur rôle en appui au Dispositif National de Prévention et de Gestion et des crises alimentaires (DNPGCA). Le warrantage et les contrats à terme sont en effet les deux principaux ensembles d’outils de gestion des risques de marché au Niger, qui peuvent également jouer un rôle dans la politique nationale de sécurité alimentaire. -
Fiches Maladies Animales Prioritaires – Mallette Pédagogique Santé Animale PRAPS
Les Fiches Maladies Animales Prioritaires de reconnaissance de 27 maladies et syndromes contenues dans le M.U.P.S.A sont également proposées en édition indépendante. Chacune d’entre elles propose un résumé clair, pratique et illustré pour optimiser la reconnaissance des signes cliniques des maladies animales prioritaires du Sahel et les conduites à tenir face à celles-ci par le personnel de santé animale.
Ces fiches ont été conçues et développées par plusieurs vétérinaires et scientifiques du Cirad - UMR ASTRE et des praticiens de terrain, dans le cadre du Projet PRAPS, projet mis en œuvre par l’OIE dans 6 pays Sahéliens. -
Service Vétérinaire Privé de Proximité (SVPP)
Face aux différents défis de santé animale, VSF-B accompagne depuis plus de 15 ans la politique de libéralisation de la profession vétérinaire adoptée par les Etats aussi bien en Afrique centrale, de l’Est que de l’Ouest. La vision de ce dispositif est de permettre aux ménages d’agropasteurs, pasteurs - notamment les transhumants - de sécuriser la santé de leurs troupeaux grâce à un accès permanant et durable aux services de santé animale de qualité et en toute saison au sein des pays de départ, de transit et d’accueil. -
Alerte : L’aflatoxine un tueur silencieux au Niger
Les aflatoxines sont des substances toxiques produites par plusieurs espèces de champignons du genre Aspergillus qui infectent diverses cultures, comme le maïs, le sorgho et l’arachide. La consommation d’aflatoxines peut causer de graves maladies, tant chez les humains que chez les animaux.
Au Niger, des collectes d’échantillons de maïs, de sorgho et d’arachide (418 échantillons, toutes espèces confondues) montrent que l’aflatoxine est présente dans toutes ces cultures et dans toutes les régions avec des concentrations inquiétantes. Le constat est amer, l’aflatoxine est présente partout au Niger et sur plusieurs cultures. Elle constitue un véritable problème de santé publique.
Pour réduire la contamination par les aflatoxines, un produit de biocontrôle a été mis au point : Aflasafe. Il s’applique aux cultures après semis, environ 2 à 3 semaines avant la floraison. Lorsqu’il est correctement appliqué en association avec certaines bonnes pratiques agronomiques, les souches Aflasafe s’associent à la culture et empêchent l’installation des souches de champignons toxigènes offrant ainsi une protection permanente et de facto, la réduction de la teneur en aflatoxines. -
Enquête épidémiologique sur la sensibilité des tiques aux acaricides au Niger : (Cas des tiques du genre hyalomma koch 1844)
Les productions animales occupent une place importante dans les activités socio-économiques des pays sahéliens. Au Niger,elles constituent la deuxième source de revenus à l'exportation après les ressources extractives (uranium) et contribuent de beaucoup à une augmentation notable du produit intérieur brut (P.I.B) et à l'autosuffisance alimentaire, préoccupation majeure des autorités gouvernementales. -
La fièvre de la vallée du rift : Enquête sérologique chez les petits ruminants au Niger
Il y a environ 50 ans que la fièvre de la Vallée du Rift (FVR), virose transmise par des moustiques, a été reconnue une affection épizootique importante, frappant les populations de bétail au Kenya, en Ouganda et en Tanzanie. Ultérieurement, la FVR a été observé dans d'autres régions d'Afrique Orientale et Méridionale, du Soudan à l'Afrique du Sud en passant par le Malawi, la Zambie, le Zimbabwe et le Mozambique. -
Le bétail trypanotolérant en Afrique occidentale et centrale : Vol. 3 Bilan d'une décennie
Le volume 1 de cette étude sur le bétail trypanotolérant en Afrique occidentale et centrale présente la zone d'étude et son bétail, une description du bétail trypanotolérant et de sa productivité, et enfin les besoins et localisations intéressantes pour évaluer le potentiel, pour mieux utiliser et conserver ces races. Le volume 2 regroupe, pour chacun des 18 pays étudiés, toutes les informations disponibles sur le bétail trypanotolérant au niveau national. -
Actes de l’Atelier de capitalisation et diffusion des résultats de la recherche vétérinaire et zootechnique au Niger
Les structures de recherches nationales et internationales (INRAN, CRS-EL, CMB, le LABOCEL, AGRHYMET, IEMVT, ILRI etc.) et les facultés d’Agronomie des Universités publiques ont généré de nombreuses technologies et innovations dans les domaines de l’amélioration génétique, la santé animale, les productions animales, productions fourragères, l’alimentation et toutes les autres questions autour de l’étude et la valorisation des filières et de transfert de technologies.
La capitalisation de ces résultats permettra leur meilleure vulgarisation et diffusion au profit des producteurs pour améliorer la production et la productivité.
C’est dans ce cadre que le CNRA en collaboration avec le PRADEL ont organisé un atelier de capitalisation des résultats de la recherche vétérinaire et zootechnique. Cet atelier fait suite à un avis d’appel à proposition qui a permis de retenir 16 communications dans les domaines cités ci-dessus. -
Plan stratégique national pour le contrôle et l'éradication de la Peste des Petits Ruminants (PPR) : 2020-2027
Ce PNS PPR cadre avec la Stratégie de Développement Durable de l’Élevage (SDDE, 2013-2035) mis en place par le Ministère de l’Élevage avec comme vision « Un Niger où l’élevage, à l’horizon 2035, contribue significativement à la sécurité alimentaire et nutritionnelle et améliore les conditions socio-économiques de populations à travers une gestion durable de l’environnement ». Il répond notamment à l’action A8.1 "Préserver et Améliorer les races locales" de l’Axe 2 de la SDDE (2013-2015). Il s’intègre aussi dans le Plan de Développement Économique et Social (2013-2015) et cadre parfaitement avec l’Initiative « 3N » "les Nigériens Nourrissent les Nigériens, Stratégie de Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle et de Développement Agricoles Durables". -
Plan stratégique national pour le contrôle et l'éradication de la Peste des Petits Ruminants (PPR) : 2018-2025
Situé au cœur de l’Afrique de l’ouest dans la marge du sud Sahara, le Niger couvre une superficie de 1 267 000 Km².C’est un pays sahélien à vocation essentiellement agro-pastorale ou 80% du territoire sont en zone aride ou semi-aride. L’économie du Niger repose avant tout sur l'agriculture, qui représente 50 % du PIB. L'industrie y est peu représentée, l'extraction et le traitement du minerai d'uranium constituant sa principale source de revenu. Le pays connait un taux de croissance moyen significatif sur les 10 dernières années, mais il reste l'un des plus pauvres du monde avec un PIB de 2 $ par jour par habitant. -
Perspectives sur les mycotoxines
Le présent ouvrage, publié par la FAO dans le cadre du projet FAO/PNUE, N° 0107-01, "Lutte contre la contamination environnementale des aliments : MYCOTOXINES", contient les quatre principaux documents de base préparé pour l'examen du point 4 de l'ordre du jour, (Nairobi, Kenya, 19-27 septembre 1977). -
Plan national stratégique pour le contrôle des médicaments vétérinaires PNS-MV (2020-2025)
Le Niger est un pays sahélien à vocation agro-pastorale. L’élevage est pratiqué par près de 87% de la population active (Rhissa ,2010),soit en tant qu’activité principale, soit comme activité secondaire. L’élevage contribue pour près de 35 % au produit intérieur brut agricole du Niger et à hauteur de 22 % de la valeur totale des exportations. Il constitue également la seconde source de recettes d’exportation du pays après les ressources minières. Son apport est de 15% au revenu des ménages et de 25% à la satisfaction des besoins alimentaires. Cette activité représente également un puissant facteur d’intégration aussi bien économique que sociale. -
Plan stratégique national pour le contrôle de la péripneumonie contagieuse bovine (PNS-PPCB): 2020-2027
Situé au cœur de l’Afrique de l’ouest dans la marge du sud Sahara, le Niger couvre une superficie de 1 267 000 Km².C’est un pays sahélien à vocation essentiellement agro-pastorale ou 80% du territoire sont en zone aride ou semi-aride. L’économie du Niger repose avant tout sur l'agriculture qui représente 50 % du PIB. L'industrie y est peu représentée, l'extraction et le traitement du minerai d'uranium constituant sa principale source de revenu. Le pays connait un taux de croissance moyen significatif sur les 10 dernières années, mais il reste l'un des plus pauvres du monde avec un PIB de 2 $ par jour par habitant. -
Plan stratégique national pour le contrôle de péripneumonie contagieuse bovine (PNS-PPCB) 2019-2025
Situé au cœur de l’Afrique de l’ouest dans la marge du sud Sahara, le Niger couvre une superficie de 1 267 000 Km². C’est un pays sahélien à vocation essentiellement agropastorale ou 80% du territoire sont en zone aride ou semi-aride. L’économie du Niger repose avant tout sur l'agriculture qui représente 50 % du PIB. L'industrie y est peu représentée,l'extraction et le traitement du minerai d'uranium constituant sa principale source de revenu. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Santé animale
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la santé animale, se focalisent sur le thème de la « vaccination et traitement des animaux (ruminants et volaille). -
Techniques rurales en afrique
Cette brochure, qui porte le N°7 de la collection "Techniques rurales en Afrique" a été réalisée le Bureau Central d’Études pour les Équipements d'Outre-Mer (B.C.E.O.M) avec le concours de l'Institut de l’Élevage et de Médecine Vétérinaire des Pays Tropicaux (E.M.V.T ) à l'initiative du Secrétaire d’État aux Affaires Étrangères. -
Rapport de mission à Niamey (Niger) du 18 au 24 novembre 1987
Le Niger n'a connu aucun foyer de peste bovine et de péripneumonie contagieuse bovine en 1986-1987. 1 257 199 bovins et 2 280 095 petits ruminants ont été vaccinés contre la peste bovine, ce qui représenterait 70 % de l'effectif bovin et 45 % de l'effectif des petits ruminants. Un contrôle sérologique réalisé sur 623 prélèvements en 24 lieux différents et sur des animaux de tout âges, principalement issus de l'élevage' nomade, révèle que 80 à 90 % de la population bovine vaccinée est porteuse d’anticorps antiseptiques à 95 %. La couverture immunitaire
est donc bonne mais tout, de même insuffisante. -
Note explicative sur la construction des infrastructures de stockage et de conservation du niébé, de l'oignon et du poivron
L'oignon, le niébé et le poivron constituent trois principales cultures de rente au Niger. Cependant, la conservation de ces trois produits est difficile; le niébé doit être conservé dans un milieu anaérobie, l'oignon se conserve dans un milieu moyennement aéré tandis que le poivron frais se conserve dans des chambres froides appropriées. Compte tenu de l'importance de la production, il important de trouver une solution permettant aux producteurs de tirer le maximum de profit. La construction des infrastructures de stockage et de conservation répond parfaitement à cette préoccupation. -
L'approche one health : Une gestion améliorée des risques sanitaires au Niger
Le programme de « Renforcement des communautés et des services de santé humaine et animale dans la Gestion des Risques Sanitaires liés aux Crises et catastrophes (GRSC) »est novateur et se distingue d’abord par son élaboration. En effet, il est le fruit d’un consortium entre deux ONG belges : Médecins du Monde (MdM) en lead et Vétérinaires Sans Frontières – Belgique (VSF-B)comme associé. La réalisation de ce programme GRSC a été rendu possible grâce à la participation active des parties prenantes locales sur la base de l’approche One Health qui met en relation des enjeux de santé humaine, animale et environnementale.Il a été financé par le Service
d’Aide Humanitaire de la coopération belge, pour une période de deux ans et demi, de 2017 à 2020. -
Étude sur le système d’entreposage et de tierce détention adaptés à l'Afrique sub-saharienne
Volume I - Principales conclusionsCette étude vise à favoriser l’émergence de gestionnaires d’entrepôt et de tiers détenteurs capables de proposer des services d’entreposage et de tierce détention qui faciliteront l’accès au financement sur récépissé d’entrepôt ou warrantage (ainsi qu’à d’autres formes de financement sur produits de base) des petits exploitants agricoles. Les pays considérés sont le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Ghana, Madagascar, le Mozambique, le Niger, le Sénégal et l’Ouganda. L’analyse comprend un examen préalable juridique et institutionnel, visant à recenser les obstacles et à formuler des recommandations pouvant être mises en œuvre dans les pays considérés, et éventuellement dans les pays membres de l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA). -
Rapport sur la revue des expériences de récépissés d'entreposage et de warrantage pour le financement de l'agricultuure en Afrique de l'Ouest
L’économie de la quasi - totalité des pays de l’Afrique de l’Ouest repose en grande partie sur l’agriculture qui contribue énormément au PIB et emploie la majeure partie de la population active. Malgré le rôle moteur qu’elle peut jouer dans le développement économique des pays, il y a une réticence généralisée des institutions financières à financer les activités de production et d’investissement des acteurs des différentes chaînes de valeur agricoles, surtout les producteurs. En effet, le secteur agricole est considéré comme très risqué à cause des aléas climatiques dont il dépend et surtout des risques de coordination économique. Tous les acteurs sont convaincus de la nécessité de trouver de nouveaux mécanismes innovants de financement qui sécurisent à la fois les interventions des institutions de financements et les revenus des producteurs. -
Effet de l’azote sur l’aptitude à la conservation des bulbes d’oignon (Allium cepa L.)
L’oignon est le deuxième produit d’exportation au Niger après l’uranium. Le « Violet de Galmi » est la variété la plus appréciée et recherchée par les consommateurs locaux et sous-régionaux. Ce travail a pour objectif d’évaluer les pertes dues à la conservation des bulbes d’oignon en fonction de la variation des unités d’azote apportées à la culture. Ainsi, quatre doses d’unité N, P et K (T2 : 30-3030 ; T3 : 60-30-30 ; T4 : 90-30-30 ; et T5 : 120-30-30) sont comparées à un témoin Zéro (T1 : sans engrais mais avec du fumier) dans un essai à quatre répétition. Les unités fertilisantes sont apportées en trois apports avec du NPK (15-15-15) et de l’urée (46-0-0). Les rendements obtenus sont : 17, 22, 28, 27, et 34 tonnes des bulbes par hectare pour les doses correspondant à T1, T2 ; T3 ; T4 et T5 respectivement. Les pertes sont évaluées en termes de nombre des bulbes pourries et pré-germés pour chacune de ces doses. Le taux de perte au bout de quatre mois de conservation est : 28,3 ; 16, 3 ; 34,6 ; 30,0 et 33, 5% pour T1, T2 ; T3 ; T4 et T5 respectivement. La dose d’engrais 30N30P30K (T2) permet d’obtenir un taux de perte de 16% au bout de quatre mois de conservation. Ce qui permettra au producteur d’améliorer son revenu car pendant la récolte, le sac de 130 kg de bulbes d’oignon ne dépasse pas 10 000 francs CFA (soit 15,25 €) alors que quatre mois plus tard, il peut atteindre 100 000 francs CFA (soit 152,55€). -
Maladies animales
Ce document est une fiche technique élaborée dans le but de relever les maladies des animaux (bétail) et apporter un traitement à ces derniers. -
Inventaire des outils et produits de stockage des graines de Voandzou (Vigna subterranea. (L) Verdcourt) comme moyens de prévention contre le Callosobruchus maculatus Fab. (Coleoptera : bruchidae) au Niger
Au Niger, plusieurs types d’outils et produits sont utilisés pour le stockage de Voandzou. L’objectif de cette étude était d’inventorier les outils et produits utilisés pour prévenir les dégâts du Callosobruchus maculatus (Fab.) sur les graines de Voandzou en stockage. Des questionnaires semis structurés ont été administrés auprès de 404 chefs de ménages dans 16 villages cibles. Ainsi, certaines données recueillies ont fait l’objet d’une comparaison des moyennes en utilisant une analyse de la variance (ANOVA) à un niveau de signification de 5% suivie du test de Ducan. D’autres résultats ont servi de faire les tableaux et figures grâce au logiciel Excel. Il ressort de cette enquête que la graine est la forme la plus utilisée dans le stockage de Voandzou (95%). L’étude a ressorti une diversité d’outils rencontrés selon les régions. -
Stockage des oignons : l’expérience de l’Union des producteurs d’oignon de Madaoua
Cette note est tirée du rapport du voyage d’étude effectué par la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN Niya) avec l’appui du Projet de lutte contre l’insécurité alimentaire par le développement de l’irrigation dans la région de Tillaberi (PDIT), du 09 au 16 décembre 2009. -
Techniques de production, stockage et conservation des bulbes d’oignon pour améliorer les performances de la filière oignon
Suite aux besoins des clients exprimés dans les dossiers de structuration des activités des OP, les constats lors de l’analyse des systèmes de conservation des produits et de l’évaluation des chaînes de valeurs des produits (oignon et pomme de terre), pour appuyer l’effort de ses clients axé sur le marché afin de tirer le maximum de profit. Le présent manuel s’inscrit dans le cadre de la formation des représentants des OP dans les techniques poste-récolte, de conditionnement et de conservation des bulbes d’oignon afin de minimiser les taux de perte mais, augmenter la qualité et valeur des produits. Cette formation portera sur le renforcement des capacités des membres des OP aussi bien en techniques de conservation des bulbes destinés à la conservation qu’en production des semences de qualité afin de prendre en compte dans la phase poste récolte, toutes les insuffisances capables d’affecter négativement le volume et valeurs des récoltes des produits ciblés. -
Comment élever au mieux mes animaux?
La détention des animaux de ferme de toutes espèces en leur
donnant de bonnes conditions de vie favorise leur bien-être et
leur santé sans recours aux traitement chimiques. -
Pratique de stockage et conservation : conseils techniques pour perdre moins
La campagne de la saison sèche fraîche est la plus importante. Sa récolte coïncide avec l’abondance d’oignons sur le marché. Si les producteurs vendent à la récolte, ils trouvent généralement des prix bas. Pour avoir des sacs, ils doivent souvent aussi casser le prix. Dans ces conditions, il est rentable de stocker pour vendre les oignons après quelques mois. -
Informations parues dans la presse sur la transformation de tomate en Afrique de l’Ouest
Au Nigeria, le marché de la tomate et de ses produits dérivés est parmi l’un des plus importants en Afrique. Selon les estimations, le pays importe environ 150 000 tonnes de concentrés de tomate par an. Par ailleurs, selon un rapport du cabinet d’audit PricewaterhouseCoopers (PwC), la valeur des achats a atteint en moyenne 360 millions $ en 2017 [RECA : environ 180 milliards F.CFA] contre 200 millions $ en 2013. -
Guide de bonnes pratiques de production, stockage et conservation de l'oignon
Le présent guide de bonnes pratiques, élaboré en collaboration avec l’IRAN, la DGA, des personnes ressources de la filière oignon et les experts du PRODEX, s’inscrit dans le cadre de l’amélioration de la compétitivité de l’oignon du Niger à l’exportation sur les marchés s demandeurs des pays côtiers. Il est destiné à l’usage des techniciens en appui à la filière, le personnel des organisations faitières de la filière oignon ainsi que les producteurs, les commerçants et les exportateurs de l’oignon du Niger. -
La pasteurellose : une maladie qui touche les bovins, ovins, caprins et les chameaux au Niger
La pasteurellose est une maladie très fréquente qui peut se trouver dans toutes les régions. A cause du nombre d’animaux malades et de la mortalité des animaux, cette maladie est redoutable sur le plan économique. Elle provoque beaucoup de pertes chez les éleveurs. -
Bulletin de surveillance pastorale sur le Niger
Au cours de cette période de décembre 2021 à janvier 2022, des arrivées massives d’animaux ont été répertorié dans les zones de Gouré et Tanout ainsi que de forts mouvements précoce d’animaux dans la zone de Mayayi en provenance de la région d’Agadez. Ce déplacement précoce d’animaux en quête de pâturage pourrait s’expliquer par la libération en avance des champs du fait de la faible production agricole ou pour quitter les zones ravagées par les feux de brousse. Quant au départ massif des animaux, ils ont été recensés dans les zones de Ouallam et de Banibangou, probablement pour fuir l’insécurité armée. -
Manuel de formation pour l'amélioration du traitement et du stockage des grains après-récolte
Ce manuel est destiné aux formateurs des organisations paysannes (OP) et à leurs membres en Afrique sub-saharienne. Le but étant de fournir une formation sur les techniques et opérations après-récolte afin d’améliorer la qualité des grains et ainsi de permettre l’augmentation des revenus et l’amélioration de la sécurité alimentaire des agriculteurs participants au programme. -
Connaissances ethnovétérinaires des pathologies camélines dominantes chez les Touaregs de la région d’Agadez (Niger)
Depuis des générations, les éleveurs nomades ont appris à gérer la santé de leurs troupeaux, et particulièrement de leurs dromadaires du fait de la grande valeur financière de ceux-ci et du capital qu’ils représentent. Ils ont ainsi acquis une connaissance très fine des signes de maladies dans cette espèce, qu’ils classent et nomment selon des systèmes spécifiques. La présente étude s’intéresse à ces connaissances ethnovétérinaires par le biais d’une enquête réalisée auprès d’éleveurs Touaregs du Niger vivant dans les alentours d’Agadez et vise à en rechercher la correspondance avec les connaissances scientifiques actuelles. Les dominantes pathologiques ainsi signalées par les éleveurs comme les plus préoccupantes à leur sens sont les verminoses gastro-intestinales (izni), la diarrhée du chamelon (efay), les infestations par les tiques chez le chamelon (igardan), la variole (erk echik), la gale sarcoptique (ajoud) et les broncho-pneumonies (toza). La présence d’entités mal identifiées est également signalée. -
Hygiene des parcs de bovins
Le lait est pratiquement stérile lorsqu’il est sécrété par un pis sain. Les inhibiteurs naturels du lait (par exemple, la lactoferrine et la lactoperoxydase) limitent la multiplication des bactéries durant trois à quatre heures après la traite, à température ambiante. Le refroidissement à 4°C pendant cette période préserve la qualité originelle du lait et est la méthode de choix pour conserver un lait de bonne qualité en vue d’être transformé ou consommé. Le refroidissement peut être réalisé par réfrigération mécanique ou dans des cuves de refroidissement. -
Prévalence de la trypanosomiase cameline à T. Evansi dans les élevages périurbains de Tahoua
Une étude sur la prévalence de la trypanosomiase à Trypanosoma evansi a été menée en fin de saison sèche (Mai, Juin 2019) dans les élevages camelins périurbains de la commune de Tahoua. -
Ce que vous devez savoir sur la Fièvre de la Vallée du Rift
En général, le bétail, tel que les chèvres, les vaches et les moutons, est atteint par la fièvre de la vallée du Rift avant les humains. Les humains peuvent tomber malades après être entrés en contact avec des animaux contaminés. La FVR ne se transmet pas d’une personne à l’autre. -
Ce que vous devez savoir sur la Fièvre de la Vallée du Rift (signes)
Lorsque des analyses sur des animaux sont recommandées, les vétérinaires peuvent prélever des échantillons en suivant les recommandations ci-après. Pour éviter d’entrer en contact direct avec les fluides corporels des animaux malades ou morts, ou avec les produits d’avortement, portez des gants, des bottes, des manches longues (ou des blouses le cas échéant), et une protection pour le visage (contre les éclaboussures). -
Ce que vous devez savoir sur la Fièvre de la Vallée du Rift (FVR) : comment la prévenir?
Signaler le bétail malade, les avortements, et les décès inattendus à l’agent vétérinaire dans votre district. Ne pas toucher ou enterrer le bétail mort. Appelez le vétérinaire dans votre district. -
La santé animale : Principales maladies
A l'occasion de la traduction en français de l'ouvrage Animal health (volume 2) d'Archie Hunter (1994), un collectif de spécialistes, en majorité du Cirad, coordonnés par Christian Meyer, a révisé et actualisé le texte, pour tenir compte des avancées scientifiques et techniques récentes dans ce domaine. -
La santé animale
A l'occasion de cette traduction de l'ouvrage Animal Health (volume 1) d'Archie Hunter (1996), un collectif de spécialistes français, en majorité du Cirad, coordonnés par Christian Meyer, a révisé et actualisé le texte, pour tenir compte des expériences complémentaires des relecteurs et des avancés scientifiques et techniques récentes dans ce domaine. Gerrit Uilenberg, qui était déjà associé en tant que collaborateur à la version originale anglaise, a également relu intégralement l'ouvrage en français et validé l'ensemble de nouveaux apports. -
Manuel à l'Usage du Personnel de Santé Animale (M.U.P.S.A) : Auxiliaires d'élevage - Techniciens vétérinaires - Vétérinaires
Le Manuel à l’Usage du Personnel de Santé Animale (M.U.P.S.A) ci-présent qui constitue un support de formation continue et un outil de référence pour le terrain. Il contient cinq parties organisées autour des principaux domaines de la santé animale. Chaque partie détaille de manière simple et imagée les notions importantes à connaître pour l’exercice quotidien des missions des agents communautaires, des paravétérinaires et des vétérinaires privés et/ou publics intervenant dans les pays de l’océan Indien. Les rôles de chacun de ces acteurs, la reconnaissance des maladies animales prioritaires et les techniques de santé animale de base sont exhaustivement expliqués dans cet ouvrage. -
Santé animale : un défi aux multiples facettes
Chaque année la rage fait entre 55000 et 70000 victimes dans le monde, dont la majorité sont des enfants. Plus de 95% des cas sont causés par des morsures de chiens infectés. La vaccination des animaux ainsi que le contrôle des populations de chiens réduit l’incidence de la maladie à sa source et sauve des vies humaines. La faune sauvage est également impliquée dans l’épidémiologie de la rage La faune sauvage est également impliquée dans l’épidémiologie de la rage. -
Santé animale et santé publique vétérinaire : un enjeu global mondial
À l’échelle des petits éleveurs familiaux, qui représentent au niveau mondial la majeure partie des quelques 1,3 milliards de personnes dépendant du bétail pour assurer leur subsistance (FAO, 2015), les maladies du cheptel constituent en premier lieu une menace pour la sécurité alimentaire et matérielle de toute la famille. Les produits de l’élevage (viande, lait, œufs, …) entrent pour une part importante dans la composition et l’équilibre nutritionnel de l’alimentation familiale, mais sont également fréquemment commercialisés. Ils permettent ainsi l’achat d’autres denrées alimentaires, de produits de première nécessité, et l’accès aux services de base (santé, éducation, etc.). L’élevage est également essentiel pour assurer aux cultures des apports de fumure organique, et faciliter, grâce à la traction animale, le travail du sol et les semis ou le trans port des produits aux marchés. Il est indispensable pour favoriser les transitions agroécologiques des systèmes agricoles et réduire ainsi la dépendance à l’achat d’intrants externes. -
Fiche technique : Stockage et conservation de l'arachide
Appliquer les bonnes techniques de stockage et de conservation à l’arachide afin d’obtenir un produit qui conserve toute ses qualités organoleptiques, nutritionnelles, marchandes ainsi que sa faculté germinative lorsqu’il sera utilisé comme semence. Cette Fiche a été validée par toutes les composantes nationales du monde agricole Cette Fiche a été validée par toutes les composantes nationales du monde agricole. -
Mieux conserver les fruits et légumes
Cette note, décrit la durée, les conseils et astuces de la conservation des fruits et légumes. -
Conservation des légumes feuilles et des fruits
Coupez en tranches les fruits (mangues, ananas, bananes) aux trois quarts mûrs, étalez-les en couches fi nes sur une feuille de polythène noire placée sur une plate-forme surélevée et laissez-les sécher au soleil jusqu’à ce que les tranches deviennent croustillantes. -
Guide de conservation des fruits et légumes
La conservation des fruits et légumes est une pratique qui consiste à retarder la consommation de ceux-ci. Mais cette conservation nécessitent une bonne connaissance du lieu de conservation, des informations au niveau de l'achat.... -
La conservation des fruits et des légumes
Cet Agrodok présente quelques techniques de conservations simple et relativement bon marché qui peuvent être utilisées à petite échelle au niveau individuel ou par petit groupe ( de famille par exemple). Le chapitre 2 fournit des informations générales sur la détérioration des aliments, sur ses causes et ses effets dangereux ainsi que sur les mesures à prendre pour l’empêcher. -
Conservation "maison" des fruits et légumes : la saveur au rendez-vous en toute saison
On peut congeler presque tous les légumes, sauf la salade. Les fruits et légumes gorgés d’eau résistent moins à la décongélation mais sont bons en coulis. Il est nécessaire de blanchir la majorité des fruits et des légumes avant leur congélation, afin d’éviter qu’ils ne changent de couleur, de saveur et de texture. Le blanchiment consiste à faire bouillir les aliments quelques minutes, pour ensuite les plonger dans l’eau froide afin d’arrêter leur cuisson. Pour limiter les pertes nutritionnelles, ne dépassez pas le temps requis et utilisez un minimum d’eau. Mieux encore, blanchissez à la vapeur. Egouttez bien les légumes et les fruits après le blanchiment pour éviter les cristaux de glace dans le congélateur. -
Usage responsable et prudent des produits chimiques anthelminthiques en vue d’aider à contrôler la résistance aux anthelminthiques chez le bétail au pâturage
L’usage responsable et prudent des produits chimiques anthelminthiques comprend la mise en œuvre de mesures et de recommandations pratiques visant à améliorer la santé animale et le bien-être animal tout en évitant ou en réduisant l’émergence, la sélection et la propagation d’organismes résistants aux anthelminthiques chez les animaux et chez l’homme, et en réduisant le plus possible les résidus dans les produits d’origine animale destinés à la consommation humaine. -
Note de cadrage : amélioration de la santé animale en zone sahélienne
Dans les sociétés sahéliennes, l’élevage des ruminants domestiques (bovins, ovins, caprins et dromadaires) tient une place prépondérante en raison de l’aptitude de ces animaux à valoriser des terres souvent peu propices aux cultures végétales pluviales. Les systèmes d’élevage sahéliens, basés sur la mobilité des éleveurs et de leurs troupeaux sont particulièrement bien adaptés à ce milieu difficile. La productivité des troupeaux conditionne la qualité de vie et les revenus des populations humaines. La maîtrise de la santé animale est un facteur majeur de cette productivité et, par conséquent, du bien être des ménages pastoraux et des économies nationales. La présence et l’opérationnalité des services vétérinaires sont ainsi reconnues de tous comme un des facteurs de sécurisation du pastoralisme. Essentiel à la performance des troupeaux et à la résilience de l’élevage pastoral sahélien, l’enjeu de santé animale rassemble et crée des liens entre professionnels, vétérinaires, services techniques et ministères en charge de la santé animale. -
Répertoire des produits zootechniques et vétérinaires : mieux connaître les médicaments illicites dans les communes pour informer les éleveurs
Dans le cadre du Programme sur la résilience du système alimentaire (FSRP), le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture du Niger ont été chargés de mettre en place un répertoire de produits zootechniques et vétérinaires (à l’instar du répertoire déjà réalisé pour les produits phytosanitaires) et le maintenir à jour en vue d’alimenter un dispositif e-Extension afin de mettre ce répertoire à disposition des producteurs et agents des dispositifs de conseil Agricole. Le Programme sur la résilience du système alimentaire (en anglais Food System Résilience Program, soit FSRP) est un projet régional d’investissement piloté par la CEDEAO, le CILSS, le CORAF1et cofinancé par la Banque mondiale. -
Qualité des antibiotiques vétérinaires utilisés en Afrique de l’Ouest et méthodes de détection de leurs résidus dans les denrées alimentaires
L’usage des antibiotiques en médecine vétérinaire pour la prophylaxie, métaphylaxie et des traitements thérapeutiques a beaucoup favorisé l’intensification de la production animale au cours des dernières décennies. Mais, la mauvaise utilisation de ces antibiotiques vétérinaires surtout de qualité douteuse en Afrique de l’Ouest occasionne la présence de leurs résidus dans les denrées alimentaires d’origine animale et crée ainsi des problèmes de santé publique. Cet article passe en revue la qualité des antibiotiques vétérinaires et leur usage en Afrique de l’Ouest d’une part, et d’autre part les sources des résidus d’antibiotiques dans les aliments avec leurs conséquences sur la santé des consommateurs. Les méthodes de contrôle de qualité des médicaments d’antibiotiques et les méthodes de détection et de dosage de leurs résidus dans les aliments sont aussi passées en revue avant une synthèse sur la législation en vigueur dans l’espace Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine sur les produits vétérinaires et l’exercice de la profession vétérinaire. Il en résulte que beaucoup de médicaments vétérinaires commercialisés sur le marché ouest africain sont de mauvaise qualité. Le non-respect des exigences d’utilisation de ces médicaments engendre la présence de leurs résidus dans les aliments d'origine animale et peut occasionner des effets délétères sur la santé des consommateurs. -
La qualité des produits pharmaceutiques vétérinaires
L’objectif de ce document est d’informer le Comité consultatif technique de LEGS sur les questions ayant trait à la qualité des produits pharmaceutiques vétérinaires pour les interventions liées à l’élevage en situation d’urgence. Cela couvre les éléments de la chaîne d’approvisionnement et les produits pharmaceutiques eux-mêmes, ainsi que les préoccupations croissantes concernant la façon d’utiliser (ou de mal employer) les antibiotiques et anthelminthiques dans le contexte du problème mondial de la résistance aux antimicrobiens (RAM). Ce document de réflexion s’inspire largement des expériences et des conclusions du projet de recherches opérationnelles de LEGS intitulé « Operational barriers to applying LEGS » [Barrières opérationnelles à l’application de LEGS], d’un examen de la littérature existante et d’entretiens avec des informateurs clés issus d’agences qui travaillent dans ce secteur (Vétérinaires sans Frontières – VSF, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture – FAO, The Brooke, des universités et instituts de recherche, des formateurs LEGS, etc.). -
Le pédiluve acaricide
Les adultes d’Amblyomma variegatum attendent le passage de leurs hôtes sur le sol, cachés sous les débris végétaux. Lorsque les bovins pâturent, ils « réveillent » ces tiques qui se fixent entre leurs onglons avant de gagner les sites de prédilection. Ces observations, faites au Cirdes, ont permis de mettre au point une technique de lutte efficace, rapide et économique : le pédiluve acaricide. -
Diagnostic différentiel des trypanosomoses des ruminants
Les trypanosomoses animales africaines sont des parasitoses dues à des protozoaires flagellés vivant dans le sang de leurs hôtes et qui sont principalement transmis par les glossines. En Afrique, dans les zones sub-sahariennes, les trypanosomoses animales dues à Trypanosoma vivax, T. congolense et T. brucei sont les plus importantes maladies des ruminants transmises par des vecteurs. Elles touchent principalement les bovins, en particulier les zébus qui ne peuvent être élevés dans l’aire de répartition des glossines ; les taurins trypanotolérants (Baoulé, N’Dama, etc.) supportent mieux l’infection et développent des formes chroniques. Ovins et caprins sont souvent moins touchés que les bovins. Les trypanosomoses provoquent : fièvre, anémie, amaigrissement, avortement et peuvent même aboutir à la mort. L’expression clinique peu spécifique prête à confusion avec plusieurs autres hémoparasitoses, des helminthoses, ou même des intoxications. Il est donc nécessaire de rappeler les symptômes de ces maladies, pour un diagnostic différentiel, et de présenter les techniques de laboratoire permettant de confirmer des suspicions cliniques. -
Traitement épicutané du bétail
Les traitements épicutanés consistent à déposer sur la peau des animaux des insecticides et/ou acaricides selon diverses modalités. Ils permettent une action simultanée contre les principaux ectoparasites : les tiques et les glossines (figure 1). Pour la lutte contre les tiques, ces traitements sont très répandus et aisément mis en œuvre. Ils peuvent s'appliquer aussi bien à l'individu qu'à l'ensemble du troupeau. Pour la lutte contre les glossines, les traitements épicutanés sont un bon complément aux autres modes de lutte que sont la pose d'écrans et/ou de pièges imprégnés d'insecticides. Ils requièrent dans ce cas une approche communautaire et participative des éleveurs. -
Synchronisation des chaleurs et insémination artificielle bovine
La synchronisation des chaleurs, technique qui permet de maîtriser et d’harmoniser le cycle sexuel des femelles, a l’avantage d’améliorer le taux de succès de l’IA par la levée des contraintes liées à la détection des chaleurs et aux moyens de déplacement. En effet, la détection des chaleurs ne s’impose plus chez la vache synchronisée où l’insémination se fait à une date prédéterminée. En plus, si la synchronisation porte sur un groupe de vaches, le temps de travail s’en trouve du même coup réduit parce que toutes seront inséminées le même jour et au même lieu. Cette fiche technique a pour objet d’aider à la vulgarisation des méthodes de synchronisation des chaleurs et d’IA bovine. Mais, auparavant, quelques rappels sur l’activité sexuelle de la vache sont nécessaires. -
L’insémination artificielle : conditions pour une bonne réussite
L’insémination artificielle (IA), technologie de reproduction consistant à recueillir le sperme d’un géniteur et à l’introduire dans les voies génitales d’une reproductrice sans qu’il y ait accouplement, est de plus en plus pratiquée dans les programmes d’amélioration génétique par croisement en Afrique. En plus de l’intérêt économique associé à l’obtention et à la diffusion rapide de métis performants, d’autres avantages liés à la pratique de l’IA concernent les aspects de conservation du patrimoine génétique et de sécurité sanitaire. Combinée aux techniques de groupage des chaleurs, l’IA peut contribuer à une meilleure gestion des troupeaux et à une optimisation de la carrière reproductive des animaux. Ces nombreux avantages ont créé chez l’éleveur africain un réel engouement pour l’IA. Cependant, cet engouement ne s’est pas encore traduit par un fort taux d’adoption de la technologie, principalement à cause de son coût de revient élevé (44 000 FCFA l’insémination lors d’opérations menées au Mali en 2002/2003) et de son taux bas de réussite (un taux moyen de 34 % en Afrique). -
La cowdriose : épidémiologie et contrôle
La cowdriose, maladie mortelle pour les ruminants, constitue un des obstacles majeurs à l'introduction en zone subhumide d'animaux originaires d'Europe ou de régions africaines où le vecteur est absent. La prévention par une lutte rigoureuse et constante contre les tiques étant aléatoire et le vaccin n'étant pas encore disponible, le recours principal contre la maladie reste l'application rapide d'antibiotiques appropriés. Il est donc essentiel de connaître les modalités d'apparition de la cowdriose et de l'identifier dès qu'elle se manifeste. -
Comment pérenniser les acquis de la lutte antivectorielle ?
En Afrique de l’Ouest comme dans d’autres régions, l’échec de la plupart des projets de développement de première génération a souvent été attribué à l’incapacité des bénéficiaires à poursuivre les actions, une fois ces projets arrivés à terme. Les problèmes de développement, auxquels on a cru avoir trouvé des solutions durables, se posent de nouveau, souvent avec plus d’acuité. C’est le cas notamment des campagnes de lutte contre la trypanosomose animale où la ré infestation rapide des zones assainies s’est toujours révélée désastreuse pour l’élevage bovin en particulier. Parmi les causes des nombreux échecs, le manque d’implication des populations dans la conception et la mise en œuvre des programmes figure en première place. -
Techniques de conservation d'oignon et facteurs d'adoption : cas de la technique type UGPOS dans le Sanmatenga
Au Burkina Faso, la filière fruits et légumes occupe une place de choix parmi les filières porteuses retenues par les autorités burkinabés. Le maraîchage est plus que jamais une filière d’avenir pour de nombreux producteurs, car elle est l’une des activités génératrices de revenus pour de nombreuses personnes. Les cultures maraichères et en particularité l'oignon connaissent depuis une vingtaine d'années une croissance considérable en Afrique de l'Ouest et en particulier au Burkina Faso. Malgré une forte production de l’oignon, on note une période de pénurie entrainant ainsi une forte variation des prix du produit. La conservation et le stockage, constitue le nœud du problème, car le manque de techniques de conservation et de stockage engendre des pertes énormes en termes de gains financiers. En outre, les producteurs essaient d’innover en abri de conservation capable de résoudre leur problème étant donné que certaines des infrastructures modernes leur sont inaccessibles. -
Mémento du stockage de proximité en Afrique de l'Ouest
En 2012, l’Afrique de l’Ouest s’est dotée d’une stratégie régionale de stockage en matière de sécurité alimentaire. Cette stratégie repose sur la complémentarité de trois lignes de défense pour faire face aux chocs : (i) les stocks de proximité gérés par des groupements de producteurs ou des organisations coopératives ; (ii) les stocks nationaux de sécurité alimentaire gérés par les États (parfois en cogestion avec les partenaires techniques et financiers) et (iii) la Réserve régionale de sécurité alimentaire (RRSA) mise en œuvre par la CEDEAO à travers l’Agence régionale pour l’agriculture et l’alimentation (ARAA). -
Les concepts de base sur le stockage et la conservation des produits agricoles
L’objectif de cette fiche est de mettre à la disposition des techniciens et techniciennes des notions complémentaires sur quelques concepts de base nécessaires liés au stockage et à la conservation des produits agricoles. Cette Fiche a été validée par toutes les composantes nationales du monde agricole. -
Manuel de stockage et de conservation des céréales et des oléagineux
Ce manuel est destiné à être un guide pour toutes les personnes concernées par le stockage et la concertation des grains et des graines. Il concerne aussi bien les magasiniers, les gérants et les producteurs. Chacun en ce qui le concerne y trouvera les éléments d’information qui le concernent. Le programme d’Actions pour un Développement Juste et Durable PADER, est à l’origine de ce manuel qu’il a entièrement financé. -
Le stockage des produits agricoles
Ce manuel traite des méthodes de récolte et de stockage des produits agricoles. Dans la plupart des cas, ils sont stockés sans traitement pour une période plus ou moins longue. Malheureusement, des pertes de 25% des graines/grains et de 40 à 50% des légumes sont monnaie courante sous les tropiques. -
Hygiène et sécurité alimentaire
Pour le stockage des aliments non périssables à faible teneur en humidité comme les légumes secs, les pâtes, le riz, etc., on recommande d’utiliser des récipients avec couvercle qui pourront être fermés, sans que l’herméticité soit nécessaire, en évitant ainsi que l’humidité y entre et les abîme. -
Tableaux de conservation des denrées alimentaires
Un aliment, qu'il soit d'origine végétale ou animale, nécessite des techniques de conservation qu'il est important de savoir. -
Livret sur les techniques de conservation et gestion des matières premières et des produits transformés
Généralement, le traitement est fonction du type d’infestation ou d’attaque. Il existe des traitements traditionnels qui donnent de bons résultats mais qui ont aussi leurs contraintes. Ce que l’on peut dire au sujet des traitements curatifs modernes, c’est que pour y procéder, il faut s’entourer de ces précautions : demander les services de personne qualifiée (par exemple les services de l’agriculture) ; lorsqu’un produit est utilisé, lire attentivement la notice et s’y conformer ; si le traitement l’exige, il faut respecter le délai requis avant de consommer les céréales traitées sinon ils peuvent occasionner des drames (maladies, décès) ; d’une façon générale, au cours des traitements, il est déconseillé de boire, fumer, manger, chiquer. Il est conseillé de bien se protéger (port de gants, casques, masques pour le nez…) de bien se laver après le traitement, de détruire ou d’enfouir assez profondément dans le sol, les contenants des produits utilisés (bidons, sachets…), de se rendre immédiatement au poste de santé le plus près en cas de malaise avec la notice du produit utilisé pour aider rapidement à identifier le mal et à le traiter. -
Amélioration participative des céréales et légumineuses et conservation de l'agro-biodiversité au Niger
L'agriculture est apparue au néolithique, il y a près de dix mille ans (Hawkes, 1983). Sur près de 250.000 espèces végétales répertoriées dans le monde, dont environ 30.000 comestibles, seules quelques 7.000 sont utilisées pour l'alimentation humaine (FAO, 2001). Entre 150 et 230 seulement de ces espèces sont cultivées (Simmonds, 1988 ; FAO, 2001). Plus de 75% de la population mondiale (estimée à 6 milliards en 2006) doivent leur pitance à moins d'une dizaine de cultures (blé, riz, maïs, sorgho, mil, pomme de terre). Ces données illustrent gravement au besoin l'étroitesse de la base génétique sur laquelle repose le sort alimentaire de l'humanité. Conséquence d'une agriculture industrielle, imposée par le libéralisme économique international, basé exclusivement sur 1e profit et privilégiant l'uniformité à 1a diversité des cultures, cette situation pourrait à terme porter préjudice à la sécurité alimentaire mondiale. Si cette sélection outrancière se maintenait et dans l'hypothèse que l'importante diversité des ressources inutilisées est vouée à l'indifférence humaine, voire à la disparition dans un environnement écologique planétaire sérieusement perturbé, rien n'empêcherait de projeter à juste titre un avenir alimentaire peu rassurant pour le monde. -
Les méthodes de conservations et de lutte contre les ravageurs de stock du mil et du sorgho à Tahoua et Maradi, Niger
Au Niger, le sorgho et le mil représentent les deux (2) céréales les plus importantes en termes de superficie cultivées et de productions. Les effets combinés des contraintes biotiques et abiotiques entrainent des pertes post-récoltes. Une étude a été conduite pour évaluer les connaissances des producteurs sur les ravageurs et les méthodes de lutte lors de la conservation. -
Le séchage solaire à petite échelle des fruits et légumes : expériences et procédés
Ce guide apporte des réponses techniques et pratiques pour améliorer la qualité du séchage familial et choisir le séchoir adapté aux petites productions. Il fournit aux entrepreneurs artisans des éléments méthodologiques pour aborder le marché, la gestion de l’activité et le choix du matériel. -
Essai de conservation de la tomate par la technique de la déshydratation imprégnation par immersion (DII)
La Déshydratation Imprégnation par Immersion (DII) est une technique de conservation à long terme déjà appliquée sur certains fruits comme la mangue, l’ananas, la banane, etc. Le présent travail est une application de la DII à la conservation de la tomate (Lycopercicon esculentum Mill.) variété locale Tounvi largement cultivée au Bénin. Ainsi, dans les conditions expérimentales de production, une augmentation de la teneur en matière sèche soluble de 5% à 80,79% sous l’effet de la chaleur au cours de l’obtention des tomates séchées, s’est traduite par une élévation subséquente de la teneur en cendres qui passe de 0,51% pour le produit frais à 0,75% à la fin de la DII. L’acidité des tomates également varie de 4,5 g/L à 5,72 g/L, ce qui entraîne une légère diminution du pH qui passe de 4,36 à 4,12 à la fin de la DII. -
Influence des méthodes de séchage sur la qualité des tomates séchées (variété Zahra)
L’objectif de ce travail est l’étude de l’influence de différentes méthodes de séchage (air libre, solaire à convection forcée, solaire à convection naturelle et sous vide) sur la cinétique de séchage de la tomate. Les paramètres suivants ont été déterminés : diffusivité massique, énergie d’activation, teneur en lycopène, et capacité de réhydratation. Les résultats ont montré que l’augmentation de la température et la diminution de la pression permettent d’obtenir des durées de séchage courtes. La diffusivité massique augmente avec l’augmentation de la température et la diminution de la pression. Quatre modèles empiriques ont été utilisés pour les cinétiques de séchage. Les modèles de Midilli et al. et de Page sont des modèles intéressants pour modéliser le comportement du séchage de la tomate. A partir des résultats obtenus, le séchage solaire à convection forcée et le séchage sous vide à température 50 °C et à pression 20 cm Hg sont les meilleures méthodes de séchage. -
La conservation des denrées alimentaires par stérilisation
Ce document technique traite de la conservation des tomate par stérilisation. -
Guide de bonnes pratiques de production des tomates séchés Tunisiennes
La tomate est un fruit dont la culture de saison, en Tunisie, débute en mois de janvier par le semis, puis le repiquage à partir du mois de février. La cueillette des tomates de saison coïncide avec la pleine saison estivale favorisant ainsi le séchage solaire. Elle s’étale de la fin du mois de juin jusqu’à mi-septembre en fonction de la conduite mais aussi en fonction de la variété cultivée. -
Amélioration de la qualité de la tomate séchée par microondes assistés par air chaud avec pilotage de la puissance spécifique
Cette étude porte sur l'amélioration de la qualité de la tomate séchée par microondes assistées par air chaud (MOAC). Le principal but est la préservation de la qualité de la tomate séchée en évitant notamment l'apparition des taches noires. -
Essaie d'amélioration du processus de séchage de la tomate à l'unité de transformation de l'association des veuves et orphelins du Houet (AVOH)
La tomate, Lycopercicum esculentum MilL, espèce de plantes herbacées de la famille des Solanacées est originaire du nord de l'Amérique du Sud. Ce légume-fruit, incontournable dans l'alimentation humaine, se consommant frais ou cru est largement cultivé dans la sous-région Ouest-africaine depuis près d'une décennie. Malgré les contraintes liées aux conditions de traitement et de conservation des cultures de tomates, leur transformation en produits dérivés (concentré de tomate et tomates séchées) prend de l'ampleur au Burkina. L'objectif de notre étude est de contribuer à l'amélioration du procédé de séchage de la tomate. Ainsi, l'étape de la déshydratation osmotique et les Bonnes Pratiques d'Hygiène ainsi que les Bonnes Pratiques de Fabrication ont été expérimentées pour l'amélioration du procédé de séchage semi-artisanal de la tomate à AVOH. -
Capitalisation des techniques locales de transformation /conservation de la tomate au Bénin
Pour conserver la tomate, il existe plusieurs techniques. Ce document nous présente les pratique de la conservation de la tomate au Bénin. -
Séchage solaire de la tomate dans un séchoir indirect à convection naturelle
Ce travail présente une étude expérimentale du procédé de séchage d'un produit agroalimentaire (la tomate) dans un séchoir solaire indirect à convection naturelle. Le principal objectif étant d'une part l'étude de la cinétique de séchage de la tomate et d'autre part l'étude comparative des phénomènes de transfert lors du séchage de la tomate au soleil (exposition directe au soleil) et lors du séchage indirect dans un séchoir solaire. -
Médicaments vétérinaires
La prévention et le contrôle approprié des maladies animales reposent d'abord sur des politiques de bonne gouvernance vétérinaire. Ces politiques doivent comporter en tant que socle de base une législation inspirée des normes de l'OIE mais aussi les moyens de la faire appliquer, notamment par des services vétérinaires s'appuyant sur leurs composantes publiques et privées dont le partenariat a été parfaitement défini. -
Autoévaluation des banques céréalières
Les points forts et les points faibles des BC sont identifiés, de manière transparente, par et pour les membres, tout en garantissant l'autonomie de leur gestion ;
- Un plan d'action concret est formulé par les membres, exprimant toutes les décisions prises par eux afin d'améliorer la performance de leur BC dans le futur
- La capacité d'auto-analyse des membres est améliorée, visant le renforcement de la gestion coopérative de leur BC. -
Dossier de construction et d'entretien d'un prototype de magasin de stockage d'oignons en CSB : basse vallée de Tarka
Ce document concerne la construction d'un magasin expérimental de stockage d'oignons dans la basse vallée de la Tarta, au Niger. Ce magasin sera construit avec les techniques de Construction Sans Bois (CSB) 1 et aura une surface utile d'environ 120m2 et une capacité de stockage d'environ 23 tonnes d'oignons (état humide). Le principal objectif de cette construction est de mettre au point pour l'avenir un concept reproductible de magasin de stockage d'oignons performant et facile à construire. Il est important que tous les partenaires soient informés du caractère expérimental du projet. -
Enquête sur les banques céréalières de la région de Tillabéri : méthodologie et résultats
L'objectif de ce document est de valoriser le travail d'enquête effectuées sur les banques céréalières de la région de Tillabéri par le Service Régional de l'Action Coopérative et de Promotion des organismes ruraux (SRAC/POR) en :
- présentant les méthodes employées et des éléments permettant de pérenniser ce travail dans la région de Tillabéri et de l'étendre aux autres régions du pays,
- présentant les principaux résultats de ces enquêtes et leur analyse. -
Manuel des banques de céréales
Une banque de céréales (BC) est une entreprise à caractère associatif ou de type coopératif, initiée par un groupe bien défini de villageois qui est pleinement responsable pour sa gestion. Les villageois assument la responsabilité de gérer eux-mêmes un stock de céréales, situé dans leur village. -
Réfléchir sur la pérennité des Banques Céréalières, des Groupements Féminins de Crédit et du CSA-OCP à Zinder
En l'an 2000, alors qu'un grand projet d'appui à la sécurité alimentaire (Projet BIT, financé par les Pays-Bas) dans la région de Zinder au Niger, était déjà arrivé en fin de phase, les délégués de 200 banques céréalières (BC) et groupements féminins de crédit (GFC), se réunissaient en assemblée générale constitutive du Centre de Services d'Appui aux Organisations Coopératives et Paysannes (CSA-OCP à Zinder au Niger). L'ambition de départ était alors de capitaliser les acquis techniques (animateurs, gestionnaires villageois de BC, outils pédagogiques ...) laissés par le projet pour prendre en charge et autonomiser l'accompagnement technique des BC et GFC. Le CSA-OCP est dès lors une structure paysanne destinée à prester des services aux organisations paysannes de base (BC, GFC ...) dans leur mise en place et accompagnement technique. Il obtint son agrément officiel d'autorisation d'exercice 1 an plus tard, soit en 2001. -
Réalisation d'un magasin de stockage / conservation de l'oignon pour la région de Madaoua (Niger)
Du 28/10 au 08/11/98, une mission d'étude a été confiée au GERES pour définir les possibilités de stockage/conservation à l'échelle d'un groupement de la zone de Madoua. -
Recensement des banques céréalières au Niger
La présente étude sur le recensement des banques céréalières a été réalisée dans le cadre du dispositif national de prévention et d'atténuation des crises alimentaires (DNPCA) et sous la tutelle du Comité Restreint de Concertation (CRC). L'étude a été financée par la CCA avec la contribution des partenaires au développement notamment la Délégation de la Commission de l'Union Européenne et le Programme Alimentaire Mondiale. -
La babésiose
La babésiose est mondialement la plus importante des parasites du bétail transmise par arthropode vecteur et figure à ce titre parmi les maladies listées par l'organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE). Son importance est principalement économique si l'on considère les pertes pour le cheptel bovin, qui sont considérables dans les pays en développement touchée par B. bovis et B. bigemina. -
La clavelée
La clavelée est une maladie connue sous le nom de la variole ovine est une maladie virale infectieuse, hautement contagieuse. -
La fièvre aphteuse
La fièvre aphteuse, médicalement bénigne, exceptionnellement transmissible à l'homme, constitue en revanche un fléau économique redoutable en raison de son extraordinaire contagiosité. -
La fièvre de la Vallée du Rift
La fièvre de la Vallée du Rift (FVR) est une maladie virale aigu pouvant affecter gravement diverses espèces d'animaux domestiques (tels que les buffles, les camélidés, les bovins, les caprins et les ovins) ainsi que l'homme. -
Aide mémoire sur l'implantation, la gestion et le suivi-évaluation de banques céréalières
La monétarisation de l'économie et de ses échanges, la nouvelle division du travail au plan national et international, l'intégration de plus en plus grande des populations rurales à une vie nationale, la dégradation de l'environnement, les aléas climatiques, la pression parasitaire ... ont entraîné un changement des conditions de vie, de production, d'échanges économiques et de relations sociales en milieu rural. Ainsi les populations rurales se trouvent confrontées à des problèmes face auxquels elles sont sauvées désarmées. Comment s’équiper ? Comment s’approvisionner ? Comment financer les actions de développement ? L'une des réponses réside dans leur initiative à mettre en place des banques céréalières du fait de leur lieu d'implantation (village) et de leurs fonctions car elles permettent un approvisionnement plus décentralisé et plus adapté. -
Manuel de formation à l'intention des membres des comités de gestion et de contrôle des Banque Céréalières (BC)
Les Organisations Paysannes sont des structures collectives qui revêtent de multiples formes (associations, coopératives, groupements, unions de groupements, fédérations d'unions de groupements, etc.). Toutes ces organisations paysannes ont au moins une caractéristique commune elles regroupent des personnes qui, confrontées au même problème, décident d'unir leurs forces pour le résoudre. Ces personnes prennent le temps d'analyser leurs forces et faiblesses, de peser leurs atouts et contraintes et décident de se mettre ensemble pour résoudre leurs difficultés communes. -
La vaccination et la péripneumonie contagieuse bovine
Le présent dossier est un guide à l'intention des agents, animateurs, animatrices appliquant l'approche participative. Il permet aux bénéficiaires de parfaire leurs connaissances sur l'intérêt de la vaccination dans la prévention de la péripneumonie contagieuse bovine. Le dossier est élaboré après identification du problème dont l'action à mener constitue la solution. Il nécessite l’utilisation : - d'outils didactiques qui permettent la compréhension et la maîtrise du contenu ; - de matériel pour l'exécution. Le dossier technique de vulgarisation ne constitue pas un élément isolé de la démarche participative. Il s'insère dans le cheminement méthodologique et demeure un des outils fonda mentaux de l'application de l'approche. -
Lutte contre les principales maladies aviaires
Au Niger, on dénombre plusieurs maladies liées à l’élevage des poules. Cette fiche technique présente dans un premier temps les difficultés auxquelles sont confrontés cette filière et propose ensuite des moyens de lutte par de meures de gestion, d'appropriation et de pérennisation. -
Fièvre charbonneuse ou anthrax
La fièvre charbonneuse est une maladie due à la bactérie sporulée Bacillus anthracis. Le nom de la bactérie provient du mot grec signifiant charbon, en référence aux escarres noirâtres qui se forment au milieu des lésions cutanées chez les personnes atteintes. La fièvre charbonneuse est présente sur tous les continents et provoque une mortalité élevée chez les ruminants ; cette maladie est une zoonose (c’est-à-dire qu’elle affecte principalement les animaux mais atteint également l’homme). La bactérie produit des toxines extrêmement toxiques responsables des symptômes de la maladie et qui entrainent un taux de mortalité élevé. La plupart des mammifères sont sensibles, mais la fièvre charbonneuse affecte surtout les ruminants et les humains. -
Des dispositions générales et des définitions (maladies à déclaration obligatoire)
Le présent décret fixe la liste des maladies à déclaration obligatoire et les mesures de police sanitaire applicables. -
Charbon bactéridien
Le charbon bactéridien, appelé aussi fièvre charbonneuse, ou anthrax en anglais, est une maladie d'origine bactérienne qui touche principalement le bétail : bovins, ovins, caprins, dromadaires et chevaux. Le charbon bactéridien est une maladie infectieuse aiguë particulièrement mortelle et virulente, présente au Niger. Cette maladie est une zoonose, c’est à-dire qu’elle affecte principalement les animaux mais peut également atteindre l’homme. -
Adoption et rentabilité de la technologie améliorée de stockage des récoltes Purdue pour le stockage des grains dans les régions du centre-sud du Niger
Cet article est paru en anglais le 3 décembre 2021 dans la revue Agronomy. Compte tenu du grand intérêt et de l’utilité des résultats présentés et pour une plus large diffusion, il a été traduit par le Réseau des Chambres d’Agriculture du Niger (RECA). Seule la version originale en anglais fait foi.
Lien pour accéder à la version anglaise :
https://duddal.org/s/bibnum-promap/item/14067
Cette étude a été menée pour évaluer l'adoption de la technologie PICS dans les régions de Dosso, Maradi et Zinder au Niger. Nous avons interrogé 600 ménages sélectionnés dans des villages qui ont bénéficié ou non des activités de vulgarisation du PICS. Un modèle de régression logit a été utilisé pour évaluer la décision des agriculteurs d'adopter la technologie PICS. L'adoption globale des sacs PICS parmi les agriculteurs était de 48,4 %. L'adoption du PICS était de 69,7% à Dosso, 41,3% à Zinder et 31,2% à Maradi. Les agriculteurs qui ont suivi la formation PICS étaient 5 fois plus susceptibles d’adopter la technologie que ceux qui ne l’ont pas fait. -
Adoption and profitability of the Purdue Improved crop storage technology for grain storage in the South-Central regions of Niger
Cowpea is a food security crop and a main source of income for farmers in Niger. However,
postharvest storage remains a major challenge due to insect pest attacks. Since 2008, the Purdue Improved Crop Storage (PICS) bags were disseminated in Niger to reduce storage losses. This study was conducted to assess the adoption of the PICS technology in the Dosso, Maradi, and Zinder regions of Niger. We interviewed 600 households selected from villages that did and did not benefit from PICS extension activities. A logit regression model was used to assess the decision of farmers to adopt the PICS technology. The overall adoption of the PICS bags among farmers was 48.4%. PICS adoption was 69.7% in Dosso, 41.3% in Zinder, and 31.2% in Maradi. Farmers who attended PICS training were 5 times more likely to adopt the technology than those who did not. Variables that affected the adoption of the PICS technology included the region, participation in PICS training, and information source. Beyond cowpea, PICS bags were used to store a variety of crops including Bambara nuts, hibiscus seeds, peanuts, millet, and sorghum. Storing 100 kg of cowpea in a PICS bag generated a cash-flow of $70.38 per respondent and a net return of $21.50. -
Conservation du niébé dans des sacs PICS
Le sac PICS en tissu synthétique, doublé à l’intérieur par deux sacs en plastique (triple fonds), assure un stockage du niébé sur une longue période sans utilisation de produits chimiques. -
Fiche technique : déparasitage des animaux domestiques en début et en fin de saison des pluies
Les animaux sont particulièrement exposés à des parasites toute l’année, mais le risque d’exposition est plus élevé pendant la saison des pluies. L’hivernage est un facteur favorisant l’éclosion des œufs des parasites et leur multiplication en abondance dans l’environnement. Par ailleurs, les animaux en broutant l’herbe ingèrent également les larves de parasites qui vont se retrouver dans leur tube digestif, ces dernières se développent et sont à l’origine de plusieurs maladies parasitaires. -
Fiche technique : maladie de la grippe aviaire
La maladie de la grippe aviaire, ou influenza aviaire, constitueune menace pour les éleveurs de volaille. Cette maladie est apparue au Niger en 2006. Depuis, elle réapparait plus ou moins régulièrement. Ainsi, en début 2022, une épizootie a sévi dans les régions de Niamey, Dosso et Tillabéri, et a causé la mort de 90 000 sujets de volaille. En décembre 2022, des foyers de la maladie ont été identifiés dans la Région de Tahoua et à Niamey et environ 10 000 volailles ont dû être abattues. -
Anfani da jarkoki
Conservation du niébé en bidon. -
Pharmacopée vétérinaire traditionnelle des éleveurs du sud-Niger
Une enquête a été effectuée dans le sud du Niger (Département de Dosso) afin de relever puis de dresser un inventaire des plantes utilisées dans la pharmacopée vétérinaire locale. -
Fiche technique : maladie de la variole aviaire
La variole aviaire est une maladie virale fréquente des oiseaux domestiques (poulets, dindons, pigeons). Elle est nommée Ziguawan en Zarma et Waké en Haussa. Il s’agit d’une maladie se propageant lentement qui est caractérisée par la formation de lésions cutanées sur les parties non couvertes de plumes tels que la tête, le cou, les pattes et les pieds (formes cutanées) et/ou de lésions de la partie supérieure de l’appareil respiratoire. Cette maladie est due à un virus du genre Avipoxvirus. -
Évaluation de la couverture immunitaire contre la peste des petits ruminants après la campagne de vaccination 2015-2016 dans les régions d'Agadez et de Diffa au Niger
Ce travail est structuré en deux grandes parties. La première partie est une synthèse bibliographique des données sur l’élevage des ruminants au Niger, les généralités sur la PPR ainsi que les méthodes de lutte mises en œuvre au Niger. La deuxième partie est consacrée à l'étude expérimentale relative à l’enquête sérologique de la PPR au Niger. Dans cette partie, nous exposerons le matériel et les méthodes utilisés, les résultats obtenus suivis d’une discussion puis nous formulerons des recommandations. -
La Peste des Petits Ruminants (PPR)
La PPR est une maladie virale hautement contagieuse qui affecte les petits ruminants domestiques (les chèvres et les moutons), le dromadaire et certains petits ruminants sauvages. Longtemps méconnue, elle est aujourd’hui endémique dans la plupart des pays de l’Afrique, du Moyen-Orient et de l’Asie. Elle entraine des pertes considérables dans les troupeaux et met en danger les moyens d’existences et la sécurité alimentaire des populations les plus pauvres. En dépit, de l’existence d’un vaccin très efficace, elle poursuit sa progression géographique et expose les pays du Sud indemnes et les pays du Nord aux risques d’une incursion du virus et d’une émergence de la maladie. -
Peste des petits ruminants
La peste des petits ruminants (PPR), également connue sous le nom de « peste caprine », est une maladie virale des caprins et des ovins qui se caractérise par de la fièvre, des lésions buccales, de la diarrhée, une pneumonie et parfois la mort. La maladie est causée par un virus du genre morbillivirus (famille des paramyxovirus), qui est apparenté à celui de la peste bovine, de la rougeole et de la maladie de Carré. Des bovins et plusieurs ruminants sauvages ont été contaminés le plus souvent expérimentalement, mais les caprins et les ovins sont les cibles habituelles. -
Manuel de vaccination contre la peste des petits ruminants pour les pays sahéliens d’Afrique de l’Ouest: Burkina Faso, Mali, Sénégal
Conçu sous la forme de neuf (9) modules, ce manuel comprend : des rappels sur l’immunologie de la vaccination et sur la PPR, la présentation des différentes composantes de la vaccination, et enfin, l’expérience d’ILRI au Mali sur la stratégie d’augmentation de la couverture vaccinale chez les petits ruminants et les bovins. -
Les antiparasitaires vétérinaires en vente au Niger (30 septembre 2023)
Le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture du Niger ont démarré la mise en place d’un répertoire des produits vétérinaires et intrants zootechniques en vente au Niger (à l’instar du répertoire déjà réalisé pour les produits phytosanitaires en agriculture) sur les marchés et dans les boutiques. Il s’agit donc principalement des médicaments proposés aux éleveurs par des circuits illicites (médicaments non autorisés vendus par des personnes non qualifiées). -
L'expérience du warrantage au Niger
Le warrantage est une technique de crédit de CT, adaptée aux besoins de financement et aux capacités de garantie d’une certaine catégorie socio-professionnelle (producteurs agricoles, …), garanti par un stock de produits agricoles « warrantables » (conservables, peu encombrants et susceptibles d’augmenter de valeur) entreposés et pris en gage dans un magasin approprié et sécurisé. -
Recensement des produits vétérinaires et intrants zootechniques vendus sur les marchés dans la Région de Tahoua
L’objectif de ce répertoire est de connaitre les produits proposés aux éleveurs, et achetés par ces derniers, afin de mieux expliquer les risques que présentent les produits vétérinaires contrefaits ou de qualité inférieure, et apprendre comment les identifier et les signaler. Ce répertoire va servir de référence au Centre d’appels élevage du RECA pour répondre aux questions des appelants et aussi à préparer des messages vocaux d’information à destination des éleveurs et agents des dispositifs de conseil agricole.