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Developing climate-smart agriculture to face climate variability in West Africa: challenges and lessons learnt
This paper reviewed the prospects for climate-smart agriculture (CSA) development and promotion in West Africa as well as lessons learnt and challenges with a focus on climate change and variability. It was evident from the literature that West Africa is vulnerable to climate change and variability, on account of its socio-economic and physical characteristics. As climate change and variability persists, the region’s quest to use agriculture as the mainstream opportunity to deliver on set targets of the sustainable development goals will be strongly challenged without appropriate interventions. Adopting CSA seems to be a suitable strategy to achieving food security while also mitigating and adapting to climate-related risks. Among numerous CSA technologies, the review found (1) agroforestry (farmer-managed natural regenerations), soil and water conservation technologies (zai, half-moon, tie/contour ridges, conservation agriculture) and (3) climate information services as highly valued promising options for climate change adaptation and risk management in West Africa. -
Les services météo s’allient aux agro-pasteurs pour le partage des prévisions saisonnières et conseils agricoles au Niger.
Le Projet de Renforcement de la Résilience contre les Chocs Environnementaux et Sociaux (PRESENCES) est l’une des composantes de BRACED au Niger. Le Programme BRACED (Renforcer la Résilience et l’Adaptation aux Extrêmes et Désastres Climatiques) est financé par le Department for International Development (DfID). BRACED-PRESENCES est mis en œuvre au Niger par un consortium composé de CARE International au Niger (lead), Tree-Aid, Association pour la Redynamisation de l’Elevage au Niger (AREN) et Fédération des Unions des Groupements Paysans du Niger (FUGPN-Mooriben). La Direction de la Météorologie Nationale (DMN), l’institut de Recherche Agronomique du Niger (INRAN) et le Centre Régional AGRHYMET (CRA) assurent les aspects techniques et scientifiques du projet. -
Guide d’exportation « cuirs et peaux »
Le Projet de Développement des Exportations et des Marchés Agro-Sylvo-Pastoraux (PRODEX) est une initiative du Gouvernement du Niger financée par la Banque Mondiale à travers l'IDA (crédit N° IDA 45520) pour un montant de 40 millions USD. L’objectif de développement du PRODEX est d’accroître la valeur de certains produits commercialisés par des producteurs soutenus par le projet. Les filières cibles du projet sont l’oignon, le niébé, bétail viande cuirs et peaux, le sésame, la gomme arabique et le souchet. Les cuirs et peaux du Niger, pour peu qu’ils aient été sélectionnés, sont compétitifs sur le marché sous régional le plus important, celui du Nigéria, en raison de leur qualité et de la proximité. -
Risques climatiques et agriculture dans le Sahel
Cette présentation porte sur les risques agroclimatiques dans le Sahel -
Compilation et analyse des informations disponibles sur le climat actuel et futur au Niger et \ ou régional
Cette étude est une compilation des informations climatiques nécessaires pour préparer les analyses de vulnérabilité et les stratégies d'adaptation dans le cadre du plan national d'adaptation. Au début de la mission des entretiens ont été menés avec des personnes clés, ce qui a révélé que le Niger n'avait pas un accès suffisant à des informations climatiques de haute résolution. Ce rapport compile les données climatiques existantes et accessibles au public ainsi que le problème de leur taille, des formats de données inhabituels et des approches de leur analyse. Le rapport suit quatre axes des recommandations -
Analyse des phénomènes climatiques extrêmes dans le sud-est du Niger
Le climat du Département de Gouré et de Mainé Soroa (sud-est du Niger) est de type saharo-sahélien. Les évènements climatiques extrêmes sont des phénomènes météorologiques localisés, à la fois dans l’espace et le temps et qui causent beaucoup de dommages à l’agriculture, à l’élevage et aux ressources naturelles. Afin de qualifier et quantifier régionalement les extrêmes climatiques, l’outil statistique utilisé est la distribution des valeurs extrêmes selon la loi de Gumbel. Ces résultats montrent que l’occurrence des jours et des nuits chauds tend à augmenter et celles des nuits froides à diminuer. -
Le réchauffement climatique observé depuis 1950 au Sahel
Ce rapport porte sur le réchauffement climatique observé depuis 1950 au Sahel -
Contribution Prévue Déterminée au niveau National - CPDN (INDC) du Niger
Ce présent rapport porte sur la Contribution Prévue Déterminée au niveau National - CPDN (INDC) » du Niger -
Atlas agroclimatique sur la variabilité et le changement climatique au Niger
Sur la base d’analyse des observations climatiques historiques, d’analyse du climat futur, et de simulations à l’aide de modèles de cultures, cet atlas contient un ensemble de représentations cartographiques, graphiques et tabulaires qui permet de répondre aux questions que posent les citoyens sur les changements climatiques. -
Facing climate variability in sub-Saharan Africa: analysis of climate-smart agriculture opportunities to manage climate-related risks
In the literature, a lot of information is available about climate change perceptions and impacts in sub-Saharan Africa. However, there is limited attention in the region to emerging initiatives, technologies and
policies that are tailored to building the adaptive capacity of agricultural systems to climate change and
variability. In this paper, we discuss the prospects for climate-smart agriculture technologies and enabling
policies in dealing with climate change and variability at different sub-regional levels of sub-Saharan Africa to sustain farm productivity and livelihoods of agrarian communities -
La lune et ses influences sur l'agriculture
La Lune de par son attraction sur la Terre influence entre autre les éléments constitués d’eau, elle est responsable des marées et influence également les flux de sève dans les végétaux. C’est pourquoi jardiner avec la Lune, c’est donner plus de chances aux cultures de mieux se développer, d’être plus résistantes et d’obtenir de meilleures récoltes. Dans cette fiche, nous nous attacherons plus particulièrement aux effets de la lune spécifiques à notre latitude c’est à-dire sous l’équateur. -
Terrasses et changements du climat quaternaires à l'Est du Niger
Ce présent document porte sur les terrasses et changements du climat quaternaires à l'Est du Niger -
Risque climatique et changement social dans la région de Maradi (Niger)
Le climat semi-aride de lAfrique sahélo-soudanienne est contraignant pour la végétation comme pour les hommes. Une bonne années' accompagne de risques pesant sur les activités de production comme sur la santé. Les systèmes sociaux et techniques des agro-pasteurs du Niger sont également adaptés à ces contraintes climatiques fortes. Ils anticipent le risque, allègent la dépendance visà-vis des aléas climatiques récurrents. Aujourd'hui cependant, les transformations sociales, initiées
antérieurement à la crise climatique actuelle. contribuent par leurs effets à la rendre particulièrement grave. -
Rapport final: Projet de réhabilitation des abattoirs frigorifiques de Maradi, Zinder et Tahoua
Pour rendre opérationnelle et atteindre les objectifs de développement durable le Niger a élaboré plusieurs politique et programmes sectoriels de développement -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (3)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Entreprise de laiterie pastorale » et se déclinent comme suit : Production du lait - Transformation du lait (en fromage) - Commercialisation du lait et de ses sous-produits -
Contribution à l'étude des cuirs et peaux au Niger
Avec 3 524 000 bovins, 3 448 000 ovins, 7 478 000 caprins; et 415 000 camelins en 1983 (45), pour ne citer que les espèces les plus importantes, le Niger est l'un des plus grands pays d'elévage de l'Afrique de l'Ouest. Les cuirs et peaux, sous-produits de cet élevage y constituent une source importante de devises. En effet, leur contribution dans le produit intérieur brut (PIB; était de 1.7938 milliards de F C~A en 1983) (45).
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Histoire d’une désertification : la désertification du Sahel, un processus commencé il y a 25.000 ans au cœur du Sahara
Le nom Sahel nous vient de l’arabe. Il signifie : « frontière ou lisière ; une zone semi-désertique de transition au sud du Sahara, entre le désert saharien et le domaine tropical humide, sur 6.000 Km, de l’Atlantique à la Mer Rouge ». Le terme désigne aussi les territoires bordant le nord du Sahara ; on parle alors de Sahel septentrional. Pour parler du Sahel, il faut d’abord parler de ses origines : le Sahara, le plus vaste désert chaud au monde (9.000.000 km²) qui fut une région naturelle verdoyante avant que les hommes n’y connaissent leur développement, il y a environ 25.000 ans ! -
Ses conséquences : la désertification du Sahel, un processus toujours en cours
Au Sahel, les pratiques extensives se sont donc développées avec l’augmentation de la population et de ses besoins prélevés dans le milieu naturel ; faisant ainsi reculer le Sahel de 250 Km vers le sud durant le XX° siècle ! Car ce n’est pas le Sahara qui avance, mais les
zones jusque-là non désertiques qui reculent, laissant la place au désert. -
Transformer le lait local en Afrique de l'Ouest : Procédés et clés du développement des minilaiteries
D’après l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), la production mondiale de lait s’élevait en 2018 à 843 millions de tonnes, dont 81 % de lait de vache, 15 % de lait de bufflonne et 4 % de lait de petits ruminants et de chamelle. L’Inde est le premier producteur mondial mais exporte peu. La Nouvelle-Zélande est le plus grand exportateur de lait en poudre, suivie de l’Union européenne et des États-Unis1. En 2019, seulement 7 % de la production mondiale de lait faisait l’objet d’échanges internationaux. Les trois plus gros producteurs de la zone ouest-africaine sont le Mali, le Niger et la Mauritanie. Dans les zones sahéliennes à tradition de production et de consommation laitières, la population consomme essentiellement du lait local (taux d’autosuffisance de 50 à 80 %). Dans les zones tropicales humides et côtières (Guinée, Côte d’Ivoire, Ghana), la tradition laitière est plus faible et la consommation repose davantage sur les importations de lait en poudre. -
Analyse de l’évolution spatio-temporelle des dérivés pluviométriques
caractérisant la saison agricole au Sahel - CentralL’objectif de cette étude est d’analyser l’évolution spatio-temporelle des dérivés pluviométriques impactant la qualité de la saison agricole, notamment les périodes de début et de fin de saison, le cumul des pluies, le nombre de jours des pluies, la longueur de la saison et les séquences sèches. Elle s’appuie sur l’analyse des données journalières de 1951 à 2010 de 98 stations météorologiques. Les dérivés pluviométriques sont d’abord identifiés, ensuite, des indices adaptés sont utilisés pour caractériser leurs évolutions. Ces dérivés présentent des fortes variabilités spatiales et temporelles. -
Rapport final étude Tchoukou
Une étude sectorielle a été commanditée par le Bureau de Restructuration et de Mise à Niveau de l’Industrie du Niger (BRMN) pour améliorer la production et la conservation du fromage sec (Tchoukou) au Niger. Elle a été confiée au Cabinet Afrique Conseil et Accompagnement (AFCA) du Niger. Cette étude s’est, en premier lieu, appliquée à identifier les principales zones de production de ce fromage sec. Comme il s’agit d’un fromage traditionnellement consommé dans le nord et l’est du Niger, l’étude s’est plus particulièrement concentrée sur les régions de Tahoua, Zinder et Diffa. Il est apparu que la production de Tchoukou, comme celle de lait caillé et de beurre a pour objectif essentiel de permettre la conservation des excédents de la production de lait, aliment de grande valeur nutritive mais périssable. Or, les éleveurs, pour la grande majorité nomades ou transhumants, produisent les plus grandes quantités de lait pendant la saison de l’hivernage, quand l’eau et les herbages abondent dans une vaste zone pastorale située à la limite de la zone désertique. Cette zone étant dépourvue de tout réseau de collecte de lait frais, les femmes d’éleveurs, responsables de la gestion du lait, sont donc obligées de transformer ce lait pour pouvoir le conserver. -
Analyse-diagnostic de la chaine de valeurs : lait de vache et produits laitiers dans la région de Zinder
La base productive laitière de la région est constituée d’un effectif de 8 788 286 de têtes de bétail en 2012, dont 24,09% d’espèces bovines réparties comme suit : - Bovins de race Azzawak 41,8% ; - Bovin de races Borroro 46,64% ; - Autres espèces 11,4%. Les zones de concentration du cheptel laitier sont respectivement : le département de Magaria ( 45%), département de Gouré (29,40%), département de Mirriah (25, 08%) et Tanout 12,76%). C’est effectivement dans ces 03 départements et celui de Kantché qu’intervient le projet. Dans la région de Zinder, le cheptel laitier aurait produit en 2012 environ 230, 0 millions de litres de lait, dont :
- 46% lait de vache
- 14% lait de brebis
- 35% lait de chèvre
- 5,97% lait de chamelle
Pour une population régionale estimée à 3 500 000 habitants selon les résultats du dernier Recensement Général (RGP) de 2012, les besoins en lait s’élèveraient à environ 325 500 000 de litres calculés sur la base de la ration des Nations Unions fixée à 93 litres par an et par habitant. -
Mise en place d'un projet de développement de la filière lait pour l'approvisionnement en lait cru des unités laitières de Niamey
Cette étude est particulièrement pertinente au regard du contexte actuel. En effet, la hausse récente et inédite des prix internationaux des produits laitiers menace les approvisionnements de la population nigérienne, et en premier lieu les populations urbaines, alors que la filière lait du Niger bénéficie d’avantages comparatifs incontestables, n’eut été les difficultés de collecte au niveau des éleveurs et de transport jus- qu’aux laiteries industrielles et semi-industrielles de Niamey. -
Se réinventer pour survivre, l'avenir des transformatrices de poisson au Sénégal
Surexploitation des ressources, raréfaction des ressources, accès aux ressources, conflictualité des systèmes d’usages des ressources, application de la réglementation sur les ressources, émigration des jeunes pêcheurs, amplification de l’économie bleue avec les projets pétro-gaziers, autant de défis et d’enjeux pour l’avenir des systèmes halieutiques artisanaux (SHA) au Sénégal. S’alarment aux côtés des pêcheurs, les transformatrices de poissons, fidèles partenaires de ces derniers. Elles s’approvisionnent en matières premières (essentiellement pélagiques), transforment ces matières en produits dérivés et garantissent une certaine durabilité aux systèmes économiques et alimentaires locaux et nationaux. Mais le resserrement du volume des captures et la demande de plus en plus forte en poissons frais réduisent leur accès aux matières premières. -
Expérimentation conjointe d’une innovation paysanne en fumage de poissons au Niger
Dans les pays du Sahel, les systèmes nationaux de recherches agricoles, malgré leur ouverture aux approches participatives, restent encore, pour la plupart, caractérisés par l’approche « transfert de technologies » où seuls les chercheurs développent les technologies véhiculées passivement par les conseillers agricoles vers les paysans. Cette approche ne stimule pas la créativité des paysans et n’encourage pas non plus leurs initiatives en matière de développement de technologies. -
Projet de transformation de lait cru local à travers une mini-laiterie moderne dans la commune rurale de Bana/Gaya
Malgré le potentiel laitier mobilisable sur l'ensemble du cheptel Nigérien et les nombreuses politiques et stratégies en faveur de la promotion de la filière laitière, le pays reste toujours un gros importateur de produit laitier pour satisfaire les besoins se consommation. Le potentiel laitier était estimé en 2005 à 825 millions de litres (rapport annuel statistique 2005 DESP/PA/MRA). Cela correspond à une consommation de 30 litres par an et par habitant alors que la norme recommandée par les Nations Unies et de 91 litres par personnes et par an. -
Au Sénégal deux modèles de mini laiteries à l'épreuve
L’État sénégalais et différents partenaires au développement appuient la production laitière depuis plus de vingt ans en Haute-Casamance. C’est aujourd’hui une des rares zones au Sénégal où l’on peut trouver du lait local toute l’année. -
Lexique des mots et termes météo
Le présent ouvrage, réalisé dans le cadre du programme BRACED, est le fruit d’un long processus d’échange de l’ensemble des acteurs des secteurs publics et privés, les ONGs et Institutions impliqués dans le processus de production et de diffusion de l’information climatique au Burkina Faso. Le processus d’élaboration de ce document a permis de lever le traditionnel quiproquo qui existe entre les spécialistes de la météorologie et les hommes des médias. En effet depuis belle lurette, les deux camps se rejettent mutuellement la faute quand il est question de transmettre le contenu des messages météos à la population qui ne comprend pas souvent le contenu des messages et informations diffusées. -
Variabilité spatiale et tendance de précipitations sur la période 1981-2016 dans le bassin actif du Niger
L’analyse de variabilité spatiale et tendance de pluies moyennes annuelles dans le bassin actif du fleuve Niger sur la période 1981-2016, au moyen des données CHIRPS, a révélé la succession des périodes climatiques suivantes: une décennie globalement sèche (déficitaire) de 1981 à 1990, une décennie globalement humide (excédentaire) de 1991 à 2000 et une période modérément humide alternance brusque d’années sèches et humides entre 2001 et 2016. Cependant, les données de cette série pluviométrique ne présentent pas d’auto-corrélation, et d’après le test de MannKendall, sur le logiciel R, cette tendance globale croissante est statistiquement significative. -
Panorama des industries agroalimentaires
Le secteur agroalimentaire français est constitué en grande majorité d'entreprises de moins de 10 salariés (79 %). Les grandes entreprises de plus de 250 salariés représentent moins de 2 % des entreprises du secteur, mais réalisent plus de 45 % de son chiffre d’affaires. Si le nombre d’emplois dans les industries manufacturières décline, celui dans les industries agroalimentaires augmente depuis 2013. En 2017, parmi les secteurs les plus pourvoyeurs d’emplois, le secteur de la viande et préparation à base de viande employait 106 436 salariés, les produits laitiers comptaient 78 000 salariés, et la fabrication de boissons employait 74 298 salariés10. À cette disparité sectorielle s’ajoute une forte disparité régionale. En effet, en 2017, le secteur agroalimentaire employait 61 002 salariés (ETP) en Bretagne, 47 979 en Pays-de-la-Loire, 39 334 en Auvergne-Rhône-Alpes et 37 876 en Hauts-de-France. La même année, il comptait 333 salariés en Guyane, 984 en Corse, 1 425 en Martinique et 1 650 en Guadeloupe11. -
L'industrie agroalimentaire : un secteur alliant qualité et de diversité en Centre-Val de Loire
L’industrie agroalimentaire (en abrégé IAA) est l’ensemble des activités industrielles qui transforment des productions alimentaires issues de l’agriculture ou de la pêche en aliments industriels destinés essentiellement à la consommation humaine. Elle concerne 2 activités : - les industries alimentaires; - la fabrication de boissons. -
Transformation, stockage et commercialisation des produits agricoles
La démonstration de la faisabilité de la tierce détention au Burkina Faso autour de 1.200 tonnes de maïs avec plus de 800 producteurs de quatre unions provinciales de la FEPAB et un remboursement avant échéance du crédit octroyé par la banque. L’extension et le renforcement de la pratique du warrantage à de nouvelles zones (Burkina Faso, Togo) voire à de nouveaux produits agricoles (riz au Togo) avec remboursement dans la plupart des cas des crédits octroyés et réalisation de bénéfices.
L’amélioration de la transparence du marché et de la gestion des risques pour de nombreux acteurs avec des effectifs croissants d’inscrits sur SIMAgri au Burkina Faso et au service d’information et d’accompagnement en matière promotion de l’intelligence économique prospective (pour le moment sur le maïs) de RONGEAD ROAC couvrant 8 pays de la sous-région. En plus, le dispositif CAPI du MAEH au Togo a été mis en place et pourrait fournir des informations en temps réel sur le marché aux différents acteurs des chaînes de valeurs agricoles dans ce pays. -
Guide Pratique pour la transformation du lait local en produits dérivés
Ce guide est conçu à l’intention des femmes pour un meilleur apprentissage en milieu rural des techniques de transformation du lait pour l’amélioration de leur condition de vie dans le cadre de la lutte contre la pauvreté et l’insécurité alimentaire à travers la vente des produits obtenus. Cette initiation aux techniques des transformations, outre les avantages précédemment cités permettent d’éviter les pertes de surplus de lait en saison des pluies. Ce guide a pour objectif de mettre à la disposition des femmes rurales des techniques simples de fabrication des produits dérivés de lait en tenant compte des matériaux locaux, tout en respectant les règles d’hygiène relatives à la traite et à la transformation du lait. -
Étude du marché des produits laitiers 100% nigériens à base du lait local
Niamey dispose d’un secteur de transformation laitière dynamique en raison d’une forte consommation locale. Elle compte trois unités de transformation laitière de type industriel, et plusieurs autres unités de type semi-industriel ou artisanal (y compris de type mini-laiteries). Les grandes laiteries industrielles se sont détournées du lait local faute d’interlocuteurs fiables et d’offre satisfaisante en quantité et en qualité. Mais la filière lait, telle qu’elle est structurée actuellement, n’est pas viable : importation de lait de pays lointains, prix du lait en poudre volatils, vulnérabilité des milliers d’éleveurs locaux. Or l’industrie laitière, contrairement aux mini-laiteries (elles aussi dépendantes de la poudre de lait), est en mesure de collecter le lait auprès d’un grand nombre d’éleveurs. Dans l’optique de promouvoir le dialogue interprofessionnel et l’intégration des femmes au processus décisionnel de la filière lait local, le projet Nariindu a accompagné l’émergence de cadres locaux de dialogue autour de centres de collecte, regroupant les producteurs, les collecteurs et les auxiliaires d’élevage, fédérant également les autorités traditionnelles locales et les représentants des organisations de producteurs faîtières. -
Production et transformation du lait frais en fromage Peulh au Bénin
Au Bénin, la technologie traditionnelle de production du fromage peulh appelé waragashi occupe une place importante dans la transformation artisanale du lait frais. A cet effet, plusieurs travaux de recherche ont été menés en vue d’améliorer sa technologie de production, de même que sa qualité microbiologique et chimique. Cependant, les résultats de ces différents travaux sont éparpillés dans de nombreux écrits. De plus, aucun document ne traite réellement de façon complète les études relatives à la production de waragashi. C’est pour combler une telle lacune que ce document a été élaboré. Il rassemble évalue et complète en illustrant au besoin, les informations disponibles sur la méthode traditionnelle de transformation du lait frais en waragashi.