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Rapport d'évaluation préliminaire des récoltes provisoires de la campagne agricole d'hivernage 2019
De façon générale et sur le plan pluviométrique, la campagne a connu une installation précoce à normale sur la majeure partie du pays, malgré quelques poches de sècheresse ayant engendré des ressemis au démarrage de la saison dans plusieurs localités.
Conformément aux données issues de l’évaluation provisoire, la production 2019 des principales céréales est estimée à 5 338 080 tonnes, soit une baisse de 5% par rapport à la moyenne des cinq (5) dernières années et 12% par rapport à celle de 2018. Les niveaux de production sont en baisse pour tous les produits exceptés le riz et les baisses varient de 5 % pour le fonio à 14 % pour le mil. -
Le warrantage au Niger : un moyen de financement de l’agriculture et de sécurité alimentaire : cas du village de Dantchandou
L’objectif de cette étude est de montrer comment le warrantage pourrait contribuer au financement de l’agriculture et à la sécurité alimentaire dans un pays à secteur agricole structurellement déficitaire. La méthodologie a consisté à une recherche documentaire, la collecte de données secondaires et des enquêtes et observations sur le terrain. Le choix de la zone d’étude a été guidé par le désir de comprendre la pratique du warrantage par des petits producteurs, composés majoritairement des femmes, dans une zone en situation d’insécurité alimentaire récurrente. L’étude est parvenue à la conclusion que le warrantage ne permet pas un financement significatif de l’agriculture chez des producteurs en déficit de production. Cependant, il apparaît comme un bon moyen de sécurisation de revenu et de responsabilisation des paysans. -
Etude de cas du warrantage au Niger (septembre 2014)
Niger est un pays dont les grands produits vivriers sont le mil, le niébé et l’arachide. Il produit aussi environ 75.000 de riz par an, mais dépend surtout des importations. En outre, il faut remarquer que le Niger est le deuxième producteur d’oignon en Afrique de l’Ouest après le Nigeria, et le plus grand exportateur dans la région. Les variations saisonnières des cours de marché sont en moyen plus prononcées pour les oignons (beaucoup plus de 100% sur les prix de récolte) et le niébé (autour de 50%), mais relativement modestes pour les céréales et les arachides et assez minime pour le riz. La plupart du crédit warranté impliquant des produits agricoles locaux au Niger est le warrantage communautaire. On trouve aussi une quantité significative d’entreposage en tierce détention qui est discuté brièvement. -
Le warrantage au Niger, pour renforcer la trésorerie des paysans
Le warrantage, ou « crédit stockage », est une technique qui permet aux paysans de mieux valoriser leurs produits agricoles tout en sécurisant le financement rural. Il connaît un franc succès au Niger, où il a été introduit il y a plus de 10 ans. -
Les règles pour réussir le warrantage
Pour réussir le warrantage les SFD et les OP doivent respecter les règles suivantes, afin d’éviter les malentendus. Pour les deux parties, il est visé la rentabilité et le développement durable de ce type de crédit garanti. -
Le développement du Warrantage au Niger
Le colloque organisé à Paris en décembre 2007 par la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM) sur « Microfinance pour l’agriculture dans les pays en développement » a consacré un atelier aux produits et procédures susceptibles d’améliorer la réponse de la microfinance aux besoins de financement des agriculteurs. L’expérience du Niger en matière de warrantage a été présentée par M. Sani Boubacar (Projet Intrants FAO) et M. A. Olofson (FAO). Ce BIM présente une version abrégée de la communication de M. Sani Boubacar. L’original complet de cette communication, ainsi que la communication de M. Olofson sont disponibles auprès de la fondation Farm. -
Rapport d'évaluation de la campagne agricole d'hivernage 2018 et Perspectives Alimentaires 2018/2019
La campagne agricole d’hivernage 2018 a démarré avec les premières pluies utiles à partir de la troisième décade du mois d’Avril. Ces pluies ont permis de réaliser les premiers semis au niveau de neuf (09) villages du département de Tibiri dans la région de Dosso. A la fin de la troisième décade de Septembre, les hauteurs pluviométriques ont varié entre 100 mm et 1150 mm au plan national.
Après la troisième décade du mois d’avril, les pluies ont été plus ou moins régulières. A la faveur de ces précipitations les semis se sont poursuivis jusqu’à la troisième décade de juillet où toutes les localités des régions de Diffa, Dosso, Maradi, Tahoua et Tillabéri ont bouclé les semis. Les semis tardifs sont intervenus au cours du mois d’août dans les régions d’Agadez et de Zinder. -
Supports de formation et d’animation sur la thématique de la production agricole
Un guide opérationnel destiné à tous les acteurs concernés par les questions de financement de l’agriculture et ayant pour objectif d’appuyer la construction d’une nouvelle alliance entre OPA et institutions financières. Il présente de manière détaillée les étapes d’une démarche visant à i) renforcer la capacité de OPA et des institutions financières à analyser les besoins et contraintes de financement de l’agriculture ii) consolider les capacités de ces acteurs à choisir et à proposer aux agriculteurs un accès efficace, équitable et viable aux services financiers iii) formaliser un cadre de réflexion et d’action pour construire des partenariats permettant un financement durable des agricultures familiales du Sud. -
Formation sur les principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères observées sur les sites de Gourdjia suite au suivi CGEF de la campagne 2015 2016
Les maladies de plantes c’est comme le paludisme. Souvent, on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu’on est très malade (fièvre, froid, chaud). Dans ce cas il faut aller à l’hôpital (payer), acheter des médicaments (payer) et on sort affaibli. Mais on devrait s’intéresser au paludisme pour ne pas l’attraper. Dans ce cas on se protège avec une moustiquaire, on enlève les points d’eau pour empêcher la multiplication des moustiques… Ce sont des mesures à prendre – avant pour éviter d’être malade. C’est la même chose pour les cultures. Pour que les plantes ne soient pas attaquées, malades ou détruites, il faut prendre des dispositions avant. C’est l’objet de ce module de formation. -
Situation de référence des programmes stratégiques de l’initiative 3n et cartographie des financements et des acteurs
Ce rapport porte sur la situation de reference des programmes strategiques de l’initiative 3n et cartographie des financements et des acteurs -
Expérience de commercialisation de produits agricoles par le mécanisme du warrantage au sein de la federation SA’A
Le souchet est une culture de rente de plus en plus importante au Niger, et en particulier dans le département de Maradi. Cependant, les débouchés sont rares, et l’approvisionnement en engrais de cette culture exigeante soumise aux irrégularités de la centrale d’achat de l’État. La fédération est structurée à tous les niveaux (Union et OP de base), chaque niveau possède une tâche bien définie d’encadrement (observation des prix, conseil technique, responsabilité sur la mise en stock, sur le contrôle, sur le remboursement…). Le stockage comporte de nombreuses étapes : sensibilisation des producteurs, formation des responsables, identification des magasins, constitution des stocks, identification des activités génératrices de revenus, contrat, suivi des stocks et des marchés, recherche de débouchés, remboursement, bilan. L’OP est très investie. -
Les règles pour réussir le warrantage
Pour réussir le warrantage les SFD et les OP doivent respecter les règles énumérées dans ce rapport, afin d’éviter les malentendus. Pour les deux parties, il est visé la rentabilité et le développement durable de ce type de crédit garanti. -
Note sur le financement des clôtures par le crédit agricole dans la région de Maradi
L’une des rubriques récurrentes dans les devis/facture proforma des producteurs de Maradi, demandeurs de crédit agricole avec subvention, est la clôture de leurs sites productifs. Dans le contexte de Maradi, cette clôture peut se justifier. Les producteurs associent généralement l’arboriculture fruitière à la production maraîchère et, puisque les cas de vols sont fréquents, la clôture est perçue comme un moyen de réduire les vols. La clôture permet aussi de matérialiser clairement les limites d’une parcelle. -
Mission de capitalisation des expériences de crédits garantis par le warrantage des produits agricoles
L’idée de relancer le crédit aux producteurs agricole en le garantissant par le warrantage de leurs récoltes a été introduites en 1999 par le ‘’ Projet Intrant ‘’ (MDA/DCV-FAO, sur le financement de la Belgique). -
Revue du warrantage paysan au Niger
Le rapport passe en revue l’expérience de la mise en oeuvre de warrantage au Niger depuis 1999, par la FAO et les autres acteurs, fait ressortir des leçons pour les décideurs et les praticiens, et ensuite, propose des dispositifs pour accélérer l’adoption du crédit stockage. -
Document de la Facilité 1 du FISAN : Soutien au Crédit Agricole
Le présent document de stratégie est relatif à la Facilité 1 du FISAN. Cette facilité porte sur un appui public au financement de l’agriculture, via le crédit. Elle vise à développer une politique incitative de financement de l’initiative privée, afin de promouvoir une agriculture plus performante. -
Résultats Définitifs de la Campagne Agricole d'Hivernage 2014 et Perspectives Alimentaires 2014-2015
La campagne agricole d'hivernage 2014 a démarré à partir de la troisième décade du mois d'avril. Ce qui a permis d'effectuer des semis partiels de mil au niveau de 384 villages des régions de Dosso , Maradi et Tahoua. -
Rapport de l’Évaluation Finale de la Campagne Agricole 2015 et Perspectives Alimentaires 2015-2016
La campagne agricole 2015 a démarré à partir de la deuxième décade du mois de mai avec des pluies utiles qui ont permis des semis partiel de mil au niveau de 12 villages du département de Gaya ( région de Dosso) -
Rapport d'évaluation de la campagne agricole d'hivernage 2017 et Perspectives Alimentaires 2017/2018
La campagne agricole d’hivernage 2017 a démarré à partir de la troisième décade du mois d’Avril avec des semis intervenus au niveau de cinq (5) villages du département de Dogondoutchi.
A la faveur des précipitations enregistrées, les semis se sont poursuivis jusqu’à la troisième décade de juillet dans les régions d’Agadez, Dosso, Tahoua et Zinder. Au cours de cette campagne agricole d’hivernage, les semis sont intervenus en majorité au cours des mois de Mai et Juin atteignant un taux d’au moins 88 % de villages ayant semé. Plusieurs cas de ressemis ont été signalés suite aux pauses pluviométriques enregistrées avant l’installation définitive de la campagne.
La situation phénologique des cultures est dominée par la maturité pour le mil et la floraison pour le sorgho. La maturité du sorgho concerne toutes les régions du pays. Concernant les cultures de rente, niébé et arachide principalement, les stades avancés de maturité sont également observées dans toutes les régions...
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Organisations professionnelles agricoles et institutions financières rurales : Construire une nouvelle alliance au service de l’agriculture familiale
Ce guide opérationnel se veut un outil d’appui à la construction du partenariat entre organisations professionnelles agricoles et rurales, et institutions financières. Il est issu de travaux de recherche, d’appui au développement et de formations conduits principalement en Afrique de l’Ouest et à Madagascar dans les dix dernières années, avec des éclairages développés plus récemment sur l’Asie du Sud-Est et l’Amérique latine. -
Rapport d’évaluation des récoltes de la campagne agricole d'hivernage 2016
La campagne agricole d'hivernage 2016 a démarré à partir de la première décade du mois d'avril occasionnant des semis partiels de mil au niveau de 69 villages des régions de dosso et tillabéry -
Rapport d'évaluation de la campagne agricole d'hivernage 2019 et perspectives alimentaires 2019-2020
La campagne agricole d'hivernage 2019 a démarré à partir de la troisième décade du mois d'avril avec des semis partiels de mil au niveau de trois (3) villages du département de boboye dans la région de dosso -
Rapport de mission de surveillance et de confirmation des zones d'infestation de la mineuse de l'épi du mil. Campagne agricole d'hivernage 2015-2016
Le mil est l'aliment de base de la population du Niger. Sa culture est confronté à plusieurs contrainte parmi lesquelles la pression parasitaire qui affecte très souvent la production finale -
Note de synthèse: Evaluation à mis parcours campagne agricole d'hivernage au 31 Août 2007
La campagne agricole d'hivernage a démarré à partir du 1ier décade du mois d'avril avec les premières pluies utiles qui ont permis d'effectuer les semis partiels de mil -
Etude de faisabilité pour investissement : contrat à terme et le réseau du warrantage en appui aux stratégies nationales
Au Niger, le plan d’investissement 2012-2015 de l’initiative « les Nigériens nourrissent les Nigériens (I3N) a visé principalement le financement de projets d’irrigation, avec un certain succès (production irriguée en hausse de 30% par an en moyenne). Ce choix a été conforté par une évaluation des risques agricoles de la Banque Mondiale (2013) qui avait identifié comme prioritaires les risques liés aux aléas climatiques, les invasions acridiennes et les risques de hausse des prix pour les consommateurs. En 2014, le Haut-Commissariat I3N et PARM sont convenus d’intégrer les petits producteurs dans le cadre du Plan d’Action pour la Gestion des Risques Agricoles (PAGRA). Trois domaines stratégiques ont été identifiés : l’accès des petits producteurs aux services financiers (crédits et épargnes), aux marchés et à l’information. Cette orientation est cohérente avec une étude de l’IRAM (2016) qui identifiait la dépendance de la production au climat, le risque prix, le risque de marché et le risque de conservation physique des stocks comme des risques agricoles majeurs. C’est dans ce contexte que PARM a suscité la présente étude sur les contrats à terme et le warrantage, et leur rôle en appui au Dispositif National de Prévention et de Gestion et des crises alimentaires (DNPGCA). Le warrantage et les contrats à terme sont en effet les deux principaux ensembles d’outils de gestion des risques de marché au Niger, qui peuvent également jouer un rôle dans la politique nationale de sécurité alimentaire. -
Rapport de programmation de la campagne 94/95
Ce projet vise toujours une double finalité à savoir l'émergence dynamique locale et l'assurance de la transmission de la gestion d'un tel programme -
Rapport d'évaluation de la campagne agro-sylvo- pastorale et hydraulique 2011-2012
Le CAIMA jouant un rôle très important dans la politique agricole de l'Etats en intrants et matériels agricoles -
Rapport d'évaluation préliminaire des récoltes 2011 et résultats provisoires de la campagne agricole 2011/2012
Le CILSS, dans le cadre du suivi de la situation alimentaire dans les pays membres, réalise chaque année une série de missions en collaboration avec ses partenaires et les gouvernements des pays concernés.
Il s’agit, généralement pour ces missions, d’étudier la situation et le déroulement de la campagne d’une part en rencontrant les services nationaux concernés par le suivi de la campagne agricole (Ministères de l’Agriculture et de l’Elevage, Météorologie Nationale, Protection des végétaux, Office céréalier, donateurs, etc.) et d’autre part en visitant certaines régions du pays pour se rendre compte de la situation sur le terrain.
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Evaluation de la campagne agricole 2008/2009 et résultats définitifs
Au sortir de la campagne agricole d'hivernage 2007-2008, le bilan céréalier a dégagé un excédent net de 215.881 tonnes, ce qui représente moins d'un mois de consommation nationale. -
Note de pré visite des groupements de Wacha demandeur du crédit agricole auprès de la BAGRI - Un constat de surfacturation des devis
Six groupements maraîchers de Wacha (82 personnes) ont introduit à l’agence BAGRI de Magaria, une demande de crédit agricole pour accéder aux fonds à coûts partagés proposés dans la région de Zinder par le Programme de Promotion de l’Emploi et de la Croissance Economique dans l’Agriculture (PECEA) et le Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF). Ces fonds permettent aux producteurs dont les dossiers ont été validés par la BAGRI de bénéficier de 40% de subvention sur le montant de leurs investissements (matériels et équipements). La demande de crédit de ces groupements comprend un « devis estimatif / facture proforma » présentant le contenu de la demande et les montants des différents matériels et équipements.
Ces devis ont été mis à la disposition de la CRA de Zinder par la BAGRI de Magaria. Une lecture de ces devis indique une uniformité du choix du fournisseur, des besoins (motopompe, forage, charrette, réseau, bœuf, engrais) et des prix pour les six groupements. Ils ont tous été établis par la même entreprise (fournisseur). -
Les semences améliorées d’arachide disponibles pour la campagne 2021
Cette note analyse la production de semences de variétés améliorées d’arachide à partir des données contenues dans l’Annuaire National 2021 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger (MAGEL).
Le Ministère en charge de l’agriculture élabore chaque année l’Annuaire National de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger. C’est le document officiel qui contient la quantité et la liste exhaustive de toutes les semences des variétés améliorées produites au Niger et disponibles pour la campagne à venir (2021).
En surface l’arachide tourne autour de 900.000 ha (MAGEL, campagne 2019-2020), loin derrière le mil, le niébé et le sorgho. Cependant, c’est la seconde légumineuse cultivée au Niger. L’arachide est utilisée localement pour la fabrication d’huile, produit de première nécessité dont le Niger est fortement déficitaire. Les importations de matière grasse sont essentiellement constituées d’huile de palme pour la consommation. Ces importations représentent 37 milliards de F.CFA et sont nettement plus importantes que les importations de lait et autres produits laitiers, dont on parle beaucoup plus.
Dans l’optique d’une autosuffisance alimentaire du Niger, ou pour réduire la facture des importations alimentaires, la seule huile en production locale qui peut concurrencer l’huile de palme reste l’huile d’arachide. L’arachide est la culture pour laquelle la quantité de semences améliorées disponibles est très faible, voire insignifiante, à l’échelle nationale par rapport aux surfaces mises en culture. -
Rapport d'évaluation de la campagne agricole d'hivernage 2020 et Perspectives Alimentaires 2020/2021
Au total, ce sont 2 680 395 chefs de ménage qui ont été dénombrés au titre de la campagne agricole d’hivernage 2020. Les résultats montrent que la majorité des ménages agricoles sont gérés par des hommes soit 93,15% contre 6,85% des ménages gérés par des femmes. La situation pluviométrique comparée à l’année passée reste très excédentaire dans la majeure partie de la zone agricole du pays. Les poches excédentaires sont localisées dans les régions de Tillabéri, Dosso, Zinder et Diffa. Les poches déficitaires à très déficitaires sont apparues dans les régions de Tillabéri, Dosso et Zinder. La production céréalière globale de la campagne agricole d’hivernage est estimée à 5 768 382 tonnes. En comparaison avec les productions de la campagne 2019 on observe une hausse de 9 %. L’évolution de ces productions sont également en hausse voire une stabilité de 1% par rapport à la moyenne des cinq (5) dernières années. Ce sont des hausses de 7%, 12% et 13% qui sont observées respectivement pour le mil, le maïs et le sorgho. Par contre les niveaux de production sont en baisse pour le riz et le fonio respectivement de 4 et 6% par rapport à l’année passée. L’analyse comparée de la production 2020 par rapport à la moyenne quinquennale présente des hausses de production pour le sorgho et le maïs. -
Rapport final de la formation des jeunes agriculteurs et agricultrices pour la campagne sèche froide 2020-2021
La Chambre Régionale d’Agriculture de Tahoua anime la formation professionnelle, installation des jeunes agriculteurs/trices. La formation des jeunes est une activité que mène la CRA avec l’appui du Projet Pôle Ruraux. Pour la campagne de saison sèche 2020-2021, ces formations ont concerné 15 communes, 33 sites, 717 jeunes en formation, 7 opérateurs de formation (OP, GIE, ONG). -
Étude sur le financement des filières agricoles dans les pays membres de l'UEMOA
Au cours des dix dernières années les résultats économiques du Niger ont été peu satisfaisants malgré l'adoption de plusieurs programmes d'ajustement structurels. En terme réel le PIB a diminué de 0,5% par an depuis 1990. De1960 à 1973, le secteur rural a fourni l'essentiel des besoins financiers de l’État, la priorité étant accordée aux produits d'exportation : L'arachide, le coton et le bétail. -
Etude sur les systèmes financiers décentralisés et la finance rurale : Mécanisme inclusifs de financement alternatif en zone agropastorale des régions de Tahoua, Maradi et Zinder
La nouvelle stratégie pays du FIDA pour le Niger (COSOP 2013 – 2018) recentre les opérations du portefeuille sur l’amélioration durable de la sécurité alimentaire des ménages ruraux dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder. Elle se traduira par une approche-programme axée sur la mise en cohérence progressive des projets en voie de démarrage, en l’occurrence le Projet d’appui à la sécurité alimentaire dans la région de Maradi (PASADEM) et le Projet d’appui à la petite irrigation (Ruwanmu) dans les trois régions. Ceux-ci feront place, à l’horizon 2015, à un programme unique dont les arrangements de mise en œuvre seront définis au moment de la formulation dudit programme. -
Évaluation à mi-parcours de la campagne agricole d'hivernage au 31 juillet 2007
Le présent rapport relève l’évolution de la campagne agricole d'hivernage dans les différents Départements et communes de la région de Maradi. -
Évaluation à mi-parcours de la campagne agricole au 31 Juillet 2007
Le rapport fait état de la campagne agricole de la région de Dosso durant la période de Juillet 2007. -
Évaluation de la campagne agricole
Les superficies emblavées en mil connaissent par rapport aux campagnes 1988 et 1987 une stagnation au niveau national. Une diminution sensible a été constatée dans les départements de Dosso (-6%) et celui de Tillabéry (-15%) par rapport à la campagne passée. -
Évaluation préliminaire de la campagne agricole au 31 Aout 1999
Les résultats contenus dans le présent rapport ont été collectés atravers le suivi régulier de la campagne effectuer par les services agricoles. Ils ont par la suite été finalisés par les missions conjointes (Direction de l'Agriculture, SAP/GC, Météorologie Nationale ) à travers aussi bien des missions de terrain que des réunions de synthèse qui ont regroupé l'ensemble des responsables agricoles des Départements et des Arrondissements. -
Évaluation préliminaire des récoltes de la campagne agricole d'hivernage 2008/2009 au Niger
La campagne agricole d'hivernage 2008 a démarré à partir de la première décade du mois d'Avril avec les premières pluies utiles qui ont permis d'effectuer des semis partiels de mil au niveau de certaines localités (7 villages) au département de Tessaoua (Région de Maradi),soit à la même période qu'en 2007. Il faut noter que cette année,les pluies sont régulières et bien reparties dans le temps et dans l'espace. -
Les actes des journées de rencontre sur le crédit rural decentralisé
Les journées de rencontre sur le crédit rural décentralisé, ont lieu sous l'initiative du MAG/EL, au Plais des Congrès à Niamey du 3 au 5 Juillet 1995, et ont débuté avec l'allocution prononcé par Monsieur le Ministre de l'Agriculture et de l’Élevage en présence de plusieurs représentants et bailleurs de fonds, d'organisation de coopération bilatérales et internationales, de l'administration, de banque et d'opérateurs de système d'épargne et de crédit. -
Mission ministérielle de pré-évaluation de la campagne agro-sylvo-pastorale et hydraulique 2016
Dans le cadre de la pré-évaluation de la campagne Agro-sylvo-pastoral et hydraulique 2016, sur instruction de Son Excellence Monsieur Issoufou Mahamadou, Président de la République, Chef de l'Etat, le Ministre des Enseignements Professionnels et Techniques Monsieur Tidjani Idrissa Abdoulkadri, a entrepris, du 17 au 23 Novembre 2016, une tournée en profondeur dans la région de Tillabéri. -
Évaluation à mi parcours de la campagne agricole d'hivernage au 31 Juillet 2011
La campagne agricole d'hivernage 2011 a démarré à partir de la 1er décade du moi de Mai 2011, avec les premières pluies qui ont permis d'effectuer des semis partiels de mil au niveau de 110 villages repartis dans les régions de Dosso, Maradi et Zinder. Par la suite, les précipitations se sont poursuivies par endroit au cours de ce mois. Toutefois, elles ont été irrégulières et mal reparties. -
Pré-évaluation de la campagne 2002/2003
La campagne agricole 2002 a démarré dès le mois d'avril avec les premières pluies utiles qui ont permis d'effectuer les semis en humide au niveau de 52 villages. Au cours du mois de juin 2002, les ruptures de pluies observées ça et là à partir de la 2em décade ont d'une part ralenti la progression de la couverture des semis au niveau des régions de Dosso, Maradi, Tahoua, Tillabéri et Zinder, et d'autres part occasionné des pertes de semis dans ces régions. -
Programme d'urgence d'appui en semences aux villages déficitaire de la campagne agricole d'hivernage 2004/2005
La campagne agricole d'hivernage 2004/2005 a enregistré un important déficit céréalier de l'ordre de 20.000 tonnes consécutivement à la sécheresse et aux invasions acridiennes. Ainsi, au sortir de cette campagne quelque 3.815 villages totalisent une population de 3.627.817 habitants ont été identifiés comme déficitaire à des degrés supérieur ou égale à 50%. -
Rapport de la mission de PRE ÉVALUATION de la campagne agro-sylvo-pastorale et hydraulique 2016
Le Gouvernement de la 7ém République a placé le développement rural et la sécurité alimentaire et nutritionnelle au premier rang de ses priorités en vue de l'atteinte des objectifs de l'I3N. Afin d'évaluer les résultats de la campagne agrp-sylvo-pastorale et hydralique 2016 et de dégager les perspectives, des missions ministérielles ont été dépêchés dans les huits (8) régions du pays. -
Rapport de mission du Ministère Chargé des Relations avec les Institutions : Pré-évaluation de la campagne agro-sylvo-pastorale et hydraulique dans la région d'Agadez
Dans le cadre de la mission de pré-évaluation de la campagne agro-sylvo-pastorale et hydraulique 2016, le Ministère Chargé des Relations avec les Institutions Monsieur Issouf Barkai, a entrepris du 15 au 24 novembre 2016, une mission de travail dans la région d'Agadez. -
Préparatif de la campagne agricole d'hivernage 2014 et renforcement du dispositif de production, de contrôle et de certification des semences
Le Niger tout comme les autres pays de l'espace communautaire doivent mettre en place un dispositif d'inspection au champ et de contrôle de qualité au laboratoire depuis 2009. Des équipes d’inspecteurs formées depuis 2010 pour gérer les programmes régionaux de multiplication de semences et de travaille sur la base d'une programmation régionale annuelle et des déclarations de cultures permettant de mobiliser les moyens pour assurer les missions de contrôle au champ par les équipes d'Inspecteurs. -
Rapport de pré-évaluation de la campagne agricole d'hivernage : 2005/2006
La campagne agricole d'hivernage 2005 a connu un démarrage précoce par rapport à l'année précédente. les premières précipitations utiles ont été enregistrées entre les 2 et 3 Mai soit une avance de deux (2) semaines par rapport à l'année 2004. Les premières semis ont concerné environ 662 villages (25% des villages agricoles). -
Rapport d'évaluation de la campagne pastorale 2005
Au cours du mois d'Octobre 2005, une mission de la Direction Régionale des Ressources Animales de Dosso a sillonné la Région pour évaluer la situation pastorale. La mission s'est surtout appesantie sur les points suivants : La pluviométrie; la situation des paturages et l'alimentation du betail; la sitution des points d'eau et l'abreuvement du cheptel; la situation sanitaire du cheptel; les mouvements et concentration des animaux; la commercialisation du bétail; la production de la biomasse herbacée; l'appréciation de la production fourragère. -
Rapport sur les résultats définitifs de la campagne agricole : 2005/2006
La campagne agricole d'hivernage 2005 a démarré à partir de la 3ème décade du mois d'avril avec les premières pluies utiles qui ont permis d'effectuer les semis partiels de mil au niveau de certaines localités des régions de Dosso, Tahoua et de Tillabéri. -
Rapport de synthèse des missions ministérielles de pré-évaluation de la campagne agro-sylvo-pastorale et hydraulique 2014
La campagne agro-sylvo-pastorale et hydraulique 2014 est marquée par une installation précoce à tardive des pluies dans toutes les régions du pays. Elle a été caractérisée par des précipitations faibles et irrégulières de mai à juin, une bonne répartition spatio-temporelle des pluies de juillet à aout et une mauvaise répartition des pluies dans le temps et dans l'espace durant le mois de septembre. Des fertilisants, des variétés précoces de niébé et des boutures de manioc et de patate douce ont été mis à la disposition des populations afin de minimiser les risques d'une mauvaise campagne. -
Pré-évaluation de la campagne agricole 2009/2010 et résultats provisoires
La campagne agricole d'hivernage 2009 a démarré à partir de la 1ère décade du mois de mai avec les premières pluies utiles qui ont permis d'effectuer des semis partiels de mil au niveau de 1780 villages répartis dans les régions de Diffa, Zinder, Maradi, Tahoua, Dosso et Tillabéri. Par la suite, les précipitations se sont raréfiées jusqu'à la 1ère décade du mois de juin. Ceci a entraîné une évolution timide des opérations de semis qui se sont poursuivis de manière très localisée et normalisées à partir de la 2éme décade du mois de juin. Cependant, il faut surtout remarquer qu'au vu du nombre élevé des premiers semis enregistrés, le démarrage de la campagne agricole d'hivernage 2009 a été précoce comparé à l'année passée et à la normale qui se situe généralement au tour du 20 mai. -
Situation sur les préparatifs de la campagne agricole au 20 Mai 1999
Le département de Dosso est situé à l'extrême Sud-Ouest du pays. Il a une superficie de 31.000 km2 ce qui représente 2,45 % de la superficie du Niger (qui est de 1.267.000 km2). Il compte une population d'environ 1.477.090 habitants, soit une densité de 46 habitants km. Il est limité au Nord-Ouest par le Département de Tillabéry, à l'Est et au Nord-Est par celui de Tahoua, au Sud-Est par la République Fédérale du Nigéria, et au Sud-Ouest par la République du Bénin. -
Pré-évaluation de la campagne agricole 2006/2007
La campagne agricole d'hivernage 2005 a démarré à partir de la 3è décade du mois d'avril avec les premières pluies utiles qui ont permis d'effectuer les semis partiels de mil au niveau de certaines localités des régions de Dosso, Tahoua et de Tillabéri. Sur le plan pluviométrique, le cumul pluviométrique au 30 Septembre est supérieur à 300 mm au niveau de la majeure partie de la zone agricole du pays à l'exception d'une poche située dans le centre Ouest de Zinder; comparé à la moyenne 1971-2000, la majeure partie des postes de la zone agricole sont excédentaires; toutefois d'importants déficits ont été enregistrés dans le nord Ouallam, l'Ouest Keita et l'Ouest Tanout. -
Agricultural production economics
what is tested is the applicability of a theory for explaining the behavior of a particular
individual or group of individuals. The conclusion by a social scientist that a theory does
not adequately explain the behavior of a particular group of people does not render the
theory itself invalid. The same theory might be quite applicable to other people under a
slightly different set of circumstances. -
Le crédit à l'agriculture, un outil-clé du développement agricole
Un développement économique et social équilibré et durable s’appuie, dans ses premières étapes, sur une agriculture solide. Cela implique l’injection de capitaux très importants, impliquant une montée en puissance du crédit agricole. La plupart des études montrent que l’inadéquation entre l’offre et la demande de crédit agricole est l’une des raisons de la faiblesse de la productivité agricole dans les pays en développement, particulièrement en Afrique. Ce sujet a fait l’objet de plusieurs publications de l’Agence française de développement (AFD) et de la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM). Il était au cœur d’un atelier technique organisé par l’AFD en février 2015, réunissant seize dirigeants d’institutions dévolues au financement de l’agriculture en Afrique subsaharienne, au Maghreb et dans les Caraïbes. La présente Note présente une synthèse de ces différents travaux et études. -
L’usage de la bonification d’intérêt pour les crédits agricoles
Le 15 janvier 2013, dans le cadre de son Groupe de travail sur le « financement de l’agriculture », Inter-réseaux Développement rural a organisé, avec l’Agence Française de Développement (AFD), un après midi de présentation et de débat autour du rapport intitulé « Etude sur l’usage de la bonification d’intérêt pour le développement des crédits agricoles » et réalisé par le bureau d’études HORUS Developpement Finance en 2012. Cette étude sera publiée prochainement par l’AFD. 23 personnes ont participé aux échanges animés par François Doligez, membre du Conseil d’administration d’Inter-réseaux. Cette note reprend les éléments principaux de cette rencontre. -
Le warrantage paysan, un outil de protection des ressources
Souvent présenté comme un outil de spéculation sur les fluctuations de prix et d'accès au crédit, le warrantage permet aussi aux producteurs de se protéger d'une pression sociale qui les pousse à ponctionner régulièrement une partie de leurs récoltes et peut mettre en danger la sécurité alimentaire de leur ménage en période de soudure. Le développement du warrantage au Burkina Faso. Le warrantage existe au Burkina Faso depuis 2005 et connaît un vif succès auprès des producteurs et des institutions financières. Les deux plus anciennes expériences, mises en œuvre dans le Sud-Ouest du pays, sont celles de l'Union Ten Tietaa et de la Cop-sa-C (Coopérative de prestation de services agricoles « Coobsa »), deux organisations faitières qui Continuent aujourd'hui à accompagner les producteurs dans la mise en œuvre du warrantage. Ces deux organisations ont bénéficié de l'appui respectif des ONG SOS-Sahel et CISV, et se sont inspirées dans leur développement d'expériences de warrantage plus anciennes au Niger (Union Cigaba de Konkorindo au Sud-Ouest du Niger). -
Rapport d'évaluation de la campagne agricole d'hivernage 2021 et perspectives alimentaires 2021/2022
Au 30 septembre 2021, les cultures des céréales et des légumineuses présentent des stades de développement variables avec la maturité du mil observée dans plusieurs régions suivie d’un début de récolte. Dans les zones qui ont connu des retards de semis, une intensité des précipitations au cours du mois de juillet et les ruptures des pluies en fin août et courant mois de septembre, les productions ne seront pas à la hauteur des espérances des producteurs. C’est ainsi que 6 430 villages ont été déclarés déficitaires où la campagne agricole ne sera pas bonne, principalement pour cause de sécheresse, grêle, attaques des ravageurs et arrêt précoce des pluies. -
Note sur le cas de la production de niébé dans le Rapport d'évaluation préliminaire des récoltes 2011 et résultats provisoires de la campagne agricole 2011/2012
La campagne agricole d’hivernage 2011 a été caractérisée par une pluviométrie mal répartie dans le temps et l’espace, ponctuée par des épisodes secs au cours des mois de juillet, août et septembre. Le cumul pluviométrique saisonnier au 30 septembre 2011, bien que variant entre 300 et 780 mm dans la majeure partie de la zone agricole, est inférieur à 400 mm au niveau de la plupart des postes suivis. -
Atelier sur le partenariat entre organisations paysannes et institutions de microfinance
Au Niger comme dans la plupart des zones rurales d'Afrique de l'Ouest, les banques commerciales ne sont que faiblement accessible et restent très réticentes à financer l'Agriculture. La microfinance est alors souvent la seule alternative formelle d'accès au financement pour les organisations paysannes et la question des conditions de partenariat entre OP et IMF se pose donc avec acuité. -
Bilan de la lutte contre le criquet pèlerin : campagne 2004-2005
A l'instar des autres pays de la Région Occidentale concernés par le Criquet pèlerin, les signes précurseurs d'une nouvelle recrudescence ont été perçus au Niger depuis le mois d'août 2003. Les niveaux de populations autochtones de ce ravageur étaient élevés dans ses principales aires de grégarisation de l'Aïr et du Tamesna. Des reproductions échelonnées ont été observées dans ces zones, en particulier dans le versant Est de l'Aïr qui a offert au Criquet pèlerin des conditions écologiques favorables grâce à une pluie tardive enregistrée à la mi-octobre 2003. -
Évaluation à mi-parcours campagne agricole d'hivernage 2005
La campagne agricole d'hivernage 2005 a démarré à partir de la 3èm décade du mois d'avril avec les premières pluies utiles qui ont permis d'effectuer les semis partiels se mil au niveau de certaines localités des régions de Dosso, Tahoua et de Tillabéri. -
Évaluation préliminaire de la campagne agricole au 31 Aout 1999
Les résultats contenus dans le présent rapport ont été collectés à travers le suivi régulier de la campagne effectué par les services agricoles. Ils ont par la suite été finalisé par les missions conjointes (Direction de l'Agriculture, SAP/GC, Météorologie Nationale) à travers aussi bien des missions de terrain que des réunions de synthèse qui ont regroupé l'ensemble des responsables agricoles des Départements et des Arrondissements. -
Évaluation préliminaire de la campagne Agropastorale, de la situation alimentaire, et des perspectives 2005-2006
La crise profonde qu'à traversé le Niger en 2004-2005 est intervenue après de nombreuses années de pauvreté et de malnutrition chronique. D'après une enquête EDS de 1998, 41% d'enfants nigériens souffrent de malnutrition chronique, alors que la malnutrition aigue globale touche 21% des enfants. -
Évaluation préliminaire des récoltes de la campagne agricole d'hivernage 2007/2008 au Niger
La campagne agricole d'hivernage 2007 s'est installée non sans hésitation dans notre pays. En effet, les premières pluies utiles ont été enregistrée au cours de la 1er décade du mois d'avril permettant à quelques villages des régions de Dosso, Maradi et Tahoua d'effectuer des semis partiels. Les pluies enregistrées jusqu'à la première décade de Juin sont généralement faibles à modérées et mal reparties. -
Évaluation de la campagne agricole 2003/2004
La campagne agricole 2003 a démarré dès le mois d'avril avec les premières pluies utiles qui ont permis d'effectuer les semis en humide au niveau de 951 villages répartis dans les régions de Dosso, Maradi, Tahoua et Zinder. Il s'en suit une période de sécheresse qui a occasionné ça et là un ralentissement des opérations de semis jusqu'à la fin de la 2èm décade du moi de mai. -
Les pré-visites des CRA dans le cadre du crédit agricole avec subvention FISAN
La facilité 1 du FISAN (soutien au crédit agricole) : C’est un financement qui met en place une subvention pour accompagner un crédit, on parle de subvention adossée au crédit. -
Production de biomasse en 2020 : analyses et perspectives pour 2021
Dans l’ensemble la saison des pluies 2020 a été positive au Niger et la végétation a largement profitée des pluies abondantes et régulières qui ont été enregistrées. Cet hivernage favorable fait suite à une période de soudure particulièrement difficile du fait de la mauvaise performance de la saison en 2019. En début de saison 2020 (Juin-Juillet), plus de 94% des sites sentinelles ont rapporté un épuisement généralisé du pâturage (cf. bulletin N°33 de surveillance pastorale sur le Niger). -
Agriculteurs et accès au financement : quel rôle pour l’État?
Cet article dresse un panorama des besoins et des difficultés d’accès au financement des exploitations familiales. Il revient sur les différentes stratégies qui ont été mises en œuvre depuis les indépendances pour permettre à ces agricultures d’accéder au crédit et souligne les défis qui restent à relever. -
Financement agricole : un puissant outil de contribution à la sécurité alimentaire des populations
Dans les pays en développement, la pauvreté est un phénomène concentré en zone rurale où la grande majorité des exploitations agricoles maintiennent des pratiques culturales rudimentaires. Pourtant, dans ces pays, l'agriculture contribue de façon importante à l'économie nationale et ce, tant au niveau de l'emploi2 que du PIB3 « Pour une grande partie du milliard de personnes vivant dans la pauvreté la plus absolue, la croissance économique basée essentiellement sur l'agriculture et sur les activités rurales non agricoles est essentielle pour améliorer leurs moyens d'existence. La majorité des pauvres vivent en milieu rural. Pour atténuer la pauvreté et la faim, il est essentiel de promouvoir l'essor de l'agriculture dans les zones rurales et de fournir aux ruraux un meilleur accès à la terre, à l'eau, au crédit, à la santé et à l'éducation. ». Ceci fait du développement agricole une stratégie prioritaire des gouvernements de plusieurs pays pour combattre l’insécurité alimentaire et réduire la pauvreté. L’insécurité alimentaire et la pauvreté sont également des enjeux pour la communauté internationale, et ont d’ailleurs contribué à faire de l’accès des petits agriculteurs à des services financiers adéquats une des questions les plus largement débattues au cours des dernières décennies dans le secteur de la finance de proximité. -
Innover pour des mécanismes inclusifs de financement agricole et d’atténuation des risques : L’exemple de Tamwil El Fellah au Maroc
La présente étude de cas décrit un modèle particulièrement innovant de fourniture de services financiers aux ménages ruraux les plus pauvres dépendant de l’agriculture – le modèle Tamwil El Fellah (TEF), société créée par le Groupe Crédit Agricole du Maroc (GCAM). TEF s’est fondé sur la longue expérience du financement du secteur agricole, sur le réseau d’agence et sur les ressources humaines du GCAM pour mettre en place son propre modèle d’activité, doté de mécanismes de gestion des risques adaptés à son segment de clientèle spécifique : les petits et moyens producteurs agricoles. -
Financement alternatif et innovant de l’Agriculture en Afrique
En Afrique, les méthodes de financement alternatives et innovantes ne sont guère utilisées en agriculture, parce qu’elles sont nouvelles et que beaucoup de parties prenantes ne les connaissent pas. Cependant, les avantages qu’elles peuvent apporter à l’agriculture africaine sont considérables. Notamment, les engagements d’investissements privés massifs dans l’agriculture, l’intensification de l’innovation agricole, la formation et le renforcement des capacités des agriculteurs, la fourniture d’un environnement agricole infrastructurel fondé sur le développement, la mobilisation des finances, des marchés et de l’agriculture en faveur des pauvres, des régions rurales, des femmes et de jeunes par le biais d’une croissance inclusive. -
Le financement de l’entreprise agricole : états des lieux et problématique
Le processus de restructuration de l’agriculture française s’est traduit par une augmentation continue de la dimension économique des exploitations agricoles au cours des dernières décennies. Le capital d’exploitation moyen s’est accru en conséquence, générant des montants de capitaux importants à reprendre par les porteurs de projet lors des transmissions. Cette dynamique, toujours à l’œuvre, se poursuivra au cours des prochaines années. -
Le financement public dans l'élevage au Sahel depuis 10 ans : un double sous-investissement
Les réseaux d’éleveurs d’Afrique de l’Ouest saluent ces efforts des pays sahéliens pour l’agriculture au sens large mais s’interrogent sur les montants qui ont été consacrés au sous-secteur de l’élevage et sur les résultats auxquels ils ont mené. En effet, l’élevage, et le pastoralisme en particulier, constituent un pilier du secteur agricole pour nombre de régions au Sud du Sahara mais ils semblent pourtant souvent relégués au second plan des politiques agricoles. -
Plan Stratégique de Développement 2022-2026 du FISAN
Le Plan Stratégique de Développement (2022-2026) du FISAN s’intègre dans les politiques nationales et stratégies sectorielles du gouvernement. Il s’agit notamment de l’Initiative 3N d’où il tire sa légitimité et sa raison d’être, la Stratégie Nationale de la Finance Inclusive (SNFI) qui lui fournit les outils d’interventions et toutes les stratégies transversales qui donnent des orientations permettant de mettre en place un cadre harmonisé et formel de financement Agricole. De manière spécifique, les interventions du FISAN s’inscrivent dans cinq programmes opérationnels du plan d’action 2021-2025 de l’I3N. Il s’agit de i) PO1 : Accroissement des productions sous irrigation ii) PO2 : Augmentation des productions des cultures pluviales iii) PO3 : Accroissement et Diversification des Productions Animales ; iv) PO5 : augmentation des productions issues de la transformation (artisanale et agro-industrielle) des produits locaux et v) du PO6 : Augmentation de la disponibilité et de la mise en marché des produits issues de la transformation (artisanale et agro-industrielle) sur les marchés intérieurs et extérieurs. -
Note de politique sur le développement du crédit agricole au Niger
Cette note politique a été préparée dans le cadre du programme d’appui FIRST à l’amélioration de l’inclusion financière au Niger. Cette étude a pour but d’améliorer les connaissances d’éclairer les choix des politiques adoptées par le Gouvernement Nigérien en ce qui concerne la finance agricole. -
Le warrantage, un dispositif pour améliorer la sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne
Le warrantage se développe actuellement dans plusieurs pays du Sahel. C’est un dispositif de crédit-stockage mis en place par une organisation d’agriculteurs et une institution financière. Il consiste à stocker quelques mois une partie des céréales après la récolte dans un entrepôt en échange d’un crédit individuel. Sans ce crédit, les agriculteurs tendent à vendre leurs céréales dès la récolte pour rembourser les dettes ou subvenir à leurs besoins. Conséquence : les familles ont par la suite du mal à assurer la soudure, période de transition entre l’épuisement des stocks et la nouvelle récolte, et à investir dans leurs systèmes de production agricole. L’évaluation d’impact menée dans l’Ouest du Burkina Faso montre que le warrantage accroît la disponibilité alimentaire en période de soudure et qu’il renforce l’investissement et la production agricoles. Pour que son développement s’accélère, il est nécessaire de satisfaire trois conditions : disposer d’infrastructures de stockage adaptées, assurer la qualité des produits stockés, et établir des relations de confiance étroites entre institutions financières, organisations de producteurs et commerçants. Cette dernière condition est mise à mal par l’extension des conflits armés au Sahel. -
Rapport d’activités 2016 financement de l’agriculture : subventions adossées au crédit agricole activités des Chambres Régionales d’Agriculture et du RECA
Dans le cadre de la Stratégie de l’initiative 3N, il est prévu de mettre en place le Fonds d’Investissement pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (FISAN), avec comme objectif de créer une offre de services financiers appropriée pour répondre aux différents besoins des producteurs agro-sylvo-pastoraux et halieutiques et des entreprises agricoles. -
Implication du secteur privé pour renforcer la résilience de l’agriculture du Niger au changement climatique : évaluation du marché de l’assurance agricole
Dans le cadre de la phase de pré-mise en œuvre de « l’investissement dans le secteur privé pour construire la résilience climatique dans le secteur agricole du Niger », la SFI (société financière internationale) - services consultatifs - a entrepris trois projets d'investissement avec le soutien financier du Fonds climatique d'investissement stratégique (SCF) dans le cadre du programme du PPCR au Niger. Le PPCR se focalise sur le pilotage des interventions dans les pays en développement pour la gestion des risques liés au climat et le renforcement de l'agriculture résiliente au changement climatique. -
Le mécanisme du warrantage et ses variantes
La technique du warrantage rencontre une compréhension progressive tant des producteurs que de leurs partenaires, dont les systèmes financiers décentralisés et les banquiers classiques. Mais cette technique requiel1 aussi une solide préparation et des mesures d'accompagnement qui constituent la tâche primordiale du Projet. Quelques velléités de déviation ont déjà émergé, mais dans l'ensemble, la technique du double cadenas semble acquise (le second cadenas faisant office de « billet à ordre» ). -
L’usage de la bonification d’intérêt pour les crédits agricoles
Le 15 janvier 2013, dans le cadre de son Groupe de travail sur le « financement de l’agriculture », Inter-réseaux Développement rural a organisé, avec l’Agence Française de Développement (AFD), un après-midi de présentation et de débat autour du rapport intitulé « Etude sur l’usage de la bonification d’intérêt pour le développement des crédits agricoles » et réalisé par le bureau d’études HORUS Development Finance en 2012. Cette étude sera publiée prochainement par l’AFD. 23 personnes ont participé aux échanges animés par François Doligez, membre du Conseil d’administration d’Inter-réseaux. Cette note reprend les éléments principaux de cette rencontre. -
Capitalisation de la recherche action MMD en milieu pastoral
Le système MMD consiste en une tontine « modernisée ». Le groupe peut comprendre jusqu’à 40 femmes, qui, à travers les cotisations périodiques (hebdomadaire, bi hebdomadaire, mensuelle), parviennent à constituer des fonds considérables. Les cotisations varient entre 25Fcfa et 1.000Fcfa selon les groupements et la capacité à épargner. Certains groupements permettent à leurs membres de verser deux fois le montant fixé par le groupe et de bénéficier alors de « deux quote-parts » dans l’épargne. -
Relevé et synthèse des données agro-économiques dans la vallée d’Iférouane
L’histoire du jardinage dans la vallée remonte à près de deux cents (200) ans. En 1850 déjà, l’explorateur allemand Heinrich Barth a passé par Iférouane et annonçait l’existence de quelques jardins à Souloufet en amont d’Iférouane. Ces jardins disait-il, étaient irrigués à l’aide des chadoufs. Ensuite, La pratique du jardinage a connu beaucoup des mutations et difficultés suite aux nombreuses sécheresses qui se sont
succédées. Avec les travaux d’aménagement entrepris par la coopération allemande à travers la GKW à la fin des années 1970 ayant permis l’amélioration du niveau de la nappe phréatique, l’activité de jardinage a connu un essor considérable. Cela a permis le développement de L’agriculture irriguée dans la vallée.Ces dernières années l’agriculture a connu des nombreux changements dans la zone dus principalement à l’introduction des cultures marchandes notamment l’oignon. Auparavant les cultures vivrières que sont le blé, le mil, le maïs, l’orge prédominaient et l’agriculture était exclusivement une agriculture de subsistance. Avant les oignons, la courge constituait la principale culture de rente à Iférouane. Beaucoup des jardiniers se sont fait des belles prises à l’époque, dans les années 1990. l’oignon cultivé dans les jardins ne servait qu’à laconsommation familiale et des petites quantités sont vendues localement. L’introduction de l’oignon comme culture de rente principale date des années 98.
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Définition d’une stratégie de subvention dans le cadre de la Facilité 1 du Fonds d’Investissement pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (FISAN)
Le présent rapport provisoire vise l’élaboration d’une stratégie de subvention dans le cadre de la facilité 1 du Fonds d’Investissement pour la Sécurité Alimentaire et nutritionnelle (FISAN), qui s’inscrit elle-même dans le processus d’institutionnalisation progressive du FISAN. Cette étude, sous la responsabilité du HC3N, a été confiée à l’IRAM (cf. termes de référence en annexe). -
Résultats définitifs de la Campagne Agricole d'Hivernage 2014 et perspectives alimentaires 2014-2015
La campagne agricole d’hivernage 2014 a démarré à partir de la troisième décade du mois d’Avril. Ce qui à permis d’effectuer des semis partiels de mil au niveau de 384 villages des régions de Dosso, Maradi et Tahoua. A la suite des précipitations enregistrées, les semis se sont poursuivis jusqu’à la troisième décade de juillet dans les régions d’Agadez, Diffa et Zinder. Les régions de Dosso, Maradi, Tahoua et Tillabéri ont bouclé leur semis dans la deuxième décade de juillet et celle de Niamey dès la troisième décade de Juin. Comme en 2013 la campagne agricole d’hivernage 2014 a accusé un retard sur le plan du parachèvement des semis dû aux longues périodes de sécheresse ou retards de semis dans les régions d’Agadez, Diffa et Zinder. -
Etude sur le crédit agricole dans trois villages de la région de Maradi (Niger)
La nécessité d'augmenter sensiblement les capitaux et crédits disponibles pour l'agriculture dans les pays en développement est d'ores et déjà un fait, établi, comme en témoignent les plans élaborés en vue d'assurer à l'agriculture, grâce aux sources internationales, un financement élargi.