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Etude d’évaluation à mi-parcours du pisa 1 - rapport provisoire
Le programme PISA1 a été mis en oeuvre au mois de Février 2016 pour une durée de quatre ans. Ce programme est issu de la coopération nigéro-allemande est doté d'un financement de 15 millions d'Euro produit par la KFW. La part de l'Etat nigérien est estimée à 0,15 millions d'Euro et celle des bénéficiaires des actions du programme comme quote-part à la réalisation des infrastructures est de 0,40 millions d'Euro. Le programme a vocation à intervenir dans les trois régions d'Agadez, de Tahoua et de Tillabéri. -
Etude d’évaluation à mi-parcours du pisa 1
rapport final
Le programme PISA1 a été mis en oeuvre au mois de Février 2016 pour une durée de quatre ans. Ce programme est issu de la coopération nigéro-allemande est doté d'un financement de 15 millions d'Euro produit par la KFW. La part de l'Etat nigérien est estimée à 0,15 millions d'Euro et celle des bénéficiaires des actions du programme comme quote-part à la réalisation des infrastructures est de 0,40 millions d'Euro. Le programme a vocation à intervenir dans les trois régions d'Agadez, de Tahoua et de Tillabéri. -
Rapport d'étude évaluation des impacts socio-économiques et environnementaux des investissements du PISA 1 version finale
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte
lié à des risques multiples dont : les risques climatiques/naturels, les risques sociaux
et les risques d’insécurité alimentaires. A cela s’ajoute la plus forte croissance
démographique du continent (3,9%).La population aura presque doublé en 2030 (par
rapport à 2015) (INS, 2014). Le pays est classé parmi les plus bas sur la quasi-totalité
des indicateurs de développement humain (BM, 2019). Le secteur du développement
rural en général et celui de l’irrigation en particulier fait partie des enjeux majeurs du
pays. -
Programme « Petite Irrigation et Sécurité Alimentaire » (PISA)
Le Programme Petite Irrigation et Sécurité Alimentaire (PISA) ayant pour objectif de contribuer à la promotion d’une agriculture productive et à la sécurité alimentaire au Niger, a démarré (dans sa phase 1) en février 2016 pour une durée de quatre (4) ans et un budget de 15,19 millions d'Euro. Il intervient dans les régions de Tillabéri, Tahoua et Agadez et est basée sur (i) la promotion de la petite irrigation à travers des aménagements hydro-agricoles ; (ii) la conservation de l’eau et du sol et la défense et restauration des sols (CES/DRS) dans les bassins versants avec potentiel d’irrigation ; (iii) la mise en valeur des zones et périmètres aménagées ; et (iv) l’appui à la commercialisation des produits agricoles par des infrastructures de désenclavement (pistes de dessertes), de stockage et de transformation. -
Programme "Petite Irrigation et Sécurité Alimentaire" (PISA)
Le Programme « Petite Irrigation et Sécurité Alimentaire» (PISA) entre dans le cadre du Programme Développement Rural et Agriculture Productive de la Coopération financière nigéro-allemande. L’objectif global du PISA est de contribuer à la promotion d’une agriculture productive et à la sécurité alimentaire au Niger. Les objectifs spécifiques visent à augmenter la production agricole, améliorer les revenus des exploitations familiales et faciliter l’accès au marché des produits agricoles. -
Appui portant sur la capitalisation des pratiques de gestion durable des terres au Niger (CAPGDT)
Les discussions avec les différentes directions et services spécialisés des structures visitées (voir liste des structures et personnes rencontrées en annexe 1), lors de la mission du 26 mai au 8 juin 2019 à Niamey des experts base de données et système d'information géographique (SIG) (M. GARBA, Assoumane et M. CAPOCHICHI Alexis), ont permis d’identifier les divers systèmes de bases de données et SIG relatifs aux initiatives de gestion durable des terre (GDT) existants ou les applications /données spécifiques au sein de ces structures.Le recensement (non exhaustif, étant donné le peu de temps disponible) a permis de faire apparaitre, très tôt, l’existence de quelques bases de données sectorielles non opérationnelles et le manque de SIG spécialement
dédié à la GDT. -
Le semis à sec et à l'enrobage des semences au Burkina Faso
L’enrobage des semences était déjà pratiqué dans l’Égypte ancienne et a été remis au goût du jour au XXème siècle par Fukuoka, un agriculteur japonais pionnier, connu pour son engagement en faveur de l’agriculture naturelle. Cette technique, appelée « boulette » ou « bombe » de graines, consiste à enrober les graines à l’aide d’argile et éventuellement d’autres éléments pour favoriser la germination et la pousse des plantules. -
La transition agro-écologique des agiculteurs du Sud
L’ouvrage présenté ici, qui présente les retours d’expérience de dix ans de travaux du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad) et de l’Agence française de développement (AFD), capitalise une expertise extrêmement précieuse, illustre des initiatives réussies en Afrique, Asie et Amérique Latine, pour nous guider dans la transition vers l’agro-écologie. Il fait bénéficier le lecteur de l’excellence des travaux de recherche du Cirad sur la valorisation de la biodiversité dans les agrosystèmes, l’optimisation des cycles biogéochimiques, la gestion à l’échelle du paysage et du territoire, ainsi que l’évaluation et la création de systèmes de production permettant de maximiser les services écosystémiques. L’analyse commune proposée par le Cirad et l’AFD nous montre aussi comment, au-delà du travail sur les agroécosystèmes, la transition agro-écologique doit passer par une phase d’innovation organisationnelle et institutionnelle, comprenant une approche globale de l’ensemble du système agricole et alimentaire, afin d’enclencher une transformation vers une production et une consommation plus durable.