Ce document constitue une base de travail pour les ateliers de lancement du projet APPIA. Il est établi à partir d’entretiens et de documents recueillis dans les 5 pays de la zone d’étude (Burkina Faso, Niger, Mali, Mauritanie, Sénégal).
Il se propose :
-- D’établir une typologie des systèmes existants d’appui conseil aux irrigants,
-- De décrire l’évolution des besoins en appui conseil des irrigants depuis 30 ans,
-- D’envisager, sur la base des expériences acquises, les perspectives du conseil aux irrigants.
La typologie suivante a été établie dans le cadre du projet APPIA pour la partie Afrique de l’Ouest. Elle concerne cinq pays sahéliens : Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Sénégal.
La nigelle cultivée (Nigella sativa L. 1753) ou cumin noir est une plante annuelle de la famille des Renonculacées originaire du sud-ouest de l'Asie. Les graines sont utilisées comme remède traditionnel ou comme épice dans de nombreux pays du monde (particulièrement dans le monde musulman).
Cette étude analyse l’évolution des prix des céréales au Burkina, au Mali et au Niger afin de contribuer à la détermination de points d’alerte susceptibles d’aider les OP dans la prise de décision. Plus spécifiquement, le document met en cause quelques idées reçues, notamment celle la plus couramment utilisée pour la gestion des stocks céréaliers au Sahel : les prix seraient bas à la récolte pour augmenter jusqu’à la soudure. Partant de cette hypothèse, il est fréquemment recommandé aux OP de stocker à la récolte et de déstocker six ou huit mois plus tard, pour profiter d’une période de vente, soi-disant plus favorable. Ainsi, le système du warrantage qui repose sur ce principe est souvent conseillé aux producteurs comme étant une opportunité de commercialisation. Cependant, les producteurs ne sont pas certains de « gagner » à tous les coups, contrairement à d’autres acteurs. La lecture et une véritable « étude » de ce document sont absolument à conseiller à tous pour sortir des idées toutes faites ou évidentes, et mieux conseiller les producteurs pour une bonne valorisation de leurs récoltes.
Les agricultures africaines étant généralement centrées sur la famille, les productions sont d’abord mobilisées pour assurer les besoins des ménages et ne permettent pas toujours de réaliser les investissements nécessaires à l’amélioration des systèmes de production. En outre, les contraintes des exploitations agricoles africaines, telles que la difficulté d’acquisition des intrants, le recours à l’énergie
humaine et, parfois, à l’énergie animale, concourent à en limiter la productivité. Pourtant dans bien des situations, les paysans innovent, diversifient leurs productions et valorisent de nouvelles opportunités de commercialisation liées à l’accroissement de la demande des villes.
Le projet PICS a été mis en œuvre dans le cadre Livelihoods, qui est partie intégrante de la stratégie nationale de différents pays World Vision pour le bien-être des enfants, à travers la sécurisation des ménages. Ce document traite des leçons tirées de la mise en œuvre et l'utilisation hermétique des triples sacs plastiques en Afrique de l'Ouest par World Vision International
Le présent module est le quinzième du CURRICULUM D’APPRENTISSAGE POUR LA PRODUCTION ET POST-PRODUCTION DU RIZ. Il est consacré au système de riziculture intensif. Il s’agit d’une pratique introduite au Mali au début des années 2007. Il contribue à améliorer la production et la productivité du riz à travers des techniques culturales spécifiques. Le rendement moyen du riz en zones irriguée avec maîtrise de l’eau est environ 5 tonnes/ha, en zone pluviale et dans les bas-fonds environ et 1,5 tonnes / ha. Les systèmes de cultures pratiqués (préparation du sol, repiquage, fertilisation, entretien, … etc.) ne permettent pas au riz d’exprimé son vrais potentiel. Le rendement dépend de plusieurs paramètres parmi lesquels les techniques culturales, la qualité de la semence et la variété utilisée. Pour obtenir un bon rendement, il est important de mieux préparer le sol, repiquer des plants jeunes, réaliser une fertilisation équilibré et efficiente et une irrigation adaptée au besoin de la plante.
Détérioration des aliments : causes, effets et prévention, les étapes de préparation de la conservation. les différentes technique de conservation des aliments. structuration de la vente des produits conservés
L’agriculture de conservation, nom qu’on a finalement donné à ces nouvelles orientations de production agricole, était née. L’AC (écrit également ACS pour agriculture de conservation des sols), en résumé, ce sont donc les principes suivants : - Le non labour (arrêt de la charrue ; le travail du sol est simplifié, cela va des TCS au pur semis direct SD). - L’implantation de couverts végétaux d’interculture. - Une rotation diversifiée avec le plus possible d’associations végétales (dans le temps et dans l’espace). Aujourd’hui, la tendance va vers une évolution de la terminologie en préférant parfois parler d’agriculture régénérative.
L'exploitation agricole durable à petite échelle en zone urbaine. Etudes de terrains, de risques et des potentialités des cultures urbaines. Mobilisation et entretien des eaux et aspects sociaux économiques
En élaborant le présent manuel, nous avons voulu mettre à votre disposition un outil qui vous serve au mieux dans votre travail de valorisation du potentiel de l’irrigation de proximité. Depuis 2008, grâce à votre appui, votre courage et votre persévérance, nous avons pu disposer d’un document de formulation du Programme National d’Irrigation de Proximité (PNIP) dans lequel le concept d’irrigation de proximité et le mécanisme de planification pour la réalisation des aménagements sont définis.
Ce guide du formateur et de la formatrice s’adresse à toute personne qui donne des formations dans le cadre de la décentralisation et du fonctionnement des administrations territoriales. Il s’agit d’un côté des personnes qui forment et de l’autre des personnes ressources qui participent aux formations pour faire profiter le groupe de leur expertise et qui peuvent avoir des questions sur le processus de formation
« Combien ça coûte de produire un hectare de blé tendre en bio ? Et un hectare d’abricotier ? De grenache ? ». Tout conseiller ou animateur a entendu au moins une fois ce genre de question, posée à juste titre par tout agriculteur qui se renseigne sur l’agriculture biologique. Nous aurions aimé apporter au travers de ce recueil une réponse unique et définitive, mais elle n’aurait pas tenu compte de la complexité des systèmes régionaux et de leur contexte particulier. Les références technico-économiques proposés ici offrent toutefois un éclairage utile et des bases de réflexion indispensables avant et après une conversion bio. Réflexion qui peut déboucher sur d’autres questions liées à l’organisation de l’exploitation ou à l’assolement ou aux débouchés commerciaux… Ce recueil de fiches de coûts de production est le fruit de l’observation et de l’analyse de cas concrets depuis 2012. Les experts sollicités sont conseillers en Chambres d’agriculture ou référents techniques régionaux.Les données présentées ont fait l’objet d’une validation par des techniciens spécialisés et/ou des agriculteurs pour constituer un outil d’aide à la décision le plus fiable possible.
Les plantes à parfum (PàP) et les plantes aromatiques (PA) biologiques représentent en 2011 un peu plus de 1 800 hectares sur la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
La majorité des plantes à parfum et plantes aromatiques est cultivée dans les Alpes de Haute-Provence et le Vaucluse.
Aujourd’hui, les maraîchers des Alpes-Maritimes rencontrent des difficultés
avec le mildiou du basilic principalement en période d’été ou de changement
climatique.
De plus, le nombre de protections chimiques diminue d’années en années. Pour répondre à la demande des producteurs bio et conventionnels, une expérimentation au CREAT et un suivi chez un producteur en bio ont été réalisés en 2017, à travers le projet Is@m.
Ce présent guide porte sur Alt’Carpo, une méthode de protection alternative contre le carpocapse basée sur l’utilisation de filets qui établissent une barrière physique autour des arbres.
En cultures pérennes et plus particulièrement en arboriculture, on recherche d’abord à maintenir un milieu biologiquement actif avec un équilibre sol/plante garantissant une croissance puis une fructification optimale. Les vergers n’exportent que peu d’éléments minéraux comparativement aux cultures annuelles, seuls les besoins en potassium sont élevés.
Ce guide porte sur le poivron (Capsicum annuum L.), qui est une plante de la famille des Solanacées, il est de la même espèce que le piment cultivé mais est issu de la sélection de variétés dites "douces".
L’utilisation des engrais et amendements organiques en agriculture biologique repose sur le règlement communautaire (CE) n°889/2008 comprenant une liste «positive» dont le principe est que seuls les produits qui y sont listés, sont autorisés, les autres étant par défaut interdits. L’utilisation de ces produits ne doit cependant pas conduire à négliger l’entretien des principales propriétés du sol.
Olivier, Thierry et Jean Marie sont producteurs de plantes en pot à Fréjus. Jean-Marie, qui gère l’aspect production, est en recherche constante de solutions innovantes transposables à l’entreprise pour réduire l’utilisation des produits phytosanitaires. Aujourd’hui les traitements fongicides sont rares et l’introduction d’auxiliaires dans les cultures a permis de diminuer les traitements insecticides
Dans les vastes rizières de l’Office du Niger au Mali, la gestion de l’eau a longtemps été une source de tension entre les petits exploitants et l’administration. Le transfert partiel de cette gestion, avec une répartition de la maintenance des canaux entre les petits exploitants, l’Office du Niger et l’État n’a pas vraiment permis d’atteindre de meilleurs résultats. Une plateforme d’innovation établie par le programme CoS-SIS (Convergence of Sciences – Strengthening Innovation Systems) a abouti à un accord consensuel conférant le nettoyage des canaux tertiaires aux petits exploitants. Elle a aussi actualisé les règles d’expulsion des exploitants en cas de non-paiement de la redevance eau et a modifié les dispositions clefs du Contrat Plan qui régit les tâches et les responsabilités des exploitants, du personnel de l’Office du Niger et de l’État.
L’élevage pastoral représente la principale activité économique de nombreux ménages au nord du Sahel. Malgré la qualité des pâturages au cours de la saison des pluies, cet élevage est soumis à de nombreuses contraintes liées à l’irrégularité de la disponibilité fourragère, aux difficultés d’accès aux compléments alimentaires et aux soins vétérinaires qui rendent précaires les productions animales. Or la demande en produits d’origine animale est en forte augmentation du fait de la croissance démographique soutenue et de la rapide urbanisation au Sahel et dans les pays côtiers. Cette étude à pour objectif de documenter les paramètres démographiques des troupeaux et la production fourragère des parcours utilisés par l’élevage pastoral de la commune de Hombori située au nord-est du Sahel malien.
Le présent guide présente en introduction les relations entre les exploitations agricoles et leur milieu naturel, économique, social.
Il précise également la démarche nécessaire d’identification et de validation de pratiques dans les différents contextes avant leur diffusion.
Des fiches supplémentaires viennent étoffer les différentes parties du guide, notamment sur la protection phytosanitaire en arboriculture, la gestion de la fertilité du sol et les légumineuses dans les systèmes de cultures.
Ce présent guide a pour objectif de fournir des informations de base sur la
mise en place d’une installation piscicole à petite échelle en vue de satisfaire les besoins quotidiens en protéines.
Ce guide a pour objectif de faire connaître les SCV à un public élargi
• Vulgariser et contribuer à la diffusion des résultats issus de la Recherche
& Développement sur l’agroécologie
• Donner aux lecteurs une base de connaissances et des références pour
de plus amples investigations
• Présenter des études de cas destinées à donner aux lecteurs des
exemples concrets de projets réussis de mise en place de SCV dans les
pays du Sud
• Sensibiliser les acteurs locaux et les décideurs à ce système de culture
• Alimenter les prospectives de diffusion des SCV
Ces fiches sont destinées aux conseillers techniques et animateurs ayant besoin de références techniques sur les amendements organiques :
- Quel est le rôle des matières organiques dans le sol ?
- Pourquoi et comment les utiliser ?
- Auprès de quel fournisseur s’approvisionner ?
- Quelles sont les contraintes réglementaires de la
fertilisation biologique ?
- Comment pratiquer le compostage ?
Ce présent guide porte sur l'apiculture et présente une abeille, si peu connue, les produits de la ruche et parle des dangers qui menacent cet insecte essentiel et si symbolique…
Ces fiches ont pour objectif d’éclairer le maraîcher débutant sur la programmation des mises en culture, puis de l’aider à réaliser les différents travaux d’entretien depuis la fertilisation jusqu’à la vente. Elles peuvent aussi aider l'‘apprenant à élaborer son projet d’installation, en apportant un complément aux connaissances de base acquise par ailleurs.
Le présent guide porte sur les ravageurs, qui sont des organismes qui causent des dégâts aux plantes cultivées, aux stocks alimentaires ou au bois d’oeuvre et de construction.
Ce guide pratique a pour but d’appuyer les groupes d’agriculteurs producteurs de semences de riz à améliorer la qualité des semences qu’ils vont produire. Il se veut une contribution à l’amélioration de la production rizicole au Mali.
Cette présentation évalue la faisabilité de la mise en place technique et pratique d’une culture de courge derrière un engrais vert préalablement couché
En agriculture et encore davantage en agroécologie, il est intéressant de valoriser certaines substances naturelles pour les cultures. C’est le cas notamment des substances contenues dans les Préparations Naturelles Peu Préoccupantes (PNPP) définies par la Loi d’Avenir Agricole.
Le PASSIP/REAGIR dans sa composante VI «Appui à la production agricole», s'est fixé comme objectif de lever un certain nombre de défis qui permettra aux populations rurales des zones d'Irrigation de Proximité (IP) au Mali d’utiliser le potentiel économique de l'IP. Cela permettra d’augmenter leurs revenus par une agriculture productive et durable. C’est ainsi que des barrages hydro-agricoles (AHA) ont été construits dans 10 villages du Bélédougou et 6 villages du pays Dogon.
Ce guide est une synthèse pratique de connaissances sur le manguier, intégrant notamment celles acquises au cours des trois dernières années par le projet “Approche intégrée de la filière mangue à La Réunion”.
Ce guide présente les principaux insectes et acariens rencontrés sur les cultures maraîchères, fruitières et vivrières de Polynésie française. Il fournit des informations pour une reconnaissance visuelle des ravageurs ( = nuisibles, qui causent les dégâts) et des auxiliaires ( = utiles, qui tuent les ravageurs)
Ce présent guide porte sur les détails des techniques de production propres au chou pommé celles-ci n’étant guère éloignées de celles employées pour les choux chinois (Pak-choï et Pe-Tsaï).
Le présent document porte sur l'enherbement. La recherche de nouvelles pratiques agricoles durables est basée sur l’intégration de systèmes culturaux. Il s’agit donc de tenter d’utiliser toutes les ressources sur une parcelle en s’aidant des cultures associées ou en rotation ou encore des matières premières disponibles à proximité de l’exploitation.
PHYTO’AIDE est un outil d’aide à la décision évaluant les risques de transfert des pesticides vers l’environnement. Il permet à l’agriculteur d’identifier les pratiques culturales à risque en fonc-tion du pesticide utilisé et de ses conditions d’utilisation. Il va ainsi lui permettre de prendre des décisions techniques afin de limiter les risques de pollution.
Ce document a été rédigé à partir des informations recueillies en 2014 lors de 18 entretiens socio-techniques d’éleveurs de volailles de chair biologiques en filières longues (8 éleveurs) et courtes (10 éleveurs), en Bretagne, Pays de la Loire et Drôme. L’objectif de ces enquêtes, sans être représentatifs des types d’élevage, était de montrer la diversité des situations et des pratiques autour de l’élevage de volailles de chair biologiques.
La réédition suivante a pour objectif de fournir des exemples de méthodes
de luttes alternatives contre les ravageurs des cultures :
• Itinéraires techniques et méthodes culturales adaptées
• Mise en place d’une biodiversité fonctionnelle favorable à la
présence d’auxiliaires
• Traitements avec des produits homologués en bio
En règle générale, il faut retenir que plus la plante sera vigoureuse au
départ moins elle sera sensible aux ravageurs.
Cela signifie :
• de bonnes conditions lors du semis pour assurer un démarrage
rapide
• un bon fonctionnement du sol (vie du sol et fertilité)
• pas de déséquilibre favorisant le développement d’un ravageur
Ce guide a pour but d’aider les observateurs intervenant dans le cadre de la surveillance biologique du territoire (SBT) pour la production des bulletins de santé du végétal (BSV) en grandes cultures et dans la région Pays de la Loire, en regroupant en un seul ouvrage tous les éléments nécessaires à leur mission d’observateur
Le miel est une denrée alimentaire, et à ce titre, ne doit pas présenter de dangers pour le consommateur. En tant que producteur de denrées alimentaires, l’apiculteur est responsable des produits qu’il commercialise et doit mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour que ce produit soit sain. L’apiculteur est libre des moyens qu’il emploie pour atteindre cet objectif. L’apiculteur a également intérêt à connaître le mieux possible son produit (arômes, origine florale…).
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage).
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage).
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage).
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage).
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage).
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage).
Ce guide est destiné à tout apiculteur qui produit du miel extrait ou en rayons et/ou du pollen et/ou de la gelée royale, quel que soit son niveau de production. Ce type d’activité doit être considéré comme relevant de la production primaire hormis le séchage du pollen. Cependant, ce guide ne s’adresse pas à l’apiculteur qui produit uniquement pour sa consommation personnelle.
Cet ouvrage traite de l'anatomie, de la physiologie, des techniques d'élevage, des productions et des principales maladies des troupeaux d'ovins tropicaux, principalement en Afrique (sauf l'Afrique du Sud)
La mouche du chou a été introduite en Amérique du Nord probablement au début des années 1800 et elle est maintenant retrouvée partout au Canada. Cette espèce produit de 3 à 4 générations par année. Au Québec, les adultes provenant des pupes hibernantes émergent du sol de la fin avril à la mi-mai. Ceux-ci peuvent parcourir plusieurs centaines de mètres par jour pour trouver une plante-hôte. Au moment de la ponte, les œufs sont généralement déposés dans le sol à proximité de leurs plantes-hôtes, sur la tige de celles-ci ou sur le sol directement
Les larves de la mouche du chou et les chenilles de divers papillons provoquent les principaux dégâts d’insectes en
culture biologique de chou, et peuvent être responsables d’importantes pertes économiques. Cependant, une vigilance accrue et divers moyens de lutte permettent de limiter ou éviter ces dégâts. Les altises, pucerons et aleurodes peuvent également demander une attention particulière. Vous trouverez dans cette fiche quelques points de vigilance concernant les principaux ravageurs du chou.
Les pesticides éliminent les ravageurs, mais aussi leurs ennemis naturels, et une utilisation excessive peut présenter des dangers pour les agriculteurs, les consommateurs et l’environnement.
La première ligne de défense est un écosystème agricole sain..
Guide est réalisé par la fédération régional de défense contre les ennemies de culture (FREDEC) Nord-Pas-De-Calais , dans les cadres des actions du GRAPPE Nord-Pas-de-Calais
La production malienne annuelle de mangues est estimée à 100.000 tonnes globalement dont rarement plus d’un pour cent est exporté. Les principales raisons de la modestie de ce tonnage exporté sont d’ordre structurel et d’ordre phytosanitaire principalement à cause des mouches des fruits dont les dégâts sont estimés à plus de 50 % de la production.