En Afrique de l'Ouest les forages manuels sont pratiqués depuis de nombreuses décennies. Depuis les années 1960, Richard Koegel, de la FAO, en a introduit le concept au Niger. Par la suite, dans les années 1970 et 1980, vont se succéder au Niger et Nigeria, des expériences sur le développement de méthodes de forage manuel à faible coût. Ces techniques de forage vont prendre leur essor dans les années dans les années 1990 au Niger.
Les eucalyptus sont généralement considérés comme des arbres typiquement australiens. De fait, la grande majorité de très nombreuses espèces et sous-espèces d'eucalyptus sont endémiques du continent australien et des iles voisines, mais plusieurs espèces existent à l'état spontané dans la grande ile de Nouvelle-Guinée au nord de l'Australie, et certaines espèces se rencontrent dans les iles orientales de l'archipel indonésien.
Le deuxième Forum des parties prenantes de l'engrais en Afrique de l'Ouest, organisé du 18 au 20 Mai 2016 à l'auditorium du Centre de Conférence des Forces Aérienne Nigérianes (NAF Conference Centre) à Abuja, a regroupé les administrations, les utilisateurs d'engrais,les fabricants et les distributaires d'engrais de la région Ouest africain et d'autres intervenants dans le secteur des autres régions du continents du monde.
Les échanges commerciaux entre le Nigeria et ses quatre voisins immédiats (Bénin, Cameroun, Niger Lac Tchad) sont très anciens. Ils portent sur une gamme très variée de produits tant agricoles que manufacturés, produits localement ou importés du marché international. Ces transactions ont pris au fil des années des normes variées, des exportations au transit en passant par de la réexportation sur fond de contrebande quasi artificielle dans certains cas. En effet, les opérateurs économiques ont de tout temps adapté, voire ajusté, leurs stratégies à la conjoncture et aux politiques économiques conduites dans chacun des cinq pays. Celles du Nigeria se révéleront particulièrement déterminantes dans l'orientation des flux des marchandises.
Les bassins sédimentaires d’Iullemeden et de Taoudéni-Tanezrouft couvrent une superficie d’environ 2,5 millions de km². Ils sont en continuité géologique et hydrogéologique et constituent un seul ensemble qui contient plusieurs nappes d’eaux souterraines logées dans des formations géologiques aquifères datées de l’ère Primaire jusqu’au Quaternaire.