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Cadre de Politique de Réinstallation des Populations du Projet Village Intelligent au Niger
Le Projet Villages Intelligents, initié par le Gouvernement du Niger avec le soutien financier de la Banque mondiale, vise à combler la fracture numérique entre le milieu urbain et rural et accélérer le développement rural du pays grâce à la pénétration du numérique. Le PVI contribuera à la réduction de la pauvreté et des inégalités sociales par le développement des services d'administration en ligne tels que l'agriculture, la santé et l'éducation, ainsi que le renforcement de l’inclusion financière grâce une meilleure utilisation des services numériques par tous les groupes sociaux.
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La qualité des produits pharmaceutiques vétérinaires
L’objectif de ce document est d’informer le Comité consultatif technique de LEGS sur les questions ayant trait à la qualité des produits pharmaceutiques vétérinaires pour les interventions liées à l’élevage en situation d’urgence. Cela couvre les éléments de la chaîne d’approvisionnement et les produits pharmaceutiques eux-mêmes, ainsi que les préoccupations croissantes concernant la façon d’utiliser (ou de mal employer) les antibiotiques et anthelminthiques dans le contexte du problème mondial de la résistance aux antimicrobiens (RAM). Ce document de réflexion s’inspire largement des expériences et des conclusions du projet de recherches opérationnelles de LEGS intitulé « Operational barriers to applying LEGS » [Barrières opérationnelles à l’application de LEGS], d’un examen de la littérature existante et d’entretiens avec des informateurs clés issus d’agences qui travaillent dans ce secteur (Vétérinaires sans Frontières – VSF, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture – FAO, The Brooke, des universités et instituts de recherche, des formateurs LEGS, etc.). -
Réseau Billital Maroobé : Réseau de Organisations d’Éleveurs et Pasteurs de l'Afrique
Dans le cadre du processus d’élaboration du PS-RBM 2016-2021, des orientations stratégiques ont été définies en cohérence avec les initiatives et les politiques macro-économiques régionale. -
Stratégie Régionale Climat (SRC) de la CEDEAO et Plan d’actions (2022-2030)
Représentant actuellement seulement 1,8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES)2, les pays de l’espace CEDEAO contribuent de façon très faible au réchauffement climatique. Pour autant, le continent africain se situe au cœur des enjeux des changements climatiques de cette première moitié du 21ème siècle. Selon les scenarios les plus pessimistes, l’Afrique de l’Ouest connaîtra, d’ici à 2060, une augmentation de température de +2,3°C, soit un réchauffement de +0,6°C par décennie. Les précipitations seront quant à elles, plus erratiques et entraineront un accroissement de la fréquence et de l’intensité des aléas climatiques extrêmes déjà connus dans notre région : inondations, variabilité pluviométrique accrue, érosion côtière et des sols dans les bassins fluviaux, poches de sécheresse extrêmement longues, entre autres corollaires , avec des conséquences humaines et économiques dramatiques sur l'ensemble des secteurs économiques et sur les populations les plus vulnérables, dont notamment les femmes, les jeunes et les personnes âgées. -
Stratégie régionale climat (SRC) de la CEDEAO : version courte
Représentant actuellement seulement 1,8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES)1, les pays de l’espace CEDEAO contribuent de façon très faible au réchauffement climatique. Pour autant, le continent africain se situe au cœur des enjeux des changements climatiques de cette première moitié du 21ème siècle. Selon les scenarios les plus pessimistes, l’Afrique de l’Ouest connaîtra, d’ici à 2060, une augmentation de température de +2,3°C, soit un réchauffement de +0,6°C par décennie. Les précipitations seront quant à elles, plus erratiques et entraineront un accroissement de la fréquence et de l’intensité des aléas climatiques extrêmes déjà connus dans notre région : inondations, variabilité pluviométrique accrue, érosion côtière et des sols dans les bassins fluviaux, poches de sécheresse extrêmement longues, entre autres corollaires, avec des conséquences humaines et économiques dramatiques sur l’ensemble des secteurs économiques et sur les populations les plus vulnérables, dont notamment les femmes, les jeunes et les personnes âgées. -
Stratégie Nationale et du Plan d’Action en matière de Changements et Variabilité Climatiques (SNPACVC) révisée
Dans un pays sahélien comme le Niger où les impacts des risques climatiques constituent des contraintes majeures dans les secteurs clés pour le développement socio-économique, la disponibilité d’une Stratégie Nationale et Plan d’Action en matière de Changements Climatiques (SNPACC) revêt une importance capitale dans le cadre du développement durable. C’est dans cette optique que dans le cadre de la mise en œuvre de la deuxième phase du Programme Africain pour l’adaptation aux Changements Climatiques (PAA), le SE/CNEDD a entrepris la mise à jour de la Stratégie Nationale et le Plan d’Action en matière de Changements et Variabilité Climatiques (SNPACVC) qui a été élaborée en 2003. L’actualisation de cette stratégie permettra de prendre en compte certaines thématiques émergentes notamment la réduction des risques de catastrophes naturelles, la Politique Nationale en matière de Changements Climatiques (PNCC), l’Initiative « les Nigériens Nourrissent les Nigériens » (I3N) et le Plan de Développement Économique et Social 2012-2015 (PDES 2012-2015). -
Elaboration de la Stratégie Nationale de Réduction des Risques de Catastrophes au Niger
Comme toute stratégie, les orientations de la stratégie nationale de réduction des risques de catastrophe découlent d’une vision partagée et d’un processus de planification axée sur les résultats, c'est-à-dire d’une projection dans l’avenir, des changements souhaités et des étapes intermédiaires à franchir avant d’y arriver. L’ambition de la stratégie nationale de réduction des risques de catastrophe est que le Niger puisse réduire de façon significative sa vulnérabilité structurelle aux catastrophes pour entrer véritablement dans le processus du développement durable. -
Stratégie de conservation de la girafe d'Afrique de l'Ouest
Au début du XXe siècle, la girafe d’Afrique de l’Ouest (Giraffa camelopardalis peralta) était répandue du nord du Sénégal au nord-ouest du Nigeria. Dans les années 1930, l’aire de distribution était déjà réduite (Figure 1). Et dans les années 1990, il ne subsistait plus qu’une seule population au Niger. Cette population est confinée dans la zone de Kouré et Dallol Bosso Nord à 60 km à l’est de Niamey. Plus récemment, et en réponse aux contraintes alimentaires, des groupes de girafes ont commencé à migrer pendant la saison des pluies vers d’autres zones, par exemple plus au nord vers Fandou et Ouallam (Ciofolo et al., 2000 ; AWF 2013 ; Giraffe Conservation Foundation 2015). -
Stratégie de développement et de sécurité dans les zones Sahélo-sahariennes du Niger
La SDS Sahel-Niger a été conçue sur la base d’une analyse participative profonde et réaliste de la problématique spécifique relative aux conditions de sécurité et au développement des Zones Sahélo - Sahariennes du Niger. Aussi, au regard des défis et enjeux majeurs qu’elle entend prendre en charge à tous les niveaux (local, national et international), cette initiative du Gouvernement du Niger a vocation à être intégrée dans le cadre d’une contribution au développement d’une synergie régionale et à la convergence des efforts ciblant la sécurité et le bien – être individuel et collectif des populations qui vivent sur l’ensemble des pays de la bande sahélo – saharienne. -
Stratégie de gestion de l’information et des connaissances
Pour assurer l’intégration des changements climatiques dans les processus de planification à moyen et long termes, le Gouvernement du Niger a lancé le processus de formulation et de mise en œuvre de son Plan National d'Adaptation (PNA) en mai 2014. Soutenu par le Fonds Vert pour le Climat (FVC), à travers le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), le projet « Faire progresser la Planification et la Budgétisation de l’Adaptation en moyen et long terme au Niger » vise à éliminer les principales barrières et à compléter les activités de renforcement des capacités en cours en matière de prise en compte des changements climatiques dans la planification et la budgétisation du développement. La formulation et la mise en œuvre d’une stratégie de gestion de l'information et des connaissances est l’une des activités identifiées pour l’atteinte des résultats du projet, qui tire ainsi les leçons des insuffisances en matière de capitalisation du Plan d’Action National d’Adaptation (PANA). -
La gestion des déchets solides ménagères à Niamey au Niger : essai pour une stratégie de gestion durable
Après avoir observé le phénomène et analysé le contexte général de la gestion des déchets à Niamey, qui comme dans toutes les villes sahéliennes en Afrique de l’Ouest, constitue une préoccupation majeure pour les responsables de la ville comme pour les citadins, nous avions constaté la cohabitation de deux systèmes de gestion, à savoir : - l’un « moderne » (formel), à l’identique des pays industriellement développés, c’est à dire une collecte fortement mécanisée, réalisée tant bien que mal par la municipalité; - et l’autre « communautaire » qui se définit comme un système pris en charge par les usagers. La singulière mise en évidence de deux systèmes qui cohabitent, met en lumière les problèmes rencontrés dans la maîtrise de la croissance de la ville et surtout des problèmes financiers qu’a connu et que continue de connaître la municipalité. -
Stratégie mondiale pour l'amélioration des statistiques agricoles et rurales
Les décideurs politiques et les responsables du développement chargés de développer des stratégies d’investissement pour promouvoir la croissance économique doivent faire face à de nombreux défis de mutations et de changements qui affectent l’agriculture du XXIe siècle. L’agriculture, en plus de son rôle productif de fournir des aliments, des vêtements, du carburant et des logements pour répondre aux besoins de la population mondiale sans cesse croissante, joue d’autres rôles essentiels dont l’importance est de plus en plus reconnue. En plus de son rôle clé au niveau de la sécurité alimentaire, le développement agricole est perçu comme une source vitale ayant un impact important sur la réduction de la pauvreté. Cependant, l’agriculture est également vue comme une source qui génère des problèmes environnementaux et contribue au réchauffement climatique, à la rareté de l’eau, la pollution et la dégradation de la terre. Son potentiel en tant que fournisseur de services environnementaux doit donc être défini, suivi et évalué. La majeure partie des problèmes et des développements que connaît le secteur agricole transcende les frontières nationales. -
Stratégie Nationale et plan d'action en matière d'échange d'information sur la biodiversité du Niger (2014-2020)
En application de la CDB qu’il a signée et ratifiée, le gouvernement du Niger met en œuvre depuis 1998 une stratégie et un plan d’actions en matière de diversité biologique. Elle avait été élaborée sur la base d’un état des lieux sur la Diversité Biologique au Niger. Aussi, la SNPA_DB visait trois objectifs spécifiques déclinés à travers 118 actions et couvrant les principaux domaines de la DB. -
Document de la stratégie de communication et d'un plan de communication du Projet d'Appui au Pastoralisme (PRAPS) Niger
L’objectif de développement (PDO) du PRAPS, vise à améliorer l’accès à des moyens et services de production essentiels et aux marchés pour les pasteurs et agropasteurs dans des zones transfrontalières sélectionnées et le long des axes de transhumance dans les six pays du Sahel, et d’améliorer la capacité de ces pays à répondre à temps et de façon efficace en cas de crises pastorales ou d’urgences. -
Niger 2035 : Un pays et un peuple prospères. Tome - II : Scénarii, Vision et Orientations Stratégiques - Stratégie de Développement Durable et de Croissance Inclusive (SDDCI)
Le diagnostic relève que le Niger dispose des atouts significatifs, en particulier, son potentiel humain, ses ressources agro sylvo pastorales et halieutiques et minières, la résilience de sa population et la ferme volonté politique qui anime ses élites. Mais il a été également souligné dans ce diagnostic, l’ampleur des contraintes qui pourraient entraver la réalisation des objectifs de développement et la mise en œuvre des réformes qui s’imposent. -
Stratégie de développement durable et de croissance inclusive (SDDCI) Niger 2035
Cette stratégie de long terme est portée par le peuple nigérien dans toutes ses composantes ainsi que par ses dirigeants à tous les échelons. Ce condensé met en exergue les éléments suivants : le processus d’élaboration de la SDDCI Niger 2035, les défis de développement, la vision à l’horizon 2035, l’objectif de développement, les résultats stratégiques, les axes stratégiques, les risques, les mécanismes de mise en œuvre et le suivi-évaluation. -
Système d’information environnementale dans la sous-région sahélienne
Le SIE vise le renforcement des capacités nationales et régionales en vue d'améliorer la disponibilité, la fiabilité, la stabilité de l'information et l'accessibilité de cette information qui doit alimenter les stratégies et politiques de Gestion des Ressources Naturelles et de l'Environnement au Sahel. -
La nouvelle Stratégie de la Grande Muraille Verte
L'élaboration de cette nouvelle stratégie et de son plan décennal de mise en œuvre a été précédée d'une analyse FFOM (Forces, Faiblesses, Opportunités et Menaces) détaillée, qui a été partagée avec un grand nombre de parties prenantes afin de recueillir leurs commentaires et leurs contributions. La stratégie définit la mission, la vision, les valeurs et les principes directeurs pour la prochaine décennie (2023-2030). Concernant les valeurs et les principes directeurs, la nouvelle stratégie promeut l’approche axée sur les liens (approche « nexus »). Elle met l'accent sur le lien entre gestion durable des terres, de l’eau et des sols, intégrant la conservation de la biodiversité et la gouvernance à travers les secteurs et les échelles. Cette approche repose sur l'idée que les ressources environnementales sont liées entre elles.