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Récupération de terres : Le site de Guidda pour tirer des enseignements. Note de travail
Le site présenté est sur un plateau situé dans la Commune de Hamdalaye à 45 km de Niamey sur la route de Filingué, après Hamdalaye. La plaque routière porte le nom de Guidda. Il comprend des réalisations du Programme d’Actions Communautaires (PAC) -
ALERTE / Tuta absoluta a refait son apparition sur les tomates
En février 2013, les premières attaques de la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) avaient été signalés dans des parcelles du village de Bourbourkabé situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. Par la suite, il est apparu que ce nouveau ravageur était également présent dans les régions d’Agadez, Niamey et Tillabéri. Les dégâts enregistrés par les producteurs ont été très importants dans de nombreuses localités. -
Quelques repères pour cerner la spécificité et les différentes dimensions de ce que l’on appelle une « exploitation familiale »
Cette note est tirée d’un document de l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) intitulé « Ce qu’ont appris les exploitation familiales des membres de l’APESS » rédigé par Loïc Barbedette en mars 2013. -
Document de démarrage équipe chaine de valeur Proposition : Liste brute des filières (chaînes de valeur) à analyser Commentaires 3 / filière sésame
Dans le cadre du démarrage des études préalables rentrant dans le cadre de l’identification de la deuxième phase de l’appui au secteur agricole de la coopération danoise, une étude sur les chaînes de valeur est en cours. L’objectif de cette étude est de mener une analyse des chaînes de valeur du secteur agricole afin de proposer des axes d’orientation pour la formulation du nouveau programme. Les produits permettront d’alimenter la rédaction du document du programme d’appui et de description des composantes. Le RECA a commencé la rédaction de notes pour chacune des chaînes de valeur qui ont été retenues lors de la réunion de cadrage de l’étude, à partir de son expérience et de celle des Chambres d’Agriculture. -
Document de démarrage équipe chaine de valeur Proposition : Liste brute des filières (chaînes de valeur) à analyser Commentaires 4 / filière arachide
Dans le cadre du démarrage des études préalables rentrant dans le cadre de l’identification de la deuxième phase de l’appui au secteur agricole de la coopération danoise, une étude sur les chaînes de valeur est en cours. L’objectif de cette étude est de mener une analyse des chaînes de valeur du secteur agricole afin de proposer des axes d’orientation pour la formulation du nouveau programme. Les produits permettront d’alimenter la rédaction du document du programme d’appui et de description des composantes. Le RECA a commencé la rédaction de notes pour chacune des chaînes de valeur qui ont été retenues lors de la réunion de cadrage de l’étude, à partir de son expérience et de celle des Chambres d’Agriculture. -
Les étiquettes des pesticides ne donnent pas satisfaction : il faut les remplacer par des fiches techniques adaptées aux utilisateurs
Les premières investigations et notes du RECA indiquent que les pratiques des agriculteurs pour la protection des cultures irriguées et l’utilisation des pesticides ne sont globalement pas bonnes, au détriment des producteurs eux-mêmes (santé et revenus) et des consommateurs. Ceci est confirmé par la plupart des partenaires intervenant en appui aux producteurs. -
DANGER / Tuta absoluta, un nouveau ravageur de la tomate identifié au Niger
Le village de Bourbourkabé est situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. C’est une zone de production maraîchère isolée (loin de la route) où les producteurs sont spécialisés depuis des années sur la culture de la tomate. Au cours d’une visite des techniciens du RECA, le 20 février 2013, les producteurs ont signalé des attaques très importantes de leurs tomates. Effectivement, la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) était fortement présente. Mais les producteurs ont déclaré qu’il y avait une seconde chenille, apparue cette année pour la première fois, qui cause beaucoup plus de dégâts. Ils ont pu montrer la chenille sur feuille et sur fruit, ainsi que son papillon. -
La production de la pastèque dans le département de Guidan Roumdji (Maradi)
La pastèque, KANKANA en Haoussa, appartient à la famille des cucurbitacées. D’origine africaine, elle est riche en eau et a une saveur sucrée. La pastèque de Guidan Roumdji a acquis une réputation compte tenu de ses qualités et du savoir-faire des producteurs et elle est bien prisée par les consommateurs locaux mais aussi étrangers. Elle arrive à concurrencer celle des pays voisins dont le Nigeria. De l’avis de ce jeune producteur, la culture de la pastèque est pratiquée en deux saisons : la culture pluviale, plus développée dans la commune de Guidan Sori, et la culture de contre saison développée sur tout le long du Goulbi Maradi, donc dans la commune de Guidan Roumdji. -
Amélioration de la production de niébé au Niger
L’objectif de développement du programme est de générer et d’accélérer l’adoption de technologies améliorées dans les domaines des filières agricoles prioritaires retenus par le Niger, conformément aux priorités dégagées par le Conseil Ouest et Centre africain pour la recherche et le développement agricoles (CORAF). Ces domaines portent sur les filières agro sylvo-pastorales -
Enjeux de l’agriculture de conservation (ac) en zones de montagnes au Maroc
Cette présente note porte sur les enjeux de l’agriculture de conservation (ac) en zones de montagnes au Maroc -
Semences de tomate disponible au Niger: première version
Au Niger la tomate est une culture de grande consommation très prisée par les consommateurs. Elle est cultivé dans toutes les régions. Cependant les productions demeurent beaucoup plus faibles pendant la période de la saison sèche et la période d'hivernage -
Transformation de l’oignon : l'oignon déshydraté
La transformation de l’oignon afin d’augmenter la valeur ajoutée dans cette filière est un thème qui revient systématiquement dans les rencontres, réflexions, plans d’action ou documents de projet. Pour l’oignon, il est essentiellement question « de séchage ». Le RECA a effectué une petite recherche sur les produits transformés obtenus en France à partir de séchage des oignons. Il s’agit d’oignons déshydratés. C’est juste pour avoir une idée sur ces produits, leurs utilisations et comment ils sont fabriqués. -
Exportations d’oignons des pays de l’Union européenne vers les pays de la CEDEAO en 2012
Présentation des données commerciales en provenance d’EurostatCe tableau présente l’ensemble des exportations d’oignons au départ de l’Europe vers les pays de la CEDEAO (donc sans la Mauritanie). Les Pays Bas (le plus souvent appelés Hollande) représentent 99,2% des volumes exportés, c’est pourquoi il est mentionné les « exportations hollandaises ».
Les chiffres présentés dans cette note sont tirés de la base de données Eurostat, qui présente les statistiques commerciales de l’Union européenne. Ces chiffres ont été traités (tableaux et graphes) par David Ivanovic, expert en commerce agricole (david.ivanovic1@gmail.com). Les commentaires sont du RECA. -
Ce qu'ont appris sur les exploitations familiales des membres de l'APESS, 34 premiers bilans réalisés en Afrique de l'Ouest et en Afrique Centrale
L'APES a pris une orientation nouvelle en 2011 l'appui à la transformation des exploitations familiales d'éleveurs dans sa stratégie la promotion de l'élevage en zone soudan-sahéliennes. Une étude réalisée l'année précédente sur la situation de l'élevage et des éleveurs en Afrique Centrale dans le cadre de laquelle des bilans simplifiés d'exploitations familiales d'éleveurs avaient déjà été conduit au Tchad, au Nigeria et au Cameroun, avait préparé cette évolution. -
Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne ?
En Afrique subsaharienne, les arrivées annuelles sur le marché de l’emploi devraient atteindre 32 millions d’actifs d’ici à 2050, soit près du double de celles de 2010, et sur l’ensemble de la période 2010-2050, la population active potentielle devrait doubler voire tripler dans 41 des 48 pays. Cette population est toujours majoritairement rurale et le plus souvent employée dans le secteur de l’agriculture, qui reste le plus gros pourvoyeur d’emplois. La plupart des emplois est constituée d‘exploitations familiales qui commercialisent de petites quantités de produits, ce qui rend complexe l’organisation d’un système d’approvisionnement pour une entreprise alimentaire, plus particulièrement pour les unités industrielles ou les petites et moyennes industries. L’agriculture devra donc gérer ce surplus de main d’œuvre rurale. -
L’usage de la bonification d’intérêt pour les crédits agricoles
Le 15 janvier 2013, dans le cadre de son Groupe de travail sur le « financement de l’agriculture », Inter-réseaux Développement rural a organisé, avec l’Agence Française de Développement (AFD), un après midi de présentation et de débat autour du rapport intitulé « Etude sur l’usage de la bonification d’intérêt pour le développement des crédits agricoles » et réalisé par le bureau d’études HORUS Developpement Finance en 2012. Cette étude sera publiée prochainement par l’AFD. 23 personnes ont participé aux échanges animés par François Doligez, membre du Conseil d’administration d’Inter-réseaux. Cette note reprend les éléments principaux de cette rencontre. -
Violet de Galmi : des semences du monde entier dans les boutiques du Niger
Suite à la révision en 1999 de l’Accord de Bangui, notamment par l’ajout de l’annexe X consacrée à la protection des obtentions végétales, les États membres de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI), dont le Niger, ont été appelés à bénéficier des dispositions transitoires en enregistrant leurs variétés anciennes via des Certificats d’obtentions végétales (COV), permettant ainsi la reconnaissance du droit de propriété au pays qui l’abrite. -
Le système d’information sur la filière sésame du Burkina Faso
Dans cette note, le RECA vous propose un aperçu des informations dont ont bénéficié les acteurs de la filière sésame au Burkina Faso et les liens nécessaires pour approfondir ces informations. Ce sont des idées à réfléchir, éventuellement, pour nos programmes au Niger. -
Les semences de Violet de Galmi du Niger absentes des boutiques d’intrants ?
Dans le numéro précédant des « brèves du RECA » (numéro 8), il avait été indiqué que les fournisseurs de semences installés dans le marché de Harobanda à Niamey proposaient des semences d’oignon « violet » mais importées du Sénégal. Le Niger compte environ 1.000 boutiques d’intrants (BI) qui sont des structures associatives ou coopératives autonomes, éventuellement groupées en réseau, propriétés des organisations de producteurs (OP, union ou fédération) et gérées par les producteurs. -
Liste des notes et documents sur la filière oignon sur le site du RECA (32)
Cette liste fournie les liens des ressources sur la filière oignon mises en ligne sur le site du RECA. -
L’utilisation de « poudres » pour la protection des certaines cultures maraîchères : une pratique trop répandue et à éliminer
Entre janvier et mars 2013, le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture ont effectué un inventaire des produits phytosanitaires disponibles sur les marchés du Niger. Cet inventaire n’a pas la prétention d’être exhaustif mais il permet d’avoir une première idée des pesticides disponibles et utilisés par les producteurs sur les cultures maraîchères. Ce travail a été réalisé dans le cadre du partenariat PPAAO- RECA et a bénéficié de la collaboration du PROMAP dans les régions de Tahoua et Tillabéri. -
Le moringa, en plus des feuilles, les graines et l’huile sont de plus en plus demandées
Le RECA a reçu la visite de Monsieur Philippe Arnold, Secrétaire Général de la Fondation Dreyer, une ONG allemande installée au Burkina Faso. Il était en visite au Niger pour rencontrer des structures ou personnes ayant des informations ou des connaissances sur le moringa et sur son marché au Niger. Cette note est écrite pour partager les informations et échanges que le RECA a eu avec ce visiteur. -
La protection phytosanitaire du Moringa / Quels conseils aux producteurs ?
Le moringa (el maka en Haoussa et windi boundou en Zarma) est une culture très importante au Niger avec deux grands bassins de production, autour de Niamey et dans la région de Maradi. La production du moringa a augmenté régulièrement ces dernières années. Les visites et échanges avec des producteurs des différents sites de production, autour de Niamey, indiquent une pression parasitaire de plus en plus forte avec des pertes de production importantes. Les producteurs se plaignent particulièrement d’un ravageur qui mange les feuilles. Celles-ci peuvent entièrement disparaitre de l’arbuste laissant les branches nues. Sur la photo ci- dessous, le vert des feuilles a été mangé et il ne reste que le « squelette » blanc. -
Développement de l'Industrie agroalimentaire pour la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté
L’ONUDI, qui est l’un des parrains de la Facilité d’Assistance Technique (TAF) du Fonds Africain pour l’Agriculture (AAF), encourage une offre de services d’assistance technique de qualité dans le secteur de l’industrie agroalimentaire en Afrique. La TAF a été créée pour étendre la portée, en matière de développement, des investissements privés de l’AAF, un fonds de capital investissement équitable créé pour accroître et diversifier la production et la distribution alimentaire en Afrique. L’ AAF est financé par des institutions financières européennes et africaines pour le développement et géré par Phatisa, une compagnie de gestion de fonds privés basée en Afrique du Sud. -
Note de synthèse sur la situation pastorale dans la zone transfrontalière Mali/Niger/Burkina Faso
La présente note présente une synthèse des éléments saillants contenus dans les rapports qui ont été élaborés par les points focaux de trois organisations membres des Antennes nationales du Réseau Billital Maroobè (RBM) implantées au Burkina Faso, au Mali et au Niger1. A travers la mise en place d'un dispositif de veille informative, le RBM cherche à apporter un appui à des communautés pastorales qui sont confrontées à une situation de conflit et aux effets induits par le changement et la variabilité climatiques. -
L’introduction d’acacias australiens pour réhabiliter des écosystèmes dégradés est-elle dépourvue de risques environnementaux ?
L’utilisation d’essences forestières exotiques et plus particulièrement des arbres à croissance rapide (acacias, pins ou eucalyptus) a été fréquemment recommandée pour réhabiliter et restaurer à brève échéance des milieux dégradés suite à des événements naturels ou à des activités anthropiques. L’incidence sur l’environnement de l’introduction de ces espèces, parfois envahissantes, est surtout évaluée pour leur impact sur la biodiversité végétale et les caractéristiques physico-chimiques des sols, mais rarement en ce qui concerne la composition de la microflore. Les micro-organismes, et plus particulièrement les champignons mycorhiziens, jouent un rôle clé vis-à-vis des mécanismes biologiques régissant la fertilité chimique des sols et leur productivité, facteurs de stabilité des écosystèmes terrestres. L’approche retenue a été de décrire l’incidence de l’introduction d’essences exotiques sur les caractéristiques biologiques des sols, ainsi que les conséquences sur la reconstruction d’un couvert végétal composé par des espèces natives du milieu d’origine. -
Comment l'assurance agricole peut améliorer la sécurité alimentaire et pourquoi la réglementation est importante
L’assurance est un outil de gestion des risques important. L’assurance agricole peut protéger les producteurs en couvrant les pertes dues à des phénomènes climatiques défavorables. Elle peut ainsi contribuer à maintenir leur niveau de revenu et leur permettre de poursuivre leur activité agricole même si une récolte a été perdue. L’assurance agricole peut également aider les agriculteurs à accéder au marché du crédit et à obtenir ainsi des financements pour la production alimentaire ; le crédit peut jouer un rôle de catalyseur de la croissance économique, par exemple en permettant aux producteurs d’acheter de nouveaux équipements, des engrais, ou des semences en volume supérieur ou de meilleure qualité pour accroître leur production. -
Gestion des intrants et genre au Niger
Ce document est une étude de cas sur le genre et le warrantage au Niger. Se basant sur les recherches approfondies des équipes des projets Capitalisation et IARBIC, la présente étude donne en détail les informations sur le warrantage et le genre appliqués par l’union Cigaba de Konkorindo, à Dosso au Niger. -
Niger et Burkina Faso : quatre années de capitalisation d’expériences
Les méthodologies de capitalisation reposent sur un processus d’apprentissage participatif qui s’est déroulé avec la collaboration de nombreux partenaires. La thématique de la gestion des intrants a été revisitée sous toutes ses coutures, tout d’abord pour les aspects genre, et ensuite pour la capitalisation d’expériences. Le projet a ainsi abouti à des produits thématiques sur la gestion des intrants et des méthodologies participatives qui peuvent être utilisés dans les organisations et projets pour capitaliser leurs expériences. -
La transformation du niébé : des innovations en cours de mise au point
L’approvisionnement via le marché représente 60 % de l’ensemble de la consommation alimentaire au Niger. Le marché alimentaire nigérien représenterait une valeur de l’ordre de 1,2 à 1,6 milliards de dollars soit 500 à 700 milliards de F.CFA. -
Prix de gros des produits maraichers sur les marchés de Niamey
Ce travail de suivi des prix de gros sur les marchés est réalisé de manière hebdomadaire par le RECA sur les principaux marchés de gros de Niamey (Djémadjé, Katako et Harobanda). Les prix relevés sont ceux des unités de mesure ou conditionnement utilisées pour la vente en gros. Il s’agit de cartons, de paniers dénommés « tchila », de sacs de différentes tailles ou de caisses en bois. -
La gestion viable des espaces nus forestiers : ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut surtout pas faire
Ce guide propose une aide méthodologique et technique pour les intervenants en gestion simplifiée des forêts villageoises au Niger. Ces dernières années, la gestion des espaces nus (dans les formations forestières de plateaux, de bas-fonds et de plaines) se pratique de plus en plus de manière intensive sans que les intervenants disposent toujours des références scientifiques, techniques et méthodologiques nécessaires pour augmenter l’efficacité des actions mécaniques et de la réactivation des processus biologiques. La version intégrale du guide « Le Parfait Aménagiste Forestier » est en ligne sur le site du RECA. -
Productivité agricole : des motifs d’inquiétude ? (I) Les concepts
Pour renforcer la sécurité alimentaire mondiale et augmenter les revenus et l’emploi dans les pays en développement, la plupart des experts et des décideurs politiques appellent à accroître, de manière durable, la production et la productivité de l’agriculture. La nécessité d’augmenter la production fait quasiment consensus. Mais quelles sont exactement les raisons qui incitent à améliorer la productivité agricole? Les inquiétudes exprimées à son égard (ralentissement de la croissance des rendements, impact négatif sur l’environnement ou encore réduction du nombre d’exploitations) sont-elles justifiées ? Compte tenu de l’ampleur du sujet, FARM a décidé d’y consacrer deux numéros de Notes. Le premier (Notes no 7) explore le concept de productivité agricole, ses déterminants et ses limites. Le second (Notes no 8) examinera les principales préoccupations liées à la productivité agricole et mettra en perspective les débats qu’elle suscite.