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Techniques de production des cultures irriguées -- Moringa (cahier du formateur)
Destiné aux prestataires publics et privés chargés du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la petite, ce cahier de formateur qui traite des techniques de production du moringa à savoir:
1 -- Généralités sur la culture de Moringa au Niger;
2 -- Conduite d’une pépinière de culture de Moringa;
3 -- Opérations de conduite de la culture du Moringa;
4 -- Description des techniques de production locale de semences de moringa
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Parklands for buffering climate risk and sustaining agricultural production in the Sahel of West Africa
In the Sahelian zone of West Africa, crops grown under a discontinuous cover of scattered trees dominate many landscapes and constitute the so-called parklands. These systems reflect the ecological knowledge of the farmers of such risk prone environments. Agroforestry parklands are playing an important role, through trees and shrubs providing soil cover that reduces erosion and buffers the impacts of climate change. They also provide green fodder that complements crop residues for livestock feeds, and fruits and leaves for human consumption and for income generation. The interactions between various components of the system influence the ecosystem service functions of trees of parklands (provisioning, regulating and supporting services) in several ways. These ecosystem functions have beenat the center of the local ecological knowledge guiding the management options of the farmers and have also attracted the attention of scientists. Findings revealed new challenges that call for production options ensuring increased and diversified productivity of the systems while preserving the environment. Research on such challenges must adopt an inclusive approach based on local knowledge supported by science-based analyses of the socio-ecological systems in the face of high population pressure and climate change.
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Récupération de terres : Le site de Guidda pour tirer des enseignements. Note de travail
Le site présenté est sur un plateau situé dans la Commune de Hamdalaye à 45 km de Niamey sur la route de Filingué, après Hamdalaye. La plaque routière porte le nom de Guidda. Il comprend des réalisations du Programme d’Actions Communautaires (PAC) -
L’agriculture de conservation
Alors que toute l’histoire de l’agriculture consiste, concrètement et symboliquement, à travailler la terre, la réduction du travail du sol est aujourd’hui présentée par certains acteurs comme un levier intéressant pour améliorer les performances des systèmes agricoles. Cette réduction, voire suppression du travail du sol, est emblématique des systèmes dits en «agriculture de conservation». Mais cette dénomination générale cache en fait une grande diversité de pratiques. Quelles sont les implications de ces pratiques pour le fonctionnement des systèmes de culture? Quelles conséquences réelles ont-elles sur les performances économiques, sociales et environnementales?Et qu’en est-il des potentialités de généralisation de ces systèmes en France?
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ALERTE / Tuta absoluta a refait son apparition sur les tomates
En février 2013, les premières attaques de la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) avaient été signalés dans des parcelles du village de Bourbourkabé situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. Par la suite, il est apparu que ce nouveau ravageur était également présent dans les régions d’Agadez, Niamey et Tillabéri. Les dégâts enregistrés par les producteurs ont été très importants dans de nombreuses localités. -
Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation ?
Au sahel, les cultures subissent une pression parasitaire très importante, surtout celle exercée par les nématodes sur les cultures maraichères. Avec l’intensification de l’irrigation, ces ravageurs sont actuellement devenus un des problèmes phytosanitaires les plus préoccupants sur les cultures, à tel point que certains n’hésitent pas à les qualifier d’ennemis des maraichers ou de ravageurs sournois car leurs attaques passent le plus souvent inaperçues. -
Le sésame dans le département d’Aguié au Niger : analyse d’une culture aux atouts non-négligeables dans une zone agricole à forte potentialité
Les conditions agro-écologiques sahéliennes et le contexte socio-économique constituent les principaux facteurs qui influencent la dynamique des systèmes de production agricole de la zone d’Aguié au centre du Niger. Dans cette région, l’augmentation de la pression démographique et la compétition pour les ressources naturelles entre les cultures et les animaux accentuent la pression foncière. Les faibles superficies par habitant engendrent un remaniement des systèmes agraires. Les agriculteurs privilégient des cultures à la fois vivrières et de rente. Pour eux, la diversification des cultures est une des stratégies de minimisation des risques et de sécurisation du foncier. Cet article étudie l’intérêt de la culture du sésame dans la région d’Aguié. Il a été réalisé à partir d’une revue bibliographique, de données des services techniques du département d’Aguié et d’enquêtes et d’observations auprès de producteurs et des organisations concernées. Il en ressort que la culture du sésame constitue une opportunité pour sécuriser les besoins alimentaires et financiers des ménages locaux. De par la proximité de la région avec le Nigéria, cette culture est un atout économique pour les ménages ; comme le prouve l’analyse de ses comptes d’exploitation. -
Quelques repères pour cerner la spécificité et les différentes dimensions de ce que l’on appelle une « exploitation familiale »
Cette note est tirée d’un document de l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) intitulé « Ce qu’ont appris les exploitation familiales des membres de l’APESS » rédigé par Loïc Barbedette en mars 2013. -
Atelier / Rencontre Indications géographiques et marques, les questions qui se posent
A la demande du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), un atelier d’échanges sur les Indications Géographiques a été organisé par le RECA en marge de la Journée nationale de l’oignon dans les locaux du SNAD le 26 juin 2013. Le thème de cet atelier a porté sur les Indications géographiques et marques, les questions qui se posent ? Le souci du choix de ce thème pour le PPAAO est de permettre aux responsables des organisations professionnelles agricoles de mieux comprendre le contenu des IG, les relations avec les marques et les questions de synergie avec les autres projets ayant des composantes IG comme le PRODEX, au regard d’expériences d’autres pays. -
Etude économique de la culture du poivron dans les exploitations agricoles familiales de la région de Diffa, cas du village de Kayowa.
La présente étude économique de la culture du poivron dans la région de Diffa a duré 6 mois de Juillet 2012 à Janvier 2013. Elle a pour objectif de déterminer les avantages et les coûts occasionnés la culture afin d’en déduire la rentabilité au plan économique, cela par l’analyse et la comparaison des comptes d’exploitation de différents types des producteurs choisi au hasard selon la méthode de tirage aléatoire. Ainsi au total 30 producteurs sont concernés. Les informations collectées à l’aide des questionnaires sont analysées avec le classeur EXCEL et logiciel Arc-view. Les résultats issus de cette étude montrent que les producteurs du village de Kayowa sont classés en trois (3) catégories : Petits producteurs, ceux qui exploitent moins de 2 ha (67%), producteurs moyens, qui exploitent entre 2 et 3 ha (23%) et grands producteurs qui exploitent plus de 3 ha (10%). La superficie totale exploitée par l’ensemble des producteurs enquêtés est de 53,43 ha. Les dépenses culturales sont liées à la réalisation des moyens d’exhaure et achat des matériels de captage d’eau, aux travaux d’entretiens et achat des matériels agricoles, aux intrants agricoles, aux carburants et à la main d’œuvre. -
La barrière mécanique anti-érosive influence la colonisation des dunes par les espèces végétales
Le Sud-est du Niger est soumis au phénomène d’érosion éolienne. Dans la zone de Gouré, les cuvettes oasiennes, principales sources de productions agricoles et de revenus, sont menacées de disparition à cause de l’ensablement. Plusieurs méthodes de fixation des dunes ont été testées mais les résultats restent mitigés. Dans cette étude, une barrière mécanique, à base des palissades confectionnées avec des branchages de Leptadenia pyrotechnica est utilisée pour évaluer son efficacité dans la lutte contre l’érosion du sol et dans la restauration de la végétation. Trois années après la mise en place de cette barrière anti-érosive, une végétation spontanée de 58 espèces appartenant à 20 familles dont 17 pérennes, s’était installée à l’intérieur du clayonnage, soit 42 espèces de plus que dans les zones non traitées. Au fil des ans, la composition floristique s’est progressivement stabilisée, témoignant ainsi d’une réduction notable des perturbations du milieu engendrées par le vent. -
Formation des préposés des Eaux et Forêts - Cours d’apiculture
Depuis toujours les populations africaines ont recueilli le miel en allant le chercher directement dans les nids des abeilles sauvages établis dans les arbres de la forêt en détruisant les colonies. Ainsi, l’apiculteur, au départ était chasseur de miel et de cire et ne s’est intéressé que très peu à l’étude détaillée de abeilles. Les anciens pensaient que le miel venait du ciel. Ce n’est qu’à la fin du xv° siècle que l’on commence à étudier les abeilles. Au début du XVII° siècle, l’invention du microscope change les méthodes et deux italiens publient en 1625 ‘’Apiarium’’ dans lequel on découvre la description microscopique de toutes les espèces d’abeilles connues à cette époque. Le hollandais Schwmmerdam fut le premier à mettre en évidence la présence de la reine, mère de la colonie. L’apiculture est l’art et la Science de l’élevage des abeilles et des soins à donner aux abeilles afin d’obtenir de leur travail dirigé, le miel, la cire, le pollen et la gelée royale ; produits de la ruche. Elle nécessite de l’adresse, de l’habileté, de la patience, des connaissances et de l’expérience. -
Document de démarrage équipe chaine de valeur Proposition : Liste brute des filières (chaînes de valeur) à analyser Commentaires 3 / filière sésame
Dans le cadre du démarrage des études préalables rentrant dans le cadre de l’identification de la deuxième phase de l’appui au secteur agricole de la coopération danoise, une étude sur les chaînes de valeur est en cours. L’objectif de cette étude est de mener une analyse des chaînes de valeur du secteur agricole afin de proposer des axes d’orientation pour la formulation du nouveau programme. Les produits permettront d’alimenter la rédaction du document du programme d’appui et de description des composantes. Le RECA a commencé la rédaction de notes pour chacune des chaînes de valeur qui ont été retenues lors de la réunion de cadrage de l’étude, à partir de son expérience et de celle des Chambres d’Agriculture. -
Document de démarrage équipe chaine de valeur Proposition : Liste brute des filières (chaînes de valeur) à analyser Commentaires 4 / filière arachide
Dans le cadre du démarrage des études préalables rentrant dans le cadre de l’identification de la deuxième phase de l’appui au secteur agricole de la coopération danoise, une étude sur les chaînes de valeur est en cours. L’objectif de cette étude est de mener une analyse des chaînes de valeur du secteur agricole afin de proposer des axes d’orientation pour la formulation du nouveau programme. Les produits permettront d’alimenter la rédaction du document du programme d’appui et de description des composantes. Le RECA a commencé la rédaction de notes pour chacune des chaînes de valeur qui ont été retenues lors de la réunion de cadrage de l’étude, à partir de son expérience et de celle des Chambres d’Agriculture. -
Quelques nouvelles variétés du niébé précoces productives et résistantes aux ravageurs
Le niébé, Vigna unguiculata (L.) Walp est la principale culture légumière au Niger. Chaque année plus de 5 millions d’hectares sont emblavés avec une production de 1.5 millions de tonnes. Cette légumineuse réprésente le quart de la production agricole nationale et 80% des productions de rente (MAG, 2012). Le niébé est aussi une culture d’importance alimentaire par sa teneur en protéine 3 à 4 fois plus élevée que celle du mil ou du sorgho. C’est donc une culture à promouvoir en raison de son importance économique et sociale, mais ses rendements en milieu paysans sont bas en raison des facteurs suivants : 1) l’inadaptabilité des variétés locales, 2) les attaques des ravageurs, 3) le faible niveau de fertilité des sols. La présente fiche technique présente quelques génotypes de niébé et les conseils d’utilisation pour l’amélioration de la sécurité alimentaire des producteurs nigériens. -
Guide d’exportation « cuirs et peaux »
Le Projet de Développement des Exportations et des Marchés Agro-Sylvo-Pastoraux (PRODEX) est une initiative du Gouvernement du Niger financée par la Banque Mondiale à travers l'IDA (crédit N° IDA 45520) pour un montant de 40 millions USD. L’objectif de développement du PRODEX est d’accroître la valeur de certains produits commercialisés par des producteurs soutenus par le projet. Les filières cibles du projet sont l’oignon, le niébé, bétail viande cuirs et peaux, le sésame, la gomme arabique et le souchet. Les cuirs et peaux du Niger, pour peu qu’ils aient été sélectionnés, sont compétitifs sur le marché sous régional le plus important, celui du Nigéria, en raison de leur qualité et de la proximité. -
Supports de formation et d’animation sur la thématique de la production agricole
Un guide opérationnel destiné à tous les acteurs concernés par les questions de financement de l’agriculture et ayant pour objectif d’appuyer la construction d’une nouvelle alliance entre OPA et institutions financières. Il présente de manière détaillée les étapes d’une démarche visant à i) renforcer la capacité de OPA et des institutions financières à analyser les besoins et contraintes de financement de l’agriculture ii) consolider les capacités de ces acteurs à choisir et à proposer aux agriculteurs un accès efficace, équitable et viable aux services financiers iii) formaliser un cadre de réflexion et d’action pour construire des partenariats permettant un financement durable des agricultures familiales du Sud. -
Fiche technique : préparation d’une solution aqueuse de neem contre les ravageurs des cultures maraîchères
Cette fiche a été réalisée à partir des documents de l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) et d’un support vidéo de l’Association des Professionnels de l’Irrigation Privée et des Activités Connexes (APIPAC, Burkina Faso). -
Les étiquettes des pesticides ne donnent pas satisfaction : il faut les remplacer par des fiches techniques adaptées aux utilisateurs
Les premières investigations et notes du RECA indiquent que les pratiques des agriculteurs pour la protection des cultures irriguées et l’utilisation des pesticides ne sont globalement pas bonnes, au détriment des producteurs eux-mêmes (santé et revenus) et des consommateurs. Ceci est confirmé par la plupart des partenaires intervenant en appui aux producteurs. -
DANGER / Tuta absoluta, un nouveau ravageur de la tomate identifié au Niger
Le village de Bourbourkabé est situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. C’est une zone de production maraîchère isolée (loin de la route) où les producteurs sont spécialisés depuis des années sur la culture de la tomate. Au cours d’une visite des techniciens du RECA, le 20 février 2013, les producteurs ont signalé des attaques très importantes de leurs tomates. Effectivement, la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) était fortement présente. Mais les producteurs ont déclaré qu’il y avait une seconde chenille, apparue cette année pour la première fois, qui cause beaucoup plus de dégâts. Ils ont pu montrer la chenille sur feuille et sur fruit, ainsi que son papillon. -
Stratégie de développement durable de l’élevage
Ce rapport port sur la stratégie de développement durable de l'élevage au Niger -
Méthodologie de la multiplication de semence de pomme de terre
Ce rapport porte sur la méthodologie de la multiplication de semence de pomme de terre au Madagascar -
Comment fabriquer un bon compost à la ferme
Ce présente fiche porte sur les secrets de fabrication de compost a la ferme -
La production de la pastèque dans le département de Guidan Roumdji (Maradi)
La pastèque, KANKANA en Haoussa, appartient à la famille des cucurbitacées. D’origine africaine, elle est riche en eau et a une saveur sucrée. La pastèque de Guidan Roumdji a acquis une réputation compte tenu de ses qualités et du savoir-faire des producteurs et elle est bien prisée par les consommateurs locaux mais aussi étrangers. Elle arrive à concurrencer celle des pays voisins dont le Nigeria. De l’avis de ce jeune producteur, la culture de la pastèque est pratiquée en deux saisons : la culture pluviale, plus développée dans la commune de Guidan Sori, et la culture de contre saison développée sur tout le long du Goulbi Maradi, donc dans la commune de Guidan Roumdji. -
Guide pratique sur la culture du niébé pour le Burkina Faso
L’Institut international d'agriculture tropicale (IITA) est le principal acteur de la recherche en Afrique pour la résolution de la faim et de la pauvreté. Notre recherche pour le développement (R4D) s’intéresse aux besoins de développement des pays tropicaux. Nous travaillons avec nos partenaires pour améliorer la qualité, la productivité des cultures et réduire les risques afin de générer des richesses venant de l’agriculture à la fois pour les consommateurs et les producteurs. L’IITA est une organisation à but non lucratif fondée en 1967, dirigée par un conseil d’administration et financée par plusieurs pays. L'IITA est membre du consortium CGIAR. -
Effet de la fertilisation par microdose sur la productivité de deux variétés de Sésame (Sesamum indicum L.), la variation des teneurs et les bilans partiels des nutriments
Le sésame (Sésamum indicum L.), est une plante oléagineuse cultivée au Niger sur les sols sableux pauvres en éléments nutritifs. Afin d'améliorer la productivité de cette culture, un essai a été conduit en 2012 à la station de recherche de N'Dounga dans le département de Kollo au Niger. L'objectif principal de la présente étude est d'étudier l'effet de la microdose sur le rendement du sésame. Un dispositif factoriel avec deux facteurs a été utilisé: 1) la variété avec deux niveaux (variété améliorée et variété locale) et 2) l'engrais NPK avec quatre niveaux (Og, 0,5g, Ig et 1,5g.poque(1). Les composantes de rendement, la hauteur des plants, l'exportation des éléments nutritifs et les paramètres chimiques et biologiques du sol ont été déterminés. Les rendements et les hauteurs des plants obtenus avec l'apport de fertilisants par microdose ont baissé. La dose MO a enregistré la plus grande hauteur et le rendement le plus élevé avec 155 cm et 1903 kg. ha-l respectivement. Excepté le phosphore assimilable, le pHeau et la biomasse microbienne, les caractéristiques chimiques testées du sol ont augmenté. Les teneurs en éléments nutritifs du sol ont augmenté de 3,9 mg/kg à 15,6 mglkg pour le potassium assimilable, de 0,1 glkg à 0,6 glkg pour l'azote total et de 0,25 g1kg à 6,2 glkg pour le carbone organique. L"étude montre que la microdose a induit des augmentations sur les paramètres de rendement. La dose M3 a enregistré le plus grand nombre de graines par capsu le avec 56 suivis de la dose Ml avec 49 et le témoin MO avec 48. Toutefois. cette performance de la technique de la microdose dans l'amélioration des paramètres de rendement s'accompagne d'un bilan partiel négatif. -
Analyse approfondie des chaines de valeur « porte d’entrée » au pecea 2014-2018
Dans le contexte actuel du Niger, caractérisé par une paupérisation croissante de l’immense majorité d’une population en proie à l’insécurité alimentaire (devenue quasi chronique), il reste indéniable que la promotion de l’économie locale constitue une alternative pour l’amélioration des conditions de vie des populations. En effet, convaincu qu’aucun développement durable n’est possible sans une implication effective des populations rurales et un accompagnement conséquent des acteurs ruraux en vue du renforcement de leurs capacités, la Coopération danoise au Niger envisage d’apporter un appui considérable dans la promotion des Chaines de Valeur Ajoutée par notamment, le renforcement des initiatives et des capacités des acteurs au niveau des différents maillons. Ceci permettra ainsi, de développer la production de valeur ajoutée créatrice de croissance et d’emploi, conditions somme toute nécessaires pour l’amélioration du niveau de vie des populations bénéficiaires des actions du Programme de Promotion de l’Emploi et de la Croissance Economique dans l’Agriculture (PECEA). -
Etude de marche des produits de la transformation du niébé
La SNV Niger met en oeuvre un « Projet d’amélioration de la transformation du niébé dans les régions de Zinder, Maradi, et Dosso », qui a pour ambition d’améliorer les capacités des femmes, dans la transformation et surtout de rendre les produits issus de la transformation du niébé accessibles et compétitifs sur les marchés. Elle se positionne spécifiquement sur le maillon transformation du fait de la grande valeur ajoutée que cela engendrera : Les avantages de maillon sont multiples : lutte contre l’insécurité alimentaire ; amélioration des revenus des acteurs, notamment les femmes ; création d’emplois et amélioration de la nutrition. Le contexte est favorable pour au moins trois raisons : (i) le niveau de structuration des groupements des femmes au niveau des villages et quartiers (ii) la disponibilité d’un matériel minimum ; (iii) l’expérience permettant de disposer déjà d’une gamme variée de produits transformés dont, le spaghetti, le couscous, le Wassa-Wassa, divers gâteaux et farines (pour beignet, Dan Waké, diabétique, nourrissons). Ceci constitue un levier important pour l’intervention de la SNV. -
Amélioration de la production de niébé au Niger
L’objectif de développement du programme est de générer et d’accélérer l’adoption de technologies améliorées dans les domaines des filières agricoles prioritaires retenus par le Niger, conformément aux priorités dégagées par le Conseil Ouest et Centre africain pour la recherche et le développement agricoles (CORAF). Ces domaines portent sur les filières agro sylvo-pastorales -
Pastoralisme au Niger : L’élevage, un secteur porteur de richesse, mais plein de risques
Suite à la demande du mouvement paysan nigérien, le gouvernement du Niger a examiné et adopté le 20 mai 2010 le Projet d’ordonnance relative au pastoralisme. L’ordonnance 2010-029 du 20 mai 2010 relative au pastoralisme consacre la reconnaissance par l’État et les collectivités territoriales, de la mobilité pastorale comme un droit fondamental des éleveurs, des pasteurs
nomades et transhumants. Elle vise à renforcer le Code Rural dans son ambition de sécuriser le pastoralisme au Niger et constitue une avancée juridique majeure pour les communautés pastorales. -
Guide du formateur en andragogie pour les formations des Collectivités Territoriales
Ce guide du formateur et de la formatrice s’adresse à toute personne qui donne des formations dans le cadre de la décentralisation et du fonctionnement des administrations territoriales. Il s’agit d’un côté des personnes qui forment et de l’autre des personnes ressources qui participent aux formations pour faire profiter le groupe de leur expertise et qui peuvent avoir des questions sur le processus de formation -
Agroécologie, une transition vers des modes de vie et de développement viables
Paroles d’acteursParler d’agroécologie est équivoque et oppose souvent deux camps. Tantôt présentée comme remède à tous les problèmes, tantôt accusée de mystification ou d’archaïsme, l’agroécologie réellement pratiquée dans le monde ne mérite certainement pas cet excès d’honneur ou cette indignité. Tout simplement, elle existe, et ceci depuis longtemps et de manière significative. Les agroécologistes qui la pratiquent se comptent plutôt par centaines de millions que par dizaines ; même si certains, un petit nombre, ont tendance à se livrer des querelles épistémologiques.
Une question se pose cependant : comment cette masse silencieuse et productive a-t-elle pu demeurer si peu visible aussi longtemps ? -
Enjeux de l’agriculture de conservation (ac) en zones de montagnes au Maroc
Cette présente note porte sur les enjeux de l’agriculture de conservation (ac) en zones de montagnes au Maroc -
Norme burkinabé en agriculture biologique
Ce guide porte sur l’élaboration des normes de l’agriculture biologique et écologique au Burkina Faso -
Agriculture familiale saine et durable (agroecologie) comme modèle d’agriculture en Afrique
Le présent guide porte sur l'agriculture familiale saine et durable (agroecologie) au Sénégal comme modèle d’agriculture en Afrique. -
La culture en lasagne
Le présent guide porte sur la culture en lasagne, une technique de production écologique -
Mangue : itinéraires techniques
Ce guide technique très complet aborde l'ensemble des aspects de la culture de mangues -
Le Bois Raméal Fragmenté
Cette fiche technique porte sur les étapes de la production des bois raméal fragmenté -
Le sorgho
Ce nouvel ouvrage de la série végétale traite d’une céréale d’origine africaine d’importance, le sorgho, qui occupe la 5e position au monde (venant après les quatre céréales principales que sont le maïs, le riz, le blé et l’orge). Le sorgho est néanmoins, dans bien des régions intertropicales, en Afrique surtout, une culture vivrière primordiale dans les agricultures familiales des zones semi-arides et subhumides où il joue un rôle de culture alimentaire de subsistance. Sa rusticité, ses exigences modérées en eau et la résistance à la sécheresse des variétés locales utilisées sont des qualités essentielles pour les agriculteurs dotés de moyens techniques modestes. -
Guide des ravageurs de sol en grandes cultures
Ce présent document porte sur des ravageurs de sol en grandes cultures -
Connaissances paysannes sur la conservation du sorgho et du mil dans le département d’Aguié au Niger
Cet article porte sur la conservation du sorgho et du mil dans le département d’Aguié au Niger -
Produire plus avec moins : le manioc, guide pour une intensification de la production
L’intensification durable de la production du manioc constitue l’objet du présent guide, le premier d’une série consacrée à l’application pratique, sur des cultures de petits producteurs et des systèmes de production agricole spécifiques, du modèle «Produire plus avec moins» de la FAO. Approuvée en 2010 par la FAO, «Produire plus avec moins» est une approche écosystémique de l’agriculture visant à améliorer la productivité tout en préservant les ressources naturelles. Elle promeut des pratiques devant permettre au demi-milliard de petites exploitations familiales que compte la planète de produire davantage à partir de la même surface de terre, tout en améliorant le capital naturel et les services écosystémiques. -
Guide de formation : recherche sur le genre et les changements climatiques dans l'agriculture et la sécurité alimentaire pour le développement rural
Le guide de formation est destiné aux spécialistes du développement agricole qui ont besoin d’informations de meilleure qualité sur les moyens que les hommes et les femmes ont de s’adapter au changement climatique et d’en atténuer les effets, et sur la manière de répondre à leurs besoins en sous-tendant le développement de communautés rurales résistant au climat. -
Installation Biogaz autoconstruite ou « Comment rouler avec du caca »
Ce document décrit comment mettre en place une installation biogaz de petite taille (de quoi rendre autonome en énergie une petite ferme, c'est à dire une production de biogaz < 10m3/heure) Le projet que je présente permet de produire environ 1m3/h de biogaz. -
Plaquette compostage ferme
Ce présent document porte sur la méthode de fabrication d'un bon compost à la ferme -
Le Biochar – Une maison biologique pour les microbes du sol
Le biochar a reçu beaucoup d’intérêt à l’échelle internationale au cours des dernières années, en particulier à la lumière de la demande croissante en cultures alimentaires et en carburant, et des débats animés sur la façon de ralentir radicalement le changement climatique incontrôlé. -
Citrus greening : gestion de la maladie
Cette fiche technique indique comment identifier et lutter contre le citrus greening en production d'agrumes -
La pisciculture de subsistance en étangs en Afrique : Manuel technique
Manuel de pisciculture, ayant pour objectif d’apporter les éléments indispensables pour la mise en place de production de protéines animales « poisson » à moindre coût, en relation avec les ressources naturelles existantes et avec un minimum d’apports externes, dans un contexte de subsistance -
Etude de bilan de la mise en œuvre de la politique foncière rurale au Niger
Le Gouvernement du Niger a adopté en 1993 les principes d’orientation du Code Rural (ordonnance 93-015 du 2 mars 1993) comme outil de base d’une politique foncière rurale. Vingt ans plus tard, il est apparu nécessaire d’évaluer la mise en œuvre de cette politique, l’écart entre les objectifs visés au départ et les objectifs atteints, d’analyser les multiples préoccupations et les nouveaux enjeux qui se posent au foncier de façon générale et au foncier rural en particulier. Cette évaluation a porté sur les aspects essentiels de la mise en œuvre du Code Rural : (i) les aspects juridiques, (ii) les aspects institutionnels et enfin (iii) les activités de sécurisation foncière et bien d’autres mesures. -
Cahier du formateur
« maraîchage en hivernage » (entretien des plants à la récolte)
Comme déjà indiqué dans le module 1, ce guide explique et illustre de façon simple les différentes notions sur le maraîchage et propose des questionnaires à poser aux participants . Ainsi, ils découvriront par eux-mêmes les différentes techniques à partir des dessins et de photos repris dans le montage PowerPoint qui servira de support central à la formation. -
Cahier du formateur : « Le maraîchage en hivernage » (préparation du terrain au repiquage)
Ce guide explique et illustre de façon simple les différentes notions sur le maraîchage et propose des questionnaires à poser aux participants . Ainsi, ils découvriront par eux-mêmes les différentes techniques à partir des dessins et de photos repris dans le montage Power Point qui servira de support central à la formation. -
Rapport de l'étude sur l'identification des besoins en formation des CDA,des producteurs et organisations des producteurs au niveau national
Les orientations générales en matière de sécurité alimentaire et agricole durable sont celles de l'initiative " 3N " -
Identification des besoins en formation des entreprises BTP, bureaux d'études , artisans lies à la petite irrigation au niveau national
Le PromAP est financé par la coopération internationale allemande (GIZ) . Il fait suite au programme de lutte contre la pauvreté qui a appuyé sa zone d'intervention dans l'identification et la mise en valeur de leurs potentiels porteurs -
Guide des ravageurs de sol en grandes cultures
Les grandes cultures occupent une importante proportion de la superficie cultivée au Québec. En 2011, sur les 986 700 ha ensemencés en grandes cultures, près de 75% l'ont été en maïs et en soja -
Semences de tomate disponible au Niger: première version
Au Niger la tomate est une culture de grande consommation très prisée par les consommateurs. Elle est cultivé dans toutes les régions. Cependant les productions demeurent beaucoup plus faibles pendant la période de la saison sèche et la période d'hivernage -
La technique de la petite jachère - Une technologie essayée au Niger
Cette note a été rédigée par l’équipe technique du RECA à partir du rapport sur le projet de vulgarisation du système de petites jachères dans les champs et des résultats présentés lors de l’atelier de capitalisation tenu en mars 2013, activités menées par l’ONG japonaise Global Environmental Forum (GEF).
Pendant 3 ans, d'avril 2010 à mars 2013, l'ONG japonaise Global Environmental Forum (GEF), en partenariat avec l'Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA), est intervenue dans les régions de Dosso et Tillabéri pour vulgariser "le système de petite jachère dans les champs". L'ONG ONEN (Organisation nigérienne des éducateurs formateurs) a été le facilitateur de ce programme qui a également associé des agents des services agricoles.
Cette technique a été mise au point par l'équipe de l'Université de Kyoto (Japon) avec les résultats de recherches au Burkina Faso et au Niger. Son efficacité a été attestée dans le cadre du projet des études collectives de l'ICRISAT et de JIRCAS à Sadoré-Say (au Niger). -
Souchet
Au Niger, la culture du souchet se pratique sur l’ancien bassin arachidier de la région de Maradi qui représente plus de 95% de la production nationale. La production annuelle a été estimée à 38.800 tonnes en 2008. Elle serait en diminution régulière depuis cette date avec 22.800 tonnes en 2012. La réflexion de cette ONG part de deux constants : la majorité du souchet produit au Niger part vers le Nigeria où il est utilisé dans l’agro-alimentaire de ce pays ou est exporté vers l’Espagne pour produire une boisson (orchata de chufa) et le Niger consomme des « jus » qui sont fabriqués sur place pour les boissons sucrées pétillantes ou importés. Pourtant, à Maradi quelques femmes essayent de produire une boisson en valorisant le souchet. C’est ce créneau de valorisation que se propose de travailler cette ONG qui a commencé par un rapport d’enquête sur le souchet réalisé par ses membres. -
Le PARAQUAT, un herbicide trop toxique interdit au Niger
Le PARAQUAT est un herbicide non sélectif, c’est-à-dire qu’il détruit toutes les plantes. Au Niger, il est surtout employé par les riziculteurs hors périmètres qui veulent se débarrasser des herbes vivaces avant le labour et le semis.
Le PARAQUAT est un produit très toxique aujourd’hui interdit dans une majorité de pays. Les utilisateurs souffrent de maux de tête, de saignement de nez, de diminution de la vue, de manque de souffle, de diarrhée et de blessures cutanées. Il n’existe pas d’antidote. -
Multiplication et diffusion de semences de qualité des variétés améliorées et adaptées au changement climatique - Fiche de bonne pratique
La bonne pratique portant sur la multiplication et diffusion de semences de qualité des variétés améliorées a été mise en œuvre au Niger par la FAO en collaboration avec les structures du Ministère en charge de l’Agriculture, les institutions de recherche agricole (INRAN et ICRISAT), les organisations des producteurs agricoles au sein desquelles, les agriculteurs‐multiplicateurs ont émergé et sont devenus des professionnels de semences.
Elle a été mise en œuvre dans le but de renforcer la disponibilité en semences de qualité, de créer les conditions d’une réponse rapide et facile aux besoins importants en semences de qualité dans les situations d’urgences agricoles, de renforcer la résilience des organisations paysannes à travers la production, la commercialisation de semences de qualité pour améliorer leurs revenus et relancer la filière semencière au Niger. -
Projet d'appui au développement du secteur rural dans les régions de Dosso et Zinder : PASDR Dosso
Dans le cadre de la coopération entre la République du Niger et l'Union européenne, le projet d'appui au développement du secteur rural dans les régions de Dosso et Zinder a été signé par les deux parties . -
Rapport de mission
Participation du Ministère de l'Agriculture à la 19éme Conférence des Parties sur le changement climatique A Varsovie (Pologne)
Du 8 au 23 novembre 2013, un cadre de la Direction des Etudes et de la Programmation, représentant le Ministère de l'Agriculture dans la délégation nigérienne, a effectué une mission de travail à Varsovie en Pologne, à l'effet de prendre part à la 19ème Conférence des Parties sur le changement climatique. -
Augmenter la fertilité d’un champ cultivé en associant Faidherbia albida aux cultures
L’association de Faidherbia albida aux cultures est une technique essentiellement utilisée pour enrichir le champ en matières organiques et en azote. Souvent appelée la Régénération Naturelle Assistée (RNA), elle consiste à identifier et « élever » les jeunes plants qui poussent naturellement. Contrairement à la plupart des arbres, Faidherbia albida perd ses feuilles en saison des pluies. Il est particulièrement apprécié, car c’est une légumineuse, qui permet de fournir un fourrage digestible en saison sèche. -
Rapport d'activités dans le cadre du devis programme de démarrage allant du 1er novembre 2012 au 30 avril 2013
Dans le cadre de la coopération entre la république du Niger et l'Union Européenne, la convention de financement du projet d'appui au développement du secteur rural dans les régions de Dosso et Zinder a été signé par les deux parties en date du 08 Mars 2012 -
Effet de quatre types de fumiers d’animaux domestiques sur le développement de Meloidogyne javanica et la croissance du poivron (Capsicum annuum) sous serre.
Les nématodes à galles du genre Meloidogyne constituent un facteur limitant à la production des cultures maraîchères dont les Solanacées (poivron, tomate, aubergine, etc.). Au Niger, la lutte chimique par utilisation de nématicides de synthèse est la méthode la plus utilisée contre ces ravageurs. Pour trouver un substitut à cette méthode très onéreuse et qui pollue l’environnement, une étude sur l’effet de fumiers d’ovins, de caprins, de bovins et de volaille sur le développement de Meloidogyne javanica et la croissance du poivron a été menée sous serre dans des pots plastiques.
Le plus grand effet dépressif sur ces paramètres nématologiques est obtenu avec la plus grande dose de 20 % de fumier tandis que la croissance du poivron a été améliorée avec un effet plus important à la dose de 10 %.
Conclusion et application : Tous les types de fumier ont eu un effet dépressif sur le développement de Meloidogyne javanica sur le poivron. Ils peuvent donc être utilisés en amendement du sol pour lutter contre cet important ravageur des cultures maraîchères. -
Rapport d’étude technique pour le développement du maraîchage dans la commune de Dogondoutchi
Les résultats obtenus de la présente étude sont le fruit de réflexions et d’expertise d’une équipe pluridisciplinaire, composée de cadres des services techniques étatiques et de l’ONG RAIL-Niger, appuyés par les autorités locales et des acteurs locaux (y compris les bénéficiaires) de la Commune de DOGONDOUTCHI.
Les principaux objectifs de cette étude sont de développer la pratique du maraichage dans la commune de DOGONDOUTCHI en augmentant les superficies cultivables et en créant les conditions de disponibilité et d’accessibilité à la ressource eau, et de protéger la ville contre les inondations, par le traitement des différents koris provenant des bassins-versants. -
Formation des micro entrepreneurs de systèmes pico photovoltaïques
Le présent module qualifiant, constitue le premier volet de formation de techniciens spécialisés dans l’exploitation et la distribution des produits pico photovoltaïques en zone rurale africaine.
Ce module porte sur les astuces et compétences qui permettrons aux petits
entrepreneurs:
- d’identifier les produits pico PV de bonne qualité
- d’évaluer le besoin énergétique d’un client et de lui proposer le produit adapté
- d’assurer un service après vente en ce qui concerne l’utilisation, le déploiement
et l’entretien des produits pico PV
- d’informer et conseiller les usagers actuels et futurs -
Plan stratégique AREN
En vingt (20) ans d’existence, AREN a connu une croissance importante tant par le nombre de ses membres au plan numérique qu’au plan organisationnel. De quelques groupements au départ, AREN compte plus d’un millier de groupements de nos jours. La structuration prévue par les textes fondateurs de AREN semble ne plus être d’actualité. Des coordinations, des jeunes et femmes ont vu le jour.
Cette évolution structurelle est bien la preuve de la vitalité de l’organisation qui a atteint le niveau de maturité dans son cycle de vie. Outre son expertise sur le plan de la défense des droits des éleveurs, de l’humanitaire et de l’urgence, AREN s’est investie pleinement dans la mise en oeuvre de projets divers. Un plan d’action 2008-2012 a été élaboré et évalué récemment. -
Évaluation des risques du secteur agricole au Niger : De la réaction aux crises à la gestion des risques à long terme
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement. La pauvreté y est omniprésente et le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40 pour cent du le produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80 pour cent de la population. La performance du secteur agricole est néanmoins très instable du fait de sa forte exposition aux risques.
Conscientes de la nécessité de s’attaquer spécifiquement aux risques agricoles dans tous leurs aspects, les autorités nigériennes, par le biais du haut-commissaire à l’Initiative « 3 N », ont invité la Banque mondiale à réaliser une évaluation des risques dans le secteur agricole du Niger. Cette évaluation enrichit la somme de connaissances existantes sur le secteur agricole nigérien. -
Auto-évaluation du programme d’appui au secteur de l’élevage (PASEL - Phase 6 : 2010-2013)
La présente auto évaluation, située à six mois de la clôture du programme PASEL-phase 6 se déroulant de 2010 à 2013-, sur financement de la Coopération Suisse, a permis de recueillir les avis et les appréciations des différents acteurs sur les actions développées dans les régions de Dosso, Tillabéry (Filingué) et Maradi (Centre-Ouest du Niger).
L’exercice a consisté à solliciter les débats aux échelles locales, communales, régionales et centrales sur les effets directs et induits des actions de développement promues par le programme. Sur ce constat, couplé à diverses observations d’expertise, la mission a formulé des pistes d’orientations pour une éventuelle perspective de poursuite de la coopération entre la Suisse (DDC) et le Niger. -
Rapport du voyage d’étude sur le conseil agricole et le transfert de technologies au Maroc
Dans le cadre du plan d’activités du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest
(PPAAO-Niger), le RECA a organisé un voyage d’étude sur la diffusion et le transfert des technologies au Maroc.
Le Maroc est un pays qui présente une avancée significative dans le domaine de l’innovation technologique, de la formation, du transfert de technologies au service d’une agriculture irriguée tournée, en partie, vers l’exportation à destination de l’Europe. C’est un pays qui peut nous servir d’exemple pour améliorer le dispositif et les contenus en matière de conseil agricole. Ce pays est dans une nouvelle phase dynamique de conseil agricole. Le conseil agricole type Maroc est différent du modèle traditionnel que l’on trouve en Afrique de l’Ouest.
Ce rapport est long pour essayer de partager un maximum des rencontres instructives faites par l’équipe. Il comprend trois parties : la première partie (paragraphe 3) présente le dispositif de conseil agricole au Maroc, la seconde partie (paragraphe 4 à 10) présente les différentes structures visitées lors de la mission en essayant de mettre en avant les innovations qui ont été vues (innovations par rapport aux pratiques et expériences du Niger) et la troisième partie (paragraphe 11 et 12) répond aux termes de référence pour présenter la synthèse des visites qui ont été faites dans l’optique de comprendre l’organisation du conseil agricole au Maroc, et les recommandations de la mission.
Pour que le lecteur puisse visualiser certaines descriptions, l’équipe de rédaction a inclus des photos, certaines prises lors de la mission et d’autres « empruntées » sur Internet. -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 1
Au cours de la dernière décennie un regain d’intérêt a été constaté pour la patate douce en Afrique
Sub-saharienne (ASS). Le nombre de projets intervenant dans le domaine de la patate douce s’est accru de même que la demande en formation au profit des professionnels du développement et des producteurs. Les spécialistes de la patate douce du Centre International de la Pomme de Terre (CIP) et des centres nationaux de recherches sont de plus en plus sollicités pour la formation. Ils organisent fréquemment des sessions de formation de 1 à 3 jours en s’appuyant sur tout support de formation en leur possession ou rapidement rassemblés pour l’occasion. L'insuffisance de cette approche a été tout à fait évidente, mais la disponibilité des ressources permettant de remédier à la situation était restée un problème jusqu’à présent.
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 1: Aider les adultes à apprendre
Thème 2: Origine et importance de la patate douce
Thème 3: Sélection variétale et caractéristiques de la patate douce -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 2
Au cours de la dernière décennie un regain d’intérêt a été constaté pour la patate douce en Afrique
Sub-saharienne (ASS). Le nombre de projets intervenant dans le domaine de la patate douce s’est accru de même que la demande en formation au profit des professionnels du développement et des producteurs. Les spécialistes de la patate douce du Centre International de la Pomme de Terre (CIP) et des centres nationaux de recherches sont de plus en plus sollicités pour la formation. Ils organisent fréquemment des sessions de formation de 1 à 3 jours en s’appuyant sur tout support de formation en leur possession ou rapidement rassemblés pour l’occasion. L'insuffisance de cette approche a été tout à fait évidente, mais la disponibilité des ressources permettant de remédier à la situation était restée un problème jusqu’à présent.
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 4 : La Patate douce à chair orange et la nutrition -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 3
Au cours de la dernière décennie un regain d’intérêt a été constaté pour la patate douce en Afrique
Sub-saharienne (ASS). Le nombre de projets intervenant dans le domaine de la patate douce s’est accru de même que la demande en formation au profit des professionnels du développement et des producteurs. Les spécialistes de la patate douce du Centre International de la Pomme de Terre (CIP) et des centres nationaux de recherches sont de plus en plus sollicités pour la formation. Ils organisent fréquemment des sessions de formation de 1 à 3 jours en s’appuyant sur tout support de formation en leur possession ou rapidement rassemblés pour l’occasion. L'insuffisance de cette approche a été tout à fait évidente, mais la disponibilité des ressources permettant de remédier à la situation était restée un problème jusqu’à présent.
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 5: Les Systèmes semenciers de la patate douce -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 4
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 6 : Gestion et Production de la Patate Douce. Ce thème, traite de l’importance d’une la planification anticipée pour assurer la disponibilité des boutures en quantité suffisante en début de la saison des pluies. Il traite également de la préparation du sol, des techniques de plantation, des aspects de culture en association et des besoins en fertilisants. Enfin, il définit les principaux stades de croissance et les tâches liées à leur gestion.
Thème 7 : Gestion des ravageurs et des maladies de la Patate Douce. Ce thème explique comment reconnaitre les cycles de vie des insectes nuisibles tels que le charançon (Cylas spp.) de la Patate Douce. Il permet aussi de reconnaitre les symptômes de maladies telles que les viroses, ceci pour aider les producteurs à les gérer avec succès. Les impacts des rats-taupes et des érinoses, ainsi que les stratégies de leur contrôle, sont également décrits dans ce thème. -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 5
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 8 : Récolte et Gestion Post-Récolte. Ce thème traite des bonnes pratiques, post-récolte et de conservation/stockage des produits séchés et des méthodes et soins appropriés pour une conservation / stockage des racines tubéreuses frais permettant d'augmenter leur qualité ainsi que leur valeur marchande et leur disponibilité.
Thème 9 : Transformation et Utilisation. Beaucoup de produits alimentaires, délicieux, nutritifs et potentiellement enrichissants peuvent être préparés à partir de la patate douce à chair orange. L’utilisation de la Patate Douce dans l’alimentation du bétail est aussi développée dans ce thème.
Thème 10 : Marketing et Entreprenariat. Dans ce thème les concepts de marketing, d’orientation de marché, d’entreprenariat et les 5 piliers du marketing (produit, lieu, prix, promotion et population) sont développés en rapport avec les racines tubéreuses frais de patate douce et les produits issus de la transformation de la patate douce. -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 6
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 11 : Aspects liés au Genre et à la Diversité. Ce thème traite l’importance de la reconnaissance des questions du genre et de la diversité en agriculture et dans les systèmes de la patate douce. Des suggestions de meilleures pratiques sont faites sur la manière dont l’approche genre peut être incorporée dans les programmes de la patate douce.
Thème 12 : Suivi de la dissémination et de la consommation de la Patate douce à chair orange (PDCO). Une explication est donnée sur les raisons du suivi et sur la différence entre le suivi et l’évaluation. Ceci est accompagné par une gamme d’outils qui peuvent être utilisées pour le suivi de la vulgarisation, de la performance et de l’utilisation des boutures de la patate douce. Dans le but de comprendre les impacts à long terme et les atteintes de la formation sur la patate douce, il est important de collecter et conserver les données sur les participants formées. Ces données enregistrées peuvent être utilisées pour les activités à suivre. -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 7
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 13 : Utilisation du module de FDF « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la Patate Douce » : Ce thème présente des programmes détaillés de modules d’apprentissage par la pratique de 10 et de 5 jours pour une Formation des Formateurs (FdF). Il y est décrit : les thèmes à couvrir chaque jour, les résultats attendus de la formation, les activités séquentielles et leur chronogramme et les matériels et préparatifs à prévoir á l’avance. Ces programmes ne sont pas totalement rigides et nous souhaitons que les animateurs puissent user de leur créativité pour les ajuster en fonction des besoins de leurs participants.
Thème 14 : Réflexions. Nous espérons qu’après le teste de ce manuel sur le terrain, les formateurs et les participants mèneront des réflexions et partageront leurs idées sur la manière dont il pourrait être amélioré. -
Brochure des textes de la CEDEAO sur les pesticides
La Communauté Économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) est un instrument d'intégration par excéllence pour les 15 pays de la région. Elle a été créée en 1975 par la volonté des chefs d'états. Dans le cadre de la mise en œuvre de sa politique régionale, la CEDEAO a élaboré et fait adopter par ses États membres en Mai 2008, deux réglements que sont: le règlement C/REG.4/05/2008 portant harmonisation des règles régissant le contrôle de qualité, la certification et la commercialisation des semences végétales et plants dans l'espace CEDEAO et le règleemnt C/REG.3/05/2008 portant harmonisation des règles régissant l'homologation des pesticides dans l'espace CEDEAO. -
Code rural: Recueil des textes
Le présent recueil fixe le cadre juridique des activités agricoles, sylvicoles et pastorales dans la perspective de l’aménagement du territoire, de la protection de l’environnement et de la promotion humaine. Il fait état de la situation sécuritaire des opérateurs ruraux par la reconnaissance de leurs droits et favorise le développement par une organisation rationnelle du monde rural. -
Conception d’un programme d’opérations cofinancées
PAM-FIDA dans les régions de Maradi, Tahoua et ZinderLe PAM et le FIDA ont déjà collaborés au cours de plusieurs projets au Niger, et notamment à travers des opérations de Cash For Assets (CFA). Le succès de ces opérations a motivé les deux agences à étendre leur partenariat aux trois régions d’intervention du FIDA, à savoir Maradi, Tahoua et Zinder, sur le principe de la complémentarité entre leurs actions. En effet, plutôt que de superposer les interventions sur de mêmes sites, il parait plus judicieux de les mutualiser en favorisant les avantages comparatifs de chaque PTF. Dans ce cadre le PAM prend en charge la réalisation physique des ouvrages, et le FIDA la réalisation biologique (végétalisation et suivi).
Cette mission a ainsi été mandatée pour mener une analyse de la méthodologie du Cash For Assets/Food for Assets (CFA/FFA), capitaliser les expériences postérieures de partenariat entre le PAM et le FIDA au Niger. -
Etat des lieux et d'assainissement des banques céréalières de la commune rurale de Tchadoua/ Département d'Aguié Région de Maradi
Le présent rapport dresse un état des lieux et d'assainissement des banques céréalières de la commune rurale de Tchadoua. -
Filières oignon en Afrique de l'Ouest : étude comparée des filières nigérienne et béninoise
Afin de comprendre la relation entre les filières nigérienne et béninoise et les mécanismes permettant à l’oignon nigérien d’être vendu sur les marchés côtiers à un prix concurrentiel par rapport à l’oignon local, l’étude propose une analyse comparée des aspects liés à la production et à la commercialisation de ces deux filières, a` partir des pôles de production de Keita (Niger) et Malanville (Bénin) qui approvisionnent le marché de Dantokpa à Cotonou (Bénin). L’étude montre que les deux filières sont à la fois concurrentielles et complémentaires et que la filière nigérienne a un avantage comparatif net au niveau de la production, avec des coûts inférieurs et un bénéfice au producteur supérieur. -
Transformation de l’oignon : l'oignon déshydraté
La transformation de l’oignon afin d’augmenter la valeur ajoutée dans cette filière est un thème qui revient systématiquement dans les rencontres, réflexions, plans d’action ou documents de projet. Pour l’oignon, il est essentiellement question « de séchage ». Le RECA a effectué une petite recherche sur les produits transformés obtenus en France à partir de séchage des oignons. Il s’agit d’oignons déshydratés. C’est juste pour avoir une idée sur ces produits, leurs utilisations et comment ils sont fabriqués. -
Exportations d’oignons des pays de l’Union européenne vers les pays de la CEDEAO en 2012
Présentation des données commerciales en provenance d’EurostatCe tableau présente l’ensemble des exportations d’oignons au départ de l’Europe vers les pays de la CEDEAO (donc sans la Mauritanie). Les Pays Bas (le plus souvent appelés Hollande) représentent 99,2% des volumes exportés, c’est pourquoi il est mentionné les « exportations hollandaises ».
Les chiffres présentés dans cette note sont tirés de la base de données Eurostat, qui présente les statistiques commerciales de l’Union européenne. Ces chiffres ont été traités (tableaux et graphes) par David Ivanovic, expert en commerce agricole (david.ivanovic1@gmail.com). Les commentaires sont du RECA. -
Formulation du Projet Initiative Eaux et Sécurité Alimentaire pour l'Afrique Phase II (IESA2)
Le Niger est un pays agraire avec près de 85% de la population engagé dans le secteur rural. Ce secteur joue un rôle capital dans l'économie nationale et la sécurité alimentaire. Sa contribution moyenne à la formation du PIB est de 44,43% entre 2008 et 2010 et en 2010 il fournit près de 30% des recettes d'exportations. L'agriculture et l'élevage constituent les principaux composants de ce secteur avec une contribution au PIB respectivement de 28% et de 12%. -
Guide pour mesurer la diversité alimentaire au niveau du ménage et de l’individu
La diversité alimentaire est une mesure qualitative de la consommation alimentaire, qui rend compte de la variété des aliments auxquels les ménages ont accès; elle constitue au niveau individuel une mesure approchée de l’adéquation nutritionnelle du régime alimentaire. -
Mission conjointe d'Appui Technique et Méthodologique à la coopérative de l'AHA de Ibohamane - Keita - Tahoua
Le périmètre d'Ibohamane dans le département de Keita, région de Tahoua a été réalisé en 1969. Il couvre une superficie de 750 ha ; mais suites aux inondations de 1978, sa superficie irigable a été réduite à 663,77 ha, dégageant ainsi une zone dite "sinistrée" de 66,23 ha . La zone sinistrée ne bénéficie pas d'irrigation, mais elle est mise en valeur tout de même. -
Plan d’accélération de la mise en œuvre de l'initiative 3N: 2014-2015
L'initiative 3N (I3N) qui a été adoptée par le Gouvernement en Avril 2012 se fixe comme objectif global de "contribuer à mettre durablement les populations Nigériennes à l'abri de la faim et de la malnutrition et leur garantir les conditions d'une pleine participation à la production nationale et à l’amélioration de leurs revenus". De façon spécifique, il s'agit de "renforcer les capacités nationales de productions alimentaires, d'approvisionnement et de résilience face aux risques alimentaires et aux catastrophes". -
Plan de Développement Économique et Social (PDES) 2012-2015
Les choix stratégiques pour le Niger, tels qu’exprimés par les plus hautes autorités nationales, visent à concilier les impératifs de court terme consistant en la recherche de solutions aux préoccupations urgentes et la nécessité d’adopter une stratégie à long terme permettant d’optimiser les ressources naturelles et humaines en vue de promouvoir un développement économique et social durable et une croissance inclusive. -
Programme de travail et budget annuel du PA/PSSA : Période de Janvier à Décembre 2013
Le PTBA de l'année 2013 intervient dans un contexte particulier où des politiques et des programmes de références ont été définis par les autorités de la Septième République; à savoir le Plan de Développement économique et social (PDES) 2012-2015 et l'initiative 3N "Les Nigériens Nourrissent les Nigériens". -
Programme de vulgarisation, formation, appui conseil et transfert de technologie dans la zone d'intervention du PIPA/SA
Le projet d'Intensification des productions agricoles pour la sécurité alimentaire (PIPA/SA) dans les régions de Tahoua et Tillabéri a pour objectif global à l'accroissement de la production agricole nationale tout en améliorant les conditions et les niveaux de vie des populations. -
Programme minimum d'appui/conseil et d'encadrement agricole 2013-2014
Le potentiel en terres agricoles au Niger est estimé à 15.000.000 ha, représentant le quart de la superficie totale du pays. Les terres cultivées occupent 40% de la superficie agricole totale soit 6.000.000ha; cependant, la production se pratique sur des petites exploitations familiales avec des techniques culturales traditionnelles. En effet, les pratiques paysannes (mauvaises utilisations de la fertilisation minérales,absence d’aménagement des sols, absence d'assolement-rotation, réduction des temps de jachère, utilisation des variétés en dégénérescence, déboisement abusif). -
Programme National Intégré de Recherche Appliquée et de Vulgarisation Agricole (PNRAVA)
Le Niger, pays enclavé est situé en plein cœur du Sahel, couvre une superficie de 1.267.000 km² dont seulement 12% sont consacrées aux activités agricoles. Sa population est estimée à environ 17.129.078 habitants (4em RGPH 2012). C'est un pays aride dont plus de 75% du territoire reçoit moins de 300 mm et 1% enregistre plus de 600 mm de pluie par an. -
Projet de modernisation des circuits de conservation, de transformation et de distribution de la viande et du lait, et promotion de la transformation artisanale et industrielle du niébé
L'objectif principal du projet est de soutenir le Gouvernement du Niger à créer une résilience durable face à l'insécurité alimentaire, ainsi qu'à créer des emplois à travers l'expansion des filières viande, lait et niébé. Ces chaines de valeurs représentent une opportunité réelle pour combattre la malnutrition et pour générer de la richesse au niveau rural, compte tenu de leur importance économique pour les populations vulnérables ainsi que les potentialités peu exploitées de ces produits agro-alimentaires. -
Rapport annuel de suivi technique et financier au 31 décembre 2013
Dans le cadre de la mise en œuvre de la composante 2 ( appui au développement rural des région de Diffa et Zinder en application de la Stratégie de Développement Rural "SDR") de programme d'Appui au Secteur Rural (PASR), la Société Sahélienne de Financement (SAHF) a été sélectionnée comme Opérateur Financier (OF), suite à une offre technique et financière répondant aux exigences des termes de références. -
Projet d’activités du programme de riziculture pluviale 2013
Dans le cadre du protocole d'accord signé entre la FAO et le Projet GIPD-APRAO, un programme de mise en œuvre d'activités sur la riziculture pluviale a été initié sur 10 sites dont deux (2) ont été abandonné pour cause d'inondation. Les TMP ont été placés sur environ un hectare et demi et les activités des CEP/GPID ont été conduites sur un peu plus de hectares par le Projet de Petite Hydraulique pour la Sécurité Alimentaire dans les régions de Zinder et Tahoua. -
Rapport d'activités dans le cadre du devis Programme de démarrage allant du 1er Novembre 2012 au 30 Avril 2013
Dans le cadre de la coopération entre la République du Niger et l'Union Européenne, la convention de financement N° NE/FED/023-065 du Projet d'Appui au Développement du Secteur Rural dans les régions de Dosso et Zinder a été signée par les deux parties en date du 8 mars 2012. -
Rapport d'audit sur les états financiers : Mai 2013
Le PUSADER dispose de deux sources de financement à savoir le FIDA et OFID pour les montants respectifs de 8.300.000 Dollars USD. L'accord de don et du prêt est entré en vigueur le 7 février 2011 et la date de clôture du projet est fixée au 30 septembre 2014. -
Rapport d'avancement de la mise en œuvre du projet PIPA/SA
Le Projet d'intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA) dans les régions de Tahoua et Tillabéri a été soumis au financement de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) par lettre N°00078/84/ME/F/CCD/DGPS du 06 mai 2010 du Ministère de l'Economie et des Finances. -
Rapport de la première mission conjointe DADC, Sous/Programme Développement Rural de supervision des Activités du Programme de Pays du PAM Niger 2009-2013 dans le cadre du PTA 2013 dans les Régions de Tillabéry et Dosso.
Dans le cadre de l'exécution du Plan Annuel (PTA) 2013 du Programme de Pays du PAM Niger 2009-2013, le Sous/Programme Développement Rural act2 et la Direction des Appuis au Développement Communautaire (DADC) ont entrepris, du 09 au 21 décembre 2013, une mission de supervision des banques céréalières appuyées en vivres PAM de 2009 à 2012 dans les régions de Tillabéry et Dosso. -
Préparatif de la campagne agricole d'hivernage 2014 et renforcement du dispositif de production, de contrôle et de certification des semences
Le Niger tout comme les autres pays de l'espace communautaire doivent mettre en place un dispositif d'inspection au champ et de contrôle de qualité au laboratoire depuis 2009. Des équipes d’inspecteurs formées depuis 2010 pour gérer les programmes régionaux de multiplication de semences et de travaille sur la base d'une programmation régionale annuelle et des déclarations de cultures permettant de mobiliser les moyens pour assurer les missions de contrôle au champ par les équipes d'Inspecteurs. -
Contrôle de Pergularia tomentosa par la coupe profonde
Pergularia tomentosa est un arbuste non appété mais utilisé en tannerie et qui envahit les parcours, particulièrement dans la région de Diffa. Traditionnellement les parties aériennes de la plante sont récoltées et utilisées dans le processus de tannage des peaux. Les résultats d’un essai de coupes au ras du sol, -5 cm et -10 cm du sol ont montré que les coupes au niveau de -5 cm et -10 cm du sol permettent de contrôler la plante. -
Gérer ensemble les ressources naturelles du territoire - Guide méthodologique pour promouvoir et consolider une gestion négociée des ressources naturelles en Afrique de l’Ouest
Ce guide résulte d’un travail de construction collective entre le Gret et les différents partenaires du projet Negos-GRN, qui a réuni des ONG de développement (Amedd, Cinesda, Enda) et des laboratoires de recherche (Gersda, Laboratoire Citoyennetés, Ipar) de trois pays d’Afrique sahélienne (Mali, Burkina Faso et Sénégal).
Ce projet a porté sur la promotion de règles négociées de gestion des ressources naturelles, à travers des expérimentations menées dans plusieurs sites, la formalisation de repères méthodologiques et le développement d’un plaidoyer pour des politiques de gestion des ressources naturelles intégrant ces principes. Il a bénéfi cié d’un appui scientifi que de l’IRD (UMR Gred) et de l’Iheid et a associé le Hub rural et le Cirad. Une série de « Notes de politiques » d’études de cas et les actes de deux conférences régionales sont disponibles sur le site du projet : www.negos-grn.org Les sites d’intervention du projet couvrent des territoires aux enjeux variés : (i) au Burkina Faso, les communes de Padema (province du Houet) et de Samoroguan (province de Kénédougou) ; (ii) au Mali, les communes de Koury et de Yorosso (cercle de Yorosso) ; (iii) au Sénégal, la communauté rurale de Dionewar (delta du Saloum), de Ndiebene Gandiole (région de Saint-Louis) et la commune de la Somone (Plateau de Thiès).
Depuis le début des années 90, la décentralisation de la gestion des ressources naturelles est à l’ordre du jour. De nombreuses recherches et expériences de terrain ont montré que les acteurs locaux pouvaient, sous certaines conditions, assurer une gestion durable de leurs ressources bien plus efficace qu’un dispositif extérieur.
De nombreuses expériences de « conventions locales » ont été menées. Elles ont souvent un bilan mitigé. Partant de ce constat, des praticiens de la gestion des ressources naturelles et des chercheurs se sont réunis au sein du projet NEGOS-GRN, pour expérimenter des démarches de diagnostic et d’appui à la négociation et produire des cadres de références en matière d’orientations politiques et de méthodologies d’appui. Élaboré conjointement par l’ensemble des partenaires de Negos-GRN, sous la coordination du Gret, ce guide est issu des analyses et méthodologies développées sur les sept sites du projet Negos-GRN, mais aussi de l’expérience des différents partenaires. -
Bilan à mi-parcours du programme de renaissance à la date du 30 juin 2013
Le Programme de Renaissance de son Excellence Elhadji Issoufou Mahamadou, Président de la République, Chef de l'Etat est conçu autour de huit axes dont l'initiative 3N, "les Nigériens Nourrissent les Nigériens". -
Note sur le porte feuille des projets FIDA au Niger
Le Fonds International pour le Développement Agricole (FIDA) est présent au Niger depuis les années 70. Ses activités se sont accrues dans les années 80 suite aux sécheresses des années 73-74 et 84-85, notamment avec le Programme Spécial National (PSN) qui a connu deux phases de 1978 à 2004 et le Projet de
Développement Rural d'Aguié de 1993 à 2000. -
Sécurité alimentaire et nutritionnelle au Niger
Sécurité alimentaire =« l’accès à toutes personnes en tout temps à une nourriture suffisante afin de mener une vie saine et active »(Banque Mondiale,1986) Sécurité alimentaire et nutritionnelle =« assurée quand toutes les personnes, en tout temps, ont économiquement, socialement et physiquement accès à une alimentation suffisante,sûre et nutritive qui satisfait leurs besoins nutritionnels et leurs préférences alimentaires pour leur permettre de mener une vie active et saine » (FAO, 1996). -
Principe, fonctionnement et gestion des écosystèmes
Dans un écosystème naturel comme la forêt, le sol n’est jamais perturbé et il est protégé en permanence par un couvert végétal très diversifié, qui crée des conditions favorables (humidité, aération, température, substrat nutritif, etc.) pour une forte activité biologique. Plantes et organismes du sol très divers vivent en interactions, assurent une forte production de biomasse et remplissent diverses fonctions écosystémiques comme: la production de matière organique par photosynthèse, à partir de l’eau et du gaz carbonique;la protection du sol et la réduction du ruissellement par le couvert végéta permanent; le recyclage des éléments nutritifs et de l’eau par les racines profondes; la fixation d’azote atmosphérique par les bactéries associées aux plantes (dans les nodosités des racines de légumineuses ou dans la rhizosphère); la minéralisation et la solubilisation des éléments nutritifs par les organismes vivants permettant une alimentation régulière des plantes; l’enrichissement du sol en matière organique stable et la séquestration de carbone; l’aération du sol par les systèmes racinaires puissants;la régulation de la température du sol. -
Ce qu'ont appris sur les exploitations familiales des membres de l'APESS, 34 premiers bilans réalisés en Afrique de l'Ouest et en Afrique Centrale
L'APES a pris une orientation nouvelle en 2011 l'appui à la transformation des exploitations familiales d'éleveurs dans sa stratégie la promotion de l'élevage en zone soudan-sahéliennes. Une étude réalisée l'année précédente sur la situation de l'élevage et des éleveurs en Afrique Centrale dans le cadre de laquelle des bilans simplifiés d'exploitations familiales d'éleveurs avaient déjà été conduit au Tchad, au Nigeria et au Cameroun, avait préparé cette évolution. -
Les statistiques sur l'élevage au Niger : Situation et perspectives; 28 au 30 octobre 2013, Hôtel Terminus Niamey, Niger
Du 28 au 30 octobre 2013 s’est tenu à l’Hôtel Terminus à Niamey au Niger, l’atelier sur "Les Statistiques de l'Elevage au Niger: Situation et perspectives''. Ont pris part à cet atelier, les délégués du Burkina Faso, du Mali et de la Mauritanie mais aussi les représentants des Coopérations Belge (CTB) et Suisse, et les représentants d’organisations internationales ou centres étrangers de recherche tels que : l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), la Banque Africaine de Développement (BAD), la Banque Mondiale, l’Observatoire Economique et Statistique d’Afrique Subsaharienne(AFRISTAT), le Fonds des Nations Unies pour l’Agriculture et l’alimentation (FAO), Vétérinaires Sans Frontière (VSF), le Centre National français de la Recherche Scientifique (CNRS). -
Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne ?
En Afrique subsaharienne, les arrivées annuelles sur le marché de l’emploi devraient atteindre 32 millions d’actifs d’ici à 2050, soit près du double de celles de 2010, et sur l’ensemble de la période 2010-2050, la population active potentielle devrait doubler voire tripler dans 41 des 48 pays. Cette population est toujours majoritairement rurale et le plus souvent employée dans le secteur de l’agriculture, qui reste le plus gros pourvoyeur d’emplois. La plupart des emplois est constituée d‘exploitations familiales qui commercialisent de petites quantités de produits, ce qui rend complexe l’organisation d’un système d’approvisionnement pour une entreprise alimentaire, plus particulièrement pour les unités industrielles ou les petites et moyennes industries. L’agriculture devra donc gérer ce surplus de main d’œuvre rurale. -
Principles of agricultural economics
This chapter explains why economics is important and interesting. It defi nes the study of economics, and discusses what it is about. We introduce and explain economic terms, including producers, consumers, macroeconomics, microeconomics, positive and normative economics, absolute prices, and relative prices. The major discussion explains why scarcity is the fundamental concept of economics. The chapter also introduces and explains economic organization, resources, trends in the agricultural economy, and a review of graphs and their construction. -
L’usage de la bonification d’intérêt pour les crédits agricoles
Le 15 janvier 2013, dans le cadre de son Groupe de travail sur le « financement de l’agriculture », Inter-réseaux Développement rural a organisé, avec l’Agence Française de Développement (AFD), un après midi de présentation et de débat autour du rapport intitulé « Etude sur l’usage de la bonification d’intérêt pour le développement des crédits agricoles » et réalisé par le bureau d’études HORUS Developpement Finance en 2012. Cette étude sera publiée prochainement par l’AFD. 23 personnes ont participé aux échanges animés par François Doligez, membre du Conseil d’administration d’Inter-réseaux. Cette note reprend les éléments principaux de cette rencontre. -
Influence des parcs agro-forestiers à Piliostigma reticulatum sur l’infestation des plants de mil par les insectes floricoles et Coniesta ignefusalis (Hmps) (Lépidoptère : Pyralidae) dans la zone d’Aguié au Niger.
Partant de l’expérience empirique des paysans, une évaluation de l’effet de la présence du parc afroforestier à Piliostigma reticulatum sur l’infestation du mil aux insectes floricoles et du Coniesta ignefusalis foreur du mil, est réalisée dans la zone d’Aguié. L’objectif est de déterminer les logiques de la pratique des cultures sous P. reticulatum dans la région d’Aguié et de la justifier à travers des évaluations entomologiques et de rendement du mil.Méthodologie et Résultat : Trois champs de paysan sont choisis afin de conduire l’expérimentation avec l’implication des paysans dans la gestion des essais. Dans chaque champ, il a été semé Haini Kirey Précoce (HKP) et le P. reticulatum est dénombré selon l’âge (0- 2 ans ; 3-5 ans ; plus de ans). Deux témoins sont choisis : Faidherbia albida de plus de 6 ans et une parcelle sans arbre au niveau de chacun champ. A la maturité du mil, les insectes sont collectés sur les épies du mil ainsi que le nombre de larves de C. ignefusalis et le rendement est évalué avec les producteurs. -
Caractérisation de la végétation ligneuse et des organisations pelliculaires de surface des agroécosystèmes à différents stades de dégradation de la Commune rurale de Simiri (Niger)
Cette étude a été réalisée en zone sahélienne dans la Commune rurale de Simiri au Niger. Elle visait à identifier les stades de dégradation des agroécosystèmes à travers une caractérisation dendrométrique de leurs peuplements ligneux et une description des organisations pelliculaires de surface orientant leur fonctionnement hydrique. Les données dendrométriques et celles relatives aux organisations pelliculaires de surface ont été collectées sur des placettes de 2500 m² (50 m × 50 m) le long de quatre transects radiaires à partir du village. Deux stades de dégradation (non dégradé et très dégradé) ont été identifiés dans les agrosystèmes et dans les systèmes sylvopastoraux. Les résultats montrent que pour les deux types d’utilisation des sols (agricole et sylvopastorale), la dégradation se caractérise par, d’une part des faibles valeurs de surface terrière (0,27±0,3 m²/ha), de hauteur moyenne de Lorey (2,01 à 2,40 m), de taux de recouvrement des espèces ligneuses (3,01 à 6,18%) et, d’autre part de fréquences élevées en surface productrice de ruissellement (51,3 à 90,54%). La structure en diamètre des peuplements ligneux des agroécosystèmes dégradés se caractérise par une distribution en « J renversé » avec le paramètre de forme (c) de valeur inférieure à 1. Ces résultats montrent l’ampleur de la dégradation de ces agroécosystèmes et la nécessité de les restaurer à l’aide des techniques appropriées afin de maîtriser le ruissellement et améliorer l’infiltration des eaux de pluies. -
Violet de Galmi : des semences du monde entier dans les boutiques du Niger
Suite à la révision en 1999 de l’Accord de Bangui, notamment par l’ajout de l’annexe X consacrée à la protection des obtentions végétales, les États membres de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI), dont le Niger, ont été appelés à bénéficier des dispositions transitoires en enregistrant leurs variétés anciennes via des Certificats d’obtentions végétales (COV), permettant ainsi la reconnaissance du droit de propriété au pays qui l’abrite. -
Apport d’un fourrage vert tropical, Centrosema pubescens, en complément au granulé : effet sur les performances de croissance et sanitaire du lapin (Oryctolagus cuniculus)
L’objectif de ce travail est d’évaluer la digestibilité du fourrage vert, C. pubescens, et son impact sur la croissance ainsi que la santé digestive du lapin de chaire en élevage artisanal. Deux lots de 15 lapins sevrés à 35 jours, élevés en cage individuelle et nourris à l’aide de deux aliments complémentés ou non avec du C. pubescens ont été constitués. La digestibilité des nutriments à 50 jours d’âge de la ration contenant le fourrage C. pubescens est supérieure à la ration sans fourrage. Ainsi, la digestibilité de la MS, MO, MAT, ADF, NDF, Hc est respectivement de 1,6, de 1,5, de 1,8, de 2,2, de 1,6 et de 1,3 fois plus élevée dans la ration ayant reçu le fourrage C. pubescens en complément par rapport au témoin sans fourrage. L’indice de risque sanitaire est réduit de moitié avec l’apport de fourrage. Cependant, l’ingestion des 2 rations est équivalente, la moyenne est de 68 g/j entre le sevrage et 70 jours. Le gain de poids quotidien est également identique avec l’apport ou non de C. pubescens. La moyenne entre 35 et 70 jours d’âge est de 26,5 g/j. -
Le système d’information sur la filière sésame du Burkina Faso
Dans cette note, le RECA vous propose un aperçu des informations dont ont bénéficié les acteurs de la filière sésame au Burkina Faso et les liens nécessaires pour approfondir ces informations. Ce sont des idées à réfléchir, éventuellement, pour nos programmes au Niger. -
Les semences de Violet de Galmi du Niger absentes des boutiques d’intrants ?
Dans le numéro précédant des « brèves du RECA » (numéro 8), il avait été indiqué que les fournisseurs de semences installés dans le marché de Harobanda à Niamey proposaient des semences d’oignon « violet » mais importées du Sénégal. Le Niger compte environ 1.000 boutiques d’intrants (BI) qui sont des structures associatives ou coopératives autonomes, éventuellement groupées en réseau, propriétés des organisations de producteurs (OP, union ou fédération) et gérées par les producteurs. -
Liste des notes et documents sur la filière oignon sur le site du RECA (32)
Cette liste fournie les liens des ressources sur la filière oignon mises en ligne sur le site du RECA. -
L’utilisation de « poudres » pour la protection des certaines cultures maraîchères : une pratique trop répandue et à éliminer
Entre janvier et mars 2013, le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture ont effectué un inventaire des produits phytosanitaires disponibles sur les marchés du Niger. Cet inventaire n’a pas la prétention d’être exhaustif mais il permet d’avoir une première idée des pesticides disponibles et utilisés par les producteurs sur les cultures maraîchères. Ce travail a été réalisé dans le cadre du partenariat PPAAO- RECA et a bénéficié de la collaboration du PROMAP dans les régions de Tahoua et Tillabéri. -
Analyse des effets socio-économiques de la commercialisation du lait de chamelle sur les ménages des pasteurs dans la région de Tahoua
La présente étude porte sur les effets socio-économiques de la commercialisation du lait de chamelle sur les ménages de la région de Tahoua. Elle s’inscrit dans le cadre d’un projet de la SNV qui vise à connecter les pasteurs au marché du lait. Les effets majeurs attendus de la mise au marché du lait de chamelle sont d’une part l’accroissement du revenu des pasteurs, la création d’emploi et d’autre part une amélioration de la sécurité alimentaire des ménages accompagnée d’une capitalisation en bétail. L’évaluation des effets est basée sur l’approche expérimentale qui consiste à comparer un groupe cible avec un groupe témoin. -
Rapport final étude Tchoukou
Une étude sectorielle a été commanditée par le Bureau de Restructuration et de Mise à Niveau de l’Industrie du Niger (BRMN) pour améliorer la production et la conservation du fromage sec (Tchoukou) au Niger. Elle a été confiée au Cabinet Afrique Conseil et Accompagnement (AFCA) du Niger. Cette étude s’est, en premier lieu, appliquée à identifier les principales zones de production de ce fromage sec. Comme il s’agit d’un fromage traditionnellement consommé dans le nord et l’est du Niger, l’étude s’est plus particulièrement concentrée sur les régions de Tahoua, Zinder et Diffa. Il est apparu que la production de Tchoukou, comme celle de lait caillé et de beurre a pour objectif essentiel de permettre la conservation des excédents de la production de lait, aliment de grande valeur nutritive mais périssable. Or, les éleveurs, pour la grande majorité nomades ou transhumants, produisent les plus grandes quantités de lait pendant la saison de l’hivernage, quand l’eau et les herbages abondent dans une vaste zone pastorale située à la limite de la zone désertique. Cette zone étant dépourvue de tout réseau de collecte de lait frais, les femmes d’éleveurs, responsables de la gestion du lait, sont donc obligées de transformer ce lait pour pouvoir le conserver. -
Analyse-diagnostic de la chaine de valeurs : lait de vache et produits laitiers dans la région de Zinder
La base productive laitière de la région est constituée d’un effectif de 8 788 286 de têtes de bétail en 2012, dont 24,09% d’espèces bovines réparties comme suit : - Bovins de race Azzawak 41,8% ; - Bovin de races Borroro 46,64% ; - Autres espèces 11,4%. Les zones de concentration du cheptel laitier sont respectivement : le département de Magaria ( 45%), département de Gouré (29,40%), département de Mirriah (25, 08%) et Tanout 12,76%). C’est effectivement dans ces 03 départements et celui de Kantché qu’intervient le projet. Dans la région de Zinder, le cheptel laitier aurait produit en 2012 environ 230, 0 millions de litres de lait, dont :
- 46% lait de vache
- 14% lait de brebis
- 35% lait de chèvre
- 5,97% lait de chamelle
Pour une population régionale estimée à 3 500 000 habitants selon les résultats du dernier Recensement Général (RGP) de 2012, les besoins en lait s’élèveraient à environ 325 500 000 de litres calculés sur la base de la ration des Nations Unions fixée à 93 litres par an et par habitant. -
Le moringa, en plus des feuilles, les graines et l’huile sont de plus en plus demandées
Le RECA a reçu la visite de Monsieur Philippe Arnold, Secrétaire Général de la Fondation Dreyer, une ONG allemande installée au Burkina Faso. Il était en visite au Niger pour rencontrer des structures ou personnes ayant des informations ou des connaissances sur le moringa et sur son marché au Niger. Cette note est écrite pour partager les informations et échanges que le RECA a eu avec ce visiteur. -
La protection phytosanitaire du Moringa / Quels conseils aux producteurs ?
Le moringa (el maka en Haoussa et windi boundou en Zarma) est une culture très importante au Niger avec deux grands bassins de production, autour de Niamey et dans la région de Maradi. La production du moringa a augmenté régulièrement ces dernières années. Les visites et échanges avec des producteurs des différents sites de production, autour de Niamey, indiquent une pression parasitaire de plus en plus forte avec des pertes de production importantes. Les producteurs se plaignent particulièrement d’un ravageur qui mange les feuilles. Celles-ci peuvent entièrement disparaitre de l’arbuste laissant les branches nues. Sur la photo ci- dessous, le vert des feuilles a été mangé et il ne reste que le « squelette » blanc. -
Reproduction artisanale des silures
Les poissons du genre Clarias sont des poissons à peau nue dont le régime alimentaire est qualifié d’omnivore à tendance vorace ; cela signifie qu’ils mangent de tout mais, pour grandir, ils ont besoin de beaucoup de protéines qu’ils trouvent en consommant des petits poissons (tous ceux qui passent à sa portée et qui sont plus petits que la largeur de sa bouche). Le Clarias est doté d’un système de respiration aérienne qui lui permet de survivre dans des eaux très pauvres en oxygène. Il résiste bien aux manipulations. Toutes ces caractéristiques font de lui le compagnon d’élevage idéal des Tilapias car il débarrasse l’étang exploité en polyculture Tilapia - Clarias des alevins excédentaires indésirables. -
Code de financement et de modalités d'appels à proposition conjoints pour le financement des investissements dans le secteur agricole
Le Ministère de l'agriculture du Niger ambitionne élaborer le présent code de financement en d'encadrer les pratiques en matière de financement des investissements agricoles. Les différents mécanismes existant, reprise par le MEG des instruments essentiels pour l'atteinte des objectifs de développement du secteur agricole. -
Projet d'Appui au Développement du Secteur Rural dans les régions de Dosso et Zinder : PASDR Zinder
Le présent devis programme de démarrage est élaboré dans le cadre de mise en œuvre du << Projet d'appui au développement rural dans les régions de Dosso et Zinder>>. L'objectif général du projet est de contribuer à assurer la sécurité alimentaire en favorisant un développement agricole durable et en améliorant l'accès des populations rurales aux opportunités. -
Programme d'activités 2013
Le Projet de valorisation des eaux dans les régions de Dosso et de Tillabéri (PVDT) a pour objectif de contribuer à la sécurité alimentaire des populations concernées en valorisant leur potentiel en eaux mais aussi en restaurant les sols et les ressources agro-sylvo-pastorales. Il s'agira notamment de valoriser l'eau disponible (micro barrage, seuils d'épandage....) en réalisant de nouveaux aménagement hydro agricoles, ii) mobiliser les eaux et réhabiliter les ouvrages existants; en organisant leurs gestion et la vulgarisation -
Préparation de la 2èm réunion ministérielle Afrique-Arabe sur le développement Agricole et la sécurité alimentaire
L'Afrique subsaharienne possède assez de terres arable et de main d’œuvre pour parvenir à l'autosuffisance en matière de nourriture. Cependant, la production alimentaire s'y heurte à des obstacles principaux tels que la pénurie d'intrants comme l'eau et les engrais. L'agriculture dans cette région du sud du Sahara dépend des pluies ce qui l'expose aux fluctuations de la pluviométrie et rend difficile l'arrivée à la production maximale. Dans ce contexte, les petits réservoirs d'eau constituent l'une des solutions envisageables pour limiter cette exposition. -
Le sésame au Burkina Faso : état des lieux 2013 fiches technique de production du sésame, livret 3
Le sésame est une des productions annuelles les plus attractives pour les producteurs et productrices individuels car la mise en culture se situe après toutes les autres cultures (céréales, coton, niébé, arachides). Les coûts de production sont peu élevés comparés aux autres cultures et sa commercialisation est rapide. -
Itinéraire Technique Mangue
Le document « Itinéraire Technique » Mangue détaille toutes les pratiques culturales liées à la mangue. Il propose essentiellement des substances actives soutenues par les fabricants des Produits de Protection des Plantes dans le cadre du Règlement 1107/2009, et devant respecter les normes en matière de résidus des Produits de Protection des Plantes. La majorité de ces substances actives a été testée dans le cadre d'un programme d'essais en champs, et le niveau de résidus de chaque substance active a été mesuré. Le contrôle des ravageurs et des maladies proposées est dynamique et sera adapté de façon continue en intégrant toutes les informations rassemblées par le PIP. -
Les organisations de producteurs en Afrique de l'Ouest et du Centre : attentes fortes, dures réalités
Cette étude présente les principaux résultats d’un travail réalisé en 2012 pour la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde. Elle s’appuie sur trois rapports détaillés analysant la situation des organisations de producteurs dans deux pays d’Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso et le Ghana, et un pays d’Afrique du Centre, le Cameroun. -
Efficacité biologique de Idefix, fongicide-bactéricide, contre les maladies foliaires de la tomate au champ
La tomate est la culture maraichère la plus importante, après l'oignon au Niger. C'est aussi l'une des cultures les plus parasitées. Pour contribuer à la lutte contre ces ravageurs, une étude a été menée pour tester l'efficacité d'Idefix (hydroxyde de cuivre à 65,6% (équivalent à 45% de cuivre) sur les maladies foliaires de la tomate en plein champ. -
L’agriculture urbaine et périurbaine : le maraîchage à Niamey (Niger)
Le document que je présente ici se propose d’étudier le développement d’une agriculture qui se pratique dans et en périphérie des grandes villes. C’est-à-dire le maraîchage urbain et périurbain, une Activité complexe dont sa pratique dans la ville de Niamey telle qu’elle peut s’observer, nous donne à voir une implication des personnes d’origine étrangère qui prend forme dans une revalorisation du monde urbain comme milieu privilégié pour repenser la production des légumes. Mais, cette remarque est révolue dans cette thèse qui fait sortir que le maraîchage soit pratiqué à Niamey par des producteurs d’origines migratoires et même des nigériens appartenant à toutes les couches de la société. Cette réappropriation de l’activité urbaine s’opère sur un mode identitaire où les projets individuels sont très importants. L’objectif de ce document est de montrer que le maraîchage contribue à la réduction de l’insécurité alimentaire dans un des pays le plus pauvre au monde et qui se situe au sahel où les conditions climatiques sont difficiles. Ce travail vise aussi à faire sortir que le maraîchage en zone urbaine et périurbaine de Niamey apporte une contribution à la réduction de la pauvreté des personnes qui y sont impliquées. -
L'huile des graines de neem, un fongicide alternatif à l'oxyde de cuivre dans la lutte contre la pourriture brune des cabosses de cacaoyer en Côte d'Ivoire
L’huile des graines de neem a un effet positif dans la lutte contre la pourriture brune des cabosses de cacaoyer. Son efficacité croît avec l’augmentation des doses entre 10 et 15 L/ha avant de se stabiliser, si bien qu’à partir de la dernière une augmentation de dose n’apporte aucun effet supplémentaire. -
Présentation des résultats préliminaires du quatrième (4ième) Recensement Général de la Population et de l'Habitat (RGP/H) 2012
L’Institut National de la Statistique (INS) a réalisé le dénombrement général du Quatrième (4ème) Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH) 2012, du 10 au 24 décembre 2012. -
S'établir en horticulture : série d'articles sur l'établissement
L’horticulture ne cesse d’intéresser! Avant même de débuter, plusieurs se voient déjà dans leur vignoble ou dans leurs serres en train de récolter les fruits de leur labeur! Il est possible de réussir en horticulture, mais certaines conditions doivent être respectées afin que la future entreprise devienne prospère et durable. -
Investir dans la gestion responsable des terres
Ce rapport est établi suivant le format proposé dans le Protocole d’accord. Il fournit des informations sur les activités de gestion durable des terres menées par le FEM dans le cadre de son domaine d’intervention«dégradation des terres », précisément pour lutter contre la désertification et le déboisement, pour la période comprise entre juillet 2011 et juin 2013. Conformément aux dispositions du Protocole d’accord, les activités menées dans les autres domaines d’intervention du FEM et les guichets de financement ayant trait à la gestion durable des terres (GDT) sont également présentés. La période faisant l'objet du présent rapport coïncide avec la deuxième et troisième année complète du cinquième cycle de refinancement de l'institution (FEM-5). -
Effet des techniques de récupération des terres dégradées sur les performances agronomiques de culture et la réduction de pertes en terres : cas de Sadoré au Niger
Au Niger, la production agricole a chuté ces dernières décennies. Le pourcentage des terres dégradées augmente et l'insécurité alimentaire s'installe dans tout le pays. C'est pour contribuer à trouver des solutions durables et faciliter l'adoption que la présente étude se propose d'évaluer quelques techniques de récupération de terre. L'étude a été effectuée dans le département de Saye à l'Ouest de Niamey. Elle a concerné une expérimentation sur un terrain dégradé et a abordé l'évaluation du rendement à travers la biomasse, en appréciant les rendements du mil et du niébé selon les traitements, la mesure de ruissellement et la mesure de l'humidité du sol. -
Compte rendu de mission au Niger : étude en vue d'une relance de la culture cotonnière autour de Gaya
La production cotonnière s'est développée au Niger à partir de 1956 dans les départements de Tahoua et Maradi et s'est étendue en 1964 à Gaya dans la région de Dosso. Le coton y est cultivé en décrue, irrigué et en pluvial. -
Conseil national de l'environnement pour un développement durable : Plan décennal sur les modes de consommation et de production durables (2014-2023)
La préservation de l’environnement et la réduction de la pauvreté interagissent mutuellement l’une sur l’autre. De même, la lutte contre les effets des changements climatiques oblige à un changement profond de comportements en vue d’adopter des modes nouveaux de consommation et de production plus durables. L’économie verte est par essence sobre en carbone et par conséquent son implantation est un moyen de lutte contre les changements climatiques. Les liens et / ou interrelations entre les modes de consommation et de production durables, les changements climatiques, l’économie verte et la lutte contre la pauvreté sont étendues, diverses et multiformes. -
Projet d'Aménagement et de Gestion du Bassin versant de Badaguichiri / Rapport annuel 2013
Le présent document constitue le rapport annuel 2013 du projet, qui couvre douze(12) mois (janvier –décembre 2013) de mise en œuvre des activités. Il décrit l’état d’avancement des activités du Projet par rapport aux prévisions sur la période considérée : les résultats obtenus, les difficultés rencontrées et les recommandations pour lever les difficultés. Il se situe dans le cadre de la convention de financement, où la Coordination du projet doit soumette au Maitre d’Ouvrage (ME/SU/DD) et à l’AFD des rapports semestriels et annuels relatifs à la mise en œuvre des activités. -
Bulletin of tropical legumes
Cowpea is one of the most important grain legumes of Niger, which is the second largest producer of the crop in Africa. About 764,000 MT of cowpea are produced annually on about 4,132,000 ha (Figure 1). Local consumption has grown significantly in recent years. This is bound to have a positive impact on people’s nutrition and health. Cowpea haulms are used as animal feed, helping to increase livestock productivity. Farmers often grow long-duration spreading varieties for fodder (Singh et al., 2003). -
Gestion intégrée de Maruca vitrata (FABRICIUS, 1787) et Megalurothrips sjostedti (TRYBOM, 1908), deux insectes ravageurs majeurs du niébé au Niger
Le niébé, Vigna unguiculata (L.) Walp. est la principale légumineuse cultivée au Niger. C’est une culture d’importance économique, sociale et alimentaire. Sa productivité est faible eu égard entre autres à la forte pression des bioagresseurs. La gestion intégrée des ravageurs est l’une des stratégies adoptées pour accroître la productivité du niébé. L’objectif de l’étude est de proposer un système de gestion intégrée de Maruca vitrata et de Megalurothrips sjostedti, principaux ravageurs du niébé au Niger. L’essai est conduit sur deux différentes variétés du niébé: la TN5-78 et la KVX908-1. Le dispositif expérimental utilisé est un split plot avec quatre traitements et quatre répétitions. Le résultat du suivi des effectifs des deux insectes a montré une prédominance de Megalurothrips sjostedti par rapport à Maruca vitrata sur la TN5-78 (607,25 et 15,25 individus,
respectivement). -
Développement de l'Industrie agroalimentaire pour la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté
L’ONUDI, qui est l’un des parrains de la Facilité d’Assistance Technique (TAF) du Fonds Africain pour l’Agriculture (AAF), encourage une offre de services d’assistance technique de qualité dans le secteur de l’industrie agroalimentaire en Afrique. La TAF a été créée pour étendre la portée, en matière de développement, des investissements privés de l’AAF, un fonds de capital investissement équitable créé pour accroître et diversifier la production et la distribution alimentaire en Afrique. L’ AAF est financé par des institutions financières européennes et africaines pour le développement et géré par Phatisa, une compagnie de gestion de fonds privés basée en Afrique du Sud. -
Le GAFSP permet-il de toucher les petits producteurs agricoles du Niger?
Au Niger, le GAFSP soutient le Projet de Mobilisation des Eaux pour le Renforcement de la Sécurité Alimentaire dans les Régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERSA-MTZ). Ce projet a pour objectif le renforcement de la sécurité alimentaire par l’augmentation, de façon durable, de la production et de la productivité agricole à travers la mobilisation des eaux de surface et souterraine. Il cible 213 000 producteurs partenaires directs et 460 000 producteurs partenaires indirects des régions de Maradi, Tahoua et Zinder, où vivent près de 60% de la population du Niger. Les trois régions sélectionnées présentent des taux particulièrement élevés de malnutrition, de pauvreté et d’insécurité alimentaire par rapport à l’ensemble du Niger.