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Appui à l' approvisionnement en semences de contre-saison des OP membres de la FCMN NIYA
L'objectif de ce document est de contribuer à l'atténuation des effets pervers occasionnés par la crise alimentaire de ces dernières années à travers une promotion des cultures de contre saison. -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce document décrit la tomate (Lycopersicon esculentum), les itinéraires techniques de sa production et conditionnement au Sénégal et la gestion des ennemis de cette cultures -
Genesys (ressources phytogénétiques)
Genesys est une plate-forme en ligne sur laquelle vous pouvez trouver des informations concernant les ressources phytogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture (PGRFA) conservées dans les banques de gènes du monde entier. -
Production de semences d'oignon
Il s'agit ici des techniques de production de semence d'oignon sur le site de chakot Commune de Kalfou Tahoua -
Le « Violet de Galmi » est-il menacé ?
Le plus célèbre des oignons ouest africains, le Violet de Galmi, a été ces derniers mois au coeur de nombreux débats. Retour sur la longue histoire de cette variété et éclairages sur les enjeux actuels. -
Culture et entretien de la nigelle (Nigella)
La nigelle cultivée (Nigella sativa L. 1753) ou cumin noir est une plante annuelle de la famille des Renonculacées originaire du sud-ouest de l'Asie. Les graines sont utilisées comme remède traditionnel ou comme épice dans de nombreux pays du monde (particulièrement dans le monde musulman). -
Fiche technico-économique pour la culture du niébé
Le niébé communément appelé en haoussa waké est l’une des principales cultures de rente de la région de Zinder. Les principales zones de production de niébé sont les départements de Tanout, Gouré, Kantché et Magaria. Il est cultivé sur des sols sableux pauvres en matière organique, le plus souvent en association avec plusieurs autres cultures (mil, sorgho, sésame, arachide). La production de niébé de la région de Zinder est estimée à plus de 400.000 tonnes en 2015 avec un rendement moyen de l’ordre de 375 kg/ha selon les résultats de la campagne agricole 2015. La majeure partie de cette production est commercialisée sous forme de niébé grain vers le Nigeria et dans une moindre mesure transformée en beignet, galettes, dan-waké pour la consommation locale. -
Le sésame dans le département d’Aguié au Niger : analyse d’une culture aux atouts non-négligeables dans une zone agricole à forte potentialité
Les conditions agro-écologiques sahéliennes et le contexte socio-économique constituent les principaux facteurs qui influencent la dynamique des systèmes de production agricole de la zone d’Aguié au centre du Niger. Dans cette région, l’augmentation de la pression démographique et la compétition pour les ressources naturelles entre les cultures et les animaux accentuent la pression foncière. Les faibles superficies par habitant engendrent un remaniement des systèmes agraires. Les agriculteurs privilégient des cultures à la fois vivrières et de rente. Pour eux, la diversification des cultures est une des stratégies de minimisation des risques et de sécurisation du foncier. Cet article étudie l’intérêt de la culture du sésame dans la région d’Aguié. Il a été réalisé à partir d’une revue bibliographique, de données des services techniques du département d’Aguié et d’enquêtes et d’observations auprès de producteurs et des organisations concernées. Il en ressort que la culture du sésame constitue une opportunité pour sécuriser les besoins alimentaires et financiers des ménages locaux. De par la proximité de la région avec le Nigéria, cette culture est un atout économique pour les ménages ; comme le prouve l’analyse de ses comptes d’exploitation. -
Production de semences de mil sous irrigation à Balleyara
Monsieur Salou Oudou Producteur innovateur de mil sous irrigation Tédjef commune de Balleyara (Filingué Région de Tillabéri); Cel: 96 43 76 07. Il est producteur de diverses semences notamment le mil, le niébé . plusieurs fois lauréat au cours des foires et Salon de l' Agriculture etc...
Il a expérimenté sous irrigation, la production de semence de mil variété Chakti d'un cycle de 60 jours . -
Le Blanc de Gothèye, l’autre oignon du Niger
Le Niger, le pays des oignons … L’oignon est la première culture maraîchère au Niger. La production annuelle est estimée à 500.000 tonnes, classant le Niger au deuxième rang des producteurs ouest-africains. Le Niger est le premier exportateur d’oignons de la CEDEAO. Le Niger exporte sa variété la plus connue, le Violet de Galmi, dont le goût, la tenue dans les sauces et les aptitudes à la conservation ont conquis tous les pays de l’Afrique de l’Ouest. Mais le Niger est aussi le pays des oignons par le nombre de ses « écotypes », c'est-à-dire de nombreuses variétés d’oignons. -
Les céréales au Niger
Ce livre est publié comme un rapport basé sur des études et recherches effectuées au Niger dans le cadre du projet de collecte d'information de base « Recherche sur la Culture de Subsistance » pour les pays en voie de développement. Selon le rapport de zone d'agroécologie de la FAO, beaucoup parmi les régions sous activité agricole au Niger sont situées sous les tropiques semi-arides dont la période de possibilité culturale est de 75 à 120 jours, et où la température mensuelle moyenne est au-dessus de 18 ℃ tout au long de l'année Au plan mondial, 55 pays sont situés dans la zone tropique semi-aride où vivent 1,4 milliard de personnes. 40 % d'entre eux sont des démunis gagnant moins de 1 dollar par jour et 70% d'entre eux résident en zones rurales. La précipitation moyenne annuelle dans ces zones est de 500 à 700 mm, ce qui est très bas et ce n’est peut-être pas exagéré de les considérer comme des régions marginalisées où se pratique une agriculture dépendant entièrement de la pluie. -
Fiche descriptive Nagode
L’hybride Nagode est une variété à graine jaune, précoce (85 jours), productive (5 à 7 tonnes/ha) qui se comporte bien en sol de vallée et même sur sol dunaire riche en matière organique. La variété présente un feuillage de couleur vert-claire et des soies et anthères de couleur rose-claire. La panicule présente un nombre de ramification relativement élevé. La présence du bourrelet anthocyanique à la base des glumes n’est observée que dans des rares cas. Les épis sont gros, insérés au milieu de la tige et présentent une bonne fermeture des spathes. Du fait des poids des épis à la maturité, les tiges ont tendance à s’incliner à leur base au sol notamment sur sol dunaire si le buttage n’est pas effectué au dernier sarclage. Les graines jaunes présentent au niveau de leur sommet une tache jaunâtre d’albumen farineux. Elles sont insérées en rangées droites sur une rafle blanche, cylindro-conique sans pigmentation anthocyanique. -
Fiche technique production de sésame
Le sésame (Sesamum indicum L.) cette petite graine ovale symbole d’immortalité en Inde, provient d’une plante d’un peu plus de 1 mètre de hauteur. Les graines varient du blanc crème au gris foncé et contiennent 50% d’huile. Le sésame est produit et utilisé depuis des millénaires : 7500 ans en Inde, 5000 ans en Chine. On en fait de l’huile depuis au moins 3000 ans (Turquie). Le sésame s’est ensuite répandu à travers l’Asie, le Moyen et le Proche-Orient, le pourtour méditerranéen et l’Afrique : E.M. kafiriti et J. Dekers dans Agriculture en Afrique Tropicale. -
Quelques nouvelles variétés du niébé précoces productives et résistantes aux ravageurs
Le niébé, Vigna unguiculata (L.) Walp est la principale culture légumière au Niger. Chaque année plus de 5 millions d’hectares sont emblavés avec une production de 1.5 millions de tonnes. Cette légumineuse réprésente le quart de la production agricole nationale et 80% des productions de rente (MAG, 2012). Le niébé est aussi une culture d’importance alimentaire par sa teneur en protéine 3 à 4 fois plus élevée que celle du mil ou du sorgho. C’est donc une culture à promouvoir en raison de son importance économique et sociale, mais ses rendements en milieu paysans sont bas en raison des facteurs suivants : 1) l’inadaptabilité des variétés locales, 2) les attaques des ravageurs, 3) le faible niveau de fertilité des sols. La présente fiche technique présente quelques génotypes de niébé et les conseils d’utilisation pour l’amélioration de la sécurité alimentaire des producteurs nigériens. -
Fiche technico-économique sésame
Le sésame est une culture en expansion dans la région de Diffa. Ces 5 dernières années, les superficies emblavées en sésame pendant la saison des pluies prennent de plus en plus d’ampleur particulièrement dans les Départements de Goudoumaria, Mainé Soroa et Diffa. Selon les Services Départementaux de l’Agriculture, la culture du sésame occupe environ 1 500 ha. Le sésame est produit en culture pure ou en association avec d’autres cultures comme l’arachide, le sorgho et le mil. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria. Les femmes transforment des petites quantités en gâteaux vendus à 20 Nairas /unité soit environ 25 F.CFA pour la consommation locale. -
Manuel de production du sésame conventionnel et biologique
Le sésame est l’une des plantes oléagineuses les plus anciennes au monde, les plus connues et les plus utilisées au monde. L’Inde et la Chine sont les plus grands producteurs au monde suivi par la Birmanie, le Soudan, le Mexique, le Nigeria, le Venezuela, la Turquie, l’Ouganda et l’Ethiopie. Dans la sous-région Ouest africaine, le Burkina Faso occupe la deuxième place après le Nigeria avec une production de 25 000 tonnes pour la campagne 2006/2007. Quatre variétés de sésames sont cultivées au Burkina Faso. Ce sont : la S.42 (90 jours), la Cross nº3 (90 jours), la Yendev 55 (100 jours) et la S38-1-7 (95 jours). -
Adoption des semences améliorées du mil et de niébé dans le département de Damagaram Takaya, Région de Zinder
Au Niger, la faible productivité des cultures amènent la recherche à mettre au point des nouvelles variétés vulgarisées par l’Etat et partenaire au développement auprès des producteurs. C’est dans ce cadre que l’ONG CADEL, l’INRAN et le service de l’agriculture ont procédé à la diffusion des semences améliorées du mil et niébé auprès des producteurs de Damagaram Takaya dans la région de Zinder afin d’augmenter la productivité de ces cultures. La présente étude intervient après des années d’introduction de ces semences améliorées. Elle a pour objectif de faire une analyse de l’adoption pour en déterminer les facteurs qui favorisent l’utilisation ou le rejet des semences améliorées par les agriculteurs. Pour se faire, sur la base d’un listing des ménages agricoles des villages, un échantillonnage aléatoire a été réalisé au niveau des villages de Bougoum, Brundi, Tourmou et Kandine). Au total, 97 producteurs, représentants 17% de l’échantillon ont été choisis et enquêtés au moyen d’un questionnaire ménage. Ces résultats montrent qu’il est nécessaire à la recherche et la vulgarisation de renforcer les actions permettant d’augmenter l’utilisation des semences améliorées dans la zone de Damagaram Takaya et toutes les autres zones agricoles du Niger. -
Diversification des systèmes de culture : cas du sésame et du Guar et estimation des rendements par la méthode de télédétection à basse altitude.
Au Sahel, compte tenu de la dégradation de l’environnement agraire due à la péjoration climatique et la baisse de la fertilité des sols, la diversification des cultures apparaît comme une solution majeure pour assurer la sécurité alimentaire et financière des producteurs. Dans cette optique un essai variétal sur le sésame et la guar a été conduit sur le site expérimental de Sadoré (ICRISAT), dans un dispositif factoriel split plot comprenant deux répétitions. Chaque répétition comprend dix huit parcelles principales dans lesquelles sont randomisés trois facteurs : fertilité (30 U DAP1 +5 T ha-1 fumier, 2 g DAP poquet-1 et 5 T ha-1 fumier), densité de semis (0.25 m x 0.25 m et 0.5 m x 0.5 m pour le sésame et 0.25 m x 0.25 m, 0.5 m x 0.5 m et 1 m x 1 m pour le guar) et variété : neuf variétés de sésame et neuf variétés de guar. -
Note sur la disponibilité des semences améliorées dans la région de Maradi pour la campagne 2019
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Maradi est engagée, dans le cadre des activités du Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible aux risques Climatiques (PASEC), à informer et sensibiliser les producteurs de la région sur la pratique de l’Agriculture Intelligente face au Climat (AIC). On note parmi les techniques AIC recommandées, l’utilisation de semences améliorées. L’utilisation de ces semences améliorées contribue à l’adaptation de notre agriculture aux changements que connait aujourd’hui le climat et cela grâce à certaines de leurs caractéristiques : précocité, résistance au stress hydrique, résistance à des maladies, résistance au striga, résistance à certaines attaques, bon rendement… L’objectif visé par la CRA est de contribuer à rehausser l’utilisation des semences améliorées par les producteurs de la région. Ainsi, la CRA informe les producteurs sur l’importance de l’utilisation des semences améliorées, leur disponibilité, les prix et également les points de vente. Cette information se fait via plusieurs canaux à savoir des émissions radio, des notes d’information et l’application WhatsApp. -
La culture de souchet (Cyperus esculentus) au Niger : Origine, atouts et contraintes
Le souchet (Cyperus esculentus) est une plante alimentaire à tubercules, appartenant à la famille des Cypéracées. Au Niger, la culture du souchet prend de plus en plus d’ampleur mais les études sur ce produit sont quasi-inexistantes. Cette étude la première du genre vise à valoriser la culture du souchet au Niger en traçant son historique, son importance et ses contraintes. Des entretiens en focus groupe dans les marchés des régions productrices ont été conduits pour répertorier les terroirs villageois producteurs et situer les zones de production du souchet au Niger. Ainsi, parmi les villages répertoriés, dix sites ont été visités. Dans chaque site, des entretiens individuels sur les aspects socio-économiques de la culture ont été conduits. Les données des investigations ont révélé que la culture du souchet se pratique essentiellement sur l’ancien bassin arachidier de la région de Maradi et dans la région de Dosso. Selon la typologie locale, le souchet est composé de type à gros tubercules et de type à petits tubercules. Selon les producteurs, le souchet à gros tubercules a été introduit il y a plus de 100 ans. Par contre le souchet à petits tubercules serait plus récent et résulte d’une domestication de la forme sauvage. L’apport des revenus est la principale raison qui pousse les paysans à s’adonner à cette spéculation. Les principales contraintes de la culture du souchet sont : L’insuffisance d’engrais minéraux, la pénibilité de la récolte et la commercialisation du souchet. -
Caractérisation agro-morphologique des écotypes du souchet (Cyperus esculentus L.) du Niger
La présente étude porte sur la caractérisation agro-morphologique des cinq (5) (quatre (4) cultivés et un (1) de type de sauvage) écotypes du souchet (Cyperus esculentus L.) du Niger. L’étude est conduite au laboratoire et sur le terrain expérimental de la Faculté d’Agronomie de Niamey. Le dispositif expérimental est constitué des blocs aléatoires complets en 5 répétitions. Le suivi des caractéristiques agronomiques porte essentiellement sur les paramètres de croissance et de rendements. La caractérisation morphologique des tubercules au laboratoire a concerné la couleur, la taille et la forme. Les résultats montrent que les caractères agro-morphologiques les plus distinctifs au niveau de tous les écotypes sont la couleur, le taux de la levée, le cycle de production et le nombre de tubercules. Des différences significatives ont été observées entre les écotypes cultivés et l’écotype sauvage notamment sur le taux de levée, l’intensité de la floraison et les rendements en tubercules. Le rendement en tubercules est plus faible chez l’écotype sauvage (1,7 t/ha) que chez les écotypes cultivés. Aussi le rendement en tubercules des écotypes cultivés du petit souchet (8,86-9,53 t/ha) est plus élevé que celui des écotypes cultivés du gros souchet (7,79 t/ha). En sommes, L’étude a révélé l’existence d’une très grande variabilité agro-morphologique entre les écotypes étudiés. Les caractères agro-morphologiques de l’écotype sauvage se différencient largement de ceux des écotypes cultivés. Les écotypes du souchet cultivé du Niger ont des rendements en tubercules satisfaisant. -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce guide liste les techniques mobilisables pour la production de semences de tomates de qualité -
Entretien avec Abdoul Aziz Diop, Ingénieur travaux agriculture, Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA)
Entretien avec Abdoul Aziz Diop, Ingénieur travaux agriculture, Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA), Sénégal, lors des Journées portes ouvertes pour la démonstration des performances des variétés de riz hybride développées par AfricaRice, 6 Août 2019, Saint Louis, Sénégal -
La politique semencière nationale
Ce rapport porte sur la politique semencière nationale du Niger -
Méthodologie de la multiplication de semence de pomme de terre
Ce rapport porte sur la méthodologie de la multiplication de semence de pomme de terre au Madagascar -
La multiplication des semences de pommes de terre
Ce manuel est un guide pour les formateurs soutenant le développement des entreprises consacrées à la production de semences de pommes de terre. Il est donc destiné à être utilisé comme un guide du formateur. Il l’aide à fournir un programme d’appui ainsi qu’une formation bien structurée et complète aux aspirants multiplicateurs professionnels de pommes de terres, et ce pendant toute une saison. Il donne également des directives et des conseils au formateur. Le manuel n’est pas un guide technique ; c’est la raison pour laquelle il est fondamental que les formateurs aient de l’expérience en matière de multiplication de semences de pommes de terre.
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Production et commercialisation des semences horticoles dans les regions de Thies, Diourbel et Fatick
Cette étude porte sur la production et la commercialisation des semences horticoles au Sénégal -
La production de semences maraîchères
Ce présente fiche technique porte sur La production de semences maraîchères
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Comment produire et conserver ses propres semences de légumes : un guide pour les producteurs
Ce guide de formation édité par le centre mondial des légumes porte sur la production et conservation de ses propres semences de légumes -
Le sésame une culture à bonne valeur ajoutée
Le sésame est une culture en expansion dans la région de Diffa. En effet, ces 5 dernières années les superficies emblavées en sésame pendant la saison des pluies prennent de plus en plus d’ampleur particulièrement dans les départements de Goudoumaria, Mainé Soroa, Chétimari et Diffa. C’est pourquoi la CRA de Diffa s’est intéressée depuis trois ans à cette culture à bonne valeur ajoutée. -
Note sur l’écoulement des semences améliorées au niveau des producteurs de la région de Zinder
En avril 2018, la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Zinder a rédigé une note sur la disponibilité en semences améliorées de mil, sorgho, niébé et arachide qui a fait l’objet d’émissions radios diffusées sur 15 radios communautaires de la région. -
La démarche liée à l’origine du Violet de Galmi, Niger
L’oignon « Violet de Galmi » est issu d’une innovation technique en 1975 et c’est depuis lors qu’il porte véritablement ce « nom ». Cependant, il convient de préciser que la relation entre les populations locales et leur ressource ne date pas de cette période. Elle remonte à trois siècles d’histoire commune, dont les fondements se rattachent au commerce caravanier. Ce dernier serait selon DAVID Olivier (1999), le vecteur de l’introduction de l’oignon dans l’espace nigérien. Les oignons violets de la Maggia dont est issu la souche du violet de Galmi étaient restés peu connus jusqu’aux travaux de l’IRAT, dont la publication à travers le monde leur a fait l’écho d’une publicité2. C’est ainsi que les meilleurs d’entre eux à savoir : le Violet de Galmi, le Blanc de Galmi ainsi que le Blanc de Soumarana seront devenus des variétés connues. -
ICRISAT
Le centre ICRISAT (Institut international de recherche sur les cultures des zones tropicales semi-arides) de Sadoré (près de Niamey) a été créé, il y a plus de trente ans, dans le cadre de la recherche globale qui doit être menée par l’institut dans toutes les régions semi-arides. Au Niger, le programme de l’Institut intervient sur plusieurs fronts, à savoir le programme sur les zones en marge du désert, l’écoferme sahélienne, le jardin africain, la conservation des ressources génétiques, l'amélioration des semences, la diversification des cultures et la gestion des ressources naturelles. -
BEDE (Biodiversité et échanges d'expériences)
BEDE (Biodiversité : Échanges et Diffusion d’Expériences) est une association de solidarité internationale fondée en 1994.
BEDE contribue à la protection et à la promotion des agricultures paysannes en soutenant les initiatives d’une gestion respectueuse du vivant par un travail d’information et de mise en réseau, en lien avec une cinquantaine d’organisations de différents réseaux français, européens et internationaux.
BEDE organise des ateliers, des rencontres entre paysans, chercheurs et société civile des pays d’Europe, du Maghreb et d’Afrique de l’Ouest, accompagne la structuration des organisations paysannes et réalise du matériel pédagogique. -
FLEHETNA
site web commercial en production biologique, offrant des ressources techniques liés à l'agriculture tunisienne (catalogue phytosanitaire, index des variétés commerciales) -
MANOMA SA
Fournisseur de matériel d'irrigation, semences et intrants -
La culture du soja et d’autres légumineuses
Cet Agrodok a pour objectif d’aider les cultivateurs et conseillers agri-coles à faire les bons choix en fonction des circonstances spécifiques à leur région. -
Guide pratique sur la culture du niébé pour le Burkina Faso
L’Institut international d'agriculture tropicale (IITA) est le principal acteur de la recherche en Afrique pour la résolution de la faim et de la pauvreté. Notre recherche pour le développement (R4D) s’intéresse aux besoins de développement des pays tropicaux. Nous travaillons avec nos partenaires pour améliorer la qualité, la productivité des cultures et réduire les risques afin de générer des richesses venant de l’agriculture à la fois pour les consommateurs et les producteurs. L’IITA est une organisation à but non lucratif fondée en 1967, dirigée par un conseil d’administration et financée par plusieurs pays. L'IITA est membre du consortium CGIAR. -
Les variétés de mil
Ce catalogue présente quelques unes des principales variétés de mil cultivées au Niger -
Conduite de la multiplication et certification de la semence améliorée
Cette note est tirée de la thèse intitulée « Déterminants et effets socio-économiques de l’adoption des variétés améliorées de mil et de niébé dans les exploitations agricoles des régions de Tillabéry et Zinder (Niger) » soutenue par Monsieur M. OUMAROU HALADOU Issoufou en mars 2018 à l’université Abdou Moumouni. -
Amélioration de la production de niébé au Niger
L’objectif de développement du programme est de générer et d’accélérer l’adoption de technologies améliorées dans les domaines des filières agricoles prioritaires retenus par le Niger, conformément aux priorités dégagées par le Conseil Ouest et Centre africain pour la recherche et le développement agricoles (CORAF). Ces domaines portent sur les filières agro sylvo-pastorales -
Etude sur les possibilités de développer la culture du blé et du maïs dans la région d'Agadez - Communes de Tchirozérine, Dabaga et Agadez
Le défi du développement ou de l’intensification des cultures du blé et maïs dans le département de Tchirozérine pourrait être relevé à travers la mise en œuvre des priorités ci- après :
-Intensification de la production du blé et maïs à travers l’introduction des nouvelles variétés performantes,
-Structuration de la commercialisation du blé et du maïs par la création d’un pôle de commercialisation
-Soutien aux initiatives de transformation du blé et maïs -
Etude sur la sécurité semencière au Niger. Rapport d’étude pilote dans les communes rurales de Dantchiandou, Imanan et Kourthèye (région de Tillabéri)
Au Niger, le Gouvernement accorde une place importante à la sécurité et à la sécurisation semencière. En effet, conformément à son document de Politique Nationale Semencière (PSN) adopté en 2012, il fait une bonne place aux mesures de prévention et à un plan de secours d’urgence permettant de subvenir, dans les cas d’urgence déclarée, aux besoins des populations en semences adaptées aux conditions du pays. -
Multiplication des plantes maraîchères par semis
Conseil d'un horticulteur pépiniériste sur la multiplication des plantes par semis -
Techniques de production de semences de niébé de bonne qualité
Etapes et techniques pour la production de semences de niébé de bonne qualité -
Fiche technico-économique pour la culture de chou
Cette fiche aborde plusieurs sujets : comment cultiver le chou, choisir les semences, entretenir une culture de chou, et le commercialiser -
La culture du niébé
Cette fiche technique explique comment cultiver le niébé -
Annuaire National 2020 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger
L’Annuaire National de disponibilité en semences des variétés améliorées, institué depuis 2010 par le Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage est un précieux référentiel qui met à la disposition des utilisateurs des semences, les détails essentiels sur les acteurs (producteurs semenciers et agriculteurs multiplicateurs) de la chaine de production en fournissant des renseignements sur :
leurs localités ;
leurs contacts ;
les espèces ;
les variétés produites;
les catégories de semences disponibles ;
les quantités produites ;
et ainsi que les éléments de traçabilité de chacun des lots de semences acceptés par les inspecteurs semenciers assermentés et codifiés par la Direction du Contrôle et Certification des Semences -
Coopératives et valorisation des blés de qualité au Maroc (2007–2009)
Cette affiche porte sur la production et la valorisation du blé tendre de qualité au Maroc -
La récolte du Mil à GABI région de Maradi : les étudiants de l’UDDM de Maradi s’engagent dans la vulgarisation des semences améliorés dans leurs terroirs
Mr ELH MAHAMANE Rabé est étudiantrégulièrement inscrit en Master II Science de production végétale à l’Université Dan Dicko Dankoulodo de Maradi (UDDM). Lors du module sur la gestion des risques climatiques des cultures pluviales, enseigné par Dr Hannatou Moussa, chercheur au CERRA-INRAN Maradi, le professeur a présenté les caractéristiques d’une variété précoce de mil, la variété Chakti qui a un cycle de 50 à 60 après semis. -
Guide de production des semences de riz
Ce guide pratique a pour but d’appuyer les groupes d’agriculteurs producteurs de semences de riz à améliorer la qualité des semences qu’ils vont produire. Il se veut une contribution à l’amélioration de la production rizicole au Mali. -
Les variétés améliorées de pastèque disponibles au Niger avec des conseils pour la culture : Liste au 31 juillet 2020
La culture de la pastèque se pratique dans toutes les régions du Niger et de plus en plus en toutes saisons. La pastèque est une plante annuelle, originaire d’Afrique tropicale, appartenant à la famille des cucurbitacées,comme la courge, la calebasseou le melon.La pastèque est une espèce rustique, très résistante à la chaleur et à la sécheresse, elle peut être cultivée en saison des pluies bien qu’elle soit plus sensible à l’éclatement.C’est une plante rampante qui demande des sols aérés riches en matières organiques. La récolte peut intervenir de 75à 90 jours après la mise en culture. La pastèque est très exigeante en chaleur et en lumière. -
La production de semences maraîchères
Pour réussir une culture semencière, les techniques culturales préconisées sont d’abord celles qui permettent d’optimiser le rendement d’une culture destinée à la consommation. En effet, la production de semences sur une plante ne peut être maximisée que si celle-ci a une croissance vigoureuse, un développement normal,
une floraison abondante, une fructification maximale et un état sanitaire parfait. -
Produire des semences de courgette dans un itinéraire agrobiologique
Cette fiche technique porte sur la production de semences de courgette dans un itinéraire Agrobiologique
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Produire des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique
La présente fiche porte sur la production des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences d'oignon dans un itinéraire agrobiologique
Cette présente fiche porte sur la production des semences d'oignon dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences de céréales dans un itinéraire agrobiologique
Cette présente fiche porte sur la production des semences de céréales dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences de carotte dans un itinéraire Agrobiologique
Cette fiche porte sur la production des semences de carotte dans un itinéraire Agrobiologique -
Produire des semences de chou dans un itinéraire agrobiologique
Ce document porte sur la production des semences de choux dans un itinéraire Agrobiologique -
Produire des semences de laitue dans un itinéraire agrobiologique
Ce guide porte sur la production des semences de Laitue dans un itinéraire agrobiologique -
Démarrer ses cultures avec des plants sains
Les maladies transmises par les semences sont causées par différents bio agresseurs : bactéries, virus, champignons, qui peuvent parfois survivre jusqu’à 2 ans sur la graine comme la pourriture noire (Xanthomonas campestris). Les symptômes sont très variables et surviennent à différents stades physiologiques des plantes. Pour éviter les maladies, mieux vaut démarrer la culture avec des plants sains. -
Produire des semences fourragères en agriculture biologique : Des techniques en évolution
Ce document porte sur la production des semences fourragères en agriculture biologique -
Le sorgho
Ce nouvel ouvrage de la série végétale traite d’une céréale d’origine africaine d’importance, le sorgho, qui occupe la 5e position au monde (venant après les quatre céréales principales que sont le maïs, le riz, le blé et l’orge). Le sorgho est néanmoins, dans bien des régions intertropicales, en Afrique surtout, une culture vivrière primordiale dans les agricultures familiales des zones semi-arides et subhumides où il joue un rôle de culture alimentaire de subsistance. Sa rusticité, ses exigences modérées en eau et la résistance à la sécheresse des variétés locales utilisées sont des qualités essentielles pour les agriculteurs dotés de moyens techniques modestes. -
La culture du haricot nain au Sénégal
Ce guide synthétise les connaissances acquises sur la culture du haricot nain au Sénégal -
Catalogue ouest africain des espèces et variétés végétales : 2008
Conformément à la décision de dix-sept pays d’Afrique de l’Ouest et Centrale membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et du Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS) sur l’organisation du Catalogue ouest africain des espèces et variétés végétales (COAFEV), ce document présente la liste limitative des variétés ou types variétaux dont les semences peuvent être produites et commercialisées sur le territoire constitué par ces dix-sept pays.
Il est constitué par la somme des variétés inscrites dans les catalogues nationaux des États membres. Pour être inscrite au Catalogue ouest africain des espèces et variétés végétales, une variété doit être préalablement inscrite à un catalogue national. -
Production de plants de pomme de terre indemnes de maladies
Cette fiche porte sur la production de plants de pomme de terre indemnes de maladies -
Les semences dans les situations d’urgence : manuel technique
Cette publication constitue une étape vers l’amélioration de la qualité et de l’efficacité des semences distribuées lors des opérations d’urgence. Il est nécessaire de comprendre les principaux aspects techniques des semences pour planifier et pour réaliser les évaluations sur la sécurité semencière ainsi que pour fournir des semences de qualité aux ménages vulnérables. Ce manuel a pour objectif de mettre à disposition du personnel de terrain chargé de ces opérations, les connaissances techniques de base requises. -
Connaissances paysannes sur la conservation du sorgho et du mil dans le département d’Aguié au Niger
Cet article porte sur la conservation du sorgho et du mil dans le département d’Aguié au Niger -
Systèmes Appropriés de Stockage des Semences et des Grains pour les Agriculteurs à Petite Échelle : Pratiques clés pour les praticiens de la Réduction des Risques de Catastrophes
Ce document contient des directives pratiques sur les installations et les méthodes de stockage pour aider les exploitants agricoles de l’Afrique australe qui sont fortement exposés aux aléas naturels, tels que les cyclones, les sécheresses et les inondations principalement. -
Les Banques de Semences Communautaires. Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) - Guide de l’animateur
Le but de ce module est de fournir des informations aux formateurs des Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) afin qu’ils soient en mesure de parler des banques de semences communautaires, et en particulier de leur importance en ce qui concerne la sécurité semencière et alimentaire, l’agro-biodiversité et l’agriculture durable. Une série de discussions en petits groupes, de jeux de rôles, de saynètes et d’études de cas permettront de mettre en lumière le sujet des banques de semences communautaires. -
Production du niébé en Afrique de l’Ouest : Guide du paysan
Ce guide se fonde sur les travaux menés par l’ITTA et les partenaires de la recherche pour le développement, ainsi que sur les expériences qu’ils ont accumulées en matière de systèmes à base de niébé en Afrique de l’Ouest. L’objectif de ce manuel est d’aider les paysans, agents vulgarisateurs et chercheurs du Nigeria, du Niger, du Mali et d’autres pays ouest-africains à cultiver le niébé à profit. -
Produire des semences en agriculture biologique : connaître les principes techniques de base
Ce document présente les principes techniques de base pour la production de semences en agriculture biologique -
Méthodes à faible teneur en oxygène pour traiter les insectes dans des graines
Cet article résume plusieurs méthodes avec lesquelles j'ai fait des expériences pour traiter divers types de charançons dans des graines stockées. Les récipients de graines peuvent varier en taille, des petits pots aux barils/fûts, mais doivent être étanches à l'air pour que ces techniques fonctionnent. Les techniques sont pertinentes pour des graines stockées en vue d’une plantation domestique ou de la consommation des grains; elles peuvent également être appliquées par les banques de semences communautaires à la recherche d'alternatives de contrôle à faible coût aux protecteurs chimiques et aux fumigants -
Production de mil après une jachère de 6 ans dans le sud-ouest du Niger. Effets d'un apport de fumier de bovins et de deux types de fumure minérale.
Le présent essai de culture de mil a été mis en place pour 4 ans et a pour but : de mettre au point et de vulgariser en milieu paysan quelques techniques simples de restauration et de maintien de la fertilité après remise en culture de jachères de courte durée de suivre l'incidence de la jachère et des techniques d'amélioration de la fertilité sur l'activité des ennemis des cultures, notamment les maladies diverses et le striga. -
Effets de I'apport de bouses de zébus sur les composantes
du rendement du mil, sur les mauvaises herbes et sur l'encroûtement superficiel
du sol au NigerCe présent document porte sur les effets de I'apport de bouses de zébus sur les composantes du rendement du mil, sur les mauvaises herbes et sur l'encroûtement superficiel du sol au Niger -
Dynamiques écologiques et sociales, diversification des variétés des mils et transformation des systèmes de production au Niger
Cette réflexion s’appuie sur plusieurs constats: le mil est allogame mais les savoirs locaux sont muets sur le système de reproduction
sexué; des hybridations et recombinaisons existent entre formes domestiques, sauvages et intermédiaires (appelées soun, présentes même en l’absence de formes sauvages). Les dynamiques complexes, sociales et écologiques, ont eu des conséquences en termes de structures des exploitations, gestion des terres et des cultures. Ces changements opèrent aux différents niveaux de lecture des composantes génétiques de la biodiversité avec, à terme, un risque de déstructuration des qualités d’adaptation des variétés aux conditions locales. -
Connaissance locale de la variabilité de surface du sol et des contraintes associées pour la production du niébé en zone sahélienne du Niger
Le présent guide porte sur la connaissance locale de la variabilité de surface du sol et des contraintes associées pour la production du niébé en zone sahélienne du Niger -
Outils de formation pour la production de semences de qualité -
Module 1 : Le développement d’entreprises semencières à petite échelleLes petites entreprises privées permettent d’assurer la diversité du système d’approvisionnement de semences et de renforcer la concurrence au sein de celui-ci. Elles sont en contact étroit avec les agriculteurs et, de ce fait, engendrent des coûts de transport, de distribution et de supervision réduits par rapport à ceux des grandes entreprises semencières. Cependant, la création et la gestion de petites entreprises semencières requièrent des connaissances et des compétences techniques spécifiques. Ainsi, l’orientation et la formation peuvent jouer un rôle considérable. -
Outils de formation pour la production de semences. Module 6: Entreposage des semences
L’entreposage des semences est la conservation des semences dans des conditions d’environnement contrôlé afin de préserver la viabilité des semences (germination et vigueur) sur de longues périodes entre le moment de la récolte et celui où les semences
traitées sont semées par l’agriculteur. -
Étude diagnostique des principales contraintes de la culture du niébé (Vigna unguiculata L. Walp) dans les régions de Maradi et Zinder au Niger
Le niébé (Vigna unguiculata L. Walp) est une culture alimentaire importante au Sahel. Son rendement est bas par rapport au potentiel de la plante. Pour identifier les principaux facteurs responsables de la baisse de rendement, une enquête a été conduite au niveau de 22 villages des régions de Maradi et Zinder. La pression parasitaire a été évoquée par 31,6 % des répondants, la sécheresse de fin de cycle par 31,6 %, la pauvreté des sols par 30,2 %, l’utilisation des matériels agricoles rudimentaires par 1,8 %, le conflit foncier par 1,6 % et le manque de variétés améliorées par 3,5 %. -
Bilan-diagnostic sur la production du mil et du sorgho
Le mil et le sorgho sont les deux principales céréales de l’agriculture au Niger tant du point de vue des superficies emblavées, de la production que de leur contribution au stockage de l’alimentation. Ainsi, les deux plantes sont cultivées dans les toutes les régions du pays et y occupent une place privilégiée sauf dans l’Aïr. Malgré cette position privilégiée de ces deux céréales, le Niger, du fait de ses caractéristiques climatiques marquées par des sécheresses périodiques, mais de plus en plus fréquentes depuis pratiquement trois décennies, est devenu structurellement déficitaire. Et toutes les régions en sont marquées. -
# Dossier photographique : Production de semences de mil "Chakti"en irrigué à Tiédjef , Balleyara (Tillabéri).
Salou Ouou est producteur de semences de mil "Chakti"en irrigué à Tiédjef , Balleyara (Tillabéri). Chakti est la première variété précoce de mil biofortifié créée en Afrique par des sélectionneurs de l’Institut international de recherche sur les cultures des zones tropicales semi-arides (ICRISAT), avec la participation des chercheurs de l’INRAN du Niger et d’autres pays sahéliens. tolérante aux fortes températures, ce qui fait de Chakti, une culture dite « climato-intelligente » adaptée aux zones arides et aux changements climatiques. -
Les semences de tomate disponibles au Niger
Au Niger, la tomate est cultivée dans toutes les régions. Cependant, les productions demeurent beaucoup plus faibles pendant la période de saison sèche chaude et la période d’hivernage. En général, les sachets ou boites de semences ne donnent pas d’informations sur la variété proposée : période de culture, caractéristiques, techniques à suivre et surtout résistance* 1 ou tolérance* à certaines maladies présentes au Niger. De plus, si la photo du sachet donne la forme de la tomate, elle ne permet pas de juger de la taille des fruits, ce qui trompe souvent les producteurs. Cette liste a pour objectif de permettre aux productrices et producteurs de mieux choisir la ou les variétés à mettre en culture en fonction de la période, de la taille des fruits, des maladies pouvant être présentes dans leurs parcelles. -
Culture du blé dans la région d'Agadez
Cultivée dans la plupart des jardins en saison sèche froide, le blé est produit une seule fois dans l’année dans l’Aïr. Il a un cycle de 120 jours (4 mois). La période propice au premier semis du blé est généralement début novembre et il existe selon les dires des producteurs 4 périodes de semis au delà desquelles la culture devient impossible. -
Rapport d’évaluation des récoltes de la campagne agricole d'hivernage 2016
La campagne agricole d'hivernage 2016 a démarré à partir de la première décade du mois d'avril occasionnant des semis partiels de mil au niveau de 69 villages des régions de dosso et tillabéry -
Semences de tomate disponible au Niger: première version
Au Niger la tomate est une culture de grande consommation très prisée par les consommateurs. Elle est cultivé dans toutes les régions. Cependant les productions demeurent beaucoup plus faibles pendant la période de la saison sèche et la période d'hivernage -
Principaux cultivars du manguier(Mangifera indica)au Bénin et leur importance socio-économique.
Le manguier était déjà présent en afrique de l'état dès le XIV eme siécle mais ce n'est qu'au début du XIX eme siécle... -
Analyse des échantillons des semences du riz paddy
La semence est à juste titre le levier de commande du développement de l’agriculture car elle constitue, le premier élément à travers lequel sont valorisés les autres facteurs de la chaine de production. -
Bibliographie analytique sur la culture du mil au Niger de1960 à 1992
La culture du mil a connu une transformation ces dernières années.La reorganisation du monde rural permettra d'évaluer ces changements -
Projet semencier
La faible productivité de l'agriculture pluviale nigerienne due en grande partie à une pluviosité faible et irrégulière a nécesité la creation d'aménagements hydro-agricoles pour améliorer la situation alimentaire des populations -
Note de capitalisation des activités d’ingénierie sociale conduites par la CRA autour du comptoir de commercialisation du niébé de Magaria (financement PECEA)
Le niébé, appelé en haoussa waké, est l’une des principales cultures de rente de la région de Zinder. Les principales zones de production de niébé sont les départements de Mirriah, Magaria, Gouré, Kantché, Doungass et Tanout.
La production de niébé de la région de Zinder est estimée à 525 000 tonnes sur une production totale de 2 380 000 tonnes au Niger (MAGEL), soit 22%. La région de Zinder est, avec Tillabéri, la région de plus forte production.
Le comptoir de commercialisation du niébé de Magaria a été construit sur financement du Programme de Promotion de l’Emploi et de la Croissance Economique dans l’Agriculture (PECEA), financé par la Coopération Danoise et l’Etat du Niger en 2020. La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Zinder a réalisé un diagnostic sur la chaine de valeur niébé qui a permis de distinguer différents bassins de production. Lors de ce diagnostic, les acteurs de cette chaine de valeur ont exprimé la demande de construction d’un comptoir de commercialisation à Magaria compte tenu de l’importance de cette culture dans le département. -
Multiplication de la variété de mil Chakti en irrigation par un semencier de Tagazar/Tillabéri
Chakti est la première variété précoce de mil biofortifié créée en Afrique par des sélectionneurs de l’Institut international de recherche sur les cultures des zones tropicales semi-arides (ICRISAT), avec la participation des chercheurs de l’INRAN du Niger et d’autres pays sahéliens. Cette variété a été mise au point par des techniques conventionnelles d’amélioration des plantes (ce n’est pas une plante OGM). Chakti a été homologué au Niger en 2018.
Chakti contient plus de 65 mg/kg de fer alors que les autres variétés des agriculteurs sont à environ 47 mg/kg. En plus la variété est précoce (68 jours). Elle est également tolérante aux fortes températures, ce qui fait de Chakti, une culture dite « climato-intelligente » adaptée aux zones arides et aux changements climatiques. -
Repiquage de mil : stratégie d’adaptation aux incertitudes des saisons des pluies par les producteurs de Bitinkodji et de Torodi dans la Région de Tillabéri
Le repiquage de mil consiste à arracher le surplus des plants de mil des poquets ayant levé pour être repiqués dans les poquets ayant échoué ou dans un autre endroit préparé pour les recevoir dans un même champ ou dans un autre pendant la campagne pluviale. Le plus souvent après un semis direct (sans labour), le repiquage est fait au cours du premier sarclage couplé avec le démariage. Cette opération intervient au moins un mois après le semis. Cette pratique est faite par les producteurs des localités des communes de Torodi et de Bitinkodji de la Région de Tillabéri, depuis très longtemps. Elle est pratiquée pour le mil mais aussi pour d’autres cultures comme le sésame, le sorgho, l’oseille en saison des pluies. Le repiquage de mil est une pratique agricole véritablement « climato-intelligente » dans notre contexte sahélien et d’aléas climatique sans précédent. Les producteurs qui pratiquent le repiquage du mil atténuent les variabilités pluviométriques et s’adaptent aux changements climatiques. -
Production de semences améliorées dans la région de Tillabéri - Note de travail n°2
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Tillabéri est engagée dans les activités prévues par le Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible aux risques Climatiques (PASEC). Dans le cadre du PASEC, il est attendu que la CRA fournissent des informations aux producteurs et productrices. Afin de préparer une information précise, la CRA a regardé les disponibilités en semences pour la campagne 2018 dans la région de Tillabéri à partir des données de « l’Annuaire National 2018 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger » élaboré par le Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage. Cette note présente les structures qui ont produit des semences améliorées dans la région de Tillabéri et des informations sur les points de vente. -
Promotion de l'utilisation des intrants agricoles par les organisations de producteurs
disponibilité en semence amelioraées : Niger-campagne 02Pour la deuxième année consécutive,le projet intrants/FAO et le SICCLA/DA ont mené une enquête concernant la production et les multiplicateurs de semences améliorées au niger -
Multiplication et diffusion de semences de qualité des variétés améliorées et adaptées au changement climatique - Fiche de bonne pratique
La bonne pratique portant sur la multiplication et diffusion de semences de qualité des variétés améliorées a été mise en œuvre au Niger par la FAO en collaboration avec les structures du Ministère en charge de l’Agriculture, les institutions de recherche agricole (INRAN et ICRISAT), les organisations des producteurs agricoles au sein desquelles, les agriculteurs‐multiplicateurs ont émergé et sont devenus des professionnels de semences.
Elle a été mise en œuvre dans le but de renforcer la disponibilité en semences de qualité, de créer les conditions d’une réponse rapide et facile aux besoins importants en semences de qualité dans les situations d’urgences agricoles, de renforcer la résilience des organisations paysannes à travers la production, la commercialisation de semences de qualité pour améliorer leurs revenus et relancer la filière semencière au Niger. -
Caractérisation de la diversité génétique de cultivars d’oignon (Allium cepa L.) du Niger en vue de leur conservation in situ et de leur amélioration
Cinquante-deux écotypes nommés ont été inventoriés, mais après analyse et regroupement des synonymes, il ressort que dix-sept écotypes sont cultivés au Niger. Les principaux critères des paysans pour caractériser un écotype local sont la couleur des bulbes et la zone de provenance. Les variables quantitatives et qualitatives les plus distinctives entre les écotypes d’oignon sont la longueur et le diamètre des feuilles, le poids des bulbes, la couleur des feuilles, la forme et la couleur des bulbes, l’uniformité de la forme et de la couleur des bulbes. -
Itinéraires techniques de production de niébé de qualité
Le raccourcissement de la saison pluvieuse et la mauvaise répartition des pluies au Niger dû aux manifestations des changements climatiques, exigent que les pratiques agricoles soient revues et adaptées à ces nouvelles conditions afin d’assurer une résilience des agriculteurs. Ces pratiques d’adaptation peuvent se faire à travers une bonne maîtrise des itinéraires techniques des principales cultures (mil, sorgho, niébé, etc…). C’est dans ce cadre que cette fiche a été élaborée pour décrire ainsi les itinéraires techniques à suivre par les producteurs pour une production de niébé de qualité au Niger. -
Culture du mil [Pennisetum glaucum (L) R. Br] et ses contraintes à la production: une revue
Le mil est la culture sahélienne par excellence du fait de son adaptation aux conditions particulières de production dans cette région. Le Niger est le deuxième pays producteur du mil en Afrique après le Nigeria. Le mil se trouve être caractéristique des systèmes de culture les plus dominants occupant plus de 65% de la superficie emblavée. Cependant, la croissance et la productivité du mil sont entravées par l’incidence des maladies fongiques telle que le mildiou du mil causé [Sclerospora graminicola (Sacc)], des insectes comme la chenille mineuse de l’épi [Heliocheilus albipunctella (De Joannis)], des foreurs de tiges [Coniesta ignefusalis (Hampson)], des adventices et des oiseaux. A ceux-ci s’ajoutent un bilan hydrique déficitaire, la baisse progressive de la fertilité des sols, la mise en culture des terres marginales et l'absence de jachère.
Cette synthèse bibliographique offre une vision des travaux de recherches scientifiques conduits sur la culture du mil, ses contraintes à la production et permet de mieux orienter les futures recherches à mener dans la lutte contre les bioagresseurs du mil tels que le mildiou et le foreur des tiges du mil afin d’améliorer le rendement de cette céréale combien importantes dans les zones arides et semi-arides. -
Annuaire National 2021 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger
Le Ministère en charge de l’agriculture a institué depuis 2010 l’élaboration d’un annuaire national de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger.
La production 2020 (semences disponibles pour la campagne 2021) est de 9 811 tonnes de semences toutes espèces, variétés et catégories confondues contre 8 326 tonnes en 2019. Le report des semences de l’année précédente est quasi nul (26 tonnes) donc la totalité des semences disponibles en 2020 a été distribuée ou vendues.
L’Annuaire National est un référentiel qui met à la disposition des utilisateurs des semences, les détails essentiels sur les acteurs (producteurs semenciers et agriculteurs multiplicateurs) de la chaine de production -
Le sésame au Niger : d’une culture de case à une culture de rente
L’appui aux femmes membres de l’Union Sirba Bonkaney, mené par la Fédération des coopératives maraîchères du Niger et ses partenaires, leur a permis d’être mieux structurées et de renforcer leurs capacités organisationnelles et techniques en matière de transformation du sésame. L’initiative a apporté une augmentation significative des rendements du sésame et des revenus des transformatrices. -
Les semences paysannes du Niger dans le cadre réglementaire et les politiques semencières
Alors que l’industrie semencière ne cesse de gagner du terrain, les systèmes semenciers paysans traditionnels du Sud subissent des pressions croissantes. La plupart des pays adoptent des lois semencières à l’insu et/ou sans la participation effective des paysans directement concernés. Ces lois restreignent l’utilisation des semences paysannes en faveur du commerce et de la protection des variétés de semences industrielles.
Combattre l’ignorance par l’information et la formation constitue l’une des solutions clés pour faire face au puissant lobby de l’industrie semencière. Et c’est à cet effet que SWISSAID, avec le soutien de BEDE, a élaboré la présente brochure pour sensibiliser les paysans et les paysannes nigériens ainsi que les organisations qui les représentent. Cette brochure réunit dans un même document le cadre juridique et les directives politiques en vigueur au Niger. Les recommandations formulées dans la brochure ont d’ores et déjà été relayées par la plateforme d’agroécologie nigérienne Raya Karkara, qui défend les systèmes semenciers paysans traditionnels mis à mal par l’industrie semencière -
Des semences du passé adaptées au présent et à l’avenir - Le petit mil noir et l’oignon blanc, deux semences paysannes qui font leur retour au Niger
Au Niger, le changement climatique et les facteurs économiques pèsent sur les conditions de vie des producteurs agricoles. Faussés par la promesse de meilleurs rendements, bon nombre de producteurs nigériens ont abandonné leurs pratiques agricoles et les variétés paysannes pour adopter des nouvelles pratiques parfois inappropriées. Ce cas traite du mil noir et de l’oignon blanc, deux variétés paysannes que tentent de préserver des organisations paysannes avec l’appui de certains acteurs. Et ce dans un contexte où les politiques sont plus favorables à un système semencier certifi é. Il fait état de l’engagement des petits producteurs à restaurer les variétés paysannes pour résoudre les problèmes socio-anthropologiques et de productivité agricole. -
Étude critique du cadre juridique et des dispositifs politiques sur les semences au Niger
Cette étude a pour objectif d'analyser de matière objective la loi semencière complémentaire 2014-067 du 05 novembre 2014 existant au Niger et son implication sur les petits paysans, en identifiant à la fois les risques et les opportunités qui pourront servir de porte d’entrée à la défense des semences locales et paysannes.
En outre il s'agira aussi d'analyser toutes les options prises par l'État dans le secteur semencier ainsi que leurs impacts sur le droit à l'alimentation et la propositions pertinentes et réalistes d'amélioration sur la réglementation semencière afin de la rendre plus favorable aux petits producteurs ruraux. Elle identifiera entre autres des actions clés à mener ainsi que les cibles, les messages pour une influence positive. -
Catalogue Régional des Espèces et Variétés Végétales CEDEAO-UEMOA-CILSS - Variétés homologuées 2016-2018
Les variétés homologués des cultures suivantes : riz, maïs, sorgho, mil, arachide, niébé, manioc, igname, pomme de terre -
Disponibilité en semences améliorées : Niger campagne 02
Pour la deuxième année consécutive (2000-2001 et 2001-2002),le Projet Intrants/FAO et le SICCLA/ DA ont mené une enquête concernant la production et les multiplicateurs de semences améliorées au Niger. -
Annuaire national 2016 de disponibilité en semences améliorées au Niger
Au Niger, le secteur rural reste le plus grand pourvoyeur d’emploi et contribue plus que tout autre secteur au PIB par habitant constituant pour ainsi dire l’un des secteurs productifs capable de tirer la croissance économique de notre pays. La contribution de l’agriculture à l’essor national est hélas perpétuellement entravée par la faible capacité de production agricole. Même si les effets néfastes des variabilités climatiques en sont pour quelque chose, la faible utilisation des intrants (semences, engrais et pesticides), demeure un facteur limitant dans l’accroissement de nos rendements.
Depuis 2010, l’annuaire national de disponibilité de semences améliorées a apporté un changement positif dans le fonctionnement de la filière semencière au Niger et contribue de plus en plus à lever les contraintes d’accès à cet intrant fort utile aux producteurs. En termes de disponibilité, celle-ci est passée de moins de mille tonnes en 2010 à plus de 12 mille tonnes en 2015 avant de chuter à moins de 9000 tonnes en 2016. Cette chute drastique, s’explique par une mévente de la production de 2015 où plus de 3000 tonnes sont restées avec les producteurs. Cette situation aura entre autres comme conséquence la baisse du taux d’utilisation de la semence de qualité au Niger. Selon une étude menée en septembre 2014 dans trois (3) communes de la région de Tillabéri, le taux d’utilisation des semences de qualité ne dépasse pas 9% et le reste provient de la production propre du producteur, des achats sur les marchés locaux ou des aides sociales. -
Catalogue des valeurs recommandées de mil, sorgho, niébé et autres cultures du Niger
Le catalogue des variétés recommandées de mil, sorgho, niêbé et autres cultures est un moyen efficace permettant aux Agents et cadres chargés de la diffusion de mieux connaitre les variétés, de mieux les identifier et les apprécier. Cette familiarisation avec les caractéristiques des variétés vous facilitera les analyses de pureté au laboratoire et d'autres tests pratiqués pour déterminer la qualité des semences. Ce document a un caractère essentiellement pratique ; et peut être considéré comme la base et la référence pour l'élaboration d'une législation semencière nationale. Ces variétés d6veloppées par la Recherche agronomique et vulgarisées par le Service de l'agriculture, donnent des bons résultats lorsque les canditions pluviométriques sont satisfaisantes. Leur répartition doit tenir compte des conditions spécifiques de chaque zone. En effet, toutes les variétés développées par la recherche agronomiques peuvent être acceptées par le Comité National des semences eu égard à leur performance et d'autres critères intéressants permettant leur inscription dans le catalogue. -
Coopérative de Saadiya Aval : Ferme semencière
Le présent devis programme est le quatrième élaboré après celui du démarrage dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d'Appui à la Filière Riz. Il est d'une durée de 12 mois à compter du 1er janvier 2006 et devrait consolider les bases d'intervention du Programme et annoncer l'autorisation des structures mises en place afin d'assurer leurs pérennité. -
Disponibilité en semences pour la campagne 2005
Depuis l'an 2000, la Direction des Cultures Vivrières (DCV), à travers son Service des Intrants, du contrôle de conditionnement et de la Législation Agricole (SICCLA) avec l'appui financier et méthodologique du Projet de Promotion de l'utilisation des Intrants Agricoles par les Organisations des Producteurs (Projet Intrants MDA), a continué annuellement à mener des enquêtes sur la disponibilité en semences. En début de chaque campagne d'hivernage, le SICCLA mène une sensibilisation dans toutes les régions et place des fiches d’enquêtes au niveau des producteurs ou associations. -
Catalogue National des Espèces et Variétés Végétales (CNEV)
La règlementation semencière ouest africaine adoptée le 18 mai 2008 par les pays de la CEDEAO prévoit en son article 9 alinéa 3, un Catalogue National des Espèces et Variétés Végétales (CNEV) par pays. Ce catalogue comprend 110 variétés pour 11 cultures. -
Étude sur la sécurité semencière : Guide du praticien
Le système semencier fait référence aux différents moyens utilisés par les agriculteurs en vue d’obtenir des semences. Les sources de semences peuvent être regroupées en sources du secteur ‘formel’ et sources du secteur ‘informel’. En termes de quantités de semences utilisées par les petits producteurs, le secteur informel est de très loin le plus important, comptant environ 80-90 pour cent du total du stock de semences utilisées. -
Amélioration de la disponibilité des fourrages par la diversification des systèmes de cultures à base du mil en zone agricole au Niger
La pratique de l’élevage en mode sédentaire et l’insuffisance du pâturage en toute saison de l’année, commandent aux agro-éleveurs du Niger la diversification des systèmes de cultures pour augmenter la disponibilité du fourrage et la production grain en vue de satisfaire les besoins de la population et du cheptel.
Pour cela, la diversification des systèmes de cultures à base du mil est indispensable. Notre étude s’est intéressée à l’association mil /niébé, mil / oseille, mil / niébé / oseille et niébé/ oseille avec une densité au semis de 0,8m x 0,8m en lignes intercalées. Les résultats obtenus montrent que les systèmes de cultures associées mil / niébé / oseille »et « mil / niébé » sont les plus intéressants en offrant des avantages en production de biomasse avec un LER respectif de 48 % et 41 % et en production grain, l’avantage est de 20 % pour le premier système et 33 % pour le second. Cependant, le niébé et l’oseille donnant d’autres produits de grande valeur économique comme les cosses pour le niébé et le calice pour l’oseille, une analyse économique est nécessaire pour bien dégager le système de culture le plus rentable pour les producteurs. -
La culture du sorgho de décrue en Afrique de l'ouest et du Centre
Le sorgho de décrue est cultivé traditionnellement dans de nombreuses localités isolées du Sahel. Les principales zones de culture de ce sorgho sont majoritairement situées dans les lits des fleuves Sénégal et Niger, les cuvettes et les barrages. L'irrigation introduite à la suite de la sécheresse des années 70 et 80 occupe aujourd'hui une bonne partie des lits des fleuves. L'expansion de la culture se fait en Mauritanie à travers l'aménagement de barrages et le contrôle des décrues. -
L'économie mondiale du sorgho et du mil: Faits, tendances et perspectives
L'économie mondiale du sorgho et du mil: faits, tendances et perspectives est le résultat d'une étude menée en collaboration par la FAO et l'ICRISAT. Ce document examine la structure actuelle de l'économie mondiale de ces deux cultures,et analyse la situation de l'offre et de la demande, actuelle et projetée. Plusieurs tendances ressortant de cette analyse sont examinées, ainsi que leurs éventuelles implications pour la recherche. Le document examine également les principaux obstacles à la production de sorgho et de mil, ainsi que les options en matière de politique qui pourraient contribuer à accroître la production et la qualité de ces cultures dans l'ensemble des régions tropicales semi-arides. -
Afrique : une politique semencière sous influence
La révolution agricole de l’après-guerre a organisé et déployé la commercialisation en Europe de variétés sélectionnées et homogènes. Cette généralisation fut telle qu’aujourd’hui les paysans européens n’ont plus le droit de disposer comme ils l’entendent des semences de variétés anciennes très diversifiées qu’ils ont sélectionnées au cours du temps. L’Afrique subsaharienne est restée à l’écart de cette intensification agricole que l’on a appelée « révolution verte » en Asie et en Amérique latine. Dans le modèle agricole promu à partir des années 1950, le fer de lance de la modernisation a été la généralisation de variétés hybrides ou de lignées pures créées pour être performantes dans les conditions de culture artificialisées, c’est-à-dire non limitantes en termes d’eau et d’intrants agricoles.
Cette politique d’intensification a été accompagnée d’un dispositif réglementaire, celui de l’Union des professionnels pour la protection des obtentions végétales (UPOV), taillé sur mesure pour un seul type variétal, celui des lignées et des hybrides dont les génotypes sont fixés, contrairement aux variétés-populations d’antan.
En Afrique, les systèmes vivriers sont généralement économes en intrants, résilients, sources d’agrobiodiversité et de sauvegarde des savoirs écologiques traditionnels locaux. De tels systèmes incluent des variétés-populations anciennes dont la valeur adaptative est avérée. On sait aujourd’hui que la sélection moderne en fixant les génotypes et en minimisant l’hétérozygotie au niveau paysan limite l’expression de cette adaptabilité. Les agriculteurs sélectionnent, échangent ou vendent leurs semences dans des systèmes traditionnels dits informels. Ces systèmes prédominent en Afrique, la sélection, la production de semences et leur diffusion y sont organisées par les paysans eux-mêmes. Ces modes de production de semences sont principalement vivriers et très diversifiés selon les espèces, les espaces et les contextes socioculturels. -
Guide de bonnes pratiques de production de l’oignon au Mali - Vol.3 Production de semences brutes de la variété Violet de Galmi
Contrairement à l’échalote, la culture de l’oignon est récente au Mali. Fort de l’expérience acquise au cours des premières sessions de formation, le Projet d’Appui aux Filières Agricoles (PAFA) a décidé de capitaliser les acquis sous la forme de guides et d’affiches couvrant différents maillons critiques dans la production de l’oignon au Mali que sont la conduite de la pépinière, la conduite de la culture et la conservation. Ces outils didactiques visent à compléter le dispositif de formation existant avec des supports voués à une large diffusion, et accessibles aux producteurs et productrices peu ou pas alphabétisés.
Richement illustré, ce guide fait suite à celui consacré à la conduite d’une pépinière d’oignon au Mali. Il fournit des conseils sur les bonnes pratiques à adopter dans la conduite de la culture de l’oignon. Les bonnes pratiques y sont abordées et traitées comme une série d’opérations consécutives (étapes).
Le troisième volume du guide (VOL. 3) concerne spécifiquement
la production de semences graines brutes d’oignon rouge de la
variété Violet de Galmi. Après production et conservation en
année 1, les bulbes mère sont triés et plantés en année 2 puis cultivés jusqu’à floraison, maturation et récolte des ombelles.
Ces dernières sont alors égrainées pour obtenir la semence
brute (étapes 10 à 13) qui sera traitée et conditionnée en vue
de la commercialisation (étape 14). -
Préparatif de la campagne agricole d'hivernage 2014 et renforcement du dispositif de production, de contrôle et de certification des semences
Le Niger tout comme les autres pays de l'espace communautaire doivent mettre en place un dispositif d'inspection au champ et de contrôle de qualité au laboratoire depuis 2009. Des équipes d’inspecteurs formées depuis 2010 pour gérer les programmes régionaux de multiplication de semences et de travaille sur la base d'une programmation régionale annuelle et des déclarations de cultures permettant de mobiliser les moyens pour assurer les missions de contrôle au champ par les équipes d'Inspecteurs. -
Répertoire provisoire des producteurs de semences du Niger
Le présent document est un répertoire qui relève les différents produits agricoles (semences) dans les régions, les départements, les communes et les localités du Niger. -
Annuaire National 2020 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger
Au Niger, le Programme de la Renaissance place aussi les semences des variétés améliorées à une position essentielle pour l’atteinte des objectifs de sécurité alimentaire et nutritionnelle, notamment la « Faim Zéro d’ici 2021 ». C’est pour cette raison qu’une augmentation annuelle de 20% de superficies emblavées en semences des variétés améliorées est escomptée afin d’atteindre un niveau de production qui va permettre de résorber les déficits céréaliers de plus en plus récurrents. -
Annuaire National 2018 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger
La semence est à juste titre le levier de commande du développement de l’agriculture car elle constitue, le premier élément à travers lequel sont valorisés les autres facteurs de la chaine de production. C’est cet état de fait qui a conduit les institutions d’intégration sous régionale (CEDEAO, UEMOA, CILSS) a assainir la filière semencière en élaborant un règlement régional portant harmonisation des règles régissant le contrôle de qualité, la certification et la commercialisation des semences végétales et plants dans leurs espaces communs. -
Annuaire National 2019 de disponibilité en semences des variétés
améliorées au NigerLa semence joue un rôle stratégique dans le développement de l’agriculture en ce sens qu’elle reste, dans la chaine de production, le premier élément à travers lequel sont valorisés les autres facteurs. Au niveau sous régional, la Politique agricole régional de la CEDEAO, la Politique agricole de l’UEMOA et le cadre Stratégique de Sécurité Alimentaire du CILSS, considèrent tous les semences comme intrant essentiel dans l’atteinte des objectifs d’augmentation durable et équitable de la productivité et des revenus des producteurs agricoles. -
Annuaire National 2021 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger
Au Niger, le secteur rural reste le plus grand pourvoyeur d’emploi et contribue plus que tout autre secteur au PIB par habitant constituant pour ainsi dire l’un des secteurs productifs à même de tirer la croissance économique de notre pays. La contribution de l’agriculture à l’essor national est cependant continuellement entravée par la faible capacité de production agricole et végétale. Bien que les effets néfastes du changement climatique soient indexés comme étant une cause non négligeable qui contribue à obstruer les bons rendements agricoles, il s’est avéré que la faible utilisation des semences de qualités demeure un facteur limitant dans l’accroissement des rendements agricoles. -
Rapport scientifique 2020
L’Unité Semencière de l’INRAN a commencé ses activités formellement au cours des années 2001 dans l’optique principale de contribuer à la sécurité alimentaire par la promotion de l’utilisation des semences de variétés améliorées pour accroître les rendements et les productions agricoles. -
Analyse technico-économique de l'adoption par les producteurs agricoles des semences améliorées du niébé : cas du département de Maradi au Niger
Un objectif fondamental de la stratégie de développement au Niger est la croissance de la production agricole qui doit s'effectuer principalement par le biais de l'intensification des cultures parmi les axes de l'intensification proposés par les autorités, figure l'introduction ou le développement des semences améliorées du niébé qui est le troisième principale culture après le mil et le sorgho. -
La S.E.D.E.S et les études des filières céreales
L'étude de filière est un outil privilégié de la politique agricole: elle donne un cadre de référence dans lequel il est possible d'analyser les conséquences des politiques envisagées pour un produit donné. Les études de filière céréales sont donc l'instrument d'élaboration des stratégies alimentaires. Elles permettent de définir les indicateurs nécessaires aux systèmes d'alerte. De plus les études de filières céréales permettent d'affiner les analyses d'impact de l'aide internationale. -
Farmers’ rice knowledge and adoption of new cultivars in the Tillabéry region of western Niger
Rice is the third most important crop in Niger and showsthe most rapidly increasing consumption. Rice importsgrew from 40,000 t in 1995 to 210,000 t in 2005 at a costof US$ 71.4 million in a country where nearly 60% of thepopulation lives below the poverty line [1,2]. Rice is produced mainly in the region of Tillabéry (75% national production) where about 1/7 of Niger’ s population live [3,4].With 100,000 ha of arable and irrigable lands, this regionof Tillabéry has nearly 50% of the country’ s irrigable land.There are 29 irrigated rice schemes (with double cropping each year) that cover 7,432 ha (85.3% of the nationalirrigated schemes) in Tillabéry. The average rice grain yield in this agrosystem is 3.5 to 4.5 t ha−1[5,6]. This intensive system, under the control of local farmer unions andsupervised by the Office National des Aménagements Hydro-Agricoles (ONAHA), currently produces 30,000 to
35,000 t year−1. Private irrigated systems with individual
water pumps are also found in this area. The irrigated ecosystems are planted only with improved Asia-type (Oryzasativa) cultivars. The traditional rice growing in the Tillabéry region accounts for about 62.13% of lowland rice production. -
Catalogue National des Espèces et Variétés Végétales (CNEV)
En conformité au règlement du C/REG du 05/2008 portant harmonisation des règles régissant le contrôle de qualité, la certification et la commercialisation des semences végétales et plants dans l'espace CEDEAO, le Niger élabore et édite un catalogue National des Espèces et Variétés Végétales (CNEV). La présente édition de 2021 constitue la révision de la dernière édition de ce catalogue datant de 2012. Le catalogue présente des variétés mises au point et/ou introduites par les institutions de recherches agricoles nationales ou internationales et les entreprises semencières et validées par le Comité National des Semences (CNS). -
Principaux ennemis du mil au Niger et leur controle
Le mil chandelle ou pénicillaire, Pennisetum typphoides, est une graminée particulièrement éprouvée par les insectes au Niger, ainsI que partout au Sahel. Environ une centaine d'espèce nuisible ont été répertoriées au pays sur cette culture dont, toutefois, seulement une vingtaine sont commettre des dégâts ayant une certaine importance économique. Ces dernières font l'objet du présent document, lequel traite de leurs diagnose, de leurs importance, de leurs biologie et des moyens de lutte préconisée pour les combattre. -
Catalogue National des Espèces et Variétés Végétales (CNEV)
Le règlement C/REG. 05/2008 portant harmonisation des règles régissant le contrôle de qualité, la certification et la commercialisation des semences végétales et plants dans l'espace CEDEAO, adopté le 18 mai 2008 par les États membres de la CEDEAO, prévoit en son article 9 alinéa 3, que chaque État membre élabore et édite un Catalogue National des Espèces et Variétés Végétales (CNEV). Ce catalogue doit être périodiquement révisé et édité afin de prendre en compte les nouvelles variétés homologuées. -
Proposition d’une Stratégie de Communication pour l’adoption des semences améliorées face aux changements climatiques dans la Commune rurale de Djiratawa, Département de Madarounfa, Région de Maradi (Niger)
Dans le cadre de la validation du Master II en Communication pour le Développement à l’Institut de Formation aux Techniques de l’Information et de la Communication (IFTIC) de Niamey, nous avons eu l’opportunité de réaliser un stage de mémoire. Ce mémoire porte sur le sujet de proposition d’une stratégie de communication pour l’adoption des semences améliorées face aux changements climatiques dans la Commune rurale de Djiratawa, Département de Madarounfa, Région de Maradi (Niger), avec comme question de recherche l’adoption et l’utilisation des semences améliorées pourrait-elle faire face aux changements climatiques dans la Commune rurale de Djiratawa? L’hypothèse principale de l’étude est la suivante : une bonne stratégie de communication proposée favoriserait l’adoption des semences améliorées afin de faire face aux changements climatiques et de contribuer à la sécurité alimentaire. -
Note sur les visites des fermes / exploitations agricoles Investissement réduit, main d’œuvre locale et cultures pluviales
Dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif du Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA) dans les régions d’intervention du PromAP, l’approche « visite terrain » a été privilégiée, afin de permettre l’adéquation des services fournis avec les réalités du terrain. Des visites ont réalisé dans la région de Dosso pour élargir les références sur des exploitations / fermes souvent qualifiées de « type agrobusiness » qui ne sont pas des exploitations agricoles familiales classiques. Ces exploitations se caractérisent, en général, par des investissements importants en équipement et matériel et sont dirigées par des personnes ayant ou ayant eu une autre activité que l’activité agricole. -
Culture du fonio dans le Dallol Maouri (Région de Dosso) Fiche technico-économique
Le fonio est une petite céréale herbacée annuelle pouvant mesurer de 30 à 80 cm de hauteur. Appelé ‘’Intaya ‘’ en Haoussa, le fonio est une culture ancestrale du Dallol Maouri pratiquée sur des sols dunaires (pauvres). Avec un peu plus de 6.000 tonnes (MAG/EL 2018), il représente 0,7% de la production de céréales de la région de Dosso en 2018, loin derrière le mil et le sorgho mais juste devant le riz. En Afrique de l’Ouest, la Guinée est de loin le premier producteur suivi du Nigeria et du Mali. -
Violet de Galmi : des semences du monde entier dans les boutiques du Niger
Suite à la révision en 1999 de l’Accord de Bangui, notamment par l’ajout de l’annexe X consacrée à la protection des obtentions végétales, les États membres de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI), dont le Niger, ont été appelés à bénéficier des dispositions transitoires en enregistrant leurs variétés anciennes via des Certificats d’obtentions végétales (COV), permettant ainsi la reconnaissance du droit de propriété au pays qui l’abrite. -
Comment savoir si une variété est dans le domaine public ?
On dit qu’une variété ou d’une plante qu’elle est du « domaine public » ou qu’elle est « libre de droit » lorsqu’elle n’est pas couverte par un droit de propriété intellectuelle (certificat d’obtention végétale – COV pour les variétés - ou brevet pour les plantes )1. En pratique, cela signifie qu’ il est possible de cultiver et de reproduire librement les semences qui en sont issues, sans payer l’obtenteur ni même l’en avertir. -
La SSD-35 une variété de sorgho résistante à la cécidomyie pour améliorer la production et générer des revenus
Le sorgho SSD-35 a été développé au Niger. L’objectif du développement de SSD35 est de résoudre la contrainte d’attaque de la cécidomyie, Stenodiplosis sorghicola (Coquillet) qui est un insecte uniquement rencontré sur le sorgho et cause des dégâts très importants sur les panicules en floraison. La cécidomyie cause plus de dégâts sur les variétés tardives qui développent une mauvaise formation des grains de l’ordre de 50% (Photo1). Parmi toutes les méthodes de lutte préconisées ou recommandées pour lutter contre la cécidomyie beaucoup sont impraticables, modérément effectives ou coûteuses. La résistance variétale est la mieux recommandée car elle est peu coûteuse pour le producteur (Sharmaetal,1992). L’utilisation des variétés résistantes ne nécessite aucun investissement dans le domaine de la lutte contre la cécidomyie. -
Les semences de chou disponibles au Niger
Cette note présente les caractéristiques des différentes variétés de chou en vente au Niger dans des boutiques ou par des vendeurs ambulants. En français, le mot « chou » désigne plusieurs espèces ou variétés de plantes appartenant généralement à la famille des Brassicaceae. Ce sont souvent des légumes comestibles dont on consomme les feuilles, mais aussi l'inflorescence charnue (chou-fleur) ou la tige renflée (chou-rave). Au Niger, le chou le plus cultivé est le chou commun que l’on appelle également chou pommé ou chou « cabus ». Le nom chou cabus est imprimé sur certains sachets de semences et peut être confondu avec le nom de la variété. -
La dégénérescence des variétés d’oignons
La dégénérescence variétale, qu’on peut aussi appeler érosion génétique, intervient pour une variété donnée lorsque celle-ci perd les possibilités de conserver l’uniformité des caractères pour lesquels elle a été sélectionnée. Par exemple, pour une variété d’oignon, les principaux critères de sélection peuvent être les suivants : le rendement, la durée du cycle de production, l’aptitude à la conservation, la forme, la couleur, la précocité, l’absence de montée en graine ou floraison de première année, le goût, la teneur en matière sèche, la résistance aux maladies, etc. -
La production du mil hors saison
Dans ce document sonore, vous entendrez le témoignage d'un producteur agricole sur la culture du mil hors saison dans la région de Tillabéri. -
Étude génétique chez le mil
Depuis un siècle environ les pays du Sahel n'ont cessé de connaître et cela de façon périodique une série de disettes, conséquences fâcheuses d'Implacables sécheresses. Les années 69, 70, 71, 73 nous ont donné une Image désolante de leur action lorsque, sur toute l'Afrique du Sahel la sécheresse contraignait des populations entières à l'exode et à la misère, décimant cheptel et brûlant pâturages, réduisant les fleuves, bref pesant sur toute cette partie du globe la lourde menace d'un lendemain incertain. Le Sahel (en arabe lisière) s'étend des Îles du Cap-vert à la porte occidentale de l'Afrique couvrant une bande de 5,25 millions de km 2 pour une population de 25 Millions d'habitants. Le Sénégal, la Mauritanie, le Niger, la Haute-Volta et le Tchad sont les pays les plus atteints par le fléau. -
Technique de production de bulbilles d'oignon violet de Galmi
Les légumes sont importants pour l'équilibre alimentaire des populations et leurs productions constituent aussi une source de revenu non négligeable. Au Niger, les cultures les plus rentables sont l'oignon, la tomate, le chou et la pomme de terre. Les revenus tirés de ces cultures en hivernage sont en moyenne cinq fois supérieurs aux revenus de contre saison du fait de la rareté de ces productions en cette période. -
Les effets de la réappropriation de la culture du « Violet de Galmi »,
par les producteurs d’oignon de la région de TAHOUA – NIGER, sur
la dynamique du territoire local, l’organisation sociale et économiqueA travers l’étude du cas du violet de Galmi, nous voulons étudier la relation de cause à effet qui existe entre l’introduction d’une «innovation technique » dans un processus économique et le « développement ». Ainsi, tout au long de ce travail, notre démarche consistera à mettre en exergue, cette relation de cause à effet selon laquelle, la valorisation de ressources locales par une société rurale pourrait, sous certaines conditions, engendrer du développement local. Ces conditions ou modalités qu’ils convient de préciser à partir des principes et caractéristiques de la théorie du développement local (VACHON, B. 1993) feront l’objet de ce travail. -
Annuaire National 2022 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger
Cet Annuaire National contient des les quantités de semences produites en 2021 et contrôlées par les Inspecteurs Semenciers Régionaux et Départementaux, ainsi que les reports des quantités des semences invendues de l'année précédente. -
Les variétés améliorées de mil disponibles dans l’Annuaire National 2022 : la variété HKP domine très largement les disponibilités en semences améliorées
L’Annuaire National 2022 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger est un référentiel pour l’ensemble des usagers de la filière semencière au Niger. Il est édité par le Ministère de l’Agriculture. C’est le document officiel qui contient la quantité et la liste exhaustive de toutes les semences des variétés améliorées produites au Niger en 2021. -
Comment demander une analyse de semences?
Cette note de l'ICRISAT présente les méthodes d'analyse d'une semence. -
Les variétés améliorées de mil au Niger la variété HKP domine largement le marché des semences certifiées
Cette note a été préparée pour donner plus d’informations aux conseillers agricoles sur les variétés inscrites dans le catalogue du Niger et disponibles pour la campagne 2020. L’objectif était de fournir les caractéristiques de chaque variété afin que les conseillers puissent renseigner les producteurs. -
Informer les producteurs et productrices sur l’utilisation de semences améliorées Note de travail n°1
Dans le cadre du PASEC, il est attendu des Chambres Régionales d’Agriculture qu’elles fournissent des informations aux producteurs et productrices. Ainsi, si l’on veut que les producteurs utilisent des semences améliorées, et notamment de semences « résistantes à la sécheresse », il faut être capable de leur donner une information sur l’intérêt d’utiliser ces variétés, lesquelles répondent au critère de résistance à la sécheresse (selon les sélectionneurs), où les trouver et à quels prix. Afin de préparer une information précise, le RECA a regardé les disponibilités en semences pour la campagne 2018 à partir des données de « l’Annuaire National1 2018 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger » élaboré par le Ministère de l’Agriculture et de l’Élevage.