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Impacts des changements d'usage des sols sur les ressources en eau souterraine au Sahel nigérien
La forte croissance démographique (~3%.an-1) observée au cours des dernières décennies en Afrique subsaharienne a engendré la conversion de grandes étendues de savane arborée en cultures pluviales ou irriguées et la diminution de la durée des jachères. Afin de déterminer l'impact de tels changements d'usage du sol sur la recharge des nappes phréatiques, la zone non saturée a été investigué pendant trois ans (2009-2011) pour deux régions du Niger (sud-ouest et sud-est) aux conditions climatiques et géomorphologiques différentes. -
Schéma Directeur de mise en valeur et de gestion des ressources en eau du Niger: Le Référentiel du secteur de l’eau et de L’assainissement au Niger
Ce document fait la synthèse des rapports des commissions constituées pour effectuer des analyses sectorielles sur neuf thèmes :
1 -- Connaissance et gestion des ressources en eau;
2 -- Hydraulique villageoise et pastorale;
3 -- Hydraulique urbaine et assainissement ;
4 -- Hydraulique agricole;
5 --Aménagements anti-érosifs (CES/DRS) et protection des terroirs;
6 -- Ressources halieutiques (Pêche, Pisciculture) et protection des zones humides
7 -- Hydroélectricité;
8 -- Hygiène et Santé;
9 -- Hydraulique industrielle et minière -
Grain de Sel n° 76
La question de la faim est loin d’être réglée en Afrique. Ce numéro de la revue "Grain Sel" souhaite rendre compte avec, en toile de fond, une interrogation sur la capacité future à faire face aux crises alimentaires et la volonté partagée à sortir la sous-région de la sous-alimentation, avec ce qu’elle produit de désespoir, violence ou exodes. -
Le mil bien pour vous
Ce kakémono présente les avantages multiples pour la santé, les propriétés anti oxydantes, et la nécessité cruciale dans la diversité alimentaire du mil -
Etude socio-économique des mares permanentes dans l’arrondissement de Gaya
Ce projet de recherche, a pour objectif d’analyser les conflits liés à l’exploitation de l’eau et les potentialités dans l’arrondissement de Gaya, au sud du Niger. Le présent rapport est le fruit d’un séjour de trois mois, entre novembre 2002 et février 2003 au Niger. -
Disponibilité en eau du fleuve Niger -- enjeux et perspectives pour les aménagements hydro-agricoles : cas du Niger
Etude réalisée afin d'identifier les contraintes dans la disponibilité en eau du fleuve Niger et les contraintes dans l' exploitation des AHA relatives à la gestion de l'eau. -
Schéma directeur d'aménagement hydraulique du Dallol Bosso
Cette étude sur le scéma directeur d'aménagement hydrolique du Dallol Bosso traite de la la géographie, du cadre hydrogéologique, du schéma géologique d'ensemble, de la climatologie de la pédologie et aptitude des sols, de la végétation etc; -
Réunion de concertation entre les intervenants du secteur de l'eau et de l'assainissement : Rapport général
Ce document est le rapport de la Réunion de concertation entre les intervenants du secteur de l’Eau et l’Assainissement, organisée par le Gouvernement du Niger.
Le Niger, à l’instar de la Communauté Internationale, entend imprimer une marque particulière à cette année proclamée ‘’Année Internationale de l’Eau Douce’’ par l’Assemblée Générale des Nations Unies, pour sensibiliser davantage l’opinion nationale et internationale sur les enjeux qui entourent la gestion de l’eau. -
Etude diagnostique sur la qualité de l'eau dans le département de Gaya
Ce document traite de l'accès à l'eau potable pour la population dans le département de Gaya. il concentre la problématique de la qualité de l'eau et de son suivi dans ce département. -
Étude documentaire sur la gestion de l’eau en Afrique sub-saharienne et région Caraïbes
Cette étude fait une analyse de l’Afrique sub-saharienne traversée par de graves crises et des profondes mutations au niveau de ses systèmes irrigués. Elle devra résoudre la fois des questions de connaissances de la ressource, d’aménagement et de réhabilitation, d’amélioration des performances et d’adaptation aux ouvertures des frontières. -
Récupération de l’eau de pluie pour accroître la production
fourragèreFiche technique pour créer des demi-lunes -
Carte Aquastat du Niger de 2015
Interpretation cartographique des données de AquaStat 2015 -
Niger : Livelihood zones
Les différentes zones en securité alimenatire:
NE01 - Northeast Oases: Dates, Salt and Trade
NE02 - Aïr Massif Irrigated Gardening
NE03 - Transhumant and Nomad Pastoralism
NE03 - Transhumant and Nomad Pastoralism-Camels
NE04 - Agropastoral Belt
NE05 - Rainfed Millet and Sorghum Belt
NE06 - Cropping/Herding with High Work Outmigration
NE07 - Southern Irrigated Cash Crops
NE08 - Southwestern Cereals with Fan-Palm Products
NE09 - Niger River Irrigated Rice
NE10 - Dallols - Seasonal Water-Course Irrigated Crops
NE11 - Southeastern Natron Salt and Small Basin Irrigated Dates NE12 - Komadougou Irrigated Peppers NE13 - Lake Chad Flood-Retreat Cultivation with Fishing Not Zoned (Desert) -
ASAP (alerte précoce sécurité alimentaire)
ASAP is an online decision support system for early warning about hotspots of agricultural production anomaly (crop and rangeland), developed by the JRC for food security crises prevention and response planning anticipation. What - Frequent updates… -
Centre régional AGRHYMET
Créé en 1974, le Centre Régional AGRHYMET est une institution spécialisée du Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) regroupant treize pays qui sont : Bénin, Burkina Faso, Cap Vert, Côte d'Ivoire, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad et le Togo. C'est un établissement public inter-étatique doté de la personnalité juridique et de l'autonomie financière. Il a un statut international avec siège à Niamey au Niger.
le Centre Régional AGRHYMET a pour objectifs principaux :
- de contribuer à la sécurité alimentaire et à l'augmentation de la production agricole dans les pays membres du CILSS et de la CEDEAO.
- d'aider à l'amélioration de la gestion des ressources naturelles de la région du Sahel et de l'Afrique de l'Ouest en assurant l'information et la formation des acteurs du développement et de leur partenaire dans les domaines de l'agro-écologie au sens large (agro-climatologie, hydrologie, protection des végétaux,…). C'est un outil à vocation régional, spécialisé dans les sciences et techniques applicables aux secteurs du développement agricole, de l'aménagement de l'espace rural et de la gestion des ressources naturelles
Au fil des années, le Centre AGRHYMET s'est affirmé comme un centre régional d'excellence en matière de :
- formation des cadres des pays du Sahel et d'ailleurs;
- suivi agrométéorologique et hydrologique au niveau régional;
- statistiques agricoles et de suivi des cultures;
- banques de données régionales; - gestion et de diffusion de l'information sur le suivi des ressources naturelles au Sahel; - documentation sur : l'agrométéorologie, la protection des végétaux, le suivi de l'environnement, la désertification, la gestion des ressources naturelles, etc. - maintenance des instruments météorologiques et des équipements électroniques; - renforcement de la coopération inter-Etats à travers l'échange de méthodologie et technologies. C'est à ce titre que les cadres du Centre sont de plus en plus sollicités par des organismes bilatéraux et multilatéraux. (USAID, FAO, OMS, IRD, CIRAD, …) et qu'il prend part, en relation avec le CILSS, aux rencontres internationales liées à la sécurité alimentaire, au développement durable, à la gestion des ressources naturelles et à la lutte contre la désertification. -
Initiative 3N
L’i3N est un credo et un engagement politiques forts du Président de la République du Niger. Il constitue un axe majeur du Programme du Pr ésident de la République pour la renaissance du Niger. Il est bâti sur les acquis de la Stratégie de Développement Rural et s’inscrit dans le processus de mise en œuvre du Plan de Développement Détaillé pour l’Agriculture en Afrique (PDDAA) et de la Poli tique Agricole Commune de la CEDEAO (ECOWAP) ainsi que la Politique Agricole de l`UEMOA (PAU). L’I3N permettra au Niger d’accélérer l’atteinte des Objectifs du millénaire, notamment l’OMD1 et l’OMD7. -
Revue stratégique nationale faim zéro du Niger
Le Niger avec l’appui du Programme Alimentaire Mondial (PAM), s’est lancé dans la revue de sa stratégie nationale « Faim Zéro » pour l’atteinte de l’ODD2 : « Eliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l’agriculture durable ».
Placée sous l’égide du Ministre d’État, Ministre de l’Agriculture et de l’Élevage elle a permis de :
-i) réaliser un état des lieux de la prévalence de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle et leur tendances évolutives;
- ii) analyser les liens entre l’ODD2 et la situation des autres ODD de l’Agenda 2030;
- iii) analyser la prise en compte des cibles et indicateurs de l’ODD2 dans les politiques publiques, les plans;d’actions et les projets d’investissement;
- iv) les enjeux et défis à relever et v) tirer des leçons de la revue.
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La dynamique accélérée des koris de la région de Niamey et ses conséquences sur l'ensablement du fleuve Niger
L’Afrique de l’Ouest est soumise depuis quelques décennies à un rapide changement d’usage des sols, lié à la très forte pression démographique. La région de Niamey en particulier, avec de très nombreux oueds exoréiques appelés localement, « koris » participe de cette dynamique. Il semblerait que l’endoréisme recule à l’échelle des koris comme celui de Boubon, Gorou Kirey etc. L’objectif de cette recherche est de mettre en évidence cette évolution et à l’expliquer, ainsi qu’à insérer cette évolution dans le contexte régional, d’un Sahel où l’endoréisme est très répandu. On essaie de montrer la part des responsabilités entre et facteurs anthropiques et climatiques. On utilise pour cela des relevés de terrain ainsi que des études diachroniques. L’accent est mis sur des suivis cartographiques et diachroniques de l’hydro - morphométrie du bassin, des mesures topographiques in situ sont effectuées à l’aide d’une station totale, des prélèvements ponctuels de matières en suspension dans les koris. Ces suivis sont couplés aux mesures de ruissellement et de pertes en terre sur un de ses versants, selon les états de surface les plus représentatifs de la région. -
Les systèmes de distribution alimentaire dans les pays d’Afrique méditerranéenne et Sub-saharienne
L’objectif est d’identifier des domaines prioritaires pour améliorer la capacité des systèmes de distribution alimentaire à répondre aux enjeux de sécurité alimentaire et sanitaire pour les populations urbaines de Rabat, Abidjan et Niamey. Nous nous appuyons sur une analyse des « food systems » combinant les comportements alimentaires, l’environnement alimentaire et les systèmes d’approvisionnement, caractérisés par leur organisation spatiale et relationnelle. Un échantillon de consommateurs et acteurs de différentes filières alimentaires et autorités publiques ont été enquêtés. Les problèmes d’accessibilité aux aliments des populations précaires apparaissent plus préoccupants que les problèmes de compétitivité des produits locaux. Nous recommandons une modernisation des marchés existants, de gros et de détail : amélioration du transport les desservant, protection physique des marchés, crédits aux PMEs du commerce et de la transformation. -
Manuel-Type de gestion de la maison du paysan
La MP est un ensemble intégré multifonctionnel d’infrastructures et de services implantés au niveau communal pour améliorer l’offre de services d’appui aux producteurs et aux entreprises agricoles de manière à soutenir leurs efforts d’augmentation des productions des productivités. Son but est de contribuer à l’amélioration de la disponibilité et de l’accès aux facteurs de production ainsi que d’assurer la promotion de l’utilisation de technologies innovantes éprouvées et adaptées au contexte local. La connexion internet des MP accélérera leur intégration à l’environnement des innovations technologiques. La MP peut être considérée comme le point d’ancrage de l’Initiative 3N au niveau Communal. Au niveau des communautés (villages/campements) qui forment les communes, les relais de certains services intégrés conjugués à un bon appui-conseil permettront d’obtenir des effets et des impacts mesurables au niveau des exploitations agricoles familiales. -
Démarche et outils d’aide à la décision pour l’amélioration des processus de résilience de la sécurité alimentaire aux risques de catastrophes au niveau local au Niger
Depuis les grandes sécheresses des années 70, le Sahel a réalisé des progrès dans la prévention et la gestion des risques climatiques et de catastrophes, singulièrement dans le domaine de la sécurité alimentaire. Ces progrès sont des accomplissements multiples dans les domaines de l’alerte précoce, de la riposte, de la réhabilitation post – catastrophes et de la gestion de la vulnérabilité structurelle. Toutefois, pour les pays et les populations de cette région, le climat induit encore de fortes contraintes pour le développement social et économique. Cet article présente un corpus de référentiels pour l’amélioration de la gouvernance locale des risques de catastrophes, en lien avec la sécurité alimentaire dans le contexte du Niger. Ces référentiels sont des outils d’aide à la décision pour une réduction significative des insuffisances actuelles relatives à la formulation, la mise en œuvre et l’évaluation des processus de résilience de la sécurité alimentaire aux risques climatiques. La méthodologie utilisée pour l’élaboration de ces outils combine une démarche scientifique et une approche participative impliquant les populations concernées. Cette démarche donne aux outils proposés la pertinence nécessaire pour fonder une gouvernance locale des risques de catastrophes centrée sur les populations et leurs besoins d’adaptation. -
Manuel de Communication pour la Sécurité alimentaire
Ce manuel a été élaboré dans le cadre du Programme CE-FAO « Faire le lien entre l’information et la prise de décision pour améliorer la sécurité alimentaire », mis en œuvre par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et financé par l’Union européenne.
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De l’eau pour le maraîchage : expériences et procédés
Cet ouvrage propose une méthode pour guider les maraichers dans l’évaluation de leurs besoins et de leurs contraintes et les aider à choisir un système d’irrigation adéquat. Chacune des questions destinées à guider le choix est approfondie et illustrée dans les chapitres suivants. Le premier chapitre explique comment calculer les besoins en eau des cultures. Le deuxième chapitre présente les systèmes de distribution de I ’eau dans les champs et leurs avantages et inconvénients respectifs. Le troisième chapitre présente les différents systèmes de pompage qui sont ensuite comparés, notamment sur le plan économique. Enfin sont définies des notions plus complexes qui permettent de bien comprendre les mécanismes du pompage. Des fiches de présentation de matériels et une bibliographie permettront à ceux qui veulent en savoir plus de s’orienter dans leur recherche d’information. -
Changements climatiques : Impacts sur l’eau et l’agriculture en Afrique de l’Ouest
Les changements climatiques se manifesteront sur toutes les composantes du cycle de l’eau, comme par exemple, la quantité et la distribution des précipitations, la fréquence et la durée des sécheresses, ainsi que l’évaporation et le bilan hydrique à la parcelle. La mousson africaine, qui rythme la vie des 300 millions d’Africains de l’Ouest, devrait se modifier : la variabilité interannuelle des précipitations liées à cette mousson devrait augmenter, tout comme l’occurrence des précipitations extrêmes. Les activités agricoles seront plus ou moins fortement affectées par ces changements, en fonction des zones agroécologiques et des spéculations. Dans tous les cas, différents travaux estiment que le ruissellement moyen et la recharge des nappes baisseront ; que la concurrence pour l’eau sera exacerbée suite à des demandes croissantes pour d’autres usages comme la production d’hydro-électricité. Les travaux menés par le Programme international de recherche sur la mousson africaine (AMMA) établissent sans ambiguïté que la variabilité spatio-temporelle excessive des précipitations est un réel frein à la production agricole. Les sociétés devront s’adapter. Néanmoins, il convient de ne pas sous-estimer la complexité de l’approche. Ainsi les plans d’irrigation sont à raisonner avec l’ensemble des acteurs et utilisateurs d’un territoire, voire d’autres pays, placés en aval des prélèvements pour l’eau d’irrigation. De nombreuses techniques, et leurs variantes locales, existent pour faire face à l’aléa hydrique. Elles visent en général à accroître la production, tout en minimisant sa dépendance aux intrants et en limitant les impacts négatifs sur l’environnement, et leur vulnérabilité. Ces techniques incluent la gestion conservatoire de l'eau, de la biomasse et de la fertilité des sols. -
La crue de 2012 à Niamey : un paroxysme du paradoxe du Sahel ?
Cette note présente des extraits d’un article sur la crue du Niger de 2012 paru dans la revue « Sécheresse », volume 24, n°1, janvier-février-mars 2013. L’article original est accessible sur le site web de la revue Sécheresse (11 pages et 5,96 Mo). Ces extraits sélectionnés doivent permettre aux personnes ayant une connexion de faible débit de prendre connaissance de ce travail. Autrement, nous vous recommandons de lire l’intégralité de l’article avec ses références. Le fleuve Niger a connu lors de la mousson 2012 sa plus forte crue jamais enregistrée à Niamey, et une inondation de vastes secteurs y compris dans la capitale du Niger. A une tendance de fond à l’augmentation des coefficients de ruissellement en zone sahélienne, liée à l’encroûtement des sols, s’est ajoutée une pluviométrie exceptionnelle (la plus forte depuis le début de la sécheresse du Sahel en 1968). Les dégâts ont été très importants, et cet évènement doit faire prendre conscience aux décideurs de l’augmentation des écoulements qui a pour corollaire l’accroissement du risque d’inondation. -
Initiative ''3N'' pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle et le développement agricole durables ''les nigériens nourrissent les nigériens''
Face au déficit chronique des produits vivriers, notamment céréaliers, l’insécurité alimentaire devient de plus en plus inquiétante et la pauvreté gagne chaque jour du terrain dans le monde rural qui comptabilise actuellement 80% des pauvres du pays, le Président de la République et le Gouvernement ont lancé l’initiative 3N « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens ». Le présent document de stratégie est la traduction opérationnelle de l’initiative. L’i3N est un credo et un engagement politiques forts du Président de la République du Niger. Il constitue un axe majeur du Programme du Président de la République pour la renaissance du Niger. Il est bâti sur les acquis de la Stratégie de Développement Rural et s’inscrit dans le processus de mise en œuvre du Plan de Développement Détaillé pour l’Agriculture en Afrique (PDDAA) et de la Politique Agricole Commune de la CEDEAO (ECOWAP) ainsi que la Politique Agricole de l`UEMOA (PAU). L’I3N permettra au Niger d’accélérer l’atteinte des Objectifs du millénaire, notamment l’OMD1 et l’OMD7. Le contexte du Niger se caractérise par le fait que l’économie du pays est dominée par le secteur primaire (45,2% du PIB en 2010) et une étroitesse du secteur secondaire (11,4% du PIB en 2010). Le secteur primaire est essentiellement agropastoral ; il joue un rôle essentiel dans la croissance économique. Entre 2006 et 2010, le PIB du secteur primaire est passé de 817,66 milliards de FCFA à 1021,27 milliards, soit une progression de 25%, contre 20% pour l’ensemble des secteurs (1906,83 milliards en 2006 à 2295,39 milliards en 2010). -
Les institutions et organisations intervenant dans la gestion de l’eau
L’ordonnance n° 2010-09 portant Code de l’Eau au Niger vise à promouvoir la « gestion intégrée des ressources en eau » (GIRE). Un des principes clés de cette approche est que la gestion des ressources en eau doit être participative : elle doit associer les usagers, les planificateurs et les décideurs. -
Les outils de planification de la gestion de l’eau et les principes de gestion
Le développement de l’irrigation au Niger impose de mieux gérer les ressources en eau. C’est tout l’objectif de l’ordonnance n° 2010-09 portant Code de l’Eau au Niger qui vise à promouvoir la « gestion intégrée des ressources en eau » (GIRE). La mise en oeuvre de la GIRE repose sur certains principes et nécessite des outils de planifications de la gestion de l’eau. Cette note présente ces outils et principes de gestion. -
Document de la stratégie nationale de l’hydraulique pastorale
Ce présent rapport porte sur l'élaboration stratégique de l’hydraulique pastorale -
Elaboration du Plan d’Action National de Gestion Intégrée des Ressources en Eau (PANGIRE) et du Programme d’Investissement Prioritaire (PIP)
Ce rapport porte sur l'élaboration du Plan d’Action National de Gestion Intégrée des Ressources en Eau (PANGIRE) et du Programme d’Investissement Prioritaire (PIP)
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Office International de l'Eau
L’Office International de l’Eau (OIEau) est une association de droit français sans but lucratif déclarée d’utilité publique par Décret du 13 septembre 1991. L’OIEau intervient essentiellement dans le développement des compétences pour une meilleure gestion de l’eau en France, en Europe et dans le monde. -
Mise en œuvre de la GIRE à Madagascar et WASH -partout
« Il devient impérieux de protéger, conserver et utiliser d’une façon rationnelle et intégrée les ressources en eau du pays. » • « L’eau est une ressource vitale, indispensable à l’homme pour se maintenir en vie, et il faut donc permettre à tous, notamment les plus pauvres et les plus démunis d’y accéder. » -
Construction d'un réservoir d'eau au Bénin
Vidéo illustrant la réalisation d'un réservoir d'eau pour l'agriculture -
Le cycle de l'eau souterraine
Cette vidéo présente les principes du cycle de l'eau souterraine -
Irrigation de complément et information climatique pour garantir la sécurité alimentaire
Au cours des dernières décennies, la variabilité climatique au Sahel a montré la grande vulnérabilité des systèmes de production agropastorale. La production céréalière interannuelle fluctue en moyenne de 20 % depuis la fin des années 80. Une situation qui s’aggrave de plus en plus avec le changement climatique : fréquence accrue des événements climatiques extrêmes, récurrence et allongement des poches de sécheresse et forte incertitude concernant la date de démarrage et la durée de la saison culturale. Les techniques culturales et de conservation des eaux et des sols traditionnellement utilisées, comme le Zaï et la demi-lune, deviennent inefficaces en présence de poches de sécheresse fréquentes et longues.
Face aux défis multiformes liés aux changements climatiques, le projet « Irrigation et information climatique au Burkina Faso: de la recherche au renforcement des capacités institutionnelles et communautaires », financé par le Centre de recherches pour le développement international, a testé dans la région sahélienne du Burkina Faso deux stratégies innovantes : l’irrigation de complément et l’information climatique. Ces deux stratégies sont des priorités du Programme d’Action National d’Adaptation à la variabilité et au changement climatique développé en 2007.
Ce projet a été mise en oeuvre en collaboration avec la Fédération Nationale des Groupements Naam, l’Association Zood-Nooma pour le Développement et l’Association Régionale pour l’Irrigation et le Drainage qui ont joué le rôle de facilitateur et d’encadrement des paysans pilotes. Les partenaires techniques et scientifiques comme le Secrétariat Permanent du Conseil National pour l’Environnement et le Développement Durable, la Direction Générale des Aménagements et du Développement de l’Irrigation et l’Institut de l’Environnement et de la Recherche Agricole ont permis d’assurer le transfert des connaissances et expériences acquises dans le projet vers les décideurs politiques. -
Rapport de l' atelier national de concertation, sur le processus de la mise en place du Fond d'Investissement pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (FISAN).
Ce rapport présente une synthèse avec les résultats suivants : Construire le FISAN non pas comme un fonds centralisé mais plutôt comme un ensemble de dispositifs basés sur des mécanismes existants, est pertinente ;
• La configuration du FISAN en trois facilités autonomes mais complémentaires, à savoir:
(i)Facilité 1 : Crédit!Agricole,
(ii)Facilité 2 : Investissements structurants
(iii)Facilité3 : Subventions ciblées ;
-L’approfondissement de la compréhension des trois facilités et le consensus sur le contenu précis de chacune d’elles ont été réalisés ;
• La nécessité de poursuivre le processus à travers un cadre de concertation multi acteurs autour de chaque facilité a été formellement approuvée par les partici pants.
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La sécurité sanitaire des aliments
Assurer la sécurité sanitaire des aliments d’origine animale nécessite d’agir à tous les stades de la chaîne alimentaire, de la production au niveau de la ferme jusqu’à la consommation par l’homme. De multiples risques sanitaires surviennent avant l’abattage des animaux ou durant la phase de transformation. -
Ressources en eau dans la région de Tillabéri (Niger) - Potentiel de mise en valeur par l’agriculture irriguée
Le Sahel sub-saharien dispose de ressources en eau considérables, essentiellement portées par de grands systèmes aquifères régionaux (aquifères du Sénégal, de Taoudenni au Mali, des Iullemmeden au Niger, du Tchad. Larégion de Tillabéri au sud-ouest du Niger présente des caractéristiques favorables à l’irrigation : en eau de surface tout d’abord, avec des eaux de surface mobilisables le long des koris (ou vallées sableuses) et des affluents du fleuve Niger aux débits importants. -
# Dossier photographique : inondation 2020 du site de Darey Tahoua
La vallée de Darey est un site de production maraichères qui regroupe plusieurs villages en son sein. les producteurs sont organisés en coopérative appelée "MATASA" appuyée par le ¨PromAP. En ce mois de juillet 2020, la zone a enregistré la plus grosse pluie depuis 40 ans, qui a inondé l'ensemble du bassin de production. ces images présente le site avant et après l'inondation de cette année. -
Les bassins de collecte d'eaux de ruissellement (BCER)
Brève analyse des bassins de collecte des eaux de ruissellement -
Bulletin de surveillance pastorale sur le Niger
Un dispositif composé de dix-huit (18) sites sentinelles est mis en place. Ces sites sont répartis dans les régions de Maradi (2sites), Tahoua (6sites), Tillabéry (3 sites), Zinder (2 sites), Diffa (4 sites)et Agadez (1sites). Au niveau de chaque site, unrelaiassure la collecte et faitremonter les informations sur les ressources pastorales. Les relais sont choisis parmi les agents du service d’élevage. La collecte des informations est faite à une fréquence hebdomadaire et en temps réel.Lesrelais collectent les informations avec des téléphonescellulaires utilisés à la foiscomme canal d’envoi et de réception. Le service internet Telerivetpermet la gestion desquestionnaireset des réponses ainsi que l ́envoi des messages.Lesdonnées résultantes sont disponibles au format de fichier .csv sur demande.Les données cartographiées par Action Contre la Faim sont fonction des thématiques reconnues sensibles par la Direction du Développement Pastorale DDP. -
L’intégration des concepts de résilience dans le domaine de la sécurité alimentaire : regards croisés
On observe depuis les années 2000 la volonté des acteurs de la sécurité alimentaire de rapprocher résilience et sécurité alimentaire. Ce rapprochement n’apparaît cependant pas si évident au vu de la diversité d’éléments de langages utilisés pour les associer. Cet article vise donc à faire un état des lieux de l’association de ces notions, voire de leur intégration mutuelle. L’application de la résilience à la sécurité alimentaire met elle en avant les mêmes dimensions que lorsqu’elle est appliquée aux systèmes socioécologiques ? Y aurait-il
ainsi plusieurs concepts de résilience ? Quels sont les apports en termes programmatique et analytique dans
le champ de la sécurité alimentaire ? Quels difficultés ou défis posent cette intégration ? Une analyse de la littérature a été menée à partir de références scientifiques ainsi que de documents de cadrage, de projets et
programmes produits par des institutions, bailleurs de fonds et ONG. Deux enjeux se dégagent de ce rapprochement : la mesure de la résilience et les apports de cette approche en comparaison d’autres telles que la gestion des risques et la réduction de la vulnérabilité. Par ailleurs, alors qu’elle n’a pas de portée normative concernant les trajectoires des systèmes socioécologiques, la résilience est intrinsèquement considérée comme positive dans le domaine de la sécurité alimentaire. Cette acception de la résilience soulève alors des problèmes politiques de définition de ce qu’est une trajectoire favorable. L’accent mis, avec la résilience, sur les trajectoires du système, permet toutefois de relier court terme et long terme, tant pour comprendre les perturbations que pour concevoir des interventions. Enfin, les caractères holistique et multiscalaire de la résilience se retrouvent dans l’ensemble de la bibliographie étudiée, constituant une « avancée » dans le
domaine de la sécurité alimentaire. -
Comment se construit l’invisibilité des populations pastorales au Sahel : l’expérience de la crise alimentaire de 2005 au Niger
Au Sahel, les systèmes d’information élaborés et perfectionnés depuis les années 1980 n’ont pas suffi aux politiques nationales et aux actions d’urgence internationales pour gérer la spécificité des populations pastorales. Cette inadéquation renvoie aux difficultés historiques des administrations à prendre en compte la gestion commune des ressources naturelles et la mobilité des troupeaux. Elle s’explique en partie seulement par les limites des systèmes d’information, le manque de moyens ou un défaut de coordination au sein des politiques nationales et régionales. À partir de l’expérience de la crise alimentaire de 2005 au Niger et d’une quinzaine d’années de travaux de terrain au Sahel, ce texte montre comment s’est construite « l’invisibilité » des pasteurs : d’un côté, les schémas de pensée sous-jacents aux systèmes d’information n’aident pas les politiques à gérer les spécificités au coeur de la reproduction des systèmes pastoraux. Mais, d’un autre côté, la stratégie d’évitement des populations pastorales qui leur a historiquement permis d’échapper aux contraintes exercées par l’administration les dessert aujourd’hui en compromettant leur capacité à peser sur des débats fondamentaux au sein de leurs pays. Au-delà, le cas singulier du pastoralisme mérite de susciter l’attention de recherches pluridisciplinaires et de politiques prenant en compte une gestion durable des espaces, des ressources et du vivant, dans un monde exposé à de profondes mutations économiques et climatiques.
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Améliorer la gestion des ressources naturelles pour la sécurité alimentaire en Afrique
Cet ouvrage porte sur l'amélioration de la gestion des ressources naturelles pour la sécurité alimentaire en Afrique -
Accès à l’eau au Niger : Quelles ressources pour quels besoins ?
Ce présent guide porte sur l'accès à l’eau au Niger -
Agricultural risk modelling to improve market information systems in developing countries
La modélisation des risques agricoles peut être incorporée aux systèmes d’information de marché pour fournir une information additionnelle aux producteurs, commerçants, bailleurs de fonds et décideurs politiques des pays en développement, afin de permettre une meilleure gestion des risques -
Stratégie de gestion des risques de catastrophe en Afrique de l’Ouest et au Sahel | FAO (2011 -2013)
L’objectif général de cette stratégie est de renforcer la résilience des communautés et de réduire leur vulnérabilité aux différents chocs afin que les pays de la sous-région assurent leur sécurité alimentaire et nutritionnelle et se concentrent sur le développement de systèmes alimentaires et agricoles durables. Des objectifs spécifiques et des activités prioritaires ont été déterminés sur la base des vulnérabilités et défis identifiés. Cette stratégie sous-régionale couvre les pays suivants: Bénin, Burkina Faso, Cap Vert, Côte d’Ivoire, Ghana, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, Sénégal, la Sierra Leone, le Tchad, le Togo. -
Au Niger : Kawara-Débé, village de mares
Cette étude présente les caractéristiques géomorphologiques et sociales du terroir Kawara-Débé, village de mares -
Les crues dans le massif de l'Aïr (Niger)
Ce présent guide porte sur les crues dans le massif de l'Aïr (Niger) -
L'Aïr, « château d'eau » de la bande désertique des Ténérés (Niger)
Ce présent guide porte sur l'Aïr, « château d'eau » de la bande désertique des Ténérés (Niger) -
Données hydrologiques essentielles concernant le Niger
Ce document présente les données hydrologiques essentielles concernant le Niger. -
Présentation du fleuve Niger
Les éléments géographiques et climatiques présentés ici sont directement liés au fonctionnement hydrologique du fleuve Niger nécessaire à cette étude. Enfin, cette rédaction est très orientée sur le delta du fleuve Niger. -
Crise alimentaire au Niger en 2010
Les organisations du système des Nations Unies ont été assez lentes à se mobiliser, et ont eu, comme souvent, tendance à se comporter comme un Etat dans l’Etat. Les secours alimentaires ont finalement été distribués, même si l’ampleur de la crise fourragère n’a pas toujours suscité des réponses appropriées, malgré les appels à l’aide internationale lancés par le nouveau gouvernement nigérien issu du coup d’Etat militaire du 18 février 2010.
C’est d’ailleurs de ce côté que quelque chose a quand même changé. Le président déchu, M. Mamadou, Tandja avait opté pour une dénégation systématique – voire obsessionnelle – de toute crise alimentaire grave et de toute malnutrition infantile, au nom d’une fierté nationaliste et d’un souverainisme radical assez populaires dans le pays (en partie légitimés, il est vrai, par les outrances des médias internationaux, lors de la crise de 2005, et le comportement de certaines institutions internationales et ONG qui se pensent en pays conquis). Le régime de transition actuel n’a pas eu ces tabous. Il n’a pas cherché à nier la gravité des problèmes et a accepté tant le débat que l’aide internationale. C’est un incontestable progrès. -
Études préliminaires de caractérisation de l’état initial A0
La thématique abordée dans le cadre de ce travail porte sur la caractérisation biophysique, plus spécifiquement la caractérisation et l’évaluation des ressources en eau au niveau de chacune des dix (10) communes précitées. -
Profil de Moyens d’Existence: Agriculteurs Djerma-Zone Agricole Centrale - Département de Dosso
L’installation des premières populations djerma dans la zone et la fondation de la majorité des villages remonte à plusieurs siècles, le plus souvent datées du XIVe au
XIXe siècle. Ces populations étaient à la recherche de terres cultivables et de points d’eau mais parfois aussi en fuite et cherchant à échapper à des guerres tribales ou à la
traite des esclaves qui se manifestait principalement par des incursions Hausa en
provenance du sud. -
Etude qualitative sur les contraintes à l’emploi productif dans les zones du projet filets sociaux au Niger
S’inscrivant dans le cadre du renforcement du programme de protection sociale adaptative au sahel, l’Etude qualitative sur les contraintes à l’emploi productif au Niger résulte du « diagnostic approfondi des contraintes à l’amélioration de la productivité et de la résilience dans les secteurs agricole et non-agricole »1 engagé par la Banque Mondiale pour rendre compte d’une part du rôle essentiel à jouer par les programmes de protection sociale en l’occurrence ceux des Filets sociaux pour promouvoir l’emploi productif aux personnes pauvres et vulnérables » dans cette région considérée comme la plus pauvre du monde (le sahel), et d’autre part des résultats encourageants de plusieurs études récentes qui « laissent notamment entrevoir des bénéfices importants à long terme de cette approche multidimensionnelle visant à lever les contraintes à l’emploi productif des plus pauvres »2.
Deux principaux objectifs sont assignés à cette étude : (i) d’une part, identifier et hiérarchiser les contraintes internes et externes auxquelles font face les personnes pauvres et vulnérables dans leurs activités, et (ii) d’autre part, identifier un ensemble d’interventions souhaitables pour promouvoir l’emploi productif et la résilience des personnes pauvres et vulnérables. -
Lutte contre l’ensablement des cuvettes oasiennes : cas de Yari (Gouré, Zinder)
Situé au coeur du sahel ouest africain, le Niger s’étend sur une superficie de 1 267 000 km2 dont près de 500 000 km2 sont désertiques. A la lisière de ces zones désertiques du nord se trouvent les terres marginales de la bande intermédiaire sahélo-saharienne (nord des régions de Tillabéry, Tahoua, Maradi, Zinder et Tahoua), représentant près de 300 000 km2, qui subissent de manière permanente et continue les effets de l’érosion éolienne avec la formation de dunes de sable sur plusieurs milliers de Km2. -
Schéma directeur de mise en valeur et de gestion des ressources en eau du Niger
Le schéma directeur de mise en valeur et de gestion des ressources en eau du Niger, élaboré par le Ministère de l’Hydraulique et de l’Environnement avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement, a été approuvé par le conseil des Ministres du 18 février 1993 -
Projet de mobilisation des eaux dans le département de Tahoua (PMET)
Pour faire face aux aléas climatiques et aux graves menaces qui pèsent sur la sécurité alimentaire, le Gouvernement nigérien a placé la maîtrise de l’eau au coeur des actions à promouvoir pour lutter contre la pauvreté. Le projet de mobilisation des eaux dans le département de Tahoua (PMET), identifié en 1990, figure parmi les premières tentatives du Gouvernement visant la mise en oeuvre de cette politique. Ce Projet a été préparé avec l’appui de la Banque qui a financé l’étude de mobilisation des eaux de ruissellement dans les trois départements du Niger les plus éprouvés par la sécheresse : Tahoua, Zinder et Agadez. Les populations ont été étroitement associées dès la phase de préparation du Projet, dont la conception était basée sur la réalisation de protections anti-érosives et de petits ouvrages hydrauliques (barrages ou seuils) de gestion facile. Le PMET, d’une durée de cinq ans, visait à terme l’aménagement et la mise en valeur de 720 ha de cultures irriguées et de 11.490 ha de cultures pluviales, et l’accroissement du cheptel. Le prêt FAD, d‘un montant de 7,95 millions d’UC, a été approuvé le 15 juillet 1998 et mis en vigueur le 7 avril 1999. Les activités sur le terrain n’ont cependant pu réellement commencer qu’en mars 2001, du fait de la suspension des décaissements qui a frappé le Niger d’août 1999 à février 2001.
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Projet de valorisation des eaux dans les régions de Dosso et de Tillabéri
Pour faire face aux aléas climatiques et aux graves menaces qui pèsent sur la sécurité
alimentaire, le Gouvernement nigérien a placé la maîtrise de l’eau au coeur des actions à promouvoir pour lutter contre la pauvreté. L’eau constitue également pour la Banque, depuis plusieurs années, une orientation privilégiée, largement mise en relief dans le dernier DSPAR pour le Niger (2005- 2009). La Banque a notamment financé en 2001, l’étude de mobilisation des eaux de ruissellement dans les régions de Dosso et de Tillabéri, et en 2004, avec l’appui du centre d’investissement de la FAO, l’étude de préparation du projet de développement agro-sylvo-pastoral du dallol Bosso. Ces deux études concernent les régions de Dosso et de Tillabéri, caractérisées par une très grande pauvreté et une forte dégradation du milieu naturel. Ces études ont mis en relief un potentiel intéressant mais sous-exploité, en matière d’écoulements de surface et souterrains, et ont proposé de valoriser ces eaux en favorisant la création de nouvelles infrastructures hydro-agricoles (petits barrages, puits, forages, jardins, etc.). Dix sites ont fait l’objet d’études d’avant projet détaillé, à l’issue d’un processus participatif associant les populations concernées. Ces études ont également mis en exergue la vocation agro-pastorale des deux régions, la nécessaire protection des bassins versants, et l’implication des organisations de producteurs, dont spécifiquement les femmes, dans les actions à mettre en oeuvre. Au terme de ces études, les autorités nigériennes ont transmis une requête à la Banque pour le financement d’un projet global axé sur la maîtrise des eaux et la régénération du milieu naturel, touchant les régions de Dosso et de Tillabéri. Le rapport ici proposé s’appuie sur les résultats des études préparatoires et fait suite à une mission d’évaluation de la Banque qui s’est rendue au Niger en novembre 2005.
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La gestion de l'eau dans la commune de Dantiandou: Etude de cas des villages de la zone d'intervention de la Fédération des Unions des Groupements Paysans du Niger
Le Niger est un pays de la zone tropicale sèche. Il s'étend sur une superficie de 1267000 km2 et se situe entre 11°33' et 23°33' de latitude nord ; 0°37' et 16°37' de longitude Est. C'est un pays continental et aride dont les 3/4 sont désertiques. Il a connu des sécheresses répétitives notamment en 1973-74, 1984-85, 1997-98 et en 2004-05. Selon une étude menée par SIVAKUMAR M.V.K (1993) les isohyètes se sont déplacées de 100 à 150 km après I960 et la pluviométrie moyenne annuelle a considérablement diminué. Les statistiques actuellement disponibles font ressortir que la superficie du territoire national recevant une pluviométrie annuelle supérieure à 200 mm/an ne dépasse guère 17,2 % de la superficie totale du pays, soit environ 354000 km2 (ISSA S, 2005). La température moyenne annuelle est de 29,5°C. Les hautes températures combinées avec l'augmentation du rayonnement solaire pendant la saison des pluies entraînent un accroissement de l'évapotranspiration potentielle (ETP) dont les valeurs moyennes mensuelles les plus élevées du pays sont enregistrées en zone sahélienne. L'ETP annuelle moyenne varie entre 1950 mm dans la zone soudanienne et plus de 2700 mm dans la zone saharienne (ISSA.I 2004). -
Choix des mares pour une étude approfondie
Le nombre de mares diffère selon les sources à cause la divergence des critères pris en compte. Géoconseil citant le plan de développement économique et social de la région de Dosso annonce 91 mares alors que le rapport de Kader dresse une liste de quarante sept (47) mares. Tout laisse à croire que dans le premier cas il sʼagit dʼun inventaire des mares et dans le second de celui des terroirs disposant de mares.
Lʼun dans lʼautre, lʼimportance quantitative des mares et la diversité de celles-ci sur le plan physique et humain commandent un échantillonnage pour une étude beaucoup plus détaillée visant à faire ressortir de façon représentative les facteurs de mise en valeur pour mieux orienter les interventions. -
Etude sur l'évaluation du potentiel productif irrigué des sites pilotes
Le Programme Moyen Niger 1 est élaboré et mis en oeuvre par le WWF sur mandat de la DDC. Il est placé sous la tutelle du Ministère de l'Environnement et de la Lutte Contre la Désertification. Ce programme vise à améliorer la sécurité alimentaire et réduire la pauvreté des communautés locales riveraines des zones humides du Moyen Niger 1 à travers une gestion équitable, concertée et durable des ressources naturelles, diffuser ce mode de gestion au niveau national et contribuer à garantir des conditions favorables à sa pérennisation. -
Evaluation des Ressources en Eau des vallées fossiles Maouri et de Foga (Gaya)
La présente étude s’inscrit dans le cadre du Programme de Réseau Universitaire International de Genève "Négocier les conflits d’intérêts liés à l’exploitation de l’eau ". L’objectif de l’étude est de réaliser une analyse des ressources en eau des vallées fossiles (dallols) de Maouri et de Foga dans l’arrondissement de Gaya, sur la base des données disponibles, en vue d’évaluer les ressources en eau.
Cette évaluation s’articulera autour de points principaux :
- l’inventaire des ressources en eau de surface (cours d’eau, mares),
- l’inventaire des eaux souterraines,
- la gestion de la ressource exploitable.
Les enseignements tirés de cette analyse, des recommandations seront formulées pour rendre la synthèse plus exhaustive. Mais au préalable, la région d’étude sera abordée par le cadre climatologique et géologique. -
Initiative "3N" pour la sécurité alimentaire et le développement agricole durable "Les nigériens nourrissent les nigériens" . Cadre stratégique et coût estimatif des programmes de l'initiative pour la période 2012-2015
Face au déficit chronique des produits vivrières notamment céréaliers insécurité alimentaire devient de plus en plus inquiétante et la pauvreté gagne chaque jour du terrain dans le monde rural qui comptabilise actuellement 80% des pauvres du Niger, le Président de la république et le gouvernement ont lancé l’initiative "3N". Le présent document de stratégie est la traduction opérationnelle de l'initiative. -
Bilan de mise en œuvre des programmes stratégiques 1, 3 et 4 du plan d'actions 2016-2020 de l’initiative 3N
L'action de l’État en matière de politique de développement économique et social est soutenue par une vision stratégique, conformément à la constitution du 25 novembre 2010 en son article 146. Le gouvernement a ainsi initié un processus de formation des documents de planification stratégiques de développement à court, à moyen et à long termes. -
Etude d’évaluation à mi-parcours du pisa 1
rapport final
Le programme PISA1 a été mis en oeuvre au mois de Février 2016 pour une durée de quatre ans. Ce programme est issu de la coopération nigéro-allemande est doté d'un financement de 15 millions d'Euro produit par la KFW. La part de l'Etat nigérien est estimée à 0,15 millions d'Euro et celle des bénéficiaires des actions du programme comme quote-part à la réalisation des infrastructures est de 0,40 millions d'Euro. Le programme a vocation à intervenir dans les trois régions d'Agadez, de Tahoua et de Tillabéri. -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°6
Le présent rapport couvre la période allant d’août 2018 à janvier 2019.Les activité réalisées au titre de ce semestre constituent pour la plupart la suite d'activités en cours depuis les mois précédents -
Rapport de la mission de recrutement des cadres de direction du programme
En exécution de la mission de recrutement des cadres de direction du programme qui nous a été confiée, nous avons l'honneur et le plaisir de vous transmettre notre rapport définitif. -
Etude de la mobilisation des eaux de ruissellement superficiel dans trois départements : phase II étude de factibilité
L'objectif de l'aménagement venvisagé sur le site Z9 est de creér un ouvrage favorisant l'épandage des crues à l'amont du site -
Etude de la mobilisation des eaux de ruissellement superficiel dans trois départements ( tahoua-zinder-agadez)
etude de factibilité voulume XIL'objectif de l'aménagement envisagé sur le site A8 est de réaliser les seuils favorisant la recharge de la nappe -
Cartographie des paysages sur aquifères peu profond (moins de 10m) dans le département de Maradi
Cartographie des paysages sur aquifères peu profond (moins de 10m) dans le département de Maradi -
Rapport du séminaire du diffusion des résultats sur l'étude sur population environnement et sécurité alimentaire au Niger
Le mardi 7 septembre 1999,s'est tenue à kollo ,dans la salle de conférence de l'ipdr,le séminaire de diffusion des résultats sur l'étude sur la population ,environnement et sécurité alimentaire au Niger -
Note sur les parcs à baobab dans la région de Zinder
Le baobab est d’une importance capitale dans le domaine de l’agroforesterie. Il procure des produits (feuilles, fruits, etc.) qui font l’objet de diverses utilisations dans les ménages. On peut citer entre autres l’alimentation humaine et la pharmacopée. Ces produits constituent également une source de revenus aux producteurs, parce qu’ils sont commercialisés sur les marchés. La CRA a rédigé cette note sur les parcs à baobabs des communes de Mirriah et Dogo, région de Zinder, pour mieux connaitre les intérêts socio-économiques de cette espèce agro-forestière pour la population : vente des feuilles, des fruits mais aussi des plants et… des arbres. -
Etude sur la Dynamique de l’Ensablement dans le Département de Maïné-Soroa
Le Projet d’Appui à la Gestion des Ressources Naturelles (PAGRN) a entrepris de réaliser, dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités, une étude sur la dynamique de l’ensablement dans le département de Maïné-Soroa. Cela a été possible grâce au partenariat traditionnel qui existe entre l’Association Française des Volontaires du Progrès (AFVP) et l’ONG KARKARA.
L’étude couvre plus précisément la partie sud des cantons de Maïné-Soroa et Goudoumaria sur une superficie de 5764 km2 soit 38,43% de la superficie du département de Maïné-soroa.
Cette étude consiste principalement à établir des produits cartographiques sur l’occupation des sols et de l’ensablement à partir des données spatiales multidates (1975, 1986, et 2003) afin d’analyser la dynamique de l’ensablement des unités paysagères et de déterminer les zones à risque. -
Projet de lutte contre l'insécurité alimentaire par le développement de l'irrigation dans la région de tillaberi (PDPI/T)
Suite à une requete du gouvernement nigérien,la coopération belge a accepté d'intégrer dans le programme indicatif de coopération 2008-2008 entre les deux pays un projet de développement de l'irrigation dans la région de tillaberi -
Guide d'élaboration des bilans alimentaires nationaux
Depuis la sécheresse 1984, les pays sahéliens ont vu la nécessité de se doter des dispositifs d'informations et d'outils d'analyse capables de les aider à bien évaluer la situation alimentaires nationales -
Rapport de mission : appréciation de la gestion participative et la bonne gouvernance au sein des banques céréalière dans le département de Filingué
L'objectif global est d'apprécier la gestion participative et la bonne gouvernance au sein de vingt (29) banques céréalière dans le département de Filingué dont 23 dans la commune rurale d'Imanan, 3 dans la commune rurale de Tondikandia et 3 dans celle de Tagazar. -
Projet d'appui à la mise en oeuvre de la stratégie de l'initiative 3N pour la sécurité alimentaire et le dévéloppement agricole durables
La stratégie de l'initiative " 3N " pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle et le développement agricole durables a été adoptée en conseil des ministres par décret N°139/PRN du 18 avril 2012 -
Rapport d'audit : version définitive
Dans le cadre de l'aide à l'augmentation de la production alimentaire en faveur des agriculteurs défavorisés, le niger conformément à l'échange de note, s'est engagé à effectuer un audit du compte fonds de contrepartie nigéro-japonais KRII 2004 à la fin de chaque année -
Rapport du sécretariat exécutif
Le comité permanent inter-états de lutte contre la sécheresse au sahel a été créé en 1973, en réponse aux nombreuses sécheresses sévères et persistantes -
Programme d'urgence pour la sécurité alimentaire
2011-2012 : bilan
La campagne agropastorale 2011-2012 a été caractérisée par une pluviométrie erratique, mal répartie dans l'espace et dans le temps avec de nombreux épisodes de sécheresse tous plus longs les uns que les autres. Il en a résulté un déficit céréalier quasi record de l'ordre de 700 000 tonnes, justifiant à posteriori les instructions de Son Excellence El Hadj ISSOUFOU MAHAMADOU, Président de la République, Chef de l'Etat, d'anticiper dès le début du mois d'août 2011, l'élaboration et la mise en œuvre pour l'exercice 201 1-2012, d'un programme d'urgence comme mesure corrective aux mauvaises récoltes attendues. -
Évaluation de l’insécurité alimentaire chronique au Niger
En mai 2018, le Réseau de systèmes d'alerte précoce contre la famine (FEWS NET), le Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) et l'Unité de soutien mondial pour la classification par phase intégrée (GSU IPC) ont réuni des représentants de différents ministères nigériens, des organisations non gouvernementales (ONG) internationales et locales et des agences des Nations Unies (ONU) pour préparer une analyse de l'insécurité alimentaire chronique à l'aide des outils de l’IPC.
La classification IPC de l’insécurité alimentaire chronique comprend quatre niveaux de sévérité de l’insécurité alimentaire chronique (IAC), à savoir : pas d’IAC (niveau 1), IAC légère (niveau 2), IAC modérée (niveau 3) et IAC sévère (niveau 4). L'analyse prend en compte trois domaines de sécurité alimentaire : la qualité des aliments consommés, la quantité des aliments consommés et la malnutrition chronique. -
Rapport d'activités dans le cadre du devis programme de démarrage allant du 1er novembre 2012 au 30 avril 2013
Dans le cadre de la coopération entre la république du Niger et l'Union Européenne, la convention de financement du projet d'appui au développement du secteur rural dans les régions de Dosso et Zinder a été signé par les deux parties en date du 08 Mars 2012 -
Interroger l'Etat à l'aune des calamités au Niger: d'une culture routinière de développement rural à la nécessité d'innover la gouvernance alimentaire
Axée sur un canevas de guide d’entretien semi-ouvert, cette réflexion porte sur l’innovation au service du développement rural dans son volet gouvernance alimentaire au Niger -
La gouvernance alimentaire à l'aune d'enjeux politiques
L'instabilité politique impacte négativement l'implémentation des politiques publiques dédiées à la sécurité alimentaire. -
Questionner la portée des interdits alimentaires en contexte des pénuries. L’exemple du département de Gouré, au Niger
Fruit d’une méthodologie qualitative à travers une étude de cas, cet article met en exergue, les déterminants sociaux et culturels qui engagent les habitudes et comportements alimentaires des communautés vivant dans le département de Gouré. Il s’est agi à travers cette étude, d’interroger les pratiques quotidiennes des acteurs, qui gouvernent l’espace social alimentaire et à travers ce dernier, les normes qui sied les restrictions alimentaires des communautés, en dépit de la rareté.
L’ethnographie locale, prouve qu’au-delà de l’aspect nutritif, la variante alimentaire, peut également revêtir, un symbole riche culturellement, à l’image des interdits de subsistance qu’elle véhicule.
Mots clefs : interdits alimentaire, croyance, culture alimentaire, Gouré, Niger.
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Analyse Intégrée du Contexte (AIC)
Se nourrir est un besoin humain fondamental et essentiel pour assurer la survie. L’accès à une nourriture saine et nutritive reste un défi, et devient extrêmement compliqué lors de catastrophes naturelles. La relation complexe entre la récurrence de l'insécurité alimentaire et les risques naturels est illustrée par l'analyse intégrée de tous les contextes corrélés.
Ainsi cette analyse connue sous le terme « Analyse intégrée du Contexte (AIC) » se révèle être un outil programmatique qui a fait ses preuves, susceptible d’apporter un appui aux décideurs - basé sur l’évidence - pour améliorer la planification et la mise en oeuvre des programmes de renforcement de la résilience, de mise en place de filets de sécurité, de réduction des risques de catastrophe, et de préparation aux chocs. -
Plateformes nationales d'information pour la nutrition
Les pays et les organisations internationales et nationales sont confrontés à la nécessité de prendre des décisions éclairées et justifiées par des évidences. Les pays et les organisations internationales et nationales identifient des stratégies et les priorités données aux interventions spécifiques et sensibles à la nutrition afin d’accéder à une bonne nutrition pour tous. Ces choix stratégiques et priorités doivent avoir un coût-efficacité maximale tout en étant adaptés aux contextes nationaux. La capacité des pays à produire, analyser et utiliser les données pour éclairer les politiques et les programmes multisectoriels sur la nutrition est dans ce contexte un élément clé de réussite. -
Schéma d’aménagement de la mare de Tabalak - Région de Tahoua – Rapport final
L’étude du schéma d’aménagement des terres, dans le bassin versant de la mare de Tabalak, a été demandée par l’URGP ProDAF -Tahoua au profit du PDE de la commune de Tabalak, dans le but d’asseoir les bases d’un développement économique durable dont les différents axes sont en harmonie avec les ressources naturelles et humaines de cette localité.
Le diagnostic mené à travers cette étude révèle que le bassin versant de la mare couvre une superficie de 2238 km2 s’étalant essentiellement sur trois (3) communes, notamment, la commune de Tabalak, de Keita et de Kalfou. -
Les achats locaux des vivres : une stratégie pour améliorer la sécurité alimentaire au Niger
Face à l’insécurité alimentaire chronique au Niger, le Programme alimentaire mondial des Nations unies (PAM), en partenariat avec l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a mis en place depuis 2014 un projet d’achats des vivres auprès des petits producteurs locaux. Objectif : améliorer la sécurité alimentaire et le pouvoir d’achat des agriculteurs à travers l’appui à la production agricole par la fourniture d’intrants, de matériel et l’accès à des formations techniques. L’opération a eu des impacts positifs, en particulier sur l’autonomisation des femmes vulnérables. -
Dispositif de suivi du niveau de nappe phréatique dans les vallées équipées de seuil d’épandage du bassin versant de Badaguichiri
La non durabilité de l'usage des eaux souterraines pour l'irrigation est un problème important non seulement pour les pays qui font un usage intensif des eaux souterraines, mais aussi pour le monde dans son ensemble. La disponibilité et la mobilisation des eaux souterraines constituent un facteur constituent un préalable pour la pratique et la promotion des cultures irriguée. Dans les vallées du bassin versant la pratique des cultures maraichères est possible du fait de l’existence de nappe alluviale dont la profondeur du niveau statique n’excède pas les 15m. La recharge se fait par infiltration des eaux de pluies et de ruissèlement. Elle dépend fortement du temps de résidence sur les surfaces des zones de recharge. Pour accroitre ce temps dans les vallées, le projet Badaguichiri construira des seuils d’épandage au niveau de plusieurs vallées.
Le CNSEE responsable du volet suivi écologique et environnement au niveau dudit projet envisage de suivre l’effet des seuils qui seront construit sur la recharge de la nappe phréatique. Cette information constituera un outil d’aide à la décision pour la promotion des cultures irriguées en général. -
Évaluation des risques du secteur agricole au Niger : De la réaction aux crises à la gestion des risques à long terme
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement. La pauvreté y est omniprésente et le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40 pour cent du le produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80 pour cent de la population. La performance du secteur agricole est néanmoins très instable du fait de sa forte exposition aux risques.
Conscientes de la nécessité de s’attaquer spécifiquement aux risques agricoles dans tous leurs aspects, les autorités nigériennes, par le biais du haut-commissaire à l’Initiative « 3 N », ont invité la Banque mondiale à réaliser une évaluation des risques dans le secteur agricole du Niger. Cette évaluation enrichit la somme de connaissances existantes sur le secteur agricole nigérien. -
Le système ouest-africain de stockage de sécurité alimentaire - Synthèse des enseignements et perspectives
Cette synthèse des acquis de l’expérience de la mise en œuvre de la stratégie régionale de stockage de sécurité alimentaire a été réalisée dans le cadre de la mise en œuvre de la politique agricole de la CEDEAO, l’ECOWAP. Elle s’inscrit dans le contexte de la Conférence internationale sur le système ouest-africain de stockage de sécurité alimentaire organisée par la CEDEAO et ses partenaires du 28 avril au 10 mai 2021. Elle constitue le résumé de la capitalisation approfondie du Projet d’appui au stockage de sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par l’Agence régionale pour l’agriculture et l’alimentation (ARAA) et la Direction Agriculture et développement rural de la CEDEAO (DADR). -
Appui à l'élaboration des DPPD des ministères du secteur Sécurité alimentaire, nutritionnelle et développement agricole durable au Niger
Les DPPD des ministères de l'hydraulique et de l’assainissement, de l'agriculture et de l'élevage, de l'environnement et du développement , du commerce et de la promotion du secteur privé puis du haut-commissariat à l'initiative à l'initiative 3N ont donné lieu en juin-juillet 2016 a un travail de mise au point qui a fait apparaitre des points forts et des limites . L'analyse stratégique et la description du secteur d'intervention est réalisé de manière convaincante par tous ces documents, même si la lecture en est légèrement fastidieuse. La définition des programmes est judicieuse. Les indicateurs généraux sectoriels ne manquent pas. -
Contribution à l'étude de la couverture des besoins en protéine d'origine animale de la population de la République du Bénin.
La malnutrition infantile est l'un des premiers facteurs de mortalité dans le monde. Des150 à 200 millions d'enfants malnutris dans le monde, 80 %se trouvent dans deux zones géographiques : le sous continent indien, l'Afrique au Sud du Sahara. La mortalité infantile représente 65 %de mortalité de la globale en Afrique et en Inde. Ce pourcentage n’est que de 4,3 %aux États-Unis. -
Des institutions rurales innovantes pour améliorer la sécurité alimentaire
La croissance démographique, l’urbanisation et l’augmentation des revenus continueront à exercer une pression sur la demande alimentaire. Les prix mondiaux de la plupart des denrées de base agricoles devraient se maintenir à leur niveau de 2010, voire augmenter, tout au moins au cours de la prochaine décennie (OCDE-FAO,2010). Les petits producteurs de nombreux pays en développement n’ont pas pu tirer parti de la hausse des prix lors de la crise causée par l’envolée des prix en 2007-2008. Pourtant, la flambée des prix aurait pu être pour eux l’occasion d’accroître leurs revenus en contribuant à améliorer la sécurité alimentaire. -
Développer des chaînes de valeur alimentaires durables : Principes directeurs
Ces dix dernières années, la chaîne de valeur s’est imposée comme l’un des principaux paradigmes pour la réflexion et la pratique dans le domaine du développement. C’est pourquoi l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a lancé une nouvelle série de manuels sur le développement de chaînes de valeur alimentaires durables; la présente publication inaugure cette série. Ces manuels ont pour objet de donner des conseils pratiques sur le développement de chaînes de valeur alimentaires durables en facilitant la diffusion de solutions innovantes et tirées de l’expérience auprès d’un public cible composé de décideurs politiques, de concepteurs de projets et d’acteurs de terrain.
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Diagnostic des besoins des dix (10) Unions de Sociétés Coopératives du Projet Fortification de Produit transformé (FOPAT) de consommation courante au Niger
Le diagnostic a eu pour but,de faire l’état des lieux du niveau d'organisation, de fonctionnement, de production et des compétences techniques en matière de marketing des dix (10) Unions des Sociétés Coopératives du FOPAT, en vue d'identifier leurs forces et faiblesses dégager une stratégies adoptée de renforcement. l'activité s'inscrit dans la stratégie d'intervention du FOPAT qui entend par cette action, apporter sa contribution à l'émergence du nouveau monde paysan à travers l’accompagnement des populations pauvres disposant de moyens de production rudimentaire. -
Enquête conjointe sur la vulnérabilité à l'insécurité alimentaire des ménages au Niger
Pays sahélien et enclavé, le Niger a un climat particulièrement aride avec des variabilités extrêmes et régulières. La pluviométrie annuelle comprise entre 100 mm et 800 mm, est caractérisée par une importante variabilité interannuelle et spatiale avec en conséquences des séquences de sécheresses et/ou des inondations. Ces rudes conditions climatiques affectent la production agropastorale et les conditions de vie des ménages en général. -
Enquête rapide de sécurité alimentaire : Les ménages de la région de Tillaberi
La crise alimentaire de 2005 a rappelé , si besoin est, la place prépondérante qu'occupent l'agriculture et l’élevage dans le développement socio-économique des populations du Niger et leurs grandes vulnérabilité face aux chocs climatiques. Un des faits marquants dans la gestion des conséquences de cette crise alimentaire a été la forte mobilisation des ONG internationales et nationales qui, à travers la mise en œuvre du programme humanitaire de grande envergure,ont mobilisé leurs ressources pour répondre aux besoins des populations. -
Etat des lieux et d'assainissement des banques céréalières de la commune rurale de Tchadoua/ Département d'Aguié Région de Maradi
Le présent rapport dresse un état des lieux et d'assainissement des banques céréalières de la commune rurale de Tchadoua. -
Étude de faisabilité d'un projet de la recherche agricole
La présente étude a pour but une préparation d'un projet de la sécurité alimentaire dans les zones en marge du désert qui contribuer à la sécurité alimentaire, la réduction de la pauvreté, et une meilleure gestion des ressources naturelles au Niger en mettant à la disposition des paysans et des autres parties prenantes des technologies et pratiques améliorées de gestion des ressources, un système durable d’approvisionnement de semences, et des informations et/ou des analyses multidisciplinaires nécessaires. -
Étude géochimique et hydrodynamique de la nappe libre du bassin du Lac Tchad dans les régions de Diffa (Niger oriental) et du Bornou (nord-est du Nigeria)
Avec près de 2,5 millions de km², le Bassin du Lac Tchad (BLT) est le plus vaste bassin endoréique au monde. Situé dans une zone sub-humide à aride contrôlée principalement par les fluctuations latitudinales des flux de mousson, le BLT est soumis à des aléas extrêmes des facteurs environnementaux. Son endoréisme et son caractère semi-aride amplifient sa sensibilité face à ces aléas. -
Etat des lieux des banques céréalières
Les banques céréalières ont pour but l’amélioration de la sécurité alimentaire à travers une politique visant à assurer la disponibilité et l’accessibilité des céréales aux ménages en période de soudure. Dans ce sens, beaucoup de Partenaires Techniques Financiers (PTF) prévoient d’accompagner le Gouvernement dans la mise en place des banques céréalières au cours des prochaines années. C’est le cas du PAM à travers l’Intervention Prolongée de Secours et de Redressement (IPSR) (2007-2009) et le CP destiné, entre autres, à la création et au renforcement des BC. En outre, la CCA prévoit chaque année des ressources (Stock National de Sécurité et/ou Fonds Commun des Donateurs) pour la mise en œuvre de la composante BC de son plan de soutien aux populations vulnérables.
Toutefois, en dépit de la volonté affirmée du Gouvernement et des efforts consentis ces dernières années avec l’aide de ses PTF, les résultats atteints restent mitigés comme en témoignent les conclusions de l’étude sur le recensement des BC au Niger (Ministère du Développement Agricole, Juillet 2006).Ainsi, selon cette même étude, plus de la moitié des BC ne sont ni opérationnelles ni viables par rapport au niveau actuel de leurs ressources et totalisent près de 900 millions de Francs CFA de crédits non remboursés. -
Rapport de l’étude sur la contribution des activités du ProDAF dans la sécurité alimentaire et nutritionnelle
La présente étude intitulé « contribution des activités du ProDAF dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle » est réalisée dans le cadre de la préparation méthodologique de la revue à mi-parcours du ProDAF prévue en début du mois de juin 2019. Les informations contenues dans le rapport découlent des éléments de la revue documentaire (études de référence, document de conception du ProDAF, documents d’évaluation de la campagne agricole, document d’évaluation de la nutrition, rapport d’étude thématique similaire par l’institut national des statistiques, des notes d’informations et bilans d’exécutions des activités du programme etc.) et aussi des données issues de l’enquête sur le terrain au niveau des trois régions d’intervention du ProDAF (Maradi Tahoua et Zinder).
Le fil conducteur qui a guidé cette étude c’est la confrontation des indicateurs du cadre logique du ProDAF et ceux de l’i3N de la situation de référence « sans projet » à la situation actuelle « avec projet » pour déterminer la contribution du ProDAF dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la zone d’intervention. -
Guide pour mesurer la diversité alimentaire au niveau du ménage et de l’individu
La diversité alimentaire est une mesure qualitative de la consommation alimentaire, qui rend compte de la variété des aliments auxquels les ménages ont accès; elle constitue au niveau individuel une mesure approchée de l’adéquation nutritionnelle du régime alimentaire. -
Initiative 3N pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle et le développement agricole durable "LES NIGÉRIENS NOURRISSENT LES NIGERIENS"
Le Niger est confronté à des crises alimentaires intervenant une année sur deux à cause de la mauvaise répartition des pluies dans l'espace et dans le temps. Pourtant des potentialités existent en eau et en terre irrigables et c'est la raison pour laquelle,l’État s'est engagé à développer les cultures irriguées. -
Intérêt et signification de la farine d'arachide comme aliment de protection du noir africain
L'alimentation du noir africain est caractérisée par une déficience protidique responsable de dystrophies nutritionnelles dont la plus connue est le kwashiorkor. Or, on trouve actuellement en Afrique de grandes quantités de tourteaux oléagineux préparés sur place. Ces produits constituent essentiellement des aliments protidiques qu'il serait possible d'utiliser pour corriger les déficiences des rations africaines. -
La gouvernance foncière des biens communs
Ce guide technique sur la gouvernance foncière des biens communs vise à aider les États,les organisations communautaires, les organisations de la sociétés civiles, le secteur privé et les autres acteurs concernés à prendre par avance des mesures pour mettre en œuvre les normes et les recommandations des directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forets dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale. Son objectif est de parvenir à une reconnaissance juridique et à la protection des droits fonciers sur les biens communs et des structures de gouvernance communautaires. -
La répétition des crises alimentaires et nutritionnelles au Niger : la rénovation urgente des politiques de sécurité alimentaire
Après la crise alimentaire très médiatisée de 2005, le Niger a connu en 2010 une crise de plus grande ampleur. Cet article cherche à analyser pourquoi les populations nigériennes sont confrontées à la répétition de crises sévères à un rythme tendant à s'accélérer. La crise de 2005 a mis en évidence l'important décalage entre le modèle explicatif de la crise alimentaire retenu par le dispositif national de prévention et de gestion des crises alimentaires. -
La sécurité alimentaire urbaine et la commercialisation des aliments
Le XXIe siècle a été défini Le Siècle des villes. Si, en Amérique latine, la majorité des habitants vit déjà dans les zones urbaines, il n’en est pas de même pour les villes asiatiques et africaines dont la population risque de doubler dans les dix années à venir. Ce seront surtout les consommateurs urbains à faible revenu dont le nombre augmentera. -
L'alimentation de complément du jeune enfant
L'objectif général de cet atelier était de proposer, sur la base de l'expérience accumulée par des africains, un ensemble de directives pour promouvoir une alimentation de complément correcte chez le jeune enfant. -
Manuel de détermination et de mise en place d'un système d'information pour la sécurité alimentaire et l'alerte rapide (SISAAR)
L'introduction retrace l'évolution historique et le cadre actuel des systèmes d'information sur la sécurité alimentaire, l’intérêt technique de la méthodologie SISAAR contenue dans le présent manuel, et ses avantages spécifiques, sa structure et sa logique ainsi que son approche pédagogique. Elle donne enfin la définition de la sécurité alimentaire, acceptée aujourd'hui par toutes les instances mondiales. -
Conséquences du dépérissement du Moringa oleifera sur la sécurité alimentaire des maraichers de la commune rurale de Bitinkodji (région de Tillabéri/Niger)
Le moringa oleifera joue un rôle socio-économique important au Niger dans la contribution de lutte contre la faim (consommation des feuilles avec un apport nutritif élevé) et la pauvreté. C'est une source de revenue importante, souvent, la principale en période de soudure dans la commune rurale de Bitinkodji. Les maraîchers de Bitinkodji sont les principaux fournisseurs de feuilles fraiches de moringa aux différents marchés de Niamey. -
Mission de suivi de la mise en œuvre des instructions du Premier Ministre relatives à l'assainissement des banques céréalières implantées dans la région de Maradi
Du 18 au 28 mars 2018 a eu lieu une mission de suivi de la mise en œuvre des instructions du Premier Ministre relatives à l'assainissement des banques céréalières implantées dans la région de Maradi. Cette mission était conduite par Monsieur Boubacar Gaoh Illiassou Secrétaire Général Adjoint du Ministère de l'Agriculture, vice Président du Groupe Ad hoc. Elle est également composée d'autres membres du groupe ad hoc. -
Rapport d’analyse des données de l’enquête de la situation référence - RED-SAACC
Le projet de recherche-développement pour la sécurité alimentaire et l’adaptation climatique des systèmes ruraux de production au Niger (RED/SAACC-Niger) a pour objectif d’améliorer d’ici fin 2021, les revenus, la sécurité alimentaire et nutritionnelle de 15.000 exploitations agricoles familiales fragiles à faible résilience, dans 15 communes des régions de Maradi, Tahoua et Tillabéri.
Le mécanisme de la mise en oeuvre du projet s’articule autour de 6 composantes dont les actions contribueront à l’atteinte de l’objectif global du projet. L’objectif de la composante 5 est de mettre en place un dispositif de gestion des connaissances efficace permettant de capitaliser et de partager les bonnes pratiques.
Pour atteindre cet objectif des d’activités ont été planifiées dont la première est la réalisation d’une étude de référence pour établir la situation de départ des indicateurs clés dans la zone d’intervention du projet, par rapport à laquelle seront mesurés les progrès vers l’atteinte des objectifs du projet RED/SAACC-Niger. -
DryDev Niger - Rapport annuel 2016
DRYDEV Niger est financé pour 5 ans (Aout 2013 à juillet 2018) par le Ministère des Affaires Etrangères des Pays Bas à travers ICRAF. Drydev est mis en oeuvre dans 3 pays du Sahel (Mali, Burkina Fasso, Niger) et 2 pays de l’Afrique de l’est (Ethiopie et Kenya) » et ICRAF assure la coordination.
Ce dernier coordonne la vision de DRYDEV est le passage des ménages bénéficiaires d’une agriculture de subsistance et de l’aide alimentaire à un développement rural durable. Pour que cette transformation soit effective, il faudra que les interventions du programme conduisent a un accroissement de la sécurité alimentaire et hydrique, un meilleur accès au marché du fait d’excédent alimentaire généré et au renforcement de l’économie locale pour toutes les catégories de producteurs.
DRYDEV Niger vise à toucher 51 336 personnes dont 50% de femmes pour les 5 communes. Les communes d’intervention sont celles de Droum, Aguié, Malbaza, Dogon Kiria et Torodi. Il est mis en oeuvre par un consortium de 7 organisations dont CARE assure le lead. Chacune des organisations est responsable d’une commune à l’exception de CARE et OXFAM. Chaque membre du consortium contribue à la mise en oeuvre de par l’apport d’expertises thématiques : KARKARA (GIRE, ADM), WVI (MMD et Financement), AREN (Restauration des aires de pâturage, Plan d’approvisionnement), RAIL (Fertilisation et CES-DRS), OXFAM (Filière, Mise en réseau, développement PI et Plaidoyer), CRESA (RNA et Innovation), CARE (Suivi évaluation, Approches MMD et Genre-masculinité positive, organisation des producteurs, renforcement de capacités).
Ce rapport synthétise les principaux résultats des 8 WP de DRYDEV acquis au Niger au cours de 2016 -
Plan national de sécurité sanitaire des aliments au Niger (2008-2010)
Le Niger, à l'instar de la plus part des pays en développement, a une balance commerciale déséquilibrée, avec une forte dépendance des produits importés notamment alimentaires de divers horizons. -
Programme de coopération Belgique/FAO
Dans le cadre du programme de coopération multilatérale Belgique/FAO, l'axe " Capitalisation des outils en matière de sécurité alimentaire et genre", qui fait partie du sous programme " Gestion des connaissances et genre", a une envergure globale. Pour commencer, son champ d'action sur les quatre pays (Burkina Faso, Mali, Niger et Sénégal). Après la mise en place d'un dispositif régional pilote, il visera le développement d'une stratégie de gestion des connaissances sur les outils pour la sécurité alimentaire, notamment sur les intrants agricoles au sens large du terme. -
Programme de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel
Le programme de Renforcement de la Résilience à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel (P2RS) est financé par la Banque Africaine de Développement (BAD) et le Gouvernement du Niger. La coopération et la mise en œuvre de ce programme est de contribuer à l'éradication des crises alimentaires et nutritionnelles au Sahel à l'horizon 2032. -
Projet d'Appui à la Sécurité Alimentaire et au Développement au niveau de la Région de Maradi
Suite à une demande adressée en janvier 2011 par le Gouvernement du Niger, le FIDA a engagé un processus de conception d'un nouveau projet dans la région de Mardi, dénommé Projet d'Appui à la Sécurité Alimentaire et au Développement dans la région de Maradi PASADEM. -
Rapport annuel d'activités 2012
Le rapport d'activités de l'année 2012 constitue le second qui couvre une année dans le cadre de la mise en œuvre de la phase 2 du Projet d'appui au Programme Spécial de Sécurité Alimentaire. Il couvre la période de janvier à décembre 2012. -
Rapport annuel d'activités 2011
Le présent rapport d'activités constitue le premier du genre dans le cadre de la mise en œuvre de la phase 2 du Projet de Programme Spécial de Sécurité Alimentaire. Il couvre la période allant d'Octobre 2010 à décembre de l'année 2011. -
Rapport annuel d'activités 2017
Le Gouvernement de la République du Niger et la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) ont signé le 18 Janvier 2011, l'accord de financement de la mise en œuvre du Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA). Il est conjointement financé par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), l’État du Niger et les populations bénéficiaires pour un montant global de 10 milliards 484 millions de FCFA hors taxe et hors douane. -
Rapport d'activités 2013
Le Niger a obtenu de la Banque Mondiale à travers le Fonds fiduciaire en réponse à la crise des prix alimentaires (FPCR), le financement du second Projet d'Urgence d'appui à la Sécurité Alimentaire (PUSA2) dans la région de Tillabéri. Ce projet vise l'attention des effets de la crise alimentaire et pastorales de 2009 qui a affecté les populations les plus vulnérables du Niger. -
Rapport d'activités 2014
Le Niger a obtenu de la Banque mondiale à travers le Fonds fiduciaire en réponse à la crise des prix alimentaires (FPCR), le financement du second Projet d'Urgence d'appui à la Sécurité Alimentaire (PUSA2) dans la région de Tillabéri. Ce projet vise l’atténuation des effets de la crise alimentaire et pastorales de 2009 qui a affecté les populations les plus vulnérables dans cette région. -
Rapport d'audit sur les états financiers : Mai 2013
Le PUSADER dispose de deux sources de financement à savoir le FIDA et OFID pour les montants respectifs de 8.300.000 Dollars USD. L'accord de don et du prêt est entré en vigueur le 7 février 2011 et la date de clôture du projet est fixée au 30 septembre 2014. -
Rapport de mise en œuvre du PTBA 2014
Le Gouvernement de la République du Niger et la Banque Ouest Africaine de Développement ont signé le 18 janvier 2011, l'accord de financement de la mise en oeuvre du Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA). Il est conjointement financé par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), l'Etat du Niger et les populations bénéficiaires pour un montant de 10 milliards 484 millions de fcfa hors taxe et hors douane. -
Rapport de résultats du PO 2017 : Cadre mesure des rendements
Ce rapport a aussi pour but d'améliorer les méthodologies et les outils d'analyse des données d’enquêtes sur la sécurité alimentaire, l'économie des ménages et la nutrition pour les adapter aux besoin du CH. -
Rapport de résultats du PO 2017 : Narratif
Ce rapport fait le point des réalisations et acquis du Plan d'Opération 2017 du Système CILSS pour la période d'exécution de Janvier à Décembre 2017. Il met l'accent sur les performances des axes stratégiques à travers le niveau de réalisation des résultats attendus. -
Enquête nationale sur la nutrition des enfants de 0 à 59 mois : Juin/Juillet 2014
Du 27 juin au 8 aout 2014, le Gouvernement du Niger, à travers l'Institut National de la Statistique (INS) et la Direction de la Nutrition (DN/MSP), a conduit une enquête sur la nutrition des enfants de 0 à 59 mois dans les huit (8) régions administratives du pays. L’enquête a bénéficié de l'appui technique et financier du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), du Programme Alimentaire Mondial (PAM) et d'Action Contre la Faim Espagne (ACF-E). Elle a, en outre, bénéficié de l'appui technique de FEWSNET. -
Intensification de l'agriculture par le renforcement des boutiques d'intrants coopératives (IARBIC) : Réhabilitation et renforcement des moyens de subsistance de population rurale du Niger face à la flambée des prix des denrées alimentaires et intrants agricoles
Le Niger, pays enclavé caractérisé par un climat rigoureux et des sols pauvres en voie de désertification présente une forte croissance démographique et de très faible indicateurs sociaux. L'économie du pays repose essentiellement sur le secteur primaire (agriculture et élevage) qui représente 36 pour cent du produit intérieur brut et qui fournit 84 pour cent des emplois. L'insécurité alimentaire est caractérisée par des déficits récurrents au niveau des ménages entre le production des denrées de base et les besoins alimentaires.