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Techniques de production des cultures irriguées - cultures fourragères
Élaboré dans le cadre des stratégies, de production fourragère en contre saison pour pallier au problème de disponibilité de fourrage pendant la saison sèche et surtout d’améliorer de façon efficiente les productions animales Le module traite de la typologie des cultures et plantes fourragères ; des caractéristiques des cultures fourragères pratiquées en irrigué au Niger. -
Fiche technico-économique pour la culture pure de l’arachide
En quelques mots : L’arachide appelée en haoussa Guiada ou Gougia est l’une des principales cultures de rente de la région de Zinder. Les principales zones de production sont les départements de Mirriah, Kantché et Magaria. Elle est cultivée sur des sols sableux pauvres en matière organique, le plus souvent en association avec plusieurs autres cultures (mil, sorgho, sésame, niébé) dans la logique de garantir des récoltes minimums pour les producteurs. La présente fiche technico-économique porte sur la culture de l’arachide en culture pure. En quelques chiffres : Selon les résultats de la campagne agricole 2015 du MAG/EL, la production d’arachide de la région de Zinder est estimée à plus de 120.000 tonnes avec un rendement de l’ordre de 670 kg à l’hectare. L’arachide produite est commercialisée vers le Nigeria mais aussi, transformée par les groupements de femmes en huile, tourteaux et pâte. Une femme transformatrice peut transformer jusqu’à 300 kg d’arachide par mois (données du conseil de gestion aux transformatrices d’arachide 2016 - 2017 de la CRA de Zinder). -
Cahier du formateur « Techniques de production des cultures irriguées »
Le présent document est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui financier de la Coopération Allemande. Il s’inscrit dans les activités de la composante 2du PromAP: Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation quia pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. Ce manuel est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la petite irrigation. -
Guide pratique sur la culture du niébé pour le Burkina Faso
L’Institut international d'agriculture tropicale (IITA) est le principal acteur de la recherche en Afrique pour la résolution de la faim et de la pauvreté. Notre recherche pour le développement (R4D) s’intéresse aux besoins de développement des pays tropicaux. Nous travaillons avec nos partenaires pour améliorer la qualité, la productivité des cultures et réduire les risques afin de générer des richesses venant de l’agriculture à la fois pour les consommateurs et les producteurs. L’IITA est une organisation à but non lucratif fondée en 1967, dirigée par un conseil d’administration et financée par plusieurs pays. L'IITA est membre du consortium CGIAR. -
Photos culture de luzerne à Tiguirwit Agadez
Initié par Orano avec l’appui de l’Etat, le projet Irhazer est mis en œuvre dans 9 communes de la région d’Agadez et cadre bien avec les objectifs de l’Initiative 3N (Les Nigériens nourrissent les Nigériens) qui vise à transformer radicalement les systèmes de production agricole au Niger afin de mettre les populations rurales à l’abri des affres de la famine et leur garantir des conditions favorables pour une pleine participation à la production nationale et la répartition des revenus. -
Le méteil (mélange fourrager) : un itinéraire technique simple
Cette fiche propose un itinéraire technique pour la culture d'un mélange fourrager -
Produire des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique
La présente fiche porte sur la production des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences fourragères en agriculture biologique : Des techniques en évolution
Ce document porte sur la production des semences fourragères en agriculture biologique -
Connaissance locale de la variabilité de surface du sol et des contraintes associées pour la production du niébé en zone sahélienne du Niger
Le présent guide porte sur la connaissance locale de la variabilité de surface du sol et des contraintes associées pour la production du niébé en zone sahélienne du Niger -
Étude diagnostique des principales contraintes de la culture du niébé (Vigna unguiculata L. Walp) dans les régions de Maradi et Zinder au Niger
Le niébé (Vigna unguiculata L. Walp) est une culture alimentaire importante au Sahel. Son rendement est bas par rapport au potentiel de la plante. Pour identifier les principaux facteurs responsables de la baisse de rendement, une enquête a été conduite au niveau de 22 villages des régions de Maradi et Zinder. La pression parasitaire a été évoquée par 31,6 % des répondants, la sécheresse de fin de cycle par 31,6 %, la pauvreté des sols par 30,2 %, l’utilisation des matériels agricoles rudimentaires par 1,8 %, le conflit foncier par 1,6 % et le manque de variétés améliorées par 3,5 %. -
La culture du Guar se développe au Niger
Une plante tolérante à la sécheresse et même qui ne bien pousse que dans les zones arides et semi-arides. Une plante qui aime les sols sableux -
Fiche technique n°001 : culture de la plante fourragère bourgou (Echinochloa stagnina)
La plante Bourgou (Echinochloa stagnina) connue sous le nom de ` « Chégoune Tchadi » en Haoussa est une plante fourragère à haute valeur nutritive pour le bétail (0,53 à 0,69 UF/kg MS). La plante contient de la matière azotée digestible allant de 37g/kg MS à 86 g/kg MS autorisant une croissance moyenne de 260 g/jour variable selon les saisons. D’après les études réalisées au Niger et Mali, le Bourgou est produit avec un rendement moyen de 10 à 25 tonnes/ha. La plante appartient à la famille des Graminées, et est généralement produite sur les sols de vallées (lourds et fertiles). Le Bourgou est repiqué à la manière du riz avec des boutures taillées sur des tiges vigoureuses de 40 cm avec trois à quatre entre-nœuds. Le Bourgou peut aussi être cultivé par semis des graines en ligne ou à la volée avec une norme de 3 kg de graines mélangés avec 10 kg de sable pour un ha. La plante Bourgou a une consommation voisine de celle du riz avec une consommation de 20 000 m3/ha/an et l’irrigation peut se faire d’une manière gravitaire avec une lame d’eau de 15 à 20 cm d’eau une fois par mois en période pluviale/froide et deux fois par mois en période sèche. -
Culture irriguée d’une graminée fourragère : Echinochloa stagnina (bourgou)
Le bourgou est une graminée vivace bien connue des populations riveraines du fleuve Niger où elle est exploitée traditionnellement depuis longtemps -
Aménagement de bourgoutières
Démarré en 2006, le Programme d’Appui au Développement du Secteur Agricole du Burkina Faso phase 2 (PADAB2) sur cofinancement du Burkina Faso et de la Coopération danoise, est un programme qui repose sur les mêmes principes que le Programme d’Appui au Secteur Rural (PASR) au Niger (approche programme, renforcement des acteurs, mise en place d’un fonds d’appui aux microprojets). Au cours de l’année 2008, des fiches techniques sur les principales filières porteuses ont été conçues et proposées aux acteurs du monde rural, puis complétées par des fiches "modèles économiques". Les dernières fiches proposées par le PADAB, en 2011, doivent permettre aux promoteurs (porteurs de projets) de pouvoir disposer de référentiel technico économique le plus complet possible dans le montage et le suivi de leurs projets. -
Manuel de production et d’utilisation des fourrages verts hydroponiques (FVH) au Niger
L’hydroponie, qui est une variante des "cultures hors sol", est une technique qui permet l’obtention de jeunes pousses de céréales indépendamment de la disponibilité de sols cultivables et du type de climat. On obtient un tapis fourrager vert, succulent et frais, prêt à l’utilisation en seulement 7 à 10 jours de production et qui est entièrement consommé par les animaux. La production des fourrages verts par les techniques hydroponiques (FVH) constitue une alternative prometteuse dans l’alimentation des petits ruminants. Cette technique qui est actuellement en expérimentation par l’ONG OXFAM-Niger en partenariat avec l’INRAN dans les communes de Bermo, Gadabedji, Diffa et Foulatari peut se révéler très bénéfique pour les éleveurs des petits ruminants dans les zones pastorales. -
Rapport de formation des producteurs de Bourgou (Echinochloa stagnina)
Le Projet de Développement de l’Elevage dans la Région du Liptako Gourma, dans sa composante Appui à la production animale, a prévu la culture de bourgou pour augmenter la disponibilité et la qualité du fourrage afin de soutenir durablement la production laitière dans la Région de la Communauté Urbaine de Niamey et du Département de Gaya. Pour atteindre cet objectif, le projet a procédé au renforcement des capacités des producteurs par la fourniture de matériels divers, la formation de quinze (15) agents d’élevage chargés de l’encadrement et du suivi et tout récemment, a organisé des séances de formation sur les techniques culturales du bourgou à l’intention de tous les membres des groupements concernés. -
Note sur la botteleuse manuelle pour la culture fourragère de luzerne
Dans la région d'Agadez, la production des cultures fourragères irriguées semble bien adaptée. Elles constituent une nouvelle forme d’adaptation au déficit fourrager de plus en plus récurrent, et permet aussi de faire face à une demande sans cesse croissante des villes en aliments pour bétail.
C’est dans cette logique que le Projet d’Appui au Développement Agricole de l’Irhazer, du Tamesna et de l’Aïr (PADA/ITA) a donné une place de choix à la culture de la luzerne (Medicago sativa) sur les périmètres irrigués de sa zone d’intervention.
Cependant, les producteurs font face à des contraintes notamment, une perte importante des feuilles, qui constituent les parties les plus nutritives de la plante, après le séchage, une forte demande en main d’œuvre surtout pour la coupe et une faible densité des emballages traditionnellement utilisées, ce qui augmente le coût de transport. -
Souchet
Au Niger, la culture du souchet se pratique sur l’ancien bassin arachidier de la région de Maradi qui représente plus de 95% de la production nationale. La production annuelle a été estimée à 38.800 tonnes en 2008. Elle serait en diminution régulière depuis cette date avec 22.800 tonnes en 2012. La réflexion de cette ONG part de deux constants : la majorité du souchet produit au Niger part vers le Nigeria où il est utilisé dans l’agro-alimentaire de ce pays ou est exporté vers l’Espagne pour produire une boisson (orchata de chufa) et le Niger consomme des « jus » qui sont fabriqués sur place pour les boissons sucrées pétillantes ou importés. Pourtant, à Maradi quelques femmes essayent de produire une boisson en valorisant le souchet. C’est ce créneau de valorisation que se propose de travailler cette ONG qui a commencé par un rapport d’enquête sur le souchet réalisé par ses membres. -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande / Culture fourragère, cas du bourgou, « Echinochloa stagnina »
La pratique de la culture fourragère de bourgou s’est développée dans des zones agricoles de sol lourd et fertile des vallées. Elle devient actuellement une activité économique importante dans la chaine d’approvisionnement en aliments grossiers des élevages intensif et semi-intensif des exploitations familiales et des entreprises agricoles. Cette activité de culture fourragère contribue à un créneau d’amélioration des revenus des agriculteurs grâce à un circuit de commercialisation bien animé par les différents acteurs (producteurs, commerçants grossistes et détaillants). En cas de surplus de production, les producteurs pratiquent les techniques de stockage et de conservation (foin) dans des meilleures conditions pour rendre disponible le fourrage aux animaux pendant les périodes de soudure. -
Itinéraires techniques de production de niébé de qualité
Le raccourcissement de la saison pluvieuse et la mauvaise répartition des pluies au Niger dû aux manifestations des changements climatiques, exigent que les pratiques agricoles soient revues et adaptées à ces nouvelles conditions afin d’assurer une résilience des agriculteurs. Ces pratiques d’adaptation peuvent se faire à travers une bonne maîtrise des itinéraires techniques des principales cultures (mil, sorgho, niébé, etc…). C’est dans ce cadre que cette fiche a été élaborée pour décrire ainsi les itinéraires techniques à suivre par les producteurs pour une production de niébé de qualité au Niger. -
Comparaison des effets du compost et des engrais minéraux sur le rendement de la culture de la Luzerne dans le lit du fleuve Niger
Durant la saison hivernale 2017, a été conduit à la pépinière fruitière de Yantala, un essai d’expérimentation sur la comparaison des effets du compost et des engrais minéraux NPK 15-15-15 sur le rendement de la culture de la Luzerne dans le lit du fleuve Niger. Quatre traitements (T0, T1, T2, T3) ont été utilisés pour un dispositif en bloc complet randomisé à quatre répétitions. Les paramètres étudiés au cours de 70 jours sont la levée des semis, la hauteur des tiges, le nombre de feuilles, et le rendement en poids frais et en poids après séchage des parties aériennes pendant une semaine. -
Légumes secs et exploitations durables en Afrique Subsaharienne
En Afrique subsaharienne, l'insécurité alimentaire touche 153 millions de personnes (soit 25 pour cent environ de la population). Le problèmes encore s'aggraver du fait de la dégradation constante des sols entrainée par la diminution de taux de matière organique et les apports insuffisants en éléments nutritifs. Plus de 75 pour cent des terres agricoles africaines pourraient être classées comme "dégradées " d'ici à 2020. -
Légumineuses des graines nutritives pour un avenir durable
Les légumineuses appartiennent à la famille des Fabaccés, le troisième plus grand groupe de plantes au monde. On considère qu'elles sont nées il y a quelque 90 millions d'années et que leurs processus de diversification a vu le jour à partir du début du Tertiaire. La familles des fabacées comporte plus de 20 000 espèces et 700 genres, dont seuls certains sont classés comme plantes légumineuses. -
Les cultures fourragères
Les terres consacrées à l’élevage couvrent près de 4 milliards d’hectares dans le monde, soit 80 % des surfaces agricoles et la demande en produits animaux est en hausse constante, notamment dans les pays tropicaux. D’une importance capitale dans le développement durable des régions chaudes, la production fourragère est le principal levier de la productivité des systèmes d’élevage. Elle joue également un rôle essentiel pour les systèmes qui allient productions végétales et animales et de nombreux systèmes agroécologiques intègrent des plantes fourragères. La première partie de cet ouvrage est destinée à guider le choix de plantes fourragères et de leurs cultures (diversités des plantes, des usages, des milieux et des types d’élevage). La seconde partie est consacrée aux techniques de culture, à la gestion des fourrages, à la valorisation des ligneux, à la production de semences et à l’économie de ces productions.
Cet ouvrage de synthèse s’adresse aux éleveurs, agronomes, techniciens, professionnels des productions animales et fourragères. -
Production fourragère en zone tropicale et conseils aux éleveurs : production fourragère en zone tropicale et conseils aux éleveurs
Depuis longtemps, des tentatives d'introduction de plantes fourragères cultivées ont été faites dans de nombreux pays d'Afrique tropicale. Si les résultats sont satisfaisants, et même parfois encourageants en station (Burkina-Faso : Farako-ba, Banankélédaga, Mali : Sotuba, Côte d'Ivoire : Bouaké, Sénégal : Sangalkam, etc.) la vulgarisation pose problèmes et rares sont les villages où l'on peut observer des cultures fourragères en place et en bon état. Des obstacles existent, qu'il faut connaître avant de tenter l'introduction d'une culture fourragère. -
Rôle de champignons mycorhiziens à arbuscules dans le transfert du cadmium (Cd) du sol à la luzerne (Medicago truncatula)
Les champignons mycorhiziens à arbuscules (MA) sont très fréquemment présents dans les sols, établissant une symbiose avec la majorité des plantes herbacées. Ce sont donc des acteurs inévitables du fonctionnement des systèmes sol-plante que l’on trouve également dans les sols contaminés par les ETM. Parmi les ETM, le cadmium (Cd) est un élément toxique dont le transfert aux plantes doit être rigoureusement surveillé. La modélisation de ce transfert et la quantification du Cd exporté dans la plante sont en effet des enjeux importants. -
Production de Pennisetum purpureum Schumach, étude phénologique et effets de coupes : Cas de la Commune urbaine de Kollo
L’herbe à éléphant est une graminée vivace robuste, rhizomateuse et touffue. Elle a un système racinaire vigoureux, se développant à partir des noeuds de ses stolons rampants. Les chaumes sont grossiers, pérennes et peuvent atteindre 4 à 7 m de hauteur, ramifiés au-dessus. L’herbe à éléphant forme des touffes denses et épaisses, jusqu’à 1cm de diamètre. Les feuilles sont plates, linéaire, poilues à la base, atteignant 100-120 cm de long et 1-5 cm de large, avec une couleur vert bleuâtre. Le bord de la feuille est finement denté et le limbe a une nervure médiane proéminente. L’inflorescence est un épi terminal raide et hérissé, mesurant jusqu’à 15-20 cm de long, de couleur jaune-brun à violacé. Les épillets sont disposés autour d’un axe velu et tombent à maturité. Les épillets mesurent 4 à 6 mm de long et sont entourés de soies plumeuses de 2 cm de long. -
Bulletin of tropical legumes
Cowpea is one of the most important grain legumes of Niger, which is the second largest producer of the crop in Africa. About 764,000 MT of cowpea are produced annually on about 4,132,000 ha (Figure 1). Local consumption has grown significantly in recent years. This is bound to have a positive impact on people’s nutrition and health. Cowpea haulms are used as animal feed, helping to increase livestock productivity. Farmers often grow long-duration spreading varieties for fodder (Singh et al., 2003). -
A bulletin of the tropical legumes II project
Groundnut is a major source of income and protein for rural households in West and Central Africa (WCA). It is a women’s crop and as such, women farmers play a major role in groundnut value chains. They are the major producers, processors and marketers. However, they have been constrained by inadequate institutional, policy and market support to improve seed and groundnut oil and paste value chain efficiencies. -
Cultures fourragères : Panicum maximum
Le panicum est une haute graminée vivace qui peut atteindre 1 à 3 m et qui produit des feuilles de 10 mm à 25mm et développe en fin de saison des pluies une grande panicule qui atteint 50 cm. Elle produit des feuilles larges de 10 mm à 25 mm et développe en fin de saison des pluies une grande panicule de 30 cm à 50 cm. -
Fixation de l'azote chez l'arachide et le niébé en condition de sécheresse pour l'amélioration de la productivité au Sahel
L'identification des variétés d'arachide et niébé tolérantes à la sécheresse et bonne fixatrices d'azote augmenterait leurs productions et celles des céréales associées ou en rotation. Des variétés d'arachide et de niébé ont été évaluées, au champ et en pots, en condition de sècheresse ont réduit la plupart des paramètres étudiés , dont notamment le nombre nodules (40%) et le poids des gousses (30%). -
Fiche technique n°3 : cultures fourragères - cas de la luzerrne
La vulgarisation de la luzerne constitue une nouvelle forme d’adaptation au déficit fourrager de plus en plus récurrent, et permet aussi de faire face à une demande sans cesse croissante en aliments pour bétail. -
Analyse prospective de la chaine de valeur niébé au Niger
Le niébé est une denrée importante de base dans toute l’Afrique subsaharienne, particulièrement dans les savanes arides de l’Afrique de l’Ouest. Ses graines représentent une précieuse source de protéines végétales, de vitamines et de revenus pour l’homme, et ses fanes et cosses un excellent fourrage pour les animaux. Les feuilles juvéniles et les gousses immatures sont consommées sous forme de légume. Par ailleurs le niébé est très résistant à la sècheresse (plus que le mil et le sorgho) et un bon fixateur d’azote aérien, ce qui en fait un bon partenaire pour la culture en association avec le mil ou le sorgho telle qu’elle est pratiquée majoritairement au Niger. -
Le Souchet
Le souchet est un petit tubercule connu depuis très longtemps. Les Égyptiens en consommaient déjà. Source de bien-être, il possède de nombreuses vertus pour tout l'organisme. À consommer sans modération !
Le souchet est un tubercule pluri-millénaire dont les bienfaits sur la santé méritent d'être redécouverts.En effet, le souchet ne contient pas de gluten, ce qui permet à ceux qui y sont allergiques ou qui ne le tolèrent pas, de pouvoir en consommer sans inquiétude. Ce tubercule issu de la plante Chufa, est originaire du bassin méditerranéen et d'Afrique. On le reconnaît à sa couleur ambrée, légèrement tigrée.En plus d'être source d'oméga 9 et une aide contre le mauvais cholestérol, le souchet est un tubercule qui contient de nombreuses fibres. Il aide ainsi à la bonne digestion, réduit les ballonnements, coliques et flatulences. On peut l'utiliser en cas de diarrhées (grâce à sa haute teneur en amidon) et pour soulager les irritations du côlon.
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L'amélioration des plantes tropicales : le niébé
En Afrique, on cultive le niébé avant tout pour ses graines sèches, cuisinées sous les formes les plus diverses. Mais, dans de nombreuses régions, on consomme aussi ses jeunes feuilles, fraîches ou séchées, et ses gousses immatures. Dans les régions sahéliennes de l'ouest et dans la région des Grands Lacs, on le cultive comme fourrage. Pour un usage textile, on utilisait dans le passé des niébés à longs pédoncules floraux - cultigroupe Textilis-, dont les graines n'étaient en général pas consommées. Ce cultigroupe, présent au début du siècle du delta intérieur du Niger au bassin du lac Tchad (CHEVALIER, 1944), est aujourd'hui en voie de disparition. -
CATALOGUE NIGERIEN DES VARIETES
DE CEREALES ET LEGUMINEUSESL'Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a le plaisir de vous présenter le Catalogue des Variétés proposées aux agriculteurs nigériens. C'est le premier d'une série de documents que l'Institut se propose
d'éditer tout au long de l'année 1995pour ses 20 ans (1975-1995). Cette année anniversaire a été volontairement placée sous le signe de la communication et de l'ouverture vers les principaux utilisateurs des produits clé la recherche : les
paysans, les services de vulgarisation, les projets de Développement et les Organisations Non Gouvernementales (ONG) intervenant dans le monde rural. C'est-à-dire sous le signe d'une solide liaison entre la recherche et la
vulgarisation. Contrairement aux éditions précédentes de 1984 et 1987, le présent catalogue des variétés est illustré par des photos en couleur et comprend deux volumes:
-Vol I - Céréales et Légumineuses;
-Vol II - Plantes Horticoles.
Les variétés qui y sont décrites sont le fruit des efforts intenses et soutenus de l'ensemble du personnel de l 'INRAN, et de leurs collègues d'autres Institutions
Nationales et Internationales de Recherche Agronomique. Ces variétés sont soit directement issues du patrimoine génétique national, soit des introductions faites à partir de pays voisins ou même lointains, soit des créations nouvelles
des sélectionneurs de l'INRAN. Dans tous les cas, il a fallu les choisir selon des critères spécifiques, les étudier dans des conditions différentes pendant plusieurs années sur nos stations de recherche et en milieu paysan. La sélection d'une
variété, quel que soit l'espèce végétale considérée, est un travail d'équipe de chercheurs et de techniciens de disciplines différentes qui nécessite patience, persévérance et parfois intuition.
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Le potentiel de développement du niébé, au-delà de ses grains, dans les marchés locaux du Mali
En plus d’être bien adapté aux conditions climatiques du Mali, le niébé a le potentiel de répondre aux besoins des consommateurs qui sont à la recherche de produits alimentaires qui sont nutritifs, diversifiés et faciles à préparer. Malgré son potentiel, peu de recherche ou de politiques ont porté sur le niébé et en particulier, sur ses volets de transformation et de commercialisation. Cette étude vise à évaluer le potentiel de développement du niébé, au-delà de ses grains, dans les marchés locaux du Mali, notamment en : (1) identifiant les différents types de vendeurs et les différents types de produits de niébé vendus ; (2) en examinant les rôles des différents types de vendeurs de niébé et leurs relations ; (3) en quantifiant les marges bénéficiaires des différents vendeurs ; et (4) discutant des contraintes et des opportunités existantes pour développer la chaine de valeur du niébé au Mali. -
Variabilité morphologique et agronomique des morphotypes de Voandzou (Vigna Subterranea (L.) cultivés dans la zone Sahélienne du Niger
Au Niger, le voandzou est principalement cultivé par les femmes, en culture pure sur des petites surfaces et sans techniques améliorées, alors que l’amélioration de la production de cette culture peut contribuer à assurer la sécurité alimentaire. En effet, la maitrise de la diversité du voandzou permettra sans doute sa prise en compte dans les programmes de sélection variétale. Cette étude aborde la caractérisation agro-morphologique dans la zone agro-climatique sahélienne de quatorze (14) morphotypes de voandzou identifiés dans la collection des accessions du Niger. -
Trésor des fèves et fleurs des Pois : le génie des légumineuses
Arborées Tropicales (LAT) sont souvent mises en avant par la littérature scientifique. Pour les chercheurs biologistes, les légumineuses en général, et plus particulièrement les arbres et arbustes de ce groupe, présentent de nombreuses qualités pour l'agronomie, au sens large du terme. De nombreuses références peuvent être trouvées dans la littérature scientifique et dans les ouvrages scolaires, de vulgarisation, la presse, etc. -
Culture fourragère de dolique (Dolicos lablab)
Le dolique appelé aussi pois dolique ou pois d’Egypte est une plante herbacée annuelle à port volubile ou semi –dressé. De son nom scientifique Lablab purpureus (L.) Sweet, le dolique appartient à la famille des Fabaceae. Les feuilles sont trifoliées de forme triangulaire semblable aux feuilles de Vigna unguiculata (L.) Walp ou niébé. Elle est fortement appréciée par les ruminants et possède une bonne valeur nutritive. -
Adaptation de l'agriculture au changement climatique au Sahel : profils agronomiques de quinze cultures dominantes au Sahel
Le présent document fait partie d’une série d’études publiées par le projet Résilience africaine et latino-américaine au changement climatique (ARCC) visant à répondre aux besoins d’adaptation au changement climatique en Afrique de l’Ouest. Dans le cadre des études ARCC pour l’Afrique de l’Ouest, le présent document fait partie de la sous-série portant sur l’Adaptation de l’agriculture au changement climatique dans le Sahel. L’ARCC a également produit une sous-série sur le Changement climatique et les ressources en eau d’Afrique de l’Ouest, le Changement climatique et les conflits en Afrique de l’Ouest et le Changement climatique au Mali. -
MANUEL CULTURE LEGUMES FEUILLES
Au Cameroun, plusieurs plantes sont cultivées pour leurs feuilles. Quatre espèces sont particulièrement consommées. Il s’agit de :
- L’amarante blanche, à feuilles vertes (Amaranthus blitum), localement appelée fonlon,
- La corète potagère (Corchorus olitorius), localement appelée keleng-keleng ;
- La morelle noire (Solanum scabrum), localement appelée zom, ou djama-djama.
Ces légumes-feuilles, riches en vitamines et en sels minéraux, constituent un apport nutritionnel important. Certains apportent des nutriments particuliers. La corète potagère est riche en acide folique, l’amarante en acides aminés soufrés et la morelle noire en protéines
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Manuel de culture de choux
Les sols favorables à la culture du chou doivent être bien drainés et de préférence limoneux avec une profondeur allant de 20 à 60 cm. Un pH voisin de 6 est bénéfique à la culture. Le chou s’épanoui bien à une température optimale de 15 à 20°C, lorsque les pluies sont bien réparties à raison de 250 à 300 mm durant la période de croissance. Le chou requiert une humidité relative minimale de 60 % ; -
Manuel de culture du gombo
Le gombo est une plante qui résiste à la chaleur. Il aime la pleine lumière et le soleil. Il se développe bien dans les sols profonds, bien drainés et riches en matières organiques. Le gombo a un système racinaire pivotant. Un bon arrosage permet d’avoir de bons rendements. La production du gombo ne nécessite pas la mise en place d’une pépinière. Le gombo est adapté aux conditions tropicales. Il peut pousser partout au Cameroun. -
Manuel de culture légumes feuilles
Au Cameroun, plusieurs plantes sont cultivées pour leurs feuilles. Quatre espèces sont
particulièrement consommées. Il s’agit de :
- L’amarante blanche, à feuilles vertes (Amaranthus blitum), localement appelée fonlon,
- La corète potagère (Corchorus olitorius), localement appelée keleng-keleng ;
- La morelle noire (Solanum scabrum), localement appelée zom, ou djama-djama.
Ces légumes-feuilles, riches en vitamines et en sels minéraux, constituent un apport nutritionnel
important. Certains apportent des nutriments particuliers. La corète potagère est riche en acide
folique, l’amarante en acides aminés soufrés et la morelle noire en protéine