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Eléments d'un plan de formation - La mise en marché collective de l’oignon au Niger pour le bénéfice de la FCMN et ses coopératives participantes
Ce document de référence a été développé pour aider à encadrer la formation des membres et de leurs représentants locaux. Il cible les objectifs pédagogiques à attendre et ce, selon les différentes clientèles. -
Procédures du Système Collectif de Mise en Marché (SCMMO) de l'oignon
Ce manuel des procédures se veut un guide de référence pour toute personne qui intervient dans le système collectif mise en marché des produits agricoles. Il présente, les différentes activités reliées au système -
Base de données documents PADIP: Liste triée par thème
Cette fiche présente une liste triée par thème de la Base de données documents PADIP. Elle dresse la liste des Documents disponibles en version électronique. -
ActuNiger (Actualités)
Site d'information en temps réel sur le Niger. -
La situation de la communication pour le développement au Niger (État des lieux)
Pour lutter contre les affres du sous-développement, les autorités ont entrepris de réorganiser le secteur de la communication et décidé de la mise en œuvre d’une Politique nationale de communication pour le développement.
A cet effet, 10 études sectorielles et thématiques ont été effectuées. Des ateliers tenus dans chacune des huit régions du pays ont permis de recueillir la perception par les communautés de base de la problématique de la communication pour le développement. -
Etude de l'armature commerciale de la ville de Niamey : Rapport d’orientation intermédiaire
Ce rapport fait suite à la première mission réalisée à Niamey du au 2018. Il prend également en compte les résultats de l’enquête menée pendant la période de janvier 2019 auprès des commerçants. L’ensemble de ces démarches permettent donc de proposer i) une actualisation de l’étude diagnostic (commercial, urbain, institutionnel) et i) une définition préalable de la stratégie. -
Etude de l’impact de la production et de la commercialisation du poivron dans la région de Diffa au Niger
L’étude réalisée à la fin de l’année 2005 porte sur l’impact de la production et de la commercialisation du poivron sur les revenus des ménages de producteurs le long de la Komadougou Yobè (région de Diffa, Niger) et de son poids dans l’atteinte de la sécurité alimentaire locale. Le rapport décrit l’organisation de la filière poivron et son fonctionnement, présente la rentabilité de la culture du poivron et indique de quelle manière les revenus de la culture du poivron permettent aux producteurs d’assurer leur sécurité alimentaire. Le recueil des informations primaires a été effectué au moyen d’interviews des acteurs dont un échantillon représentatif n’a pu être constitué en l’absence de base de sondage disponible. Les données obtenues apparaissent cependant réalistes et cohérentes, notamment ave la documentation disponible. -
Accès au marché et commercialisation de produits agricoles
De nombreux agriculteurs et éleveurs en Afrique subsaharienne rencontrent de réelles difficultés pour écouler leurs produits sur les marchés. Ils se plaignent également de la trop faible valorisation qu’ils en tirent. Nombreux sont ceux qui déplorent « les prix trop faibles », « les prix irréguliers », des rapports de force en leur défaveur sur des « marchés déstructurés » et des « filières non organisées ». Pour faire face à ces difficultés, ces agriculteurs et éleveurs et leurs organisations développent des initiatives individuelles et collectives. Le thème de l’accès au marché et de la commercialisation des produits agricoles étant très vaste, des choix ont été faits pour « limiter » l’étendue du champ du Groupe de travail. Ce document vient capitaliser et restituer (i) la démarche de réflexions collectives développée au sein du Groupe de travail pour étudier et partager les études de cas, et (ii) des analyses croisées réalisées et des enseignements tirés à partir des différentes initiatives. Il se veut être un support d’échange et de mise en débat sur ces deux aspects. -
Chronique de la commercialisation du poivron rouge sur le marché de Diffa au cours du premier semestre 2015
Première culture de rente au niveau régional avec une production annuelle moyenne de 11.000 tonnes de poivron sec, le poivron de Diffa a souffert des effets directs de l’agression barbare dont est victime la région de Diffa. En effet, après l’interdiction de la vente du poisson, c’est autour du poivron de subir une mesure d’interdiction de commercialisation pour éviter que la vente du poivron finance la secte islamiste. C’est pourquoi aucun sac de poivron ne doit être transporté ou vendu au niveau de la région. Tous les marchés de la région sont en « stand bye » en ce mois de février 2015. -
Evolution du prix de gros du kilo de pomme de terre pendant quatre ans sur les marchés de Niamey
Globalement, la production locale de pomme de terre - Agadez et Bonkoukou, Région de Tillabéri, principalement - est présente sur le marché de fin décembre à juin. A partir de juin ce sont les pommes de terre d’importations qui se trouvent sur le marché : la pomme de terre du Maroc avec une disponibilité quasi permanente, accompagnée par la pomme de terre du Nigeria. -
La démarche liée à l’origine du Violet de Galmi, Niger
L’oignon « Violet de Galmi » est issu d’une innovation technique en 1975 et c’est depuis lors qu’il porte véritablement ce « nom ». Cependant, il convient de préciser que la relation entre les populations locales et leur ressource ne date pas de cette période. Elle remonte à trois siècles d’histoire commune, dont les fondements se rattachent au commerce caravanier. Ce dernier serait selon DAVID Olivier (1999), le vecteur de l’introduction de l’oignon dans l’espace nigérien. Les oignons violets de la Maggia dont est issu la souche du violet de Galmi étaient restés peu connus jusqu’aux travaux de l’IRAT, dont la publication à travers le monde leur a fait l’écho d’une publicité2. C’est ainsi que les meilleurs d’entre eux à savoir : le Violet de Galmi, le Blanc de Galmi ainsi que le Blanc de Soumarana seront devenus des variétés connues. -
Evolution du prix de poivron rouge de 2015-2018 sur le marché de Diffa
Le suivi du marché de poivron rouge de Diffa a commencé en août 2015. Le marché de Diffa est hebdomadaire et se tient tous les mardis. Le suivi du marché consiste à relever le prix du sac de poivron sec (17 kg), la quantité commercialisée, la provenance et la destination. Les résultats présentés dans cette note vont de l’année d’août 2015 jusqu’à la semaine 22 (fin mai) de l’année 2018. -
Reporterre
Site d'actualité sur l'écologie -
Citoyenneté - Solidarité - Niger
Site d'une association de solidarité et commerce équitable du Niger -
Niger jobs
Site d'offre d'emploi au Niger -
SIMA Niger
Système d'Information sur les Marchés agricoles au Niger -
ACTA - Les instituts techniques français
Ressources techniques des instituts techniques français -
Agri-réseaux
Agri-Réseau est un site collaboratif qui a pour mission d’accélérer la diffusion de l’information de pointe auprès des entreprises et des professionnels québécois de l’agriculture et de l’agroalimentaire -
Evolution des prix de gros du moringa sur les marchés de Niamey (Djémadjé et Harobanda)
Cette note présente l’évolution des prix moringa sur les principaux marchés de Niamey pour les semaines du 20 - 26 avril 2015 (semaine 17), au 23 – 30 juillet 2017 (semaine 30) et une comparaison des prix sur les trois périodes de Ramadan. -
Agence Nigérienne de Presse
Dépêches et actualités de l'agence nigérienne de presse -
Présidence de la République du Niger
Vous trouverez sur ce site des informations institutionnelles, notamment les communiqués des conseils des ministres -
Agri Pro Focus
Réseau d'agribusiness pour le développement.
AgriProFocus rassemble des agriculteurs, des entreprises, des organisations de la société civile, des instituts de recherche et des gouvernements pour l'atteinte de la sécurité alimentaire. Unis dans la diversité, nos membres partagent la conviction que les affaires et le développement ne sont pas mutuellement exclusifs. Ensemble, nous trouvons de nouvelles façons durables de créer de l'impact grâce à l'entrepreneuriat. Echanger des perspectives et attendre l'inattendu. Une culture de collaboration par Linking, Learning et Leadership. -
Commod Africa
Cours des matières premières agricoles en Afrique de l'Ouest
Ressources sur les différentes filières -
Evolution du prix de gros de la tomate sur trois ans au marché de Niamey Djémadjé
Le suivi des prix de gros des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en avril 2015 (la semaine 17). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 40 (début octobre) de l’année 2018. Les informations présentées portent sur trois ans et demi. -
Etude de marche des produits de la transformation du niébé
La SNV Niger met en oeuvre un « Projet d’amélioration de la transformation du niébé dans les régions de Zinder, Maradi, et Dosso », qui a pour ambition d’améliorer les capacités des femmes, dans la transformation et surtout de rendre les produits issus de la transformation du niébé accessibles et compétitifs sur les marchés. Elle se positionne spécifiquement sur le maillon transformation du fait de la grande valeur ajoutée que cela engendrera : Les avantages de maillon sont multiples : lutte contre l’insécurité alimentaire ; amélioration des revenus des acteurs, notamment les femmes ; création d’emplois et amélioration de la nutrition. Le contexte est favorable pour au moins trois raisons : (i) le niveau de structuration des groupements des femmes au niveau des villages et quartiers (ii) la disponibilité d’un matériel minimum ; (iii) l’expérience permettant de disposer déjà d’une gamme variée de produits transformés dont, le spaghetti, le couscous, le Wassa-Wassa, divers gâteaux et farines (pour beignet, Dan Waké, diabétique, nourrissons). Ceci constitue un levier important pour l’intervention de la SNV. -
Première note sur le centre de collecte de la tomate de Doguéraoua
Située à 5 km de Malbaza, sur la route de Madaoua, Doguéraoua est une commune à bonnes potentialités pour les cultures irriguées (terre et eaux) car traversée par la vallée de la Maggia sur près de 40 km. Les populations produisent des tomates, des oignons, des courges, des choux, etc. Selon les estimations des membres du Hadingwiwa (mis en place par la CRA Tahoua et le PPIRuwanmu), il est produit et commercialisé plusieurs milliers de tonnes de tomate à Doguéraoua chaque année. Il est à noter qu’un nombre important de producteurs a commencé à produire de la tomate « sous pluie », c’est-à-dire en hivernage. -
External influences on agro-enterprise innovation platforms in Benin, Ghana and Mali – Options for effective responses
Cet article analyse les facteurs externes influençant les plate-formes d’innovation (PI) et les différentes réactions possibles. Les plateformes étudiées dans cet article ont été conçues pour favoriser le changement institutionnel et l’innovation au profit des petits acteurs du secteur agricole au Bénin, au Ghana et au Mali. Elles ont été imaginées et mises en place de façon à pouvoir tester des processus de changement dans les domaines choisis. Dans chaque cas, un associé de recherche a facilité le travail de la PI et a mis en oeuvre les théories du changement et a documenté les processus d’innovation élaborés par les membres de chaque plate-forme. Les données récoltées permettent l’analyse des facteurs externes influençant les PI. Dans un premier temps, cet article présente une typologie des influences externes majeures, pour ensuite utiliser cette même typologie afin d’analyser les influences sur les PI et leurs réactions face à ces facteurs externes. Les influences les plus importantes sont d’origine mondiale, sousrégionale, ainsi que nationale. Les réponses des PI ont été diverses ; elles incluent pour la plupart la recomposition des équipes, du lobbying, ainsi que l’augmentation de la capacité d’action des petits acteurs en facilitant l’accès aux aides financières et à de nouvelles connaissances et compétences. Cet article illustre les leçons tirées par les membres des plate-formes face aux défis rencontrés. On constate que les facteurs externes influencent de façon significative l’orientation de l’innovation sociotechnique et institutionnelle. -
Instabilité des marchés agricoles et stratégies paysannes au Niger
Cet article met en évidence la rationalité des choix opérés par les agriculteurs d'une des régions les plus pauvres d'Afrique. Au Niger, les aléas climatiques sont à l'origine d'une très forte instabilité de la production agricole, génératrice d'une instabilité des revenus en partie seulement compensée par les mouvements inverses des prix. La structure des marchés explique que l'évolution des prix ne joue pas comme une assurance de revenu, mais au contraire comme une source supplémentaire d'instabilité.
Face à ces risques les paysans choisissent leur plan de production de façon à s'assurer la réalisation d'un revenu minimum. Cette recherche de sécurité est liée à une moindre productivité et à un comportement autarcique, tandis que la prise de risque implique une participation plus grande à l'économie de marché. Il s'en déduit des actions de politique économique pour le développement. -
Note d’information semestrielle sur les flux et prix des produits agricoles au niveau des centres de collectes rédigée par la CRA Zinder avec l’accompagnement de l’URGP- ProDAF Zinder
La Chambre Régionale d’Agriculture de Zinder accompagne les cadres de concertation dénommés « Hadin Gwiwa » (HG) au niveau des marchés de Zermou, de Gassafa et de Baban Ruwa dans le suivi des flux et des produits à travers l’identification au niveau de chaque marché d’un collecteur membre du HG qui assure la collecte des produits phares à chaque jour du marché.
Le travail de collecte (suivi, estimation, calcul, archivage) se fait à travers la transmission de fiches de collecte au niveau de chaque marché à la fin de chaque mois. Puis les fiches remplies sont remontées par les conseillers agricoles de la CRA pour analyse. Voici l’analyse des données sur les 3 centres de collectes pour le semestre 1 de l’année 2020. -
Suivi du marché de poivron rouge de Diffa : Evolution et perspectives de l’or rouge du Manga
La région de Diffa est située à l’extrême Est du Niger, à 1360 km de Niamey. Le poivron rouge, appelé « tatassaye », est cultivé en irrigué dans la vallée de la rivière Komadougou et le bassin du Lac Tchad. La production est principalement commercialisée séchée et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria et, dans une moindre mesure, vers les grandes villes du Niger. Cette épice est appelée « paprika » dans d’autres pays. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 10.000 à 11.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron est la culture « locomotive » de la vallée de la Koumadougou avec environ 6.000 producteurs. Depuis cette date, la production et la commercialisation du poivron de Diffa ont été impactées directement par les problèmes sécuritaires dont la région est victime. -
Le marché hebdomadaire de Dabaga
De par sa situation géographique, Dabaga est le carrefour des routes de l’Aïr arrivant à Agadez : les pistes des deux principaux bassins de production (Timia et Tabelot) de l’Aïr profond se croisent à Dabaga. C’est par ces pistes que sont transportées les productions maraichères pour alimenter les comptoirs de commercialisation de la ville d’Agadez.
Dabaga est aussi un site de grande production des produits maraichers grâce à ses ressources en eau. De plus, plusieurs autres sites, et pas de moindres, gravitent autour de Dabaga parmi lesquels on peut citer Boghol, Indoudou, Assa, Tassalam-Salam, Intatat, Tédéné, Egandawel, Mardane.
Malgré cela, le marché de Dabaga, qui s’anime tous les samedis, ne draine pratiquement pas de produits maraichers en quantité. -
Le Centre de collecte d’oignon de Tchirozérine, construit depuis 2013, tarde à démarrer ses activités
Le centre de collecte de Tchirozérine a été construit en 2013 avec l’appui du projet PRODEX avec comme objectifs de collecter et commercialiser l’oignon produit au niveau des bassins de production de Tchiro, Tamazalak, Tidene, Egadawel, Sakafat, Tafadeck et Agrous. En effet, l’oignon produit au niveau de ces bassins passe par Tchiro en empruntant la route « Marraba-Agadez ». Mais le fonctionnement d’un centre de collecte ne dépend pas que des distances. Il est conditionné par le développement d’un partenariat financier, d’affaires et de confiance entre acteurs économiques : producteurs, collecteurs / intermédiaires et commerçants. -
Stratégie de régulation de l’arrivage de l’oignon sur les comptoirs d’Agadez
L’élaboration et la mise en œuvre de cette stratégie par la Chambre Régionale d’Agriculture d’Agadez (CRA/AZ) a été guidée par les constats suivants :
• Saturation du marché et la mévente,
• Baisse drastique des prix de l’oignon sur les marchés,
• Manque à gagner pour les producteurs, transporteurs, les mairies et les faîtières (comptoirs) ;
La stratégie a consisté à identifier et appliquer des mesures visant non seulement à réguler l’entrée de l’oignon jusqu’à écoulement des stocks sur les comptoirs mais aussi à contrôler la desserte des marchés d’oignons d’Agadez. Ceci visait un double objectif : rehausser les prix dans un premier temps et les stabiliser par la suite. -
Rapport provisoire: étude sur la recherche de débouchés pour l'écoulement du stock de niébé de l'OPVN
Le gouvernement du Niger a obtenu de l'association internationale de développement ( IDA ) , le financement du projet de développement des exportations et exportations agro-sylvo pastoraux -
Analyse des systèmes de marchés Niger
L’étude présente une analyse des systèmes de marché, composée de deux analyses distinctes mais interconnectées : une évaluation socio-économique et une analyse du contexte d’une part, ainsi qu’une étude de marché et de chaîne de valeur d’autre part.
Elle a été commanditée par le HCR (l’Agence des Nations Unies pour les Réfugiés) en partenariat avec le BIT dans le cadre de l’appui aux moyens de subsistance des réfugiés Maliens dans les régions de Tillabéry et de Tahoua au Niger. -
Le marché des produits transformés au Niger
L’étude a pour objectif de comprendre les comportements alimentaires des ménages et la demande des consommateurs urbains vis-à-vis des produits transformés locaux, et de préciser l’offre actuelle en produits transformés locaux.
Le rapport rend compte principalement d’une mission conduite au Niger dans les villes de Niamey et de Zinder en novembre 2017. Lors de cette mission, les points de vente de Zinder ont été visités et des entretiens et des focus group ont été conduits avec des consommateurs dans les villes de Zinder et de Niamey. Elle a été précédée par un inventaire des produits transformés locaux (ciblant les produits d’intérêt pour le FOPAT c’est-à-dire les céréales, les légumineuses et les oléagineux) dans la capitale conduit par les équipes du Gret.
Ce travail couplant inventaire dans les points de vente et entretiens individuels (EI) /focus groups (FG) pour recueillir le point de vue des consommateurs et identifier leurs motivations d’achat a été réitéré par l’équipe GRET dans les autres localités ciblées par le projet (Dosso, Maradi et Tahoua).
Le rapport compile les informations collectées dans les 5 localités enquêtées. -
Etude pour l’estimation de la production et de la commercialisation des feuilles de moringa Oleifera
L’étude sur l’estimation de la production et de la commercialisation des feuilles de moringa s’inscrit dans le cadre du plan d’actions pour l’accélération de l’OMD1/DAF (Eliminer l’extrême pauvreté et la faim) de la Stratégie de l’Initiative 3N « les Nigériens Nourrissent les Nigériens » pour la Sécurité Alimentaire et le Développement Agricole Durable, à travers le volet relatif à la valorisation des produits forestiers ligneux et non ligneux.
Cette étude, financée par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), a pour objectif de contribuer à l’amélioration des connaissances sur la production et la commercialisation des feuilles de moringa oelifera au niveau des principaux sites de production localisés dans cinq (5) régions du pays à savoir Dosso, Maradi, Tahoua, Tillabéry et Niamey. La population à enquêter est composée des exploitants de moringa, des commerçants et des unités de transformation -
Evolution des prix de l’oignon pendant un an sur les marchés de Niamey
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-
24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 33 (mois d’août) de l’année
2016. Sur les 60 semaines de cette période, 4 semaines n’ont pas fait l’objet de relevés, aussi les informations présentées portent sur 56 semaines.
Ce suivi de l’oignon concerne les deux marchés de gros qui reçoivent de l’oignon : en premier le marché de Katako (le plus important pour les volumes) en second le marché de Djémadjé. -
Exportations d’oignons des pays de l’Union européenne vers les pays de la CEDEAO en 2012
Présentation des données commerciales en provenance d’EurostatCe tableau présente l’ensemble des exportations d’oignons au départ de l’Europe vers les pays de la CEDEAO (donc sans la Mauritanie). Les Pays Bas (le plus souvent appelés Hollande) représentent 99,2% des volumes exportés, c’est pourquoi il est mentionné les « exportations hollandaises ».
Les chiffres présentés dans cette note sont tirés de la base de données Eurostat, qui présente les statistiques commerciales de l’Union européenne. Ces chiffres ont été traités (tableaux et graphes) par David Ivanovic, expert en commerce agricole (david.ivanovic1@gmail.com). Les commentaires sont du RECA. -
Evolution du prix de gros du chou pendant trois ans sur le marché de Niamey (Djémadjé)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 7 (février) de l’année 2018. Les informations présentées portent sur 143 semaines suivies. Ce suivi du prix de vente en gros du chou concerne le marché de Djémadjé qui est le marché de gros de la capitale pour ce produit.
Le chou le plus fréquent sur le marché de Djémadjé est celui de Madaoua qui arrive de façon continue et en grande quantité. En période de forte chaleur, où le chou du Niger est absent sur le marché, on assiste à une grande importation de choux du Nigeria. Le chou et le moringa sont des légumes feuilles de base dans l’alimentation au Niger. -
Evolution du prix de gros du piment sur trois ans au marché de Niamey Djémadjé
Le suivi des prix de gros des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en avril 2015 (la semaine 17). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 49 (décembre) de l’année 2018. Les informations présentées portent sur trois ans et demi.
Globalement, la production de piment du Niger est présente sur les marchés de Niamey pendant la saison sèche froide (à partir de décembre) et pendant la saison sèche chaude jusqu’à la saison des pluies (mi-juillet).
Toutes les quatre années présentent des profils assez semblables avec des prix bas de septembre à décembre (autour de 10.000 F le sac), une légère augmentation pendant la période de janvier à avril (15.000 à 20.000 F par sac), puis une forte augmentation progressive pour atteindre un pic autour de 70.000 F le sac entre mi-juin et fin juillet suivant les années. Le prix diminue ensuite jusqu’en septembre où se il retrouve au plus bas. -
Evolution du prix de gros de l’oignon pendant quatre ans sur les marchés de Niamey
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 34 (mois d’août) de l’année 2019. Ce suivi de l’oignon concerne les deux marchés de gros qui reçoivent de l’oignon : en premier le marché de Katako (le plus important pour les volumes), en second le marché de Djémadjé 2.
Le Niger est le premier exportateur d’oignon dans la CEDEAO et pourtant, à certaines périodes, des oignons sont importés sur le marché de Niamey. Cette situation peut étonner plus d’un observateur. -
Evolution du prix du poivron pendant quatre ans sur les marchés de gros de Niamey
Si en 2015, pendant quelques semaines, du poivron du Nigeria s’est vendu sur le marché de Djémadjé à Niamey, cela n’a plus été le cas à partir de 2016. De 2016 à 2019, les poivrons vendus à Niamey viennent du Niger, essentiellement des sites de production autour de Niamey ou du Burkina Faso. Le poivron du Niger était présent 30 semaines sur 52 au cours de l’année 2016, en début d’année jusqu’au mois de mai puis à partir d’octobre jusqu’à la fin de l’année. Il était absent du marché de juin à mi-octobre. En 2017 et 2018, le poivron du Niger était présent pendant 35 semaines sur 52, de janvier à juillet, puis à partir de novembre. En 2019, le poivron du Niger est présent pendant les 7 premiers mois de l’année et ne réapparait pas novembre. Il faudra attendre janvier 2020 pour qu’il revienne sur le marché. Il n’aura été présent que 28 semaines en 2019. -
Evolution des prix de gros du moringa sur les 5 dernières années sur le marché de Djémadjé / Niamey
Cette note présente l’évolution des prix moringa sur le marché de Djémadjé (Niamey) depuis avril 2015 (semaine 17) à mars 2020 (semaine 10) et une comparaison des prix sur les cinq périodes de Ramadan.
Les prix sont fournis par des « informateurs » qui sont des professionnels de la commercialisation des produits maraîchers et travaillent depuis plusieurs années avec le RECA.
Le moringa commercialisé sur les marchés de Niamey est produit principalement dans la ceinture maraîchère de Niamey (Région de Niamey et Région de Tillabéri), dont une grande partie sur la rive droite du fleuve. Il n’y a pas d’importations des pays voisins. -
Diagnostic de l’armature commerciale de la ville de Niamey - Rapport final
L’objectif de l’étude de l’armature commerciale de la Ville de Niamey est de contribuer à l’amélioration du fonctionnement commercial et de l’approvisionnement alimentaire de la ville de Niamey à travers l’établissement d’un diagnostic et d’une stratégie.
Le rapport commence par une partie historique qui retrace l’évolution urbaine de Niamey et de son armature commerciale (pour les passionnés de l’histoire de la capitale) puis la typologie des marchés. Il se poursuit par les analyses des pratiques et attentes des commerçants et des consommateurs puis par le diagnostic des circuits et des chaînes de valeur. -
Evolution des prix de gros de la tomate et du piment pendant la période du Ramadan sur le marché Djémadjé (Niamey)
La période du Ramadan peut être considérée comme une période de « prix sensibles ». Les augmentations des prix des denrées alimentaires sont mal vécues par les consommateurs et les commerçants spéculateurs montrés du doigt. Cette année 2017, comme les autres années, la tomate a défrayé la chronique. Les réseaux sociaux ont débordé de plaintes des consommateurs sur une tomate difficilement accessible. Cette note fait le point sur les prix de gros de la tomate et du piment et leurs provenances sur le marché de Djémadjé au cours des trois dernières périodes de Ramadan. -
Evolution du prix de gros de l’aubergine pendant trois ans sur les marchés de Niamey (Djémadjé, Harobanda)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 45 (début novembre) de l’année 2017. Les informations présentées portent sur 135 semaines suivies.
Ce suivi de l’aubergine concerne les marchés de Djémadjé et Harobanda qui sont les marchés de gros de Niamey pour ce produit. L’aubergine commercialisée sur les marchés de Niamey est produite dans la ceinture maraîchère de Niamey, principalement sur la rive droite du fleuve et dans la région de Tillabéri (Toulouaré Boulandjam, Bitinkodji et Kobadjé). A partir de la rive droite, l’aubergine arrive directement sur le marché de Harobanda, puis une partie est acheminée vers le marché de Djémadjé. -
Crise sécuritaire et marchés agricoles : Impact de la fermeture des frontières avec le Nigeria sur les marchés du Niger
Au Niger, le Système d’Information sur les Marchés Agricoles (SIMA) suit hebdomadairement les marchés pour fournir aux décideurs, aux partenaires au développement, aux acteurs du marché (producteurs, consommateurs, commerçants etc.), des informations pour une meilleure prise de décision. Parmi les marchés suivis, il y’a des marchés transfrontaliers (8 au Nigéria, 1 au Bénin et 1 au Burkina Faso) afin de mieux comprendre le fonctionnement des marchés au Niger.
Les crises sécuritaires dans notre espace sont aussi sans conséquence sur le comportement de nos marchés et la situation alimentaire de nos populations. Elles affectent beaucoup les marchés pairs (situés au tour des frontières), car les marchés d’approvisionnement sont généralement vides de peur de représailles des bandits armés ou de la secte sanguinaire « Boko Haram ». Ce qui implique une très faible animation sur les marchés du pays.
Pour des raisons d’intégrité du pays et de sécurisation et contrôle des produits entrants dans leur pays, les autorités du Nigeria ont décidé en août passé de la fermeture de leur frontière avec d’autres pays voisins. Cette mesure n’est pas restée sans conséquence sur le commerce agricole au Niger. Elle a fortement impacté les marchés intérieurs et plus précisément les flux sortants des produits agricoles et le bétail ainsi que les flux entrants des produits manufacturés. -
Évaluation des productions d'oignon et élaboration des stratégies de commercialisation: Galmi
Le Niger est un pays dont l'économie repose essentiellement sur l'agriculture vivrière et les cultures de rente. pour preuve, le secteur agricole contribue pour près de 36% du PIB réel, fournit environ 85% de l'emploi et 41% des recettes d'exportation. C'est à l'évidence un facteur déterminant de la croissance économique de notre pays. -
Processus d'ingénierie civil dans le cadre de la réhabilitation des marches de demi-gros et centres de collecte
Pour arriver à la construction et à l’opérationnalisation de ces marchés et centre de collecte, le projet a fait valoir sa stratégie qui repose sur une démarche de concertation entre une ingénierie sociale composée des acteurs des marchés "Hadin Gwiwa", et une ingénierie civile pilotée par la cellule infrastructure du projet. Après un processus, d’animation et de dialogue avec les cadres locaux de concertation qui mènent l’ingénierie sociale, un choix a été opéré pour démarrer l'ingénierie civile pour les marchés de demi gros autour des Pôles de Développement Economique (PDE) de Tessaoua, Sabon Machi et Djirataoua. -
Guide du demandeur d'indication géographique
L'indicateur géographique (IG), constitue un droit de propriété intellectuelle autonome, au même titre que le brevet ou la marque. Ce droit est expressément reconnu dans l'accord de l'OMC sur les aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC, ou TRIPS en anglais, conclu à Marrakech en 1994). Cet accord impose aux pays membres de l'OMC (... en 2010) de disposer des moyens juridiques de protéger les IG. -
L'analyse des systèmes de marché : Les parcours d'alternatives économiques pour les jeunes filles de la région de Zinder, au Niger
Cette analyse de marché fait partie de la phase de recherche formative du projet de CARE, "Soutenir les adolescents nullipares mariés" au Niger, qui vise à retarder la première naissance chez les adolescentes mariées en les permettant d'envisager les lendemains meilleurs à travers des activités telles que l'éducation,la formation et/ou la génération de revenus. -
Le potentiel des IG au Niger et leur stratégie de développement
Le Niger s'étend sur une superficie de 1.267.000 km² avec 300 000 km² de zone agricole, 240.000 km² de zone pastorale et 727.000 km² de zone désertique (environ 3/4). Le Niger est caractérisé par de basses altitude (200 à 500 m) avec un relief marqué par des massifs montagneux au Nord-Ouest (massif de l'Air), des plaines et des plateaux au sud. Le climat est de type tropical sec avec une longue saison sèche de 7 à 9 mois et une courte saison de pluie de 3 à 5 mois. -
Stratégie nationale de relance de la production et de la commercialisation de la gomme arabique au Niger
Pays sahélien totalement enclavé, le Niger s'étend sur 1.267.000 km². Sa frontière la plus proche du littoral est à plus de 600 km du Golf de Guinée. Les trois quarts de cette superficie sont situés dans la zone septentrionale, en désert chaud du Sahara. La population, estimée en l'an 2000 à environ 10 millions d'habitants, croit au tau moyen de 3,3% par an. -
Comparaison du commerce des fanes de niébé et arachide dans le marché de fourrage en zone urbaines et rurales au Niger
En Afrique de l'ouest 80% des petits exploitants agricoles vivent dans des systèmes de culture-élevage / agro-pastorales mixtes. Les agriculteurs peuvent obtenir un revenu supplémentaire important de la vente des fanes de niébé, et d'arachide et ils doivent porter attention au rendement des fanes et la résistance aux maladies . -
Dégringolade du prix de l’oignon sur les principaux bassins de production
De nombreux responsables d’organisations de producteurs et des Chambres régionales d’Agriculture ont signalé la très forte augmentation des surfaces pour la culture de l’oignon dans la plupart des régions du Niger cette année. Pour de nombreux professionnels, un risque de très forte baisse des prix de vente à la récolte est à craindre… cela semble se confirmer.
La récolte des oignons a démarré dans les principales zones de production du Niger. Habituellement, les prix de l’oignon sur les marchés sont au plus bas au mois de mars et mi-avril mais cette année les prix affichent une baisse inquiétante dès ce début d’année, à la fin du mois de janvier, sur les marchés des principaux bassins de production. -
Violet de Galmi, après la marque, l’IG !
Après être passé très près de l’usurpation d’un droit de propriété intellectuelle sur la variété d’oignon « Violet de Galmi » en 2008, où en sont les Nigériens dans l’enregistrement et la démarche de certification de cet oignon si réputé ? Enquête. -
Prix de l’oignon dans une grande surface d’une ville française (Narbonne) en mai 2012
Voici une présentation des oignons qui étaient en vente dans une grande surface française (magasin) au mois de mai 2012, avec leurs provenances et leurs prix. -
Évolution du prix de gros de la tomate sur la période 2018 à 2021 sur le marché de Niamey (Djémadjé)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015. Les informations présentées dans cette note concernent les quatre dernières années (2018-2021). Les prix sont fournis par des « informateurs » qui sont des professionnels de la commercialisation des produits maraîchers, des grossistes ou des collecteurs. Le prix relevé est un prix de vente en gros sur les marchés de Niamey. C’est donc le prix d’achat au producteur + le transport + la marge du collecteur plus la marge du grossiste. -
Étude Diagnostique sur l’Intégration du Commerce au Niger
(E.D.I.C)
L’objectif général visé par la présente étude est d’actualiser le diagnostic et les priorités du Niger contenus dans l’EDIC 2008 en vue de promouvoir son intégration dans le commerce sous régional, régional et international ainsi que son développement économique et social en tenant compte des évolutions et changements intervenus dans les neuf domaines de l’EDIC à savoir : le cadre macroéconomique, le commerce extérieur, le climat des affaires, les douanes, les transports, l’agriculture, l’élevage, les mines, le tourisme et l’artisanat ainsi que d’autres domaines prioritaires ressortis dans le PDES et l’Initiative «3 N» et de proposer une matrice d’actions qui contribue au renforcement de capacités commerciales du Niger, eu égard aux nouveaux défis auxquels le pays doit y faire face.
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Pas une erreur, mais un système : le commerce informel transfrontalier en Afrique de l'Ouest
Cette étude se penche sur le « problème » du CIT et la façon de le « traiter ». Au travers d’un examen des perspectives des commerçants, de l’État et des agents frontaliers, elle met en exergue les contextes complexes et les produits idiosyncrasiques du CIT ; il en ressort que le commerce informel tient moins de l’anomalie - comme le suggère la politique commerciale officielle - que d’une gamme de combinaisons possibles, qui sont les produits de l’interaction entre commerçants et agents frontaliers, dans le cadre d’un système plus large. Les aspects visibles du CIT qui semblent entraver la formalisation ne sont que la partie visible de l’iceberg, alors qu’une série de facteurs et de relations importants, mais sous la surface, conditionnent et perpétuent cette pratique. -
Catalogue des épices, condiments alimentaires et produits laitiers exposés au SAHEL Niger 2022
Le catalogue présente des informations sur les fournisseurs (nom, contact, lieu, statut juridique, liste des produits et photo) des produits agricoles transformés exposés lors de la septième édition du SAHEL : épices, condiments alimentaires et produits laitiers. -
Évolution du marché de l’oignon en Côte d’Ivoire à partir des informations contenues dans les « Bulletin sur le Marché de l'Oignon de l’OCPV».
Cette note présente la situation chronologique des approvisionnements en oignons sur le marché de la Côte d’Ivoire à partir de la lecture des informations contenues dans les « Bulletin sur le Marché de l'Oignon en Côte d'Ivoire ». -
Les informations mises en ligne sur la page Facebook RECA Phyto (n°5)
La page facebook du RECA compte plus de 5.700 abonnés. Cette page sert de canal de publication des informations pour édifier d'avantage les utilisateurs. Ces information sont collectées au niveau des CRA ou du RECA. Dans cette note, plusieurs sujets sont abordés dont entre autre : la commercialisation illégale de certains produits phytosanitaire, de la maladie abiotique de la pomme de terre, des ennemis de culture... -
La typologie des marchés céréaliers du Niger
Le Système d’information sur les marchés agricoles (SIMA) du Niger date de 1989. Il est sous la tutelle du ministère du Commerce, de l’Industrie, de l’Artisanat et de la promotion du Secteur privé. Son budget de fonctionnement est assuré par l’État nigérien et la Commission européenne. Au total, le SIMA nigérien suit une quarantaine de produits sur 80 marchés, dont 60 fixes et 20 qui peuvent varier en fonction de leur niveau de vulnérabilité. Il suit également six marchés transfrontaliers. -
Marchés céréaliers Ouest-africains : Vers une dépendance croissante aux importations ou une souveraineté alimentaire régionale?
L’agriculture ouest-africaine se trouve aujourd’hui à un tournant. La production a globalement suivi la croissance de la demande alimentaire de ces trente dernières années. Mais elle l’a fait sur la base d’un modèle de production extensif, fondé sur l’accroissement des surfaces mises en culture. Ce modèle n’est plus reproductible en raison de la raréfaction des terres et de l’épuisement des sols. De nouvelles mutations structurelles vont transformer les sociétés africaines et impacter les conditions de l’approvisionnement et de la sécurité alimentaire, mais aussi les évolutions des agricultures et de leur insertion dans le marché au cours des vingt prochaines années. -
La typologie des marchés céréaliers du Niger
Cette note est tirée du Document de travail n°95 juin2010, intitulé «Prévenirles crises alimentaires au Sahel :des indicateurs basés sur les prix de marché». Ce document présente une étude réalisée par Catherine Araujo Bonjean, Stéphanie Brunelin, Catherine Simone du Centre d'Etudes et de Recherches sur le Développement international(CERDI)à la demande del’Agence française de Développement (AFD) -
La dynamique des échanges régionaux des céréales en Afrique de l’Ouest / Résumé
Le marché régional des produits céréaliers et du niébé, qui les accompagne souvent, constitue une composante essentielle des échanges régionaux, même si l’ampleur des transactions est encore mal connue, bien que les meilleurs systèmes régionaux d’information soient concentrés sur cette catégorie de produits. -
Étude de marché et de débouchés pour les produits dont les filières seront appuyées dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet P2RS
Le présent document présente les activités agro-pastorales des communes d'Aderbissinat et Mainé Soroa. -
Étude sur la commercialisation du niébé
La présente étude a pour objectif de faire un diagnostic approfondi du fonctionnement des circuits de commercialisation, d'en analyser les contraintes majeures et les opportunités offertes, de proposer un programme d'actions qui aboutira à la rationalisation de la commercialisation du Niébé. -
L'agrobusiness : réponse à une demande alimentaire ?
Qu'est-ce que l'agrobusiness et qu'est-ce qui le différencie des systèmes précédents ? On l'a vu, l'agrobusiness résulte d'un choix politique : celui de privilégier une politique — que d'aucuns qualifieront de réaliste de recherche de l'efficacité agricole au détriment de — ou parfois parallèlement à — une politique de développe ment rural intégré. Il est bien évident d'ailleurs que ce choix théorique n'est bien souvent pas possible : l'agrobusiness dans agriculture inondée du Bangladesh, ou le développement rural intégré dans les zones vierges ou inhabitées restent des vues de l'esprit. D'autre part les productions s'y prêtent plus ou moins bien. Ce choix politique est le fait d'une structure étatique et ceci nous donne la première clef de l'agrobusiness : c'est l’État qui est le décideur et le maître d’œuvre, le projet répondant aux impératifs de sa politique alimentaire ou à ses besoins d'exportations. -
Approvisionnement de Niamey en fruits et légumes : Acteurs de production et commercialisation
Quelle est la place de la femme dans l’approvisionnement de fruits et légumes à Niamey ? Cette question de recherche est secondée par l’hypothèse selon laquelle l’enclavement du Niger est un obstacle pour le développement du commerce de produits frais. L’objectif principal de cette étude est de démontrer l’implication de la femme dans la filière fruits et légumes de Niamey. -
SLAPIS : Système d'Alerte Précoce contre les Inondations de la Sirba
SLAPIS est un système intégré qui a l’objectif de promouvoir des changements décisionnels et comportementaux de l’attitude réactive à celle proactive à plusieurs niveaux, de la communauté à l’administration, pour la réduction du risque d’inondation dans les Communes de la Sirba (principal affluent du Fleuve Niger et cause des principales inondations dans la région). -
Les systèmes agroalimentaires en Afrique
Les infrastructures « de marché », c’est-à-dire les infrastructures d’approvisionnement et de distribution alimentaires, sont un important levier d’amélioration de la durabilité des systèmes alimentaires. Sont définies ainsi les infrastructures, tant physiques qu’institutionnelles, qui permettent de faire le lien entre les producteurs et les consommateurs, entre offre et demande (schéma 1.1). Concrètement, il s’agit de tout type d’infrastructure physique ou institutionnelle nécessaire pour se faire rencontrer physiquement et contractuellement offre et demande : marchés urbains et ruraux, infrastructures de stockage et de regroupement, détaillants et marchés de gros, supermarchés et infrastructures de transport ; mais aussi normes de qualité et systèmes d’information sur les prix, technologies de l’information et de la communication (TIC), modes de contractualisation et organisation de la concurrence, régulation nationale et internationale. -
Projet d'Appui à la Gestion des Ressources Naturelles : l'étude des filières de commercialisation des produits agricoles et forestiers dans le cadre du PAGRN : cas de la datte et de la gomme arabique
Le palmier dattier appartient au genre Phoenix de la tribu des Phoenicea. Aucun vestige de phoenix n’a été trouvé jusqu’à présent dans les zones actuelles de palmiers dattiers, alors qu’un dattier fossile datant du début de l’ère quaternaire fut trouvé en Europe. Ainsi, le continent européen serait considéré comme le centre d’origine du dattier. Les plus anciens documents écrits sur le palmier dattier se trouvent à Babylone et datent de 4000 ans avant JC. Cette plante était le symbole de la fertilité pour les Egyptiens, de la paix pour les chrétiens. Aux Etats-Unis, le palmier fut introduit par les conquêtes espagnoles (NIXON, 1978). A l’heure actuelle on trouve des palmiers dattiers jusqu’aux zones sahéliennes, tels les cas du Manga et du Damagaram au Niger. -
Étude sur l’amélioration de l’inclusion économique dans les filières agricoles en Afrique sub-saharienne : analyse des dispositifs publics/privés de mise à disposition d’informations pour les agents économiques des zones rurales
La présente étude répond donc à la nécessité de mieux orienter l’intervention publique en matière de mise à disposition d’informations à destination des acteurs économiques du monde rural d’ASS. Il s’agit donc de formuler un ensemble de recommandations basées sur un inventaire et une analyse des dispositifs publics et privés les plus significatifs sur le continent. -
Les Organisations Paysannes dans la dynamique du développement des marchés de demi-gros : cas du marché de demi-gros de Tessaou au Niger
L’un des piliers de la stratégie du Programme de développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) est l’amélioration des conditions de commercialisation des produits agricoles à travers la construction des marchés de demi-gros, centres de collecte et plateformes de commercialisation des produits agricoles. Ces marchés favorisent les échanges sur de gros volumes de productions issues de plusieurs bassins et sont aussi des lieux de services rendus aux opérateurs économiques. -
L'industrie agroalimentaire : un secteur alliant qualité et de diversité en Centre-Val de Loire
L’industrie agroalimentaire (en abrégé IAA) est l’ensemble des activités industrielles qui transforment des productions alimentaires issues de l’agriculture ou de la pêche en aliments industriels destinés essentiellement à la consommation humaine. Elle concerne 2 activités : - les industries alimentaires; - la fabrication de boissons. -
Performance et circuit de commercialisation des principaux produits agricoles des cuvettes oasiennes du département de Gouré (Niger)
Les cuvettes oasiennes du département de Gouré sont sources de production alimentaire et de revenus pour les populations locales. L’objectif de cet article est de démontrer la performance économique des produits agricoles de cuvettes. Pour ce faire, trois démarches méthodologiques complémentaires ont été adoptées : La première permet d’identifier les produits agricoles les plus rentables selon l’avis des producteurs, la seconde permet de déterminer les principaux produits agricoles de cuvettes à travers le "test de Kendall " et la troisième permet de calculer la rentabilité économique des produits à travers des indicateurs de performance. Les enquêtes réalisées auprès de 105 producteurs dans neuf cuvettes, montrent que toutes les productions sont rentables. Les producteurs indiquent que le manioc est la spéculation la plus importante du fait de sa mise en culture, de sa consommation et de sa conservation facile. Les deux autres tests montrent les cultures à cycle court comme le chou (75%) et l’oignon (69%) sont plus attrayants. Les produits agricoles de cuvettes sont plus destinés à la vente (73%) qu’à l’autoconsommation (27%) et les marchés locaux représentent les principales plateformes commerciales. Ces constats montrent que malgré l’opportunité qu’offrent ces cuvettes oasiennes, des défis restent à relever. -
Analyse de mise en place d'une unité économique de pomme de terre pour le Réseau des producteurs de Doutchi/ Niger
Ce travail se propose d'analyser la mise en place d’une unité économique de pomme de terre pilotée par la FCMN-Niya tout en mettant en lumière les facteurs qui influencent la qualité, notamment les conditions de production et de conservation. Mais aussi une analyse de la rentabilité. L’étude s’est appuyée sur deux groupes de producteurs, ceux impliqués dans le warrantage et ceux n’en faisant pas partie. Pour ce faire, nous avons conduit des enquêtes auprès de 95 producteurs sur les sites de Matankari et Doutchi dont 59 pratiquant la conservation et 36 ne pratiquant pas. Les commerçants grossistes(5) et détaillants (5) sont aussi interviewés. -
Mallanville-Gaya : comptoir commercial et couloir de spéculations (Pays-Frontière de l'informel)
La situation de pays enclavé constitue un handicap majeur au développement des échanges. Elle réduit les avantages qu’offrent les marchés internationaux en rendant moins compétitifs les produits du pays à l’exportation tandis qu’à l’opposé elle augmente le coût de ses importations. Pays en sandwich entre le Sahara et le Sahel mais gratifié de sept frontières1, le Niger devait pouvoir constituer l’exception qui confirme la règle mais… la porosité de ses frontières, l’incivisme fiscal de ses opérateurs économiques, la corruption et les insuffisances structurelles de son administration des frontières, l’inorganisation des filières commerciales, la contrebande à grande échelle… réduisent le gain que devaient rapporter ses sept portes commerciales en peau de chagrin. Le Niger, réduit à acheter plus qu’il ne vend, dépend énormément des marchés extérieurs et notamment de son axe sud vers la côte (Bénin, Togo, Ghana, Côte d’Ivoire). L’axe Gaya-Malanville, en principe route commerciale internationale n°1 du Niger, assure pourtant difficilement la concurrence face à l’informel et la contrebande orchestrée à grande échelle par les commerçants nigérians qui ne se suffisent pas de l’axe Maradi-Katsina-Kano, essentiellement bilatéral, Niger-Nigeria. -
Étude de marchés pour la conservation, la transformation et la commercialisation des agrumes, pomme de terre et oignon dans la région d’Agadez
La présente étude commanditée par le projet Pôles Ruraux « étude de marché pour la conservation, la transformation et la commercialisation des principales productions agricoles de la région d’Agadez, notamment les agrumes, l’oignon et la pomme de terre ». Elle a pour objectif de faire une analyse détaillée sur les opportunités de marchés relatives aux principales filières agricoles tout en mettant l’accent sur les potentialités, les différents acteurs impliqués, les forces, les faiblesses et les contraintes des systèmes de production des agrumes, l’oignon et la pomme de terre. Elle s’accorde dans une parfaite harmonie avec les politiques et stratégies de développement mis en place par l’État du Niger. -
Les systèmes d’information sur les marchés agricoles
en Afrique subsaharienne : de la première à la deuxième générationCette étude concerne le premier objectif (inventaire et évaluation critique des innovations dans les SIM). Elle s’appuie sur une enquête réalisée par courrier électronique auprès d’un échantillon de SIM, sur quelques études de cas et sur une recherche documentaire. Cette enquête (menée conjointement avec les collègues de la MSU) a porté uniquement sur les pays en développement, avec une focale particulière sur l’Afrique. Les études de cas concernent cinq SIM africains : l’Observatoire du marché agricole du Mali (OMA), Esoko (Ghana), la Zambia National Farmers Union (ZNFU – 4455), la Kenya Agricultural Commodity Exchange (KACE) et la Regional Agricultural Trade Intelligence Network de l’Afrique de l’Est (RATIN). Dans le dernier chapitre, la discussion est également étayée par quelques autres cas de SIM en Afrique et en Asie, issus de sources bibliographiques ou de sites Web. L’analyse et la discussion ont été enrichies par les échanges qui ont eu lieu au cours de deux ateliers organisés par le projet, en mars 2010 à Montpellier et en décembre 2011 à Bamako, réunissant opérateurs de SIM, utilisateurs et experts. -
Chaine de valeur oignon : commercialisation des oignons en Afrique de l'Ouest, analyser les chiffres
De nombreuses institutions font réaliser des études sur les chaines de valeur. Les experts chargés de ces études utilisent des données en citant les sources. Il nous semble important de croiser autant que possible les données disponibles et surtout de les commenter pour évaluer leur crédibilité car les variations entre les sources peuvent être considérables. Cette note sur la filière oignon rassemble différentes informations par rapport à la commercialisation de ce produit dans la partie Est de l’Afrique de l’Ouest dont le Niger est un des acteurs majeurs. -
Appui PPI Ruwanmu dans le cadre des projets d'infrastructures marchandes - phase APS
Le PASADEM a confié à Groupe Huit la réalisation d’un appui dans le cadre de la réalisation de trois projets d’infrastructures marchandes dans la région de Maradi (Sabon Machi, Tessaoua, Djirataoua). Au mois de mai 2015, une mission d’évaluation du FIDA, concernant les activités du PASADEM et du PPI Ruwanmou, a recommandé un appui supplémentaire de Groupe Huit pour les projets d’infrastructures marchandes du PPI Ruwanmou. Ceci afin de suivre la même procédure de mise au point et d’analyse des projets effectué par le consultant sur les projets du PASADEM. -
Bulletin des statistiques du commerce extérieur : données définitives 2017-2021
Dans le cadre de l’amélioration des statistiques produites, l’Institut National de la Statistique (INS) a mené, en décembre 2019, des travaux sur la base de données du commerce extérieur. L’objectif est de s’aligner davantage sur les recommandations des Nations des Unies en matière de commerce international des marchandises. Ces travaux s’inscrivent dans la ligne directrice que l’INS s’est fixée qui consiste à produire et fournir aux utilisateurs des statistiques fiables, aussi exhaustives que possible et de meilleure qualité. Ainsi, à l’issue des travaux, des corrections ont été apportées aux données. Par conséquent, les flux d’exportation et d’importation ont diminué sur l’ensemble de la période couverte par la base des données (1996 à 2019). En effet, les importations des ambassades et grandes organisations internationales ont été exclues des statistiques conformément aux recommandations du manuel des statistiques du commerce international des marchandises dans son édition 2010 (SCIM2010). -
Analyse du système de commercialisation du fourrage dans la ville de Niamey
La présente étude a été conduite dans la ville de Niamey pendant la saison des pluies de juillet à septembre 2013. Elle a pour objectif principal d’analyser le système de commercialisation du fourrage dans la ville de Niamey. L’approche méthodologique adoptée a consisté dans un premier temps à la recherche bibliographique sur les définitions des concepts ou notions clés, les ressources fourragères et la commercialisation du fourrage au Niger. Par la suite, une enquêté a été réalisée auprès de 90 acteurs dont 31 collecteurs, 4 grossistes et 55 revendeurs qui interagissent dans l’approvisionnement et la vente du fourrage à travers quatre circuits. L’étude révèle une absence d’organisation des commerçants. Ces derniers ont en majorité un âge>20 ans (84,88%), de l’ethnie Djerma et originaires pour la plupart de la région de Tillabéry. La principale motivation à l’exercice de l’activité est son caractère générateur des revenus. Un nombre non négligeable de collecteurs (41,9%) pratiquent cette activité comme moyen de survie. -
Guide méthodologique pour la production d’émissions de radio tenant compte du genre
Le guide vise à renforcer les capacités des producteurs et productrices des radios communautaires et rurales à réaliser des émissions de qualité qui prennent en compte le genre de façon systématique. -
L’élaboration d’un règlement intérieur pour les opérations de warrantage
La présente fiche est destinée à tous les agents intervenant dans l’encadrement technique et méthodologique des organisations paysannes (OP), notamment celles qui œuvrent dans le domaine du warrantage. La présente fiche concerne donc tous les acteurs du développement, en particulier les faîtières d’OP et les structures d’appui à ces organisations (services techniques de l’État, projets, ONG, etc.). -
Les boutiques d'intrants coopératives du Niger
L’objectif de cette fiche est de rendre compte de la situation des Boutiques d’Intrants (BI) au Niger et de l’intérêt représenté par cette micro-entreprise rurale dans le système d’approvisionnement en intrants aux producteurs et productrices et celui du rôle central joué par leur propriétaire dans ce système: les Organisations de Producteurs (OP). -
Les clubs d’écoute communautaires Dimitra au Niger
Depuis leur création en 2009, les clubs d’écoute Dimitra ont suscité un grand intérêt, autant auprès des communautés rurales qu’auprès des praticiens du développement. Les clubs ont contribué à l’égalité hommes-femmes, l’accès à l’information, la mobilisation sociale, la mise en réseau et l’émancipation des femmes, contribuant ainsi au développement rural des deux régions. -
Organes d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d’une boutique d’intrants, et plus spécifiquement aux membres responsables des divers organes des organisations paysannes (OP). Elle est également destinée aux animateurs et animatrices, agents d’encadrement pour le renforcement des capacités des OP. -
Premier épisode : le warrantage
Au moment de la récolte, les petits producteurs et productrices veulent mettre leurs produits en warrantage. Mais ils ne sont pas les seuls. Il y a aussi des grands commerçants qui pratiquent le warrantage et pour lesquels obtenir un crédit semble beaucoup plus facile… -
Troisième épisode: la boutique d’intrants
Une boutique d’intrants est une petite entreprise ayant pour but de faciliter l’accès des intrants aux petits producteurs et productrices et de fournir des services de proximité. Ces boutiques sont des entités autonomes à caractère associatif ou de type coopératif ; elles sont la propriété d’organisations paysannes (OP) de base, d’unions ou de fédérations d’OP. -
Le warrantage au Niger, une pratique adaptée aux besoins des petits producteurs et productrices
L’objectif de cette fiche est de promouvoir l’utilisation de la technique du warrantage en tant que bonne pratique agricole
et d’encourager les faîtières d’OP à adopter ce mode de financement de l’agriculture afin de garantir une gestion et une
valorisation optimales de leur production agricole. -
Estimation des volumes et de la valeur du commerce régional des denrées de base
Le commerce régional de denrées agricoles de base est chargé d’histoire et reste énergique, dynamique et essentiel pour l’activité économique et la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest. Cependant, on ne connaît que mal sa taille actuelle, il est généralement qualifié d’« informel » et est à la fois sous-estimé et négligé en tant que facteur important pour la croissance économique dans la région. De plus, il reste des obstacles considérables qui entrainent une hausse importante des coûts de transaction et pénalisent les producteurs, les consommateurs et les acteurs à tous les niveaux des chaines de valeur des denrées. -
Étude de marché et commercialisation de la pomme de terre au Niger
La culture de la pomme de terre il été introduite au Niger il y a bien longtemps. Les documents de l'administration coloniale font état de son introduction dans la vallée du Goulbin Maradi dès 1912 (1). Dans la région d'Agadez la pomme de terre se cultivait depuis, au moins, les années trente et dans le Dallol Bosso (Bonkoukou), la pomme de terre a été introduite par l'IRAI' depuis 1 <>54. Dans tous les sites la productivité du matériel végétal utilisé et la qualité du produit semblent s'être dégradées au cours des dernières décennies. Cet état de fait est principalement dû au 11011 renouvèlement des plants et de la non maîtrise du parasitisme. -
Étude du marché régional de l'oignon, du niébé et de bétail-viande
La présente étude a pour objectifs d'analyser le marché régional de l'Oignon, du Niébé, du BétailNiande, d'identifier ses contraintes et de dégager les mesures
d'amélioration des conditions de promotion et d'exportation des produits. Elle concerne principalement le Bénin, la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Nigéria et le Togo. -
Étude technique pour la construction du comptoir de commercialisation du niébé de Magaria
Cette étude rentre dans le cadre de la construction d'un comptoir de commercialisation du niébé dans le département de Magaria. -
Stratégies de commercialisation de la pomme de terre par les producteurs membres du réseau pomme de terre de Doutchi (Niger)
La présente étude s’intéresse à l’analyse des systèmes de commercialisation de la pomme de terre produite au niveau du bassin de Doutchi en vue d’identifier les difficultés de commercialisation et les stratégies appropriées pour une meilleure valorisation de la production. L’approche méthodologique utilisée s’est fondée sur l’analyse filière. Les résultats obtenus permettent d’identifier deux systèmes de commercialisation de la pomme de terre produite dans le bassin : le système de commercialisation de mise en marché individuel et le système de mise en marché collectif. Par ailleurs quatre circuits de commercialisation ont été identifiés selon les stratégies de vente adoptées par les producteurs. L’analyse des marges a montré que la vente de la pomme de terre produite au niveau du bassin de production de Doutchi assure une marge de 73 000 F/t pour les petits producteurs au niveau des circuits 1 et 4. Les producteurs moyens et grands producteurs obtiennent respectivement 148 000 F/t et 127 000 F/t au niveau du circuit 3 contre 63 000F/t et 52 000 F/t au niveau du circuit 4. -
Stratégie de gestion de l’information et des connaissances
Pour assurer l’intégration des changements climatiques dans les processus de planification à moyen et long termes, le Gouvernement du Niger a lancé le processus de formulation et de mise en œuvre de son Plan National d'Adaptation (PNA) en mai 2014. Soutenu par le Fonds Vert pour le Climat (FVC), à travers le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), le projet « Faire progresser la Planification et la Budgétisation de l’Adaptation en moyen et long terme au Niger » vise à éliminer les principales barrières et à compléter les activités de renforcement des capacités en cours en matière de prise en compte des changements climatiques dans la planification et la budgétisation du développement. La formulation et la mise en œuvre d’une stratégie de gestion de l'information et des connaissances est l’une des activités identifiées pour l’atteinte des résultats du projet, qui tire ainsi les leçons des insuffisances en matière de capitalisation du Plan d’Action National d’Adaptation (PANA). -
Organisation et contraintes de la commercialisation des semences améliorées de mil et de niébé à l’ouest du Niger
Au Niger, l’approvisionnement en semences de qualité déclarée reste un grand défi pour les agriculteurs qui utilisent majoritairement des variétés traditionnelles malgré leur problème de pureté. Récemment, on a observé une mobilisation des acteurs autours de la filière semences améliorées. Cet article analyse l’organisation et les contraintes de la commercialisation des semences améliorées certifiées de mil et de niébé. L’étude a été conduite auprès de 57 producteurs multiplicateurs, organisations paysannes, 4 points de ventes/boutiques d’intrants et une entreprise semencière. Ces acteurs ont été échantillonnés de façon systématique, une enquête par questionnaire a permis de collecter les données et l’approche filière a servi dans l’analyse. Les résultats montrent que les producteurs multiplicateurs, leurs groupements, l’entreprise semencière, les collecteurs/distributeurs, les points de vente/boutiques d’intrants, l'État/partenaires et les producteurs utilisateurs sont les acteurs directs du circuit de commercialisation de ces semences. Les caractéristiques de la demande en ces intrants stratégiques sont difficiles à établir dans cette zone. Toutefois, l’essentiel des semences des producteurs multiplicateurs est acheté par les entreprises semencières et l'État et ses partenaires. Il n’existe pas à proprement parler une coordination dans la formation de prix des semences. -
La radio communautaire Damergou et la promotion des bonnes pratiques agricoles face au changement climatique dans la Commune Urbaine de Tanout (Zinder/Niger)
Le présent travail a pour objectif d’analyser et de dégager l’apport de la radio communautaire “Damergou” dans la promotion et le développement d’une agriculture performante et durable dans un contexte de changement climatique. La méthodologie utilisée s’est appuyée sur la recherche documentaire, l’analyse de documents de la grille des programmes de la radio, les enquêtes de terrain auprès des agricultures. L’analyse des données a été faite à l’aide du logiciel Excel de Microsoft office dans sa version 2013. Les résultats ont montré que les hommes ainsi que les femmes participent aux émissions de la radio avec une proportion élevée d’hommes (52,08 % contre 25 % de femmes). -
Système d’information environnementale dans la sous-région sahélienne
Le SIE vise le renforcement des capacités nationales et régionales en vue d'améliorer la disponibilité, la fiabilité, la stabilité de l'information et l'accessibilité de cette information qui doit alimenter les stratégies et politiques de Gestion des Ressources Naturelles et de l'Environnement au Sahel. -
Présentation globale du projet Duddal
Ce catalogue présente globalement le projet duddal. Cette présentation comporte tout les aspects pour comprendre l'initiative. -
Présentation Niger 2.0
Cette vidéo présente le projet des villages intelligents du Niger. -
Village intelligent
Le lorem ipsum est, en imprimerie, une suite de mots sans signification utilisée à titre provisoire pour calibrer une mise en page, le texte définitif venant remplacer le faux-texte dès qu'il est prêt ou que la mise en page est achevée. Généralement, on utilise un texte en faux latin, le Lorem ipsum ou Lipsum. -
Lancement du test d'introduction d'emballage filets pour l'oignon du Niger
L’objectif recherché à travers ce test est d’introduire dans le maillon du conditionnement et de mise en marché des oignons du Niger, un nouveau matériel d’emballage de « type filet » simple, propre, résistant, moins cher, de faible impact sur l’environnement et adapté au commerce international des bulbes. -
Mission d'appui technique au comptoir FRUCA d'Agadez pour la mise en œuvre d'un contrat d'exportation d'oignon vers la Cote d’Ivoire
Dans le cadre de son activité de recherche de débouchés, le comptoir de commercialisation d’oignon d’Agadez a conclu un contrat commercial avec une société de négoce dénommée Ivoire Top Services basée à Abidjan, République de Côte d’Ivoire ; le volume d’oignon d’Agadez à livrer dans le cadre de ce contrat avoisine les 600 tonnes/mois. -
Étude du marché des produits maraichers du Niger
L'étude du marché des produits maraichers du Niger a pour objet d'analyser le potentiel organisationnel de la Fédération des Coopératives maraichères du Niger (FCMN) et de ses coopératives membres et les mécanismes de commercialisation des produits maraichers afin d'améliorer les circuits d'écoulement sur les marchés locaux et étranger. -
Travaux d'identification et de recensement des documents existants au niveau des Ministères de l'Agriculture et de l’Élevage - Niamey
Dans le cadre de la modernisation de la gestion de l'information, de la communication et le développement des relations publiques du Ministère de l'Agriculture, une équipe composée d'une archiviste, d'un documentaliste et de deux aides documentalistes, agents de la Direction des Archives, de I1nformation, de la Documentation et des relations publiques (DAID/RP) avec l'appui de Programme d'Actions Communautaire Phase 2 a entrepris, depuis le 20 Mars 2012, une mission de travail d'identification, de recensement et de collecte des documents existants au niveau des deux départements en charge du secteur de l'Agriculture et de l’Élevage. Elle a passé dans toutes les différentes structures administratives sous tutelles, et ce durant 30 jours ouvrables. -
Site Agence Nigérienne de Presse
Site de diffusion d'information en : agriculture, politique, santé, sport, culture, sécurité, économie et éducation sur le Niger et à l'International. -
Enquête filières de commercialisation des dattes et oignon
Les différentes études économiques réalisées au niveau de l’arrondissement de Maïné-Soroa, surtout dans sa partie nord-ouest ont démontré que dans le temps la principale activité commerciale était la production et l’exportation du sel et du natron. Cette partie de l’arrondissement était surnommée « Mandaram » la saline de Maïné. Aujourd’hui, les paysans voient de plus en plus la nécessité de trouver d’autres produits de substitution au sel et au natron. Cela s’explique par le fait que les recettes tirées de l’exportation du sel diminuent de plus en plus ; diminution due à la baisse du prix, à la mévente et à la fluctuation de la monnaie Nigériane. Ce constat et la succession des mauvaises campagnes hivernales ont amorcé le processus d’une mise en valeur agricole des cuvettes. -
Mission de prospection et de promotion commerciale de l'oignon du Niger
Le Niger est le premier pays producteur d’oignon de l’espace UEMOA, avec une production annuelle d’environ 500 000 tonnes durant les 5 dernières années. L’oignon du Niger possède diverses qualités organoleptiques et colo métriques spécifiquement rattachées à sa source d’expansion, « Galmi » d’où vient aujourd’hui son nom commercial, « le violet de Galmi ». Le Niger exporte en régime contrôlé1 70% environ de sa production d’oignon vers les pays côtiers de la zone ouest africaine. En termes d’importance des volumes d’oignon du Niger importés, jusque dans les années 2005, la Côte d’Ivoire vient en tête avec 39%2, suivi du Ghana 26%, le Nigéria 25%, le Bénin 5%, le Togo 2% et autres destinations 3%. Du fait de l’importance ces dernières années des offres concurrentielles d’oignon du Burkina, du Nigéria, de la Hollande et récemment de la Chine, les acteurs de la filière oignon du Niger se sont engagés à prendre les mesures de leur ancrage sur leurs marchés traditionnels et œuvrer pour accéder à de nouveaux débouchés. -
Présentation de duddal
Poster illustratif de la bibliothèque numérique Duddal. -
Niger 2.0
Les TIC prennent une part prépondérante dans le programme Renaissance 2 du President de la République et déclinée dans la DPG du Premier Ministre.
Non seulement constituent-ils un des 8 axes du programme, mais leur nature transversale les lie directement aux 7 autres.
“NIGER 2.0” , s’accordant avec la SDDCI-Niger 2035, définit une approche ciblée des axes stratégiques du développement durable : administration, économie, éducation, santé, agriculture, élevage, sécurité...
“Niger 2.0” s’inspire des programmes TIC développés ces dernières années (NICI), ainsi que de la Politique Sectorielle, desquels dérivent des actions concrètes aussi bien en zones urbaines, mais SURTOUT en zones RURALES : état, secteur privé, jeunes, femmes et société civile.
La Division de la population des Nations Unies estime à 18,9 % de la population urbaine en 2015. Soit 81.1% de la population vivant en zone non-urbaine. -
Recueil des principaux textes réglementaires sur le commerce régional en Afrique de l'Ouest
Depuis sa création en 1975, la CEDEAO a fait de la libre circulation des personnes et des biens dans l'espace communautaire, sa politique prioritaire d'intégration régionale. Le protocole sur la libre circulation des personnes et des biens adopté en 1979 reconnait aux citoyens de la communauté le droit d'entrée, de résidence et d'établissement dans les États membres. Le principe de libre circulation des personnes constitue un acquis inaliénable au sein de la communauté. -
Bulletin de surveillance pastorale sur le Niger
Le programme des sites sentinelles de surveillance pastorale est mis en œuvre conjointement par Action Contre la Faim (ACF) et Vétérinaires Sans Frontières Belgique (VSF-B), en collaboration avec la Direction du Suivi des Ressources Pastorales de l’Alimentation et de la Gestion des Risques (DSRP/A/GR) du Ministère de l’Élevage du Niger. -
Comptoir de commercialisation d'oignon de Tsernaoua-Konni
Le comptoir de commercialisation d’oignon de Tsernaoua constitue la seconde EEHP que la mission d’appui à la mise à niveau des Entités Economiques à Haut Potentiel a diagnostiquée dans le cadre de la mise en œuvre de l’approche Chaine d’approvisionnement/chaine de valeurs du PRODEX. a) Situation géographique du comptoir Il est situé dans la commune rurale de Tsernaoua qui se trouve à 15 km de la ville de Konni, sur la route nationale N° 1 en direction de Madaoua. Cette commune est par excellence un traditionnel centre de commercialisation très fréquenté. Sa position géographique de carrefour (Madaoua/Maradi/Tahoua-Agadez) en fait un point de convergence de commerçants et autres professionnels de la filière oignon du Niger. Le comptoir a été construit sur une superficie de 1,5 Ha. -
Etude de marché et de commercialisation de la pomme de terre au Niger
De nombreuses cultures maraîchères peuvent trouver leur place dans les systèmes agraires du
Sahel dans un double objectif de sécurité alimentaire des familles rurales. La vente des surplus
sur les marchés urbains, nationaux et/ou étrangers peut également constituer une source de
revenus appréciable et contribuer ainsi à la réduction de la pauvreté de petits producteurs.
Parmi ces spéculations, la pomme de terre pourrait occuper une place importante pour la
sécurité alimentaire des populations des pays du Sahel et du Niger en particulier. -
Prix de gros des produits maraichers sur les marchés de Niamey
Ce travail de suivi des prix de gros sur les marchés est réalisé de manière hebdomadaire par le RECA sur les principaux marchés de gros de Niamey (Djémadjé, Katako et Harobanda). Les prix relevés sont ceux des unités de mesure ou conditionnement utilisées pour la vente en gros. Il s’agit de cartons, de paniers dénommés « tchila », de sacs de différentes tailles ou de caisses en bois. -
Situation des engrais dans la région de Tillabéri
L’engrais est considéré comme un intrant indispensable pour aboutir à des rendements satisfaisants compte tenu de la faible fertilité naturelle des sols particulièrement pauvres au Niger. Néanmoins, des faits particuliers attirent l’attention des producteurs. Il s’agit notamment de la question de la disponibilité, du prix et de la qualité des engrais. Les producteurs ne cessent de se plaindre tantôt sur l’un tantôt sur l’autre. -
Synthèse de suivi des prix des aliments bétail : marché de Diffa d'avril à octobre 2023
Le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture (CRA) ont été
chargés de faire un suivi des fournisseurs d'intrants servant pour
l’alimentation des animaux dans le cadre du Programme sur la
résilience du système alimentaire (PRSA/FSRP) dans les régions de
Tillabéri, Tahoua, Zinder et Diffa.
Le suivi des intrants consiste a enregistré le prix, la quantité et la
provenance des intrants (aliment bétail) toutes les deux semaines
auprès des vendeurs d’intrants. Les aliments bétails qui font l’objet de
suivi sont :
− le son de céréales (blé, maïs, mil),
− le tourteau de coton,
- les fanes d’arachide,
- les coques de niébé -
Suivi des prix des aliments pour bétail sur les marchés dans la Région de Tahoua de mai à octobre 2023
Le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture (CRA) ont été chargés de faire un suivi des fournisseurs d'intrants servant pour l’alimentation des animaux dans le cadre du Programme sur la résilience du système alimentaire (PRSA/FSRP) et du Projet de Renforcement de l’Entreprenariat en Elevage « REEL Mahita » dans les régions de Tillabéri, Dosso, Tahoua, Zinder et Diffa. Ce suivi comprend l’identification des fournisseurs et aussi le suivi des prix et de la disponibilité en aliments pour bétail. -
Commercialisation de la mangue dans la ville de Tillabéri : CC contribution de la femme
Cette étude concerne la commercialisation de la mangue dans laville de Tillabéri. C'est parti de l'hypoyhèse que la mangue est localement produite dans cette ville dans un contexte d'insécurité dans le département de Tillabéri. -
Secrétariat du Club du Sahel et de l'Afrique de l'Ouest
Site d'information sur la sécurité alimentaire, les systèmes alimentaires, l'insécurité et l'urbanisation au Sahel et en Afrique de l'Ouest. -
OCDE-ilibrary
L’OCDE publie ses recommandations, analyses et données sur OECD iLibrary pour éclairer les responsables publics, les chercheurs et les analystes sur ce qu’il y a de mieux à faire dans leur pays.
Les ouvrages, périodiques et contenus statistiques d’iLibrary servent de point de départ à des projets de planification internationale ainsi qu’à des travaux de recherche étayés par cette plateforme primée et soumise à des normes rigoureuses et fiables.
« OECD iLibrary est un outil précieux pour les sociologues qui ont besoin de statistiques solides et harmonisées à l’échelle internationale sur un large éventail de thématiques économiques et sociales…
Il est particulièrement intéressant, pour les chercheurs, de pouvoir consulter les archives des publications et les prévisions établies depuis 1967. » – Bobray Bordelon, Université de Princeton, États-Unis. -
Évolution du prix de la patate douce pendant quatre ans (2020 à 2023) sur le marché de Katako à Niamey
Le suivi des prix des produits maraîchers sur les marchés de gros de Niamey a commencé en avril 2015. Cette note présente l’évolution des prix de gros de la patate douce pour la période 2020 à 2023. Ce suivi concerne le marché de Katako. Il est réalisé hebdomadairement auprès de commerçants grossistes. -
La télédétection : un outil pour le suivi et l'évaluation de la désertification
La télédétection est une technologie et une discipline scientifique permettant d'observer et d'analyser notre environnement et consécutivement de définir, suivre et évaluer les politiques de gestion des ressources naturelles. La télédétection satellitaire est actuellement un des seuls outils permettant d'acquérir des informations détaillées en tout point du globe terrestre (ou presque), rapidement et de manière objective, régulière et répétitive, permettant ainsi un suivi des évènements environnementaux (pollution, feu de forêts, séisme, inondation, désertification, etc.). Elle permet également des applications dans de nombreux domaines comme l'agriculture, la forêt, l'hydrologie et les ressources en eau, les océans, la géologie, la cartographie, l'urbanisme, le cadastre, ou bien encore les renseignements stratégiques (la majeure partie des techniques de télédétection a d'abord été développée à des fins militaires). -
Livret de valorisation de l'information
Dans un paysage informationnel où chacun est à la fois producteur et consommateur d’un très grand nombre d'informations, il est de plus en plus difficile de faire passer un message de qualité, au bon moment, à la bonne personne, sur le bon format. La diffusion d’informations a explosé, inversant les rapports entre le·la producteur·trice d’information et le ou la destinataire·trice de l’information. Une information a une durée de vie de plus en plus courte et la lutte pour capter l’attention du lecteur ou de la lectrice ne conduit qu’à produire plus d’informations et à les diffuser à plus de personnes de manière souvent indistincte. La valorisation cherche, par une démarche structurée qui se base sur les objectifs du message et sur des publics cibles spécifiques, 1/ à améliorer l’impact du message sur l’audience, 2/ à ajouter de la valeur à l’information par la remontée d’informations et la mise à jour de l’information initiale.