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Fertilisation : modes d'utilisation de l’Urée et du NPK sur les cultures irriguées
Cette affiche explique la fertilisation et montre les modes d'utilisation de l' Urée et du NKP sur le cultures irriguées.
C'est un outil pédagogique conseillé aux acteurs du Conseil Agricole. -
Méthode de compost en tas
Cette affiche présente les techniques et méthodes de compost en tas -
Méthode de compostage en fosse multiple
Cette affiche présente les techniques et méthodes de compost en fosse multiple -
Utilisation du réseau californien pour les cultures irriguées
Le réseau californien est un système de micro-irrigation développé en Californie. Le principe du système californien consiste à distribuer l’eau aux cultures par des tuyaux souterrains en PVC rigide (diamètre 40-50 m). Le réseau de tuyaux est enterré à 0,5 m pour les protéger des UV et des travaux agricoles. -
La santé des sols: des technologies pour produire plus avec moins
Pour nourrir une population mondiale, en pleine expansion, nous n’avons pas d’autre choix que d’intensifier les cultures. Mais les agriculteurs sont confrontés à des contraintes sans précédent. Il leur faudra donc apprendre à produire
plus avec moins. L’agriculture doit littéralement retourner à ses racines en redécouvrant l’importance de sols en bonne santé, en utilisant des sources naturelles de nutrition des plantes et en appliquant avec discernement les engrais minéraux. -
Le compost : Y'a t'il une différence entre ces deux fumures? -Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Y a-t-il une différence entre ces deux fumures ? Télécharger l’élément 1, 2,3 Mo
- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
- 4. Quel est le processus de fabrication du compost en fosse ? Télécharger l’élément 4, 8,2 Mo
- 5. Quel est le processus de fabrication du compost en tas ? Télécharger l’élément 5, 4,6 Mo
- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Le compost-C'est quoi le compost ?-Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
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- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
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- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
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Le compost : quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? -Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
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- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
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- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
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Le compost-Quel est le processus de fabrication du compost en fosse?-Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
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Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
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- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
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Méthode de compostage en fosses multiples
Choisir un lieu ombragé, proche des exploitations et d’un point d’eau
Consolider les bords si les sols sont instables
Creuser 2 ou 4 fosses afin d’avoir du compost toute l’année
Collecter des matières compostables.
Retirer le plastique, le verre et tissus -
Le compost-Quel est le processus de fabrication du compost en tas ?-Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
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Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
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- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
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Le compost-Comment vérifier l’état de décomposition du compost-Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
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Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Y a-t-il une différence entre ces deux fumures ? Télécharger l’élément 1, 2,3 Mo
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Le bovin Kouri
Le bovin Kouri est un animal sans bosse, donc un taurin, élevé sur les îles et le littoral du lac Tchad, aux confins de quatre pays, le Cameroun, le Niger, le Nigeria et le Tchad. Il s’agit d’un animal de grande taille, haut sur patte et dont le poids va de 400 à 500 kg chez les femelles et de 500 à 700 kg chez les mâles. La majorité est de couleur blanche, mais certains animaux peuvent être tachetés de rouge. Il se distingue surtout par ses cornes spectaculaires de différentes formes notamment bulbeuses comme cette photo. -
Comment choisir son engrais vert ?
Cette fiche technique a pour but de passer en revue les différents avantages que l’on peut tirer des engrais verts. C’est une première grille de lecture pour répondre à la question «quel engrais vert utiliser pour obtenir le résultat que je recherche ?». Pour des compléments d’information consultez les liens à la fin de la fiche. -
L’insémination artificielle et la gestion de troupeaux de sélection
Ce petit manuel de formation à l’insémination artificielle (I.A.) a été préparé dans le but de donner les connaissances essentielles pour les personnes débutant dans ce domaine. On donnera d’abord des rappels d’anatomie et de physiologie de l’appareil reproducteur, ensuite on décrira comment collecter et conserver la semence et enfin comment inséminer artificiellement les femelles. Par ailleurs, on voudrait également atteindre un autre objectif : la sensibilisation des personnes travaillant dans ce domaine et dans celui de l’élevage au sujet des avantages de l’I.A., en vue de favoriser l’amélioration du cheptel animal en milieu tropical et subtropical. L’amélioration du rendement et de l’efficience reproductrice sont certainement les deux objectifs principaux de l’insémination artificielle. -
Comment produire le compost à l’air libre avec la paille ?
L’initiative d’élaborer ce manuel de formation est du Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS). A travers le projet de Capitalisation des actions d’amélioration durable de la fertilité des sols pour l’aide à la décision au Burkina (FERSOL), le CILSS a entrepris de capitaliser les expériences des organisations paysannes en matière de fertilisation des sols au Burkina Faso. Il a bénéficié pour cela de l’appui financier de l’Union Européenne. Ce manuel de formation peut être utilisé par les paysans formateurs ou les animateurs endogènes des organisations paysannes, ou par les agents techniques des Associations, ONG et services étatiques. Il est recommandé que l’utilisateur de ce manuel ait un minimum d’expérience en technique d’animation et qu’il soit formé sur ce manuel. Ce manuel a été rédigé en français facile pour qu’il soit facilement compris et utilisable par tous. Nos vifs remerciements à tous les participants aux ateliers de capitalisation participative. Il s’agit des producteurs porteurs d’expériences, des représentants des organisations paysannes, des services techniques, de la recherche, des ONG et des Associations. Ils sont venus de toutes les régions du Burkina Faso. Leurs contributions et témoignages ont constitués le contenu de ce présent document. -
Promotion de la technique de compostage aérien au niveau de l’exploitation maraîchère
L’un des facteurs limitant de la production agricole est l’insuffisance ou la carence des sols en éléments fertilisants (Guéro et al, 2002). L’utilisation de la matière organique sous forme de compost est l’une des solutions écologiques et durables les plus recommandées. Il existe plusieurs méthodes de fabrication du compost. La technique du compostage aérien permet la fabrication à même le sol du compost à partir des débris organiques (fumier des animaux, ordures ménagères organiques, et autres matières organiques). -
La fertilisation localisée au semis des cultures ou microdose
La fertilisation localisée au semis des cultures ou le « microdosage » consiste à mettre, au moment du semis, de petites quantités (doses) d’engrais minéraux appropriés dans les trous de semis d’une culture, communément appelé poquets ; cette technique remplace la pratique de l’épandage (application de l’engrais à la volée ou en ligne) sur toute la superficie d’un champ. Cette méthode peu onéreuse, et particulièrement bien adaptée aux cultures de mil et de sorgho, permet une utilisation plus efficace de l’engrais et une augmentation des rendements agricole de manière durable. -
Plan de réforme du secteur des engrais au Niger : Synthèse
Le Gouvernement s’est engagé dans un Plan de réforme du secteur des engrais au Niger. Cette réforme s’avère nécessaire du fait de la faible contribution du secteur des engrais aux objectifs d’une agriculture forte au Niger. Ce Plan devrait contribuer à mettre en place un système efficace et durable, capable d’assurer la disponibilité et l’accessibilité d’engrais de qualité dans toutes les régions du Niger. Il vise également à élaborer un cadre opérationnel de la subvention aux engrais destinée aux producteurs ciblés. Ce Plan s’appuiera sur une participation plus dynamique du secteur privé dans l’importation et la distribution des engrais. Il s’appuie également sur le rôle de régulation de l’Etat dans la promotion d’un secteur des engrais plus transparent et concurrentiel. Pour élaborer le plan de réforme, la démarche a consisté en quatre étapes : i) une revue documentaire et la mobilisation d’une expertise nationale et internationale ; ii) la conduite des études thématiques complémentaires ; iii) la consultation de toutes les parties prenantes dans les huit régions ; iv) un atelier national de validation du projet de plan de réforme. Ce Plan de réforme comprend un Cadre Institutionnel et Réglementaire : un Programme Opérationnel de la Subvention ; et un rôle adapté de la CAIMA. -
Module sur la fabrication de compost
Le compost est fabriqué spécialement en mélangeant des résidus végétaux avec des déjections animales ou du fumier. Il existe plusieurs méthodes de fabrication du compost : le compostage aérien ou en tas et le compostage en fosse. -
La fertilisation organique des cultures
Ce present fiche technique porte sur les techniques de fertilisations ecologiques -
La fertilisation en maraichage biologique
C’est dans les exploitations maraîchères que l’on rencontre les systèmes agricoles les plus intensifs, caractérisés par des successions de cultures rapides sur la même parcelle. La majorité de ces exploitations sont spécialisées, de ce fait la fertilisation est réalisée à partir d’intrants. Les exportations conséquentes et les besoins ponctuels importants de certaines cultures entraînent très souvent l’utilisation d’engrais -
Raisonner sa fertilisation en maraîchage biologique
Cette fiche technique porte sur la fertilisation en maraîchage biologique -
Utilisation des fumures organique et minerale sur cultures maraîchères en Cote d’Ivoire
La mise à la disposition des maraîchers ivoiriens des techniques culturales adaptées aux conditions locales est l’un des objectifs de la filière de l’IDESSA chargée des cultures maraîchères. Afin de mieux apprécier les techniques actuelles de fertilisation de ces cultures, une enquête a été effectuée par cette filière, en mai 1993, dans le domaine maraîcher ivoirien -
Fertilisation minérale chez les cultures maraichères
La fertilisation, c’est l’action qui consiste à effectuer des apports d’engrais organique ou minéraux, nécessaires au bon développement des végétaux. Elle peut donc être réalisée sous forme d’amendements humifères (organique) ou minéraux (chimique). Les engrais sont des substances le plus souvent des mélanges d’éléments minéraux destinées à apporter aux plantes des compléments d’éléments nutritifs. La fertilisation organique ou amendements, c’est l’incorporation au sol, de matières organiques plus ou moins décomposées, tels que les fumiers. Elle permet d’améliorer la structure du sol et d’augmenter la capacité du complexe argilo-humique à stocker les éléments nutritifs. Le processus de minéralisation de la matière organique libère de manière progressive les éléments nutritifs dont la plante a besoin pour son développement. -
Méthodes de compostage au niveau de l’exploitation agricole
Ce présent rapport porte sur les méthodes de compostage au niveau de l’exploitation agricole -
Faire son compost
Ce guide porte sur la fabrication du compost tout en reduisant ses déchets et en nourrissant le sol -
Fiche technique : le compostage
Ce présente fiche porte sur la méthode d’obtention d'un compost de bonne qualité en une période de 21 jours -
Compostage et fertilisation
Ce présente fiche porte sur les principes de base du compostage et de la fertilisation -
Comment fabriquer un bon compost à la ferme
Ce présente fiche porte sur les secrets de fabrication de compost a la ferme -
Agrodok : Gérer la fertilité du sol
Ce guide technique explique comment faire le diagnostic des sols, ce que sont les constituants organiques et chimiques des sols, comment améliorer la fertilité du sol, etc. Il présente plusieurs techniques de fertilisation de sol -
Bouse de vache pour la protection et la fertilisation des végétaux
Insecticides – fongicides : des méthodes naturelles pour protéger les plantes contre les ravageurs -
Effet de la fertilisation par microdose sur la productivité de deux variétés de Sésame (Sesamum indicum L.), la variation des teneurs et les bilans partiels des nutriments
Le sésame (Sésamum indicum L.), est une plante oléagineuse cultivée au Niger sur les sols sableux pauvres en éléments nutritifs. Afin d'améliorer la productivité de cette culture, un essai a été conduit en 2012 à la station de recherche de N'Dounga dans le département de Kollo au Niger. L'objectif principal de la présente étude est d'étudier l'effet de la microdose sur le rendement du sésame. Un dispositif factoriel avec deux facteurs a été utilisé: 1) la variété avec deux niveaux (variété améliorée et variété locale) et 2) l'engrais NPK avec quatre niveaux (Og, 0,5g, Ig et 1,5g.poque(1). Les composantes de rendement, la hauteur des plants, l'exportation des éléments nutritifs et les paramètres chimiques et biologiques du sol ont été déterminés. Les rendements et les hauteurs des plants obtenus avec l'apport de fertilisants par microdose ont baissé. La dose MO a enregistré la plus grande hauteur et le rendement le plus élevé avec 155 cm et 1903 kg. ha-l respectivement. Excepté le phosphore assimilable, le pHeau et la biomasse microbienne, les caractéristiques chimiques testées du sol ont augmenté. Les teneurs en éléments nutritifs du sol ont augmenté de 3,9 mg/kg à 15,6 mglkg pour le potassium assimilable, de 0,1 glkg à 0,6 glkg pour l'azote total et de 0,25 g1kg à 6,2 glkg pour le carbone organique. L"étude montre que la microdose a induit des augmentations sur les paramètres de rendement. La dose M3 a enregistré le plus grand nombre de graines par capsu le avec 56 suivis de la dose Ml avec 49 et le témoin MO avec 48. Toutefois. cette performance de la technique de la microdose dans l'amélioration des paramètres de rendement s'accompagne d'un bilan partiel négatif. -
L'urine au jardin
Techniques d'utilisation de l'urine humaine en production végétale -
Comment faire du compost ?
Vidéo présentant les techniques de production du compost -
Comment fabriquer un composteur avec des palettes de récupération ?
Tutoriel pour la fabrication d'un composteur à partir de bois de récupération -
Formation maraîchage sur sol vivant : 6 : calcul des apports d'azote
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Bâche élevage Niger 2015
Activité principale ou secondaire, l’élevage occupe 87¨% des populations du Niger. Plus de 41millions de tètes toutes espèces confondues soit: 3451 milliards de capital bétail. L’élevage contribue à hauteur de 11% du PIB du pays et 24% au PIB agricole 1er rang des recettes totales d’exportation des produits Agro sylvo pastoraux (22%)
2ème source de revenu d’exportation du pays, juste après les ressources minières. -
Document cadre pour l' amélioration de la résilience de l'élevage face à la variabilité et au changement climatique
au Niger.La variabilité et les changements climatiques (CC) constituent une menace importante pour le développement économique et risquent de compromettre les chances de relever les défis de réduction de la pauvreté. Or, l’intégration des CC au processus de planification du développement représente encore un défi pour les pays de l’Afrique au Sud du Sahara. -
Fertilisation des Plantes à Parfum et Plantes Aromatiques
Les plantes à parfum (PàP) et les plantes aromatiques (PA) biologiques représentent en 2011 un peu plus de 1 800 hectares sur la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
La majorité des plantes à parfum et plantes aromatiques est cultivée dans les Alpes de Haute-Provence et le Vaucluse. -
Le montage du fumier Bokashi
La présente fiche porte sur le montage du fumier BOKASHI -
Compostage du fumier pour en faire de l’engrais puissant
Présentation des avantages et techniques de compostage -
Microorganisme Efficaces (Fertilisant bio)
technique de fertilisation biologique -
Fertilisation en arboriculture
En cultures pérennes et plus particulièrement en arboriculture, on recherche d’abord à maintenir un milieu biologiquement actif avec un équilibre sol/plante garantissant une croissance puis une fructification optimale. Les vergers n’exportent que peu d’éléments minéraux comparativement aux cultures annuelles, seuls les besoins en potassium sont élevés. -
Compostage de la jacinthe d’eau en aérobiose
Ce présent guide porte sur la recette de compostage de la jacinthe d’eau en anaérobiose -
Essai fertilisation sur les légumes- fruits : Solanum melongena
Ce présent guide porte sur l'essai fertilisation sur les légumes- fruits particulièrement sur Solanum melongena (aubergine). -
Le dromadaire et l’oasis : du caravansérail à l’élevage périurbain
Les relations entre le dromadaire et l’oasis relèvent d’une certaine ambiguïté car le dromadaire, animal du nomade par excellence, marque les territoires désertiques de sa mobilité alors que l’oasis est, par essence, un point d’attache. Si, au cours de l’histoire, le dromadaire ne pénétrait en ville que pour les étapes
caravanières (les caravansérails), il n’y demeurait que rarement sauf à jouer les auxiliaires pour l’agriculture
oasienne. L’évolution des systèmes de production, l’augmentation de la demande en protéines animales pour approvisionner une population urbaine grandissante, ainsi que les espérances sociales des éleveurs nomades en matière d’éducation et de santé ont contribué à modifier la relation entre les élevages de dromadaire et la ville oasienne. Le développement d’un élevage camelin périurbain tant pour l’approvisionnement en lait qu’en viande a bouleversé les antiques liens entre nomades et sédentaires, se traduisant par une interpénétration accrue des activités portées par les uns et les autres. L’article s’appuie sur plusieurs exemples des évolutions constatées en Afrique saharienne (Mauritanie, Algérie, Tunisie), au Sahel (Tchad, Niger), au Moyen-Orient (Arabie saoudite) et en Asie centrale (Kazakhstan, Turkménistan). -
La gestion des déjections animales dans la zone périurbaine de Bobo-Dioulasso (Burkina Faso) : structure des élevages, perception de leur impact environnemental et sanitaire, perspectives
Cette étude a été conduite dans la zone urbaine et périurbaine de Bobo-Dioulasso (Burkina Faso). L’objectif était d’établir un diagnostic de la structure des élevages et des problèmes environnementaux générés par les pratiques de gestion et de valorisation des déjections animales. Une enquête auprès de 233 chefs d’unités d’élevage (CUE) a été conduite. -
La fertilisation localisée au semis des cultures ou microdose
Fiche d'information sur l'application de microdoses d'engrais -
Script radio : Deuxième épisode : Microdose ou la fertilisation localisée au moment des semis des cultures
Nous sommes à l’approche de la campagne hivernale. Grâce aux revenus obtenus à travers les opérations de warrantage conduites après chaque campagne par leurs organisations paysannes, de nombreux producteurs et productrices s’approvisionnent désormais en engrais à la boutique d’intrants. Suite à des actions de développement visant à une utilisation rationnelle des engrais, les producteurs et productrices l’utilisent dans leurs champs pour améliorer le rendement des différentes spéculations qu’ils cultivent. Dans la plupart des cas, les cultures au stade de levée présentent un état végétatif agréable à voir -
Nourrir le sol : les engrais verts
L’engrais vert s’implante par semis entre deux cultures. Il est enfoui ou non dans le sol en fin de cycle afin d’agir sur la culture suivante. -
Le compost
Le compost est issu de la transformation de déchets organiques (feuilles, herbes, résidus de culture, déchets de cuisine, fibres, fumiers…) par une population de micro-organismes dans un environnement chaud, humide et aéré, en une matière humique biologiquement stable et utilisable pour la nutrition des plantes -
le compost enrichi - appelé également compost en pile ou en lasagne
Cette fiche technique présente les modalités de réalisation d'un compost enrichi. Ce type de compost est bien plus riche que le compost vert car il a une teneur élevée en matière organique et contient plus d’éléments nutritifs -
Le vermicompostage
Le vermicompostage (ou lombricompostage) est un processus de dégradation de la matière organique par des vers de terre en vue de la production d’ un amendement riche en éléments minéraux, exempt de pathogènes et qui favorise la rétention d’eau : le vermicompost. -
Le vermicomposteur
Il existe plusieurs modèles de vermicomposteur, en fonction du système choisi (continu ou discontinu), construit avec différents matériaux (bois, bambou, béton…) -
Le Bois Raméal Fragmenté
Le Bois Raméal Fragmenté (BRF) est une technique d’amélioration des sols cultivés par l’incorporation de fragments de bois permettant d’activer la vie biologique du sol. Cette technique imite les processus à l’oeuvre dans une forêt où les feuilles et les branches tombées à terre se décomposent au fil du temps afin de créer l’humus forestier. -
Le charbon de bois à usage agricole
Le charbon de bois est le produit de la combustion incomplète du bois (la combustion complète donnant de la cendre). Incorporé dans le sol, il a plusieurs vertus, grâce notamment à sa structure poreuse, qui améliorent les propriétés du sol. -
Les engrais verts
Cette fiche technique propose des informations sur les engrais verts -
Les engrais verts
Ce présent document porte sur les engrais verts -
Le compost
Ce présent document illustre les principes , la mise en place et les bénéfices du compost -
Le charbon de bois à usage agricole
Cette fiche technique montre les principes, bénéfices et techniques de fabrication du charbon de bois -
Utilisation des fumures organique et minérale sur cultures maraîchères en Cote d’Ivoire
Eléments techniques sur l'utilisation de fumures minérales et organiques en Côte d'Ivoire -
Synthèse des résultats pluriannuels sur la fertilisation de la tomate
Résultats d'essais conduits au Mali sur la fertilisation de la tomate -
Plaquette compostage ferme
Ce présent document porte sur la méthode de fabrication d'un bon compost à la ferme -
Le compostage à la ferme
Le présent document porte sur le compostage à la ferme -
La fertilisation organique de l’ananas Victoria à la Réunion
Ce présent guide porte sur la fertilisation organique de l’ananas Victoria à la Réunion -
La sélection de légumineuses comme engrais verts/cultures de couverture
Cet article présente des éléments de choix pour la sélection de légumineuses pour jouer un rôle d'engrais vert et/ou de cultures de couverture -
Dynamique des parcours pastoraux dans la région du Parc National du W du Niger
Le fait pastoral dans la région du parc du (( W ) du Niger est analysé dans le but de détecter une politique de gestion des parcours en périphérie. Un dialogue entre les responsables de la conservation et les éleveurs à ce propos ne paraît possible que si le parc est admis par tous et dûment contrôlé. -
Fonctionnement des élevages camelins de la zone périurbaine d’Agadez au Niger : enquête typologique
Le cheptel camelin est tributaire des ressources fourragères des parcours naturels dont le développement est soumis aux aléas de la pluviométrie, très mal répartie dans le temps et l’espace. Pour exploiter ces parcours, l’une des stratégies adoptée par les éleveurs est la mobilité. Cependant, depuis un certain temps, les mutations climatiques, socio-économiques et les conditions d’une urbanisation accélérée imposent de plus en plus des changements dans la règle de gestion des élevages. -
Elevage camelin au Niger : référentiel zootechnique et sanitaire
Ce guide présente les résultats issus d'un suivi des troupeaux camelins au Niger durant plusieurs années -
L’élevage camelin, un apport important dans la lutte contre la pauvreté au Niger
Présentation de données de synthèse sur l'élevage camelin au Niger -
# Dossier photographique : Production de compost à Bartchawel Kaina
Les producteurs et productrices de Bartchawel Kaina ,commune rurale de Hamdalaye (Kollo) se sont organisés en Société Coopérative (SCOOP) pour produire du compost. Le compost une fois prêt est séchés et mis en sacs et stocker dans une maison servant de magasin en attendant la décision de l'Assemblée Générale . -
L'élevage des bovins, ovins, caprins au Niger
Les grandes régions d'élevage sont la zone pastorale au nord la zone centrale ou intermédiaire et la zone Sud ou agricole (figure 1.4.). L 1 élevage est conduit sous divers modes représentés par le nomadisme, la transhumance, 1;61evage sédentaire et l'élevage amélioré. Les principales espèces exploitées sont les bovins; ovins; caprins, camelins~ équins et asins (figure 1.5. et Tableau 1.1.). -
Production de matière organique au Sud Mali : Techniques paysannes et vulgarisation
Etude permettant le recueil des techniques de production de compost, ainsi que les outils de vulgarisation utilisés par les services d'encadrement dans le sud du Mali. -
Manuel de l'apprenant : Utilisation des micro-organismes du sol pour accroître la productivité agricole
Document dans le domaine de l'utilisation des micro-organismes du sol, et notamment les bactéries promotrices de la croissance des plantes et les champignons mycorhiziens à arbuscules, pour améliorer la productivité agricole tout en améliorant la santé des sols. -
Fabrication et utilisation du compost en fosse
Fiche technique sur la fabrication du compost en fosse tirée du recueil des fiches techniques en gestion des ressources naturelles et des productions agro-sylvo-pastorales. -
Promotion de la technique de compostage aérien au niveau de l'exploitation maraichère
Fiche technique portant sur la réalisation et l'utilisation de compost aérien, à destination de maraichers nigériens. -
Les micro-organismes efficaces - Compilation de documents et témoignages cubains sur le fonctionnement, la production artisanale et l'usage de microorganismes efficaces en milieu paysan
Document sur la fabrication et l'utilisation de micro-organismes bénéfiques, en milieu paysan -
Note sur la visite des parcs d’élevage « Garké » de la ville de Zinder
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) et le Collectif des Associations Pastorales du Niger (CAPAN) de Zinder ont effectué les 25 et 26 juillet 2018, la visite de 5 Garké dans la commune urbaine de Zinder (carte ci-dessous) afin de comprendre leur mode de fonctionnement et d’évaluer leur disponible en lait cru en vue d’une mise en relation avec la laiterie Darido qui va démarrer ses activités. Les Garké, ou parcs, sont des espaces mis à la disposition des associations d’éleveurs des quartiers de Zinder par la mairie pour y abriter les bovins des riverains notamment les vaches laitières. Les animaux sont surveillés, conduits aux pâturages et traits par quelques éleveurs couramment appelés « Makiyayi ». Les Makiyayi sont rémunérés selon des modalités bien définies avec les propriétaires d’animaux du parc. La mairie, quant à elle, ne perçoit aucune taxe au niveau des Garké. -
Promouvoir le lait local au Sahel
La filière lait local au Niger est en changement : de plus en plus d’éleveurs commercialisent régulièrement des quantités importantes de lait cru, les industriels semblent s’intéresser davantage au lait cru même si leur matière première reste majoritairement de la poudre importée.
Dans ce contexte, les centres de collecte ou les mini-laiteries peuvent jouer un rôle essentiel dans le développement de la filière lait local. Mais quelles différences entre ces deux types d’unités laitières ? -
Les triplés d’Aguié, une vache donne naissance à trois veaux lors de son premier vêlage
Événement inédit dans la région de Maradi, Commune d’Aguié, plus précisément dans le village de Gamji Saboua Peulh, personne n’avait encore vu cela dans la zone, une vache donne naissance à trois nouveaux nés, un veau et deux velles. Deux mois après leur naissance, les trois veaux se portent bien.
Cette naissance multiple fait suite à une insémination artificielle réalisée dans le cadre du Programme National d’Amélioration Génétique (PNAG) du Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage. -
Pratiques d’élevage et indicateurs morphométriques de performance laitière chez les éleveurs de bovins Kouri au Niger
Dans la région de Diffa au Niger, une enquête a été conduite dans 140 exploitations, afin d’analyser les pratiques d’élevage et les performances laitières des bovins de race Kouri. Par ailleurs, les traits morphométriques indicateurs de performance laitière chez les éleveurs ont été documentés. Les éleveurs étaient des sédentaires et les troupeaux de taille moyenne pour la majorité (36 ± 30 têtes par exploitation). Chez les vaches ayant eu les plus récentes lactations complètes, la production laitière par vache a été en moyenne de 2,7 ± 1,4 litres par jour pour une durée moyenne de lactation de 7,2 ± 2,8 mois. Chez les vaches considérées comme les meilleures laitières, la production de lait par vache a été de 4,2 ± 1,5 litres par jour pour une durée moyenne de lactation de 8,9 ± 2,7 mois. -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande / Embouche bovine
L’embouche est une technique d’élevage intensif d’engraissement, conduite par les agriculteurs en fin des récoltes sur des animaux maigres entretenus en semi-liberté ou en stabulation totale dans les concessions et/ou dans des fermes. Les animaux sont le plus souvent sous abris et l’abreuvement se fait à volonté. Elle vise principalement la production de viande dans un temps relativement court.
L’alimentation des animaux est principalement basée sur l’utilisation des résidus de récoltes, la paille de brousse, des aliments concentrés (son de céréales) et des sous-produits agro-industriels (tourteaux de coton…).
Le fumier produit sert à la fertilisation des champs. Il existe plusieurs types d’embouche dont l’embouche commerciale, l’embouche paysanne et l’embouche industrielle. -
Fiches Maladies Animales Prioritaires – Mallette Pédagogique Santé Animale PRAPS
Les Fiches Maladies Animales Prioritaires de reconnaissance de 27 maladies et syndromes contenues dans le M.U.P.S.A sont également proposées en édition indépendante. Chacune d’entre elles propose un résumé clair, pratique et illustré pour optimiser la reconnaissance des signes cliniques des maladies animales prioritaires du Sahel et les conduites à tenir face à celles-ci par le personnel de santé animale.
Ces fiches ont été conçues et développées par plusieurs vétérinaires et scientifiques du Cirad - UMR ASTRE et des praticiens de terrain, dans le cadre du Projet PRAPS, projet mis en œuvre par l’OIE dans 6 pays Sahéliens. -
Fertilisation des cultures maraîchères
Dans ce guide on parle de la fertilisation et du but principal des plantes, qui est de remplacer les éléments nutritifs soustraits au sol et exportés avec les récoltes, ainsi que de compenser les pertes d’éléments nutritifs occasionnées par ailleurs. Une fertilisation répondant aux besoins des cultures constitue la base d’une production durable de légumes de qualité (Finck 1979). Le développement qualitatif dépend impérativement de la disponibilité de chaque élément nutritif en quantité optimale, tout au long de la culture. -
Note technique - Le ranching en Afrique de l’Ouest : Quelles questions se poser ?
Alors que plusieurs pays ouest-africains affichent leur volonté de promouvoir l’implantation de ranchs d’élevage sur leur territoire, la question fait de plus en plus débat. Symbole pour certains d’un élevage moderne et hautement performant, le ranching reste, pour d’autres, un sujet d’inquiétudes et d’interrogations : de quoi s’agit-il exactement ? -
Evaluation socio-économique du potentiel de diffusion du zébu Azawak sélectionné au Niger
Le zébu Azawak est en sélection à la station de Toukounous depuis 1954, la multiplication étant assurée dans les centres secondaires de multiplication de bétail de Fako et Ibécétane. Actuellement, cette sélection a obtenu des progrès génétiques substantiels, cette race présente de très bonnes aptitudes laitières (10 litres de lait par jour en station) et bouchères (550 kg en station). Depuis quelques années, l’amélioration des autres races bovines locales privilégie le croisement avec le zébu Azawak par l’insémination artificielle ou la monte naturelle.
La présente thèse contribue à l’évaluation du potentiel de diffusion du zébu Azawak dans les systèmes d’élevage traditionnels au Niger par l’étude (1) des motifs d’élevage et critères en usage pour la sélection des reproducteurs de zébu Azawak dans les systèmes d’élevage traditionnels (correspondant à une caractérisation du contexte de l’amélioration), (2) des préférences des éleveurs et de leurs dispositions à payer pour les qualités recherchées (correspondant à une caractérisation de la demande en amélioration génétique), (3) des gains attendus de la sélection et de la diffusion (correspondant à une caractérisation de l’offre en amélioration génétique) et (4) de la perception, parmi les bénéficiaires-cibles et les autres acteurs du système d’innovation, des priorités, voies et moyens de l’amélioration génétique bovine au Niger (correspondant à une rencontre entre l’offre et la demande). -
Améliorer l’accès des éleveurs à une alimentation du bétail de qualité pour augmenter la production laitière dans les Pays sahéliens d’Afrique de l’Ouest
Réfléchir aux possibles voies d’amélioration de l’alimentation du bétail dans les pays sahéliens implique de dépasser des visions technicistes simplistes et d’étudier les systèmes d’élevage dans la complexité de leurs relations à l’environnement et aux autres systèmes de production. Au-delà de politiques agricoles favorables à une artificialisation des conditions d’élevage peu adaptées aux caractéristiques de ces milieux, l’enjeu se situe dans une meilleure compréhension et reconnaissance de la place de l’élevage dans les territoires et dans l’identification des leviers à actionner pour valoriser une diversité de ressources locales dans l’alimentation animale. -
Politique commerciale, politiques fiscales et filières lait en Afrique de l’Ouest - Analyse de cinq scénarios possibles d’évolution des politiques dans quatre pays de la région (Burkina Faso, Mali, Niger, Sénégal)
Le 1er juin 2018, de nombreuses organisations intervenant sur l’ensemble de la région ouest-africaine et d’organisations nationales du Burkina Faso, du Sénégal, du Mali, de la Mauritanie, du Niger et du Tchad (organisations agricoles, d’éleveurs, d’industriels et interprofessionnelles, ONG, centres de recherche et autres)1 lançaient la campagne « Mon lait est local ». Cette campagne vise à défendre et à promouvoir le lait local en Afrique de l’Ouest et au Tchad dans un contexte où les importations de produits laitiers et de mélanges alimentaires se substituant au lait ne cessent de progresser.
En effet, le lait et les filières laitières jouent un rôle essentiel dans le développement socio-économique et la sécurité alimentaire de nombreux territoires pastoraux et agro-pastoraux de la région. Le lait de vache représente une partie significative des revenus issus de l’élevage dans les pays sahéliens. En Afrique de l'Ouest, le pastoralisme et l’agropastoralisme font vivre et génèrent des revenus et de la sécurité alimentaire pour plus de 48 millions de pasteurs et agro-pasteurs. -
Caractérisation morpho-biométrique du zébu Djelli du Niger
Le zébu peul (zébu Djelli) est l’une des races bovines qui constitue les cinq groupes (5) du cheptel bovin du Niger. Il est très apprécié de par ses aptitudes zootechniques, mais son élevage est plus localisé dans les départements et communes riveraines du fleuve Niger, notamment dans la région de Tillabéry. Ce travail vise l’étude des caractères phénotypiques de cette race du fait que dans le contexte nigérien, le zébu peul a bénéficié de peu d’étude à l’image des autres races du pays. A cet effet, des données morphobiométriques ont été collectées en 2017 dans quatre (4) départements de la région de Tillabéry et dans la zone péri-urbaine de Niamey sur 289 bovins adultes (254 femelles et 35 mâles) âgés de 3 à 19 ans. -
La place de la production laitière en zone sahélienne du Niger
Le Sahel est la zone semi-aride de l'Afrique tropicale bordant le Sahara vers le sud dont elle subit l'influence climatique. Cette zone s'étend sur une largeur de 200 à 300 km de l'Atlantique à l'Océan Indien, et va des isohyètes de 150 à 200 mm au nord et 600 à 700 mm au sud en années normales. -
Manuel d'inspection des engrais au Niger
La mission du personnel d'inspection engagé dans le processus d'exécution du règlement commun de la CEDEAO sur les engrais au Niger est de veiller à ce que le client reçoive un produit qui respecte les garanties en termes d'étiquetage et d'analyse. Un programme d'exécution énergique, trivialement mais fermement géré, constitue la meilleure garantie de succès de cette mission. -
Effets de la fertilisation à base de la biomasse du Sida cordifolia L. sur les performances agronomiques et la rentabilité économique de la tomate (Lycopersicum esculentum Mill.) en culture irriguée
Publication scientifique, sur l'effet de la fertilisation organique de type "engrais vert" sur la culture des tomates en irrigué. -
Projet de réhabilitation du périmètre laitier de Dembou
Au Niger, environ 20% de la population sont impliquées dans la production animale et 80% de totale exerçant des activités liées à des degrés divers au secteur de l'élevage qui occupe actuellement le deuxième rang après l'uranium dans l'économie. -
Critères de sélection des bovins laitiers par les éleveurs autour de Niamey au Niger
Une enquête portant sur 164 éleveurs de bovins laitiers de la communauté urbaine de Niamey (Niger) a été menée pour identifier les paramètres à considérer localement lors de jugement zootechnique. Les interviewés, principalement des hommes (57,0 p. 100), illettrés (81,1 p. 100), appartenaient majoritairement aux ethnies Peul (56,1 p. 100) et Zarma (34,8 p. 100). L’étude a concerné 1 635 zébus dont 26,5 p. 100 étaient des vaches en lactation et 28,8 p. 100 des veaux. A l’achat des animaux, les éleveurs préféraient les vaches en lactation (41,0 p. 100), les génisses (33,5 p. 100), puis les mâles (23,9 p. 100). Le premier critère par les éleveurs pour choisir les bovins était la race : Djelli (66,4 p. 100), Azawak (12,2 p. 100) et Bororo (5,3 p. 100). Par ailleurs, les éleveurs identifiaient d’autres critères secondaires, tels que la robe (50,6 p. 100), la forme des mamelles (34,8 p. 100), l’état corporel de l’animal (8,5 p. 100), les testicules (2,4 p. 100) et les cornes (2,4 p. 100). -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (3)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Entreprise de laiterie pastorale » et se déclinent comme suit : Production du lait - Transformation du lait (en fromage) - Commercialisation du lait et de ses sous-produits -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (4)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Entreprise d’embouche en milieu pastoral » et se déclinent comme suit : Embouche bovine - Embouche ovine -Commercialisation des animaux embouchés. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 2 : Gestion améliorée des troupeaux - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 2.1 : maladies courantes et diverses - Le premier niveau de la formation du « Vulgarisateur en santé et production animale » a permis aux apprenants de reconnaitre les maladies courantes à travers leurs symptômes. Ce fut également l’occasion pour eux, d’aborder de manière sommaire, les moyens qui permettent de lutter contre ces maladies. Ce deuxième niveau de formation qui vise le renforcement des connaissances et compétences de ces apprenants sur les maladies courantes est axé sur leurs modes de transmission, de contamination et de propagation, sur la prophylaxie médicale de chacune d’elles et sur leurs conséquences négatives.
Module 2.2 : gestion de la reproduction - Dans ce chapitre intitulé gestion de la reproduction certains contenus développé au niveau 1 seront approfondi ou complétés. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 3 : Règlementation de la transhumance - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 3.1 : maladies réglementées par la transhumance - Ce deuxième niveau de formation qui vise le renforcement des connaissances et compétences de ces apprenants sur les maladies réglementées par la transhumance est axé sur leurs modes de transmission, de contamination et de propagation, sur la prophylaxie médicale de chacune d’elles et sur leurs conséquences négatives.
Module 3.2 : prévention et gestion des conflits - L’objectif des exercices qui suivent est donc d’apporter aux apprenants des connaissances leur permettant de définir un conflit, d’expliquer ses différentes phases et ses principales causes. Ils pourront également expliquer les mécanismes de prévention et de résolution d’un conflit. -
Rapport annuel 2019 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2019, le cheptel est estimé à 50.528.787 têtes toutes espèces confondues soit 19.921.981 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 400 milliards de francs CFA. -
Référentiel technico-économique de l'embouche bovine : 1er édition 2011
L’embouche bovine est une activité prévue par le PRODEX pour booster la production de viande de qualité et compétitive pour répondre à la forte demande nationale, sous régionale et internationale de viande de bovin d’origine nigérienne.Le potentiel est énorme, puisque le Niger compte en 2009 un important cheptel bovin estimé à 9 261 642 en 2009. -
Amélioration de la conduite alimentaire des troupeaux allaitants
L'élevage laitier en dépit de sa proximité de la ville et des dépenses importantes engendrées par l'alimentation, est confronté à un faible niveau de performance de production. Ceci est du à plusieurs raisons, à savoir notamment le bas niveau nutritionnel, le faible potentiel génétique des animaux, la non maitrise de santé animale et le faible niveau technique des éleveurs. -
Production fourragère en zone tropicale et conseils aux éleveurs : production fourragère en zone tropicale et conseils aux éleveurs
Depuis longtemps, des tentatives d'introduction de plantes fourragères cultivées ont été faites dans de nombreux pays d'Afrique tropicale. Si les résultats sont satisfaisants, et même parfois encourageants en station (Burkina-Faso : Farako-ba, Banankélédaga, Mali : Sotuba, Côte d'Ivoire : Bouaké, Sénégal : Sangalkam, etc.) la vulgarisation pose problèmes et rares sont les villages où l'on peut observer des cultures fourragères en place et en bon état. Des obstacles existent, qu'il faut connaître avant de tenter l'introduction d'une culture fourragère. -
Comment élever au mieux mes animaux?
La détention des animaux de ferme de toutes espèces en leur
donnant de bonnes conditions de vie favorise leur bien-être et
leur santé sans recours aux traitement chimiques. -
Élevage
L’élevage animal bio implique que les animaux soient détenus de manière naturelle et favorisant leur bien-être de même que leur santé. Cela ne signifie pas que les animaux doivent être détenus dans un environnement entièrement naturel, mais qu’il faut leur offrir la possibilité d’exprimer des comportements et un mode de vie naturels. Chaque espèce animale possède des organes spécialisés qui leur donnent des capacités fonctionnelles et des caractéristiques spécifiques ainsi qu’un mode de vie particulier. Ces différences sont intrinsèques, immuables, et il convient de les respecter. -
Méthode de compostage en fosses multiples
L'affiche démontre les méthodes de compostage en fosses multiples. -
Méthode de compostage en fosse unique
Sur ce poster, il est démontré les techniques de compostage en fosse unique. -
Méthode de compostage en tas
L'affiche démontre la méthode de compostage en tas. -
Fertilisation : modes d'utilisation de l'UREE et du NPK sur les cultures irriguées
L'utilisation de l'engrais nécessite un savoir faire rigoureux pour éviter d’endommager les cultures, c'est que cette affiche démontre à travers plusieurs illustrations. -
Husa'ar yin takin tsime cikin rame daya
L'affiche démontre les méthodes de compostage en fosses multiples (préparation du sol, remplissage des fosses, entretien). -
Effet de la fertilisation azotée et phosphorée sur le développement de la Panachure jaune en riziculture aquatique en Côte d’Ivoire
La crise mondiale du riz survenue en 2008 a montré l’impérative nécessité pour les pays tributaires des importations comme la Côte d’Ivoire, d’assurer leur autosuffisance. La fertilisation minérale figure parmi les cinq axes stratégiques définis pour l’accroissement de la production rizicole en Côte d’Ivoire. Sachant l’effet stimulateur de l’engrais azoté sur le développement de certaines maladies telle que la Pyriculariose du riz, un essai a été conduit dans le but de savoir l’influence d’une application optimale de l’azote sur l’épidémie de la Panachure jaune du riz ou Rice Yellow Mottle Virus (RYMV). L’étude a été réalisée selon un dispositif expérimental en SPLIT-PLOT comportant quatre niveaux d’azote (0 kg N Ha-1, 30 kg N Ha-1, 60 kg N Ha-1, 120 kg N Ha-1), trois niveaux de phosphore (0 kg P Ha-1, 13 kg P Ha-1, 26 kg N Ha-1) et 10 génotypes de riz irrigué. Les résultats ont montré que le phosphore et l’interaction NxP n’ont aucun effet significatif sur l’épidémie de RYMV. A l’opposé, les analyses ont mis en évidence un effet significatif de l’azote sur l’incidence de la Panachure jaune à des doses comprises entre 0 et 30 Kg N Ha-1. -
La fertilisation organique des cultures : les bases
L’agriculture biologique se développe depuis plus de 30 ans au Québec. Guidée au départ par des principes relativement théoriques et venus des expériences américaines et européennes de l’agriculture biologique, les pratiques de fertilisation des cultures ont évolué en fonction des réalités du terrain et des résultats obtenus à travers les années par les producteurs d’ici. Grâce aux travaux et expérimentations menés pendant ces 30 ans par les producteurs et productrices, le plus souvent avec très peu de moyens, un certain nombre d’ajustements ont été effectués afin d’améliorer les pratiques de fertilisation en régie biologique. -
Fertilisation raisonnée en arboriculture fruitière
Ce guide est destiné à toutes les personnes désirant réaliser une fertilisation qui optimise la qualité de la production et le résultat économique du verger, tout en préservant l’environnement. Une première étape, indispensable pour aboutir à ce résultat, réside dans une bonne connaissance des besoins des différentes espèces fruitières. Comment se nourrit l’arbre ? Quels sont les éléments minéraux nécessaires et en quelles quantités ? À quels moments sont-ils prélevés ? L'observation du fonctionnement du sol est la base de la nutrition des arbres fruitiers. Cela passe par une observation indispensable du profil racinaire des arbres, une bonne préparation du sol avant plantation et une gestion de l'alimentation hydrique adaptée au sol. Pour faciliter le raisonnement différents outils sont actuellement disponibles. L’analyse de sol guide sur les fumures de correction à apporter. Le reliquat azoté permet un pilotage en temps réel de la fumure azotée du verger. Enfin l’analyse foliaire permet de valider le pilotage de la fertilisation réalisé à partir de l’analyse de sol et du reliquat azoté. -
Des produits « miracles » sont proposés aux producteurs, de quoi s’agit-il ?
Pour faire simple, un biostimulant va stimuler les processus physiologiques de la plante avec un effet sur le rendement, indépendamment de son apport nutritionnel. Par exemple, un produit qui va favoriser l’absorption des minéraux, ou améliorer la fertilité du pollen, ou diminuer les conséquences du stress hydrique. -
Guide d'information sur le commerce des engrais en Afrique de l'Ouest
Ce guide contient les dernières statistiques nationales sur la production, le commerce et l’utilisation des engrais, des cartes et des profils actualisés des installations de production et de mélange d’engrais, ainsi que les procédures et les coûts logistiques qui contribuent à la formation du prix des engrais du port à la ferme. Pour encourager l’utilisation judicieuse d’engrais de qualité, de nouveaux laboratoires accrédités s’appuient sur les réglementations régionales des engrais et les normes d’étiquetage et d’emballage applicables en Afrique de l’ouest, tandis que la diffusion de paquets d’intrants agricoles adaptés aux différentes zones agroécologiques favorise leur utilisation optimale par les producteurs ouest-africains. -
L'élevage au Niger
Le Niger a une économie essentiellement basée sur l'agriculture et surtout l'élevage, qui représente plus de 35% du PIB afférent au secteur rural et constitue la seconde recette d'exportation (17,8% en 1992) derrière l'uranium. La valeur du capital-bétail est évalué à 400 milliards de francs CFA. -
Influence de la rotation culturale avec apport de matières organiques exogènes et d’une fertilisation minérale sur les nématodes phytoparasites en culture du sorgho au Centre Ouest du Burkina Faso
L’infestation du sol et des racines du sorgho (sorghum bicolor (L.) Moench) par les nématodes phytoparasites a été étudiée en 2008 sur un essai agricole à l’Ouest du Burkina Faso. Cet essai agricole est représentatif de la production du sorgho avec utilisation de différentes pratiques agricoles incluant la rotation culturale, l’apport de matières organiques exogènes et une fertilisation minérale. L’objectif était de déterminer l’effet de ces pratiques sur les taux d’infestation du sol et des racines par les nématodes. Les nématodes du sol ont été extraits selon la méthode de « l’élutriateur » de Seinhorst et ceux des racines selon la méthode de « l’asperseur » de Seinhorst. Le sol et les racines du sorgho ont été plus infestés par les nématodes dans la monoculture de sorgho par rapport aux rotations sorgho – niébé et sorgho – coton. -
L’influence des fertilisants organiques liquides D.I.GROW et inorganiques NPK 17-17-17 + Urée sur le rendement et la rentabilité de la culture du maïs à Ngandajika
Le maïs (Zea mays L.) est l’aliment de base le plus important en Afrique subsaharienne (Naitormmbaide M. et al,. 2015). En République Démocratique du Congo (RD Congo), il est après le manioc, la principale denrée alimentaire produite, loin devant le riz et y constitue la principale céréale (Jean P. C.et al., 2012 Reafor, 2009). Le maïs constitue la base de la ration alimentaire des provinces du sud qui représentent plus des deux-tiers de la consommation nationale annuelle (Katanga 34%, Kasaï oriental 18% et le Kasaï occidental 16%). -
Opération de déstockage au Niger : leçons apprises en 2010
Avec 32 millions de têtes toutes espèces confondues, le Niger est sans conteste un pays d’élevage. Cette activité, outre sa forte contribution à l’économie nationale, participe significativement aux stratégies de lutte contre la pauvreté au sein des ménages. Toutefois, les sécheresses récurrentes qui sévissent au Niger constituent un risque majeur pour le bétail. Les années de sécheresse se traduisent par des déficits fourragers dont les conséquences sur le cheptel sont les mortalités, les chutes de poids et de production, les avortements. -
Pratiques d’éleveurs et résultats économiques d’élevage dans les exploitations urbaines et périurbaines de Niamey
Cette étude a été conduite afin de caractériser les pratiques d’élevages dans la communauté urbaine de Niamey. Il a été réalisé une enquête transversale à l’issue de laquelle 344 éleveurs ont été enquêtés dans 27 quartiers et 9 villages agricoles. Les résultats ont montré que la pratique d’élevage repose le plus souvent sur la passion (50,19%) et l’héritage (45,65%) respectivement en milieu urbain et périurbain. L’élevage ovin prédomine et l’allotement est quasi inexistant. Les animaux sont majoritairement élevés soit dans des habitats couverts en matériaux provisoires, soit sans habitat. La main d’œuvre utilisée est principalement familiale (86,51%) en milieu urbain et (58,06%) en périurbain. -
Effet de l'adoption de la technique du microdosage d'engrais sur la disponibilité et l'accessibilité céréalière des exploitations agricole à base de mil et de sorgho au Mali
Cette étude examine l’effet de l’adoption de la technique de microdosage d’engrais sur l’autosuffisance céréalière des exploitations agricoles à base de mil et de sorgho au Mali. Des données ont été collectées au cours de deux campagnes agricoles, à partir des enquêtes auprès de 108 exploitations agricoles. Les résultats montrent que l’application de la technique de microdosage par les producteurs sur les cultures de mil et de sorgho permet d’obtenir des rendements plus élevés comparativement à l’ancienne pratique des producteurs. Les résultats montrent aussi que l’adoption de la technique à grande échelle par les agriculteurs contribue l’amélioration de la sécurité alimentaire par la couverture des besoins céréaliers des exploitations agricoles. -
Une utilisation efficace de la technique de microdose d’engrais
La technique de la microdose d'engrais comporte deux variante. La première qui consiste à l'apport mécanique d'engrais séparé de la semence est de plus en plus abandonnée. La deuxième qui consiste à placer l'engrais dans le même poquet que la semence lors des semis est actuellement plus vulgarisée. -
Performances de reproduction et de production laitière de la vache taurine de race Kouri au Niger
Le kouri est une race taurine bien adaptée à l'environnement du Lac Tchad. Dans ces zones, L’élevage du kouri représente une contribution essentielle aux moyens d'existence des ménages. Une enquête a été conduite dans 140 ménages de la région de Diffa au Niger, en vue d’analyser les pratiques d’élevage en lien avec les performances de production et la conservation de ce taurin. La caractérisation zootechnique de la race a eu lieu au centre de Sayam à Diffa. -
Simulation de dynamiques de cheptels bovins après une sécheresse au Sahel en fonction des types d'exploitation pastorales : cas du Ferlo au Sénégal
L’étude suivante s’inscrit dans le cadre du projet ANR ECLIS (Elevage Climat Sociétés – mesure de la vulnérabilité des élevages pastoraux) mis en œuvre sur 4 communes au Sénégal, au Mali, au Niger et au Bénin. L’objectif de la tache ELEV d’ECLIS dans laquelle s’inscrit ce stage est de caractériser le rôle de l’élevage dans la réduction de la vulnérabilité des ménages ruraux. -
Étude des paramètres démographique du cheptel bovin des élevages péri-urbains de la ville de Bobo-Dioulasso
La présente étude a eu pour objectif principal, de déterminer les paramètres démographiques du cheptel bovin de la zone péri-urbaine de Bobo-Dioulasso. Elle a été menée auprès de soixante-quatre (64) éleveurs composés majoritairement de peulhs. La méthode d’enquête des douze derniers mois (12mo) a été utilisée. Cette méthode permet d’estimer les évènements démographiques survenus dans un troupeau au cours des douze derniers mois précédant l’enquête. Les enquêtes se sont déroulées du 08 Décembre 2016 au 23 Janvier 2017 dans les villages de Bama, de Nasso, de Diaradougou, de Koumbia et au campement des éleveurs de l’association Benkadi du secteur 21 de Bobo-Dioulasso. -
Module 6 : épandage de l'urée
L'épandage de l'urée permet de maintenir la croissance de la plante, de permettre une meilleure formation des épis, apporter à la plante des nutriments supplémentaires pour sa croissance surtout dans le cas du mais. -
Phosphate : la recherche insiste depuis 40 ans sur ce facteur limitant des cultures pluviales
Cette note a été rédigée à partir de plusieurs textes relatant des résultats ou des rencontres des chercheurs de l’Afrique de l’Ouest et/ou du Niger. Le RECA pense que ces travaux ne doivent pas être oubliés au moment où différentes équipes travaillent sur les « technologies disponibles et diffusables » pour améliorer la productivité des cultures, y compris fourragères. -
Application à la volée de l'engrais phosphaté soluble ou naturel sur les cultures pluviales
Cette fiche technique édifie de manière synthétique les objectifs de la fertilisation minérale et ensuite les performances de son usage. -
Les boutiques d'intrants agricoles
La présente fiche de bonne pratique s'adresse aux acteurs concernés par les boutiques d'intrants, notamment les organisations paysannes faîtières et de base, les producteurs et productrices, ainsi que les partenaires et autres acteurs du développement. L'objectif de cette fiche est de décrire la boutique d'intrants en tant que bonne pratique au Niger et d'encourager les organisations paysannes et acteurs du développement à adopter ce mode de distribution d'intrants afin d'en garantir une meilleure disponibilité pour les producteurs et productrices. -
La commande groupée d’intrants agricoles : un mécanisme d’approvisionnement
La présente fiche s’adresse à tous les acteurs concernés par le processus de commande groupée, notamment les faîtières d’organisations paysannes. -
Guide pratique sur les boutiques d'intrants
Ce livret a été développé sur la base du manuel de gestion de boutiques d’intrants (BI) à caractère coopératif (manuel du gérant élaboré en 2006 par le projet Intrants/FAO). Un atelier participatif de révision de ce manuel, organisé en mars 2010, a proposé de le présenter sous forme de trois livrets illustrés pour faciliter sa compréhension. -
La fourniture d'intrants agricoles
My.COOP signifie en anglais « Managing your agricultural cooperative », c’est-à-dire « Gérer votre coopérative agricole ». La trousse de formation My.COOP a vocation à renforcer la gestion des coopératives agricoles pour leur permettre d’offrir à leurs membres des services de grande qualité, efficients et efficaces. -
Effet comparé de la fertilisation à base de biochar, engrais organique et engrais chimique sur les éléments minéraux et la production de l’oignon (Allium cepa L.)
Le biochar tient son nom du terme « bio » en référence à des résidus organiques et « char » pour charbon. En effet, ce fertilisant est une autre forme d’engrais organique qui contient des éléments minéraux nécessaires pour l’enrichissement du sol. Il est produit à partir des résidus des cultures, de biomasse, des mauvaises herbes, des déjections animales ou de forêt (bois) à travers une méthode de pyrolyse. Afin de le différencier du charbon de bois, la définition adoptée par International Biochar Initiative (IBI) spécifie que, la finalité de cette substance est son utilisation en tant qu’amendement pour les sols (Sohi et al., 2010). Le biochar est un matériel qui se présente sous forme de fragments noirs, légers, poreux, sec et facile à transporter. -
Le guano, fertilisant organique naturel alternatif au fumier, testé sur la production de la laitue verte (lactuca sativa L.) dans l’oasis de Balla (département de Gouré), Zinder, Niger
Au Niger Est, la faible disponibilité sur les marchés ruraux, la cherté et le faible pouvoir d’achat des paysans limitent l’application des engrais minéraux. L’objectif de cette étude est l’évaluation de l’effet du guano sur la production de la laitue. Le dispositif expérimental est un bloc complet randomisé avec dix-sept traitements issus de la combinaison entre 4 doses de guano, 2 doses de fumier et 2 doses d’engrais en trois (3) répétitions. Les paramètres étudiés portent sur les diamètres de pomme, la hauteur des parties aériennes, le développement foliaire et le rendement. Les résultats obtenus révèlent que le guano a un effet significatif sur la production de laitue. A la dose optimale 3,5 t/ha, le guano a permis d’augmenter la production de la laitue de 833 et 628% par rapport au témoin et aux parcelles ayant reçues uniquement la fumure minérale. La combinaison guano et fumure organique a permis d’accroitre le rendement par rapport aux parcelles fertilisées avec le guano seulement, tandis que l’apport de l’engrais minéral a un effet dépressif sur le rendement. Pour assurer une bonne production de laitue dans la cuvette de Balla, il serait préférable d’utiliser la combinaison guano (3,5 t/ha) avec du fumier. La préservation de la population de chauves-souris permettrait d’assurer la durabilité de la filière guano. -
Efficacité agronomique du compostage à base de la biomasse du << neem>> et de l'anarcade sur des cultures maraichères dans la zone des Niayes au Sénégal
Dans la zone des Niayes au Sénégal, les sols sont pauvres en matières organiques et en éléments nutritifs nécessaires aux plantes. Les engrais chimiques utilisés pour améliorer les rendements ont engendré une forte pollution des sols et de la nappe phréatique. L’objectif de cette étude est d’évaluer la valeur agronomique du compost fabriqué à base des feuilles de neem et d’anacarde, de fiente de volaille et de la cendre de bois. Le compost obtenu présente un rapport C/N de 15,49 et des teneurs en N - P - K de 9,1, 14,8 et 7,3 mg/kg, respectivement. Les différentes doses du compost testées sur des cultures maraichères ont révélé des performances agronomiques meilleures par rapport aux témoins. La dose T3 (30 t/ha) a induit les meilleurs rendements pour la tomate (27,213 t/ha) et l’oignon (105,263 t/ha). Pour le chou et la pomme de terre, la dose T1 (10 t/ha) a permis d’obtenir les meilleurs rendements (144,533 t/ha et 55,163 t/ha, respectivement). Par contre pour le poivron, la dose T2 (20 t/ha) a favorisé les meilleurs rendements (32,534 t/ha) avec un poids moyen (81,748g) et un nombre de fruits/récolte considérablement plus élevé. Ce compost pourrait constituer une alternative réelle à l’utilisation abusive de l’engrais minéral dans la zone agricole des Niayes. -
Du compost enrichi pour des rendements plus élevés
En Afrique orientale, la baisse de la fertilité des sols a entrainé une chute des rendements des cultures dans la plupart des petits exploitants agricoles, menant à l'insécurité alimentaire et à une pauvreté accrue. A travers toute la région, les sols sont généralement déficients en azote et phosphore, qui sont des éléments indispensables pour une bonne croissance des plantes. -
Effets du compost enrichi de l’urine humaine sur le rendement de la pomme de terre (MANDOLA) dans la Commune Urbaine de Faranah/République de Guinée
Le faible niveau d’apport des engrais minéraux par les producteurs dus son prix exorbitant est l’un des facteurs limitant la production de la pomme de terre. Le compost enrichi de l’urine constitue une alternative pour augmenter le rendement des cultures à faible coût. L’objectif principal de ce travail était d’évaluer l’effet des doses du compost enrichi de l’urine humaine sur le rendement de la pomme de terre (MANDOLA). Les doses du compost enrichi par l’urine humaine utilisées sont : D0=0t/ha (Témoin) ; D1=15t /ha (240g /poquet) ; D2=30t /ha (480g/poquet) ; D3= 45t /ha (720g/poquet). Les résultats de l’observation phénologique ont montré que les différentes doses appliquées ont eu un effet en réduisant le cycle végétatif de la culture D1 (72 jours), D2 et D3 (70 jours) contre D0 (74 jours). Au vu des résultats d’analyse de variance, le rendement total en tubercules la dose D3 (13,07 t /ha) a été meilleure, suivie de D2 (12,76 t/ha) et D1 (11,98 t/ha) ; le plus faible rendement a été obtenu au niveau du témoin D0 (10,16t/h. -
Sanitized human urine (Oga) as a fertilizer auto-innovation from women farmers in Niger
Poor soil chemical fertility and climate change restrict pearl millet grain yield in Niger Republic. Apart from the seedball technology, which targets majorly early phosphorus supply to the plants, the recommended practices of mineral fertilization and seed treatments (coating and priming) are barely affordable to the local farmers in particular. In the case of female farmers, who usually have chemically infertile farmlands often located far away from their homestead, low pearl millet grain yield can be exacerbated. In quest for a cheap, affordable, and effective solution, we hypothesized that the application of sanitized human urine (Oga), in combination with organic manure (OM) or solely, increases pearl millet panicle yield in women’s fields and on different local soils. In on-farm large-N trials (N = 681) with women farmers in two regions of Niger (Maradi, Tillabery), pearl millet panicle yields were compared between the control (farmer practice), and a combination of Oga and OM in the first and second year, and Oga alone in the third year. Our results showed an average panicle yield increase of about +30%, representing +200 to +300 kg ha−1. Major factors determining the yield effect are season, village, and local soil type. This study shows for the first time that Oga innovation can be used to increase pearl millet panicle yield particularly in the low fertile soils of women’sfarmlands in Niger. Oga innovation is affordable, locally available, and does not pose a risk to resource-poor femalefarmers of Niger.
L’urine humaine aseptisée (Oga) en tant qu’auto-innovation en engrais par les agricultrices du Niger
La faible fertilité chimique du sol et le changement climatique limitent le rendement en grains de mil perlé en République du Niger. Mis à part la technologie des boules de semence, qui cible principalement l’approvisionnement précoce en phosphore des plantes, les pratiques recommandées de fertilisation minérale et de traitement des semences (enrobage et amorçage) sont à peine abordables pour les agriculteurs locaux en particulier. Dans le cas des agricultrices, qui ont généralement des terres agricoles chimiquement infertiles souvent situées loin de leur ferme, le faible rendement en grains de mil perlé peut être exacerbé. À la recherche d’une solution bon marché, abordable et efficace, nous avons émis l’hypothèse que l’application d’urine humaine aseptisée (Oga), en combinaison avec du fumier organique (OM) ou uniquement, augmente le rendement en panicule de mil perlé dans les champs des femmes et sur différents sols locaux. Dans les essais à la ferme avec de grandes N (N = 681) avec des agricultrices dans deux régions du Niger (Maradi, Tillabery), les rendements en panicule de mil perlé ont été comparés entre le contrôle (pratique agricole) et une combinaison d’Oga et d’OM la première et la deuxième année, et d’Oga seul la troisième année. Nos résultats ont montré une augmentation moyenne du rendement en panicule d’environ +30%, représentant +200 à +300 kg ha−1. Les principaux facteurs déterminant l’effet de rendement sont la saison, le village et le type de sol local. Cette étude montre pour la première fois que l’innovation Oga peut être utilisée pour augmenter le rendement en panicule de mil perlé, en particulier dans les sols peu fertiles des terres agricoles des femmes au Niger. L’innovation Oga est abordable, disponible localement et ne pose pas de risque pour les agricultrices nigériennes pauvres en ressources. -
Les phosphates, une richesse pour l'agriculture Ouest africaine : résultats pour le mil et le niébé au Niger
Cette note est tiré du bulletin « Coraf Action n°59 / 2ème trimestre 2011 » dont le titre est : « Les phosphates, une richesse pour l’agriculture Ouest africaine » qui présente les résultats obtenus par ce projet dans chacun des pays. La note présente les résultats du Niger. -
Impact des pratiques de gestion de la fertilité sur les
rendements en mil dans le Fakara (Niger)
En vue de promouvoir l’utilisation par les agriculteurs de pratiques améliorées de gestion de la fertilité des sols, il est essentiel de pouvoir établir préalablement l’impact en conditions réelles de ces pratiques sur les rendements. C’est dans cet objectif qu’un essai en milieu paysan a été mis en place pour une durée de 3 ans dans 3 villages de la région du Fakara, au sud-ouest du pays. L’essai vise principalement la validation de la technique de placement d’engrais au poquet et la caractérisation de l’impact de pratiques indigènes de gestion de la fertilité. Il combine 3 variétés de mil (locale, ICMV IS 89305 et Zatib), 3 niveaux d’application d’engrais (témoin, DAP : phosphate diammonique et DAP + urée) et plusieurs pratiques de gestion des amendements organiques (transport de fumier et parcage) ainsi que leurs effets résiduels (un et deux ans après application). -
Fixation de l'azote chez l'arachide et le niébé en condition de sécheresse pour l'amélioration de la productivité au Sahel
L'identification des variétés d'arachide et niébé tolérantes à la sécheresse et bonne fixatrices d'azote augmenterait leurs productions et celles des céréales associées ou en rotation. Des variétés d'arachide et de niébé ont été évaluées, au champ et en pots, en condition de sècheresse ont réduit la plupart des paramètres étudiés , dont notamment le nombre nodules (40%) et le poids des gousses (30%). -
Effet de la combinaison Régénération Naturelle Assistée (RNA) et microdose d’engrais sur la production du mil (Pennisetum Glaucum (L.) R.Br) dans les zones agro-écologiques du centre-sud du Niger
Cette étude vise à identifier la microdose optimale d’engrais dans les champs de production du mil, où des pratiques de la régénération naturelle assistée (RNA) sont déjà réalisées. L’expérimentation a été conduite dans 26 villages pratiquant la RNA, dont 10 villages dans la zone sahélienne stricte, 10 villages dans la zone sahélo-soudanienne et 6 villages dans la zone nord soudanienne du centre-sud du Niger. Un dispositif en bloc randomisé est installé dans chaque village comportant 5 traitements (RNA; RNA + Fumure organique (F); RNA+F+NPK; RNA + Phosphate naturel de Tahoua (PNT) + F; RNA+PNT) et un témoin suivant les quatre points cardinaux. Les paramètres mesurés sont : la croissance en hauteur, le nombre de talles, les rendements en grains et en paille de mil. Les résultats ont montré que la hauteur moyenne la plus élevée des plants est obtenue pour le traitement RNA+PNT dans la zone sahélienne stricte (283,9±86,2 cm) et le nombre élevé de talles moyens pour le témoin de la zone nord-soudanienne (10,04±3,1). Dans toutes les zones, le traitement RNA+F+NPK a permis d’obtenir les plus grands rendements moyens en grains et en paille de mil. -
Fonctionnement des élevages camelins de la zone périurbaine d’Agadez au Niger : enquête typologique
Le cheptel camelin est tributaire des ressources fourragères des parcours naturels dont le développement est soumis aux aléas de la pluviométrie, très mal repartie dans le temps et l’espace. Pour exploiter ces parcours, l’une des stratégies adoptées par les éleveurs est la mobilité. Cependant, depuis un certain temps, les mutations climatiques, socio-économiques et les conditions d’une urbanisation accélérée imposent de plus en plus des changements dans la règle de gestion des élevages. Le développement à Agadez d’une mini laiterie, dont l’activité principale est centrée essentiellement sur la transformation du lait de chamelle, nécessite la connaissance parfaite du fonctionnement des élevages laitiers qui vont approvisionner cette laiterie. Une enquête a été menée durant deux mois auprès de cent élevages camelins de la zone périurbaine d’Agadez en vue de connaître le fonctionnement des élevages de cette zone. -
Utilisation de la barymétrie pour l’estimation du poids chez le zébu Azawak au Niger
L’objectif de cette étude a été de déterminer des équations barymétriques
applicables au zébu Azawak. Pour cela, des pesées et 12 types de mensurations ont été effectuées chez 343 zébus Azawak pendant trois mois, à la station sahélienne expérimentale de Toukounous au Niger. Les animaux étaient essentiellement jeunes (74 p. 100 avaient au plus deux ans d’âge). Parmi les 12 types de mensurations, trois (le périmètre thoracique, la hauteur au garrot et la longueur scapulo-ischiale) ont été retenues pour établir la barymétrie en raison de leur corrélation avec le poids. La corrélation du poids avec le périmètre thoracique (r = 0,97) ou avec la longueur scapulo-ischiale (r = 0,96) a été plus élevée qu’avec la hauteur au garrot (r = 0,92). -
Perceptions et stratégie paysannes de gestion de la fertilité des sols dans la région de Tillabery de l'ouest du Niger
L’agriculture au Niger est considérée comme une agriculture « minière » en ce sens qu'elle prélève du sol, chaque année, plus d'éléments nutritifs qu'elle n'en retourne (Abdoul-Habou et al., 2016). Cela implique une diminution de la fertilité des sols et des rendements de culture liés à cette exploitation sans restitution des résidus de récolte et la faible utilisation d’engrais (Amonmidé et al., 2019). La baisse de la fertilité des sols constitue alors un des facteurs les plus contraignant pour la production agricole au Niger et de la sous-région Sahélienne en général (Bielders, 2015, Ravonjiarison et al., 2018, Nguessan et al., 2019. -
Influence de la profondeur d’application d’engrais minéraux par microdose sur la densité racinaire et la productivité du mil (Pennisetum glaucum)en zone sahélienne du Niger
Afin d’améliorer l’efficacité de la technique d’application localisée de fertilisants minéraux par micro-dose, un essai a été conduit en 2008 et 2009 à la station de recherche de l’ICRISAT-Sadoré/Niger. L’objectif de l’essai est d’évaluer l’impact de la profondeur d’application d’engrais minéraux par micro-dose sur la densité racinaire et les rendements du mil. Cinq traitements ont été utilisés en 2008 : (i) DAP (2g) á 5 cm, (ii) DAP (2g) á 10 cm, (iii) DAP (4g) á 5 cm, (iv) DAP (4g) á 10 cm et (v) Témoin absolu. En 2009, un sixième traitement DAP 200 kg/ha appliqués à la volée a été ajouté aux traitements précédents. Tous ces traitements ont été organisés dans un dispositif expérimental en bloc randomisé complet répété cinq fois. L’application de 2g de DAP à 10 cm de profondeur a entrainé une augmentation de la densité racinaire de 28% à 38% dans les 40 premiers centimètres du sol et celle du rendement en grain de 19 à 22 % comparé à l’application de la même dose à 5 cm de profondeur. L’augmentation du rendement à 10 cm de profondeur a été accompagnée d’une amélioration de l’efficience de l’eau de 18 à 21 %.