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Aquastat
Aquastat est un base de données de la FAO. AQUASTAT collecte, analyse et diffuse de l'information sur les ressources en eau, leurs utilisations, et la gestion de l'eau agricole, avec un accent sur les pays d'Afrique, d'Asie, d'Amérique Latine et des Caraïbes.
Aquastat présente des données, métadonnées, rapports, profils de pays, profils de bassins hydrographiques, analyses régionales, cartes, tableaux, données spatiales, lignes directrices et autres outils sur:
- les ressources en eau: intérieures, transfrontières, totales
- les utilisations de l'eau: par secteur, par source, utilisation des eaux usées
- l'irrigation: localisation, superficie, typologie, technologie, cultures
- les barrages: localisation, hauteur, capacité, superficie
- les institutions, politiques et législations traitant des ressources en eau.
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Techniques de production des cultures irriguées - cultures fourragères
Élaboré dans le cadre des stratégies, de production fourragère en contre saison pour pallier au problème de disponibilité de fourrage pendant la saison sèche et surtout d’améliorer de façon efficiente les productions animales Le module traite de la typologie des cultures et plantes fourragères ; des caractéristiques des cultures fourragères pratiquées en irrigué au Niger. -
Rapport annuel 2017 : les statistiques du secteur de l’élevage
Le Ministère de l’Élevage est le Ministère chargé de la conception, de l’élaboration, de la mise en oeuvre du suivi et de l’évaluation de la politique nationale en matière de développement de l’élevage, conformément aux orientations définies par le gouvernement. Le Ministère de l’Élevage emploie environ 1500 agents tous grades confondus, répartis dans les différents services aussi bien à Niamey qu’à l’intérieur du pays. -
Cahier du formateur « Techniques de production des cultures irriguées »
Le présent document est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui financier de la Coopération Allemande. Il s’inscrit dans les activités de la composante 2du PromAP: Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation quia pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. Ce manuel est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la petite irrigation. -
Photos culture de luzerne à Tiguirwit Agadez
Initié par Orano avec l’appui de l’Etat, le projet Irhazer est mis en œuvre dans 9 communes de la région d’Agadez et cadre bien avec les objectifs de l’Initiative 3N (Les Nigériens nourrissent les Nigériens) qui vise à transformer radicalement les systèmes de production agricole au Niger afin de mettre les populations rurales à l’abri des affres de la famine et leur garantir des conditions favorables pour une pleine participation à la production nationale et la répartition des revenus. -
Le méteil (mélange fourrager) : un itinéraire technique simple
Cette fiche propose un itinéraire technique pour la culture d'un mélange fourrager -
Produire des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique
La présente fiche porte sur la production des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences fourragères en agriculture biologique : Des techniques en évolution
Ce document porte sur la production des semences fourragères en agriculture biologique -
L’élevage camelin, un apport important dans la lutte contre la pauvreté au Niger
Présentation de données de synthèse sur l'élevage camelin au Niger -
Evaluation à mi-parcours du recensement général de l'agriculture et du cheptel (RGAC)
La mission de la société COWI A/S chargée de réaliser ' l'évaluation à mi-parcours du recensement général de l'agriculture et du cheptel. -
Fiche technique n°001 : culture de la plante fourragère bourgou (Echinochloa stagnina)
La plante Bourgou (Echinochloa stagnina) connue sous le nom de ` « Chégoune Tchadi » en Haoussa est une plante fourragère à haute valeur nutritive pour le bétail (0,53 à 0,69 UF/kg MS). La plante contient de la matière azotée digestible allant de 37g/kg MS à 86 g/kg MS autorisant une croissance moyenne de 260 g/jour variable selon les saisons. D’après les études réalisées au Niger et Mali, le Bourgou est produit avec un rendement moyen de 10 à 25 tonnes/ha. La plante appartient à la famille des Graminées, et est généralement produite sur les sols de vallées (lourds et fertiles). Le Bourgou est repiqué à la manière du riz avec des boutures taillées sur des tiges vigoureuses de 40 cm avec trois à quatre entre-nœuds. Le Bourgou peut aussi être cultivé par semis des graines en ligne ou à la volée avec une norme de 3 kg de graines mélangés avec 10 kg de sable pour un ha. La plante Bourgou a une consommation voisine de celle du riz avec une consommation de 20 000 m3/ha/an et l’irrigation peut se faire d’une manière gravitaire avec une lame d’eau de 15 à 20 cm d’eau une fois par mois en période pluviale/froide et deux fois par mois en période sèche. -
Culture irriguée d’une graminée fourragère : Echinochloa stagnina (bourgou)
Le bourgou est une graminée vivace bien connue des populations riveraines du fleuve Niger où elle est exploitée traditionnellement depuis longtemps -
Aménagement de bourgoutières
Démarré en 2006, le Programme d’Appui au Développement du Secteur Agricole du Burkina Faso phase 2 (PADAB2) sur cofinancement du Burkina Faso et de la Coopération danoise, est un programme qui repose sur les mêmes principes que le Programme d’Appui au Secteur Rural (PASR) au Niger (approche programme, renforcement des acteurs, mise en place d’un fonds d’appui aux microprojets). Au cours de l’année 2008, des fiches techniques sur les principales filières porteuses ont été conçues et proposées aux acteurs du monde rural, puis complétées par des fiches "modèles économiques". Les dernières fiches proposées par le PADAB, en 2011, doivent permettre aux promoteurs (porteurs de projets) de pouvoir disposer de référentiel technico économique le plus complet possible dans le montage et le suivi de leurs projets. -
Manuel de production et d’utilisation des fourrages verts hydroponiques (FVH) au Niger
L’hydroponie, qui est une variante des "cultures hors sol", est une technique qui permet l’obtention de jeunes pousses de céréales indépendamment de la disponibilité de sols cultivables et du type de climat. On obtient un tapis fourrager vert, succulent et frais, prêt à l’utilisation en seulement 7 à 10 jours de production et qui est entièrement consommé par les animaux. La production des fourrages verts par les techniques hydroponiques (FVH) constitue une alternative prometteuse dans l’alimentation des petits ruminants. Cette technique qui est actuellement en expérimentation par l’ONG OXFAM-Niger en partenariat avec l’INRAN dans les communes de Bermo, Gadabedji, Diffa et Foulatari peut se révéler très bénéfique pour les éleveurs des petits ruminants dans les zones pastorales. -
Rapport de formation des producteurs de Bourgou (Echinochloa stagnina)
Le Projet de Développement de l’Elevage dans la Région du Liptako Gourma, dans sa composante Appui à la production animale, a prévu la culture de bourgou pour augmenter la disponibilité et la qualité du fourrage afin de soutenir durablement la production laitière dans la Région de la Communauté Urbaine de Niamey et du Département de Gaya. Pour atteindre cet objectif, le projet a procédé au renforcement des capacités des producteurs par la fourniture de matériels divers, la formation de quinze (15) agents d’élevage chargés de l’encadrement et du suivi et tout récemment, a organisé des séances de formation sur les techniques culturales du bourgou à l’intention de tous les membres des groupements concernés. -
Note sur la botteleuse manuelle pour la culture fourragère de luzerne
Dans la région d'Agadez, la production des cultures fourragères irriguées semble bien adaptée. Elles constituent une nouvelle forme d’adaptation au déficit fourrager de plus en plus récurrent, et permet aussi de faire face à une demande sans cesse croissante des villes en aliments pour bétail.
C’est dans cette logique que le Projet d’Appui au Développement Agricole de l’Irhazer, du Tamesna et de l’Aïr (PADA/ITA) a donné une place de choix à la culture de la luzerne (Medicago sativa) sur les périmètres irrigués de sa zone d’intervention.
Cependant, les producteurs font face à des contraintes notamment, une perte importante des feuilles, qui constituent les parties les plus nutritives de la plante, après le séchage, une forte demande en main d’œuvre surtout pour la coupe et une faible densité des emballages traditionnellement utilisées, ce qui augmente le coût de transport. -
Souchet
Au Niger, la culture du souchet se pratique sur l’ancien bassin arachidier de la région de Maradi qui représente plus de 95% de la production nationale. La production annuelle a été estimée à 38.800 tonnes en 2008. Elle serait en diminution régulière depuis cette date avec 22.800 tonnes en 2012. La réflexion de cette ONG part de deux constants : la majorité du souchet produit au Niger part vers le Nigeria où il est utilisé dans l’agro-alimentaire de ce pays ou est exporté vers l’Espagne pour produire une boisson (orchata de chufa) et le Niger consomme des « jus » qui sont fabriqués sur place pour les boissons sucrées pétillantes ou importés. Pourtant, à Maradi quelques femmes essayent de produire une boisson en valorisant le souchet. C’est ce créneau de valorisation que se propose de travailler cette ONG qui a commencé par un rapport d’enquête sur le souchet réalisé par ses membres. -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande / Culture fourragère, cas du bourgou, « Echinochloa stagnina »
La pratique de la culture fourragère de bourgou s’est développée dans des zones agricoles de sol lourd et fertile des vallées. Elle devient actuellement une activité économique importante dans la chaine d’approvisionnement en aliments grossiers des élevages intensif et semi-intensif des exploitations familiales et des entreprises agricoles. Cette activité de culture fourragère contribue à un créneau d’amélioration des revenus des agriculteurs grâce à un circuit de commercialisation bien animé par les différents acteurs (producteurs, commerçants grossistes et détaillants). En cas de surplus de production, les producteurs pratiquent les techniques de stockage et de conservation (foin) dans des meilleures conditions pour rendre disponible le fourrage aux animaux pendant les périodes de soudure. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) - VOLUME III - Résultats définitifs (Volet agriculture)
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) a été conçu et réalisé par le Ministère du Développement Agricole (MDA) et le Ministère des Ressources Animales (MRA), qui ont travaillé en étroite collaboration avec le Ministère de l’Economie et des Finances (ME/F), avec l’assistance technique de la FAO. Compte tenu de l’approche modulaire retenue pour le RGAC, la période de référence choisie a concerné deux campagnes agropastorales 2005/2006 et 2006/2007. Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental). Le présent document intitulé Volume III ‘‘Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel : Résultats Définitifs – Volet Agriculture’’ constitue un travail de synthèse de cette importante investigation statistique qui est le RGAC 2005/2007. Des études générales ou spécifiques seront réalisées et des informations à la demande pourraient aussi être fournies. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2004/2008) – Volume VI - Résultats définitifs - Productivité des exploitations agricoles
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental).
Le présent document intitulé Volume VI ‘‘Productivité des exploitations agricoles’’ une des publications du Recensement Général de l'Agriculture et du Cheptel 2005/2008, est consacré à la présentation des résultats des enquêtes sur la productivité des principales spéculations cultivées en zones d’agriculture pluviale à savoir : le mil, le sorgho, le niébé et l’arachide. Cette publication est structurée autour des quatre parties ci-après : Première partie : organisation et mise en œuvre de la productivité des exploitations agricoles ; Deuxième partie : présentation des résultats de la productivité des cultures pratiquées en zone d’agriculture pluviale ; Conclusions et Annexes. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Résultats définitifs – Volet Agriculture (Niveau Régional) – Volume IV
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental).
Cette analyse des données du RGAC permettra aux acteurs de développement, les investisseurs, les autorités en général de bien connaître le secteur des productions végétales à l’échelle du pays comme des régions, notamment concernant les caractéristiques climatiques, ethniques, démographiques, hydrologiques et pastorales. On insistera plus en détails sur les superficies agricoles selon les spéculations, leur importance en pur et en association, les structures des exploitations agricoles et les différents systèmes agricoles mis en œuvre. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2004/2008) – Méthodologies
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. La technique statistique appliquée au RGAC se réfère donc à l’intégralité de ce champ géographique et permettra de consolider l’édition des résultats à ces 3 échelons administratifs (national, régional et départemental).
Le présent document intitulé Rapport Technique et Méthodologique du ‘‘Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel au Niger 2004/08 constitue un travail de synthèse des approches techniques utilisées dans la préparation des enquêtes, la collecte et le traitement des données statistiques entreprises dans le cadre du projet GCP/NER/041/EC (recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel au Niger. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2004/2008) – Volume I - Résultats du pré recensement
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC) est le résultat d’une coopération fructueuse entre le Gouvernement du Niger, l’Union Européenne, la Banque Mondiale et la FAO.
Le présent document, un volume parmi tant d’autres fourni par le RGAC, consacré au pré recensement s’intéresse aux résultats issus des enquêtes relatives à l’actualisation du nombre de ménages agricoles (Q1), au recensement des sites de production horticole (Q12), des points d’eau au niveau des zones de concentration en saison sèche (Q7), des passages terminaux des couloirs de transhumance (Q8) et l’inventaire des organisations paysannes opérant dans les domaines agricoles et de l’élevage. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume V - Productivité du cheptel - Enclaves pastorales et transect
Le Niger avec l’appui des partenaires techniques et financiers (Banque Mondiale, Union Européenne et Fao) a entrepris depuis 2001 une opération de recensement du recensement général de l’agriculture et du cheptel, nommée « RGAC » et consistant en des enquêtes d’effectifs d’animaux et autres activités agricoles.
Les paramètres démographiques du cheptel (taux de reproduction, de mortalité naturelle, d’exploitation, etc.) sont des données de base nécessaires pour quantifier la production et la dynamique du cheptel. L’estimation de ces paramètres était une activité importante à mettre en œuvre. Cette activité a été programmée dans le cadre de la mise en œuvre des modules du projet RGAC et a été réalisée en mai 2007 avec la participation active de la Direction des statistiques du Ministère des Ressources Animales.
L’enquête démographique réalisée dans le cadre du RGAC avait pour objectif de fournir un diagnostic rapide sur les caractéristiques démographiques actuelles des cheptels de bovins, de caprins, d'ovins et de camelins au niveau des deux zones agro écologiques du Niger : la zone pastorale et la zone agropastorale.
Cette enquête, réalisée à grande échelle, avait également pour objectif de familiariser la direction des statistiques d’élevage à la planification et l’organisation des enquêtes sur la démographie du cheptel. Ce qui au demeurant participe au renforcement des capacités techniques et organisationnelles des structures nationales en charge des statistiques d’élevage. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume VIII a – Résultats définitifs – Dimension genre « Elevage sédentaire »
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. En ce qui concerne l’élevage, le RGAC a concerné les trois différents modes pratiqués au Niger : Elevage sédentaire, Elevage nomade et Elevage transhumant. Le RGAC a intégré la dimension genre dans le processus de production et d’analyse des données statistiques. Grâce aux résultats du RGAC, l’ensemble des utilisateurs, y compris le Gouvernement et les partenaires au développement, dispose des indicateurs pertinents pour mieux saisir les mutations du monde rural.
Le présent document intitulé Volume VIII ‘‘Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel : Résultats Définitifs – Dimension Genre – Elevage Sédentaire’’ constitue un travail spécifique de prise en compte de l’aspect genre dans le cadre de cette importante investigation statistique qui est le RGAC 2005/2007. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume VIII b – Résultats définitifs – Dimension genre « Agriculture »
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey.
Le présent document constitue un travail spécifique de prise en compte de l’aspect genre dans le cadre de cette importante investigation statistique qui est le RGAC 2005/2007. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume II – Résultats définitifs – Volet cheptel
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC 2005/2007 a couvert l’ensemble du territoire national de la République du Niger dans la totalité des 8 régions, des 36 départements et des 3 communes de la ville de Niamey. Ce document présente un travail de synthèse de cette importante investigation statistique et comporte les parties suivantes : organisation et mise en œuvre du Recensement du Cheptel et présentation des principaux résultats. A la suite de la présentation des principaux résultats du cheptel nigérien, le document présente dans la partie ‘‘ANNEXES’’ les tableaux détaillés, les graphiques et cartes, les questionnaires et la liste des participants au recensement du cheptel. Les résultats présentés dans le présent Volume II ne sont qu’une partie de la grande masse d’informations contenues dans le RGAC. Ainsi donc, des analyses thématiques pourront être faites ultérieurement soit par le Ministère des Ressources Animales (MRA) et le Ministère du Développement Agricole (MDA), soit par les chercheurs ou encore par tout autre utilisateur. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) – Volume IX – Résultats définitifs – Horticulture
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2008) a été conçu et réalisé par le Ministère du Développement Agricole (MDA) et le Ministère des Ressources Animales (MRA), qui ont travaillé en étroite collaboration avec le Ministère des Finances et de l’Economie (MFE), avec l’assistance technique de la FAO et l’appui financier de l’UE.
Ce volet du RGAC vise à mettre en place un système de production de données régulières et fiables sur le secteur horticole, afin d’assurer de manière durable sa relance. En outre, ce recensement horticole à comme objectif, la constitution d’une base de sondage riche et variée sur le secteur horticole à travers l’identification et le dénombrement des sites de production et des exploitations horticoles. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel 2005–2007 - Analyse des résultats des enquêtes sur les marchés à bétail et le cheptel aviaire
Toute la commercialisation du bétail prend ancrage au niveau des marchés à bétail traditionnels La Direction de la Statistiques savait approximativement que le Niger dispose de plus de 500 marchés à bétail ; aujourd’hui l’enquête a démontré avec exactitude que leur nombre est de 635. Les présentes enquêtes marchés qui viennent d’être menées par le RGAC permettront de mieux préciser certaines caractéristiques de ces marchés et des transactions commerciales qui s’y déroulent afin de tirer des enseignements qui pourraient être opportunément exploités par le pouvoir décisionnel.
La deuxième enquête qui a trait à l’enquête complémentaire des effectifs du cheptel aviaire s’est penchée sur l’évaluation du cheptel aviaire villageois mais également sur l’état de la consommation de la volaille locale et des circonstances coutumières et culturelles de la consommation de la volaille ainsi que de la détermination du nombre moyen des effectifs élevés par espèce volaille et par ménage. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel 2005–2007 – Résultats définitifs production animale - Répartitions régionales - Analyse - Perspectives
Il faut rappeler que depuis les indépendances, le Niger n’a connu aucun recensement de son cheptel, les effectifs utilisés dans les statistiques étaient déterminés par extrapolation par rapport aux taux de fécondité.
C’est ainsi que grâce à la coopération fructueuse entre le gouvernement du Niger et les partenaires au développement notamment l’Union Européenne, la Banque Mondiale et la FAO, le projet de Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel s’est concrétisé en 2004, sous la responsabilité des deux ministères en charge de l’agriculture et de l’élevage.
La présente communication a pour objet d’informer les acteurs de développement, les investisseurs, les autorités en général, des énormes potentialités dont dispose le pays dans le domaine de l’élevage, mais aussi de faire ressortir quelques axes de réflexion sur les contraintes et les perspectives qui peuvent découler de la gestion de ce cheptel. -
Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC) – Niger - Conclusions et recommandations du projet
Le Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007) à été conçu et réalisé par le Ministère du Développement Agricole (MDA) et le Ministère des Ressources Animales (MRA), qui ont travaillé en étroite collaboration avec le Ministère des Finances et de l’Economie (MFE), avec l’assistance technique de la FAO.
Le lancement officiel du projet « Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel RGAC » s’est effectué le 5 août 2004 par les ministres en charge du projet RGAC à savoir, le ministre du développement agricole et son homologue des ressources animales, en présence du Délégué de l’Union
Européenne, de la Représentante de la FAO et d’un Représentant de la Banque Mondiale au Niger. Le
RGAC a été conjointement financée par le gouvernement du Niger à hauteur de 1,5 millions FCFA et l’Union Européenne pour 4,2 milliards FCFA (6.371.000 Euros, soit 7.900.039 Dollars EU), avec la FAO comme agence d’exécution. Le RGAC s’est étalé sur 48 mois.
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Annuaire statistique régional 2011 - 2015
La Direction Régionale de la Statistique (DR/INS) de Niamey a le plaisir de vous présenter la quatrième (4ème) édition de l’annuaire statistique régional. Ce document qui présente les principales données socio-économiques de la région de Niamey sur la période 2011-2015, comporte 18 chapitres qui portent notamment sur les informations générales de la région, la climatologie, l’hydraulique, la démographie, l’emploi, la santé, l’éducation, l’agriculture, l’élevage, l’environnement, l’énergie, le transport, le tourisme et l’hôtellerie, les prix, la justice, la jeunesse et le sport, la gouvernance et le développement local. Il a été élaboré à partir des données collectées auprès de différentes structures de l’administration publique et para-publique, de celles produites par l’Institut National de la Statistique (INS) et la Direction Régionale de l’INS. Les informations publiées dans ce document les sont à un niveau agrégé. Le lecteur désireux d'avoir plus de précisions par rapport à un domaine spécifique, peut s'adresser à la Direction Régionale de l’INS ou à la source des données indiquées en bas des tableaux. Aussi, accueillerons-nous, bien volontiers, vos observations, remarques et suggestions pour l’amélioration de nos prochaines éditions. Nous adressons enfin, nos plus vifs remerciements aux autorités régionales pour leur engagement personnel dans la promotion des activités statistiques, à toutes les administrations, services publics, parapublics et organismes qui nous ont apporté leur précieux concours pour l'élaboration du présent document, et les encourageons à persévérer davantage dans les efforts, en vue de rendre disponibles et fiables les données statistiques au niveau de la région de Niamey. -
Comparaison des effets du compost et des engrais minéraux sur le rendement de la culture de la Luzerne dans le lit du fleuve Niger
Durant la saison hivernale 2017, a été conduit à la pépinière fruitière de Yantala, un essai d’expérimentation sur la comparaison des effets du compost et des engrais minéraux NPK 15-15-15 sur le rendement de la culture de la Luzerne dans le lit du fleuve Niger. Quatre traitements (T0, T1, T2, T3) ont été utilisés pour un dispositif en bloc complet randomisé à quatre répétitions. Les paramètres étudiés au cours de 70 jours sont la levée des semis, la hauteur des tiges, le nombre de feuilles, et le rendement en poids frais et en poids après séchage des parties aériennes pendant une semaine. -
Rapport annuel 2015 : Les statistiques du secteur de l'élevage
Le Ministère de l’Élevage a été invité à la deuxième édition du Salon International de l'Agriculture du Maroc (SIAM) à Meknès sur le thème " les Produits de terroir". La délégation du Niger a participé à cette édition dans l'objectif de s'enquérir de l'expérience marocaine dans le cadre de la mise en œuvre du Plan Maroc Vert, Plan similaire à l'Initiative 3N "Les Nigériens Nourrissent les Nigériens". -
Rapport annuel 2016 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité par la grande diversité d'espèce et race élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière deccenie. En 2016, le cheptel est estimé à 44.595.672 tetes toutes espèces confondues soit 17.340.539 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 3.700 milliards de francsFCFA. -
Rapport annuel 2017 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2017, le cheptel est estimé à 46.484.539 têtes toutes espèces confondues soit 18.156.652 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 400 milliards de francs CFA. -
Rapport annuel 2018 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger pour la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution vivant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2018, le cheptel est estimé à 48.460.804 têtes toutes espèces confondues soit 19.016.316 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 4.100 milliards de francs CFA. -
Les cultures fourragères
Les terres consacrées à l’élevage couvrent près de 4 milliards d’hectares dans le monde, soit 80 % des surfaces agricoles et la demande en produits animaux est en hausse constante, notamment dans les pays tropicaux. D’une importance capitale dans le développement durable des régions chaudes, la production fourragère est le principal levier de la productivité des systèmes d’élevage. Elle joue également un rôle essentiel pour les systèmes qui allient productions végétales et animales et de nombreux systèmes agroécologiques intègrent des plantes fourragères. La première partie de cet ouvrage est destinée à guider le choix de plantes fourragères et de leurs cultures (diversités des plantes, des usages, des milieux et des types d’élevage). La seconde partie est consacrée aux techniques de culture, à la gestion des fourrages, à la valorisation des ligneux, à la production de semences et à l’économie de ces productions.
Cet ouvrage de synthèse s’adresse aux éleveurs, agronomes, techniciens, professionnels des productions animales et fourragères. -
Recensement général de l'agriculture et du cheptel (RGAC)
Le Niger est l’un des pays les plus vastes du Sahel. Il s’étend sur une superficie de 1.267.000 km2 dont les trois quarts sont constitués d’un désert chaud situé dans la zone septentrionale du pays. Il est frontalier à l’Algérie et la Libye au Nord, au Tchad à l’Est, au Nigeria et au Bénin au Sud, le Burkina Faso et le Mali à l’Ouest. Le seul cours d’eau permanent est le fleuve Niger qui traverse le Sud Ouest du pays sur une longueur de 550 km, depuis la frontière avec le Mali jusqu’au Bénin et le Nigeria. La population du pays estimée à 13 millions avec un taux de croissance démographique de 3,3%. -
Recensement de l'agriculture et du cheptel : (RGAC 2005/2007)
Le Recensement du Cheptel, un des deux volets du Recensement Général de l’Agriculture et du Cheptel (RGAC 2005/2007), décidé par le Gouvernement est le résultat d’une coopération fructueuse entre le Gouvernement du Niger, l’Union Européenne, la Banque Mondiale et la FAO. Grâce à un financement de l’Union Européenne, de la Banque Mondiale à travers un prêt de l’IDA, et la FAO, à travers son Programme de Coopération Technique, les travaux préparatoires du recensement relatifs aux volets ‘Agriculture’ et ‘Élevage’ ont été réalisés de 2001 à 2003. -
Statistiques de l'éducation de base et alphabétisation : Annuaire 2016-2017
La présente publication de l'annuaire des statistiques du Ministère de l'Enseignement Primaire, de I'Alphabétisation, de la Promotion des Langues Nationales et de l’Éducation Civique (MEP/A/PLN/EC), comme toutes les précédentes porte sur les données statistiques de l'enseignement du cycle de base 1, de I'Alphabétisation et de l’Éducation Formelle(AENF).
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Statistique de l'éducation de base : 2010-2011
La présente publication de l'annuaire des statistiques du Ministère de l’Éducation Nationale, de l'Alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales (MEN/A/PLN), comme toutes les précédentes, fait une analyse des principaux indicateurs et fournit les données statistiques de l4enseigneemnt de base 1 et de la campagne d'alphabétisation. -
Les statistiques sur l'élevage au Niger : Situation et perspectives; 28 au 30 octobre 2013, Hôtel Terminus Niamey, Niger
Du 28 au 30 octobre 2013 s’est tenu à l’Hôtel Terminus à Niamey au Niger, l’atelier sur "Les Statistiques de l'Elevage au Niger: Situation et perspectives''. Ont pris part à cet atelier, les délégués du Burkina Faso, du Mali et de la Mauritanie mais aussi les représentants des Coopérations Belge (CTB) et Suisse, et les représentants d’organisations internationales ou centres étrangers de recherche tels que : l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), la Banque Africaine de Développement (BAD), la Banque Mondiale, l’Observatoire Economique et Statistique d’Afrique Subsaharienne(AFRISTAT), le Fonds des Nations Unies pour l’Agriculture et l’alimentation (FAO), Vétérinaires Sans Frontière (VSF), le Centre National français de la Recherche Scientifique (CNRS). -
Production fourragère en zone tropicale et conseils aux éleveurs : production fourragère en zone tropicale et conseils aux éleveurs
Depuis longtemps, des tentatives d'introduction de plantes fourragères cultivées ont été faites dans de nombreux pays d'Afrique tropicale. Si les résultats sont satisfaisants, et même parfois encourageants en station (Burkina-Faso : Farako-ba, Banankélédaga, Mali : Sotuba, Côte d'Ivoire : Bouaké, Sénégal : Sangalkam, etc.) la vulgarisation pose problèmes et rares sont les villages où l'on peut observer des cultures fourragères en place et en bon état. Des obstacles existent, qu'il faut connaître avant de tenter l'introduction d'une culture fourragère. -
Rôle de champignons mycorhiziens à arbuscules dans le transfert du cadmium (Cd) du sol à la luzerne (Medicago truncatula)
Les champignons mycorhiziens à arbuscules (MA) sont très fréquemment présents dans les sols, établissant une symbiose avec la majorité des plantes herbacées. Ce sont donc des acteurs inévitables du fonctionnement des systèmes sol-plante que l’on trouve également dans les sols contaminés par les ETM. Parmi les ETM, le cadmium (Cd) est un élément toxique dont le transfert aux plantes doit être rigoureusement surveillé. La modélisation de ce transfert et la quantification du Cd exporté dans la plante sont en effet des enjeux importants. -
Production de Pennisetum purpureum Schumach, étude phénologique et effets de coupes : Cas de la Commune urbaine de Kollo
L’herbe à éléphant est une graminée vivace robuste, rhizomateuse et touffue. Elle a un système racinaire vigoureux, se développant à partir des noeuds de ses stolons rampants. Les chaumes sont grossiers, pérennes et peuvent atteindre 4 à 7 m de hauteur, ramifiés au-dessus. L’herbe à éléphant forme des touffes denses et épaisses, jusqu’à 1cm de diamètre. Les feuilles sont plates, linéaire, poilues à la base, atteignant 100-120 cm de long et 1-5 cm de large, avec une couleur vert bleuâtre. Le bord de la feuille est finement denté et le limbe a une nervure médiane proéminente. L’inflorescence est un épi terminal raide et hérissé, mesurant jusqu’à 15-20 cm de long, de couleur jaune-brun à violacé. Les épillets sont disposés autour d’un axe velu et tombent à maturité. Les épillets mesurent 4 à 6 mm de long et sont entourés de soies plumeuses de 2 cm de long. -
Recensement Général de la population et de l'habitat 2012
L'objectif de ce rapport est d'étudier les caractéristiques sociodémographiques des ménages nigériens. Ceux-ci ont connu un taux d’accroissement annuel moyen de 3,7% entre le RGPH de 2001 et celui de 2012, passant de 1 632 344 à 2 430 440 ménages au cours de la période intercensitaire. Les ménages ordinaires représentent 99,6% de l’ensemble des ménages dénombrés. -
Recensement Général de l'Agriculture et du Cheptel 2005-2007 : Résultats définitifs; production animale
La présente communication a pour objet d’informer les acteurs de développement, les investisseurs, les autorités en général, des énormes potentialités dont dispose le pays dans le domaine de l’élevage, mais aussi de faire ressortir quelques axes de réflexion sur les contraintes et les perspectives qui peuvent découler de la gestion de ce cheptel. -
Présentation des résultats préliminaires du quatrième (4ième) Recensement Général de la Population et de l'Habitat (RGP/H) 2012
L’Institut National de la Statistique (INS) a réalisé le dénombrement général du Quatrième (4ème) Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH) 2012, du 10 au 24 décembre 2012. -
Assistance technique en statistiques de l'élevage au Niger : une analyse descriptive des résultats des enquêtes tests sur le recensement du cheptel nomade et transhumant et la productivité du cheptel dans les communes de Kao et Kornaka
L'élevage est l'un des secteurs clés du Niger, représentant 40% du Produit Intérieur Brut (PIB) agricole et 11% du PIB global. Il emploie environ 87% de la population active et est pratiqué par presque tous les ménages en zone rurale. Par conséquent, disposer de statistiques plus précises sur le cheptel au Niger aiderait à mettre en œuvre de meilleures politiques et à suivre les différents programmes mis en place par le gouvernement et les autres partenaires internationaux. -
Cultures fourragères : Panicum maximum
Le panicum est une haute graminée vivace qui peut atteindre 1 à 3 m et qui produit des feuilles de 10 mm à 25mm et développe en fin de saison des pluies une grande panicule qui atteint 50 cm. Elle produit des feuilles larges de 10 mm à 25 mm et développe en fin de saison des pluies une grande panicule de 30 cm à 50 cm. -
Rapport définitif de l’enquête sur les productions irriguées 2020-2021
Le présent document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2020-2021. L’engouement suscité cette année encore par la campagne irriguée, en particulier à travers les différents projets et programmes intervenant dans la promotion des cultures irriguées dont les objectifs et résultats attendus, renforce notre conviction et notre volonté sans cesse grandissante que l’évaluation de ladite campagne est importante à plus d’un titre : mesures des performances, contribution à la résorption des déficits alimentaires, exportations et revenus, etc. les attentes des utilisateurs des résultats de cette opération sont donc multiples et diverses mais elles ne lui enlèvent rien de sa valeur scientifique et statistique. Que ceux-ci (les utilisateurs) veuillent bien nous excuser des insuffisances qu’ils pourront constater et ne retenir que l’essentiel : les résultats qu’ils peuvent désormais utiliser comme outils de travail, d’analyse et de prospectives. -
Recensement Général de la population et de l'habitat 2012 (Décret N° 2011-059/PCSRD/ME/F DU 27 Janvier 2011) : monographie régionale de Zinder
Le présent document présente la monographie des populations de la région de Zinder. Les données utilisées sont celles du quatrième (4ième) Recensement Général de la Population et de l’Habitat du Niger réalisé en 2012. Elle a pour but de donner la photographie de la situation des populations vivant dans la région de Zinder. Il s’agit spécifiquement d’avoir la répartition de l’effectif des populations de la région par âge, sexe et niveau géographique. A cela s’ajoute les informations relatives à l’éducation, à la nuptialité, à la fécondité, à la mortalité, à la participation économique des populations et à la situation de l’habitat ; ce qui permet de mettre à la disposition des utilisateurs des données (gouvernement, ONG,…etc.), des indicateurs de suivi des politiques et programmes spécifiques à cette frange de la population. -
Fiche technique n°3 : cultures fourragères - cas de la luzerrne
La vulgarisation de la luzerne constitue une nouvelle forme d’adaptation au déficit fourrager de plus en plus récurrent, et permet aussi de faire face à une demande sans cesse croissante en aliments pour bétail. -
Site Institutionnel de l'Institut National de la Statistique (INS)
Site nigérien d'information sur la statistique crée par la loi N°2004-011 du 30 mars 2004 portant sur l’organisation de l’activité statistique et créant l’Institut National de la Statistique (INS), modifiée et complétée par la loi N°2014-66 du 05 novembre 2014. Ce site web vous donne accès aux différentes publications du SSN, ainsi que plus de quarante (40) bases de données anonymisées à travers les Archives Nationales des Données (ANADO). Vous y trouverez également la plateforme des projections démographiques 2012-2024, les résultats des recensements de la population, les rapports d’enquêtes et certaines études approfondies, etc. -
RAPPORT ANNUEL DES STATISTIQUES DE L’ELEVAGE
1.1. SITUATION DU PERSONNEL
1.2. INFRASTRUCTURES SANITAIRES ET MATERIEL DE FROID
1.3. SITUATION DU PARC AUTOMOBILE AU 31 Décembre 2011
1.4. SITUATION DU PARC MOTOS AU 31 Décembre 2011
ESTIMATION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL
2.1. ESTIMATION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL PAR DEPARTEMENT
2.2. ESTIMATION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL PAR REGION
2.3. EVOLUTION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL PAR ANNEE DE 1970 à 2011 -
Deuxième Stratégie Nationale de Développement de la Statistique (SNDS II) 2014-2018
La mise en œuvre de la première(1ère) Stratégie Nationale de Développent de la Statistique (SNDS I) du Niger est arrivée à terme en 2012. En conséquence, et sur la base des nouvelles orientations politiques de développement du pays notamment : le Plan de Développement Economique et Social (PDES) 2012-2015, l’initiative 3N : « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens », le Niger s’est engagé dans le processus d’élaboration de sa deuxième(2ème) Stratégie Nationale de Développement de la Statistique (SNDS II) pour la période 2014-2018. Cette élaboration est basée sur l’approche de la Gestion Axée sur les Résultats (GAR) et la méthode d’analyse des Forces, Faiblesses, Opportunités et Menaces. Les étapes de ce processus sont les suivantes : (i) travaux préparatoires, (ii) élaboration du diagnostic, (iii) élaboration du document provisoire et (iv) production du document final. -
Annuaire des statistiques 2009-2019
Le Système Statistique National (SSN) est régi par la loi N°2004-011 du 30 mars 2004 qui organise les activités de production, de traitement, d’édition, de diffusion et d’utilisation des statistiques au Niger. Elle consacre l’indépendance scientifique dans la production et la diffusion des statistiques et fait obligation au secret professionnel, à la neutralité, à l’objectivité, à l’impartialité et à l’anonymat des fournisseurs des informations primaires ou des répondants aux questionnaires. Elle impose également le principe de transparence : accès égal pour tous aux données et compréhension partagée des objectifs et des résultats attendus -
Culture fourragère de dolique (Dolicos lablab)
Le dolique appelé aussi pois dolique ou pois d’Egypte est une plante herbacée annuelle à port volubile ou semi –dressé. De son nom scientifique Lablab purpureus (L.) Sweet, le dolique appartient à la famille des Fabaceae. Les feuilles sont trifoliées de forme triangulaire semblable aux feuilles de Vigna unguiculata (L.) Walp ou niébé. Elle est fortement appréciée par les ruminants et possède une bonne valeur nutritive. -
Adaptation de l'agriculture au changement climatique au Sahel : profils agronomiques de quinze cultures dominantes au Sahel
Le présent document fait partie d’une série d’études publiées par le projet Résilience africaine et latino-américaine au changement climatique (ARCC) visant à répondre aux besoins d’adaptation au changement climatique en Afrique de l’Ouest. Dans le cadre des études ARCC pour l’Afrique de l’Ouest, le présent document fait partie de la sous-série portant sur l’Adaptation de l’agriculture au changement climatique dans le Sahel. L’ARCC a également produit une sous-série sur le Changement climatique et les ressources en eau d’Afrique de l’Ouest, le Changement climatique et les conflits en Afrique de l’Ouest et le Changement climatique au Mali.