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Techniques de production des cultures irriguées - cultures fourragères
Élaboré dans le cadre des stratégies, de production fourragère en contre saison pour pallier au problème de disponibilité de fourrage pendant la saison sèche et surtout d’améliorer de façon efficiente les productions animales Le module traite de la typologie des cultures et plantes fourragères ; des caractéristiques des cultures fourragères pratiquées en irrigué au Niger. -
Le warrantage au Niger : un moyen de financement de l’agriculture et de sécurité alimentaire : cas du village de Dantchandou
L’objectif de cette étude est de montrer comment le warrantage pourrait contribuer au financement de l’agriculture et à la sécurité alimentaire dans un pays à secteur agricole structurellement déficitaire. La méthodologie a consisté à une recherche documentaire, la collecte de données secondaires et des enquêtes et observations sur le terrain. Le choix de la zone d’étude a été guidé par le désir de comprendre la pratique du warrantage par des petits producteurs, composés majoritairement des femmes, dans une zone en situation d’insécurité alimentaire récurrente. L’étude est parvenue à la conclusion que le warrantage ne permet pas un financement significatif de l’agriculture chez des producteurs en déficit de production. Cependant, il apparaît comme un bon moyen de sécurisation de revenu et de responsabilisation des paysans. -
Etude de cas du warrantage au Niger (septembre 2014)
Niger est un pays dont les grands produits vivriers sont le mil, le niébé et l’arachide. Il produit aussi environ 75.000 de riz par an, mais dépend surtout des importations. En outre, il faut remarquer que le Niger est le deuxième producteur d’oignon en Afrique de l’Ouest après le Nigeria, et le plus grand exportateur dans la région. Les variations saisonnières des cours de marché sont en moyen plus prononcées pour les oignons (beaucoup plus de 100% sur les prix de récolte) et le niébé (autour de 50%), mais relativement modestes pour les céréales et les arachides et assez minime pour le riz. La plupart du crédit warranté impliquant des produits agricoles locaux au Niger est le warrantage communautaire. On trouve aussi une quantité significative d’entreposage en tierce détention qui est discuté brièvement. -
Le warrantage au Niger, pour renforcer la trésorerie des paysans
Le warrantage, ou « crédit stockage », est une technique qui permet aux paysans de mieux valoriser leurs produits agricoles tout en sécurisant le financement rural. Il connaît un franc succès au Niger, où il a été introduit il y a plus de 10 ans. -
Les règles pour réussir le warrantage
Pour réussir le warrantage les SFD et les OP doivent respecter les règles suivantes, afin d’éviter les malentendus. Pour les deux parties, il est visé la rentabilité et le développement durable de ce type de crédit garanti. -
Le développement du Warrantage au Niger
Le colloque organisé à Paris en décembre 2007 par la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM) sur « Microfinance pour l’agriculture dans les pays en développement » a consacré un atelier aux produits et procédures susceptibles d’améliorer la réponse de la microfinance aux besoins de financement des agriculteurs. L’expérience du Niger en matière de warrantage a été présentée par M. Sani Boubacar (Projet Intrants FAO) et M. A. Olofson (FAO). Ce BIM présente une version abrégée de la communication de M. Sani Boubacar. L’original complet de cette communication, ainsi que la communication de M. Olofson sont disponibles auprès de la fondation Farm. -
Supports de formation et d’animation sur la thématique de la production agricole
Un guide opérationnel destiné à tous les acteurs concernés par les questions de financement de l’agriculture et ayant pour objectif d’appuyer la construction d’une nouvelle alliance entre OPA et institutions financières. Il présente de manière détaillée les étapes d’une démarche visant à i) renforcer la capacité de OPA et des institutions financières à analyser les besoins et contraintes de financement de l’agriculture ii) consolider les capacités de ces acteurs à choisir et à proposer aux agriculteurs un accès efficace, équitable et viable aux services financiers iii) formaliser un cadre de réflexion et d’action pour construire des partenariats permettant un financement durable des agricultures familiales du Sud. -
Situation de référence des programmes stratégiques de l’initiative 3n et cartographie des financements et des acteurs
Ce rapport porte sur la situation de reference des programmes strategiques de l’initiative 3n et cartographie des financements et des acteurs -
Expérience de commercialisation de produits agricoles par le mécanisme du warrantage au sein de la federation SA’A
Le souchet est une culture de rente de plus en plus importante au Niger, et en particulier dans le département de Maradi. Cependant, les débouchés sont rares, et l’approvisionnement en engrais de cette culture exigeante soumise aux irrégularités de la centrale d’achat de l’État. La fédération est structurée à tous les niveaux (Union et OP de base), chaque niveau possède une tâche bien définie d’encadrement (observation des prix, conseil technique, responsabilité sur la mise en stock, sur le contrôle, sur le remboursement…). Le stockage comporte de nombreuses étapes : sensibilisation des producteurs, formation des responsables, identification des magasins, constitution des stocks, identification des activités génératrices de revenus, contrat, suivi des stocks et des marchés, recherche de débouchés, remboursement, bilan. L’OP est très investie. -
Les règles pour réussir le warrantage
Pour réussir le warrantage les SFD et les OP doivent respecter les règles énumérées dans ce rapport, afin d’éviter les malentendus. Pour les deux parties, il est visé la rentabilité et le développement durable de ce type de crédit garanti. -
Note sur le financement des clôtures par le crédit agricole dans la région de Maradi
L’une des rubriques récurrentes dans les devis/facture proforma des producteurs de Maradi, demandeurs de crédit agricole avec subvention, est la clôture de leurs sites productifs. Dans le contexte de Maradi, cette clôture peut se justifier. Les producteurs associent généralement l’arboriculture fruitière à la production maraîchère et, puisque les cas de vols sont fréquents, la clôture est perçue comme un moyen de réduire les vols. La clôture permet aussi de matérialiser clairement les limites d’une parcelle. -
Fonds Vert pour le Climat
Le Fonds Vert pour le Climat est une facilité globale dédiée à aider les pays les moins avancés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et s'adapter aux changements climatiques -
FINANSOL
Association portant un label "finance solidaire" -
Mission de capitalisation des expériences de crédits garantis par le warrantage des produits agricoles
L’idée de relancer le crédit aux producteurs agricole en le garantissant par le warrantage de leurs récoltes a été introduites en 1999 par le ‘’ Projet Intrant ‘’ (MDA/DCV-FAO, sur le financement de la Belgique). -
Cahier du formateur « Techniques de production des cultures irriguées »
Le présent document est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui financier de la Coopération Allemande. Il s’inscrit dans les activités de la composante 2du PromAP: Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation quia pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. Ce manuel est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la petite irrigation. -
Niger, Foire sur le financement de l'Agriculture
An Niger, le financement du secteur agricole reste une préoccupation , malgré la place qu'il occupe dans l' économie du pays.Le Réseau Agri Pro Focus a donc privilégié dans son programme depuis plusieurs années, la sensibilisation des jeunes pour qu'ils s'intéressent au secteur agricole.. -
Photos culture de luzerne à Tiguirwit Agadez
Initié par Orano avec l’appui de l’Etat, le projet Irhazer est mis en œuvre dans 9 communes de la région d’Agadez et cadre bien avec les objectifs de l’Initiative 3N (Les Nigériens nourrissent les Nigériens) qui vise à transformer radicalement les systèmes de production agricole au Niger afin de mettre les populations rurales à l’abri des affres de la famine et leur garantir des conditions favorables pour une pleine participation à la production nationale et la répartition des revenus. -
Le méteil (mélange fourrager) : un itinéraire technique simple
Cette fiche propose un itinéraire technique pour la culture d'un mélange fourrager -
Revue du warrantage paysan au Niger
Le rapport passe en revue l’expérience de la mise en oeuvre de warrantage au Niger depuis 1999, par la FAO et les autres acteurs, fait ressortir des leçons pour les décideurs et les praticiens, et ensuite, propose des dispositifs pour accélérer l’adoption du crédit stockage. -
Produire des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique
La présente fiche porte sur la production des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences fourragères en agriculture biologique : Des techniques en évolution
Ce document porte sur la production des semences fourragères en agriculture biologique -
Document de la Facilité 1 du FISAN : Soutien au Crédit Agricole
Le présent document de stratégie est relatif à la Facilité 1 du FISAN. Cette facilité porte sur un appui public au financement de l’agriculture, via le crédit. Elle vise à développer une politique incitative de financement de l’initiative privée, afin de promouvoir une agriculture plus performante. -
Organisations professionnelles agricoles et institutions financières rurales : Construire une nouvelle alliance au service de l’agriculture familiale
Ce guide opérationnel se veut un outil d’appui à la construction du partenariat entre organisations professionnelles agricoles et rurales, et institutions financières. Il est issu de travaux de recherche, d’appui au développement et de formations conduits principalement en Afrique de l’Ouest et à Madagascar dans les dix dernières années, avec des éclairages développés plus récemment sur l’Asie du Sud-Est et l’Amérique latine. -
Fiche technique n°001 : culture de la plante fourragère bourgou (Echinochloa stagnina)
La plante Bourgou (Echinochloa stagnina) connue sous le nom de ` « Chégoune Tchadi » en Haoussa est une plante fourragère à haute valeur nutritive pour le bétail (0,53 à 0,69 UF/kg MS). La plante contient de la matière azotée digestible allant de 37g/kg MS à 86 g/kg MS autorisant une croissance moyenne de 260 g/jour variable selon les saisons. D’après les études réalisées au Niger et Mali, le Bourgou est produit avec un rendement moyen de 10 à 25 tonnes/ha. La plante appartient à la famille des Graminées, et est généralement produite sur les sols de vallées (lourds et fertiles). Le Bourgou est repiqué à la manière du riz avec des boutures taillées sur des tiges vigoureuses de 40 cm avec trois à quatre entre-nœuds. Le Bourgou peut aussi être cultivé par semis des graines en ligne ou à la volée avec une norme de 3 kg de graines mélangés avec 10 kg de sable pour un ha. La plante Bourgou a une consommation voisine de celle du riz avec une consommation de 20 000 m3/ha/an et l’irrigation peut se faire d’une manière gravitaire avec une lame d’eau de 15 à 20 cm d’eau une fois par mois en période pluviale/froide et deux fois par mois en période sèche. -
Culture irriguée d’une graminée fourragère : Echinochloa stagnina (bourgou)
Le bourgou est une graminée vivace bien connue des populations riveraines du fleuve Niger où elle est exploitée traditionnellement depuis longtemps -
Aménagement de bourgoutières
Démarré en 2006, le Programme d’Appui au Développement du Secteur Agricole du Burkina Faso phase 2 (PADAB2) sur cofinancement du Burkina Faso et de la Coopération danoise, est un programme qui repose sur les mêmes principes que le Programme d’Appui au Secteur Rural (PASR) au Niger (approche programme, renforcement des acteurs, mise en place d’un fonds d’appui aux microprojets). Au cours de l’année 2008, des fiches techniques sur les principales filières porteuses ont été conçues et proposées aux acteurs du monde rural, puis complétées par des fiches "modèles économiques". Les dernières fiches proposées par le PADAB, en 2011, doivent permettre aux promoteurs (porteurs de projets) de pouvoir disposer de référentiel technico économique le plus complet possible dans le montage et le suivi de leurs projets. -
Manuel de production et d’utilisation des fourrages verts hydroponiques (FVH) au Niger
L’hydroponie, qui est une variante des "cultures hors sol", est une technique qui permet l’obtention de jeunes pousses de céréales indépendamment de la disponibilité de sols cultivables et du type de climat. On obtient un tapis fourrager vert, succulent et frais, prêt à l’utilisation en seulement 7 à 10 jours de production et qui est entièrement consommé par les animaux. La production des fourrages verts par les techniques hydroponiques (FVH) constitue une alternative prometteuse dans l’alimentation des petits ruminants. Cette technique qui est actuellement en expérimentation par l’ONG OXFAM-Niger en partenariat avec l’INRAN dans les communes de Bermo, Gadabedji, Diffa et Foulatari peut se révéler très bénéfique pour les éleveurs des petits ruminants dans les zones pastorales. -
Rapport de formation des producteurs de Bourgou (Echinochloa stagnina)
Le Projet de Développement de l’Elevage dans la Région du Liptako Gourma, dans sa composante Appui à la production animale, a prévu la culture de bourgou pour augmenter la disponibilité et la qualité du fourrage afin de soutenir durablement la production laitière dans la Région de la Communauté Urbaine de Niamey et du Département de Gaya. Pour atteindre cet objectif, le projet a procédé au renforcement des capacités des producteurs par la fourniture de matériels divers, la formation de quinze (15) agents d’élevage chargés de l’encadrement et du suivi et tout récemment, a organisé des séances de formation sur les techniques culturales du bourgou à l’intention de tous les membres des groupements concernés. -
Etude de faisabilité pour investissement : contrat à terme et le réseau du warrantage en appui aux stratégies nationales
Au Niger, le plan d’investissement 2012-2015 de l’initiative « les Nigériens nourrissent les Nigériens (I3N) a visé principalement le financement de projets d’irrigation, avec un certain succès (production irriguée en hausse de 30% par an en moyenne). Ce choix a été conforté par une évaluation des risques agricoles de la Banque Mondiale (2013) qui avait identifié comme prioritaires les risques liés aux aléas climatiques, les invasions acridiennes et les risques de hausse des prix pour les consommateurs. En 2014, le Haut-Commissariat I3N et PARM sont convenus d’intégrer les petits producteurs dans le cadre du Plan d’Action pour la Gestion des Risques Agricoles (PAGRA). Trois domaines stratégiques ont été identifiés : l’accès des petits producteurs aux services financiers (crédits et épargnes), aux marchés et à l’information. Cette orientation est cohérente avec une étude de l’IRAM (2016) qui identifiait la dépendance de la production au climat, le risque prix, le risque de marché et le risque de conservation physique des stocks comme des risques agricoles majeurs. C’est dans ce contexte que PARM a suscité la présente étude sur les contrats à terme et le warrantage, et leur rôle en appui au Dispositif National de Prévention et de Gestion et des crises alimentaires (DNPGCA). Le warrantage et les contrats à terme sont en effet les deux principaux ensembles d’outils de gestion des risques de marché au Niger, qui peuvent également jouer un rôle dans la politique nationale de sécurité alimentaire. -
Note sur la botteleuse manuelle pour la culture fourragère de luzerne
Dans la région d'Agadez, la production des cultures fourragères irriguées semble bien adaptée. Elles constituent une nouvelle forme d’adaptation au déficit fourrager de plus en plus récurrent, et permet aussi de faire face à une demande sans cesse croissante des villes en aliments pour bétail.
C’est dans cette logique que le Projet d’Appui au Développement Agricole de l’Irhazer, du Tamesna et de l’Aïr (PADA/ITA) a donné une place de choix à la culture de la luzerne (Medicago sativa) sur les périmètres irrigués de sa zone d’intervention.
Cependant, les producteurs font face à des contraintes notamment, une perte importante des feuilles, qui constituent les parties les plus nutritives de la plante, après le séchage, une forte demande en main d’œuvre surtout pour la coupe et une faible densité des emballages traditionnellement utilisées, ce qui augmente le coût de transport. -
Souchet
Au Niger, la culture du souchet se pratique sur l’ancien bassin arachidier de la région de Maradi qui représente plus de 95% de la production nationale. La production annuelle a été estimée à 38.800 tonnes en 2008. Elle serait en diminution régulière depuis cette date avec 22.800 tonnes en 2012. La réflexion de cette ONG part de deux constants : la majorité du souchet produit au Niger part vers le Nigeria où il est utilisé dans l’agro-alimentaire de ce pays ou est exporté vers l’Espagne pour produire une boisson (orchata de chufa) et le Niger consomme des « jus » qui sont fabriqués sur place pour les boissons sucrées pétillantes ou importés. Pourtant, à Maradi quelques femmes essayent de produire une boisson en valorisant le souchet. C’est ce créneau de valorisation que se propose de travailler cette ONG qui a commencé par un rapport d’enquête sur le souchet réalisé par ses membres. -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande / Culture fourragère, cas du bourgou, « Echinochloa stagnina »
La pratique de la culture fourragère de bourgou s’est développée dans des zones agricoles de sol lourd et fertile des vallées. Elle devient actuellement une activité économique importante dans la chaine d’approvisionnement en aliments grossiers des élevages intensif et semi-intensif des exploitations familiales et des entreprises agricoles. Cette activité de culture fourragère contribue à un créneau d’amélioration des revenus des agriculteurs grâce à un circuit de commercialisation bien animé par les différents acteurs (producteurs, commerçants grossistes et détaillants). En cas de surplus de production, les producteurs pratiquent les techniques de stockage et de conservation (foin) dans des meilleures conditions pour rendre disponible le fourrage aux animaux pendant les périodes de soudure. -
Note de pré visite des groupements de Wacha demandeur du crédit agricole auprès de la BAGRI - Un constat de surfacturation des devis
Six groupements maraîchers de Wacha (82 personnes) ont introduit à l’agence BAGRI de Magaria, une demande de crédit agricole pour accéder aux fonds à coûts partagés proposés dans la région de Zinder par le Programme de Promotion de l’Emploi et de la Croissance Economique dans l’Agriculture (PECEA) et le Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF). Ces fonds permettent aux producteurs dont les dossiers ont été validés par la BAGRI de bénéficier de 40% de subvention sur le montant de leurs investissements (matériels et équipements). La demande de crédit de ces groupements comprend un « devis estimatif / facture proforma » présentant le contenu de la demande et les montants des différents matériels et équipements.
Ces devis ont été mis à la disposition de la CRA de Zinder par la BAGRI de Magaria. Une lecture de ces devis indique une uniformité du choix du fournisseur, des besoins (motopompe, forage, charrette, réseau, bœuf, engrais) et des prix pour les six groupements. Ils ont tous été établis par la même entreprise (fournisseur). -
Étude sur le financement des filières agricoles dans les pays membres de l'UEMOA
Au cours des dix dernières années les résultats économiques du Niger ont été peu satisfaisants malgré l'adoption de plusieurs programmes d'ajustement structurels. En terme réel le PIB a diminué de 0,5% par an depuis 1990. De1960 à 1973, le secteur rural a fourni l'essentiel des besoins financiers de l’État, la priorité étant accordée aux produits d'exportation : L'arachide, le coton et le bétail. -
Etude sur les systèmes financiers décentralisés et la finance rurale : Mécanisme inclusifs de financement alternatif en zone agropastorale des régions de Tahoua, Maradi et Zinder
La nouvelle stratégie pays du FIDA pour le Niger (COSOP 2013 – 2018) recentre les opérations du portefeuille sur l’amélioration durable de la sécurité alimentaire des ménages ruraux dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder. Elle se traduira par une approche-programme axée sur la mise en cohérence progressive des projets en voie de démarrage, en l’occurrence le Projet d’appui à la sécurité alimentaire dans la région de Maradi (PASADEM) et le Projet d’appui à la petite irrigation (Ruwanmu) dans les trois régions. Ceux-ci feront place, à l’horizon 2015, à un programme unique dont les arrangements de mise en œuvre seront définis au moment de la formulation dudit programme. -
Comparaison des effets du compost et des engrais minéraux sur le rendement de la culture de la Luzerne dans le lit du fleuve Niger
Durant la saison hivernale 2017, a été conduit à la pépinière fruitière de Yantala, un essai d’expérimentation sur la comparaison des effets du compost et des engrais minéraux NPK 15-15-15 sur le rendement de la culture de la Luzerne dans le lit du fleuve Niger. Quatre traitements (T0, T1, T2, T3) ont été utilisés pour un dispositif en bloc complet randomisé à quatre répétitions. Les paramètres étudiés au cours de 70 jours sont la levée des semis, la hauteur des tiges, le nombre de feuilles, et le rendement en poids frais et en poids après séchage des parties aériennes pendant une semaine. -
Les actes des journées de rencontre sur le crédit rural decentralisé
Les journées de rencontre sur le crédit rural décentralisé, ont lieu sous l'initiative du MAG/EL, au Plais des Congrès à Niamey du 3 au 5 Juillet 1995, et ont débuté avec l'allocution prononcé par Monsieur le Ministre de l'Agriculture et de l’Élevage en présence de plusieurs représentants et bailleurs de fonds, d'organisation de coopération bilatérales et internationales, de l'administration, de banque et d'opérateurs de système d'épargne et de crédit. -
Les cultures fourragères
Les terres consacrées à l’élevage couvrent près de 4 milliards d’hectares dans le monde, soit 80 % des surfaces agricoles et la demande en produits animaux est en hausse constante, notamment dans les pays tropicaux. D’une importance capitale dans le développement durable des régions chaudes, la production fourragère est le principal levier de la productivité des systèmes d’élevage. Elle joue également un rôle essentiel pour les systèmes qui allient productions végétales et animales et de nombreux systèmes agroécologiques intègrent des plantes fourragères. La première partie de cet ouvrage est destinée à guider le choix de plantes fourragères et de leurs cultures (diversités des plantes, des usages, des milieux et des types d’élevage). La seconde partie est consacrée aux techniques de culture, à la gestion des fourrages, à la valorisation des ligneux, à la production de semences et à l’économie de ces productions.
Cet ouvrage de synthèse s’adresse aux éleveurs, agronomes, techniciens, professionnels des productions animales et fourragères. -
Agricultural production economics
what is tested is the applicability of a theory for explaining the behavior of a particular
individual or group of individuals. The conclusion by a social scientist that a theory does
not adequately explain the behavior of a particular group of people does not render the
theory itself invalid. The same theory might be quite applicable to other people under a
slightly different set of circumstances. -
Le crédit à l'agriculture, un outil-clé du développement agricole
Un développement économique et social équilibré et durable s’appuie, dans ses premières étapes, sur une agriculture solide. Cela implique l’injection de capitaux très importants, impliquant une montée en puissance du crédit agricole. La plupart des études montrent que l’inadéquation entre l’offre et la demande de crédit agricole est l’une des raisons de la faiblesse de la productivité agricole dans les pays en développement, particulièrement en Afrique. Ce sujet a fait l’objet de plusieurs publications de l’Agence française de développement (AFD) et de la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM). Il était au cœur d’un atelier technique organisé par l’AFD en février 2015, réunissant seize dirigeants d’institutions dévolues au financement de l’agriculture en Afrique subsaharienne, au Maghreb et dans les Caraïbes. La présente Note présente une synthèse de ces différents travaux et études. -
L’usage de la bonification d’intérêt pour les crédits agricoles
Le 15 janvier 2013, dans le cadre de son Groupe de travail sur le « financement de l’agriculture », Inter-réseaux Développement rural a organisé, avec l’Agence Française de Développement (AFD), un après midi de présentation et de débat autour du rapport intitulé « Etude sur l’usage de la bonification d’intérêt pour le développement des crédits agricoles » et réalisé par le bureau d’études HORUS Developpement Finance en 2012. Cette étude sera publiée prochainement par l’AFD. 23 personnes ont participé aux échanges animés par François Doligez, membre du Conseil d’administration d’Inter-réseaux. Cette note reprend les éléments principaux de cette rencontre. -
Production fourragère en zone tropicale et conseils aux éleveurs : production fourragère en zone tropicale et conseils aux éleveurs
Depuis longtemps, des tentatives d'introduction de plantes fourragères cultivées ont été faites dans de nombreux pays d'Afrique tropicale. Si les résultats sont satisfaisants, et même parfois encourageants en station (Burkina-Faso : Farako-ba, Banankélédaga, Mali : Sotuba, Côte d'Ivoire : Bouaké, Sénégal : Sangalkam, etc.) la vulgarisation pose problèmes et rares sont les villages où l'on peut observer des cultures fourragères en place et en bon état. Des obstacles existent, qu'il faut connaître avant de tenter l'introduction d'une culture fourragère. -
Le warrantage paysan, un outil de protection des ressources
Souvent présenté comme un outil de spéculation sur les fluctuations de prix et d'accès au crédit, le warrantage permet aussi aux producteurs de se protéger d'une pression sociale qui les pousse à ponctionner régulièrement une partie de leurs récoltes et peut mettre en danger la sécurité alimentaire de leur ménage en période de soudure. Le développement du warrantage au Burkina Faso. Le warrantage existe au Burkina Faso depuis 2005 et connaît un vif succès auprès des producteurs et des institutions financières. Les deux plus anciennes expériences, mises en œuvre dans le Sud-Ouest du pays, sont celles de l'Union Ten Tietaa et de la Cop-sa-C (Coopérative de prestation de services agricoles « Coobsa »), deux organisations faitières qui Continuent aujourd'hui à accompagner les producteurs dans la mise en œuvre du warrantage. Ces deux organisations ont bénéficié de l'appui respectif des ONG SOS-Sahel et CISV, et se sont inspirées dans leur développement d'expériences de warrantage plus anciennes au Niger (Union Cigaba de Konkorindo au Sud-Ouest du Niger). -
Rôle de champignons mycorhiziens à arbuscules dans le transfert du cadmium (Cd) du sol à la luzerne (Medicago truncatula)
Les champignons mycorhiziens à arbuscules (MA) sont très fréquemment présents dans les sols, établissant une symbiose avec la majorité des plantes herbacées. Ce sont donc des acteurs inévitables du fonctionnement des systèmes sol-plante que l’on trouve également dans les sols contaminés par les ETM. Parmi les ETM, le cadmium (Cd) est un élément toxique dont le transfert aux plantes doit être rigoureusement surveillé. La modélisation de ce transfert et la quantification du Cd exporté dans la plante sont en effet des enjeux importants. -
Production de Pennisetum purpureum Schumach, étude phénologique et effets de coupes : Cas de la Commune urbaine de Kollo
L’herbe à éléphant est une graminée vivace robuste, rhizomateuse et touffue. Elle a un système racinaire vigoureux, se développant à partir des noeuds de ses stolons rampants. Les chaumes sont grossiers, pérennes et peuvent atteindre 4 à 7 m de hauteur, ramifiés au-dessus. L’herbe à éléphant forme des touffes denses et épaisses, jusqu’à 1cm de diamètre. Les feuilles sont plates, linéaire, poilues à la base, atteignant 100-120 cm de long et 1-5 cm de large, avec une couleur vert bleuâtre. Le bord de la feuille est finement denté et le limbe a une nervure médiane proéminente. L’inflorescence est un épi terminal raide et hérissé, mesurant jusqu’à 15-20 cm de long, de couleur jaune-brun à violacé. Les épillets sont disposés autour d’un axe velu et tombent à maturité. Les épillets mesurent 4 à 6 mm de long et sont entourés de soies plumeuses de 2 cm de long. -
Atelier sur le partenariat entre organisations paysannes et institutions de microfinance
Au Niger comme dans la plupart des zones rurales d'Afrique de l'Ouest, les banques commerciales ne sont que faiblement accessible et restent très réticentes à financer l'Agriculture. La microfinance est alors souvent la seule alternative formelle d'accès au financement pour les organisations paysannes et la question des conditions de partenariat entre OP et IMF se pose donc avec acuité. -
Les pré-visites des CRA dans le cadre du crédit agricole avec subvention FISAN
La facilité 1 du FISAN (soutien au crédit agricole) : C’est un financement qui met en place une subvention pour accompagner un crédit, on parle de subvention adossée au crédit. -
Cultures fourragères : Panicum maximum
Le panicum est une haute graminée vivace qui peut atteindre 1 à 3 m et qui produit des feuilles de 10 mm à 25mm et développe en fin de saison des pluies une grande panicule qui atteint 50 cm. Elle produit des feuilles larges de 10 mm à 25 mm et développe en fin de saison des pluies une grande panicule de 30 cm à 50 cm. -
Fiche technique n°3 : cultures fourragères - cas de la luzerrne
La vulgarisation de la luzerne constitue une nouvelle forme d’adaptation au déficit fourrager de plus en plus récurrent, et permet aussi de faire face à une demande sans cesse croissante en aliments pour bétail. -
Agriculteurs et accès au financement : quel rôle pour l’État?
Cet article dresse un panorama des besoins et des difficultés d’accès au financement des exploitations familiales. Il revient sur les différentes stratégies qui ont été mises en œuvre depuis les indépendances pour permettre à ces agricultures d’accéder au crédit et souligne les défis qui restent à relever. -
Financement agricole : un puissant outil de contribution à la sécurité alimentaire des populations
Dans les pays en développement, la pauvreté est un phénomène concentré en zone rurale où la grande majorité des exploitations agricoles maintiennent des pratiques culturales rudimentaires. Pourtant, dans ces pays, l'agriculture contribue de façon importante à l'économie nationale et ce, tant au niveau de l'emploi2 que du PIB3 « Pour une grande partie du milliard de personnes vivant dans la pauvreté la plus absolue, la croissance économique basée essentiellement sur l'agriculture et sur les activités rurales non agricoles est essentielle pour améliorer leurs moyens d'existence. La majorité des pauvres vivent en milieu rural. Pour atténuer la pauvreté et la faim, il est essentiel de promouvoir l'essor de l'agriculture dans les zones rurales et de fournir aux ruraux un meilleur accès à la terre, à l'eau, au crédit, à la santé et à l'éducation. ». Ceci fait du développement agricole une stratégie prioritaire des gouvernements de plusieurs pays pour combattre l’insécurité alimentaire et réduire la pauvreté. L’insécurité alimentaire et la pauvreté sont également des enjeux pour la communauté internationale, et ont d’ailleurs contribué à faire de l’accès des petits agriculteurs à des services financiers adéquats une des questions les plus largement débattues au cours des dernières décennies dans le secteur de la finance de proximité. -
Innover pour des mécanismes inclusifs de financement agricole et d’atténuation des risques : L’exemple de Tamwil El Fellah au Maroc
La présente étude de cas décrit un modèle particulièrement innovant de fourniture de services financiers aux ménages ruraux les plus pauvres dépendant de l’agriculture – le modèle Tamwil El Fellah (TEF), société créée par le Groupe Crédit Agricole du Maroc (GCAM). TEF s’est fondé sur la longue expérience du financement du secteur agricole, sur le réseau d’agence et sur les ressources humaines du GCAM pour mettre en place son propre modèle d’activité, doté de mécanismes de gestion des risques adaptés à son segment de clientèle spécifique : les petits et moyens producteurs agricoles. -
Financement alternatif et innovant de l’Agriculture en Afrique
En Afrique, les méthodes de financement alternatives et innovantes ne sont guère utilisées en agriculture, parce qu’elles sont nouvelles et que beaucoup de parties prenantes ne les connaissent pas. Cependant, les avantages qu’elles peuvent apporter à l’agriculture africaine sont considérables. Notamment, les engagements d’investissements privés massifs dans l’agriculture, l’intensification de l’innovation agricole, la formation et le renforcement des capacités des agriculteurs, la fourniture d’un environnement agricole infrastructurel fondé sur le développement, la mobilisation des finances, des marchés et de l’agriculture en faveur des pauvres, des régions rurales, des femmes et de jeunes par le biais d’une croissance inclusive. -
Le financement de l’entreprise agricole : états des lieux et problématique
Le processus de restructuration de l’agriculture française s’est traduit par une augmentation continue de la dimension économique des exploitations agricoles au cours des dernières décennies. Le capital d’exploitation moyen s’est accru en conséquence, générant des montants de capitaux importants à reprendre par les porteurs de projet lors des transmissions. Cette dynamique, toujours à l’œuvre, se poursuivra au cours des prochaines années. -
Le financement public dans l'élevage au Sahel depuis 10 ans : un double sous-investissement
Les réseaux d’éleveurs d’Afrique de l’Ouest saluent ces efforts des pays sahéliens pour l’agriculture au sens large mais s’interrogent sur les montants qui ont été consacrés au sous-secteur de l’élevage et sur les résultats auxquels ils ont mené. En effet, l’élevage, et le pastoralisme en particulier, constituent un pilier du secteur agricole pour nombre de régions au Sud du Sahara mais ils semblent pourtant souvent relégués au second plan des politiques agricoles. -
Plan Stratégique de Développement 2022-2026 du FISAN
Le Plan Stratégique de Développement (2022-2026) du FISAN s’intègre dans les politiques nationales et stratégies sectorielles du gouvernement. Il s’agit notamment de l’Initiative 3N d’où il tire sa légitimité et sa raison d’être, la Stratégie Nationale de la Finance Inclusive (SNFI) qui lui fournit les outils d’interventions et toutes les stratégies transversales qui donnent des orientations permettant de mettre en place un cadre harmonisé et formel de financement Agricole. De manière spécifique, les interventions du FISAN s’inscrivent dans cinq programmes opérationnels du plan d’action 2021-2025 de l’I3N. Il s’agit de i) PO1 : Accroissement des productions sous irrigation ii) PO2 : Augmentation des productions des cultures pluviales iii) PO3 : Accroissement et Diversification des Productions Animales ; iv) PO5 : augmentation des productions issues de la transformation (artisanale et agro-industrielle) des produits locaux et v) du PO6 : Augmentation de la disponibilité et de la mise en marché des produits issues de la transformation (artisanale et agro-industrielle) sur les marchés intérieurs et extérieurs. -
Note de politique sur le développement du crédit agricole au Niger
Cette note politique a été préparée dans le cadre du programme d’appui FIRST à l’amélioration de l’inclusion financière au Niger. Cette étude a pour but d’améliorer les connaissances d’éclairer les choix des politiques adoptées par le Gouvernement Nigérien en ce qui concerne la finance agricole. -
Le warrantage, un dispositif pour améliorer la sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne
Le warrantage se développe actuellement dans plusieurs pays du Sahel. C’est un dispositif de crédit-stockage mis en place par une organisation d’agriculteurs et une institution financière. Il consiste à stocker quelques mois une partie des céréales après la récolte dans un entrepôt en échange d’un crédit individuel. Sans ce crédit, les agriculteurs tendent à vendre leurs céréales dès la récolte pour rembourser les dettes ou subvenir à leurs besoins. Conséquence : les familles ont par la suite du mal à assurer la soudure, période de transition entre l’épuisement des stocks et la nouvelle récolte, et à investir dans leurs systèmes de production agricole. L’évaluation d’impact menée dans l’Ouest du Burkina Faso montre que le warrantage accroît la disponibilité alimentaire en période de soudure et qu’il renforce l’investissement et la production agricoles. Pour que son développement s’accélère, il est nécessaire de satisfaire trois conditions : disposer d’infrastructures de stockage adaptées, assurer la qualité des produits stockés, et établir des relations de confiance étroites entre institutions financières, organisations de producteurs et commerçants. Cette dernière condition est mise à mal par l’extension des conflits armés au Sahel. -
Rapport d’activités 2016 financement de l’agriculture : subventions adossées au crédit agricole activités des Chambres Régionales d’Agriculture et du RECA
Dans le cadre de la Stratégie de l’initiative 3N, il est prévu de mettre en place le Fonds d’Investissement pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (FISAN), avec comme objectif de créer une offre de services financiers appropriée pour répondre aux différents besoins des producteurs agro-sylvo-pastoraux et halieutiques et des entreprises agricoles. -
Implication du secteur privé pour renforcer la résilience de l’agriculture du Niger au changement climatique : évaluation du marché de l’assurance agricole
Dans le cadre de la phase de pré-mise en œuvre de « l’investissement dans le secteur privé pour construire la résilience climatique dans le secteur agricole du Niger », la SFI (société financière internationale) - services consultatifs - a entrepris trois projets d'investissement avec le soutien financier du Fonds climatique d'investissement stratégique (SCF) dans le cadre du programme du PPCR au Niger. Le PPCR se focalise sur le pilotage des interventions dans les pays en développement pour la gestion des risques liés au climat et le renforcement de l'agriculture résiliente au changement climatique. -
Le mécanisme du warrantage et ses variantes
La technique du warrantage rencontre une compréhension progressive tant des producteurs que de leurs partenaires, dont les systèmes financiers décentralisés et les banquiers classiques. Mais cette technique requiel1 aussi une solide préparation et des mesures d'accompagnement qui constituent la tâche primordiale du Projet. Quelques velléités de déviation ont déjà émergé, mais dans l'ensemble, la technique du double cadenas semble acquise (le second cadenas faisant office de « billet à ordre» ). -
L’usage de la bonification d’intérêt pour les crédits agricoles
Le 15 janvier 2013, dans le cadre de son Groupe de travail sur le « financement de l’agriculture », Inter-réseaux Développement rural a organisé, avec l’Agence Française de Développement (AFD), un après-midi de présentation et de débat autour du rapport intitulé « Etude sur l’usage de la bonification d’intérêt pour le développement des crédits agricoles » et réalisé par le bureau d’études HORUS Development Finance en 2012. Cette étude sera publiée prochainement par l’AFD. 23 personnes ont participé aux échanges animés par François Doligez, membre du Conseil d’administration d’Inter-réseaux. Cette note reprend les éléments principaux de cette rencontre. -
Suivi des microprojets sur Fonds d’Appui Régional / Facilité OP – Région de Zinder – Février 2012
Ces quatre MP comprennent tous des équipements d’irrigation (forages, motopompes et pompes niya kokari) et des mètres de clôture en fil de fer barbelé. A deux exceptions près, les producteurs bénéficiant des MP n’ont jamais été appuyés en matière d’équipements d’exhaure / irrigation. Ce sont de nouveaux « irrigants ». -
Capitalisation de la recherche action MMD en milieu pastoral
Le système MMD consiste en une tontine « modernisée ». Le groupe peut comprendre jusqu’à 40 femmes, qui, à travers les cotisations périodiques (hebdomadaire, bi hebdomadaire, mensuelle), parviennent à constituer des fonds considérables. Les cotisations varient entre 25Fcfa et 1.000Fcfa selon les groupements et la capacité à épargner. Certains groupements permettent à leurs membres de verser deux fois le montant fixé par le groupe et de bénéficier alors de « deux quote-parts » dans l’épargne. -
Définition d’une stratégie de subvention dans le cadre de la Facilité 1 du Fonds d’Investissement pour la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (FISAN)
Le présent rapport provisoire vise l’élaboration d’une stratégie de subvention dans le cadre de la facilité 1 du Fonds d’Investissement pour la Sécurité Alimentaire et nutritionnelle (FISAN), qui s’inscrit elle-même dans le processus d’institutionnalisation progressive du FISAN. Cette étude, sous la responsabilité du HC3N, a été confiée à l’IRAM (cf. termes de référence en annexe). -
Culture fourragère de dolique (Dolicos lablab)
Le dolique appelé aussi pois dolique ou pois d’Egypte est une plante herbacée annuelle à port volubile ou semi –dressé. De son nom scientifique Lablab purpureus (L.) Sweet, le dolique appartient à la famille des Fabaceae. Les feuilles sont trifoliées de forme triangulaire semblable aux feuilles de Vigna unguiculata (L.) Walp ou niébé. Elle est fortement appréciée par les ruminants et possède une bonne valeur nutritive. -
Etude sur le crédit agricole dans trois villages de la région de Maradi (Niger)
La nécessité d'augmenter sensiblement les capitaux et crédits disponibles pour l'agriculture dans les pays en développement est d'ores et déjà un fait, établi, comme en témoignent les plans élaborés en vue d'assurer à l'agriculture, grâce aux sources internationales, un financement élargi. -
Adaptation de l'agriculture au changement climatique au Sahel : profils agronomiques de quinze cultures dominantes au Sahel
Le présent document fait partie d’une série d’études publiées par le projet Résilience africaine et latino-américaine au changement climatique (ARCC) visant à répondre aux besoins d’adaptation au changement climatique en Afrique de l’Ouest. Dans le cadre des études ARCC pour l’Afrique de l’Ouest, le présent document fait partie de la sous-série portant sur l’Adaptation de l’agriculture au changement climatique dans le Sahel. L’ARCC a également produit une sous-série sur le Changement climatique et les ressources en eau d’Afrique de l’Ouest, le Changement climatique et les conflits en Afrique de l’Ouest et le Changement climatique au Mali.