Le flétrissement bactérien (Ralstonia solanacearum) est une bactérie du sol, pathogène des végétaux. Elle est particulièrement virulente dans les régions tropicales et subtropicales et colonise le xylème. Elle cause une pourriture bactérienne ou bactériose vasculaire chez de nombreuses plantes-hôtes.
En Afrique, les ravageurs de culture posent assez de problèmes pour la production agricole. C'est dans ce cadre que cette étude a été réalisée pour apporter des méthodes de lutte biologique aux insectes qui s'attaquent aux cultures de riz dans certains pays de l'Afrique.
L'attaques sur la culture de la tomate s'illustre dans cette affiche par celle du flétrissement causée par des agents pathogènes tels que les bactéries, les champignons... Par ailleurs, l'affiche propose aussi des moyens de lutte contre cet ennemi de culture dont les impacts ne sont pas moindre sur les cultures maraîchères.
Maladie terricole causée par la bactérie Ralstonia solanacearum. Elle affecte une large gamme d’hôtes avec une préférence pour les plantes de la famille des solanacées.
La tomate est la culture maraichère la plus importante, après l'oignon au Niger. C'est aussi l'une des cultures les plus parasitées. Pour contribuer à la lutte contre ces ravageurs, une étude a été menée pour tester l'efficacité d'Idefix (hydroxyde de cuivre à 65,6% (équivalent à 45% de cuivre) sur les maladies foliaires de la tomate en plein champ.
Le flétrissement bactérien dû à Xhantomonas oryzae pv. oryzae, est l’une des maladies qui causent des dégâts économiques sur le riz au Niger. Des enquêtes et des prospections ont été menées au niveau des périmètres situés dans les deux grands bassins de production de riz (le long du fleuve Niger et de la Komadougou yobé) afin d’y évaluer son importance. Il ressort de cette étude que le flétrissement bactérien est présent sur l’ensemble des périmètres irrigués avec un taux de prévalence allant de 10 à 75% et des pertes de production de 19 à 63% qui se chiffrent de 200.000 à plus de 500.000 FCFA/ha.