Le monde change. Face aux défis à la fois économiques, sociaux et environnementaux, les Hauts-de-France ont choisi de s’engager dans la Troisième révolution industrielle. Après avoir été championne de la première révolution industrielle (développement de l’usage du charbon et de la machine à vapeur), la région a dû trouver les ressources nécessaires pour surmonter les conséquences de la deuxième révolution industrielle (usage du pétrole et de l’électricité). Anticiper et gérer ces changements et ces défis, faire preuve d’esprit novateur et imaginer des solutions innovantes ont ainsi forgé son ADN. C’est aujourd’hui en Hauts-de-France que la Troisième révolution industrielle est en marche.
La démonstration de la faisabilité de la tierce détention au Burkina Faso autour de 1.200 tonnes de maïs avec plus de 800 producteurs de quatre unions provinciales de la FEPAB et un remboursement avant échéance du crédit octroyé par la banque. L’extension et le renforcement de la pratique du warrantage à de nouvelles zones (Burkina Faso, Togo) voire à de nouveaux produits agricoles (riz au Togo) avec remboursement dans la plupart des cas des crédits octroyés et réalisation de bénéfices.
L’amélioration de la transparence du marché et de la gestion des risques pour de nombreux acteurs avec des effectifs croissants d’inscrits sur SIMAgri au Burkina Faso et au service d’information et d’accompagnement en matière promotion de l’intelligence économique prospective (pour le moment sur le maïs) de RONGEAD ROAC couvrant 8 pays de la sous-région. En plus, le dispositif CAPI du MAEH au Togo a été mis en place et pourrait fournir des informations en temps réel sur le marché aux différents acteurs des chaînes de valeurs agricoles dans ce pays.