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Production et vente de la nigelle à Atkaki au Niger
Cette fiche explique l'itinéraire technique sur la culture de la Nigelle. Elle explique les travaux du sol , la qualité des gousses et la facilité à la récolte. le choix des semences, la meilleure période de semis, le type et le dosage d'engrais par hectare, le respecter la fréquence des arrosages. -
Production de l'ail en irrigué
Cette fiche présente l'itinéraire technique de la production de l' ail ; elles explique les dispositions à prendre pour réussir la production de l’ail en culture irriguée
selon Mr Assoumana Moussaproducteur du village de Dara, commune de Tamaské, département de Keita. -
Production du gombo en irrigué
Cette fiche d'innovation présente les différentes techniques de production du gombo en irrigué au niveau du village de Chacott, Région de Tahoua. Originaire de l’Ethiopie le gombo est une plante de saison sèche, très exigeante en chaleur, lumière et humidité. Produit en irrigué pour La commercialisation cette culture est une innovation endogène initiée en 2009 par des femmes du village de Guidoma, Région de Tahoua au Niger. -
Production de la tomate dans les zaї en hivernage
La culture de la tomate dans les Zaï en hivernage est une innovation endogène initiée en 2016 par Mr Tahirou Sabo, natif de village de Magou, département de Torodi.
La période propice est la saison sèche fraiche ; l'itinéraire technique décrit pas à pas les différentes étapes de cette technique. -
Atelier des producteurs d’oignon de la région de Tahoua - Thème principal : bilan des magasins RESEDA
En plus du thème principal (magasins RESEDA), quatre autres thèmes ont fait l’objet de présentations et d’échanges : (1) la situation des semences d’oignon au Niger ; (2) les tests d’oignon en hivernage, présentation complétée par une visite sur le terrain ; (3) un partage d’informations sur la gestion du comptoir de Tsernaoua et (4) une présentation sur les chambres d’agriculture et leurs fonctions. -
Conseil en maraîchage - Des boutures de manioc virosées distribuées à Guidan Idder
Ce samedi 17 décembre, nous sommes sur une parcelle irriguée de 0,55 ha qui est mise en valeur par Madame Hadiza Nomao, une productrice de Guidan Idder. Elle cultive de l’oignon chaque année mais cette année, en plus, elle a repiqué des tomates et entre les planches d’oignon des boutures de manioc provenant de « l’opération bouture de manioc 2016 ». Comme c’est la première fois qu’elle plante du manioc, elle n’est pas certaine mais trouve que les feuilles semblent « malades». -
Culture des oignons en hivernage / Expérience des producteurs pour la réalisation des pépinières (Région de Tahoua / Niger)
Dans la région de Tahoua, de nombreux producteurs font une culture d’oignon d’hivernage.
En fait, le calendrier de ces cultures est très étalé avec des pépinières qui vont de juin à août et des repiquages de juillet à septembre. Les récoltes se font toutes en saison sèche, de fin septembre pour les cultures les plus précoces jusqu’à fin décembre ou début janvier. Ce sont donc des oignons qui arrivent sur le marché au moment où les quantités disponibles sont réduites. -
Contribution des cultures maraichères dans le renforcement de la résilience sociale : Cas de commune de Malbaza dans la Région de Tahoua
Le maraichage est une activité très pratiquée dans la commune de Malbaza. Dans cette étude l’effet de maraichage dans le renforcement de la résilience sociale a été étudié. Au total 40 producteurs ont été enquêtés. L’analyse des données collectées a permis de faire l’état de lieu de la contribution du maraichage à la sécurité alimentaire. Ainsi cette activité présente des incidences socioéconomiques non négligeables. Le revenu annuel moyen généré par cette activité s’élève à 434 328,75 F.CFA, ce qui montre que le maraichage est non négligeable dans la commune.
L’oignon, tomate et chou sont les spéculations les plus faites dans la commune. Ainsi les maraichers rencontrent des problèmes dans la pratique de cette activité, ces problèmes sont liés à la source d’eau, d’écoulement des produits maraichers, insuffisance de l’encadrement, l’accès aux crédits agricoles et les attaques des ravageurs. Par ailleurs pour bonne marche de cette activité la création des marchés agricoles, encadrement technique, l’approfondissement des puits et l’accès aux crédits agricoles afin d’accroitre leurs productions sont les recommandations proposées par les producteurs. -
Évaluation des productions d'oignon et élaboration des stratégies de commercialisation: Galmi
Le Niger est un pays dont l'économie repose essentiellement sur l'agriculture vivrière et les cultures de rente. pour preuve, le secteur agricole contribue pour près de 36% du PIB réel, fournit environ 85% de l'emploi et 41% des recettes d'exportation. C'est à l'évidence un facteur déterminant de la croissance économique de notre pays. -
Le PromAP et les mesures de protection de l’environnement pour une mise en valeur agricole durable du potentiel irrigable Développer le maraîchage irrigué durable : site de Chacott - Région de Tahoua
Le site maraîcher de Chacott (14,02 N - 5,26 E) est situé dans la commune de Kalfou, à 35 km de Tahoua. Accessible par une piste rurale, il dispose d’un potentiel exploitable en petite irrigation estimé à 250 ha. D’occupation agricole ancienne, ce site présente des possibilités d’extension significatives : seulement 120 hectares sont actuellement exploités par 311 producteurs (296 hommes et 15 femmes) regroupés en 3 organisations paysannes, dont un groupement féminin. Protégé par des haies vives, le site de Chacott se compose d’un ensemble de parcelles / casiers maraîchers exploités individuellement. -
Fiche technico-économique pour la culture de l'oignon en hivernage : région de Tahoua
En hivernage (juin-octobre), nos marchés sont principalement ravitaillés en légumes par les pays voisins. Pendant cette période, les prix de vente des produits maraichers sont généralement meilleurs que les prix en période de saison sèche-froide. En effet, la période sèche-froide est caractérisée par une importante production des légumes du fait des conditions plus favorables et des habitudes des producteurs. Conséquence, les prix baissent pour les principaux produits et les producteurs tirent peu de marge de leur activité (résultats CGEF CRA Tahoua).