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Connaissance du sol
Le sol est une alliance de matières minérales, issues de la roche mère, et de matières organiques, issues de la litière.
C’est un milieu particulier, on ne le trouve que sur notre planète. Cependant, dans le monde, 10 millions d’hectares
de sol seraient en voie de désertification chaque année du fait de la déforestation et l’agriculture intensive. Par exemple, la couleur marron des fleuves et rivières que l’on observe souvent après un orage n’est pas du tout naturelle et témoigne d’une perte des argiles du sol consécutive à sa destruction biologique. -
L’agriculture de conservation
Alors que toute l’histoire de l’agriculture consiste, concrètement et symboliquement, à travailler la terre, la réduction du travail du sol est aujourd’hui présentée par certains acteurs comme un levier intéressant pour améliorer les performances des systèmes agricoles. Cette réduction, voire suppression du travail du sol, est emblématique des systèmes dits en «agriculture de conservation». Mais cette dénomination générale cache en fait une grande diversité de pratiques. Quelles sont les implications de ces pratiques pour le fonctionnement des systèmes de culture? Quelles conséquences réelles ont-elles sur les performances économiques, sociales et environnementales?Et qu’en est-il des potentialités de généralisation de ces systèmes en France?
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Comment choisir son engrais vert ?
Cette fiche technique a pour but de passer en revue les différents avantages que l’on peut tirer des engrais verts. C’est une première grille de lecture pour répondre à la question «quel engrais vert utiliser pour obtenir le résultat que je recherche ?». Pour des compléments d’information consultez les liens à la fin de la fiche. -
Transformation en jus de fruits
Ce rapport porte sur les techniques de transformation de jus de fruits et résume les bases de la transformation du jus de fruits. Il ne donne pas de détails ou de recettes spécifiques à chaque fruit. -
La fertilisation organique des cultures
Ce present fiche technique porte sur les techniques de fertilisations ecologiques -
La fertilisation en maraichage biologique
C’est dans les exploitations maraîchères que l’on rencontre les systèmes agricoles les plus intensifs, caractérisés par des successions de cultures rapides sur la même parcelle. La majorité de ces exploitations sont spécialisées, de ce fait la fertilisation est réalisée à partir d’intrants. Les exportations conséquentes et les besoins ponctuels importants de certaines cultures entraînent très souvent l’utilisation d’engrais -
Raisonner sa fertilisation en maraîchage biologique
Cette fiche technique porte sur la fertilisation en maraîchage biologique -
Le séchage des produits agricoles
Ce présent fiche technique porte sur le procédé de stabilisation et de conservation de tomate -
Comment fabriquer un bon compost à la ferme
Ce présente fiche porte sur les secrets de fabrication de compost a la ferme -
Le sol : support vivant et nourricier
Cette fiche technique présente les fonctions du sol et des exemples locaux de techniques agroécologiques -
Fiche maraîchage n°2 : rotation des cultures
Cette fiche technique explique pourquoi réaliser des rotations culturales est important pour la durabilité des sols -
Les plantes de couverture sous verger
Cette fiche technique explique l'intérêt d'utiliser des plantes de couverture pour nourrir le sol -
Fiche maraîchage n°3 : le greffage en maraîchage
Cette fiche montre différentes techniques de greffage en arboriculture -
Nourrir le sol : les engrais verts
L’engrais vert s’implante par semis entre deux cultures. Il est enfoui ou non dans le sol en fin de cycle afin d’agir sur la culture suivante. -
Fiche maraîchage : lutte contre le flétrissement bactérien
Le flétrissement bactérien (Ralstonia solanacearum) est une bactérie du sol, pathogène des végétaux. Elle est particulièrement virulente dans les régions tropicales et subtropicales et colonise le xylème. Elle cause une pourriture bactérienne ou bactériose vasculaire chez de nombreuses plantes-hôtes. -
Fiche maraîchage n°5 : filets de protection
Le filet de protection permet de protéger les cultures des agressions extérieures telles que les insectes nuisibles et les oiseaux. Grâce à celui-ci, les traitements insecticides sont supprimés ou diminués. -
Le compost
Le compost est issu de la transformation de déchets organiques (feuilles, herbes, résidus de culture, déchets de cuisine, fibres, fumiers…) par une population de micro-organismes dans un environnement chaud, humide et aéré, en une matière humique biologiquement stable et utilisable pour la nutrition des plantes -
le compost enrichi - appelé également compost en pile ou en lasagne
Cette fiche technique présente les modalités de réalisation d'un compost enrichi. Ce type de compost est bien plus riche que le compost vert car il a une teneur élevée en matière organique et contient plus d’éléments nutritifs -
Le vermicompostage
Le vermicompostage (ou lombricompostage) est un processus de dégradation de la matière organique par des vers de terre en vue de la production d’ un amendement riche en éléments minéraux, exempt de pathogènes et qui favorise la rétention d’eau : le vermicompost. -
Le vermicomposteur
Il existe plusieurs modèles de vermicomposteur, en fonction du système choisi (continu ou discontinu), construit avec différents matériaux (bois, bambou, béton…) -
Le Bois Raméal Fragmenté
Le Bois Raméal Fragmenté (BRF) est une technique d’amélioration des sols cultivés par l’incorporation de fragments de bois permettant d’activer la vie biologique du sol. Cette technique imite les processus à l’oeuvre dans une forêt où les feuilles et les branches tombées à terre se décomposent au fil du temps afin de créer l’humus forestier. -
Le charbon de bois à usage agricole
Le charbon de bois est le produit de la combustion incomplète du bois (la combustion complète donnant de la cendre). Incorporé dans le sol, il a plusieurs vertus, grâce notamment à sa structure poreuse, qui améliorent les propriétés du sol. -
L’organoponie
L’organoponie s’est essentiellement développée en zones urbaines où les espaces sont réduits et la terre peu fertile. Nous devons cette expérience notamment aux cubains qui du fait de leur isolement pendant l’embargo états-unien, ont développé beaucoup de techniques agroécologiques, simples et peu coûteuses. L’organoponie s’adapte aussi très bien aux petites unités maraîchères de Guyane. -
Le Bois Raméal Fragmenté
Cette fiche technique porte sur les étapes de la production des bois raméal fragmenté -
Association de plantes
Cette fiche technique montre comment et pourquoi réaliser des associations de cultures -
Les systèmes agroforestiers
L’agroforesterie, c’est l’association délibérée sur une même parcelle de cultures agricoles avec des espèces ligneuses pérennes (arbres), avec ou sans animaux, dans une démarche de durabilité. L’objectif est de bénéficier de biens et de services issus des interactions positives établies entre les différentes composantes (cultures, arbres, animaux, sol). -
Conseils pour l’aménagement d’une parcelle : outils d'aide à la décision
Avant toute mise en place des cultures, il est essentiel d’explorer sa parcelle afin d’optimiser l’emplacement des productions qui doivent s’inscrire dans une vision globale d’aménagement du paysage. Il s'agit de respecter un équilibre entre des aménagements antiérosifs et riches en biodiversité (maintien et développement
de la faune et la flore). -
L’utilité des haies
Les haies ont à la fois un effet protecteur, régulateur, améliorant et économique. -
La rotation des cultures
Chaque plante a besoin d’éléments nutritifs différents, que leurs racines vont chercher dans différentes couches du sol. Si les mêmes légumes sont toujours cultivés au même endroit, le sol se fatigue progressivement favorisant ainsi la multiplication des risques phytosanitaires. L’alternance des cultures offre au contraire de multiples bénéfices -
Les associations de plantes
En milieu naturel, les interactions entre les plantes sont omniprésentes, notamment par les sécrétions racinaires ou encore par l’émission de signaux olfactifs. Elles modifient alors leur environnement, les unes favorisant la croissance des autres ou à l’inverse, inhibant leur développement. Au jardin, des influences entre légumes sont également observables. Il faut alors veiller à favoriser les associations positives et éviter les négatives. Par exemple, associer des radis aux laitues évite la montée en graines
de ces dernières. Ces associations, issues d’expériences observées localement en Guyane et à Macapa, ont une multitude d’effets dont voici un panel non exhaustif -
Les mycorhizes
Myco pour « champignon » et Rhize pour « racine ». On suppose que les mycorhizes sont apparues il y a 450 millions d’années en même temps que les premières plantes terrestres. Elles sont le résultat d’une symbiose naturelle entre des champignons microscopiques du sol et les racines des plantes. Grâce au développement d’un réseau de filaments, ces associations symbiotiques permettent à la plante de multiplier sa surface de contact avec le sol (par 1 000) permettant une plus grande prospection du sol. Ce réseau peut atteindre jusqu’à 1 km pour 1 m de système racinaire (en longueur cumulée). Les éléments minéraux sont transmis du champignon à la plante en échange
d’un transfert de carbone de la plante au champignon. -
Démarrer ses cultures avec des plants sains
Les maladies transmises par les semences sont causées par différents bio agresseurs : bactéries, virus, champignons, qui peuvent parfois survivre jusqu’à 2 ans sur la graine comme la pourriture noire (Xanthomonas campestris). Les symptômes sont très variables et surviennent à différents stades physiologiques des plantes. Pour éviter les maladies, mieux vaut démarrer la culture avec des plants sains. -
Les auxiliaires entomophages
Les insectes nuisibles sont régulés par leurs ennemis naturels (prédateurs, parasitoïdes et pathogènes) appelés auxiliaires des cultures. Le préfixe « entomo - » désigne les insectes, les auxiliaires sont donc qualifiés d’entomophages s’ils consomment les insectes (araignées, insectes prédateurs et parasitoïdes), ou d’entomopathogènes s’ils les rendent malades (micro-organismes). -
la lutte biologique par conservation
Les insectes prédateurs et parasitoïdes, les araignées et les champignons entomopathogènes s’installent spontanément et durablement dans les milieux qui leur sont favorables et contribuent naturellement au contrôle des insectes ravageurs : ainsi s’opère la lutte biologique par conservation. Trois conditions sont essentielles pour favoriser les auxiliaires... -
La lutte contre les insectes ravageurs - exemples de méthodes par piégeage
Cette fiche rassemble quelques techniques utiles afin de lutter contre certains insectes nuisibles des cultures. Ces méthodes simples à réaliser utilisent des systèmes par attractif alimentaire ou piège dit mécanique. -
Lutte contre la fourmi manioc
Les fourmis manioc appartiennent aux genres Atta et Acromyrmex, elles sont qualifiées de fourmis coupeuses-de-feuilles ou champignonnistes. Elles se nourrissent du champignon Leucoagaricus gongylophorus qu’elles cultivent sur un substrat de feuilles en décomposition (compost). Ces fourmis sont bien connues des agriculteurs pour les dégâts causés au feuillage des arbres (surtout la nuit). -
Les plantes assainissantes
Les plantes assainissantes ont un pouvoir de désinfection du sol contre certaines maladies du sol telles que le flétrissement bactérien ou certains ravageurs tels que les nématodes ou les symphyles. On parle alors de biodésinfection du sol.
Certaines d’entre elles sécrètent des molécules gazeuses qui suppriment ou ralentissent la propagation des nuisibles : elles sont appelées plantes biofumigantes. Ces gaz se développent soit sur plantes vivantes par les racines, soit sur plantes mortes lors de leur décomposition. Les plus connues sont les plantes appartenant aux familles des Alliacées, Astéracées et Brassicacées. -
La lune et ses influences sur l'agriculture
La Lune de par son attraction sur la Terre influence entre autre les éléments constitués d’eau, elle est responsable des marées et influence également les flux de sève dans les végétaux. C’est pourquoi jardiner avec la Lune, c’est donner plus de chances aux cultures de mieux se développer, d’être plus résistantes et d’obtenir de meilleures récoltes. Dans cette fiche, nous nous attacherons plus particulièrement aux effets de la lune spécifiques à notre latitude c’est à-dire sous l’équateur. -
Installation Biogaz autoconstruite ou « Comment rouler avec du caca »
Ce document décrit comment mettre en place une installation biogaz de petite taille (de quoi rendre autonome en énergie une petite ferme, c'est à dire une production de biogaz < 10m3/heure) Le projet que je présente permet de produire environ 1m3/h de biogaz. -
Outils de formation pour la production de semences. Module 6: Entreposage des semences
L’entreposage des semences est la conservation des semences dans des conditions d’environnement contrôlé afin de préserver la viabilité des semences (germination et vigueur) sur de longues périodes entre le moment de la récolte et celui où les semences
traitées sont semées par l’agriculteur. -
L'arbre moringa
Le Moringa est l'un des plantes plus utiles et les plus polyvalents qui existe. En raison de sa richesse en vitamines, minéraux et protéines de Moringa est une riche source d'éléments nutritifs. Par gramme, les feuilles fraîches de Moringa contiennent 7 fois la vitamine C des oranges, 4 fois le calcium de lait, 4 fois la vitamine A de la carotte, le potassium 3 fois de bananes, 3 fois fer de l'épinard et autant de protéines que dans des oeufs. -
Conservation des légumes feuilles et des fruits
Coupez en tranches les fruits (mangues, ananas, bananes) aux trois quarts mûrs, étalez-les en couches fi nes sur une feuille de polythène noire placée sur une plate-forme surélevée et laissez-les sécher au soleil jusqu’à ce que les tranches deviennent croustillantes. -
Fiche cucurbitacée
La plupart des cucurbitacées sont des plantes annuelles monoïques, c’est-à-dire qu’elles produisent des fleurs mâles et des fleurs femelles séparées, mais sur la même plante. Les fleurs femelles peuvent être identifiées en localisant l’ovaire (qui ressemble à un petit concombre, melon, ou courge en fonction de la culture) situé à la base de la fleur. La pollinisation est assurée par les insectes pollinisateurs, notamment abeilles et bourdons. Une pollinisation insuffisante conduit à des fruits avortés, déformés ou de taille réduite. -
Multiplication des Semences du Gombo
Le gombo (Abelmoschus esculentus) peut être cultivé sur une large gamme de sols bien drainés, mais les sols sablo-limoneux sont préférables. Des températures comprises entre 27 et 30 °C favorisent un développement rapide et sain des plants. Les graines ne germeront pas en dessous d'une température du sol de 17 °C. Les graines doivent être trempées dans l'eau pendant 24 heures avant d'être semées. Les plantes poussent bien sur des planches surélevés (de 20 à 30 cm de haut). -
Peste des petits ruminants
La peste des petits ruminants (PPR), également connue sous le nom de « peste caprine », est une maladie virale des caprins et des ovins qui se caractérise par de la fièvre, des lésions buccales, de la diarrhée, une pneumonie et parfois la mort. La maladie est causée par un virus du genre morbillivirus (famille des paramyxovirus), qui est apparenté à celui de la peste bovine, de la rougeole et de la maladie de Carré. Des bovins et plusieurs ruminants sauvages ont été contaminés le plus souvent expérimentalement, mais les caprins et les ovins sont les cibles habituelles.