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Grain de Sel n° 76
La question de la faim est loin d’être réglée en Afrique. Ce numéro de la revue "Grain Sel" souhaite rendre compte avec, en toile de fond, une interrogation sur la capacité future à faire face aux crises alimentaires et la volonté partagée à sortir la sous-région de la sous-alimentation, avec ce qu’elle produit de désespoir, violence ou exodes. -
Concepts and practices in agricultural extension in developing countries: A source book
This source book, a joint effort of ILRI and IFPRI/ISNAR, compiles available and recent literature on developments in the agricultural extension approaches and practice, mainly focusing on developing countries. This will help both practitioners and students of extension to access knowledge regarding various changes in various parts of the world and help learning from these experiences. -
Bonnes pratiques avant le traitement : Traiter ou ne pas traiter ?
Une pluie qui survient après le traitement d'une surface peu ou pas perméable peut avoir des conséquences graves sur la contamination des eaux superficielles (entraînement des substances actives vers le réseau d'eau pluviale par exemple). C 'est essentiellement le désherbage qui représente le plus gros facteur de risque. -
Land grab or development opportunity? Agricultural investment and international land deals in Africa
This report is a step towards filling this gap. The outcome of a collaboration between IIED, FAO and IFAD, the report discusses key trends and drivers in land acquisitions, the contractual arrangements underpinning them and the
way these are negotiated, as well as the early impacts on land access for rural people in recipient countries. The report looks at large-scale land acquisitions, broadly defined as acquisitions (whether purchases, leases or other) of land areas over 1,000 ha. While international land deals are emerging as a global phenomenon, this report focuses on sub-Saharan Africa. -
Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de Djirataoua: département de Madarounfa -Niger
Cette étude a été initié par le projet USAID/ WAIPRO aborde quatre volets d'activités interconnectées : - 1: Diagnostic comprenant étude générale, analyse participative des contraintes et des opportunités des systèmes irrigués existants.
- 2: élaboration des plans d'intervention, et les mettre en oeuvre sur des systèmes irrigués pilotes;
- 3: Renforcement des capacités, synthèse, communication et diffusion des leçons apprises;
- 4: Promotion de l'eau agricole et de l'irrigation à petite échelle . -
Comment lutter contre le Striga et les foreurs de tige du maïs ?
Cette fiche technique offre quelques conseils pour lutter contre le striga -
Récupération de l’eau de pluie pour accroître la production
fourragèreFiche technique pour créer des demi-lunes -
Pratiques améliorées d’élevage des poules indigènes
Fiche technique pour l'élevage de poules -
Fabrication d’une farine de manioc de haute qualité
Fiche technique pour la transformation du manioc en farine -
Système de Riziculture Intensive (SRI)
Fiche technique montrant comment pratiquer la riziculture intensive -
Le jardin potager dans les zones tropicales
Livre produit par le CTA, proposant des conseils pratiques pour la production maraîchère et arboricole -
Évaluation économique des pratiques de gestion durable des terres à Maradi, Niger - Régénération naturelle assistée, demi-lunes agricoles et tassa/zaï
Le présent rapport est développé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
Système d'information sur la petite irrigation
Le système d’information développé dans les régions de Maradi et Dosso dans le cadre du programme UNIL-PAPI a pour but de fournir une base de données et un ensemble d’analyses permettant d’adapter les modes d’action du PAPI aux réalités très diverses des zones d’interventions.
Globalement les données dont nous disposons confortent l’intérêt pour la petite irrigation -
Analyse des impacts des investissements dans la gestion des ressources naturelles sur le secteur élevage dans les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry au Niger
L’étude est conduite au Niger par une équipe pluridisciplinaire composée d’experts nigériens sous la coordination scientifique du Centre Régional d’Enseignement Spécialisé en Agriculture (CRESA) de l’Université Abdou Moumouni de Niamey. Le fondement méthodologique le plus important de l’étude est de comparer la situation avec et sans intervention. A partir d’une comparaison de la situation avec et sans investissement, il faut, si possible, connaître la situation avant (baseline data) et après intervention. Il est important de calculer les impacts sur les sites où les investissements ont eu lieu, mais il faut aussi capturer les impacts hors site (on-site and off-site). Afin de pouvoir calculer les impacts économiques des investissements par des projets de gestion des ressources naturelles (GRN), il est important d’avoir une idée des effets cumulatifs.
Plusieurs thématiques de recherche ont été identifiées dont entre autres celle relative aux ressources pastorales.
La finalité de cette étude est de contribuer à la quantification des impacts des investissements dans la GRN dans les sites retenus afin d’aboutir à une évaluation économique. -
Pour une stratégie en faveur des nouvelles technologies d’information et de la communication dans les pays les moins avancés d'Afrique
Le nouvel ordre économique et l’économie de marché sont caractérisés par la mondialisation qui amènent les pays quelque soit le niveau de développement, à s’ouvrir à la compétition et à divers transactions, créant ainsi une place primordiale à l’utilisation des (TIC).
L'accès à l'information, et donc à l'acquisition de connaissances, est considéré comme crucial pour le processus de développement. A cet égard, la technologie mérite à l’heure actuelle une attention nouvelle car elle crée des possibilités de faire avancer la santé et la nutrition, d’élargir le savoir, de stimuler la croissance économique et de donner aux individus les moyens de participer à la vie de la collectivité.
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Défi de l'agriculture africaine et mondiale
Cette analyse dresse un tableau sombre ainsi que de défis et potentiels de l' Agriculture africaine et mondiale.
2.4 milliards de plus de personnes à nourrir à 2050
1.2 milliards de plus d‘Africain dans les villes à 2050
16% des terres africaines sont arables, la plus large réserve du monde
79% de la terre arable africaine reste non cultivée
Les prix d‘engrais ont augmenté de 40% en moyenne
3.5 million de plus de tracteurs sont nécessaires pour mettre l’Afrique au même niveau que les autres régions du monde
Les pertes annuelles céréalières d‘après-récolte en Afrique au Sud du Sahara sont estimées à plus de $4 milliards en moyenne et avoisinent la valeur équivalente d‘importation en céréales de la région. -
Les techniques de forage manuel
UNICEF, Practica et EntrepriseWorks/VITA ont développé une mallette pédagogique à l’intention des pays africains souhaitant s’engager dans la professionnalisation du secteur du forage manuel. Cette mallette pédagogique comprend des fiches et manuels techniques, des éléments de plaidoyer, des cartographies des zones appropriées pour le forage manuel, des études de cas, et des manuels de formation et de mise en œuvre. Cette initiative contribue à renforcer les capacités du secteur privé local de façon à répondre aux besoins en eau potable des zones rurales qui ne cessent de croître. Cette fiche technique est la quatrième d’une série de cinq. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
L’oignon est une des principales cultures irriguées dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis (Goulbi Maradi et Goulbi Kaba) et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données de 2015 du Ministère de l’Agriculture, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34.200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. La surface moyenne par producteurs est d’environ 1.200 m2 et le rendement moyen est évalué à 20 tonnes/ha (conseil de gestion aux exploitations 2017). -
Accès au marché et commercialisation de produits agricoles
De nombreux agriculteurs et éleveurs en Afrique subsaharienne rencontrent de réelles difficultés pour écouler leurs produits sur les marchés. Ils se plaignent également de la trop faible valorisation qu’ils en tirent. Nombreux sont ceux qui déplorent « les prix trop faibles », « les prix irréguliers », des rapports de force en leur défaveur sur des « marchés déstructurés » et des « filières non organisées ». Pour faire face à ces difficultés, ces agriculteurs et éleveurs et leurs organisations développent des initiatives individuelles et collectives. Le thème de l’accès au marché et de la commercialisation des produits agricoles étant très vaste, des choix ont été faits pour « limiter » l’étendue du champ du Groupe de travail. Ce document vient capitaliser et restituer (i) la démarche de réflexions collectives développée au sein du Groupe de travail pour étudier et partager les études de cas, et (ii) des analyses croisées réalisées et des enseignements tirés à partir des différentes initiatives. Il se veut être un support d’échange et de mise en débat sur ces deux aspects. -
Le sésame dans le département d’Aguié au Niger : analyse d’une culture aux atouts non-négligeables dans une zone agricole à forte potentialité
Les conditions agro-écologiques sahéliennes et le contexte socio-économique constituent les principaux facteurs qui influencent la dynamique des systèmes de production agricole de la zone d’Aguié au centre du Niger. Dans cette région, l’augmentation de la pression démographique et la compétition pour les ressources naturelles entre les cultures et les animaux accentuent la pression foncière. Les faibles superficies par habitant engendrent un remaniement des systèmes agraires. Les agriculteurs privilégient des cultures à la fois vivrières et de rente. Pour eux, la diversification des cultures est une des stratégies de minimisation des risques et de sécurisation du foncier. Cet article étudie l’intérêt de la culture du sésame dans la région d’Aguié. Il a été réalisé à partir d’une revue bibliographique, de données des services techniques du département d’Aguié et d’enquêtes et d’observations auprès de producteurs et des organisations concernées. Il en ressort que la culture du sésame constitue une opportunité pour sécuriser les besoins alimentaires et financiers des ménages locaux. De par la proximité de la région avec le Nigéria, cette culture est un atout économique pour les ménages ; comme le prouve l’analyse de ses comptes d’exploitation. -
Quelques repères pour cerner la spécificité et les différentes dimensions de ce que l’on appelle une « exploitation familiale »
Cette note est tirée d’un document de l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) intitulé « Ce qu’ont appris les exploitation familiales des membres de l’APESS » rédigé par Loïc Barbedette en mars 2013. -
Pratiques sylvicoles et culturales dans les parcs agroforestiers suivant un gradient pluviométrique nord-sud dans la région de Maradi au Niger
Une étude sur les pratiques sylvicoles et culturales dans les parcs agroforestiers a été conduite dans trois terroirs villageois de la région de Maradi suivant un gradient pluviométrique nord-sud. Des enquêtes auprès des producteurs et des relevés sur le terrain sont les outils méthodologiques utilisés pour la collecte des données. Les résultats obtenus montrent que la pratique de la régénération naturelle assistée dans les terroirs villageois a révélé qu’elle a duré au moins 10 ans. Elle se pratique par imitation des parents ou des voisins ou est initiée par les projets et les services techniques de vulgarisation. Les raisons qui ont guidé les paysans à protéger et entretenir les arbres sont l’approvisionnement en bois, la fertilisation des sols, l’alimentation du bétail, la pharmacopée traditionnelle et la lutte contre l’érosion. La diversité végétale est beaucoup plus importante dans le terroir villageois de Moulmouchi que dans ceux de Batchaka et Koda. Il ressort également que les espèces à grande valeur agronomique, économique et alimentaire sont préférées par les producteurs. Les différentes opérations sylvicoles utilisées dans les terroirs montrent que les paysans accordent beaucoup d’attention à la protection et la gestion des ligneux dans les champs. -
Gestion agro écologique des cultures fruitières et maraîchères
Aujourd'hui, les systèmes horticoles doivent évoluer pour à la fois augmenter leur productivité et prévenir les risques pour la santé humaine et l’environnement. la maîtrise des bio-agresseurs sans recours aux pesticides de synthèses, constitue une voie privilégiée pour la mise au point des systèmes horticoles de demain. l'augmentation de la diversité des plantes cultivées et sub-spontanée dans les systèmes de culture, en favorisant notamment le développement des organismes axillaires ( prédateurs, pollinisateurs, parasitoïdes ... ), permet de contrôler plus durablement les populations de ravageurs. -
Le pompage solaire
Les préoccupations dictées par les enjeux de développement durable, et le souci de maîtriser les coûts d’exploitation dans un contexte de renchérissement du prix du gasoil incitent en effet à étudier de près l’option « solaire » pour le pompage des eaux destinées à l’approvisionnement en eau de boisson, mais aussi pour le développent des activités maraichères qui procurent sécurité alimentaire et revenus. La technologie du photovoltaïque a beaucoup progressé dans la période récente en termes de performance et de réduction des coûts, à l’investissement initial comme en termes de charge d’exploitation. -
Striure brune du manioc
Striure brune attaque le manioc et dans les cas modérés à sévères rend les racines impropres à la consommation humaine ou animale. -
Fiche technique Moringa
Fiche technique du moringa -
Culture et entretien du moringa
Cette fiche porte sur la culture et l'entretien du moringa -
Grandes aires protégées des zones sahélo-sahariennes : quelle contribution à la conservation ?
Les grandes aires protégées d’Afrique de l’Ouest situées dans des zones arides, sont localisées dans les écorégions (WWF) « savane d’acacia sahélienne », « désert du Sahara » et « steppe et zone boisée du sud du Sahara ». Elles sont réparties dans cinq pays : le Burkina Faso (Réserve Sylvo-pastorale et partielle de faune du Sahel), le Mali (Réserve partielle de faune d’Ansongo Ménaka), la Mauritanie (Guelb er Richât), le Niger (Réserves naturelles nationales de l'Aïr et du Ténéré, de Termit et de Tin Toumma (en cours de création)) et le Tchad (Réserve de faune de Ouadi Rimé - Ouadi Achim).
Ces aires protégées ont généralement des superficies très importantes (1 500 000 ha au minimum chacune) et sont situées dans des zones où la densité de population est très faible. On peut très schématiquement les diviser en trois groupes : les aires protégées classées dans les années 1950-1970, qui ont perdu une grande partie de leur intérêt premier, et dont la question de la vocation se pose aujourd’hui ; les aires protégées classées plus récemment où des projets de nouveau zonage sont en cours, et enfin les nouvelles aires protégées en cours de création. -
Problématique de trois systèmes irrigués en Afrique (Fleuve Niger, Fleuve Sénégal, Lac Alaotra) : Bilan et évolutions institutionnelles
La libéralisation des économies, les phénomènes généralisés de croissance démographique et d’urbanisation ouvrent de larges perspectives, d’une part, aux productions vivrières locales et en particulier à la riziculture qui devrait rester largement dominante sur les périmètres, et d’autre part, aux autres productions irriguées (fruits et maraîchage notamment). Le marché n’est pas une contrainte au développement de ces productions sous réserve de leur compétitivité et de leur accessibilité aux circuits de commercialisation. -
Culture et entretien du moringa
Le moringa (Moringa oleifera Lam), connu à Maurice comme le « mouroum », est un arbre originaire de l’Inde. Autrefois cultivé en arrière-cour pour ses feuilles et ses gousses afin de subvenir aux besoins alimentaires de la famille, le moringa connait aujourd’hui un intérêt grandissant au niveau mondial, en raison de ses vertus exceptionnelles environnementales, médicinales, industrielles et nutritionnelles.
Le moringa est considéré comme un super aliment car il est très riche en protéine, calcium, fer, potassium et en vitamines A et C. Une comparaison de ses valeurs nutritives avec d’autres aliments est présentée dans le
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Tuta absoluta (Meyrick) : un ravageur invasif des cultures maraîchères pour l’Afrique sub-saharienne
T. absoluta est un un lépidoptère nocturne de la famille des Gelechiidae, originaire d’Amérique du Sud. Les adultes mesurent 6-7 mm de long et environ 8 à 10 mm d’envergure. Ils sont gris argenté à marrons avec des écailles de couleur brune à noire sur les ailes antérieures (Photo 1). Les mâles sont un peu plus sombres et plus petits que les femelles. Les antennes sont filiformes et mesurent les 5/6èmes des ailes. Les oeufs, de 1 mm environ, sont de forme cylindrique et de couleur crème à jaunâtre (Photos 2 et 3). Les chenilles sont de couleur crème (1er stade) puis deviennent verdâtres et rosâtre au dernier stade (du 2ème au 4ème stade). Elles mesurent de 0,6 à 0,8 mm au 1er stade jusqu’à 7,3 à 8 mm au 4ème stade (Photos 4 et 5). Une caractéristique des chenilles de T. absoluta est la présence au niveau de la tête de 2 étroites bandes noires, une latérale et une ventrale. La chrysalide (4 à 5 mm) initialement de couleur verte devient progressivement brune (Photo 6). -
L’agriculture de conservation, qu’est-ce que c’est ?
L’agriculture de conservation, nom qu’on a finalement donné à ces nouvelles orientations de production agricole, était née. L’AC (écrit également ACS pour agriculture de conservation des sols), en résumé, ce sont donc les principes suivants : - Le non labour (arrêt de la charrue ; le travail du sol est simplifié, cela va des TCS au pur semis direct SD). - L’implantation de couverts végétaux d’interculture. - Une rotation diversifiée avec le plus possible d’associations végétales (dans le temps et dans l’espace). Aujourd’hui, la tendance va vers une évolution de la terminologie en préférant parfois parler d’agriculture régénérative. -
La culture du soja et d’autres légumineuses
Cet Agrodok a pour objectif d’aider les cultivateurs et conseillers agri-coles à faire les bons choix en fonction des circonstances spécifiques à leur région. -
Caractérisation des stratégies d'adaptation au changement climatique en agriculture paysanne
Etude de capitalisation réalisée sur les terrains de coopération d’AVSF -
Mise en œuvre de la GIRE à Madagascar et WASH -partout
« Il devient impérieux de protéger, conserver et utiliser d’une façon rationnelle et intégrée les ressources en eau du pays. » • « L’eau est une ressource vitale, indispensable à l’homme pour se maintenir en vie, et il faut donc permettre à tous, notamment les plus pauvres et les plus démunis d’y accéder. » -
Les agricultures familiales innovent
Ce travail collaboratif vise à la capitalisation d‘innovations locales et paysannes.
Cette démarche avait pour but le partage de connaissances, pour valoriser des solutions innovantes mises en œuvre au bénéfice des agricultures familiales du Sud, pour répondre à leurs défis quotidiens, notamment la sécurité alimentaire, le changement climatique, la pauvreté rurale, l’appauvrissement des sols et des écosystèmes, l’accès au crédit, au marché, et à l’accompagnement -
Les nématodes parasites du Moringa dans la zone périurbaine de Niamey (Niger)
Moringa (Moringa oleifera Lam) est une culture qui prend de plus en plus de l’importance au Niger mais très peu d’intérêt a été porté aux problèmes phytosanitaires. L’objectif de l’étude était d’identifier les nématodes parasites qui lui sont associés.
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Itinéraire technique de la papaye "Carica papaya"
Le PIP est un programme de coopération européen géré par le COLEACP. Il est fi nancé par l’Union européenne et a été mis en œuvre à la demande du Groupe des Etats ACP (Afrique, Caraïbes et Pacifi que).
En accord avec les Objectifs du Millénaire, l’Objectif global du PIP est de « Préserver et, si possible, accroître la contribution de l’horticulture d’exportation à la réduction de la pauvreté dans les pays ACP ». -
Rapport sur la pauvreté rurale 2011
On estime aujourd’hui à 1 milliard le nombre de ruraux pauvres dans le monde. Mais il y a de bonnes raisons de penser que la pauvreté rurale peut être combattue avec succès si l’on crée de nouvelles possibilités de promouvoir la croissance rurale et si l’on améliore le contexte de risque. Le présent rapport décrit un programme d’action fondé sur une approche diversifiée de la croissance rurale, que les différents pays doivent reprendre à leur compte et adapter à leurs besoins et aux réalités locales -
SAHEL 2014
Note sur la Promotion de l’Agriculture Familiale au Niger exemple du cas de Projet d’Appui à la Sécurité Alimentaire et au Développement dans la Région de Maradi PASADEMAujourd’hui il y a un débat qui s’instaure à travers le monde entre les
partisans du développement de l’agriculture industrielle pour nourrir le monde et ceux de la promotion et du renforcement d’une agriculture familiale durable capable d’insuffler un développement rural équilibré et équitable. -
L’agroécologie en pratiques
Le présent guide présente des pratiques agroécologiques -
Améliorer la gestion des ressources naturelles pour la sécurité alimentaire en Afrique
Cet ouvrage porte sur l'amélioration de la gestion des ressources naturelles pour la sécurité alimentaire en Afrique -
La récolte du Mil à GABI région de Maradi : les étudiants de l’UDDM de Maradi s’engagent dans la vulgarisation des semences améliorés dans leurs terroirs
Mr ELH MAHAMANE Rabé est étudiantrégulièrement inscrit en Master II Science de production végétale à l’Université Dan Dicko Dankoulodo de Maradi (UDDM). Lors du module sur la gestion des risques climatiques des cultures pluviales, enseigné par Dr Hannatou Moussa, chercheur au CERRA-INRAN Maradi, le professeur a présenté les caractéristiques d’une variété précoce de mil, la variété Chakti qui a un cycle de 50 à 60 après semis. -
Climate-smart agriculture : pour une agriculture climato-compatible
L’agriculture intelligente face au climat (climate-smart agriculture – CSA) a comme objectifs d’être adaptée au changement climatique et de l’atténuer, tout en contribuant de manière durable à la sécurité alimentaire. -
Écologie, systèmes de culture et utilisations alimentaires des ignames en Afrique tropicale : synthèse bibliographique
Cette revue de littérature couvre la botanique, la domestication, l’écologie, les systèmes de culture, la transformation ainsi que les contraintes et perspectives pour une production durable des ignames en Afrique tropicale. L’igname est un taxon d’espèces essentiellement tropicales qui nécessitent des températures élevées. Ainsi, la germination est optimale entre 25 et 30 °C, alors que des températures inférieures à 15 °C ou supérieures à 35 °C la retardent. La culture de l’igname se pratique avec succès dans des zones où la pluviométrie varie entre 1000 et 1800 mm ; toutefois, il est possible de cultiver l’igname avec une pluviométrie de 600 mm mais le rendement reste faible. -
L’agro-écologie en pratiques
Le présent guide présente en introduction les relations entre les exploitations agricoles et leur milieu naturel, économique, social.
Il précise également la démarche nécessaire d’identification et de validation de pratiques dans les différents contextes avant leur diffusion.
Des fiches supplémentaires viennent étoffer les différentes parties du guide, notamment sur la protection phytosanitaire en arboriculture, la gestion de la fertilité du sol et les légumineuses dans les systèmes de cultures. -
Agricultural risk modelling to improve market information systems in developing countries
La modélisation des risques agricoles peut être incorporée aux systèmes d’information de marché pour fournir une information additionnelle aux producteurs, commerçants, bailleurs de fonds et décideurs politiques des pays en développement, afin de permettre une meilleure gestion des risques -
Dynamiques d'adoption de l'agriculture de conservation dans les exploitations familiales : de la technique aux processus d'innovation
L’agriculture de conservation (AC) est encore peu adoptée par les exploitations familiales des pays du Sud malgré´ des investissements importants en recherche et développement. Cet article, basé sur une revue non exhaustive de la littérature scientifique et sur les travaux présentés dans ce numéro thématique, explique la faible adoption de l’AC en milieu paysan due à des difficultés de mise en œuvre par les agriculteurs. -
Pratiques agroécologiques : Les cultures en courbes de niveau
Cette fiche technique montre comment pratiquer la culture en courbes de niveau -
La spiruline pour un monde sans famine
Ce présent guide porte sur la culture de la spiruline -
Mangue : itinéraires techniques
Ce guide technique très complet aborde l'ensemble des aspects de la culture de mangues -
Manuel des techniques d'irrigation sous pression
Ce manuel vise à offrir aux agriculteurs, techniciens d'irrigation et
vulgarisateurs qui travaillent sur le terrain un guide pratique sur l'utilisation
des techniques d'irrigation sous pression. Dans cette deuxième version ce
manuel, traduit en français pour la première fois, a été considérablement
remaniée et propose en particulier de nouveaux chapitres sur les systèmes
abordables d'irrigation goutte-à-goutte et de distribution à l'intention des
petits exploitants agricoles. -
La pisciculture de la carpe en rizière
Connaissez-vous un moyen simple et efficace de produire du poisson sans investissement couteux ? Il s’agit de la pisciculture en rizière, appelée aussi rizipisciculture. Cette pratique agro écologique permet de valoriser vos ressources en eau et vos rizières en produisant du poisson en même temps que le riz. Les bas-fonds rizicoles des Hauts Plateaux malgaches sont particulièrement propices au développement de la rizipisciculture qui peut concerner des dizaines de milliers d’exploitations agricole familiales. Cette bande dessinée permet de mieux faire connaitre auprès des jeunes ruraux le grossissement de la carpe en rizière qui jouent déjà un rôle important dans la sécurité alimentaire et la consolidation du revenu agricole des ménages. Essayez !! Et vous verrez !! -
La Production et Protection Intégrées appliquée aux cultures maraîchères en Afrique soudano-sahélienne
Ce document est destiné aux ingénieurs agronomes et aux vulgarisateurs. Il propose une stratégie pour la production de légumes « sains » afin de les guider vers la constitution de protocoles de cultures ou de référentiels techniques qui permettraient de donner aux maraîchers les connaissances pour produire des légumes bénéficiant d’un label assurant des produits de qualité. -
Conseil de gestion aux TPE agricoles familiales
Ce guide capitalise des expériences de conseil de gestion aux TPE agricoles familiales menées dans 22 pays du sud -
Agriculture durable et dynamiques territoriales dans les pays du sud
Le présent guide porte sur l'agriculture durable et les dynamiques territoriales dans les pays du sud -
Guide : l'agroécologie en pratique
L’édition 2020 du guide « L’agro-écologie en pratiques » vient actualiser la première édition parue en 2010. Cette nouvelle version présente en introduction - de manière plus détaillée - les relations entre les exploitations agricoles et leur milieu naturel, économique, social. Elle précise également la démarche nécessaire d’identification et de validation de pratiques dans les différents contextes avant leur diffusion.
Des fiches supplémentaires viennent étoffer les différentes parties du guide, notamment sur la protection phytosanitaire en arboriculture, la gestion de la fertilité du sol et les légumineuses dans les systèmes de cultures. C’est d’ailleurs cet accent mis sur les légumineuses qui a motivé le soutien de la Fondation Avril compte tenu de l’intérêt qu’elle leur porte, tant au plan agronomique que nutritionnel. -
Gestion intégrée de la chenille légionnaire d’automne sur le maïs : Un guide pour les champs-écoles des producteurs en Afrique
La chenille légionnaire d’automne (Spodoptera frugiperda), CLA, est un insecte originaire des régions tropicales et subtropicales des Amériques. Les larves de la CLA (photo) se nourrissent sur plus de 80 espèces de plantes, dont le maïs, le sorgho, le millet, la canne à sucre, les cultures maraîchères et le coton. La CLA peut entraîner d’importantes pertes de rendement si elle n’est pas bien gérée.
Elle peut avoir plusieurs générations par an et la noctuelle peut parcourir
jusqu’à 100 km par nuit. -
Le changement climatique. Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) – guide de l’animateur
Le but de ce module est de fournir aux animateurs de la JFFLS des informations qui leur permettent d’aborder le sujet du changement climatique, en particulier son impact sur l’agriculture et les actions que les agriculteurs peuvent entreprendre pour réduire leur vulnérabilité à ce changement. -
Note d'information de la FAO sur la chenille légionnaire d'automne en Afrique
Note d'information sur la chenille légionnaire -
Guy Nicolas, « Notes ethnographiques sur le terroir, l'agriculture et l'élevage dans la vallée de Maradi ».
Ce présent guide porte sur les notes ethnographiques sur le terroir, l'agriculture et l'élevage dans la vallée de Maradi -
Étude diagnostique des principales contraintes de la culture du niébé (Vigna unguiculata L. Walp) dans les régions de Maradi et Zinder au Niger
Le niébé (Vigna unguiculata L. Walp) est une culture alimentaire importante au Sahel. Son rendement est bas par rapport au potentiel de la plante. Pour identifier les principaux facteurs responsables de la baisse de rendement, une enquête a été conduite au niveau de 22 villages des régions de Maradi et Zinder. La pression parasitaire a été évoquée par 31,6 % des répondants, la sécheresse de fin de cycle par 31,6 %, la pauvreté des sols par 30,2 %, l’utilisation des matériels agricoles rudimentaires par 1,8 %, le conflit foncier par 1,6 % et le manque de variétés améliorées par 3,5 %. -
Enjeux et contraintes de l’élevage urbain et périurbain des petits ruminants à Maradi au Niger : quel avenir ?
Une étude a été menée à Maradi (Niger) pour déterminer les caractéristiques socio-économiques et les contraintes techniques de l’élevage urbain et périurbain de petits ruminants. Elle a montré que 60,9 p. 100 des ménages urbains et 81,1 p. 100 des ménages périurbains pratiquaient cet élevage. L’insécurité alimentaire dans les ménages, les vols, le manque d’intérêt et l’aspect contraignant de l’activité ont été les raisons évoquées par ceux qui ne le pratiquaient pas. -
Caractérisation de la race ovine Balami au Niger par analyse descriptive et multivariée des paramètres morpho-quantitatifs
L’objectif principal visé par cette étude est d’établir les caractéristiques phénotypiques quantitatives du mouton Balami au Niger. Elle a pris pour cible la zone de prédilection de la race, notamment la Région de Maradi (commune d’Azagor, Bermo, Dakoro) et celle de Tahoua (commune de Madaoua). Dix-sept paramètres morpho-biométriques quantitatifs ont été mesurés sur 311 Balamis
appartenant à 99 exploitations sur 10 sites choisis au hasard, en fonction de l’adhésion volontaire des éleveurs. -
La Chèvre Rousse de Maradi. Son exploitation et sa place dans l'économie et l'élevage de la République du Niger
Au carrefour du Sahel, nomade et pastoral, et du Sud, sédentaire et agricole, ses habitants s'adonnent depuis des siècles à l'une et l'autre de ces activités et notamment à l'élevage d'une race caprine dont la peau sous des noms divers a acquis une réputation mondiale -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Les larves de la mouche du chou et les chenilles de divers papillons provoquent les principaux dégâts d’insectes en
culture biologique de chou, et peuvent être responsables d’importantes pertes économiques. Cependant, une vigilance accrue et divers moyens de lutte permettent de limiter ou éviter ces dégâts. Les altises, pucerons et aleurodes peuvent également demander une attention particulière. Vous trouverez dans cette fiche quelques points de vigilance concernant les principaux ravageurs du chou. -
La protection des plantes: des approches pour produire plus avec moins
Les pesticides éliminent les ravageurs, mais aussi leurs ennemis naturels, et une utilisation excessive peut présenter des dangers pour les agriculteurs, les consommateurs et l’environnement.
La première ligne de défense est un écosystème agricole sain.. -
Sustainable rangeland management in Sub-Saharan Africa
Les écosystèmes et leurs services - animaux d'élevage et autres la production des pâturages, la faune sauvage et le tourisme - ne peut être durable et améliorée si les ressources qu'ils fournissent et les personnes qui dépendent d'eux sont en bonne santé.
Les pâturages occupent une place de choix parmi des écosystèmes variés. Ils représentent près de la moitié (48 %) de la terre, ou jusqu'à 62 % si les forêts sont incluses, et fournissent un large éventail de ressources, notamment les sols et l'eau, la végétation et la diversité génétique. Ces paysages aussi ont un rôle essentiel à jouer dans la réalisation d'un développement multiple les gains, notamment la sécurité alimentaire et nutritionnelle, l'eau, les emplois ruraux, les moyens de subsistance et la croissance dans des pays en mutation rapide économies ; adaptation au changement climatique et atténuation de ses effets ainsi que la paix, la sécurité, la stabilité et les
la prévention des conflits liés aux ressources.
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Sustainable land management in practice
La terre est la véritable richesse de l'Afrique subsaharienne (ASS). La région se caractérise par une très riche diversité de écosystème les ressources, y compris les sols, la végétation, l'eau et la diversité génétique. Ensemble, elles constituent les principaux capitaux naturels. C'est à partir de ces actifs que la fourniture de nourriture, d'eau, de bois, de fibres et de produits industriels, les services et fonctions essentiels des écosystèmes en sont dérivés. Et ils doivent être maintenus afin de soutenir les populations dans l'avenir. En même temps, c'est de la terre que 60 % des gens tirent directement leurs moyens de subsistance - de l'agriculture, de la pêche en eau douce, des forêts et d'autres ressources naturelles (FAO 2004). -
Les espèces végétales indicatrices de la fertilité des sols dans la commune urbaine d'Aguie, au Niger
Etude sur quelques plantes indicatrices de la fertilité des sols -
La pisciculture de subsistance en étangs en Afrique : Manuel technique
Manuel de pisciculture, ayant pour objectif d’apporter les éléments indispensables pour la mise en place de production de protéines animales « poisson » à moindre coût, en relation avec les ressources naturelles existantes et avec un minimum d’apports externes, dans un contexte de subsistance -
Analyse des impacts socio-économiques des investissements dans la gestion des ressources naturelles : Etude de cas dans les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry au Niger
Le Niger avec l’appui financier de plusieurs bailleurs de fond a alors entamé une série de programmes de développement axés sur la protection et la sauvegarde de l’environnement. Après plus de 30 ans d’efforts dans certains cas, il est important d’évaluer ces interventions notamment sur les aspects de restauration de l’environnement. Cette étude vise à évaluer la rentabilité des investissements (ouvrages de GRN) dans la restauration de l’environnement est la valeur monétaire des revenus que les bénéficiaires tirent de ces ouvrages. -
Impacts des investissements dans la gestion des ressources naturelles sur les systèmes de production dans les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry au Niger
Depuis les années 80-90, pratiquement dans tout le pays, ont vu le jour des projets du type gestion de ressources naturelles avec parfois des spécificités selon l’agence d’exécution et les zones d’intervention. Ces projets dits de GRN ont eu chacun un objectif prioritaire, celui de l’amélioration de la productivité agricole et les revenus des populations à travers divers types actions. La présente étude analyse les impacts sur les systèmes de productions, en particulier les productions végétales. -
Nouveaux équipements pour la petite irrigation en Afrique de l’ouest et du centre bilan en début 2001
Le Programme international pour la technologie et la recherche en irrigation et drainage (IPTRID) gère un programme qui vise, entre autres, à optimiser les équipements pour la petite irrigation en Afrique de l’Ouest et du Centre. L’IPTRID veut tester et développer tous les équipements, depuis les points d’eau jusqu’à la livraison au champ, correspondant aux conditions habituelles de la région. -
Organisations professionnelles agricoles et institutions financières rurales : Construire une nouvelle alliance au service de l’agriculture familiale
Ce guide opérationnel se veut un outil d’appui à la construction du partenariat entre organisations professionnelles agricoles et rurales, et institutions financières. Il est issu de travaux de recherche, d’appui au développement et de formations conduits principalement en Afrique de l’Ouest et à Madagascar dans les dix dernières années, avec des éclairages développés plus récemment sur l’Asie du Sud-Est et l’Amérique latine. -
Compte Rendu de la deuxième session du comité national d'organisation de pilotage ( CNOP ) du projet d'appui de l'agriculture sensible aux risques climatiques PASEC au titre de l'année 2018
La deuxième session du CNOP du PASEC au titre de l'année 2018 s'est tenue à Maradi du 06 au 07 septembre 2018. Cette session de deux jours a débuté le jeudi 06 septembre par une visite de certaines réalisateurs du PASEC dans la région de Maradi . -
Viabilité des grands périmètres irrigués au Niger. Une analyse en termes de construction des règles et de gouvernance « hybride »
Le désengagement de l’Etat dans de nombreux pays d’Afrique sub-saharienne au cours de la décennie 1980 a engendré une réorganisation des relations entre des acteurs concernés par la gestion des périmètres irrigués. Dans ce nouveau contexte, une partie significative des fonctions a été transférée aux organisations paysannes et aux associations d’usagers. Il en découle de nouvelles modalités institutionnelles de gestion de l’eau et de nouvelles formes de gouvernance de l’eau au niveau local. L’objet de cette communication vise à analyser, au travers du cas du Niger, la pérennité de tels arrangements et les dynamiques de construction de nouvelles règles de gestion de l’eau au sein des périmètres irrigués dans le contexte de désengagement de l’Etat. Pour approcher l’originalité, la pérennité et le degré d’efficacité de ces arrangements, l’analyse met l’accent sur la manière dont s’articule le local/global. Cette communication développe notamment l’idée d’une co-construction de « règles hybrides » dont rend compte une analyse en termes de « gouvernance hybride ». -
Tendances et perspectives de l’irrigation en Afrique sub-saharienne
En Afrique sub-saharienne, il n’y a que 4 pourcent des terres arables sous irrigation et l’on y prélève moins de 2 pourcent de l’eau disponible pour tous les usages. En moyenne, 18 pourcent des superficies équipées pour l’irrigation ne sont pas du tout exploitées, et les taux d’utilisation varient généralement entre 50 pourcent et 80 pourcent. C’est dire qu’un potentiel considérable reste disponible pour l’intensification et l’expansion des terres irriguées. Ce potentiel pourrait être libéré moyennant des investissements soutenus dans le sous-secteur. Toutefois, pour être efficace, investir dans l’irrigation implique l’investissement dans toute une série d’activités connexes qui contribuent à la rentabilité de l’irrigation. La part actuelle de l’investissement privé dans l’irrigation au niveau mondial confirme cette rentabilité. Cependant, pour l’Afrique sub-saharienne, les perspectives seraient beaucoup plus favorables si l’assistance publique au développement et notamment les investissements directs étrangers (IDE) n’accusaient pas une tendance au déclin. -
Etude documentaire sur la gestion de l’eau en Afrique sub-saharienne et région Caraïbes
L’Afrique sub-saharienne est traversée par de graves crises et des profondes mutations au niveau de ses systèmes irrigués. Elle devra résoudre la fois des questions de connaissances de la ressource, d’aménagement et de réhabilitation, d’amélioration des performances et d’adaptation aux ouvertures des frontières, de désengagement de I’Etat et de transfert de gestion, de décentralisation et de participation, et de des conflits dont l’accès à l’eau est souvent la source. Les enjeux et les responsabilités des gestionnaires de l’eau sur le continent sont énormes. -
Schéma d'aménagement foncier de la région de maradi
Le saf est un outil de gestion harmonieuse,durable de l'espace rural ainsi que des ressources naturelles qu'il porte dans le contexte de pression démograpgique et animale croissante -
Document cartographique et inventaire des ressources foncière de la région de maradi
La croissance démographique de la population nigérienne et le caractère extensif des systèmes de production agro-pastoraux ont fragilisé les écosystèmes,accru leur dégradation et exacerbé les conflits entre les différents utilisateurs -
Étude d’avant projet et detaillé ( APD ) et élaboration du dossier d'appel d'offres (DOA) dans les régions de Maradi Zinder et Tahoua
Suite à une procédure de pré-qualification, la Direction Générale du Génie Rural relevant du Ministère
de l’Agriculture du Niger, représentée par le Projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de
la sécurité alimentaire dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERZA-MTZ, désigné ci-après
par "Client"), a invité, le 07/02/2012, STUDI International à lui soumettre une proposition technique et
financière pour une " Etude d'Avant-Projet Détaillé (APD) et élaboration du Dossier d'Appel d'Offres
(DAO) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder ", financé par GAFSP - FAD. Pour cet appel
d'offres restreint, six Consultants ou groupements de Consultants ont été invités. -
Étude d'avant projet détaillé (APD) et élaboration du dossier d'appel d'offre dans les régions de Maradi Tahoua et Zinder
Suite à une procédure de pré-qualification, la Direction Générale du Génie Rural relevant du Ministère de l’Agriculture du Niger, représentée par le Projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERZA-MTZ, désigné ci-après par "Client"), a invité, le 07/02/2012, STUDI International à lui soumettre une proposition technique et financière pour une " Etude d'Avant-Projet Détaillé (APD) et élaboration du Dossier d'Appel d'Offres (DAO) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder ", financé par GAFSP - FAD. Pour cet appel d'offres restreint, six Consultants ou groupements de Consultants ont été invités. -
Étude d'avant projet détaillé (APD) et élaboration du dossier d'appel d'offre (DAO) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder:Phase 2: Etudes APD /DAO
Volume 3 – APD/DAO du programme prioritaire de Zinder
Rapport APDSuite à une procédure de pré-qualification, la Direction Générale du Génie Rural relevant du Ministère de l’Agriculture du Niger, représentée par le Projet de mobilisation des eaux pour le renforcement de la sécurité alimentaire dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERZA-MTZ, désigné ci-après par "Client"), a invité, le 07/02/2012, STUDI International à lui soumettre une proposition technique et financière pour une " Etude d'Avant-Projet Détaillé (APD) et élaboration du Dossier d'Appel d'Offres(DAO) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder ", financé par GAFSP - FAD. Pour cet appel d'offres restreint, six Consultants ou groupements de Consultants ont été invités. -
Guide technique d’une chaîne de recyclage des sachets plastiques dans les pays en développement - Projet de Kinshasa (RDC). Tome 1 : description de la filière
Ce guide technique a été réalisé par Ingénieurs sans Frontières Belgique et Umoja Développement
Durable RDC, en partenariat avec l’Union Européenne dans le cadre du contrat « Appui au
développement d’une filière de recyclage de déchets plastiques dans les communes de Lemba, Ngaba et Makala à Kinshasa-RDC » sous la subvention ONG-PVD/2005/113-506.
Kinshasa compte environ 8 millions d’habitants. Les pillages, la guerre et la désorganisation de l’état ont causé l’effondrement des activités productives et entraîné une misère dramatique de la population. Les sachets, petits et grands, y sont utilisés comme partout de façon pléthorique: on y met farine, eau, huiles, détergents, conserves, légumes, etc… Mais comme partout, ils sont jetables : millions de sachets qui ne disparaissent jamais, envahissent tout, créant un impact négatif important et parfois catastrophique… -
Mémoire technique APD - Etude et élaboration du DAO pour 17 ouvrages de mobilisation des eaux dans la région de Maradi
L’un des piliers de la politique du Gouvernement de la 7è République du Niger est l’amélioration des conditions de vie des populations en général à travers le Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage qui a à sa charge la mise en œuvre de l’axe 1 « Maitrise de l’eau pour les productions agro sylvo pastorales et halieutiques » de l’Initiative « 3N », les Nigériens Nourrissent les Nigériens» 2016-2020. -
Rapport d’étude hydraulique et hydrologique pour la réalisation et la réhabilitation de neuf (14) seuils d’épandage, l’aménagement de deux (02) mares et le sur creusage d’une mare dans la Région de Maradi.
La région de Maradi se trouve au centre Sud du Niger, elle couvre une superficie de 41 796 Km2. La population est de 3 404 645 (RGPH 2012)avec une densité de 81h/Km2.
L’étude hydrologique a pour but, l’estimation des caractéristiques hydrologiques (apports interannuels et débits projet) nécessaires pour définir le schéma d’aménagement et le calage et le dimensionnement des ouvrages.
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Etude d’impact environnemental et social du projet de construction ou de réhabilitation de 14 seuils et d’aménagement de 3 mares dans la région de Maradi
La région de Maradi dispose d’énormes potentialités hydrographiques dont trois vallées qui tendent à se fossiliser : celles du Goulbi de Maradi, du Goulbi N’Kaba et de la Tarka à écoulements souvent temporaires pendant la saison des pluies et une quantité importante de mares. -
Etude géotechnique des ouvrages dans la région de maradi
Suite au passage de notre équipe en vue de la réalisation de l'étude de réhabilitation du seuil de maraka la direction régional du génie rural a fait le constat suivant -
Supervision des formations des brigadiers
Dans le cadre du projet RUWAN MU, la DGPV a organisé une seconde formation des brigadiers phytosanitaires dans toutes les zones d’intervention du projet. A cet effet la région de Maradi a bénéficiées de douze (12) centres de formation. Chaque centre comporte vingt (20) brigadiers soit un total de 240 brigadiers. Ce qui porte 400 brigadiers formés dans la région de Maradi sous le financement de PPI RUWANMU au titre de l’année 2014. -
Rapport de mission : la recherche de l'agronomie au Niger
L'INRAN a institué comme une tradition depuis quelques temps la réunion annuelle de tous les cadres et services du développement rural dont le but est de procéder a l'examen et à l'évaluation des programmes de pluridisciplinaire conduits par l'INRAN au cours de la saison d'hivernage écoulé -
Note de suivi de trois unités de production de biopesticide à base des graines de neem au niveau des villages de Danja, Sarkin Hatsi et Garin Maiganga (Région de Maradi)
Pour contrôler ces ennemis de culture, la majorité des producteurs font recours aux pesticides chimiques de synthèse. L’utilisation excessive de ces produits, souvent non homologués, n’est pas sans effets néfastes sur la santé humaine et animale. Cette pratique contribue aussi à la dégradation de l’environnement en polluant les sols exploités et les nappes phréatiques. La promotion des biopesticides à base des plantes est une solution alternative durable surtout à l’endroit des producteurs à faible revenu.
C’est dans ce cadre que le projet « Legume1 System Research LSR Inn-Lab / INRAN Feed the future » financé par USAID intervient pour appuyer trois groupements féminins pour l’entreprenariat agricole sur la production de biopesticide à base des graines de Neem ‘‘Neem tea bag’’ ou ‘’Farine de graines de neem ensachée’’. Le neem est un merveilleux insecticide 100% naturel, inoffensif pour l'homme et les animaux, actif contre plus de 200 insectes, les acariens, les nématodes, les champignons et les bactéries (Vallet, 2006). La méthode de lutte avec le ‘‘Neem tea bag’’ est l’une des technologies AIC (Agriculture Intelligente face au Climat) car elle préserve l’environnement et permet une augmentation des rendements de culture. Ces unités de production et de vente du « Neem tea bag » ont été mises en place par l’équipe du Laboratoire d’entomologie de l’INRAN-Maradi. -
Les triplés d’Aguié, une vache donne naissance à trois veaux lors de son premier vêlage
Événement inédit dans la région de Maradi, Commune d’Aguié, plus précisément dans le village de Gamji Saboua Peulh, personne n’avait encore vu cela dans la zone, une vache donne naissance à trois nouveaux nés, un veau et deux velles. Deux mois après leur naissance, les trois veaux se portent bien.
Cette naissance multiple fait suite à une insémination artificielle réalisée dans le cadre du Programme National d’Amélioration Génétique (PNAG) du Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage. -
Note sur la démarche de mise en place des sites de formation professionnelle des Jeunes Agriculteurs/trices
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Maradi s’est engagée dans la formation des jeunes agriculteurs/trices lors de la campagne saison froide 2019-2020 au niveau de cinq sites : Safo, Soumarana, Keguel, Saoulaoua et Tibiri.
Avec l’appui du Programme de Promotion de l’Emploi et de la Croissance Economique dans l’Agriculture (PECEA), la CRA et ses partenaires ont mis en place un dispositif de Formation Professionnelle en Agriculture destinée à former les jeunes agriculteurs (trices) sur les bonnes pratiques agricoles et de gestion. Au total 100 jeunes sont formés pendant la campagne maraîchère froide (Octobre 2019-Février 2020) au niveau de 5 sites de production à raison de 20 jeunes/sites. Cette formation est assurée par des opérateurs FCMN Niya et GSC Alhéri.
Au terme de cette formation, les jeunes, qui le désirent et qui remplissent les conditions, seront accompagnés pendant leur phase d’installation pour accéder à des financements au niveau des institutions financières. -
Production des parasitoïdes Habrobracon hebetor Say dans la Région de Maradi
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Maradi, s’est engagée à diffuser des informations à l’endroit des producteurs en matière du climat et des actions AIC (agriculture intelligente face au climat).
C’est ainsi que la CRA s’intéresse à la lutte biologique contre la mineuse de l’épi du mil. La région de Maradi fait partie des zones principales de production du mil et, par conséquent, elle est sujette aux dégâts causés par cette chenille.
La lutte biologique est l’une des principales luttes développées contre la mineuse de l’épi. Cette lutte consiste en la production et le lâcher du parasitoïde Habrobracon hebetor Say, prédateur de la MEM, ainsi que la production de son hôte Corcyra cephalonica Stainton, une autre chenille qui permet d’élever le parasitoïde afin d’obtenir un nombre important de celui-ci.
C’est ainsi que des unités de production des parasitoïdes ont été mises en place, au nombre de 8 à travers le Niger dont 5 dans la région de Maradi dans le cadre d’un projet. La CRA s’est intéressée à ces unités de production un an après la fin du projet. -
Souchet
Au Niger, la culture du souchet se pratique sur l’ancien bassin arachidier de la région de Maradi qui représente plus de 95% de la production nationale. La production annuelle a été estimée à 38.800 tonnes en 2008. Elle serait en diminution régulière depuis cette date avec 22.800 tonnes en 2012. La réflexion de cette ONG part de deux constants : la majorité du souchet produit au Niger part vers le Nigeria où il est utilisé dans l’agro-alimentaire de ce pays ou est exporté vers l’Espagne pour produire une boisson (orchata de chufa) et le Niger consomme des « jus » qui sont fabriqués sur place pour les boissons sucrées pétillantes ou importés. Pourtant, à Maradi quelques femmes essayent de produire une boisson en valorisant le souchet. C’est ce créneau de valorisation que se propose de travailler cette ONG qui a commencé par un rapport d’enquête sur le souchet réalisé par ses membres. -
Potentialités agricoles et forestières
L’étude a d’abord synthétisé plusieurs bases de données géographiques (AGRHYMET, FAO, IGN) sur les ressources naturelles. Les résultats identifient six classes de sols. Les sols irrigables, constitués par les sols de la vallée de Tarka, du Goulbi N’Kaba et du Goulbi Maradi, représentent 12 % de la superficie totale de la région. L’analyse de l’occupation du sol de la région de Maradi a permis confirmer que les zones irrigables de la région Maradi ont des sols hydromorphes. L’étude a permis de délimiter les aires protégées de la région repartie en forêt classée, en forêt protégée, en réserve de faune et gommerais. Cette étude donne des informations sur la localisation et l’extension des potentialités agricoles et forestières de la région de Maradi. Ces informations peuvent être utilisées pour réaliser un plan d’aménagement et de gestion de chaque zone présentant un potentiel agricole. -
Expérience du Programme Niger FIDA dans la mise á l’échelle de la Régénération Naturelle Assistée (RNA)
Les sècheresses successives des années 70 et 80, couplées à la croissance démographique, ont eu des conséquences dramatiques notamment sur l’environnement, avec une régression significative du couvert végétal, une érosion de la biodiversité et une modification des systèmes de production. Cette situation s’est fait sentir avec plus d’acuité dans la région de Maradi où la pression démographique est la plus élevée du pays, avec une densité dépassant souvent les 100 hts au Km2. Pour s’adapter à cette crise écologique, les communautés locales ont, avec principalement l’appui de l’Etat et du FIDA, initié une approche novatrice de restauration et de protection et valorisation du couvert végétal, à travers l’adoption massive de l’agroforesterie. -
Etude des paramètres de reproduction et de développement de Clavigralla tomentosicollis Stål, 1855 (Hemiptera : Coreidae) et son incidence sur le rendement du niébé dans la région de Maradi au Niger
Le niébé, Vigna unguiculata (L.) Walp (Fabaceae) est une importante culture alimentaire en Afrique de l’Ouest. Sa production fait face à plusieurs contraintes dont les insectes ravageurs. La punaise brune Clavigralla tomentosicollis Stål, 1855 est l’un des ravageurs les plus importants. Cette étude a été initiée pour déterminer les paramètres biologiques de l’espèce et évaluer les pertes de production occasionnées à la culture. Les observations effectuées en champ au cours des saisons agricoles 2014 à 2016 ont permis d’établir que C. tomentosicollis infeste la légumineuse au cours de sa phase de fructification et développe au moins trois générations occasionnant des pertes de rendement en graines de 17,5 à 26,5%. -
Diversité et structure des peuplements ligneux issus de la régénération naturelle assistée (RNA) suivant un gradient agro-écologique au centre sud du Niger
La régénération naturelle assistée (RNA) joue un rôle important dans l’amélioration de la fertilité des sols et la production agricole. La présente étude s’inscrit dans cette logique dont l’objectif principal est d’analyser l’influence du gradient agro-écologique sur les caractéristiques des peuplements ligneux au centre sud du Niger. Cette étude a été conduite dans quinze (15) villages pratiquant la RNA répartis dans trois (3) zones en l’occurrence la zone sahélienne stricte, sahélo-soudanienne et nord-soudanienne soient 5 villages par zone; -
Prolifération de Sida cordifolia L. sur les parcours sahéliens, cas du Niger
Cette étude vise à caractériser la prolifération de Sida cordifolia L. sur les parcours naturels au Niger. Les données, collectées au moyen de relevés phytosociologiques, ont permis de caractériser par zone bioclimatique, l’abondance et la dominance des espèces herbacées en mettant en exergue Sida cordifolia L. Une typologie des pâturages faite en fonction de leur degré de colonisation par cette espèce a permis de distinguer trois types de pâturage : les pâturages colonisés (fortement ou moyennement, faiblement), tous situés au sud et ou au centre de la région en zone agricole ou agropastorale, soumis à une très forte pression pastorale et les pâturages non colonisés par cette espèce, essentiellement situés au nord de la région en zone pastorale, soumis à une faible pression animale. La pression pastorale serait la cause principale de la prolifération de Sida cordifolia L. sur ces parcours. Ainsi, les pâturages non ou faiblement colonisés seraient fortement colonisés si la pression de pâture ne diminue pas. Il est donc nécessaire d’adapter la charge animale aux capacités de charge de ces pâturages afin de renverser cette tendance à la dégradation de ces écosystèmes pastoraux et améliorer leur valeur pastorale. -
Formation des micro entrepreneurs de systèmes pico photovoltaïques
Le présent module qualifiant, constitue le premier volet de formation de techniciens spécialisés dans l’exploitation et la distribution des produits pico photovoltaïques en zone rurale africaine.
Ce module porte sur les astuces et compétences qui permettrons aux petits
entrepreneurs:
- d’identifier les produits pico PV de bonne qualité
- d’évaluer le besoin énergétique d’un client et de lui proposer le produit adapté
- d’assurer un service après vente en ce qui concerne l’utilisation, le déploiement
et l’entretien des produits pico PV
- d’informer et conseiller les usagers actuels et futurs -
Guide de bonnes pratiques de production des fruits et légumes
L’agriculture burundaise est la pierre angulaire de l’économie nationale et familiale. Ce secteur reste cependant dominé par une agriculture de subsistance affaiblie par les crises répétitives qui secouent le pays. La production agricole, majoritairement assurée par de petits exploitants dont les ressources sont limitées, ne parvient pas à couvrir les besoins de la population Burundaise. Le Burundi a une croissance démographique de 2.4% et les estimations montrent que le pays comptera 11.678.940 habitants en 2025. La nécessité d’augmenter les productions agricoles pour nourrir une population croissante est complexifiée par la diminution des terres cultivables du fait de la déprise agricole liée à la pression démographique. -
Etude comparative des caractéristiques morphobiométriques des chèvres Rousse et Noire de Maradi au Niger: analyse des paramètres quantitatifs et qualitatifs
Le Niger, compte environ 43 millions de têtes de bétail dont 36% de caprins. La chèvre Rousse de Maradi se distingue par ses remarquables performances zootechniques. La chèvre Noire partageant le même biotope est discriminée. La présente étude a pour objectif de comparer les caractéristiques morphobiométriques de la chèvre Rousse de Maradi et sa variante Noire vivant dans la même zone agro-écologique. -
Connaitre l’Agroecology - un guide des media pour les journalistes et les communicateurs africains
Outre les avantages pour les journalistes et les communicateurs, ce guide est également utile aux passionnés de développement, aux militants, à la vulgarisation agricole, aux groupes de la société civile, aux associations de jeunes, aux associations de consommateurs et aux responsables gouvernementaux. Il vise à aider ceux qui amplifient la transition vers l’agroécologie en Afrique.
Le guide explique les principaux termes et concepts et partage les préoccupations des différentes parties prenantes vis-à-vis de la transition vers l’agroécologie. Il se concentre sur les questions critiques de l’agroécologie telles que la souveraineté alimentaire et semencière, la nutrition, la biodiversité, l’agriculture industrialisée, les menaces qui pèsent sur les moyens de subsistance et les droits fonciers. Le guide donne également des conseils sur les rapports de base des médias et fournit des outils utiles aux communicateurs -
Evaluation finale de l’action du projet PASE - Rapport définitif de l’évaluation finale
Le Projet d’Accès aux Services Energétiques (PASE) constitue la phase pilote d’expérimentation dans la commune rurale de SAFO au Niger. Il est cofinancé par la Facilité Energie II de l’Union Européenne et le fonds GEF/PNUD. Le document n’est pas un rapport d’activités, encore moins un document de projet détaillé qui a vocation de détailler la mise en œuvre du projet ou les terminologies qui entourent la conception ou la mise en œuvre de ce projet. Il constitue le résultat de l’évaluation finale du projet et les principales conclusions ainsi que les analyses qu’il contient, sont formulées sous la seule responsabilité des évaluateurs. Elles sont indépendantes du point de vue officiel des différentes institutions partenaires du projet. -
Systèmes de production durables en zones sèches : quels enjeux pour la coopération au développement ? - Synthèse
Le rapport sur les systèmes de production durables en zones sèches a été rédigé par un bureau d’études, sur la base d’un travail collectif qui a réuni des représentants d’organisations de la société civile, d’organismes de recherche, de l’administration et des établissements publics, avec un double objectif :
• rendre visibles les contraintes, les opportunités, et le potentiel pour un développement rural et agricole durable des zones sèches ;
• faire des recommandations en direction des décideurs et des acteurs de la coopération internationale au développement pour renforcer les politiques de soutien à la durabilité des systèmes de production de ces zones.
Ce rapport s’appuie sur un ensemble d’études de cas qui valorisent des expériences concrètes de coopération au développement et permettent d’étayer des propos plus théoriques. L’objectif est de proposer des pistes d’actions pour une gestion durable des agro-écosystèmes des zones sèches et leur intégration dans des stratégies d’adaptation et d’aménagement des territoires ruraux. Le rapport permet ainsi d’avancer sur la définition des enjeux de ces zones, notamment en termes de développement d’innovations techniques, de gouvernance des ressources naturelles et foncières, de mobilisation des communautés locales, d’appui aux agricultures familiales, de valorisation des produits agricoles des zones sèches et de renforcement des politiques publiques. -
Facilitation d’une auto-évaluation à mi-parcours du programme d’appui à la petite irrigation (PAPI)
Le Programme d’Appui à la Petite Irrigation (PAPI) vise à développer le secteur horticole en donnant aux producteurs et productrices l’opportunité de vivre décemment de leur activité, et en offrant des opportunités d’emploi et d’auto-emploi pour les jeunes et les femmes. Le PAPI est implanté dans les régions de Dosso et Maradi.
Ce programme financé par la Coopération Suisse couvre une période allant de mars 2015 à décembre 2018 et dispose d’un budget de 9'850'000 CHF. Il est mis en oeuvre sous la responsabilité du Haut-Commissariat à l’initiative 3 N (HCi3N) et Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MAG/EL). Il et est porté par le Réseau National des Chambres d’Agriculture du Niger (RECA) accompagné par les CRA et les collectivités territoriales.
Au terme des deux premières années du PAPI, le processus d’auto-évaluation devait amener les différentes parties prenantes à poser un regard critique sur sa mise en oeuvre, apprécier les processus, les rôles des parties prenantes, apprécier les résultats du programme et les principales leçons tirées. -
Auto-évaluation du programme d’appui au secteur de l’élevage (PASEL - Phase 6 : 2010-2013)
La présente auto évaluation, située à six mois de la clôture du programme PASEL-phase 6 se déroulant de 2010 à 2013-, sur financement de la Coopération Suisse, a permis de recueillir les avis et les appréciations des différents acteurs sur les actions développées dans les régions de Dosso, Tillabéry (Filingué) et Maradi (Centre-Ouest du Niger).
L’exercice a consisté à solliciter les débats aux échelles locales, communales, régionales et centrales sur les effets directs et induits des actions de développement promues par le programme. Sur ce constat, couplé à diverses observations d’expertise, la mission a formulé des pistes d’orientations pour une éventuelle perspective de poursuite de la coopération entre la Suisse (DDC) et le Niger. -
Rapport d’activités annuel 2017 - Programme d’appui à la petite irrigation (PAPI)
Le Programme d’Appui à la Petite Irrigation (PAPI), soutenu par la Coopération Suisse vise à développer le secteur horticole en donnant aux producteurs et productrices l’opportunité de vivre décemment de leurs activités. Le présent rapport présente donc les activités menées au cours de l’année 2017, par le RECA et les CRA. -
Diversité des pratiques d’intégration agriculture – élevage dans les exploitations familiales du sud de la région de Maradi (Niger) et perspectives
Dans le sud la région de Maradi, l’agriculture et l’élevage sont les deux principales activités socio-économiques qui occupent environ 95% de la population. Ces activités sont pratiquées de façon intégrée dans un contexte de très forte pression démographique (plus de 70 habitants/km²). Pour comprendre les pratiques paysannes d’intégration, une enquête a été conduite au Sud de la région. Cent chefs d’exploitations (CE) provenant de quatre villages de la commune rurale de Djirataoua ont été enquêtés. L’enquête a révélé que l’ensemble des CE étaient des agro-éleveurs répartis en trois classes. 24% des producteurs (classe G.E) possédaient un équipement agricole d’une valeur de 295 000 F.CFA, 3 UBT et 6 hectares, stockaient 3,2 tonnes de fourrages et 4,2 tonnes de fumier. 16% des producteurs (classe E.M), possédaient un équipement agricole d’une valeur de 205 000 F.CFA, 2,2 UBT et 3,3 hectares, stockaient environ 2 tonnes de fourrages et 2,3 tonnes de fumier. 60% des producteurs (classe P.E) étaient équipés plus modestement avec 1,2 UBT, cultivaient 3,3 ha et stockaient 0,6 tonne de fourrages et 1,7 tonne de fumier. Enfin l’étude a révélé que des agro-éleveurs investissaient plus dans l’élevage de bœuf de trait que dans l’agriculture. -
Analyse économique des projets forestiers
La présente publication fait partie d'un programme permanent de la FAO visant à transmettre les compétences en matière d'analyse et de planification à ceux qui sont responsable de ces activités dans le secteur forestier,dans les pays en développement et par conséquent,à les aider à identifier,élaborer et exécuter des projet et des programmes de développement forestier viables et utiles. Dés les premières phases de ce programme,qui se compose principalement de séminaire et de journée d'études,il est apparu évident qu'il serait nécessaire de publier un rapport sur les besoins particulier des planificateurs forestiers. La littérature sur les analyses coût-bénéfices est déjà vaste et continue d'augmenter. La présente publication a pour but de répondre a ce besoin dans le secteur forestier. Comme les auteurs l'expliquent dans leurs préface,c est un document pragmatique qui donnent des conseils sur la façon de ressoudre les problèmes concrets rencontrés dans la pratique,mais qui le fait en aidant l'utilisateur a comprendre les raisons conceptuelles qui sont à la base de ces propositions. -
Coalition d'appui à la mise en œuvre des actions de l'Axe de Résilience et de Développement humain de G5 Sahel
Les pays du Sahel, et à fortiori ceux du G5, font face à de nombreux défis suite à un cycle de chocs récurrents liés à plusieurs facteurs . Les taux de pauvretés chronique, d'insécurité alimentaire et de malnutrition sont parmi les plus élevés au monde particulièrement dans les zones rurales et mènent à des stratégies de suivi négative et une montée de l’extrémisme religieux. Il en découle une insécurité constante, la radicalisation des conflits et la migration de détresse des population sahélienne. -
La résilience des ménages face aux changements climatiques dans la région de Maradi au Niger : le cas de la Régénération Naturelle Assistée.
Face à une dégradation de l’environnement et à l’accroissement des chocs conjoncturels et structurels dans la région de Maradi, la population de la zone a développé des stratégies afin de lutter contre les risques de vulnérabilité à l’insécurité alimentaire et la pauvreté. En effet, les nombreuses crises climatiques et alimentaires ont induit le développement de stratégies extrêmes de la population telles que la coupe abusive du couvert ligneux. Or, ces coupes ont fragilisé un environnement sahélien aux ressources souvent limitées.
Toutefois, de nombreuses mesures ont été mises en place afin d’accroitre la résilience environnementale des populations. En effet, depuis 1980, le Fond International de Développement Agricole (FIDA) a introduit la Régénération Naturelle Assistée (RNA) dans la zone de Maradi. Celle-ci est une méthode d’agroforesterie participative valorisant les rejets d’arbustes ligneux endogènes permettant une reconstitution du couvert ligneux des parcelles agricoles. La RNA a induit depuis 30 ans un effet inverse permettant d’améliorer l’environnement, le couvert ligneux (fertilité des sols, protection contre le vent, ombrage) mais aussi les revenus et conditions de vie des ménages. -
Eau et pauvreté rurale interventions pour améliorer les moyens d'existence des populations d'Afrique subsaharienne
L’insécurité de l’accès à l’eau destinée à la consommation et aux activités productives restreint considérablement les efforts de réduction de la pauvreté dans les zones rurales d’Afrique subsaharienne (ASS). Pour des millions de petits agriculteurs, pêcheurs et éleveurs d’ASS, l’eau est l’un des plus importants moyens de production; c’est pourquoi la sécurité de l’accès à l’eau, de sa maîtrise et de sa gestion est essentielle pour l’amélioration de leurs moyens d’existence. Le présent rapport fait valoir que des interventions locales bien ciblées en matière d’utilisation de l’eau sont possibles et pourraient concourir à rapidement améliorer les moyens d’existence des populations rurales pauvres. -
Etat des lieux et d'assainissement des banques céréalières de la commune rurale de Tchadoua/ Département d'Aguié Région de Maradi
Le présent rapport dresse un état des lieux et d'assainissement des banques céréalières de la commune rurale de Tchadoua. -
Plan d'aménagement de la doumeraie du Goulbi N'Kaba (Mayahi)
La vallée du Goulbi N'kaba traverse le département de Mayahi (Région de Maradi) sur une distance de 70 km et couvre une superficie d'environ 31.500 hectares.
Les effets conjugués des sécheresses et d'une pression anthropique croissante ont modifié un peu plus de deux décennies la structure et la composition de cette palmeraie à Hyphaene thebaica (palmier doum) autrefois très dense. Les doums adultes ont fortement régressé pour laisser la place à des taches de rejets au niveau des souches exploitées. La reconstitution du peuplement n'a pu se faire ni par voie végétative, ni par voie générative à cause des pratiques liées à l'exploitation intensive des feuilles pour l'artisanat et à la récolte des fruits. Le peuplement ligneux accompagnant le doum a subi aussi de fortes pressions pour satisfaire aux besoins en bois de feu et de service des populations riveraines. Il est aujourd'hui principalement constitué de tiges d'avenir.
Après une phase d'études relatives aux filières des produits du doum et du bois, au foncier et à l'inventaire des ressources forestières et pastorales, des consultations locales ont été engagées pour mettre en place un plan d'aménagement intégré, basé sur la régénération d'un peuplement adulte de doums et d'essences ligneuses accompagnatrices. -
Étude sur la sécurité semencière : Guide du praticien
Le système semencier fait référence aux différents moyens utilisés par les agriculteurs en vue d’obtenir des semences. Les sources de semences peuvent être regroupées en sources du secteur ‘formel’ et sources du secteur ‘informel’. En termes de quantités de semences utilisées par les petits producteurs, le secteur informel est de très loin le plus important, comptant environ 80-90 pour cent du total du stock de semences utilisées. -
Évaluation à mi-parcours de la campagne agricole d'hivernage au 31 juillet 2007
Le présent rapport relève l’évolution de la campagne agricole d'hivernage dans les différents Départements et communes de la région de Maradi. -
Note sur la production de blé au niveau du périmètre irrigué de Djirataoua et du site de Madarounfa
Au Niger, les bassins de production de blé sont : les vallées de la région d’Agadez, le périmètre de Konni (Tahoua) et le périmètre de Djirataoua (Maradi). La production de blé est faible ; elle est de 4807 tonnes par an (FAO, 2018). Le blé est surtout cultivé avec des faibles superficies variant de 0,1 à 0,5ha par exploitation (AcSSA-Afrique Verte, 2011). Au niveau de la région de Maradi, le périmètre irrigué de Djirataoua et le site Maraicher ‘’Alkamomi’’ de Madarounfa sont des ‘’anciens’’ bassins de production de blé.
Cette note présente des informations sur les itinéraires techniques de production de blé collectées sur le périmètre irrigué de Djirataoua et le site Maraicher ‘’Alkamomi’’ de Madarounfa suite aux entretiens avec 11 producteurs et les comptes d’exploitation de 5 producteurs -
Structure et diversité des parcs agroforestiers adjacents à la forêt protégée de Baban Rafi, Niger - Afrique de l’Ouest
L’objectif de l’étude est de caractériser la végétation ligneuse des parcs agroforestiers autour de la forêt protégée de Baban Rafi située dans la zone nord soudanienne du Niger.
Au total, 52 espèces réparties dans 41 genres et 23 familles ont été recensées dans la zone. Les paramètres dendrométriques et indices calculés en fonction des parcs agroforestiers varient d’un parc à l’autre. Ainsi, la densité varie de 86,25 à 129,33 individus / Ha, le recouvrement de 6,82 à 10,87.
La chorologie de la flore est caractérisée par l’abondance et la dominance des espèces soudaniennes (44,23 %) ce qui montre que la flore garde encore ses spécificités phytogéographiques malgré son état de dégradation révélé par les différents indices. Ces résultats peuvent servir de référence dans le suivi de la dynamique de la végétation des systèmes agroforestiers autour des zones protégées soumises aux sécheresses récurrentes et aux pressions anthropiques. -
Évolution du milieu naturel en Afrique et à Madagascar : L’interprétation paléoclimatique du quaternaire essai de synthèse
La création d'une quatrième grande époque géologique : le Quaternaire, a été proposé par J. Desnoyers en 1829. Il correspond au Pléistocène de Lyell (riche en espèce de mollusque actuelles) auquel Gervais vers 1867 ajoutera le terme d'Holocène, appelé aussi Post-Glaciaire ou Récent. -
Code rural : Rapports de missions et comptes-rendus de réunions
Le rapport fait état des différentes missions entretenues par les acteurs du monde du pastoralisme,du Niger,du Burkina Faso, du Centre Afrique et de L'AREN. -
Rapport des études de référence sur des Champs Ecole Paysans pluviaux et Maraichers (CEP/CEPM) dans les trois Unités Régionales de Gestion du Programme (URGP)
Financé par le FIDA (Fonds International de Développement Agricole et l’Etat du Niger, Le Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF), intervient dans trois régions du Niger à savoir Maradi, Zinder et Tahoua. La zone d’intervention du ProDAF est répartie dans 21 Pôles de Développement Economique (PDE), qui est l’unité géographique et échelle d’intervention du programme.
La mise à la l’échelle des bonnes pratiques des projets précédents financés par le FIDA (PASADEM et PPI Ruwanmu) dans le cadre du ProDAF passe par l’intensification des champs école paysans (pluvial et maraîcher) qui permettront d’accroitre le nombre de paysans formés à cet effet et à même de diffuser les meilleures pratiques auprès de leurs pairs.
Ainsi pour le passage à l’échelle du dispositif de vulgarisation agricole à travers les Champs Ecole Paysan, une étude pour l’établissement d’une situation de référence a été conduite au niveau des trois URGP Maradi, Tahoua et Zinder pour capitaliser les acquis des anciens CEP et CEPM.
Le présent rapport consolidé donne le déroulement de l’étude et les principaux résultats obtenus. -
Rapport de l’étude sur la contribution des activités du ProDAF dans la sécurité alimentaire et nutritionnelle
La présente étude intitulé « contribution des activités du ProDAF dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle » est réalisée dans le cadre de la préparation méthodologique de la revue à mi-parcours du ProDAF prévue en début du mois de juin 2019. Les informations contenues dans le rapport découlent des éléments de la revue documentaire (études de référence, document de conception du ProDAF, documents d’évaluation de la campagne agricole, document d’évaluation de la nutrition, rapport d’étude thématique similaire par l’institut national des statistiques, des notes d’informations et bilans d’exécutions des activités du programme etc.) et aussi des données issues de l’enquête sur le terrain au niveau des trois régions d’intervention du ProDAF (Maradi Tahoua et Zinder).
Le fil conducteur qui a guidé cette étude c’est la confrontation des indicateurs du cadre logique du ProDAF et ceux de l’i3N de la situation de référence « sans projet » à la situation actuelle « avec projet » pour déterminer la contribution du ProDAF dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la zone d’intervention. -
L’expérience du PASADEM en matière de vulgarisation agricole – Note de capitalisation
Maradi est une région vulnérable, au centre des enjeux de sécurité alimentaire où l’agriculture souffre d’un certain nombre de contraintes liées surtout à l’insuffisance de l’encadrement au profit des producteurs et aux aléas climatiques. Le PASADEM a développé dans sa stratégie d’intervention, l’extension et la diffusion à large échelle des acquis du projet de promotion de l’initiative locale pour le développement à Aguié (PPILDA) et ayant démontré leur efficacité en matière de vulgarisation agricole (les Champs Écoles Paysans (CEP), l’appui conseil agricole paysan (ACAP)). -
Stratégie du PASADEM en matière de gestion des savoirs dans le domaine de la Gestion Durable de Terres (GDT) – Note de capitalisation
L’objectif est d’améliorer les connaissances des principaux acteurs sur les bonnes pratiques de gestion durable des terres adaptées au contexte local. -
Les Démonstration d’initiatives paysannes en élevage (DIPE) dans la zone d’intervention du PASADEM : un outil de renforcement des capacités des agro éleveurs– Note de capitalisation
Faible capacité technique des agro éleveurs dans la conduite de l’élevage, qui se traduit par des hécatombes fréquentes liées aux épizooties, la fréquence des avortements, le retard de croissance des jeunes animaux et le faible gain pondéral chez les adultes, la faible prolificité à cause des espacements entre les mises bas, etc. Toutes ces contraintes impactent négativement les revenus du petit élevage, en particulier dans les ménages vulnérables d’où la nécessité de la mise en œuvre de ce dispositif d’encadrement (DIPE). -
Processus d'ingénierie civil dans le cadre de la réhabilitation des marches de demi-gros et centres de collecte
Pour arriver à la construction et à l’opérationnalisation de ces marchés et centre de collecte, le projet a fait valoir sa stratégie qui repose sur une démarche de concertation entre une ingénierie sociale composée des acteurs des marchés "Hadin Gwiwa", et une ingénierie civile pilotée par la cellule infrastructure du projet. Après un processus, d’animation et de dialogue avec les cadres locaux de concertation qui mènent l’ingénierie sociale, un choix a été opéré pour démarrer l'ingénierie civile pour les marchés de demi gros autour des Pôles de Développement Economique (PDE) de Tessaoua, Sabon Machi et Djirataoua. -
Guide et formulaires pour la préparation des petits projets d'irrigation en Afrique sub-saharienne
Selon les prévisions de croissance démographique, d'ici à l'an 2025, les besoins alimentaires dans la plupart des pays de l'Afrique sub-saharienne pourraient etre de deux et demie à trois fois supérieurs aux besoins actuels. Dans la plupart des pays,les possibilités de développement de l'irrigation sont limitées. D'une manière générale, l'accroissement de la production devra donc provenir principalement de l'agriculture pluviale. -
Intérêt et signification de la farine d'arachide comme aliment de protection du noir africain
L'alimentation du noir africain est caractérisée par une déficience protidique responsable de dystrophies nutritionnelles dont la plus connue est le kwashiorkor. Or, on trouve actuellement en Afrique de grandes quantités de tourteaux oléagineux préparés sur place. Ces produits constituent essentiellement des aliments protidiques qu'il serait possible d'utiliser pour corriger les déficiences des rations africaines. -
La culture du sorgho de décrue en Afrique de l'ouest et du Centre
Le sorgho de décrue est cultivé traditionnellement dans de nombreuses localités isolées du Sahel. Les principales zones de culture de ce sorgho sont majoritairement situées dans les lits des fleuves Sénégal et Niger, les cuvettes et les barrages. L'irrigation introduite à la suite de la sécheresse des années 70 et 80 occupe aujourd'hui une bonne partie des lits des fleuves. L'expansion de la culture se fait en Mauritanie à travers l'aménagement de barrages et le contrôle des décrues. -
L'alimentation de complément du jeune enfant
L'objectif général de cet atelier était de proposer, sur la base de l'expérience accumulée par des africains, un ensemble de directives pour promouvoir une alimentation de complément correcte chez le jeune enfant. -
Le bétail trypanotolérant en Afrique occidentale et centrale : Vol. 3 Bilan d'une décennie
Le volume 1 de cette étude sur le bétail trypanotolérant en Afrique occidentale et centrale présente la zone d'étude et son bétail, une description du bétail trypanotolérant et de sa productivité, et enfin les besoins et localisations intéressantes pour évaluer le potentiel, pour mieux utiliser et conserver ces races. Le volume 2 regroupe, pour chacun des 18 pays étudiés, toutes les informations disponibles sur le bétail trypanotolérant au niveau national. -
Légumes secs et exploitations durables en Afrique Subsaharienne
En Afrique subsaharienne, l'insécurité alimentaire touche 153 millions de personnes (soit 25 pour cent environ de la population). Le problèmes encore s'aggraver du fait de la dégradation constante des sols entrainée par la diminution de taux de matière organique et les apports insuffisants en éléments nutritifs. Plus de 75 pour cent des terres agricoles africaines pourraient être classées comme "dégradées " d'ici à 2020. -
Les implications du changement climatique pour le développement agricole et la conservation des ressources naturelles en Afrique
En Afrique, l'agriculture est l'un des secteurs les plus vulnérables au changement climatique en raison de sa saisonnalité, le manque de résilience des paysans aux catastrophes, la présence de stresseurs non-climatiques importants qui influencent la sensibilité au changement de conditions climatiques, et la pauvreté endémique. Le présent article examine les répercussions du changement climatique pour la sécurité alimentaire et la gestion des ressources naturelles en Afrique. Il représente des des informations sur l’état actuel des connaissances sur la vulnérabilité, l'impact et l'adaptation de l'agriculture africaine et des ressources naturelles au changement climatique. -
Un modèle empirique d’intégration de stratégies de gestion de risques climatiques pour une résilience genre-sensible en zone sahélienne - Document de capitalisation de l’Initiative GARIC : « Genre, agriculture et gestion des risques climatiques
L’intégration de stratégies d’adaptation multiples est aujourd’hui nécessaire pour renforcer la résilience des producteurs ruraux sahéliens, confrontés à des risques climatiques importants. La présente étude fait ressortir, à travers l’analyse du processus de trois années du projet « Genre, Agriculture et gestion des Risques Climatiques » (GARIC, CARE International au Niger), une démarche empirique intéressante, conduite pour accroitre la résilience des producteurs ruraux les plus vulnérables dans la région de Maradi, Niger. L’analyse de ce processus a permis de proposer un modèle intégré de gestion des risques climatiques incluant quatre composantes stratégiques complémentaires : i) Renforcement des capacités organisationnelles et techniques des communautés ; ii) Développement des services agro-économiques de proximité & des activités régénératrices de revenus ; iii) Développement et utilisation des techniques agroécologiques permettant de mieux gérer les risques climatiques et écologiques ; et iv) Implémentation cohérente des approches de planification locale comme la planification saisonnière participative et les systèmes d’alerte précoce. C’est une expérience co-construite, qui a impliqué les paysans (en particulier les groupements de femmes Mata Masu Dubara), les structures administratives (communes, autorités locales, conseil régional) ainsi que partenaires techniques et scientifiques jouant chacun un rôle spécifique (notamment les services techniques publics et l’Université Dan Dicko Dankoulodo de Maradi). -
Rapport d’analyse des données de l’enquête de la situation référence - RED-SAACC
Le projet de recherche-développement pour la sécurité alimentaire et l’adaptation climatique des systèmes ruraux de production au Niger (RED/SAACC-Niger) a pour objectif d’améliorer d’ici fin 2021, les revenus, la sécurité alimentaire et nutritionnelle de 15.000 exploitations agricoles familiales fragiles à faible résilience, dans 15 communes des régions de Maradi, Tahoua et Tillabéri.
Le mécanisme de la mise en oeuvre du projet s’articule autour de 6 composantes dont les actions contribueront à l’atteinte de l’objectif global du projet. L’objectif de la composante 5 est de mettre en place un dispositif de gestion des connaissances efficace permettant de capitaliser et de partager les bonnes pratiques.
Pour atteindre cet objectif des d’activités ont été planifiées dont la première est la réalisation d’une étude de référence pour établir la situation de départ des indicateurs clés dans la zone d’intervention du projet, par rapport à laquelle seront mesurés les progrès vers l’atteinte des objectifs du projet RED/SAACC-Niger. -
Analyse de la dynamique organisationnelle des femmes en milieu pastoral dans les communes de Bermo et Gadabédji au Niger : rôle des groupements dans la prise de décision et l’entrepreneuriat des femmes
La présente étude menée en zone pastorale dans les communes de Bermo et Gadabédji vise à analyser la dynamique organisationnelle des femmes en zone pastorale et de caractériser le rôle que peuvent jouer les groupements féminins dans la prise de décision et l’entrepreneuriat pour ces femmes. Une enquête a été réalisée auprès de 146 femmes membres de groupements féminins à travers des questionnaires individuels mais aussi auprès des femmes non membres (53) et des hommes pour avoir leurs perceptions. -
Evaluation des impacts des activités du Projet ALP - Dakoro (Niger) – Rapport final
Projet pilote, l’initiative Adaptation Learning Program (ALP) ou Programme d’Apprentissage sur l’Adaptation au Changement Climatique, est mis en oeuvre pour une durée de cinq ans (2010-2014) à l’échelle de quatre pays subsahariens : Ghana, Kenya, Mozambique et Niger. Cette phase est conçue et mise en œuvre par Care et ses partenaires dans le but de « Renforcer la capacité des ménages vulnérables en Afrique sub-saharienne à s’adapter à la variabilité et au changement climatique à travers une approche d’adaptation à base communautaire (ABC) ». Le projet ALP est financé par DFID, DANIDA, Finlande et la Coopération Autrichienne de développement.
Le projet ALP a pour objectif d’être le pionnier dans la vulgarisation, la compréhension pratique et la documentation de l’Adaptation à Base Communautaire (ABC) tout en approfondissant sur la compréhension et le traitement de la vulnérabilité différentielle des femmes rurales pauvres. -
Projet RED-SAACC - Rapport de la revue interne
L’objectif stratégique du projet REDSAACC vise à appuyer les efforts du gouvernement dans le domaine de la sécurité alimentaire et nutritionnelle en contribuant à mettre les populations Nigériennes à l’abri de la famine et à leur garantir les conditions d’une pleine participation à la production nationale et à l’amélioration de leurs revenus.
L’objectif global est qu’en fin 2020, la sécurité alimentaire et nutritionnelle (ainsi que les revenus) de 15.000 exploitations agricoles familiales fragiles à faible résilience est accrue de manière significative, dans 15 communes des régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry.
L’objectif global de cette revue interne est de montrer et mesurer les changements opérés du fait des actions du projet REDSAACC à travers l’évaluation des effets/impacts de la mise en œuvre de l’approche du projet dans le transfert des technologies et le partage des innovations locales pour une adaptation des systèmes de production agricole aux changements climatiques. -
Perspectives sur les mycotoxines
Le présent ouvrage, publié par la FAO dans le cadre du projet FAO/PNUE, N° 0107-01, "Lutte contre la contamination environnementale des aliments : MYCOTOXINES", contient les quatre principaux documents de base préparé pour l'examen du point 4 de l'ordre du jour, (Nairobi, Kenya, 19-27 septembre 1977). -
Plan d'opération 2018
La zone d'intervention du CILSS est régulièrement affectée par des crises alimentaires à répétition, la crise énergétique, l'avancé de la désertification, la pression démographique, la variabilité et les changements climatiques. Face à ces difficultés, les défis majeurs que le CILSS doit relever sont entre autre la sécurité alimentaire, la gestion durable des ressources naturelles, la maitrise de l'eau, la fluidification des échanges intra régionaux des produits agro-pastoraux, la transition démographique, en d'autres termes le développement durable. -
Présentation du Projet de Développement Rural dans l'Arrondissement d'Aguié (PDRAA)
La zone d'intervention du Projet de Développement Rural d'Aguié (PDRAA) correspond aux limites administratives de l'Arrondissement d'Aguié. La population totale de la zone était estimée à 172.287 habitants au démarrage du Projet sur la base des données démographiques officielles de 1986/1987. Cette population est repartie dans deux cantons (Aguié et Gangara) et deux groupements peulh (Baoudéta et Hawandawaki) -
Afrique : une politique semencière sous influence
La révolution agricole de l’après-guerre a organisé et déployé la commercialisation en Europe de variétés sélectionnées et homogènes. Cette généralisation fut telle qu’aujourd’hui les paysans européens n’ont plus le droit de disposer comme ils l’entendent des semences de variétés anciennes très diversifiées qu’ils ont sélectionnées au cours du temps. L’Afrique subsaharienne est restée à l’écart de cette intensification agricole que l’on a appelée « révolution verte » en Asie et en Amérique latine. Dans le modèle agricole promu à partir des années 1950, le fer de lance de la modernisation a été la généralisation de variétés hybrides ou de lignées pures créées pour être performantes dans les conditions de culture artificialisées, c’est-à-dire non limitantes en termes d’eau et d’intrants agricoles.
Cette politique d’intensification a été accompagnée d’un dispositif réglementaire, celui de l’Union des professionnels pour la protection des obtentions végétales (UPOV), taillé sur mesure pour un seul type variétal, celui des lignées et des hybrides dont les génotypes sont fixés, contrairement aux variétés-populations d’antan.
En Afrique, les systèmes vivriers sont généralement économes en intrants, résilients, sources d’agrobiodiversité et de sauvegarde des savoirs écologiques traditionnels locaux. De tels systèmes incluent des variétés-populations anciennes dont la valeur adaptative est avérée. On sait aujourd’hui que la sélection moderne en fixant les génotypes et en minimisant l’hétérozygotie au niveau paysan limite l’expression de cette adaptabilité. Les agriculteurs sélectionnent, échangent ou vendent leurs semences dans des systèmes traditionnels dits informels. Ces systèmes prédominent en Afrique, la sélection, la production de semences et leur diffusion y sont organisées par les paysans eux-mêmes. Ces modes de production de semences sont principalement vivriers et très diversifiés selon les espèces, les espaces et les contextes socioculturels. -
Projet d'Appui à la Sécurité Alimentaire et au Développement au niveau de la Région de Maradi
Suite à une demande adressée en janvier 2011 par le Gouvernement du Niger, le FIDA a engagé un processus de conception d'un nouveau projet dans la région de Mardi, dénommé Projet d'Appui à la Sécurité Alimentaire et au Développement dans la région de Maradi PASADEM.