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Étude documentaire sur la gestion de l’eau en Afrique sub-saharienne et région Caraïbes
Cette étude fait une analyse de l’Afrique sub-saharienne traversée par de graves crises et des profondes mutations au niveau de ses systèmes irrigués. Elle devra résoudre la fois des questions de connaissances de la ressource, d’aménagement et de réhabilitation, d’amélioration des performances et d’adaptation aux ouvertures des frontières. -
Developing climate-smart agriculture to face climate variability in West Africa: challenges and lessons learnt
This paper reviewed the prospects for climate-smart agriculture (CSA) development and promotion in West Africa as well as lessons learnt and challenges with a focus on climate change and variability. It was evident from the literature that West Africa is vulnerable to climate change and variability, on account of its socio-economic and physical characteristics. As climate change and variability persists, the region’s quest to use agriculture as the mainstream opportunity to deliver on set targets of the sustainable development goals will be strongly challenged without appropriate interventions. Adopting CSA seems to be a suitable strategy to achieving food security while also mitigating and adapting to climate-related risks. Among numerous CSA technologies, the review found (1) agroforestry (farmer-managed natural regenerations), soil and water conservation technologies (zai, half-moon, tie/contour ridges, conservation agriculture) and (3) climate information services as highly valued promising options for climate change adaptation and risk management in West Africa. -
L’agriculture intelligente face au climat, une solution gagnante pour relever le défi de l’insécurité alimentaire et la lutte contre la désertification au Sahel et en Afrique de l’Ouest !
Note aux décideurs
La menace climatique se précise et risque de perturber l’agriculture ouest africaine. En effet, à l’horizon 2050, sans mesures d’adaptation, les rendements des céréales baisseront de 10 à 50 % en Afrique soudano sahélienne.
Si les politiques publiques agricoles au Sahel et en Afrique de l’Ouest se fixent comme cible de restaurer 10% des superficies agricoles par an avec des techniques climato-intelligentes, le coût des investissements nécessaires se chiffreraient entre 50 à 170 millions de dollars par an. Selon les pays, le retour sur investissements est évalué entre 50 et 70%.
Il est donc urgent d’agir. -
Risques climatiques et agriculture dans le Sahel
Quantification des risques climatiques sur le sahel et impacts sur l’agriculture et les agriculteurs. La prise en compte de l’adaptation de l’agriculture ouest africaine au changement climatique via les techniques d’agriculture intelligente face au climat (AIC) et le renforcement du soutien financier pour renforcer la résilience des écosystèmes et des communautés au changement climatique. -
Parklands for buffering climate risk and sustaining agricultural production in the Sahel of West Africa
In the Sahelian zone of West Africa, crops grown under a discontinuous cover of scattered trees dominate many landscapes and constitute the so-called parklands. These systems reflect the ecological knowledge of the farmers of such risk prone environments. Agroforestry parklands are playing an important role, through trees and shrubs providing soil cover that reduces erosion and buffers the impacts of climate change. They also provide green fodder that complements crop residues for livestock feeds, and fruits and leaves for human consumption and for income generation. The interactions between various components of the system influence the ecosystem service functions of trees of parklands (provisioning, regulating and supporting services) in several ways. These ecosystem functions have beenat the center of the local ecological knowledge guiding the management options of the farmers and have also attracted the attention of scientists. Findings revealed new challenges that call for production options ensuring increased and diversified productivity of the systems while preserving the environment. Research on such challenges must adopt an inclusive approach based on local knowledge supported by science-based analyses of the socio-ecological systems in the face of high population pressure and climate change.
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Cereal yield response to conservation agriculture practices in drylands of West Africa: A quantitative synthesis
To address the decline in crop productivity in the drylands of West Africa, many initiatives have focused on combating soil degradation. Various practices including (1) parkland trees associated with crops, coppicing trees, green manure, mulching, crop rotation and intercropping, and traditional soil/water conservation have been tested. The present study attempts to provide a comprehensive, quantitative synthesis of existing reports on the effect of conservation agriculture (CA) practices on crop yield response in Burkina Faso, Mali, Niger and Senegal. Out of a total of 155 reports found, 63 fulfilled all the appropriate criteria to be included in the meta-analysis of the effect of various conservation agriculture practices on the yield response of maize, millet and sorghum. The study revealed significant variability in cereal yield response (and hence risk) with all the practices examined. Despite the variability, the mean effects of the six CA practices on crop yield were more positive than negative except with parkland trees.
However, for this last practice, species like Faidherbia albida exerts more positive impact on crop yield. Yield increases relative to the control were higher with green manure and mulching than with coppicing trees and parklands. Increases in yield in the six CA practices were higher on low to medium productivity sites for maize, millet and sorghum. Coppicing trees and rotations improved yields when the rainfall is >800 mm whereas the opposite happens with parkland and soilewater conservation measures. Mulching performed better when the rainfall is <600 mm. The variability (and hence yield risks) calls for more understanding of the processes and application of appropriate tree management to reduce crop yield losses while still providing products (fruits, leaves, wood, etc.) and services (soil carbon building up) for long-term sustainability of the production systems in drylands of West Africa. -
Connaissance du sol
Le sol est une alliance de matières minérales, issues de la roche mère, et de matières organiques, issues de la litière.
C’est un milieu particulier, on ne le trouve que sur notre planète. Cependant, dans le monde, 10 millions d’hectares
de sol seraient en voie de désertification chaque année du fait de la déforestation et l’agriculture intensive. Par exemple, la couleur marron des fleuves et rivières que l’on observe souvent après un orage n’est pas du tout naturelle et témoigne d’une perte des argiles du sol consécutive à sa destruction biologique. -
L’agriculture de conservation
Alors que toute l’histoire de l’agriculture consiste, concrètement et symboliquement, à travailler la terre, la réduction du travail du sol est aujourd’hui présentée par certains acteurs comme un levier intéressant pour améliorer les performances des systèmes agricoles. Cette réduction, voire suppression du travail du sol, est emblématique des systèmes dits en «agriculture de conservation». Mais cette dénomination générale cache en fait une grande diversité de pratiques. Quelles sont les implications de ces pratiques pour le fonctionnement des systèmes de culture? Quelles conséquences réelles ont-elles sur les performances économiques, sociales et environnementales?Et qu’en est-il des potentialités de généralisation de ces systèmes en France?
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Le « Violet de Galmi » est-il menacé ?
Le plus célèbre des oignons ouest africains, le Violet de Galmi, a été ces derniers mois au coeur de nombreux débats. Retour sur la longue histoire de cette variété et éclairages sur les enjeux actuels. -
Savoirs locaux et gestion des écosystèmes sahéliens
La notion de savoir local s’est imposée dans la recherche scientifique et l’aménagement du territoire depuis plus de deux décennies, à la suite de la sonnette d’alarme tirée par de nombreux auteurs (Blanc-Pamard, 1986 ; Roose, 1988 ; Bouzou, 1988 ; Luxereau, 1994 ; Fairhead et Leach, 1994 ; Luxereau et Roussel, 1997 ; Garba et al., 1997 ; Jouve, 1997…) pour un changement de cap, suite aux échecs relatifs des projets de développement en Afrique afin d’asseoir les bases d’un véritable développement durable. Il était reproché aux projets de développement et à leurs concepteurs leur approche techniciste et l’absence de participation des populations et de partenariat. -
Les systèmes de distribution alimentaire dans les pays d’Afrique méditerranéenne et Sub-saharienne
L’objectif est d’identifier des domaines prioritaires pour améliorer la capacité des systèmes de distribution alimentaire à répondre aux enjeux de sécurité alimentaire et sanitaire pour les populations urbaines de Rabat, Abidjan et Niamey. Nous nous appuyons sur une analyse des « food systems » combinant les comportements alimentaires, l’environnement alimentaire et les systèmes d’approvisionnement, caractérisés par leur organisation spatiale et relationnelle. Un échantillon de consommateurs et acteurs de différentes filières alimentaires et autorités publiques ont été enquêtés. Les problèmes d’accessibilité aux aliments des populations précaires apparaissent plus préoccupants que les problèmes de compétitivité des produits locaux. Nous recommandons une modernisation des marchés existants, de gros et de détail : amélioration du transport les desservant, protection physique des marchés, crédits aux PMEs du commerce et de la transformation. -
Comment choisir son engrais vert ?
Cette fiche technique a pour but de passer en revue les différents avantages que l’on peut tirer des engrais verts. C’est une première grille de lecture pour répondre à la question «quel engrais vert utiliser pour obtenir le résultat que je recherche ?». Pour des compléments d’information consultez les liens à la fin de la fiche. -
Module sur les techniques de protection en haies vives
Au cours des 50 dernières années, l’exploitation des ressources naturelles dans la zone ouest africaine en général est devenue de plus en plus intensive. En raison de la croissance démographique et des aléas climatiques, l’espace agricole s’est étendu. Bien qu’il existe quelques haies vives, plus de 80 % des protections se font avec des haies mortes ou mixtes confectionnées avec des branches d’arbustes des genres Acacia, Ziziphus, Balanites, Combretum, Guiera. Les clôtures en grillage et fil de fer barbelé qui peuvent remplacer dans certains cas les haies mortes à base de branches d’arbustes, ne sont pas à la portée des paysans. De ce fait, l’appropriation de la haie vive s’avère nécessaire et indispensable. -
Agroécologie : capitalisation d’expériences en Afrique de l’Ouest
Ce rapport présente les résultats de l’étude réalisée dans le cadre du projet Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agro écologiques résilientes en Afrique de l’Ouest (CALAO). Le projet CALAO a été coordonné par l’association Agronomes et Vétérinaires Sans Frontières (AVSF) et mis en oeuvre par les associations AVSF, Gret, CARI, Agrisud International, ENDA Pronat (Sénégal), ARFA (Burkina Faso), RAFIA (Togo), Inades Formation Togo, ainsi que l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD, Dakar), l’Université Nazi Boni (UNB, anciennement UPB, Bobo Dioulasso), l’Ecole Supérieure d’Agronomie du Togo (ESA-UL) et l’association Inter-réseaux Développement rural. L’étude s’est également appuyée sur un partenariat avec l’Unité de Formation et de Recherche Agriculture comparée et Développement agricole d’AgroParisTech. A l’instar des autres régions du monde, les agricultures familiales de la région ouest-africaine sont confrontées à des défis et difficultés auxquels le modèle de la révolution verte, basé sur l’usage intensif d’intrants de synthèse (pesticides, engrais) et le recours à des variétés commerciales à haut potentiel de rendement, ne semble pas en mesure d’apporter de solutions durables et adaptées aux besoins et capacités des familles paysannes. -
Manuel de Communication pour la Sécurité alimentaire
Ce manuel a été élaboré dans le cadre du Programme CE-FAO « Faire le lien entre l’information et la prise de décision pour améliorer la sécurité alimentaire », mis en œuvre par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et financé par l’Union européenne.
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Manuel des techniques d'irrigation sous pression
Ce manuel vise à offrir aux agriculteurs, techniciens d'irrigation et vulgarisateurs qui travaillent sur le terrain un guide pratique sur l'utilisation des techniques d'irrigation sous pression. Dans cette deuxième version ce manuel, traduit en français pour la première fois, a été considérablement remaniée et propose en particulier de nouveaux chapitres sur les systèmes abordables d'irrigation goutte-à-goutte et de distribution à l'intention des petits exploitants agricoles. -
Gestion de l'irrigation à petite échelle
L’unité de gestion de l’irrigation à petite échelle (GIPE) est généralement une parcelle d’une superficie inférieure à 0,5 hectare. Les systèmes de GIPE peuvent être gérés soit par un exploitant agricole individuel soit par des groupes, des communautés. Le principe directeur d’une gestion durable de l’irrigation à petite échelle est l’efficacité de l’utilisation de l’eau -
Mémento pour l'évaluation de l'agroécologie
L’agroécologie est, de manière croissante, évoquée au cœur des discussions internationales sur le devenir des systèmes agricoles et alimentaires dans le monde, en apparaissant comme une des réponses pertinentes aux grands défis globaux en matière de développement économique et social et d’environnement, largement reflété dans les Objectifs de Développement Durable (ODD) : amélioration des performances des systèmes agricoles et alimentaires, sécurité alimentaire et nutritionnelle, environnement, climat, emploi, migrations, résilience et adaptation des populations rurales vulnérables au changement climatique. Ce mémento constitue un premier document méthodologique, amené à être amélioré et ajusté à partir des enseignements tirés de la mise en œuvre des outils et méthodes proposés, dans le cadre de futurs travaux d’évaluation menés par le GTAE et ses partenaires. La lecture et l’assimilation préalables de l’introduction et de la première partie sont les premières étapes indispensables de l’utilisation du memento. Ensuite, en fonction du type de situation d’usage, des objectifs spécifiques de l’évaluation, l’utilisateur pourra utiliser le memento selon les indications données. De nombreux renvois entre parties et entre fiches permettent d’appliquer globalement la méthode d’évaluation proposée. -
Mémento de l'irrigation
La mise en place d'un système d'irrigation ne s'improvise pas. Une série d'éléments sont à prendre en considération, depuis la conception du projet jusqu'au processus de gestion à long terme des installations. Le présent mémento a pour but de baliser de manière succincte les différentes démarches à entreprendre. Il s'agira principalement de rappeler quelques notions de base, non de traiter de façon exhaustive toutes les questions qui pourraient survenir. Si des informations plus précises s'avéraient nécessaires, il est conseillé de consulter les ouvrages de références repris dans la bibliographie. -
Les principaux arthropodes nuisibles des céréales, des légumineuses et du cotonnier au Sahel et leur contrôle
Cette note technique répertorie les principaux ennemis de cultures au Sahel et en propose une méthode de contrôle et de lutte en fonction de la phénologie de la culture. -
Les haies vives au Sahel Etat des connaissances et recommandations pour la recherche et le développement
Ce rapport résume l’état actuel des connaissances et les recommandations pour la recherche et le développement des haies vives. Les avis exprimés dans cette publication sont ceux des auteurs et non pas forcément ceux de l’ICRAF ou du Centre de recherche pour le développement international (CRDI). Les appellations employées dans la publication et la présentation des données qui y figurent n’impliquent, de la part de l’ICRAF ou du CRDI aucune prise de position quant au statut juridique des pays, territoires, villes ou zones, ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites. Si des spécialités commerciales sont nommées, cela ne signifie ni préférence, ni discrimination de la part de l’ICRAF ou du CRDI à l’égard de certains produits. -
Haies Vives Défensives pour une Protection Ecologique et Durable
Les haies vives défensives sont des plantations denses et alignées d’arbres ou d’arbustes à branches nombreuses et impénétrables destinées à protéger les jardins, les vergers et les champs des paysans. Elles peuvent être mono ou plurispécifiques. Elles se réalisent de préférence dans la zone soudano-sahélienne et la vallée du fleuve Niger avec une pluviométrie moyenne de 400 à 500 mm par an sur sols sablo-limoneux à argileux. -
De l’eau pour le maraîchage : expériences et procédés
Cet ouvrage propose une méthode pour guider les maraichers dans l’évaluation de leurs besoins et de leurs contraintes et les aider à choisir un système d’irrigation adéquat. Chacune des questions destinées à guider le choix est approfondie et illustrée dans les chapitres suivants. Le premier chapitre explique comment calculer les besoins en eau des cultures. Le deuxième chapitre présente les systèmes de distribution de I ’eau dans les champs et leurs avantages et inconvénients respectifs. Le troisième chapitre présente les différents systèmes de pompage qui sont ensuite comparés, notamment sur le plan économique. Enfin sont définies des notions plus complexes qui permettent de bien comprendre les mécanismes du pompage. Des fiches de présentation de matériels et une bibliographie permettront à ceux qui veulent en savoir plus de s’orienter dans leur recherche d’information. -
Vulnérables mais résilientes : 15 bonnes pratiques développées par les populations du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest.
En Afrique de l’Ouest, les producteurs agricoles évoluent dans un contexte climatique et économique souvent instable. Leur activité agricole, source principale de leur revenu et de leur alimentation, dépend de nombreux facteurs, plus ou moins maitrisables à leur échelle. Au fil du temps, la plupart ont mis en place des stratégies de gestion de ces aléas aussi appelés risques. Le risque lié à l’activité agricole peut prendre plusieurs formes : climatique et sanitaire, lié au prix ou au marché, institutionnel, financier, humain. La façon dont les populations rurales agricoles font face aux risques dépend d’une multitude de facteurs tels que leur décision en matière de production, la répartition du travail dans le ménage ou encore l’intervention de programmes publics. C’est pourquoi tous les productions ne sont pas égaux face aux risques. Une bonne gestion des risques dépend de la capacité de réaction de ces derniers et de leur exploitation et permet d’atteindre un état résilient qui se définit comme ‘’ la capacité d’un système, une communauté ou une société exposée aux risques de résister, d’absorber, d’accueillir et de corriger les effets d’un danger, en temps opportun et de manière efficace, notamment par la préservation et la restauration de ses structures essentielles et de ses fonctions de bases ‘’ (UNISDR ; 2009). -
Les champs écoles des producteurs pour les petits éleveurs
Le secteur de l’élevage représente environ un tiers du produit intérieur brut (PIB) agricole mondial et croît plus vite que la plupart des autres secteurs agricoles. Son expansion a été principalement stimulée par une combinaison de croissance démographique, d’urbanisation et de hausse des revenus dans de nombreux pays en développement, ce qui a accru la demande en viande, lait et oeufs. La consommation de produits de l’élevage devrait encore augmenter au cours des prochaines décennies, offrant des opportunités pour le développement du secteur et permettant la réduction de la pauvreté et l’amélioration de la sécurité alimentaire. Cependant, le rythme rapide de ces changements risque de marginaliser les petits éleveurs. Les risques pour les ressources naturelles et la santé humaine doivent également être abordés afin d’assurer un développement durable. Dans ce cadre, la FAO a intégré, au cours des deux dernières décennies, des Champs-écoles des producteurs (CEP) axées sur l’élevage dans plusieurs projets et programmes, et a contribué à renforcer les capacités de nombreuses parties prenantes au développement (ONGI, ONG, instituts de recherche, etc.) concernant l’approche CEP au profit des petits éleveurs dans les régions en développement. -
Capitalisation d’expériences sur le développement de la petite irrigation privée pour des productions à haute valeur ajoutée en Afrique de l’Ouest
L’irrigation est considérée comme un moyen d’intensification de l’agriculture. Elle contribue à en augmenter la productivité tout en la sécurisant contre les risques de sécheresse. C’est un outil de lutte contre la pauvreté et la faim qui sévissent de façon endémique en Afrique subsaharienne, et plus particulièrement en Afrique de l’Ouest. Malgré le potentiel disponible et malgré les efforts consentis par les gouvernements de la sous-région pour développer l’irrigation, les résultats sont restés en deçà des attentes. On avait oublié qu’à l’origine, dans la sous-région, l’irrigation était privée, familiale. Elle est mieux maîtrisée à petite échelle. Pour capitaliser toutes ces expériences de développement de la petite irrigation privée pour des productions à haute valeur ajoutée, la Banque Mondiale, en collaboration avec l’ARID, la FAO, l’IWMI, l’UE et les ACP, a initié l’étude dont le présent rapport fait la synthèse. L’objectif de l’étude est d’identifier, de caractériser et d’évaluer certaines pratiques (individuelles et collectives) performantes en matière de techniques et de technologies de petite irrigation privée sur la base d’une analyse comparée de ce sous-secteur au Burkina Faso, Mali, Niger et Nigeria. -
Stratégies et mesures d’adaptation réussies en Afrique de l’Ouest
Déjà handicapés par une pression foncière croissante et une dégradation continue des terres, les producteurs ouest-africains font face à un défi supplémentaire : adapter leurs pratiques aux changements climatiques. En Afrique de l'Ouest, ces changements devraient se traduire par une augmentation du stress hydrique, l'extension des zones arides et, au bout du compte, une baisse des rendements agricoles (GIEC, 2013). Les rendements en céréales devraient baisser de 10 à 15% d’ici 2025, alors que 20% des populations sont déjà structurellement vulnérables et que les crises alimentaires sont régulières (CILSS, 2013). La situation est difficile, mais des techniques simples et efficaces peuvent être mises en oeuvre pour adapter les pratiques agricoles. -
Changements climatiques : Impacts sur l’eau et l’agriculture en Afrique de l’Ouest
Les changements climatiques se manifesteront sur toutes les composantes du cycle de l’eau, comme par exemple, la quantité et la distribution des précipitations, la fréquence et la durée des sécheresses, ainsi que l’évaporation et le bilan hydrique à la parcelle. La mousson africaine, qui rythme la vie des 300 millions d’Africains de l’Ouest, devrait se modifier : la variabilité interannuelle des précipitations liées à cette mousson devrait augmenter, tout comme l’occurrence des précipitations extrêmes. Les activités agricoles seront plus ou moins fortement affectées par ces changements, en fonction des zones agroécologiques et des spéculations. Dans tous les cas, différents travaux estiment que le ruissellement moyen et la recharge des nappes baisseront ; que la concurrence pour l’eau sera exacerbée suite à des demandes croissantes pour d’autres usages comme la production d’hydro-électricité. Les travaux menés par le Programme international de recherche sur la mousson africaine (AMMA) établissent sans ambiguïté que la variabilité spatio-temporelle excessive des précipitations est un réel frein à la production agricole. Les sociétés devront s’adapter. Néanmoins, il convient de ne pas sous-estimer la complexité de l’approche. Ainsi les plans d’irrigation sont à raisonner avec l’ensemble des acteurs et utilisateurs d’un territoire, voire d’autres pays, placés en aval des prélèvements pour l’eau d’irrigation. De nombreuses techniques, et leurs variantes locales, existent pour faire face à l’aléa hydrique. Elles visent en général à accroître la production, tout en minimisant sa dépendance aux intrants et en limitant les impacts négatifs sur l’environnement, et leur vulnérabilité. Ces techniques incluent la gestion conservatoire de l'eau, de la biomasse et de la fertilité des sols. -
Les potentialités agricoles de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO)
Le premier défi du secteur agricole est de continuer à assurer plus efficacement cette fonction économique en élevant la productivité de tous les facteurs et en fournissant les matières premières de l’artisanat et de l’industrie agroalimentaire. Cet enjeu est crucial pour que la région maîtrise sa dépendance alimentaire vis-à-vis du reste du monde et améliore, via la transformation des produits et l’incorporation de valeur ajoutée, les termes actuels des échanges défavorables aux pays de la CEDEAO. -
La quête des terres agricoles en Afrique subsaharienne
C’est une véritable ruée sur les terres agricoles du continent qui se développe silencieusement sous nos yeux. Le phénomène est suffisamment inquiétant pour attirer l’attention de nombreuses organisations. Bien que peu d’informations précises soient encore disponibles, il importe de lancer la réflexion afin d’alimenter un débat objectif et serein -
Atlas des évolutions des systèmes pastoraux au Sahel, Atlas of Trends in pastoral systems in Sahel
L’élevage pastoral sahélien joue un rôle prépondérant dans l’économie des pays de l’Afrique de l’Ouest. Avec une grande diversité d’espèces élevées, il contribue à la sécurité alimentaire et nutritionnelle des ménages ruraux et urbains. De par sa nature extensive, l’élevage pastoral est largement dépendant des conditions environnementales. A ce titre les interactions avec l’environnement sont intimes, nombreuses et ambivalentes. En effet, les systèmes d’élevage mobile apparaissent comme la principale activité agricole de valorisation durable d’une ressource naturelle fragile et éparse dans les zones sèches sahéliennes. Malgré ce rôle très important, les systèmes pastoraux se trouvent confrontés à de nombreux défis liés, et notamment, à la marginalisation des populations pastorales et à la compétition croissante avec les autres groupes d’utilisateurs e particulier les agriculteurs pour l’accès aux ressources naturelles (pâturages, points d’eau etc.). Le présent Atlas fait la synthèse des informations disponibles sur les transformations des systèmes pastoraux au Sahel, collectées dans le contexte du SIPSA ou par d’autres initiatives. Partant d’une analyse des besoins en information conduite dans le cadre du SIPSA, l’atlas analyse les grandes tendances de l’élevage pastoral et de son contexte. Au regard des impacts des conditions climatiques sur les économies au Sahel, il apparait indispensable de disposer d’analyse prospective sur les différents secteurs des économies des pays du Sahel. Tel est le mérite de cet atlas, un excellent outil qui permettra la prise de décision fondée sur des bases objectives et assurera l’amélioration certaine de la gouvernance du secteur de l’élevage pastoral sahélien. -
Stockage du niébé : formation des techniciens
La vision du projet est de pouvoir en 5 ans, stocké 50 % du niébé par les producteurs à l’aide du stockage hermétique. En effet, l’objectif du projet est de couvrir 28000 villages dans 10 pays, en 5 ans à travers la vulgarisation du triple ensachage (démonstrations au village, sensibilisations par la radio), la facilitation de l’établissement d’un système durable de production et de distribution des triples sacs (grossistes, distributeurs, paysans), l’adoption du triple ensachage par les producteurs et les commerçants de niébé, l’accroissement des revenus des petits producteurs et l’augmentation de la qualité marchande du niébé. -
Guide de bonnes pratiques phytosanitaires pour la production de tubercules et de feuilles de manioc (Manihot esculenta) en pays ACP
Le document « Guide de Bonnes Pratiques Phytosanitaires » (fruit ou légume) détaille toutes les pratiques phytosanitaires liées au (fruit ou légume) et propose essentiellement des substances actives soutenues par les fabricants des pesticides dans le cadre de la Directive Européenne 91/414 et devant respecter les normes Européennes en matière de résidus des pesticides. Au stade actuel ces substances actives n’ont pas été testées en pays ACP par le PIP pour vérifier la conformité avec les LMR européennes.Les informations données sur les substances actives proposée est donc et sera adaptée en continu selon les nouvelles informations que rassemblera le PIP. Il est évidemment entendu que seules les formulations légalement homologuées dans leur pays d’application sont autorisées à l’usage. Chaque planteur aura donc le devoir de vérifier auprès de ses autorités réglementaires locales si le produit qu’il souhaite utiliser figure bien sur la liste des produits homologués. -
La culture du jujubier : un manuel pour l’horticulteur sahélien
Dans le cadre du programme de renforcement de la capacité de systèmes nationaux de recherche à mener la recherche agroforestière et de la promotion de la formation, l’éducation, la documentation et la communication en agroforesterie, le World Agroforestry Centre – Afrique de l’Ouest et du Centre (ICRAF-WCA) en collaboration avec ses partenaires de la recherche développe des techniques agroforestières appropriées pour contribuer à améliorer les revenus des familles et leur sécurité alimentaire et nutritionnelle, tout en préservant l’environnement. Depuis 1989, une large gamme de technologies agroforestières a été développée pour relever le défi d’augmenter et de diversifier les ressources et les revenus des paysans. Pour faciliter la dissémination et l’adoption des innovations agroforestières et renforcer les capacités des institutions paysannes, l’ICRAF-WCA/Sahel s’est proposé de développer une série de fiches techniques servant d’outils de formation. -
Diffusion de forages à faible coût
Les techniques de forages généralement utilisées en Afrique sont bien adaptées aux grandes profondeurs et aux terrains durs. Pour les faibles profondeurs (moins de 12 m.) et les terrains légers (sables), il existe des techniques mieux adaptées : celles des forages manuels, sans compter les forages à la lance1 -
Etude/diagnostic sur les technologies d’irrigation dans le sous-secteur de la petite irrigation
Développement petite irrigation initiée et accompagnée par nombreuses techniques et technologies d’irrigation au début années 2000 en Afrique de l' Ouest et dans les pays du CILSS; ces technologies ont aujourd’hui des fortunes diverses. Cinq (5) principales technologies jugées performantes ont été adoptées par les acteurs notamment les irrigants. -
Supports de formation et d’animation sur la thématique de la production agricole
Un guide opérationnel destiné à tous les acteurs concernés par les questions de financement de l’agriculture et ayant pour objectif d’appuyer la construction d’une nouvelle alliance entre OPA et institutions financières. Il présente de manière détaillée les étapes d’une démarche visant à i) renforcer la capacité de OPA et des institutions financières à analyser les besoins et contraintes de financement de l’agriculture ii) consolider les capacités de ces acteurs à choisir et à proposer aux agriculteurs un accès efficace, équitable et viable aux services financiers iii) formaliser un cadre de réflexion et d’action pour construire des partenariats permettant un financement durable des agricultures familiales du Sud. -
Guide technique de l' agriculture
La présente documentation technique de la JGRC, composée de 8 guides, s'adresse aux techniciens impliqués dans la lutte contre la désertification par le biais des activités agricoles des communautés rurales.
En deux mots, les études de la JGRC se caractérisent par l'acquisition q de techniques de développement agricole
utilisant efficacement l'eau des oueds (cours d'eau dont l'écoulement se limite à la saison des pluies) dans les plaines d'inondation, ces dernières étant relativement fertiles mais peu utilisées, et w de techniques de
développement global et durable de l'agriculture, centrées sur la conservation des sols des terrains en pente douce et le rétablissement de la productivité des sols où se trouvent les villages. -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce guide liste les techniques mobilisables pour la production de semences de tomates de qualité -
Entretien avec Abdoul Aziz Diop, Ingénieur travaux agriculture, Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA)
Entretien avec Abdoul Aziz Diop, Ingénieur travaux agriculture, Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA), Sénégal, lors des Journées portes ouvertes pour la démonstration des performances des variétés de riz hybride développées par AfricaRice, 6 Août 2019, Saint Louis, Sénégal -
Risques climatiques et agriculture dans le Sahel
Cette présentation porte sur les risques agroclimatiques dans le Sahel -
Le réchauffement climatique observé depuis 1950 au Sahel
Ce rapport porte sur le réchauffement climatique observé depuis 1950 au Sahel -
Climate Change and Variability in the Sahel Region
Le présent rapport porte sur le changement climatique et variabilité dans la région du Sahel, les impacts et stratégies d'adaptation dans le secteur agricole -
Rapport national Conférence de Rio + 20
Ce présent rapport porte sur la rencontre décennale, également appelées « Sommets de la Terre », qui offre l’opportunité aux dirigeants mondiaux de se réunir pour définir les moyens de stimuler le développement durable au niveau mondial -
Plan d'investissement climat pour la région du Sahel - Volume 2 : plan d’investissement climat pour la région du sahel
Ce présent rapport porte sur le processus d’élaboration d’un Plan d’Investissements Climat pour la Région du Sahel, qui tire son fondement du « Sommet Africain de l’Action en faveur d’une co-émergence continentale » tenu le 16 novembre 2016 à Marrakech et qui a regroupé plusieurs Chefs d’État et de délégation d’Afrique, en marge de la 22ème Conférence des parties à la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (COP 22). -
Transformation en jus de fruits
Ce rapport porte sur les techniques de transformation de jus de fruits et résume les bases de la transformation du jus de fruits. Il ne donne pas de détails ou de recettes spécifiques à chaque fruit. -
Techniques actuelles de la fabrication des jus et concentrés de raisin
Ce guide résume les techniques de fabrication des jus et concentrés de raisin -
La multiplication des semences de pommes de terre
Ce manuel est un guide pour les formateurs soutenant le développement des entreprises consacrées à la production de semences de pommes de terre. Il est donc destiné à être utilisé comme un guide du formateur. Il l’aide à fournir un programme d’appui ainsi qu’une formation bien structurée et complète aux aspirants multiplicateurs professionnels de pommes de terres, et ce pendant toute une saison. Il donne également des directives et des conseils au formateur. Le manuel n’est pas un guide technique ; c’est la raison pour laquelle il est fondamental que les formateurs aient de l’expérience en matière de multiplication de semences de pommes de terre.
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Fruits et légumes biologiques des régions tropicales : Information de Marché, Certification et Production pour Producteurs et Sociétés de Commerce Internationales
Ce rapport porte sur la production et principes de base de l’agriculture biologique -
La fertilisation organique des cultures
Ce present fiche technique porte sur les techniques de fertilisations ecologiques -
La fertilisation en maraichage biologique
C’est dans les exploitations maraîchères que l’on rencontre les systèmes agricoles les plus intensifs, caractérisés par des successions de cultures rapides sur la même parcelle. La majorité de ces exploitations sont spécialisées, de ce fait la fertilisation est réalisée à partir d’intrants. Les exportations conséquentes et les besoins ponctuels importants de certaines cultures entraînent très souvent l’utilisation d’engrais -
Raisonner sa fertilisation en maraîchage biologique
Cette fiche technique porte sur la fertilisation en maraîchage biologique -
Formation sur le stockage et la conservation des produits agricoles
Ce guide se resume sur le renforcement des compétences des techniciens/ciennes à former les opérateurs/trices (producteurs/trices, transformateurs/trices, commerçants/tes) sur le stockage et la conservation des produits agricoles afin de limiter les pertes post-récoltes et améliorer la sécurité alimentaire et le revenu des différents opérateurs des chaines de valeurs des produits agricoles -
Le séchage des produits agricoles
Ce présent fiche technique porte sur le procédé de stabilisation et de conservation de tomate -
Unité de production de tomates séchées
Ce rapport présente une unité de production de tomates séchées -
Réduction des pertes post-récolte en Afrique: Basée sur l’expérience du CIRAD
Ce diaporama porte sur la réduction des pertes post-récolte en Afrique -
La production de semences maraîchères
Ce présente fiche technique porte sur La production de semences maraîchères
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Comment produire et conserver ses propres semences de légumes : un guide pour les producteurs
Ce guide de formation édité par le centre mondial des légumes porte sur la production et conservation de ses propres semences de légumes -
Techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale
Cette fiche technique porte sur les techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale -
Le pompage photovoltaïque : manuel de formation à l'intention des ingénieurs et techniciens
Manuel de cours à l’intention des ingénieurs et des techniciens -
Conception de systèmes horticoles innovants
Conception de systèmes horticoles innovants -
Les pépinières maraîchères en Afrique soudano-sahelienne
Ce document constitue un guide technique et est destiné aux vulgarisateurs, aux maraîchers professionnels ainsi qu’aux personnes qui désirent se spécialiser dans la production de plants maraîchers. A l’heure actuelle, la plupart des maraîchers produisent eux-mêmes leurs plants en pépinière. Quelques-uns conduisent également des plants pour la vente, mais cette activité reste marginale. L’amélioration de la qualité des plants produits en pépinière dans les zones à forte production maraîchère ne pourra se faire que par la mise en place de pépiniéristes professionnels spécialisés. -
Méthodes de compostage au niveau de l’exploitation agricole
Ce présent rapport porte sur les méthodes de compostage au niveau de l’exploitation agricole -
Faire son compost
Ce guide porte sur la fabrication du compost tout en reduisant ses déchets et en nourrissant le sol -
Comment fabriquer un bon compost à la ferme
Ce présente fiche porte sur les secrets de fabrication de compost a la ferme -
Typologie des systèmes irrigués en Afrique de l’Ouest sahélienne
Ce présent rapport porte sur la typologie des systèmes irrigués en Afrique de l’Ouest sahélienne: Burkina Faso – Mali – Mauritanie – Niger – Sénégal -
Manuel Technique sur le SRI en Afrique de l’Ouest
Le Système de Riziculture Intensive ou SRI est une méthode agro-écologique et intelligente face au climat qui permet aux agriculteurs de produire plus de céréales en utilisant moins de semences et d'eau, et moins d'intrants achetés. Contrairement à d'autres stratégies agricoles, le SRI ne repose pas sur des projets d'infrastructures, de nouvelles variétés ou d’engrais, d'herbicides ou de pesticides pour augmenter les rendements. Le SRI est plutôt une approche de gestion des cultures basée sur la connaissance conduisant à l'amélioration de la croissance et de la productivité des plantes. Ce résultat est obtenu en augmentant l'expression du potentiel génétique des plants de riz pour une meilleure productivité. -
Guide sur la gestion et la conservation des sols et des éléments nutritifs pour les champs-écoles des agriculteurs
Ce document propose des directives de référence pour la conception et la mise en application de l’approche champ-école des agriculteurs. Il est destiné aux facilitateurs de cette formation, pour produire des programmes et des manuels spécifiques locaux ou nationaux sur la vulgarisation agricole, l’agronomie, la science du sol, la nutrition des plantes, la conservation des sols et d’autres domaines de gestion agricole. Il peut être adapté à l’environnement agro-écologique, aux systèmes agricoles/culturaux, aux conditions socio-économiques et au niveau de formation des agriculteurs des régions concernées par les champs-écoles des agriculteurs. -
Agrodok : Gérer la fertilité du sol
Ce guide technique explique comment faire le diagnostic des sols, ce que sont les constituants organiques et chimiques des sols, comment améliorer la fertilité du sol, etc. Il présente plusieurs techniques de fertilisation de sol -
La planète laitière et la place de l’Afrique de l’Ouest dans la consommation, la production et les échanges de produits laitiers
Le secteur laitier mondial connait un développement soutenu en raison de l’augmentation des besoins en produits laitiers d’une population en croissance et d’un changement progressif des régimes alimentaires. Si les pays asiatiques sont depuis longtemps placés au coeur de cette dynamique, ce qui stimule le développement des exportations dans trois grandes zones géographiques (l’Union européenne, la Nouvelle-Zélande et les Etats-Unis), la place qu’occupe l’Afrique dans la « planète laitière » est étudiée ici de façon spécifique. Moyennant une focalisation sur le cas des pays de l’Afrique de l’Ouest, cette communication aborde successivement la consommation de produits laitiers, la production de lait et les échanges de produits laitiers. Pour ce faire, cette analyse mobilise, d’une part, les données statistiques de la FAO sur une longue période (1961 à 2017) et, d’autre part, les statistiques des douanes sur la période 2000 à 2017 (pour la base de données BACI) ou 2018 (COMEXT). Une attention est portée à la question des importations de ces pays, notamment en mélanges de lait écrémé et de matière grasse végétale en poudre en provenance de l’Union Européenne (UE). Compte tenu de la faiblesse des droits de douane appliqués aux frontières et du caractère hautement compétitif de ces produits, un débat est engagé autour du devenir de la production laitière locale et de la stratégie déployée par les autorités européennes pour soutenir ou non, au travers de sa politique agricole, le développement de l’agriculture africaine. -
Première approche sur l’inventaire et l’importance des ennemis de 10 cultures maraîchères dans les 10 pays du RADHORT)
Ce travail fait suite à l’article paru dans le Bulletin de Liaison N°11 du 31 mai 1997 (p 74-88) et présente pour 10 cultures, la liste des ennemis présents dans au moins un des 10 pays du Réseau Africain de Développement de l’HORTiculture (RADHORT) Burkina, Cap-Vert, Côte d’Ivoire, Guinée, Guinée-Bissau, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad -
Atelier de capitalisation d'expériences sur le développement de la petite irrigation privée à haute valeur ajoutée en Afrique de l'ouest: Présentation des expériences de la petite irrigation au Bénin
Capitalisation des expériences du projet de la petite irrigation au Bénin -
La culture fruitière sous les tropiques
Ce guide technique du CTA montre comment réussir une culture fruitière sous les tropiques -
Les villes d’Afrique de l’Ouest et du Centre sont-elles si dépendantes des importations alimentaires ?
Les flambées des prix alimentaires depuis 2007 ont relancé les discussions sur la dépendance alimentaire des pays les plus vulnérables, et en particulier de leurs villes. Peu d’études récentes confirment la stimulation de la production alimentaire par l’urbanisation que nombre d’auteurs avaient annoncé durant les années 1990. Cette étude vise donc à identifier les principales structures de la consommation alimentaire urbaine sur la base de 36 enquêtes nationales de consommation réalisées auprès des ménages dans 15 pays d’Afrique de l’Ouest et centrale. Les résultats de ces enquêtes montrent que le riz et le blé importés dominent largement la ration amylacée des citadins. Les produits amylacés locaux (maïs, manioc, sorgho et, dans une moindre mesure, igname et plantain) ne sont cependant pas marginalisés partout. Ils gardent une place importante dans la consommation alimentaire de certaines villes de la région. Cela dit, les produits amylacés ne représentent qu’environ le tiers de la valeur des dépenses alimentaires des urbains. Un second tiers environ est constitué des produits animaux et le dernier tiers des produits de sauce (légumes, légumineuses, huiles, sucres et condiments), des fruits et des boissons. Au sein de ces deux derniers tiers de la consommation, les produits locaux dominent largement. Sans sous-estimer la dépendance alimentaire des villes, un tel constat révèle la capacité des marchés urbains à entraîner le développement des filières alimentaires locales. De plus, les enjeux nutritionnels ont changé. Les apports caloriques sont de moins en moins des facteurs limitants, laissant place à un double fardeau nutritionnel : une surconsommation calorique combinée à des carences en micronutriments. Ce constat milite pour que les questions alimentaires ne portent pas seulement sur les céréales mais qu’elles englobent l’ensemble des produits alimentaires et notamment ceux qui contribuent à la diversification de la ration. -
Outil d'animation sur l'agro-écologie : «Et maintenant, on fait quoi ?» - Guide de l’animateur
Cet outil est issu d’un travail de capitalisation mené avec l’Accir et les Unions Départementales de Producteurs de Niébé de Dablo, Pensa et Pissila en 2015, sur la thématique: « Quel accompagnement des producteurs sur la voie de l’agro écologie ? De la pratique à une démarche ».
Ce support d’animation, à destination des Unions et Groupements de Producteurs, a pour objectif de susciter le débat autour des orientations à prendre dans le cadre d’une démarche agro écologique. Il ne s’agit donc pas de fiches techniques avec un message technique à faire passer, mais bien d’un outil pour amener la discussion.
L’outil d’animation illustré a été co-construit avec les 3 Unions Départementales. -
Module de formation sur les techniques de stockage et de conservation des céréales
Ce module déroulé en trois jours expliques les procédures d'hygiène et de conditionnement des produits. le stockage et les dates de péremption en fonction des produits -
Nourrir les villes, défi de l’agriculture familiale : des innovations locales et paysannes en Afrique de l’ouest
on l’ignore souvent, mais l’agriculture familiale produit aujourd’hui l’essentiel de l’alimentation consommée dans la région2. elle emploie plus de la moitié des actifs3 et constitue la forme d’agriculture la mieux à même de gérer durablement les ressources naturelles -
Économie familiale et innovation agricole en Afrique de l'ouest : vers de nouveaux partenariats
L’économie familiale occupe une place prépondérante dans les économies des pays de l’Afrique de l’Ouest et joue un rôle déterminant pour répondre aux besoins de cette population. L'agriculture contribue pour près de 30% du PIB , la plupart des activités agricoles sont organisées et mises en œuvre par les exploitations familiales qui sont la forme de production la plus importante au sein de l’économie familiale en milieu rural. -
Les potentialités agricoles de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO)
Le premier défi du secteur agricole est de continuer à assurer plus efficacement cette fonction économique en élevant la productivité de tous les facteurs et en fournissant les matières premières de l’artisanat et de l’industrie agroalimentaire. Cet enjeu est crucial pour que la région maîtrise sa dépendance alimentaire vis-à-vis du reste du monde et améliore, via la transformation des produits et l’incorporation de valeur ajoutée, les termes actuels des échanges défavorables aux pays de la CEDEAO. -
Les agricultures familiales innovent
Ce travail collaboratif vise à la capitalisation d‘innovations locales et paysannes.
Cette démarche avait pour but le partage de connaissances, pour valoriser des solutions innovantes mises en œuvre au bénéfice des agricultures familiales du Sud, pour répondre à leurs défis quotidiens, notamment la sécurité alimentaire, le changement climatique, la pauvreté rurale, l’appauvrissement des sols et des écosystèmes, l’accès au crédit, au marché, et à l’accompagnement -
Techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale
Cette fiche d'information présente les conditions générales de culture du moringa (semis, espacement, irrigation, fertilisation, sarclage, taille, lutte contre les ravageurs, récolte , production de graines ) -
La sécurité sanitaire des aliments
Assurer la sécurité sanitaire des aliments d’origine animale nécessite d’agir à tous les stades de la chaîne alimentaire, de la production au niveau de la ferme jusqu’à la consommation par l’homme. De multiples risques sanitaires surviennent avant l’abattage des animaux ou durant la phase de transformation. -
Élevage et marché régional au Sahel et en Afrique de l’Ouest Potentialités et défis
Le but de cette initiative conjointe de la Commission de la CEDEAO et du Secrétariat du Club du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest (CSAO/OCDE), est de voir en quoi l’élevage peut-il être un des moteurs de dynamisation du marché ouest-africain de produits agricoles et alimentaires, en renforçant d’une part la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et en contribuant d’autre part à la réduction de la pauvreté. Cette analyse est une
contribution à la mise en œuvre de la Politique agricole de la CEDEAO (ECOWAP)adoptée le 19 janvier 2005, -
Les mesures à prendre pour limiter la dérive en pulvérisation agricole
Cette présente fiche porte sur les mesures à prendre pour limiter la dérive en pulvérisation agricole -
Les impacts du changement climatique sur les rendements agricoles en Afrique de l’Ouest
Impacts du changement climatique sur la production agricole -
Agroécologie, une transition vers des modes de vie et de développement viables
Paroles d’acteursParler d’agroécologie est équivoque et oppose souvent deux camps. Tantôt présentée comme remède à tous les problèmes, tantôt accusée de mystification ou d’archaïsme, l’agroécologie réellement pratiquée dans le monde ne mérite certainement pas cet excès d’honneur ou cette indignité. Tout simplement, elle existe, et ceci depuis longtemps et de manière significative. Les agroécologistes qui la pratiquent se comptent plutôt par centaines de millions que par dizaines ; même si certains, un petit nombre, ont tendance à se livrer des querelles épistémologiques.
Une question se pose cependant : comment cette masse silencieuse et productive a-t-elle pu demeurer si peu visible aussi longtemps ? -
Alimentation des poulets et entretien des poulaillers
Notes prises à partir de la vidéo https://youtu.be/Zn1OXW79eXQ (Vidéo tournée au Centre Régional de Songhaï Porto-Novo au Bénin) -
Rapport thématique Afrique de l’Ouest : Neutralité en matière de dégradation des terres : Bénéfices pour la sécurité humaine
Le présent rapport thématique du GLO sur l’Afrique de
l’Ouest et le Sahel a été élaboré par le Centre régional
AGRHYMET dans le cadre d’un Mémorandum d’accord
signé en 2019 entre le Comité permanent inter-États
de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) et
la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la
désertification (CNULCD). Ce travail a été accompli avec
l’appui généreux de TetraTech, USAID et SERVIR Afrique
de l’Ouest. -
Guide de prévention et de protection à l’égard de la Covid-19 à destination du grand public
La présente brochure, à destination du grand public de tous les pays concernés, a pour objectif de donner des informations professionnelles sur la prévention et la protection à l’égard de la Covid-19 afin d’éviter la panique. Mieux nous connaissons le virus, meilleure sera notre protection vis-à-vis de lui. -
Systèmes agroforestiers et inoculation microbiologique
Les ressources forestières fournissent des services écologiques indispensables au bien-être des populations. En zone sahélienne, au Sénégal en particulier, elles ont régressées ces dernières années du fait de la pression exercée par les populations et les changements climatiques. La raréfaction des pluies et la déforestation entrainant l’avancée du désert et une baisse significative de la production agricole.
De nombreuses politiques forestières ont été initiées par les populations, l’Etat et les partenaires au développement, mais le phénomène de déforestation continue à gagner du terrain. A cela s’ajoute, la divagation animale en saison sèche qui perturbe le développement du maraichage.
C’est dans ce contexte que l’Association de Promotion de l’Agroforesterie et la Foresterie (APAF Sénégal) a mis en place des systèmes agro forestiers introduisant des arbres fertilitaires ou forestiers dans les champs des paysan-ne-s, par reboisement ou en appliquant les techniques de régénération naturelle. Ce sont ces techniques endogènes ancestrales africaines que l’APAF a redécouvertes et réactualisé pour les diffuser en milieu paysan. -
Bandes antiérosives végétalisées dans un champ agroforestier
Note issue de 2 documents réalisés par l’APAF-Sénégal sur la restauration des sols -
L’intégration des concepts de résilience dans le domaine de la sécurité alimentaire : regards croisés
On observe depuis les années 2000 la volonté des acteurs de la sécurité alimentaire de rapprocher résilience et sécurité alimentaire. Ce rapprochement n’apparaît cependant pas si évident au vu de la diversité d’éléments de langages utilisés pour les associer. Cet article vise donc à faire un état des lieux de l’association de ces notions, voire de leur intégration mutuelle. L’application de la résilience à la sécurité alimentaire met elle en avant les mêmes dimensions que lorsqu’elle est appliquée aux systèmes socioécologiques ? Y aurait-il
ainsi plusieurs concepts de résilience ? Quels sont les apports en termes programmatique et analytique dans
le champ de la sécurité alimentaire ? Quels difficultés ou défis posent cette intégration ? Une analyse de la littérature a été menée à partir de références scientifiques ainsi que de documents de cadrage, de projets et
programmes produits par des institutions, bailleurs de fonds et ONG. Deux enjeux se dégagent de ce rapprochement : la mesure de la résilience et les apports de cette approche en comparaison d’autres telles que la gestion des risques et la réduction de la vulnérabilité. Par ailleurs, alors qu’elle n’a pas de portée normative concernant les trajectoires des systèmes socioécologiques, la résilience est intrinsèquement considérée comme positive dans le domaine de la sécurité alimentaire. Cette acception de la résilience soulève alors des problèmes politiques de définition de ce qu’est une trajectoire favorable. L’accent mis, avec la résilience, sur les trajectoires du système, permet toutefois de relier court terme et long terme, tant pour comprendre les perturbations que pour concevoir des interventions. Enfin, les caractères holistique et multiscalaire de la résilience se retrouvent dans l’ensemble de la bibliographie étudiée, constituant une « avancée » dans le
domaine de la sécurité alimentaire. -
Rôle des oiseaux sauvages dans la transmission et la dispersion des virus de l’influenza aviaire : apport de l’éco-épidémiologie dans les écosystèmes afro-tropicaux
La diffusion intercontinentale du virus de l’influenza aviaire (VIA) hautement pathogène H5N1 en 2005–2006 a déclenché un effort de recherche important sur l’épidémiologie des VIA chez les oiseaux sauvages et à l’interface entre oiseaux sauvages et domestiques. En effet, les oiseaux sauvages hébergent les souches de VIA faiblement pathogènes qui une fois transmises à la volaille peuvent évoluer vers des souches de plus forte pathogénicité qui constituent un risque économique et de santé publique. Les travaux réalisés au cours des dix dernières années en Afrique ont permis d’étudier les VIA dans des contextes écologiques et épidémiologiques peu explorés. Les résultats indiquent que les VIA persistent dans les écosystèmes afrotropicaux tout au long de l’année et sont probablement maintenus dans les communautés d’oiseaux sauvages.
L’écologie de la transmission de ces VIA dans les régions afro-tropicales présente cependant des particularités. Ainsi, le rôle des limicoles ne semble pas aussi crucial dans la maintenance des VIA que dans les écosystèmes nord-américains. La maintenance des VIA n’est peut-être pas uniquement dépendante des canards sauvages et une grande diversité d’espèces de la communauté d’oiseaux sauvages semble participer à la circulation de ces virus. Finalement, certaines espèces peuvent jouer le rôle de relais, créant le lien épidémiologique entre canards sauvages (l’hôte de maintenance) et les populations de volaille domestique (l’hôte cible). Ces travaux ont donc permis de produire les premières esquisses des modes de circulation et de persistance des VIA dans les communautés d’oiseaux sauvages et domestiques en Afrique, mais ont aussi contribué à stimuler la recherche globale sur les VIA en proposant des hypothèses originales et des méthodes pour les tester.
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Innovation platforms and projects to support smallholder development - experiences from Sub-Saharan Africa
Des projets et des Plateformes d’Innovation pour soutenir les petits producteurs – quelques expériences en Afrique sub-saharienne. Ce numéro thématique présente et analyse les travaux et les résultats de Plateformes d’Innovation qui ont été mises en place et animées par le programme de recherche expérimental CoS-SIS (Convergence of Sciences–Strengthening Innovation Systems) dans neuf zones agricoles d’Afrique de l’Ouest entre 2011 et 2013. Six articles synthétisent les expériences locales de différentes plateformes d’innovation. Ils sont complétés par une analyse transversale des influences externes sur les plateformes d’innovation et des réponses de celles-ci, par une réflexion sur les réactions des plateformes d’innovation du Mali aux conflits locaux, et par une analyse des mécanismes par lesquels les plateformes d’innovation du Ghana ont influencé le contenu des enseignements universitaires et les programmes des instituts de recherche agronomique. -
Culture de la pomme de terre en Afrique de l’ouest
La parution de ce guide est un des résultats de l’atelier sur la filière pomme de
terre organisé par le Centre pour le Développement de l’Entreprise (CDE) et ses
partenaires à Ouagadougou en novembre 2007. -
Compostage du fumier pour en faire de l’engrais puissant
Présentation des avantages et techniques de compostage -
Association culturale
Note sur les associations culturales -
Microorganisme Efficaces (Fertilisant bio)
technique de fertilisation biologique -
Techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel : Guide destiné aux Techniciens, Agents Prestataires de Services (APS) et
Animateurs Villageois (AV)Ce guide porte sur les techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel -
Projet de dissémination de technologies de contrôle des mouches des fruits en Afrique l’ouest (FSA-CORAF) - rapport d'achèvement
Ce rapport porte sur le projet de dissémination de technologies de contrôle des mouches des fruits en Afrique l’ouest (fsa-coraf) -
External influences on agro-enterprise innovation platforms in Benin, Ghana and Mali – Options for effective responses
Cet article analyse les facteurs externes influençant les plate-formes d’innovation (PI) et les différentes réactions possibles. Les plateformes étudiées dans cet article ont été conçues pour favoriser le changement institutionnel et l’innovation au profit des petits acteurs du secteur agricole au Bénin, au Ghana et au Mali. Elles ont été imaginées et mises en place de façon à pouvoir tester des processus de changement dans les domaines choisis. Dans chaque cas, un associé de recherche a facilité le travail de la PI et a mis en oeuvre les théories du changement et a documenté les processus d’innovation élaborés par les membres de chaque plate-forme. Les données récoltées permettent l’analyse des facteurs externes influençant les PI. Dans un premier temps, cet article présente une typologie des influences externes majeures, pour ensuite utiliser cette même typologie afin d’analyser les influences sur les PI et leurs réactions face à ces facteurs externes. Les influences les plus importantes sont d’origine mondiale, sousrégionale, ainsi que nationale. Les réponses des PI ont été diverses ; elles incluent pour la plupart la recomposition des équipes, du lobbying, ainsi que l’augmentation de la capacité d’action des petits acteurs en facilitant l’accès aux aides financières et à de nouvelles connaissances et compétences. Cet article illustre les leçons tirées par les membres des plate-formes face aux défis rencontrés. On constate que les facteurs externes influencent de façon significative l’orientation de l’innovation sociotechnique et institutionnelle. -
Facing climate variability in sub-Saharan Africa: analysis of climate-smart agriculture opportunities to manage climate-related risks
In the literature, a lot of information is available about climate change perceptions and impacts in sub-Saharan Africa. However, there is limited attention in the region to emerging initiatives, technologies and
policies that are tailored to building the adaptive capacity of agricultural systems to climate change and
variability. In this paper, we discuss the prospects for climate-smart agriculture technologies and enabling
policies in dealing with climate change and variability at different sub-regional levels of sub-Saharan Africa to sustain farm productivity and livelihoods of agrarian communities -
Les systèmes d'information sur les marchés agricoles dans les pays en développement : nouveaux modèles, nouveaux impacts
Dans les pays en développement (PED), les systèmes d’information sur les marchés (SIM) agricoles se sont développés en deux phases. Une première génération de SIM est apparue dans les années 1980 au moment de la libéralisation des agricultures des PED et une seconde génération l’a suivie dans les années 2000 sous l’impulsion de différents facteurs, notamment les difficultés rencontrées par les SIM de la première génération pour atteindre leurs objectifs, les nouvelles possibilités offertes par le développement des TIC – Internet et téléphonie mobile – et l’organisation croissante des opérateurs privés (organisations de producteurs, interprofessions). -
Cultivez votre spiruline : manuel de culture artisanale
L'objectif de ce manuel est de former des formateurs pour diffuser et rendre accessible à un plus grand nombre la culture et la consommation de la spiruline, et aider les futurs "jardiniers" (jardiniers du futur ?) à contrôler un certain nombre de paramètres pour produire à l'échelle familiale, coopérative ou communautaire un aliment dont les qualités nutritionnelles sont aujourd'hui reconnues, mais qui leur reste pratiquement inaccessible, du moins à l'état frais. Il n'est pas de fournir les éléments nécessaires pour une exploitation répondant seulement à des critères de rentabilité commerciale, spécialement en pays à main-d'oeuvre chère, car le procédé proposé est très gourmand en main-d'oeuvre du fait de son taux de mécanisation quasiment nul. -
Cendre de bois : Lutte contre les fourmis, pucerons et mouches
Cette note indique comment utiliser les cendres de bois pour lutter contre les pucerons, fourmis et mouches -
Pratiques agro-écologiques : augmenter le potentiel d’un champ avec des cordons pierreux
Cette fiche technique montre comment réaliser des cordons pierreux -
Pratiques agroécologiques : demi-lunes
Cette fiche technique indique comment réaliser des demi-lunes -
Les aptitudes agricoles et pastorales des sols dans les pays du CILSS
Dans cette étude, la détermination des potentialités agricoles des sols, concerne les neuf pays du CILSS: le Burkina Faso, le Cap Vert, la Gambie, la Guinée Bissau, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le
Sénégal et le Tchad. Elle a pour principal objectif à partir de l'exploitation des données existantes,
- de dégager une nomenclature simple et compréhensible des sols et de leurs qualités essentielles,
- d'élaborer des cartes et/ou grilles d'aptitude pastorale et culturale notamment pour les trois principales cultures dans chacun des pays concernés. -
Les différentes techniques de préparation des plantes médicinales
Cette note réalisée par Mil'école présente les différentes façons de préparer des plantes médicinales -
Recueil de plantes médicinales et leurs vertus : expériences des paysans du Togo et du Bénin
Le recueil des plantes médicinales en Afrique de l’Ouest est élaboré par le Secaar suite aux expériences des paysan-e-s impliqué-e-s dans l’exécution du programme de promotion de la souveraineté alimentaire et réseau des fermes agro écologiques au Togo et au Bénin pour la période 2016 - 2018. -
Utiliser l'eucalyptus en tant qu'insectifuge, contre la teigne de la pomme de terre
Cette note présente les propriétés de l'eucalyptus pour lutter contre les ravageurs de la pomme de terres -
Pratiques agroécologiques : augmenter le potentiel d’un champ avec des diguettes antiérosives filtrantes
Cette fiche technique montre comment réaliser des diguettes filtrantes -
Gérer les ressources naturelles : la technique de la «mise en défens»
L’une des techniques mises en œuvre pour le gestion des ressources naturelles est la « mise en défens », qui s’écrit comme le mot défense, sans le « e » final. Mais l’idée est similaire. Il s’agit plus précisément de la mise en défens d’aires écologiques dégradées ou menacées de dégradation par des facteurs naturels ou par l’effet d’activités humaines. -
Intégration de l'irrigation et de l'aquaculture en Afrique de l'Ouest : concepts, pratiques et perspectives d’avenir
Le présent volume contient les documents de référence et les exposés présentés à l’occasion de l’Atelier FAO-ADRAO sur l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA), tenu à Bamako, au Mali, du 4 au 7 novembre 2003, ainsi que les résultats des missions des experts de la FAO sur l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA) dans la région de l’Afrique de l’Ouest. La logique qui sous-tend le développement de l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA) est le fait qu’elle offre des possibilités pour accroître la productivité des ressources peu abondantes en eau douce, pour améliorer la sécurité alimentaire et la
réduction de la pauvreté, et pour réduire la pression sur les ressources naturelles, en particulier dans les pays de l’Afrique de l’Ouest prédisposés à la sécheresse. -
L'élevage de poissons en rizières
La présente étude entend fournir une synthèse des informations disponibles et souligner le rôle important que l’aquaculture de systèmes d’élevage intégrés à la riziculture peut jouer en vue d’atteindre une situation de sécurité alimentaire et de réduire la pauvreté. -
L’irrigation informelle en Afrique de l’Ouest : Une solution ou un problème?
La contribution de l’irrigation informelle aux défis de l’agriculture irriguée est donc plutôt mitigée dans l’ensemble concernant la productivité agricole, le développement régional, les revenus des irrigants et la protection environnementales. A côté d’un potentiel et de réussites indéniables, on peut craindre des retombées négatives en matière: (i) de gestion de la ressource, et (ii) d’effets sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces limitations peuvent affecter à court terme la société dans son ensemble, mais aussi à plus long terme les irrigants informels eux-mêmes. -
Note d'introduction sur les jardins scolaires : Promouvoir les programmes de jardins scolaires pour améliorer l’éducation et l’alimentation des enfants
Il existe des jardins scolaires dans la plupart des pays en développement, les expériences les plus concluantes étant généralement dues à des initiatives communautaires ou aux efforts d’enseignants particulièrement motivés. -
Liste globale des pesticides autorisés par le Comité Sahélien des Pesticides Version de Novembre 2019
La Liste des pesticides autorisés par le Comité Sahélien des Pesticides -
Le sol : support vivant et nourricier
Cette fiche technique présente les fonctions du sol et des exemples locaux de techniques agroécologiques -
Fiche maraîchage n°2 : rotation des cultures
Cette fiche technique explique pourquoi réaliser des rotations culturales est important pour la durabilité des sols -
Les plantes de couverture sous verger
Cette fiche technique explique l'intérêt d'utiliser des plantes de couverture pour nourrir le sol -
Fiche maraîchage n°3 : le greffage en maraîchage
Cette fiche montre différentes techniques de greffage en arboriculture -
Nourrir le sol : les engrais verts
L’engrais vert s’implante par semis entre deux cultures. Il est enfoui ou non dans le sol en fin de cycle afin d’agir sur la culture suivante. -
Fiche maraîchage : lutte contre le flétrissement bactérien
Le flétrissement bactérien (Ralstonia solanacearum) est une bactérie du sol, pathogène des végétaux. Elle est particulièrement virulente dans les régions tropicales et subtropicales et colonise le xylème. Elle cause une pourriture bactérienne ou bactériose vasculaire chez de nombreuses plantes-hôtes. -
Fiche maraîchage n°5 : filets de protection
Le filet de protection permet de protéger les cultures des agressions extérieures telles que les insectes nuisibles et les oiseaux. Grâce à celui-ci, les traitements insecticides sont supprimés ou diminués. -
Le compost
Le compost est issu de la transformation de déchets organiques (feuilles, herbes, résidus de culture, déchets de cuisine, fibres, fumiers…) par une population de micro-organismes dans un environnement chaud, humide et aéré, en une matière humique biologiquement stable et utilisable pour la nutrition des plantes -
le compost enrichi - appelé également compost en pile ou en lasagne
Cette fiche technique présente les modalités de réalisation d'un compost enrichi. Ce type de compost est bien plus riche que le compost vert car il a une teneur élevée en matière organique et contient plus d’éléments nutritifs -
Le vermicompostage
Le vermicompostage (ou lombricompostage) est un processus de dégradation de la matière organique par des vers de terre en vue de la production d’ un amendement riche en éléments minéraux, exempt de pathogènes et qui favorise la rétention d’eau : le vermicompost. -
Le vermicomposteur
Il existe plusieurs modèles de vermicomposteur, en fonction du système choisi (continu ou discontinu), construit avec différents matériaux (bois, bambou, béton…) -
Le Bois Raméal Fragmenté
Le Bois Raméal Fragmenté (BRF) est une technique d’amélioration des sols cultivés par l’incorporation de fragments de bois permettant d’activer la vie biologique du sol. Cette technique imite les processus à l’oeuvre dans une forêt où les feuilles et les branches tombées à terre se décomposent au fil du temps afin de créer l’humus forestier. -
Le charbon de bois à usage agricole
Le charbon de bois est le produit de la combustion incomplète du bois (la combustion complète donnant de la cendre). Incorporé dans le sol, il a plusieurs vertus, grâce notamment à sa structure poreuse, qui améliorent les propriétés du sol. -
L’organoponie
L’organoponie s’est essentiellement développée en zones urbaines où les espaces sont réduits et la terre peu fertile. Nous devons cette expérience notamment aux cubains qui du fait de leur isolement pendant l’embargo états-unien, ont développé beaucoup de techniques agroécologiques, simples et peu coûteuses. L’organoponie s’adapte aussi très bien aux petites unités maraîchères de Guyane. -
Le Bois Raméal Fragmenté
Cette fiche technique porte sur les étapes de la production des bois raméal fragmenté -
Association de plantes
Cette fiche technique montre comment et pourquoi réaliser des associations de cultures -
Les systèmes agroforestiers
L’agroforesterie, c’est l’association délibérée sur une même parcelle de cultures agricoles avec des espèces ligneuses pérennes (arbres), avec ou sans animaux, dans une démarche de durabilité. L’objectif est de bénéficier de biens et de services issus des interactions positives établies entre les différentes composantes (cultures, arbres, animaux, sol). -
Conseils pour l’aménagement d’une parcelle : outils d'aide à la décision
Avant toute mise en place des cultures, il est essentiel d’explorer sa parcelle afin d’optimiser l’emplacement des productions qui doivent s’inscrire dans une vision globale d’aménagement du paysage. Il s'agit de respecter un équilibre entre des aménagements antiérosifs et riches en biodiversité (maintien et développement
de la faune et la flore). -
L’utilité des haies
Les haies ont à la fois un effet protecteur, régulateur, améliorant et économique. -
La rotation des cultures
Chaque plante a besoin d’éléments nutritifs différents, que leurs racines vont chercher dans différentes couches du sol. Si les mêmes légumes sont toujours cultivés au même endroit, le sol se fatigue progressivement favorisant ainsi la multiplication des risques phytosanitaires. L’alternance des cultures offre au contraire de multiples bénéfices -
Les associations de plantes
En milieu naturel, les interactions entre les plantes sont omniprésentes, notamment par les sécrétions racinaires ou encore par l’émission de signaux olfactifs. Elles modifient alors leur environnement, les unes favorisant la croissance des autres ou à l’inverse, inhibant leur développement. Au jardin, des influences entre légumes sont également observables. Il faut alors veiller à favoriser les associations positives et éviter les négatives. Par exemple, associer des radis aux laitues évite la montée en graines
de ces dernières. Ces associations, issues d’expériences observées localement en Guyane et à Macapa, ont une multitude d’effets dont voici un panel non exhaustif -
Les mycorhizes
Myco pour « champignon » et Rhize pour « racine ». On suppose que les mycorhizes sont apparues il y a 450 millions d’années en même temps que les premières plantes terrestres. Elles sont le résultat d’une symbiose naturelle entre des champignons microscopiques du sol et les racines des plantes. Grâce au développement d’un réseau de filaments, ces associations symbiotiques permettent à la plante de multiplier sa surface de contact avec le sol (par 1 000) permettant une plus grande prospection du sol. Ce réseau peut atteindre jusqu’à 1 km pour 1 m de système racinaire (en longueur cumulée). Les éléments minéraux sont transmis du champignon à la plante en échange
d’un transfert de carbone de la plante au champignon. -
Démarrer ses cultures avec des plants sains
Les maladies transmises par les semences sont causées par différents bio agresseurs : bactéries, virus, champignons, qui peuvent parfois survivre jusqu’à 2 ans sur la graine comme la pourriture noire (Xanthomonas campestris). Les symptômes sont très variables et surviennent à différents stades physiologiques des plantes. Pour éviter les maladies, mieux vaut démarrer la culture avec des plants sains. -
Les auxiliaires entomophages
Les insectes nuisibles sont régulés par leurs ennemis naturels (prédateurs, parasitoïdes et pathogènes) appelés auxiliaires des cultures. Le préfixe « entomo - » désigne les insectes, les auxiliaires sont donc qualifiés d’entomophages s’ils consomment les insectes (araignées, insectes prédateurs et parasitoïdes), ou d’entomopathogènes s’ils les rendent malades (micro-organismes). -
la lutte biologique par conservation
Les insectes prédateurs et parasitoïdes, les araignées et les champignons entomopathogènes s’installent spontanément et durablement dans les milieux qui leur sont favorables et contribuent naturellement au contrôle des insectes ravageurs : ainsi s’opère la lutte biologique par conservation. Trois conditions sont essentielles pour favoriser les auxiliaires... -
La lutte contre les insectes ravageurs - exemples de méthodes par piégeage
Cette fiche rassemble quelques techniques utiles afin de lutter contre certains insectes nuisibles des cultures. Ces méthodes simples à réaliser utilisent des systèmes par attractif alimentaire ou piège dit mécanique. -
Lutte contre la fourmi manioc
Les fourmis manioc appartiennent aux genres Atta et Acromyrmex, elles sont qualifiées de fourmis coupeuses-de-feuilles ou champignonnistes. Elles se nourrissent du champignon Leucoagaricus gongylophorus qu’elles cultivent sur un substrat de feuilles en décomposition (compost). Ces fourmis sont bien connues des agriculteurs pour les dégâts causés au feuillage des arbres (surtout la nuit). -
Les plantes assainissantes
Les plantes assainissantes ont un pouvoir de désinfection du sol contre certaines maladies du sol telles que le flétrissement bactérien ou certains ravageurs tels que les nématodes ou les symphyles. On parle alors de biodésinfection du sol.
Certaines d’entre elles sécrètent des molécules gazeuses qui suppriment ou ralentissent la propagation des nuisibles : elles sont appelées plantes biofumigantes. Ces gaz se développent soit sur plantes vivantes par les racines, soit sur plantes mortes lors de leur décomposition. Les plus connues sont les plantes appartenant aux familles des Alliacées, Astéracées et Brassicacées. -
La lune et ses influences sur l'agriculture
La Lune de par son attraction sur la Terre influence entre autre les éléments constitués d’eau, elle est responsable des marées et influence également les flux de sève dans les végétaux. C’est pourquoi jardiner avec la Lune, c’est donner plus de chances aux cultures de mieux se développer, d’être plus résistantes et d’obtenir de meilleures récoltes. Dans cette fiche, nous nous attacherons plus particulièrement aux effets de la lune spécifiques à notre latitude c’est à-dire sous l’équateur. -
Le sorgho
Ce nouvel ouvrage de la série végétale traite d’une céréale d’origine africaine d’importance, le sorgho, qui occupe la 5e position au monde (venant après les quatre céréales principales que sont le maïs, le riz, le blé et l’orge). Le sorgho est néanmoins, dans bien des régions intertropicales, en Afrique surtout, une culture vivrière primordiale dans les agricultures familiales des zones semi-arides et subhumides où il joue un rôle de culture alimentaire de subsistance. Sa rusticité, ses exigences modérées en eau et la résistance à la sécheresse des variétés locales utilisées sont des qualités essentielles pour les agriculteurs dotés de moyens techniques modestes. -
Insectes ravageurs au champ : guide d'identification
Ce guide pratique permet d'identifier les principaux ravageurs du maïs.