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Transformation et conservation des produits maraîchers en petite irrigation
L’objectif visé à travers l’élaboration de ce module est de permettre aux prestataires de services publics et privés d’apprendre davantage sur les opérations de transformation et du stockage/ conservation des produits maraîchers que sont le chou, l’oignon, le moringa, le poivron, la pomme de terre et la tomate.
-- L’hygiène dans les unités de transformation et de conservation
-- Transformation et la conservation du chou, du moringa, de l'oignon, du poivron; de la pomme de terre -
Transformation des céréales : hygiène et techniques
Ce livret de l' apprenant constitue un guide/ un référentiel de base pour les membres des OP sur tout ce qui a trait aux techniques de transformation des céréales au Niger.
Thèmes développés :
1 -- Définition des céréales
2 -- Conditionnement
2.1 -- L’emballage
2.2 -- L’étiquetage
3 -- Équipements
4 -- Bonnes pratiques (higiène, fabrication, conservation , emplacement...).
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Moulin à grain : fiche d'innovation
La présente fiche décrit les étapes d'une session de formation des femmes en techniques de transformation des céréales à Toumgai, Agadez. le document présente un exemple de réussite d'un groupement féminin qui a réussi grâce à l'appui du PromAP. (Recettes de 330 000 FCFA générées de la gestion du moulin à grain obtenu de PromAP. achat et installation à Batarmatas un second moulin à 120 000 FCFA issus des recettes du moulin subventionné par PromAP) -
Fabrication d’une farine de manioc de haute qualité
Fiche technique pour la transformation du manioc en farine -
Fiche technique A.S.E. N° 10 moringa oleifera « l'arbre de vie »
Cette fiche technique présente l'importance de la production et de la transformation des produits du moringa. Le choix pour planter le Moringa oleifera est double :
1) une multitude de ses produits peut assurer aux femmes des revenus pendant toute l'année.
2) quelques vertus ont des qualités dans le domaine de la propreté et de la santé. -
Répertoire de technologies et de procédés de transformation de la mangue et de l’ananas
Ce rapport porte sur les technologies et procédés de transformation artisanales, semi-industrielles et industrielles de la mangue et les technologies et procédés de production de boissons et desserts, production de compost à base de rejets d’ananas -
Guide de la transformation de la mangue par le séchage au Burkina Faso
Le guide est articulé autour de quatre (4) grands chapitres : 1. Description du manguier et son importance socio-économique 2. Principales technologies de séchage de la mangue au Burkina Faso 3. Bonnes pratiques du séchage de la mangue 4. Démarches et formalités pour l’installation d’une unité de transformation de la mangue -
Transformation en jus de fruits
Ce rapport porte sur les techniques de transformation de jus de fruits et résume les bases de la transformation du jus de fruits. Il ne donne pas de détails ou de recettes spécifiques à chaque fruit. -
Techniques actuelles de la fabrication des jus et concentrés de raisin
Ce guide résume les techniques de fabrication des jus et concentrés de raisin -
Fiche technique de la poudre de Feuilles de Moringa
Cette fiche technique explique comment réaliser et utiliser la poudre de feuilles de Moringa -
FAO Niger
Programmes et projets de la FAO au Niger -
Fonds International de Développement Agricole (FIDA)
Présentation des programmes et projets du FIDA au Niger -
GiZ
Présentation de l'action de la Giz dans le monde et au Niger -
Echanges avec Dogondoutchi
Les communes de Dogondoutchi (Niger) et d’Orsay (Essonne) ont commencé leur coopération en 1992. Voir Historique et Résumé de nos actions depuis 1992.
La coopération a pour objectifs à la fois le développement économique des 60 000 habitants de la ville et des villages périphériques de Dogondoutchi et les échanges culturels et humains entre nos deux villes, qui sont jumelées depuis février 2010. Voir organigramme des relations réciproques. -
Millenium challenge Niger
Le Millenium Challenge Corporation est un fonds d’appui aux pays qui font preuve d’une gouvernance équitable, encouragent la liberté économique et investissent dans le développement humain. -
Maison des femmes d'Agadez
Association (ONG) Loi 1901, laïque, démocratique, à but humanitaire, qui s'inscrit dans une volonté de développement durable par l'alphabétisation et la formation des petites filles et des femmes d'Agadez, en zone Touaregue, au Niger. -
Swiss contact
Programmes et projets de swiss contact au Niger -
Cahier du formateur « transformation et la conservation des produits maraichers »
Le présent manuel montre à l’utilisateur des modules et support pédagogique un ensemble de techniques de transformation et conservation et les possibilités de stockage de six produits maraîchers cibles (Chou, Moringa, Oignon, Poivron, Pomme de terre et Tomate). -
Module de formation des prestataires de services publics et prives sur la transformation et la conservation des produits maraichers en petite irrigation
L’objectif visé à travers l’élaboration de ce module est de permettre aux prestataires de services publics et privés d’apprendre davantage sur les opérations de transformation et du stockage/ conservation des produits maraichers que sont le chou, l’oignon, le moringa, le poivron, la pomme de terre et la tomate. -
Transformation - Hygiène personnelle : versions Haoussa, Tamashek et Zarma
Le présent document porte sur l'hygiène à respecter lors des transformations de produits agricoles -
Agrodok 17 : La culture de la tomate : production, transformation et commercialisation
Ce guide technique du CTA montre comment cultiver, transformer et commercialiser la tomate -
Produire de l'huile et des galettes d'arachide
Vidéo présentant des techniques de production d'huile et de galettes d'arachide
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Tout sur le beurre de karité
Le Karité: d’où il vient, l'arbre, le ramassage des noix, la fabrication du beurre commentée par un chimiste, le contrôle qualité, son utilisation cosmétique et alimentaire (oui, il se mange), et les bienfaits très nombreux du beurre de karité brut. Pour nous contacter https://www.toriyaba.org -
Croissance de l'Agriculture en Afrique
L'Afrique abrite la moitié des terres fertiles et non cultivées du monde ; elle possède des ressources hydriques abondantes. A l'échelle mondiale, les agriculteurs africains sont ceux qui produisent le moins à partir de leurs cultures vivrières. les africains importent la moitié du riz qu'ils consomment et payent le prix fort pour cela. -
Manuel sur les technologies de récolte, de stockage et conservation et de transformation du maïs au Bénin
Le présent manuel, avec ses fiches techniques et posters en annexe, est élaboré pour servir d’outil d’aide aux productrices, producteurs, transformatrices et transformateurs afin qu’ils puissent améliorer leurs pratiques des opérations de récolte, de stockage & conservation et de transformation du maïs. Ce manuel, avec ses fiches et posters, participe au renforcement de capacité des acteurs de la filière maïs. -
Growing and processing moringa leaves
Guide technique pour la culture du moringa -
Les microprojets d’équipement pour les productions maraîchères irriguées
Cette note présente une première synthèse des microprojets (MP) ayant été financés par le Fonds d’Appui Régional avec un objectif de production maraîchère / développement de l’irrigation par des coopératives (hommes) et des groupements féminins. Ce sont les appellations utilisées et qui ont l’utilité de faire la distinction même si les groupements féminins (GF) ont aussi un statut coopératif. -
Note de capitalisation des activités d’ingénierie sociale conduites par la CRA autour du comptoir de commercialisation du niébé de Magaria (financement PECEA)
Le niébé, appelé en haoussa waké, est l’une des principales cultures de rente de la région de Zinder. Les principales zones de production de niébé sont les départements de Mirriah, Magaria, Gouré, Kantché, Doungass et Tanout.
La production de niébé de la région de Zinder est estimée à 525 000 tonnes sur une production totale de 2 380 000 tonnes au Niger (MAGEL), soit 22%. La région de Zinder est, avec Tillabéri, la région de plus forte production.
Le comptoir de commercialisation du niébé de Magaria a été construit sur financement du Programme de Promotion de l’Emploi et de la Croissance Economique dans l’Agriculture (PECEA), financé par la Coopération Danoise et l’Etat du Niger en 2020. La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Zinder a réalisé un diagnostic sur la chaine de valeur niébé qui a permis de distinguer différents bassins de production. Lors de ce diagnostic, les acteurs de cette chaine de valeur ont exprimé la demande de construction d’un comptoir de commercialisation à Magaria compte tenu de l’importance de cette culture dans le département. -
Note sur le groupement de femmes transformatrices d’arachide en huile et tourteaux de Godo (Kantché)
Cette note présente le « process » de transformation de l’arachide en huile et tourteaux des transformatrices du groupement Tatali de Godo et une approche de leurs résultats économiques. La localité de Godo fait partie des bassins de production d’arachide de la région de Zinder et la majorité des femmes y exerce la transformation d’arachide en huile et tourteaux comme activité génératrice de revenu (AGR). Le groupement Tatali a bénéficié d’une subvention en 2012 pour s’équiper avec des presses manuelles, décortiqueuses, broyeurs, bruloirs, un moulin et son abri. Après ce financement, la Chambre Régionale d’Agriculture de Zinder a appuyé le groupement à travers des visites de suivi et une formation en comptabilité simplifiée. D’une vingtaine de membres en 2012, le groupement est passé à 50 membres en 2017. -
Huile de balanites de l’union Zabéry de Téra - Prix du premier ministre au Sahel 2014
Le Salon de l’Agriculture, de l’Hydraulique et de l’Elevage du Niger, dénommé « SAHEL 2014 », s’est déroulé du 6 au 9 mars 2014 à Niamey et un concours général a été mis en place pour primer les meilleurs produits, innovations et équipements présentés. Le prix du Premier ministre a été attribué aux femmes de l’Union Zabéry de Téra pour la fabrication d’huile de Balanites aegyptiaca (garbey en Zarma ou adaoua en Haoussa) à l’aide d’un concasseur pour extraire l’amande du fruit. Le RECA a rencontré la présidente de l’Union. -
Le baobab africain (Adansonia digitata L.) : Description, utilisation et possibilité de valorisation
Description des différentes parties du baobab (tronc, feuilles, fleurs, fruits, graines) et de leurs utilisations (alimentaires ou thérapeutiques). -
Étude de cadrage du système agroalimentaire au Niger - Facteurs clés et chaînes de valeur prometteuses pour améliorer la durabilité du système alimentaire
Le projet AgrInvest-Systèmes alimentaires cherche à attirer des investissements conformes aux objectifs de développement durable (ODD) dans les systèmes alimentaires en tirant parti des fonds publics. Cette publication vient étayer le projet AgrInvest-Systèmes alimentaires en analysant le système alimentaire national du Niger par le biais d’une approche des systèmes alimentaires et de l’économie politique.
Cette étude de cadrage est la première étape du projet AgrInvest au Niger et poursuit les objectifs suivants :
1. Fournir une cartographie du système alimentaire au Niger et comprendre son contexte général.
2. Identifier les grandes lignes susceptibles d’améliorer la durabilité du système alimentaire du Niger et les points d’entrée prometteurs, en suggérant des pistes pour l’orientation ultérieure du projet AgrInvest en termes de chaînes de valeur à cibler.
3. Établir les bases d’une approche en termes de systèmes alimentaires et d’économie politique pour le projet AgrInvest. La compréhension du fonctionnement du système alimentaire du Niger et de l’influence de divers facteurs d’économie politique (c’est-à-dire ce premier résultat) constitue la base du déploiement d’une approche du système alimentaire politiquement informée pour promouvoir l’investissement durable dans les chaînes de valeur alimentaires, par la mise en œuvre du reste du projet AgrInvest. -
Premier essai de présentation des différents produits locaux transformés à base de céréales
Dans cette note, les produits pris en compte sont ceux développés par les groupements féminins et les petites entreprises. Les produits sont très variés et cette note devrait permettre de mieux de retrouver dans cette diversité des composants et des modes de préparation. Les céréales sont les aliments les plus transformées à Niamey : mil, riz, maïs, sorgho, fonio et blé
Les céréales sont les aliments les plus transformées à Niamey : mil, riz, maïs, sorgho, fonio et blé. Ces céréales sont transformées en toute sorte de produits finis, prêts à la consommation et faciles à préparer : semoules, couscous, farines, produits roulés (grumeaux, dégué), etc. Ces produits sont disponibles dans les alimentations, supermarchés, boutiques de quartier, etc.
- Qu’est-ce qu’un produit local transformé ?
- Les farines, semoules et brisures
- Couscous et dégué
- Ce que font les transformatrices et leurs appellations en français
- Les appellations locales
Cette note a été rédigée dans le cadre d’un partenariat entre le RECA et l’Agence luxembourgeoise pour la Coopération au Développement (LuxDev). -
CARE Analyse Rapide Genre pour COVID-19
Le présent document propose des recommandations pratiques pour la prise en compte immédiate de questions du genre dans la réponse humanitaire à la crise de pandémie à Covid-19 au Niger. Des recommandations stratégiques permettant à la réponse humanitaire de contribuer à l´avancement de l´agenda du genre sont aussi formulées en veillant l´amélioration de la réponse humanitaire sur base du renforcement de la programmation d´égalité de sexes. -
Les bouillons cubes (souvent appelés cubes Maggi), des condiments qui peuvent être remplacés (épisode 1)
Cette note présente la composition de ces bouillons cubes à partir de la liste d’ingrédients énumérés sur les emballages. Pour certains cubes, ces ingrédients sont « en lettres » (inosinate disodique, glutamate, maltodextrine), et pour d’autres en chiffres (E150d, E631, E330) ou en abrégé (HVP), mais toujours en très petits caractères. -
Les jardins de survie au Niger
Au Niger, Christian Blind Mission (CBM) finance un programme de développement inclusif à la base (ProDIB) au sein duquel l’ONG nigérienne Karkara est chargée de mettre en œuvre le projet Jardins de survie. Ce projet vise à améliorer la qualité de vie des personnes handicapées et de leur famille en répondant à leurs besoins essentiels et en favorisant leur participation et leur inclusion dans la société. -
Le néré, une matière première de plus en plus rare pour fabriquer le soumbala au Niger
Le soumbala est le nom (en langue mandingue) d’un condiment obtenu à partir des graines d’un arbre appelé néré (Parkia biglobosa pour son nom scientifique). Au Niger, le soumbala de néré est appelé « dawadawa kalwa » ou « takalwa » ou tout simplement « kalwa » chez les Haoussas et « dosso maari » ou « namouno » chez les Zarmas. Il est couramment utilisé pour assaisonner c'est-à-dire à relever le goût des aliments ou des préparations culinaires notamment des sauces.
Au Niger, les graines de néré sont transformées par les productrices gourmantchés situées dans les villages des communes de Makalondi et Tamou, frontaliers avec le Burkina Faso par toute la population de la région de Tillabéry. Cette matière première est importée du Burkina par les grands fournisseurs de cette zone qui sont généralement des burkinabè venant écouler leurs marchandises les jours du marché de ces deux communes respectives : Tamou et Makalondi.
La production traditionnelle de soumbala de néré dure cinq à six jours et s’effectue suivant cinq étapes qui sont décrites dans cette note. -
Soumbala d’oseille de Guinée, une alternative locale pour remplacer les « bouillons cubes » (épisode 2)
Au Niger, tout comme dans la plupart des pays ouest-africains, le soumbala d’oseille de Guinée (Hibiscus sabdarifa pour son nom scientifique) est un condiment couramment utilisé par la population. Il est connu sous le nom de dawadawa botso chez l’ethnie Haoussa et maari bi chez les Zarmas.
Le soumbala est l’un des condiments alimentaires qui peut parfaitement concurrencer les bouillons cubes. Au Niger, plus de 80% de la population nigérienne, en majorité rurale, utilise le soumbala d’oseille de Guinée dans les préparations culinaires. Le soumbala renferme des qualités exceptionnelles. Il contient des acides aminés naturels sans danger, tels que l’acide glutamique et aspartique qui relèvent parfaitement le goût des sauces accompagnant les plats à base de céréales tels que le riz, le mil, le sorgho, le maïs, etc. C’est un exhausteur de gout 100 pour cent naturel. Il constitue aussi une source de protéines et il est très riche en potassium. Le soumbala d’oseille de Guinée apporte aussi des probiotiques c’est-à-dire des micro-organismes vivants qui, ingérés en quantité suffisante, ont un effet bénéfique sur la santé.
La valorisation de soumbala passe nécessairement par une meilleure connaissance sur les procédés de fabrication, la formation des productrices sur les règles d’hygiène, les équipements améliorés nécessaires à la transformation, les techniques de séchage, la cuisson et l’emballage. -
Transformation de l’oignon : l'oignon déshydraté
La transformation de l’oignon afin d’augmenter la valeur ajoutée dans cette filière est un thème qui revient systématiquement dans les rencontres, réflexions, plans d’action ou documents de projet. Pour l’oignon, il est essentiellement question « de séchage ». Le RECA a effectué une petite recherche sur les produits transformés obtenus en France à partir de séchage des oignons. Il s’agit d’oignons déshydratés. C’est juste pour avoir une idée sur ces produits, leurs utilisations et comment ils sont fabriqués. -
Structuration des filières et marketing, le modèle ESOP
Le CIDR, avec ses partenaires (dont ICD et ETD) travaille depuis 1997 au Mali, au Togo, au Bénin et au Burkina Faso sur la structuration des filières agricoles grâce au modèle ESOP (entreprises de services et organisations de producteurs). Ils ont développé depuis une expertise enrichissante sur la façon dont les agriculteurs familiaux peuvent accéder aux marchés urbains et accroître leur capacité à nourrir les villes grâce à la structuration et au marketing. -
Trois mythes sur le développement agricole éléments de synthèse des interventions de Marc Dufumier Mission au Niger du 17 au 20 avril 2012
A partir des années 50, la recherche agronomique a élaboré des variétés « améliorées » des principales céréales. Ces variétés dites « améliorées » sont à haut potentiel génétique de rendement, c’est-à-dire qu’elles sont capables de bien intercepter l’énergie lumineuse pour produire le maximum de calories et de protéines alimentaires à l’hectare. Malheureusement, ces variétés sont très fragiles et elles ont besoin de conditions optimales pour atteindre effectivement ce potentiel de rendement. Cela se traduit bien souvent par la nécessité non seulement de recourir à la fertilisation chimique et à l’épandage de pesticides mais aussi de réaliser des travaux répétés des sols et des infrastructures d’irrigation et de drainage. Si le milieu ne leur convient pas, les rendements peuvent être catastrophiques et, en tout état de cause, inférieurs aux rendements obtenus avec les variétés rustiques des paysans. Les agriculteurs ont donc adaptés leurs écosystèmes aux nouveaux matériels génétiques, en les artificialisant et en les simplifiant, ce qui les a fragilisés. -
Une femme transformatrice au parcours exemplaire
Au Niger, la transformation de produits locaux est une activité dominée par des femmes et Niamey est le plus grand centre de commercialisation des produits transformés. Les céréales représentent la base des produits les plus transformés. L’histoire de Madame Keffi Fatoumata est originale. Elle est l’une des femmes transformatrices de produits céréaliers. Elle est la promotrice de l’unité de transformation (entreprise de transformation des produits céréaliers) FANTA HOUSE. Après avoir travaillé dans une pâtisserie de la place, dans une banque et une institution de micro finance, notre promotrice, dans la crainte de perdre régulièrement son emploi, décide de se lancer dans ses propres affaires. -
Du pain composé avec moins de blé importé et plus de farines locales, actuellement un espoir déçu ?
Pourquoi cette note ? Le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO) a demandé au Centre d’appels du RECA de préparer une émission radio sur le « pain composé », un pain associant de la farine de blé (importée) avec des farines locales (mil, sorgho ou niébé). Pour préparer cette émission l’équipe technique du RECA a commencé par faire le tour des boulangeries dont le personnel a été formé grâce à l’appui du PPAAO pour la fabrication de pain composé. Cette note présente les premières observations faites dans le cadre de ce travail.
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Gabou, une spécialité nigérienne pour remplacer les « bouillons cubes » (épisode 3)
Gabou est un condiment alimentaire couramment utilisé au Niger. Il est utilisé pour donner du goût et de l’arôme aux sauces. C‘est est une spécialité typiquement nigérienne qui consiste à sécher l’oignon (Allium cepa pour son nom scientifique) et à le torréfier pour en dégager toute la saveur et à produire un petit goût de caramel. La fabrication et la commercialisation du Gabou sont des activités exclusivement féminines et la main d’œuvre est familiale. La plupart des productrices ont été initiées à cette activité par leurs parents et certaines productrices travaillent dans la fabrication du Gabou depuis leur bas âge. -
Analyse de la rentabilité économique de la fabrication du gabou auprès d’une femme transformatrice à Niamey
Le Gabou est l’un des condiments locaux les plus commercialisés à Niamey. Il constitue le plus souvent le produit phare de certaines transformatrices. Il est en lutte sur les marchés avec les bouillons cubes. L’objectif de cette note est d’analyser la rentabilité économique de la fabrication du Gabou et voir la possibilité d’accroitre la production ainsi que la consommation, afin de diminuer la consommation des bouillons cubes. Cette note a été rédigée suite à une visite d’une femme transformatrice. Elle utilise uniquement l’oignon Violet de Galmi qu’elle achète sur le marché de Katako à Niamey. -
Produire et transformer les feuilles de moringa
Le Moringa oleifera, arbre tropical à usages multiples, est passé en une décennie du statut de plante marginale, voire inconnue, à celui de nouvelle ressource alimentaire et économique pour les pays du Sud. Les feuilles, faciles à produire et très riches en protéines, vitamines et minéraux, sont de plus en plus utilisées dans des projets luttant contre la malnutrition. La production de feuilles de moringa est aussi un moyen de générer des revenus agricoles, de développer des activités de transformation agro-alimentaire et des nouveaux marchés. -
Soutenir et valoriser le patrimoine de cultures locales au Burkina Faso et au Niger pour améliorer les conditions de vie et les écosystèmes : Fiche sur le gombo
Le gombo (Abelmoschus esculentus) est une herbe largement cultivée pour ses fruits qui sont consommés comme des légumes. Abelmoschus esculentus (2n = 130) est probablement un amphidiploïde (allotetraploïde), dérivé de A. tuberculatus (2n = 58), une espèce sauvage de l'Inde, et une espèce encore inconnue avec 2n = 72 chromosomes.Une autre espèce de gombo comestible se trouve dans les régions humides de l'Afrique de l'Ouest et du Centre. Décrit à l'origine comme une variété botanique (Hibiscus manihot L. var. caillei A. Chev.), il a été reconnu comme une espèce distincte (Abelmoschus caillei (A. Chev.) Stevels). Il n'y a pas de différences apparentes d'utilisation entre le gombo ordinaire (A. esculentus) et le gombo d'Afrique de l'Ouest (A. caillei), c'est pourquoi ils sont souvent mis dans le même groupe. Morphologiquement, le gombo ouest-africain diffère à plusieurs égards, mais son épicalice offre les meilleures caractéristiques discriminantes avec 5-10 segments ovales libres, 10-35 mm x 4-13 mm. -
Centre agro-entreprise : Mali sustainable economic growth
Au terme de sa deuxième année d’exercice, les résultats obtenus par le Centre Agro Entreprise (C.A.E.) indiquent un démarrage effectif des activités de développement des filières agroalimentaires. Des appuis bien ciblés ont été apportés aux entreprises pour soutenir ces actions de promotion des produits au sein des filières. Les résultats atteints par le Centre, en matière d’amélioration de la transformation et de la commercialisation des produits agroalimentaires, sont ci-dessous présentés, lesquels constituent des résultats intermédiaires du programme SEG. -
Mission d’appui technique au projet Nariindu : gouvernance, gestion et business-plan
Plusieurs objectifs étaient assignés à cette mission en lien avec les activités du projet : i) appui à la gestion du centre de collecte et à la contractualisation avec les acheteurs, ii) mise en place d’un système « lait contre intrants » pour faciliter l’accès à l’alimentation et aux produits d’hygiène vétérinaire, iii) Etude du modèle institutionnel, économique, technique des centres de collecte, identification participative des zones prioritaires d’action et iv) appui à l’insertion des femmes dans la filière. -
Programme de promotion de l'agriculture familiale en Afrique de l'Ouest
L’objectif spécifique est l’appui à la collecte, au contrôle de la qualité et à la commercialisation du lait local en périphérie de Niamey, par un dispositif innovant de centres de collecte multiservices, contrôlés par les éleveurs locaux. -
Mission d’appui au projet Nariindu : Bilan de l’année 2014 des deux centres de collecte et perspectives de viabilité
Hamdallaye et Kollo sont actuellement les plus grands centres de collecte de lait cru auprès des éleveurs au Niger. En pic de collecte ils collectent chacun plus de 1.000 litres / jour. Les volumes collectés sont en augmentation pour les deux centres et devraient continuer à augmenter. Par ailleurs la forte demande en lait cru sur Niamey n’est toujours pas satisfaite et représente une opportunité pour les éleveurs. Un partenariat avec Solani - le principal client des centres qui souligne la qualité du lait fourni par les centres – se développe actuellement. Les quantités collectées sont cependant très variables au cours de l’année avec un pic de collecte en janvier-février-mars et un creux de collecte pendant l’hivernage de mai à septembre. -
Proposition d'actions pour le développement des de chaines de valeurs et de micro-entreprises agroalimentaires au Niger
Ce document est le dernier volet d’une étude réalisée en 2021-2022 dont l’objectif a été de sélectionner puis d’étudier en profondeur six Chaînes de Valeur (CDV) Agro Alimentaires prometteuses en vue d’appuyer leur développement durant les 5 à 10 années à venir. En conclusion de ces études, le présent document présente les diverses interventions réalisables pour développer ces six Chaînes de Valeur. 21 Chaînes de Valeur ont d’abord été présélectionnées, puis analysées selon de nombreux critères pour déterminer lesquelles étaient les plus à-même de pouvoir se développer rapidement dans un proche futur, une fois leurs contraintes courantes levées par la mise en œuvre d’interventions ciblées. Ce processus de sélection a fait intervenir un panel de spécialistes nigériens de toutes origines, afin d’en valider les résultats, avant de débuter les analyses approfondies. -
Point sur les conditionneuses mises à la disposition de promoteurs de la transformation agroalimentaire au Niger
Au Niger, les consommateurs urbains recherchent de plus en plus de produits plus faciles à préparer, demandant moins de temps de préparation que les céréales comme le mil, le sorgho, le fonio, etc. Mais, ces changements de consommation ont précédé l’offre de produits transformés locaux et les consommateurs se sont tournés vers des produits importés : « macaroni » c’est-à-dire des pâtes alimentaires, couscous, gari, pain, etc. -
Éléments de bilan du soutien public à l’élevage au Niger depuis Maputo
Cette note cherche à établir un premier bilan des efforts publics dédiés à l’élevage au Niger. Elle s’appuie sur la bibliographie existante et sur des entretiens réalisés fin 2013 avec des acteurs nigériens, en particulier des éleveurs membres d’Apess mais aussi d’autres acteurs du développement rural. -
Développement des petites exploitations d’élevage : note sur la transposition à plus grande échelle
D’après les estimations, il faudra accroître de 50 à 70% la productivité alimentaire mondiale pour nourrir neuf milliards de personnes à l’horizon 20501. L’élevage fournit environ 26% des protéines consommées par l’homme et 13% du total des calories. On estime que la demande de produits animaux devrait plus que doubler au cours des 20 prochaines années, en raison de l’urbanisation, de la croissance économique et des changements des modes de consommation dans les pays en développement2. Le secteur de l’élevage représente près d’un milliard de petits éleveurs dans les pays en développement, contribue au PIB agricole à hauteur de 40% et assure de 2% à plus de 33% du revenu des ménages3. -
Éléments de bilan du soutien public à l’élevage au Burkina-Faso depuis Maputo
La filière bétail est la plus dynamique, la plus forte en volume et en valeur. Tirée par une demande urbaine en pleine explosion, elle assure au Burkina le statut d’exportateur net vers les pays côtiers et ce, dans un contexte des plus hostiles sur le plan climatique (crises quasi bisannuelles depuis 10 ans) mais aussi sur les plans social et institutionnel (entraves à la mobilité du bétail). -
Étude de viabilité d'un projet de développement de filière agricole en Amérique Andine
Dans un environnement où l’insécurité alimentaire dans le monde est critique, avec 870 millions de personnes, soit 12.5% de la population mondiale, souffrant de sous-alimentation chronique entre 2010 et 2012 (Fonds Belge pour la Sécurité Alimentaire (FBSA), 2013), de nombreuses ONG sont actives dans le développement de projets visant à réduire l’insécurité alimentaire. On retrouve parmi les acteurs impliqués dans cette thématique Louvain Coopération, une ONG belge qui soutient des projets partout dans le monde autour de trois axes : la qualité des soins de santé (dispensaires, hôpitaux), l’accès aux soins de santé (mutuelles) et le développement de la sécurité alimentaire et économique. Dans le cadre de cette troisième approche, l’ONG a développé un partenariat avec les organisations El Taller et Ceder, il y a maintenant une dizaine d’années, afin de lancer un programme développement de filières agricoles dans les régions d’Arequipa et de Moquegua au sud du Pérou. L’objectif stratégique de ce type de projet est de réduire la pauvreté en renforçant la stabilité économique des populations, notamment en permettant aux populations locales d’accumuler des réserves, de développer des moyens de productions plus performants, d’augmenter leurs revenus et de créer des réseaux de solidarité plus fiables (Henin, 2013). -
Cahier de projet d’investissement
L’objectif de la mise en place de ces unités est de développer la production laitière par l’exploitation de vaches laitières métissées ou de races exotiques. La conception est faite de telle sorte que l’unité puisse être autonome sur le plan de l’approvisionnement fourrager par les cultures fourragères et la constitution de réserves à partir de la collecte de fourrages naturels et des résidus de récolte. Les besoins en financement ainsi que les recettes prévisionnelles relatifs à ce type de projets sont établis pour une unité de 20 vaches. -
Les stratégies de gestion de risques agricoles au Niger. Évidence empirique et implication pour les ménages agricoles
Cet article présente quelques statistiques sur les stratégies de gestion des risques agricoles au Niger. En utilisant les données du Recensement général de l’agriculture et du cheptel 2004-2008, il met en exergue la diversication intra-agricole et l’augmentation de la part relative des productions vivrières comme stratégies de gestion des risques agricoles au Niger. Toutefois, ces stratégies de gestion des risques agricoles impliquent des coûts d’opportunité importants qui ne permettent sans doute pas aux ménages agricoles de sortir de la pauvreté. -
Étude diagnostic des stratégies/politiques nationales agricoles au Niger et propositions d’amélioration
Les stratégies et politiques nigériennes accordent une place prépondérante à l’agriculture pour de nombreuses raisons dont :
1. le rôle que joue le secteur dans l’économie nationale ;
2. les emplois pour plus de 84% de la population active ;
3. la garantie de sécurité alimentaire pour plus de 90% de la population ;
4. l’importante contribution au budget des ménages ;
5. les potentialités en terres agricoles, pastorales et en ressources en eau que le pays recèle ;
6. l’intensité de la pauvreté en milieu rural. En effet 86% des pauvres vivent en milieu rural dont 36% sont considérés comme extrêmement pauvres (SRP 2002). -
INV-NIGER : Innovations pour l ´intensification durable des systèmes agricoles irrigués résilients face au changement climatique au Niger
L´objectif du projet est de contribuer à l’amélioration de la résilience des familles nigériennes face au changement climatique, grâce à l'innovation dans les agrosystèmes irrigués. Le premier objectif spécifique est le renforcement de la gouvernance et de la gestion des ressources en eau et des agrosystèmes irrigués. Le deuxième est l´intensification agro-écologique de la production agricole dans les agrosystèmes irrigués en facilitant l’accès au marché et l’inclusion des groupes vulnérables. -
Une start-up nigérienne propose de la tomate de Doguéraoua, du paprika (poivron rouge de Diffa) et de l’ail d’Agadez dans un sachet dose de 10 g pour remplacer le concentré de tomate ou les bouillons cube de l’agro-industrie mondiale
L'agro-industrie, se développe de plus en plus au Niger. ZOULADANI Fatiha est une jeune Ingénieure Agroalimentaire Option Qualité, Environnement et Sécurité Sanitaire des aliments à l’Université Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès (Maroc). Elle est spécialisée en contrôle de qualité des aliments. Elle est lauréate de deux prix lors des concours universitaires au Maroc sur l’innovation : 1er prix CURI (Centre Universitaire Régional d'Interface) pour son projet culture de la tomate sous serre et le 2èmeprix lors d’un concours organisé par les étudiants Nigériens au Maroc. Elle a effectué un stage en pisciculture à AIN Aghbal dans la ville d’Azrou puis dans l’industrie agroalimentaire à Coca-Cola (stage interrompu à cause du Covid-19). A la fin de ses études, de retour au pays, elle effectua plusieurs stages à AKAKOS puis à la SEEN et à Niger Lait. -
Fiche sur la fabrication de Labdourou / Toukoudi à base de mil au Niger
Le Labdourou ou Donou en Zarma, Toukoudi en Haoussa, Tchoball en Fulfuldé, est un produit fabriqué à base de la farine de mil décortiqué mélangé avec des épices, du sucre, du lait ou produits laitiers, des dattes et du sucre. Il est appellé Ko-donou lorsqu’on ajoute la pulpe du fruit du baobab (en Zarma ko) dans la préparation. Sur le marché, on trouve le Labdourou non fermenté. Le Labdourou est très apprécié surtout pendant le mois de ramadan. Il se consomme avec de l’eau froide ou avec des glaçons. -
Rapport d'activités : IFDC Niger
IFDC (International Fertilizer Development Center) créée en 1974 et basée à Alabama aux Etats-Unis, est une institution publique internationale œuvrant pour la sécurité alimentaire, la réduction de la pauvreté dans les pays en développement à travers le développement et la dissémination de technologies efficientes de gestion de la fertilité des sols, le développement de marchés d’intrants agricoles et de marchés de produits agricoles. -
Projet de sécurisation des systèmes maraîchers, pastoraux et forestiers au Niger
L'objet de la présente étude est de proposer, à partir d'un diagnostic des pratiques foncières et des institutions de gestion du foncier, des actions de sécurisation des systèmes maraîchers, pastoraux et forestiers à travers l'appui à la mise en place des Commissions foncières de Tchirozérine et d'Arlit. Le Ministère du Développement Rural, qui a la tutelle du Code Rural, souhaite étendre en effet la couverture du territoire en COFO, constatant que cette institution peut être au centre de la résolution de nombreux problèmes fonciers qui limitent la sécurité alimentaire du Niger. C'est pourquoi il a adressé au Service de Coopération et d'Action Culturelle de l'Ambassade de France (SCAC) une requête, en vue d'appuyer l'installation des COFO de Tchirozérine et d'Arlit dans le département d'Agadez.
Cette requête a été reçue favorablement et donne lieu à la présente étude. -
Projet d'intensification de l'agriculture par le renforcement des boutiques d'intrants coopératives
Le problème principal à résoudre réside dans la faiblesse des rendements vivriers, donc des revenus en milieu rural, la dégradation des conditions et milieux de production (fertilité), dans l'insécurité alimentaire plus ou moins chronique et structurelle qui en résulte. Un problème conjoint est celui de l'accès à la connaissance des techniques modernes correctrices des défauts de fertilité. En effet, les revenus des populations rurales proviennent de systèmes de production non durables, de type minier, et restent faibles et aléatoires ; De ce fait, Ils ont du mal à s'approvisionner en intrants de qualité pour fonder des systèmes productifs durables. De plus, leurs possibilités d'accès aux sources financières pour investir dans des activités rentables (approvisionnements, investissements fixes) sont très faibles et à des coûts élevés, sans compter qu'elles sont souvent endettées et obligées de vendre leurs produits à la récolte (au plus bas prix). -
Présentation du Projet Protection Intégrée des Ressources Agro-sylvo-pastorales dans le département de Tillabéri-Nord
Le Projet Protection des Ressources Agro-Sylvo-Pastorales dans le département de Tillabéri-Nord/PASP, se réfère à un accord Nigero-Allemand de 1980; mais il n'a effectivement démarré qu'en 1986 sous forme de projet d'appui institutionnel aux services techniques dans les quatre (4) arrondissements septentrionaux du département de Tillabéri à savoir: Filingué, Ouallam Téra et Tillabéri courant une superficie d'environ 70.000 Km2 et une population estimée à environ 1.200.000 d'habitants repartie dans 2.899 villages et hameaux. -
Plan de développement Stratégique du RECA 2009-2012
Le Plan de développement stratégique 2009-2012(PDS) est d'abord une expression de la volonté des membres du RECA de se donner des orientations claires pour les quatre prochaines années. Ces orientations stratégiques reposent sur les missions assignées au RECA par la LOI 2000-15 et son décret d'application. Le PDS est pour nous une référence, un outil de programmation et de planification, qui fera connaître à nos membres et nos partenaires au développement, les axes et les priorités du RECA sur lesquels il peut être évalué et apprécier. -
Amélioration et développement de la technologie de transformation artisanale de le l'oignon : mission d'appui à la mise à niveau de l'unité artisanale de transformation d'oignon bulbe en "gabou" de Sakoira-Tillaberi
Les femmes transformatrices de l’oignon de Sakoira exercent cette activité en particulier à partir de Février – mars au moment où il y a abondance de la récolte. Le Gabou est commercialisé sur les marchés d’Ayorou, Kokanani, Tillabéry et Niamey en sac de jute sous forme de Gabou « Farou-farou»Le PIP2 a soutenu la mise en place d’une unité pilote à Sakoira (Tillabéri) au profit d’un groupement de femmes. En 2012, le groupement de femmes Doribana de Tillaberi a sollicité un appui de PRODEX en vue d’améliorer la transformation de l’oignon en Gabou (bâtiments, équipements complémentaires). -
17èm Session ordinaire du Conseil d'Administration du CIRDES
L'année 2017 a connu un changement au niveau du Conseil d'Administration. La présidence du Conseil a été confiée au Mali après la Côte d'Ivoire au cours de la session ordinaire du Conseil d'Administration tenue à Ouagadougou en juillet 2017. La participation à plusieurs ateliers et conférences et les rencontres avec les partenaires ont fait partie des activités principales du CIRDES. Les activités scientifiques se sont également poursuivies malgré les difficultés fmancières chroniques mais des résuhats importants ont pu être obtenus. La situation financière du CIRDES a été encore au centre des préoccupations. Seulement, deux (2) pays (Côte d'Ivoire et Mali) sur huit (8) des pays membres, étaient à jour de leur contribution fmancière. Néanmoins, le CIRDES nourrit l'espoir que les Etats membres honoreront leur engagement vis-à-vis du Centre afm de lui permettre de mettre en œuvre le plan stratégique 2018-2022 approuvé par le CA en 2017. -
Étude sur la définition d'une stratégie de renforcement ou de création des centres de services gérés par les Organisations Professionnelles Agropastorales (OPA)
L'étude sur la définition d'une stratégie de renforcement ou de création d'un ou des centres de services gérés par les OPA, s'inscrit dans une optique (i) de recueillir des informations sur les centres de services existants, les services rendus actuellement aux producteurs et leurs besoins en matière, et (ii) de proposer des pistes ou scénarios possibles de renforcement ou de création de centres de services gérés par les OPA. Ces résultats seront soumis à l'appréciation des OP et partenaires, et serviront de base pour esquisser une stratégie de renforcement ou de création de centres de services. Cette étude s'est opérée par le biais d'entretiens et revue documentaire, et a touché plus de 120 personnes représentant des OP à différentes échelles de structuration, des services techniques et projets. -
Répertoire des distributeurs d'intrants agricoles du Niger
L’édition de ce premier répertoire des distributeurs d’intrants agricoles (agro-dealers) par le Consortium Santé du Sol au Niger a été possible grâce aux bases de données des institutions collaboratrices. C’est le lieu de remercier ces derniers notamment le Projet Appui au Système de Distribution d’Intrants Agricoles (PASDIN) et le Projet Renforcement des Associations des Fournisseurs d’Intrants Agricoles (RAFIA). L’objectif principal du Consortium est de réunir tous les acteurs de la GIFS et de partager l’information en leur sein en vue d’une meilleure synergie dans l’application de la GIFS. Ces distributeurs d’intrants, répartis dans les territoires des communes, constituent les premiers interlocuteurs des producteurs et des organisations paysannes (OP) en leurs fournissant notamment des engrais et des semences de qualité. Nous espérons que ce présent répertoire qui donne des adresses précises des distributeurs d’intrants agricoles, profite à leur clientèle et les incitera à constituer un véritable réseau de distribution. -
Comprendre l'économie des ménages ruraux au Niger
Les origines de la crise de 2005 sont plus complexes que celles des crises précédentes. Tout d’abord, elle n’a pas été précédée d’une grande sécheresse, malgré une pluviosité insuffisante dans certaines régions et quelques dégâts causés aux cultures par les criquets pèlerins. Bien que ces facteurs aient contribué à la crise, ils n’en expliquent pas la sévérité – la nourriture était malgré tout disponible sur la plupart des marchés dans l’ensemble du pays. -
La transformation du niébé : des innovations en cours de mise au point
L’approvisionnement via le marché représente 60 % de l’ensemble de la consommation alimentaire au Niger. Le marché alimentaire nigérien représenterait une valeur de l’ordre de 1,2 à 1,6 milliards de dollars soit 500 à 700 milliards de F.CFA. -
Étude sur l’approfondissement du diagnostic et l’analyse des systèmes de production agro-sylvo-pastoraux dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de développement rural
Le présent document traite des informations recueillies dans la région d'Agadez. Les éléments d’analyse présentés sont les résultats d’intenses travaux entre les consultants et les cadres régionaux des ministères de l’hydraulique de l’environnement et de la lutte contre la désertification, du développement agricole, des Ressources Animales, du Développement Communautaire. D’autres structures ont été également associées. Il s’agit de l’éducation, la santé, le commerce, l’artisanat, des organisations de producteurs et de commerçants. -
Production du gari à partir du manioc : guide illustré à l'intention des transformateurs de manioc à petite échelle
L’Afrique souffre de problèmes complexes qui nuisent à son agriculture et à la vie de ses populations. Avec ses partenaires, l’Institut international d’agriculture tropicale, IITA, développe des solutions agricoles pour combattre la faim et la pauvreté. Nos travaux de Recherche pour le Développement (R4D), qui ont été primés sont d’ailleurs basés sur la réflexion axée sur les besoins de développement de l’Afrique subsaharienne. L’IITA est une organisation internationale de R4D à but non lucratif, créée en 1967 et dirigée par un comité directeur. L’IITA est membre du consortium du Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale (CGIAR). -
PPAAO : les réalisations au Niger
Le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest et du Centre (PPAAO) s’investit dans 13 pays. Les dix années du programme ont été élaborées de sorte à rendre l’agriculture plus productive, durable et profitable pour les petits agriculteurs. En Afrique de l’Ouest, le programme a commencé en 2007 et s’active à améliorer les conditions de vie des consommateurs à travers l’approvisionnement de produits agricoles à des prix compétitifs, établir une masse critique de chercheurs pour des programmes de recherches solides efficaces et collaboratifs, et finalement pour s’assurer que les technologies générées au niveau national sont disponibles au niveau régional. Le PPAAO a été établi sur l’initiative de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) comme une réponse au nouvel engagement des états Africains à l’Implémentation du Programme détaillé pour le développement de l’agriculture Africaine (PDDAA). Les pays participants financent des fonds de 500 millions de dollars USD grâce à un système de prêt de la Banque Mondiale. Au niveau régional le programme est coordonné par le CORAF. Plus de deux cent technologies ont été générées et adoptées par près de 4,5 millions de producteurs et transformateurs sur environ 4,8 millions d’hectares. Ces technologies sont disponibles sur www.mita.coraf.org. Le PPAAO a financé des bourses de Master et PhD pour 1021 jeunes. -
Transformation du manioc en gari et en farine panifiable de haute qualité en Afrique de l'Ouest
Ce manuel de formation vise -
Programme de développement de l’agriculture familiale dans la région de Diffa Revue à mi-parcours
Le ProDAF-Diffa est une extension géographique du ProDAF des régions de Maradi, Tahoua, Zinder, dans la région de Diffa. Ses objectifs
sont de contribuer à assurer durablement la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et les capacités de résilience aux crises des ménages
ciblés dans la région de Diffa. Ces objectifs demeurent alignés au plan d’action 2021-2025 de l’initiative 3N du Gouvernement du Niger
ainsi qu’à la note de stratégie de pays de 2022.
Une mission conjointe du Gouvernement de la République du Niger et du Fonds International de Développement Agricole (FIDA), avec
l’appui de la FAO (Centre d’Investissement), s’est déroulée du 09 au 24 Mai 2022, pour procéder à la revue à mi-parcours (RMP) du
Programme de Développement de l’Agriculture Familiale dans la région de Diffa (ProDAF-Diffa). L’objectif de la mission était de vérifier les
hypothèses faites lors de la conception, d’évaluer la performance globale du ProDAF – Diffa et ses effets sur l’amélioration des revenus,
l’adaptation aux changements climatiques et l’accès aux marchés des exploitations agricoles familiales, et l'insertion socioéconomique des
populations réfugiées, déplacées ou retournées. -
La production de gari à base de manioc
Le gari est l’un des aliments de base des populations du bassin du Bénin (Référence). Son procédé de fabrication est l’héritage technologique de la production de la farinha de mandioca du Brésil ; il a été introduit au Bénin dans les années 1800. La créativité des artisans béninois apparaît dans la construction de râpeuse à moteur qui donne satisfaction aux utilisatrices et dans la fourniture de presses à vis utilisées après la fermentation pour essorer le produit. L’intérêt de cet essorage est de raccourcir la durée de torréfaction, sa puissance et par suite, la consommation de bois de chauffe. -
Coup d’œil sur l’agriculture et les politiques agricoles au Niger
Le Niger a fait la une de l’actualité en 2023 suite aux soubresauts politiques que l’on connait. Si l’incertitude domine quant à l’avenir des politiques publiques mises en œuvre depuis une dizaine d’années, il a semblé utile de dresser un bilan des interventions publiques dans le premier secteur économique du pays : l’agriculture (élevage compris). Ce¬e synthèse est l’occasion de souligner la singularité de ce pays d’agriculteurs et d’éleveurs vivant aux portes du désert entre mobilité et sédentarité. On présente généralement le Niger comme un pays abonné aux dernières places des classements internationaux, que ce soit en matière de pauvreté, d’IDH, de scolarisation, de taux d’urbanisation, de croissance démographique, de volumes de précipitations etc. Mais, malgré ces réalités, on oublie parfois que les paysans, les éleveurs Nigériens et leurs OP ont développé des capacités de résilience étonnantes et des techniques d’agriculture « climato-intelligentes » parfois très avancées. C’est ainsi que, en dépit de conditions de vie très difficiles, le pays s’affiche par exemple comme un des plus gros producteurs de bétail, de lait, d’oignon ou de niébé de toute l’Afrique de l’Ouest. -
Programme d’Appui au Développement Agricole Durable dans la région de Dosso
Inscrit dans la mise en œuvre de l’I3N qui vise à renforcer les capacités nationales de productions alimentaires, d’approvisionnement et de résilience face aux crises alimentaires et aux catastrophes naturelles, le programme s’est concentré dans les domaines de compétences du MAG/EL, en particulier sur les deux premiers axes de la stratégie de l’I3N. Malgré la difficulté de mesurer le niveau d’impact du programme, notamment en raison de l’insuffisance du système de suivi/évaluation sectoriel, les interventions menées ont contribué significativement au développement des cultures irriguées et des filières agricoles. Par ailleurs, on note que certaines innovations sur le foncier ou l’aide financière à l’installation des jeunes agriculteurs, stimulées par le programme, seront rapidement mises à l’échelle. Comme le relève le rapport d’évaluation finale, l’intervention du programme a contribué significativement au développement agricole durable dans la Région de Dosso. -
Suivi des activités de la CRA dans le cadre du Projet Pôles Ruraux
La mission s’est déroulée du 13 au 20 décembre 2021 avec deux agents du RECA et les conseillers de la Chambre Régionale d’Agriculture d’Agadez. La mission a visité 7 sites de formation de jeunes agriculteurs et agricultrices, 6 sites de conseil de gestion à l’exploitation agricole (CGEF) et un site de démonstration oignon. Elle s’est entretenue avec les conseillers agricoles de la CRA, les formateurs et animateurs des structures privées partenaires (ONG ou GSC) et des producteurs ou productrices. -
Programme d’Appui au Développement de l’Élevage PRADEL Kiyo Arziki Niger
Les populations du Niger en général et les éleveurs en particulier restent confrontés à une insécurité alimentaire importante. Dans le même temps la problématique de l’amélioration des revenus et des emplois se pose avec acuité dans un contexte d’explosion démographique et d’importance des effets des changements climatiques. Le sous-secteur de l’élevage dispose d’un énorme potentiel de développement mais connait les mêmes contraintes et fait face aux défis (productivité, santé, alimentation, etc.). Le PRADEL, qui vise à contribuer à réduire l’insécurité alimentaire et à contribuer/consolider les emplois et les revenus des populations liées à l’levage, reste donc pertinent tant dans sa conception et que dans sa mise en œuvre par rapport aux besoins du groupe cible. -
Panorama des meilleures pratiques de montage et de mise en œuvre des projets d’adaptation dans l’agriculture
Ce panorama vise à restituer les leçons apprises et les bonnes pratiques dans la conception, le montage, la mise en œuvre jusqu’à la capitalisation des projets pilotes soutenus par le programme GCCA+ AO. Ceci afin de soutenir les futurs porteurs de projets et aboutir à une meilleure prise en compte de l’adaptation à chaque étape du cycle du projet. -
Fabrication de cossettes et de farine de patate douce
La patate douce est appréciée dans beaucoup de régions d’Afrique orientale. Elle résiste à la sécheresse, elle est robuste et peut se cultiver dans des zones marginales, contribuant ainsi à l’amélioration de la sécurité alimentaire. Les jeunes feuilles et les cordes peuvent servir de légumes ou de fourrage pour le bétail. La variété à chair orange est riche en bêta-carotène, qui renforce le système immunitaire. -
CORAF et UEMOA rendent les filières coton, maïs, bétail-viande, aviculture et aquaculture plus compétitives
A la suite de l’accord de coopération signé en 2006 entre le Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles (CORAF) et la Commission de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), des priorités de recherche agricole ont été identifiées et définies dans la zone UEMOA. Sur cette base, les deux institutions ont procédé à la signature d’une convention d’un montant de 1 500 000 000 de francs CFA pour la mise en œuvre d’un programme collaboratif qui cadre avec les objectifs de la Politique Agricole de l’Union (PAU) et avec ceux du deuxième Plan Opérationnel (2014-2018) du CORAF. Ce programme régional d’appui à la recherche agricole, est financé par la Commission de l’UEMOA eu égard au rôle stratégique du secteur agricole dans l’économie des Etats membres à travers l’alimentation des populations, la création d’emplois, la réduction de la pauvreté en milieu rural, la promotion d’une agriculture durable et l’atteinte des objectifs de la PAU. -
Projet d’appui au développement d’activités rurales et au financement des filières agricoles dans les régions d’Agadez et de Tahoua au Niger (2017–2023)
Le projet d’appui au développement d’activités rurales et au financement des filières agricoles dans les régions de Tahoua et d’Agadez communément appelé Projet Pôles Ruraux (PPR) s’est clôturé en juin 2023 après près de six années de mise en œuvre entre 2017 et 2023, dans les régions d’Agadez et de Tahoua au Niger. Au regard des résultats atteints par le projet et des dynamiques enclenchées sur ces deux territoires, l’ensemble des parties prenantes du projet et particulièrement son maître d’ouvrage, le ministère en charge de l’Agriculture et ses bailleurs de fonds (l’Agence française de développement et l’Union européenne), se sont accordés sur l’intérêt de programmer un exercice de capitalisation des processus et des démarches à l’œuvre dans le cadre du projet afin d’en tirer les enseignements pour l’avenir, tant en termes de conduite de projets et programmes sur les mêmes thématiques que de mise en œuvre des politiques publiques. -
Le PPR : une contribution à l’aménagement et à la gestion concertés du potentiel naturel productif des régions de Tahoua et d’Agadez
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation. Cette publication est réalisée par l’assistance technique au Projet Pôles Ruraux, le consortium IRAM–RAIL–ECO Consult–Interarchi. -
Le PPR : des dispositifs de formation et accompagnement au service de l’insertion des jeunes ruraux
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation. -
Le PPR : un dispositif intégré de soutien au financement de l’agriculture irriguée
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation. -
Le PPR : une contribution à l’aménagement et à la gestion concertés du potentiel naturel productif des régions de Tahoua et d’Agadez
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation.