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Techniques de production des cultures irriguées -- Pommes de terre
Ce manuel de technique de production des cultures irriguées - pomme de terre .objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation.
Ce manuel est destiné aux prestataires de services en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la petite irrigation. Il donne aux formateurs des références théoriques et pratiques pour mettre en œuvre des actions de formations. Ce manuel est complété par deux supports pédagogiques à destination différente (prestataires de services et producteurs) et un cahier de formateur -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre fait partie des cultures maraichères les plus pratiquées dans la région de Maradi. Elle est cultivée sur presque tous les sites situés le long des Goulbi Maradi et Goulbi Kaba, principalement sur le site de Mafalia situé à l’extrémité ouest de la ville de Maradi. Sa production se fait en une campagne, en saison sèche froide, avec un cycle variant entre 70 à 120 jours selon les variétés. En moyenne, une production d’environ 1 000 kg pour 1 000 m2 permet de dégager un produit de 200 000 F.CFA pour 91 000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 109 000 F.CFA. -
Le manioc : une culture de résilience au changement climatique
La culture du manioc est pratiquée par les producteurs pour la vente et la consommation familiale. Dans la région de Zinder, le manioc est cultivé sur les sites maraichers et aussi dans les champs de culture pluviale. Le manioc est de plus en plus cultivé à Zinder, particulièrement dans les communes de Doungou, Magaria et Dan Barto, qui ont été visitées pour ce travail, à cause de sa rentabilité, sa faible exigence d’entretien, sa résistance à des conditions difficiles du milieu (température élevée, stress hydrique, etc.) et son adaptation aux changements climatiques. Sur les sites visités, 80 à 100% des producteurs cultivent le manioc. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre communément appelée « dankali tourawa » en haoussa est l’une des principales spéculations maraîchères de la région de Dosso. Elle est cultivée au niveau du département de Doutchi et de Tibiri et dans une moindre mesure dans la commune de Harikanassou. Selon la variété le cycle de la pomme de terre varie de 70 à 120 jours. Les surfaces mises en valeur varient de 200 à plus de 6.500 m² selon les localités de production. En moyenne, pour 0,5 ha on obtient une production d’environ 6.328 kg qui permettent de dégager 1.582.000 FCFA pour 558.250 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.023.750 FCFA. -
Fiche technico-économique pour la culture pure de l’arachide
En quelques mots : L’arachide appelée en haoussa Guiada ou Gougia est l’une des principales cultures de rente de la région de Zinder. Les principales zones de production sont les départements de Mirriah, Kantché et Magaria. Elle est cultivée sur des sols sableux pauvres en matière organique, le plus souvent en association avec plusieurs autres cultures (mil, sorgho, sésame, niébé) dans la logique de garantir des récoltes minimums pour les producteurs. La présente fiche technico-économique porte sur la culture de l’arachide en culture pure. En quelques chiffres : Selon les résultats de la campagne agricole 2015 du MAG/EL, la production d’arachide de la région de Zinder est estimée à plus de 120.000 tonnes avec un rendement de l’ordre de 670 kg à l’hectare. L’arachide produite est commercialisée vers le Nigeria mais aussi, transformée par les groupements de femmes en huile, tourteaux et pâte. Une femme transformatrice peut transformer jusqu’à 300 kg d’arachide par mois (données du conseil de gestion aux transformatrices d’arachide 2016 - 2017 de la CRA de Zinder). -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’aubergine et de la pomme de terre
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture de l'aubergine et de la pomme de terre. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Méthodologie de la multiplication de semence de pomme de terre
Ce rapport porte sur la méthodologie de la multiplication de semence de pomme de terre au Madagascar -
La multiplication des semences de pommes de terre
Ce manuel est un guide pour les formateurs soutenant le développement des entreprises consacrées à la production de semences de pommes de terre. Il est donc destiné à être utilisé comme un guide du formateur. Il l’aide à fournir un programme d’appui ainsi qu’une formation bien structurée et complète aux aspirants multiplicateurs professionnels de pommes de terres, et ce pendant toute une saison. Il donne également des directives et des conseils au formateur. Le manuel n’est pas un guide technique ; c’est la raison pour laquelle il est fondamental que les formateurs aient de l’expérience en matière de multiplication de semences de pommes de terre.
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Guide pratique sur la culture du niébé pour le Burkina Faso
L’Institut international d'agriculture tropicale (IITA) est le principal acteur de la recherche en Afrique pour la résolution de la faim et de la pauvreté. Notre recherche pour le développement (R4D) s’intéresse aux besoins de développement des pays tropicaux. Nous travaillons avec nos partenaires pour améliorer la qualité, la productivité des cultures et réduire les risques afin de générer des richesses venant de l’agriculture à la fois pour les consommateurs et les producteurs. L’IITA est une organisation à but non lucratif fondée en 1967, dirigée par un conseil d’administration et financée par plusieurs pays. L'IITA est membre du consortium CGIAR. -
Comment obtenir des boutures de manioc de qualité ?
Cette vidéo montre différentes techniques pour l'obtention de boutures de manioc saines et de qualité
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Culture de la pomme de terre en Afrique de l’ouest
La parution de ce guide est un des résultats de l’atelier sur la filière pomme de
terre organisé par le Centre pour le Développement de l’Entreprise (CDE) et ses
partenaires à Ouagadougou en novembre 2007. -
Utiliser l'eucalyptus en tant qu'insectifuge, contre la teigne de la pomme de terre
Cette note présente les propriétés de l'eucalyptus pour lutter contre les ravageurs de la pomme de terres -
La pomme de terre et la biodiversité
Le présent guide porte sur la pomme de terre et la biodiversité -
La pomme de terre et la biotechnologie
Cette fiche porte sur l'utilisation de la biotechnologie pour améliorer les performances de la culture de la pomme de terre -
Lutte raisonnée contre les ravageurs et les maladies de la pomme de terre
Ce guide porte sur la lutte raisonnée contre les ravageurs et les maladies de la pomme de terre -
Pommes de terre, nutrition et diététique
Cette fiche fait le point des propriétés nutritionnelles de la pommes de terre et de sa bonne utilisation en diététique -
La pomme de terre et la conservation des sols
Cette fiche porte sur l'impact de la culture de la pomme de terre sur la conservation des sols et les techniques pour le minimiser -
Production de plants de pomme de terre indemnes de maladies
Cette fiche porte sur la production de plants de pomme de terre indemnes de maladies -
Fiches descriptives des maladies et ravageurs de la pomme de terre
Ce guide inclut un ensemble de fiches descriptives permettant de reconnaître et lutter contre les maladies et ravageurs de la pomme de terre -
Produire plus avec moins : le manioc, guide pour une intensification de la production
L’intensification durable de la production du manioc constitue l’objet du présent guide, le premier d’une série consacrée à l’application pratique, sur des cultures de petits producteurs et des systèmes de production agricole spécifiques, du modèle «Produire plus avec moins» de la FAO. Approuvée en 2010 par la FAO, «Produire plus avec moins» est une approche écosystémique de l’agriculture visant à améliorer la productivité tout en préservant les ressources naturelles. Elle promeut des pratiques devant permettre au demi-milliard de petites exploitations familiales que compte la planète de produire davantage à partir de la même surface de terre, tout en améliorant le capital naturel et les services écosystémiques. -
# Dossier photographique : Méthodes de conservation de la pomme de terre
a pomme de terre est stockée sous le hangar amélioré et recouvert de paille de brousse sur une épaisseur de 20 cm. En dehors du local de conservation, la qualité de la pomme de terre conservée est intimement liée à la qualité des tubercules produits. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection de l'aubergine et de la pomme de terre
Les maladies de plantes c'est comme le paludisme.souvent,on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu’on est très malade -
La culture du Guar se développe au Niger
Une plante tolérante à la sécheresse et même qui ne bien pousse que dans les zones arides et semi-arides. Une plante qui aime les sols sableux -
Itinéraires techniques de production de niébé de qualité
Le raccourcissement de la saison pluvieuse et la mauvaise répartition des pluies au Niger dû aux manifestations des changements climatiques, exigent que les pratiques agricoles soient revues et adaptées à ces nouvelles conditions afin d’assurer une résilience des agriculteurs. Ces pratiques d’adaptation peuvent se faire à travers une bonne maîtrise des itinéraires techniques des principales cultures (mil, sorgho, niébé, etc…). C’est dans ce cadre que cette fiche a été élaborée pour décrire ainsi les itinéraires techniques à suivre par les producteurs pour une production de niébé de qualité au Niger. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre - Région de Tillabéri
Les éléments techniques et économiques suivants découlent du conseil de gestion aux exploitations familiales (CGEF) réalisé par la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Tillabéri au niveau de 19 producteurs de pomme de terre issus de deux bassins de production dans la commune d’Imanan. Selon les résultats du conseil de gestion, dans la commune d’Imanan, les superficies exploitées sont comprises entre 150 et 10.100 m2 avec une moyenne par exploitation agricole (EA) de 1700 m2. Avec des charges opérationnelles de 370.000 F.CFA/EA, on obtient une production de 4.528 kg/EA. Ce qui permet d’avoir un produit brut de 1.130.000 F.CFA/EA pour une marge brute 760.000 F.CFA/EA. Pour une superficie de 1000 m2, la production de pomme de terre est de 2.664 kg (26,64T/ha). Ce qui permet de générer des produits bruts de 666.000 FCFA pour 216.500 de charges opérationnelles, soit une marge brute de 449.500 FCFA et un ratio (Produits/ charges opérationnelles) de 3,08. Autrement dit, chaque franc investi dans la production de pomme de terre permet de générer trois (3) francs. -
Légumes secs et exploitations durables en Afrique Subsaharienne
En Afrique subsaharienne, l'insécurité alimentaire touche 153 millions de personnes (soit 25 pour cent environ de la population). Le problèmes encore s'aggraver du fait de la dégradation constante des sols entrainée par la diminution de taux de matière organique et les apports insuffisants en éléments nutritifs. Plus de 75 pour cent des terres agricoles africaines pourraient être classées comme "dégradées " d'ici à 2020. -
Légumineuses des graines nutritives pour un avenir durable
Les légumineuses appartiennent à la famille des Fabaccés, le troisième plus grand groupe de plantes au monde. On considère qu'elles sont nées il y a quelque 90 millions d'années et que leurs processus de diversification a vu le jour à partir du début du Tertiaire. La familles des fabacées comporte plus de 20 000 espèces et 700 genres, dont seuls certains sont classés comme plantes légumineuses. -
Catalogue Nationale des Espèces et Variétés Végétales : Techniques culturales, manioc
Le manioc préfère les sols riches et profonds Avant la plantation, il est recommandé de bien labourer le terrain. De préférence billonner avant de planter sur les billons. -
Soutenir et valoriser le patrimoine de cultures locales au Burkina Faso et au Niger pour améliorer les conditions de vie et les écosystèmes : Fiche sur la Cassava
Le manioc appartient à la famille des Euphorbiacées, qui compte environ 7200 espèces, caractérisées par le développement notable de vaisseaux lactifères, eux-mêmes constitués de cellules sécrétrices appelées lactifères. Celles-ci produisent la sécrétion laiteuse, ou « latex », qui caractérise les plantes de cette famille. Un genre très important de cette famille est Manihot, auquel appartient le manioc. Le genre Manihot n'est originaire que des Amériques, avec des espèces réparties du sud-ouest des États-Unis à l'Argentine. Bien que toutes les espèces du genre puissent se croiser entre elles, des données suggèrent que, dans la nature, elles sont isolées sur le plan de la reproduction. Environ 98 espèces ont été décrites comme appartenant à ce genre, dont seul le manioc (Manihot esculenta Crantz) a une importance économique et est cultivé. Il existe peut-être plus de 100 noms communs pour cette espèce, en raison de sa diffusion dans le monde tropical par les premiers commerçants (Ceballos & de la Cruz, 2012). Le manioc est un diploïde fonctionnel (2n = 2x = 36). Certaines parties du génome peuvent être dupliquées et, par conséquent, le manioc peut en fait être un allotétraploïde segmentaire (Ceballos & de la Cruz, 2012). -
Analyse prospective de la chaine de valeur niébé au Niger
Le niébé est une denrée importante de base dans toute l’Afrique subsaharienne, particulièrement dans les savanes arides de l’Afrique de l’Ouest. Ses graines représentent une précieuse source de protéines végétales, de vitamines et de revenus pour l’homme, et ses fanes et cosses un excellent fourrage pour les animaux. Les feuilles juvéniles et les gousses immatures sont consommées sous forme de légume. Par ailleurs le niébé est très résistant à la sècheresse (plus que le mil et le sorgho) et un bon fixateur d’azote aérien, ce qui en fait un bon partenaire pour la culture en association avec le mil ou le sorgho telle qu’elle est pratiquée majoritairement au Niger. -
L'amélioration des plantes tropicales : le niébé
En Afrique, on cultive le niébé avant tout pour ses graines sèches, cuisinées sous les formes les plus diverses. Mais, dans de nombreuses régions, on consomme aussi ses jeunes feuilles, fraîches ou séchées, et ses gousses immatures. Dans les régions sahéliennes de l'ouest et dans la région des Grands Lacs, on le cultive comme fourrage. Pour un usage textile, on utilisait dans le passé des niébés à longs pédoncules floraux - cultigroupe Textilis-, dont les graines n'étaient en général pas consommées. Ce cultigroupe, présent au début du siècle du delta intérieur du Niger au bassin du lac Tchad (CHEVALIER, 1944), est aujourd'hui en voie de disparition. -
CATALOGUE NIGERIEN DES VARIETES
DE CEREALES ET LEGUMINEUSESL'Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a le plaisir de vous présenter le Catalogue des Variétés proposées aux agriculteurs nigériens. C'est le premier d'une série de documents que l'Institut se propose
d'éditer tout au long de l'année 1995pour ses 20 ans (1975-1995). Cette année anniversaire a été volontairement placée sous le signe de la communication et de l'ouverture vers les principaux utilisateurs des produits clé la recherche : les
paysans, les services de vulgarisation, les projets de Développement et les Organisations Non Gouvernementales (ONG) intervenant dans le monde rural. C'est-à-dire sous le signe d'une solide liaison entre la recherche et la
vulgarisation. Contrairement aux éditions précédentes de 1984 et 1987, le présent catalogue des variétés est illustré par des photos en couleur et comprend deux volumes:
-Vol I - Céréales et Légumineuses;
-Vol II - Plantes Horticoles.
Les variétés qui y sont décrites sont le fruit des efforts intenses et soutenus de l'ensemble du personnel de l 'INRAN, et de leurs collègues d'autres Institutions
Nationales et Internationales de Recherche Agronomique. Ces variétés sont soit directement issues du patrimoine génétique national, soit des introductions faites à partir de pays voisins ou même lointains, soit des créations nouvelles
des sélectionneurs de l'INRAN. Dans tous les cas, il a fallu les choisir selon des critères spécifiques, les étudier dans des conditions différentes pendant plusieurs années sur nos stations de recherche et en milieu paysan. La sélection d'une
variété, quel que soit l'espèce végétale considérée, est un travail d'équipe de chercheurs et de techniciens de disciplines différentes qui nécessite patience, persévérance et parfois intuition.
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Agriculture Spéciale : la patate douce et la pomme de terre
La -patate douce est cultivée pour ses tubercules qui servent d'aliment pour l'homme. On peut les préparer de très nombreuses façons : bouillis, frits, cuits sous la cendre, etc. Les tubercules servent également à préparer de la fécule, du sirop de l'alcool, de la confiture, etc. Certaines variétés sont très riches en amidon et, après cuisson, servent à l'alimentation du bétail. · Les feuilles peuvent se consommer sous forme de brèdes ou sous forme de condiments. Les tiges et les feuilles ont un grand intérêt comme fourrage vert pour les animaux, ou comme fourrage sec.
On cultive la pomme de terre pour son tubercule qui entre pour une grosse part dans l'alimentation de nombreuses populations, sous forme de purée, de frites, de compotes, salades, etc. De plus en plus, la pomme de terre subit des transformations industrielles avant sa vente : chips et frites vendus en paquets, purées déshydratées etc. -
Trésor des fèves et fleurs des Pois : le génie des légumineuses
Arborées Tropicales (LAT) sont souvent mises en avant par la littérature scientifique. Pour les chercheurs biologistes, les légumineuses en général, et plus particulièrement les arbres et arbustes de ce groupe, présentent de nombreuses qualités pour l'agronomie, au sens large du terme. De nombreuses références peuvent être trouvées dans la littérature scientifique et dans les ouvrages scolaires, de vulgarisation, la presse, etc.