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Fertilisation : modes d'utilisation de l’Urée et du NPK sur les cultures irriguées
Cette affiche explique la fertilisation et montre les modes d'utilisation de l' Urée et du NKP sur le cultures irriguées.
C'est un outil pédagogique conseillé aux acteurs du Conseil Agricole. -
Méthode de compost en tas
Cette affiche présente les techniques et méthodes de compost en tas -
Méthode de compostage en fosse multiple
Cette affiche présente les techniques et méthodes de compost en fosse multiple -
Le compost : Y'a t'il une différence entre ces deux fumures? -Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Y a-t-il une différence entre ces deux fumures ? Télécharger l’élément 1, 2,3 Mo
- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
- 4. Quel est le processus de fabrication du compost en fosse ? Télécharger l’élément 4, 8,2 Mo
- 5. Quel est le processus de fabrication du compost en tas ? Télécharger l’élément 5, 4,6 Mo
- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Le compost-C'est quoi le compost ?-Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Y a-t-il une différence entre ces deux fumures ? Télécharger l’élément 1, 2,3 Mo
- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
- 4. Quel est le processus de fabrication du compost en fosse ? Télécharger l’élément 4, 8,2 Mo
- 5. Quel est le processus de fabrication du compost en tas ? Télécharger l’élément 5, 4,6 Mo
- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
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Le compost : quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? -Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Y a-t-il une différence entre ces deux fumures ? Télécharger l’élément 1, 2,3 Mo
- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
- 4. Quel est le processus de fabrication du compost en fosse ? Télécharger l’élément 4, 8,2 Mo
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- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Le compost-Quel est le processus de fabrication du compost en fosse?-Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
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Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Y a-t-il une différence entre ces deux fumures ? Télécharger l’élément 1, 2,3 Mo
- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
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- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
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Méthode de compostage en fosses multiples
Choisir un lieu ombragé, proche des exploitations et d’un point d’eau
Consolider les bords si les sols sont instables
Creuser 2 ou 4 fosses afin d’avoir du compost toute l’année
Collecter des matières compostables.
Retirer le plastique, le verre et tissus -
Le compost-Quel est le processus de fabrication du compost en tas ?-Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
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Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
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- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
- 4. Quel est le processus de fabrication du compost en fosse ? Télécharger l’élément 4, 8,2 Mo
- 5. Quel est le processus de fabrication du compost en tas ? Télécharger l’élément 5, 4,6 Mo
- 6. Comment vérifier l’état de décomposition du compost ? Télécharger l’élément 6, 1,7 Mo
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Le compost-Comment vérifier l’état de décomposition du compost-Zarma
Le compost (éléments vocaux en langue Zarma).
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Les terres au Niger sont maintenant cultivées en continu, chaque année, sans repos. Chaque fois que l’on fait une culture celle-ci se nourrit dans le sol. Au bout de quelques années il faut que le sol se repose et qu’il puisse reconstituer sa réserve de nourriture pour les plantes. Cela demande un nombre important d’années (5 à 10 ans). Aujourd’hui c’est pratiquement impossible et donc c’est l’agriculteur qui doit enrichir son sol pour que celui-ci puisse nourrir les plantes cultivées.
Les producteurs connaissent bien les deux principales nourritures que l’on apporte au sol : le fumier qui est produit par les animaux et mélangés avec des débris végétaux et l’engrais que l’on achète au marché ou à la CAIMA.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Y a-t-il une différence entre ces deux fumures ? Télécharger l’élément 1, 2,3 Mo
- 2. C’est quoi le compost ? Télécharger l’élément 2, 2,3 Mo.
- 3. Quels sont les matériaux et matériels nécessaires pour faire du compost ? Télécharger l’élément 3, 1,9 Mo
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Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Comment choisir son engrais vert ?
Cette fiche technique a pour but de passer en revue les différents avantages que l’on peut tirer des engrais verts. C’est une première grille de lecture pour répondre à la question «quel engrais vert utiliser pour obtenir le résultat que je recherche ?». Pour des compléments d’information consultez les liens à la fin de la fiche. -
Comment produire le compost à l’air libre avec la paille ?
L’initiative d’élaborer ce manuel de formation est du Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS). A travers le projet de Capitalisation des actions d’amélioration durable de la fertilité des sols pour l’aide à la décision au Burkina (FERSOL), le CILSS a entrepris de capitaliser les expériences des organisations paysannes en matière de fertilisation des sols au Burkina Faso. Il a bénéficié pour cela de l’appui financier de l’Union Européenne. Ce manuel de formation peut être utilisé par les paysans formateurs ou les animateurs endogènes des organisations paysannes, ou par les agents techniques des Associations, ONG et services étatiques. Il est recommandé que l’utilisateur de ce manuel ait un minimum d’expérience en technique d’animation et qu’il soit formé sur ce manuel. Ce manuel a été rédigé en français facile pour qu’il soit facilement compris et utilisable par tous. Nos vifs remerciements à tous les participants aux ateliers de capitalisation participative. Il s’agit des producteurs porteurs d’expériences, des représentants des organisations paysannes, des services techniques, de la recherche, des ONG et des Associations. Ils sont venus de toutes les régions du Burkina Faso. Leurs contributions et témoignages ont constitués le contenu de ce présent document. -
Promotion de la technique de compostage aérien au niveau de l’exploitation maraîchère
L’un des facteurs limitant de la production agricole est l’insuffisance ou la carence des sols en éléments fertilisants (Guéro et al, 2002). L’utilisation de la matière organique sous forme de compost est l’une des solutions écologiques et durables les plus recommandées. Il existe plusieurs méthodes de fabrication du compost. La technique du compostage aérien permet la fabrication à même le sol du compost à partir des débris organiques (fumier des animaux, ordures ménagères organiques, et autres matières organiques). -
La fertilisation localisée au semis des cultures ou microdose
La fertilisation localisée au semis des cultures ou le « microdosage » consiste à mettre, au moment du semis, de petites quantités (doses) d’engrais minéraux appropriés dans les trous de semis d’une culture, communément appelé poquets ; cette technique remplace la pratique de l’épandage (application de l’engrais à la volée ou en ligne) sur toute la superficie d’un champ. Cette méthode peu onéreuse, et particulièrement bien adaptée aux cultures de mil et de sorgho, permet une utilisation plus efficace de l’engrais et une augmentation des rendements agricole de manière durable. -
Module sur la fabrication de compost
Le compost est fabriqué spécialement en mélangeant des résidus végétaux avec des déjections animales ou du fumier. Il existe plusieurs méthodes de fabrication du compost : le compostage aérien ou en tas et le compostage en fosse. -
La fertilisation organique des cultures
Ce present fiche technique porte sur les techniques de fertilisations ecologiques -
La fertilisation en maraichage biologique
C’est dans les exploitations maraîchères que l’on rencontre les systèmes agricoles les plus intensifs, caractérisés par des successions de cultures rapides sur la même parcelle. La majorité de ces exploitations sont spécialisées, de ce fait la fertilisation est réalisée à partir d’intrants. Les exportations conséquentes et les besoins ponctuels importants de certaines cultures entraînent très souvent l’utilisation d’engrais -
Raisonner sa fertilisation en maraîchage biologique
Cette fiche technique porte sur la fertilisation en maraîchage biologique -
Méthodes de compostage au niveau de l’exploitation agricole
Ce présent rapport porte sur les méthodes de compostage au niveau de l’exploitation agricole -
Faire son compost
Ce guide porte sur la fabrication du compost tout en reduisant ses déchets et en nourrissant le sol -
Fiche technique : le compostage
Ce présente fiche porte sur la méthode d’obtention d'un compost de bonne qualité en une période de 21 jours -
Comment fabriquer un bon compost à la ferme
Ce présente fiche porte sur les secrets de fabrication de compost a la ferme -
Agrodok : Gérer la fertilité du sol
Ce guide technique explique comment faire le diagnostic des sols, ce que sont les constituants organiques et chimiques des sols, comment améliorer la fertilité du sol, etc. Il présente plusieurs techniques de fertilisation de sol -
Bouse de vache pour la protection et la fertilisation des végétaux
Insecticides – fongicides : des méthodes naturelles pour protéger les plantes contre les ravageurs -
L'urine au jardin
Techniques d'utilisation de l'urine humaine en production végétale -
Comment faire du compost ?
Vidéo présentant les techniques de production du compost -
Comment fabriquer un composteur avec des palettes de récupération ?
Tutoriel pour la fabrication d'un composteur à partir de bois de récupération -
Formation maraîchage sur sol vivant : 6 : calcul des apports d'azote
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Fertilisation des Plantes à Parfum et Plantes Aromatiques
Les plantes à parfum (PàP) et les plantes aromatiques (PA) biologiques représentent en 2011 un peu plus de 1 800 hectares sur la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
La majorité des plantes à parfum et plantes aromatiques est cultivée dans les Alpes de Haute-Provence et le Vaucluse. -
Le montage du fumier Bokashi
La présente fiche porte sur le montage du fumier BOKASHI -
Compostage du fumier pour en faire de l’engrais puissant
Présentation des avantages et techniques de compostage -
Microorganisme Efficaces (Fertilisant bio)
technique de fertilisation biologique -
Fertilisation en arboriculture
En cultures pérennes et plus particulièrement en arboriculture, on recherche d’abord à maintenir un milieu biologiquement actif avec un équilibre sol/plante garantissant une croissance puis une fructification optimale. Les vergers n’exportent que peu d’éléments minéraux comparativement aux cultures annuelles, seuls les besoins en potassium sont élevés. -
La fertilisation localisée au semis des cultures ou microdose
Fiche d'information sur l'application de microdoses d'engrais -
Script radio : Deuxième épisode : Microdose ou la fertilisation localisée au moment des semis des cultures
Nous sommes à l’approche de la campagne hivernale. Grâce aux revenus obtenus à travers les opérations de warrantage conduites après chaque campagne par leurs organisations paysannes, de nombreux producteurs et productrices s’approvisionnent désormais en engrais à la boutique d’intrants. Suite à des actions de développement visant à une utilisation rationnelle des engrais, les producteurs et productrices l’utilisent dans leurs champs pour améliorer le rendement des différentes spéculations qu’ils cultivent. Dans la plupart des cas, les cultures au stade de levée présentent un état végétatif agréable à voir -
Nourrir le sol : les engrais verts
L’engrais vert s’implante par semis entre deux cultures. Il est enfoui ou non dans le sol en fin de cycle afin d’agir sur la culture suivante. -
Le compost
Le compost est issu de la transformation de déchets organiques (feuilles, herbes, résidus de culture, déchets de cuisine, fibres, fumiers…) par une population de micro-organismes dans un environnement chaud, humide et aéré, en une matière humique biologiquement stable et utilisable pour la nutrition des plantes -
le compost enrichi - appelé également compost en pile ou en lasagne
Cette fiche technique présente les modalités de réalisation d'un compost enrichi. Ce type de compost est bien plus riche que le compost vert car il a une teneur élevée en matière organique et contient plus d’éléments nutritifs -
Le vermicompostage
Le vermicompostage (ou lombricompostage) est un processus de dégradation de la matière organique par des vers de terre en vue de la production d’ un amendement riche en éléments minéraux, exempt de pathogènes et qui favorise la rétention d’eau : le vermicompost. -
Le vermicomposteur
Il existe plusieurs modèles de vermicomposteur, en fonction du système choisi (continu ou discontinu), construit avec différents matériaux (bois, bambou, béton…) -
Le Bois Raméal Fragmenté
Le Bois Raméal Fragmenté (BRF) est une technique d’amélioration des sols cultivés par l’incorporation de fragments de bois permettant d’activer la vie biologique du sol. Cette technique imite les processus à l’oeuvre dans une forêt où les feuilles et les branches tombées à terre se décomposent au fil du temps afin de créer l’humus forestier. -
Le charbon de bois à usage agricole
Le charbon de bois est le produit de la combustion incomplète du bois (la combustion complète donnant de la cendre). Incorporé dans le sol, il a plusieurs vertus, grâce notamment à sa structure poreuse, qui améliorent les propriétés du sol. -
Les engrais verts
Cette fiche technique propose des informations sur les engrais verts -
Les engrais verts
Ce présent document porte sur les engrais verts -
Le compost
Ce présent document illustre les principes , la mise en place et les bénéfices du compost -
Le charbon de bois à usage agricole
Cette fiche technique montre les principes, bénéfices et techniques de fabrication du charbon de bois -
Utilisation des fumures organique et minérale sur cultures maraîchères en Cote d’Ivoire
Eléments techniques sur l'utilisation de fumures minérales et organiques en Côte d'Ivoire -
Le compostage à la ferme
Le présent document porte sur le compostage à la ferme -
La sélection de légumineuses comme engrais verts/cultures de couverture
Cet article présente des éléments de choix pour la sélection de légumineuses pour jouer un rôle d'engrais vert et/ou de cultures de couverture -
Production de matière organique au Sud Mali : Techniques paysannes et vulgarisation
Etude permettant le recueil des techniques de production de compost, ainsi que les outils de vulgarisation utilisés par les services d'encadrement dans le sud du Mali. -
Manuel de l'apprenant : Utilisation des micro-organismes du sol pour accroître la productivité agricole
Document dans le domaine de l'utilisation des micro-organismes du sol, et notamment les bactéries promotrices de la croissance des plantes et les champignons mycorhiziens à arbuscules, pour améliorer la productivité agricole tout en améliorant la santé des sols. -
Les micro-organismes efficaces - Compilation de documents et témoignages cubains sur le fonctionnement, la production artisanale et l'usage de microorganismes efficaces en milieu paysan
Document sur la fabrication et l'utilisation de micro-organismes bénéfiques, en milieu paysan -
Fertilisation des cultures maraîchères
Dans ce guide on parle de la fertilisation et du but principal des plantes, qui est de remplacer les éléments nutritifs soustraits au sol et exportés avec les récoltes, ainsi que de compenser les pertes d’éléments nutritifs occasionnées par ailleurs. Une fertilisation répondant aux besoins des cultures constitue la base d’une production durable de légumes de qualité (Finck 1979). Le développement qualitatif dépend impérativement de la disponibilité de chaque élément nutritif en quantité optimale, tout au long de la culture. -
Principe, fonctionnement et gestion des écosystèmes
Dans un écosystème naturel comme la forêt, le sol n’est jamais perturbé et il est protégé en permanence par un couvert végétal très diversifié, qui crée des conditions favorables (humidité, aération, température, substrat nutritif, etc.) pour une forte activité biologique. Plantes et organismes du sol très divers vivent en interactions, assurent une forte production de biomasse et remplissent diverses fonctions écosystémiques comme: la production de matière organique par photosynthèse, à partir de l’eau et du gaz carbonique;la protection du sol et la réduction du ruissellement par le couvert végéta permanent; le recyclage des éléments nutritifs et de l’eau par les racines profondes; la fixation d’azote atmosphérique par les bactéries associées aux plantes (dans les nodosités des racines de légumineuses ou dans la rhizosphère); la minéralisation et la solubilisation des éléments nutritifs par les organismes vivants permettant une alimentation régulière des plantes; l’enrichissement du sol en matière organique stable et la séquestration de carbone; l’aération du sol par les systèmes racinaires puissants;la régulation de la température du sol. -
Écosystème : définition, explications
En biologie, un écosystème est un système qui se compose d'un ensemble d'organismes vivants, la biocénose, et de l'environnement physique où ils vivent, le biotope. Un écosystème est une unité composée d'organismes interdépendants qui partagent le même habitat. L'étude d'un écosystème donne la base méthodologique permettant de réaliser une synthèse complexe des relations existant entre des organismes (biocénose) et leur environnement (biotope). -
Méthode de compostage en fosses multiples
L'affiche démontre les méthodes de compostage en fosses multiples. -
Méthode de compostage en fosse unique
Sur ce poster, il est démontré les techniques de compostage en fosse unique. -
Méthode de compostage en tas
L'affiche démontre la méthode de compostage en tas. -
Fertilisation : modes d'utilisation de l'UREE et du NPK sur les cultures irriguées
L'utilisation de l'engrais nécessite un savoir faire rigoureux pour éviter d’endommager les cultures, c'est que cette affiche démontre à travers plusieurs illustrations. -
Husa'ar yin takin tsime cikin rame daya
L'affiche démontre les méthodes de compostage en fosses multiples (préparation du sol, remplissage des fosses, entretien). -
La fertilisation organique des cultures : les bases
L’agriculture biologique se développe depuis plus de 30 ans au Québec. Guidée au départ par des principes relativement théoriques et venus des expériences américaines et européennes de l’agriculture biologique, les pratiques de fertilisation des cultures ont évolué en fonction des réalités du terrain et des résultats obtenus à travers les années par les producteurs d’ici. Grâce aux travaux et expérimentations menés pendant ces 30 ans par les producteurs et productrices, le plus souvent avec très peu de moyens, un certain nombre d’ajustements ont été effectués afin d’améliorer les pratiques de fertilisation en régie biologique. -
Fertilisation raisonnée en arboriculture fruitière
Ce guide est destiné à toutes les personnes désirant réaliser une fertilisation qui optimise la qualité de la production et le résultat économique du verger, tout en préservant l’environnement. Une première étape, indispensable pour aboutir à ce résultat, réside dans une bonne connaissance des besoins des différentes espèces fruitières. Comment se nourrit l’arbre ? Quels sont les éléments minéraux nécessaires et en quelles quantités ? À quels moments sont-ils prélevés ? L'observation du fonctionnement du sol est la base de la nutrition des arbres fruitiers. Cela passe par une observation indispensable du profil racinaire des arbres, une bonne préparation du sol avant plantation et une gestion de l'alimentation hydrique adaptée au sol. Pour faciliter le raisonnement différents outils sont actuellement disponibles. L’analyse de sol guide sur les fumures de correction à apporter. Le reliquat azoté permet un pilotage en temps réel de la fumure azotée du verger. Enfin l’analyse foliaire permet de valider le pilotage de la fertilisation réalisé à partir de l’analyse de sol et du reliquat azoté. -
Des produits « miracles » sont proposés aux producteurs, de quoi s’agit-il ?
Pour faire simple, un biostimulant va stimuler les processus physiologiques de la plante avec un effet sur le rendement, indépendamment de son apport nutritionnel. Par exemple, un produit qui va favoriser l’absorption des minéraux, ou améliorer la fertilité du pollen, ou diminuer les conséquences du stress hydrique. -
Termit et Tin-Toumma refuges de la faune au Niger
De manière générale, cette vidéo fait état de la gestion de la faune dans la Réserve Naturelle Nationale de Termit et Tin-Toumma. En effet, cette réserve couvre la vaste superficie de 86 215 km². Elle est l'une des plus grandes aires terrestres protégées au Monde. La Réserve réunit trois écosystèmes remarquable : le massif de Termit, le désert de Tin-Toumma, et un écosystème sahélosaharien. -
Une utilisation efficace de la technique de microdose d’engrais
La technique de la microdose d'engrais comporte deux variante. La première qui consiste à l'apport mécanique d'engrais séparé de la semence est de plus en plus abandonnée. La deuxième qui consiste à placer l'engrais dans le même poquet que la semence lors des semis est actuellement plus vulgarisée. -
Application à la volée de l'engrais phosphaté soluble ou naturel sur les cultures pluviales
Cette fiche technique édifie de manière synthétique les objectifs de la fertilisation minérale et ensuite les performances de son usage. -
Les boutiques d'intrants agricoles
La présente fiche de bonne pratique s'adresse aux acteurs concernés par les boutiques d'intrants, notamment les organisations paysannes faîtières et de base, les producteurs et productrices, ainsi que les partenaires et autres acteurs du développement. L'objectif de cette fiche est de décrire la boutique d'intrants en tant que bonne pratique au Niger et d'encourager les organisations paysannes et acteurs du développement à adopter ce mode de distribution d'intrants afin d'en garantir une meilleure disponibilité pour les producteurs et productrices. -
La commande groupée d’intrants agricoles : un mécanisme d’approvisionnement
La présente fiche s’adresse à tous les acteurs concernés par le processus de commande groupée, notamment les faîtières d’organisations paysannes. -
Guide pratique sur les boutiques d'intrants
Ce livret a été développé sur la base du manuel de gestion de boutiques d’intrants (BI) à caractère coopératif (manuel du gérant élaboré en 2006 par le projet Intrants/FAO). Un atelier participatif de révision de ce manuel, organisé en mars 2010, a proposé de le présenter sous forme de trois livrets illustrés pour faciliter sa compréhension. -
Du compost enrichi pour des rendements plus élevés
En Afrique orientale, la baisse de la fertilité des sols a entrainé une chute des rendements des cultures dans la plupart des petits exploitants agricoles, menant à l'insécurité alimentaire et à une pauvreté accrue. A travers toute la région, les sols sont généralement déficients en azote et phosphore, qui sont des éléments indispensables pour une bonne croissance des plantes. -
Perceptions et stratégie paysannes de gestion de la fertilité des sols dans la région de Tillabery de l'ouest du Niger
L’agriculture au Niger est considérée comme une agriculture « minière » en ce sens qu'elle prélève du sol, chaque année, plus d'éléments nutritifs qu'elle n'en retourne (Abdoul-Habou et al., 2016). Cela implique une diminution de la fertilité des sols et des rendements de culture liés à cette exploitation sans restitution des résidus de récolte et la faible utilisation d’engrais (Amonmidé et al., 2019). La baisse de la fertilité des sols constitue alors un des facteurs les plus contraignant pour la production agricole au Niger et de la sous-région Sahélienne en général (Bielders, 2015, Ravonjiarison et al., 2018, Nguessan et al., 2019. -
La fabrication et l’utilisation du compost
Cet Agrodok se concentre sur la fabrication et l’utilisation du compost. Le Chapitre 8 décrit une recette pour la fabrication de fumier liquide et des extraits de compost. Il s’agit ici des engrais organiques facilement réalisés pour un apport rapide des substances nutritives aux plantes. Bokashi constitue un autre type d’engrais organique, préparé en fermentant des matières organiques. Les détails sont fournis dans le Chapitre 9. Cet Agrodok a été écrit pour des agents qui travaillent avec des petits paysans dans les pays en voie de développement et pour tous ceux qui s’intéressent au compostage et engrais organiques. -
Influence de la qualité des composts et de leurs extraits sur la protection des plantes contre les maladies fongiques
Les objectifs du présent travail visent (i) la caractérisation des paramètres de la qualité physique, chimique et biologique de divers composts et de leurs extraits et d’établir le lien entre ces paramètres et l’origine et le mode de leur production, (ii) détermination de l’influence de ces paramètres sur l’efficacité phytosanitaire du compost et de ses extraits (iii) la détermination des mécanismes d’inhibition des pathogènes par les composts contre les maladies telluriques et des extrais de composts contre celles foliaires (iv) détermination du potentiel phytosanitaire des matières humiques des composts (acides humiques et fulviques) contre les maladies foliaires. -
Livret technique de production du compost
Au Sahel, les aléas climatiques combinés aux actions de l’homme (déforestation, feux de brousse, etc.) ont contribué à la dégradation des terres avec comme conséquence la baisse des rendements agricoles. -
Approvisionnement d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux cadres des Organisations Paysannes (OP) et aux gestionnaires des boutiques d’intrants (gérants ou gérantes et membres du comité de gestion). Elle précise les étapes indispensables à suivre pour procéder à l’approvisionnement d’une boutique d’intrants chaque fois que cela est nécessaire au cours de la campagne hivernale (saison des pluies de juin à septembre) et/ou de la campagne de contre-saison (saison sèche). -
Pourquoi faire analyser son engrais ?
La majeure partie des pays du Sahel, et au Niger en particulier, souffre d’une faible fertilité naturelle de leurs sols, à laquelle viennent s’ajouter la réduction drastique de la pratique de la jachère et la mise en culture de certaines terres marginales. De plus, les apports en éléments nutritifs organiques ou minéraux sont insuffisants. Tout ceci contribue largement à la dégradation de la base nutritive de la plupart des sols. -
Caractéristiques, fonctions et activités d’une boutique d’intrants
Cette fiche s'adresse aux promoteurs et promotrices, aux utilisateurs et utilisatrices, aux responsables d'une boutique d'intrants et/ou à toute personnes intéressée par la création d'une boutique d'intrants. -
Contrôle et auto-évaluation d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d’une boutique d’intrants, et plus spécifiquement aux membres responsables des divers organes des OP propriétaires des boutiques d’intrants (membres de l’Assemblée Générale /AG, du comité de gestion, de contrôle et au gestionnaire de la boutique d’intrants). -
Création d’une boutique d’intrants
Cette fiche s’adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d’une boutique d’intrants, aux responsables d’organisations paysannes et/ou à toute personne intéresser par la création d’une boutique d’intrants. -
Rôle du gérant ou de la gérante d’une boutique d’ intrants
Cette fiche s’adresse aux responsables des organisations paysannes (OP) et de boutique d’intrants, et plus spécifiquement au gestionnaire d’une boutique d’intrants. Elle est également destinée aux animateurs et animatrices, agents d’encadrement pour le renforcement des capacités des OP. -
Partenaires techniques et financiers d’une boutique d’intrants
Cette fiche s'adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d'une boutique d'intrants, et plus spécifiquement à ses partenaires potentiels. Elle souligne l'importance du role des divers partenaires d'une boutique d'intrants et la collaboration continue que les Organisations Paysannes (OP), propriétaires et responsables des boutiques d'intrants, doivent impérativement entretenir avec ces partenaires afin de pérenniser les activités d'une boutique d'intrants. -
Fixation du prix de vente des engrais
Cette fiche s'adresse aux gestionnaires d'une boutique d'i intrants (gérant ou gérante et membres du comité de gestion). Elle détaille le mode de calcul du prix de vente des engrais aux utilisateurs et utilisatrices de la boutique d'intrants -
Boutiques d’intrants : les clés du succès en huit fiches
Au Niger, comme dans d’autres pays de la zone sahélienne, l’indisponibilité d’intrants de qualité au bon moment, au bon endroit et en petits conditionnements, est l’une des principales causes de la faible utilisation des intrants. L’approvisionnement en intrants est un des obstacles à la mise en place et à la continuité de systèmes de production durables et rentables. -
Gestion des intrants et genre au Niger
Ce document est une étude de cas sur le genre et le warrantage au Niger. Se basant sur les recherches approfondies des équipes des projets Capitalisation et IARBIC, la présente étude donne en détail les informations sur le warrantage et le genre appliqués par l’union Cigaba de Konkorindo, à Dosso au Niger. -
Guide pratique sur les boutiques d’intrants : volume 2, organisation et fonctionnement de la boutique d'intrants agricole
Au Niger, les producteurs et productrices agricoles ont des difficultés à s’approvisionner en intrants de qualité pour fonder des systèmes productifs durables. La non disponibilité réelle en intrants au bon moment, au bon endroit et en petits conditionnements est l’une des principales causes de la faible utilisation des intrants par les producteurs et productrices. -
Guide pratique sur les boutiques d’intrants : volume 1 , Présentation de la boutique d’intrants agricoles
Ce premier livret présente la boutique d’intrants agricoles, il est complété par deux autres : l’un porte sur l’organisation et le fonctionnement de la boutique d’intrants agricoles et l’autre sur la gestion de la boutique d’intrants agricole. -
Deuxième épisode: Microdose ou la fertilisation localisée au moment des semis des cultures
Nous sommes à l’approche de la campagne hivernale. Grâce aux revenus obtenus à travers les opérations de warrantage conduites après chaque campagne par leurs organisations paysannes, de nombreux producteurs et productrices s’approvisionnent désormais en engrais à la boutique d’intrants. Suite à des actions de développement visant à une utilisation rationnelle des engrais, les producteurs et productrices l’utilisent dans leurs champs pour améliorer le rendement des différentes spéculations qu’ils cultivent. Dans la plupart des cas, les cultures au stade de levée présentent un état végétatif agréable à voir. -
Les clés de la fertilisation en maraichage biologique
Comment fertiliser ? quel engrais du commerce acheter ? quel compost utiliser ? à quelle dose ? à quel moment, etc…Voilà à peu près résumé, les questions qui se posent à la majorité des maraîchers. Le peu de références techniques locales, a conduit l’association BLE Civam Bio Pays Basque à organiser des journées de formation, à réaliser des analyses de sol méthode Hérody, à tester des combinaisons d’engrais et surtout à recueillir l’expérience des maraîchers. La fertilisation se résume pour beaucoup simplement avec une notion d’apport d’engrais. En bio on aurait aussi tendance à remplacer un raisonnement NPK classique par le même raisonnement mais avec des engrais bio. L’agriculture biologique en général et l’expérience des maraîchers bio en particulier, nous montre qu’on ne peut pas simplement réfléchir en « substitution », mais que toute technique doit participer à optimiser le système. C’est donc un ensemble de techniques conjuguées qui permet d’obtenir un sol fertile sur le long terme, capable de nourrir correctement les légumes. L’expérience des bios en termes de maintien de la fertilité des sols est un enseignement agricole en soi car elle souligne que les problèmes phytosanitaires arrivent plus vite que des hauts rendements si l’on applique uniquement une agriculture de substitution, de perfusion. -
Implication des populations à la gestion des terroirs : analyse d'une expérience sahélienne : le projet gestion des terroirs Filingué au Niger
La présente réflexion se propose d'approfondir les différents aspects de la question en partant de l'expérience concrète d'un projet gestion de terroir. Implantée aux confins septentrionaux de la zone agro-pastorale du Sahel nigérien, confrontée aux rigueurs d'un système agraire soumis à de fortes contraintes écologiques, économiques et sociales, l'opération de développement concernée 1 permet de replacer notre analyse sur un pas de temps relativement large. Entre 1986 et 1994, les équipes engagées sur ce terrain ont eu, à diverses reprises, à remettre en question leur manière d'agir, puis à ajuster leur démarche pour mieux s'adapter aux réalités complexes du milieu. A l'origine de cette construction progressive de la démarche, figurent certes les apports extérieurs liés à des missions d'appuis ou à la prise en compte d'autres expériences. Mais une part tout aussi importante de ce qui a motivé les changements apportés, reste celle des comportements paysans perçus au travers de l’action : réactions d'engagement laissant espérer une appropriation des réalisations dans certains cas, mais aussi résistances ou passivité masquant mal un refus des acteurs face à d'autres entreprises. -
Manuel de formation statistique sur les engrais en Afrique
En juin 2006, les dirigeants Africains se sont réunis à Abuja dans le cadre du Sommet Africain sur les fertilisants avec pour objectif de souligner l'importance des engrais pour réaliser une révolution verte Africaine. -
Les phosphates naturels de Tahoua
Les phosphates de Tahoua font partie des occurrences de phosphate de l’Ader Doutchi ; ils se présentent sous forme de nodules très éparpillés. Certains nodules sont blancs ou grisâtres et possèdent une texture et un aspect crayeux, mais la plupart sont de couleur crème ou jaunâtre, durs, avec des grains très fins compacts. Les plus petits sont en forme de boules plus ou moins sphériques, d’environ 10 mm de diamètre, tandis que les plus gros sont allongés sous forme de baguettes pouvant atteindre 75 mm. La plupart ont une forme oblique, leur longueur variant de 2 à 5 cm ; ils sont parfois recouverts d’une mince pellicule ferrugineuse. -
Gestion multi-usage, socialement et écologiquement durable des écosystèmes forestiers nigériens : Colloque international sur la« gestion des ressources forestières des territoires périurbains et changement climatique » Niamey (Niger) du 31 octobre au 2 novembre 2017
Les formations forestières du Niger sont soumises
à de nombreuses contraintes qui mettent en péril
leur pérennité. Les causes ont été identifiées de longue date, à savoir :
• les problèmes climatiques (sécheresses),
• les facteurs humains (les défrichements anarchiques de l’agriculture
• le surpâturage et les prélèvements incontrôlés du bois pour les besoins du milieu rural et urbain -
Le biochar : une pratique pour augmenter la qualité des sols et leur productivité face aux changements climatiques
Le biochar ou « bio-charcoal » est un charbon obtenu artificiellement, d’origine biologique. Composé à plus de 60 % de carbone, le biochar s’obtient par pyrolyse1 ou carbonisation (avec peu ou pas d’oxygène) de matières organiques diverses (résidus agricoles, fumier, résidus d’exploitation forestière, etc.). Sa composition n’est pas précisément définie car elle dépend de la nature de la biomasse utilisée et du processus de pyrolyse. Cette pratique ne doit pas être confondue avec le charbon de bois. -
Réduire l’usage des pesticides au Togo et au Mali par l’adoption de démarches participatives et l’intégration des savoirs locaux
Dans les systèmes agraires des zones soudano-sahéliennes d’Afrique de l’Ouest, les enjeux de gestion durable des ressources naturelles et de la biodiversité font émerger des défis de conception et d’adaptation de systèmes agroécologiques par les exploitations agricoles familiales. Quelles démarches d’agronomes sont pertinentes dans ces contextes pour accompagner les agriculteurs dans cette transition et en particulier la gestion agroécologique des ravageurs des cultures ? Quels outils des démarches cliniques en agronomie peuvent être mobilisés et adaptés pour l’écoute et l’accompagnement des paysans et paysannes non seulement au niveau individuel mais aussi à l’échelle des territoires ? Pour répondre à ces questions, nous présentons une étude de cas issue de l’expérience d’AVSF pour l’intégration des savoirs locaux dans une démarche de réduction de l’utilisation de pesticides : la Région des Savanes au Togo, ainsi que la mise en perspective dans une autre expérience : le Cercle de Kita au Mali. -
Les produits organiques utilisables en agriculture en Languedoc-Roussillon - Tome 1 : les critères analytiques des produits organiques
Pour bien utiliser un produit organique, il faut connaître sa composition, bien interpréter son comportement puis vérifier son innocuité et son intérêt agronomique. Le producteur doit fournir une analyse récente et représentative du produit à épandre. -
Effets de biofertilisants à base de Tithonia diversifolia et de Thevetia neriifolia sur la production de la laitue en Côte d’Ivoire
La recherche d’alternative fiable et efficace aux fertilisants minéraux est une nécessité pour une agriculture durable. La présente étude a été réalisée pour évaluer le potentiel fertilisant des feuilles de Tithonia diversifolia et de Thevetia neriifolia sur la culture de la laitue (Lactuca sativa). Trois traitements, constitués de feuilles fraîches hachées de Tithonia diversifolia (frais), de purin de feuilles de Tithonia diversifolia (liquide) et de purin de feuilles de Thevetia neriifolia (liquide), ont été appliqués aux plants de
laitue et comparés à un témoin. Les rendements de laitue obtenus avec les apports de biofertilisants à base de T. diversifolia liquide et T. diversifolia frais ont été élevés respectivement de 19,6 et 18,8 t/ha de biomasse fraîche de laitue comparativement aux feuilles de Thevetia (18,5 t/ha) et au témoin (13,9 t/ha). Tithonia diversifolia pourrait être utilisée pour la mise en place d’un biofertilisant efficace en culture maraîchère. -
Effet de Tithonia diversifolia sur le rendement de maïs (Zea mays, L.) dans les conditions agro-écologiques de Benalongo dans le territoire de Mweka, Province du Kasaï Central
L’amélioration de la productivité des sols en zone forestière dans le territoire de Mweka, Province du Kasaï central peut être possible grâce aux intrants locaux présents dans le milieu. Cette étude est menée dans le but d’évaluer l’effet de biomasses des feuilles de Tithonia diversifolia dans la restauration de la fertilité du sol et sur le rendement du maïs. L’étude a été conduite pendant deux ans soit quatre campagnes à raison de deux campagnes par an (grande et petite saison) dans les conditions agro-écologiques du territoire de Mweka dans la Province du Kasaï central. Les résultats obtenus indiquent que les feuilles de Tithonia diversifolia peuvent être utilisées comme un bon fertilisant organique. Des différences très significatives (p ˂ 0,01) ont été obtenues entre les différents traitements en ce qui concerne les rendements de maïs, variant de 681 à 4188 kg.ha-1. Tous les paramètres étudiés (hauteur des plants, diamètre au collet, surface foliaire, le poids de mille grains), ont connu un accroissement positif pour tous les traitements par rapport au témoin. Les doses de 0,5 kg/m2et 0,6 kg/m2 de Tithonia diversifolia étaient les meilleures et les plus performantes ; preuve des effets bénéfiques des feuilles de Tithonia diversifolia dans le sol. L’application de ces biomasses dans le sol deux semaines avant le semis du maïs joue ainsi un rôle important sur les propriétés physiques et chimiques du sol en entraînant l’augmentation du rendement du maïs grain de l’ordre de 4,188T/ha par rapport au témoin (sol non traité) : 0,681 T/ha à 4,188T/ha. -
Gestion intégrée de la fertilité des sols
La fertilité des sols dans un milieu donné est leur capacité deproduction végétale. Cette capacité se traduit par les rendements les plus élevés. Ainsi, gérer la fertilité des sols, c’est mettre en place des systèmes de cultures qui conservent plus longtemps la fertilité des sols en combinant l’utilisation judicieuse des engrais minéraux et organiques, accompagnée de l’emploi des amendements locaux (phosphates naturels, gypse, dolomie, etc.) afin d’améliorer la santé des sols et accroître l’efficacité des engrais.. C’est aussi utiliser des techniques pour protéger ses sols des phénomènes qui entraînent leur appauvrissement.