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FAO Niger
Programmes et projets de la FAO au Niger -
Fonds International de Développement Agricole (FIDA)
Présentation des programmes et projets du FIDA au Niger -
GiZ
Présentation de l'action de la Giz dans le monde et au Niger -
Echanges avec Dogondoutchi
Les communes de Dogondoutchi (Niger) et d’Orsay (Essonne) ont commencé leur coopération en 1992. Voir Historique et Résumé de nos actions depuis 1992.
La coopération a pour objectifs à la fois le développement économique des 60 000 habitants de la ville et des villages périphériques de Dogondoutchi et les échanges culturels et humains entre nos deux villes, qui sont jumelées depuis février 2010. Voir organigramme des relations réciproques. -
Millenium challenge Niger
Le Millenium Challenge Corporation est un fonds d’appui aux pays qui font preuve d’une gouvernance équitable, encouragent la liberté économique et investissent dans le développement humain. -
Maison des femmes d'Agadez
Association (ONG) Loi 1901, laïque, démocratique, à but humanitaire, qui s'inscrit dans une volonté de développement durable par l'alphabétisation et la formation des petites filles et des femmes d'Agadez, en zone Touaregue, au Niger. -
Swiss contact
Programmes et projets de swiss contact au Niger -
Croissance de l'Agriculture en Afrique
L'Afrique abrite la moitié des terres fertiles et non cultivées du monde ; elle possède des ressources hydriques abondantes. A l'échelle mondiale, les agriculteurs africains sont ceux qui produisent le moins à partir de leurs cultures vivrières. les africains importent la moitié du riz qu'ils consomment et payent le prix fort pour cela. -
Les microprojets d’équipement pour les productions maraîchères irriguées
Cette note présente une première synthèse des microprojets (MP) ayant été financés par le Fonds d’Appui Régional avec un objectif de production maraîchère / développement de l’irrigation par des coopératives (hommes) et des groupements féminins. Ce sont les appellations utilisées et qui ont l’utilité de faire la distinction même si les groupements féminins (GF) ont aussi un statut coopératif. -
Note de capitalisation des activités d’ingénierie sociale conduites par la CRA autour du comptoir de commercialisation du niébé de Magaria (financement PECEA)
Le niébé, appelé en haoussa waké, est l’une des principales cultures de rente de la région de Zinder. Les principales zones de production de niébé sont les départements de Mirriah, Magaria, Gouré, Kantché, Doungass et Tanout.
La production de niébé de la région de Zinder est estimée à 525 000 tonnes sur une production totale de 2 380 000 tonnes au Niger (MAGEL), soit 22%. La région de Zinder est, avec Tillabéri, la région de plus forte production.
Le comptoir de commercialisation du niébé de Magaria a été construit sur financement du Programme de Promotion de l’Emploi et de la Croissance Economique dans l’Agriculture (PECEA), financé par la Coopération Danoise et l’Etat du Niger en 2020. La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Zinder a réalisé un diagnostic sur la chaine de valeur niébé qui a permis de distinguer différents bassins de production. Lors de ce diagnostic, les acteurs de cette chaine de valeur ont exprimé la demande de construction d’un comptoir de commercialisation à Magaria compte tenu de l’importance de cette culture dans le département. -
Étude de cadrage du système agroalimentaire au Niger - Facteurs clés et chaînes de valeur prometteuses pour améliorer la durabilité du système alimentaire
Le projet AgrInvest-Systèmes alimentaires cherche à attirer des investissements conformes aux objectifs de développement durable (ODD) dans les systèmes alimentaires en tirant parti des fonds publics. Cette publication vient étayer le projet AgrInvest-Systèmes alimentaires en analysant le système alimentaire national du Niger par le biais d’une approche des systèmes alimentaires et de l’économie politique.
Cette étude de cadrage est la première étape du projet AgrInvest au Niger et poursuit les objectifs suivants :
1. Fournir une cartographie du système alimentaire au Niger et comprendre son contexte général.
2. Identifier les grandes lignes susceptibles d’améliorer la durabilité du système alimentaire du Niger et les points d’entrée prometteurs, en suggérant des pistes pour l’orientation ultérieure du projet AgrInvest en termes de chaînes de valeur à cibler.
3. Établir les bases d’une approche en termes de systèmes alimentaires et d’économie politique pour le projet AgrInvest. La compréhension du fonctionnement du système alimentaire du Niger et de l’influence de divers facteurs d’économie politique (c’est-à-dire ce premier résultat) constitue la base du déploiement d’une approche du système alimentaire politiquement informée pour promouvoir l’investissement durable dans les chaînes de valeur alimentaires, par la mise en œuvre du reste du projet AgrInvest. -
CARE Analyse Rapide Genre pour COVID-19
Le présent document propose des recommandations pratiques pour la prise en compte immédiate de questions du genre dans la réponse humanitaire à la crise de pandémie à Covid-19 au Niger. Des recommandations stratégiques permettant à la réponse humanitaire de contribuer à l´avancement de l´agenda du genre sont aussi formulées en veillant l´amélioration de la réponse humanitaire sur base du renforcement de la programmation d´égalité de sexes. -
Les jardins de survie au Niger
Au Niger, Christian Blind Mission (CBM) finance un programme de développement inclusif à la base (ProDIB) au sein duquel l’ONG nigérienne Karkara est chargée de mettre en œuvre le projet Jardins de survie. Ce projet vise à améliorer la qualité de vie des personnes handicapées et de leur famille en répondant à leurs besoins essentiels et en favorisant leur participation et leur inclusion dans la société. -
Trois mythes sur le développement agricole éléments de synthèse des interventions de Marc Dufumier Mission au Niger du 17 au 20 avril 2012
A partir des années 50, la recherche agronomique a élaboré des variétés « améliorées » des principales céréales. Ces variétés dites « améliorées » sont à haut potentiel génétique de rendement, c’est-à-dire qu’elles sont capables de bien intercepter l’énergie lumineuse pour produire le maximum de calories et de protéines alimentaires à l’hectare. Malheureusement, ces variétés sont très fragiles et elles ont besoin de conditions optimales pour atteindre effectivement ce potentiel de rendement. Cela se traduit bien souvent par la nécessité non seulement de recourir à la fertilisation chimique et à l’épandage de pesticides mais aussi de réaliser des travaux répétés des sols et des infrastructures d’irrigation et de drainage. Si le milieu ne leur convient pas, les rendements peuvent être catastrophiques et, en tout état de cause, inférieurs aux rendements obtenus avec les variétés rustiques des paysans. Les agriculteurs ont donc adaptés leurs écosystèmes aux nouveaux matériels génétiques, en les artificialisant et en les simplifiant, ce qui les a fragilisés. -
Soutenir et valoriser le patrimoine de cultures locales au Burkina Faso et au Niger pour améliorer les conditions de vie et les écosystèmes : Fiche sur le gombo
Le gombo (Abelmoschus esculentus) est une herbe largement cultivée pour ses fruits qui sont consommés comme des légumes. Abelmoschus esculentus (2n = 130) est probablement un amphidiploïde (allotetraploïde), dérivé de A. tuberculatus (2n = 58), une espèce sauvage de l'Inde, et une espèce encore inconnue avec 2n = 72 chromosomes.Une autre espèce de gombo comestible se trouve dans les régions humides de l'Afrique de l'Ouest et du Centre. Décrit à l'origine comme une variété botanique (Hibiscus manihot L. var. caillei A. Chev.), il a été reconnu comme une espèce distincte (Abelmoschus caillei (A. Chev.) Stevels). Il n'y a pas de différences apparentes d'utilisation entre le gombo ordinaire (A. esculentus) et le gombo d'Afrique de l'Ouest (A. caillei), c'est pourquoi ils sont souvent mis dans le même groupe. Morphologiquement, le gombo ouest-africain diffère à plusieurs égards, mais son épicalice offre les meilleures caractéristiques discriminantes avec 5-10 segments ovales libres, 10-35 mm x 4-13 mm. -
Centre agro-entreprise : Mali sustainable economic growth
Au terme de sa deuxième année d’exercice, les résultats obtenus par le Centre Agro Entreprise (C.A.E.) indiquent un démarrage effectif des activités de développement des filières agroalimentaires. Des appuis bien ciblés ont été apportés aux entreprises pour soutenir ces actions de promotion des produits au sein des filières. Les résultats atteints par le Centre, en matière d’amélioration de la transformation et de la commercialisation des produits agroalimentaires, sont ci-dessous présentés, lesquels constituent des résultats intermédiaires du programme SEG. -
Mission d’appui technique au projet Nariindu : gouvernance, gestion et business-plan
Plusieurs objectifs étaient assignés à cette mission en lien avec les activités du projet : i) appui à la gestion du centre de collecte et à la contractualisation avec les acheteurs, ii) mise en place d’un système « lait contre intrants » pour faciliter l’accès à l’alimentation et aux produits d’hygiène vétérinaire, iii) Etude du modèle institutionnel, économique, technique des centres de collecte, identification participative des zones prioritaires d’action et iv) appui à l’insertion des femmes dans la filière. -
Programme de promotion de l'agriculture familiale en Afrique de l'Ouest
L’objectif spécifique est l’appui à la collecte, au contrôle de la qualité et à la commercialisation du lait local en périphérie de Niamey, par un dispositif innovant de centres de collecte multiservices, contrôlés par les éleveurs locaux. -
Mission d’appui au projet Nariindu : Bilan de l’année 2014 des deux centres de collecte et perspectives de viabilité
Hamdallaye et Kollo sont actuellement les plus grands centres de collecte de lait cru auprès des éleveurs au Niger. En pic de collecte ils collectent chacun plus de 1.000 litres / jour. Les volumes collectés sont en augmentation pour les deux centres et devraient continuer à augmenter. Par ailleurs la forte demande en lait cru sur Niamey n’est toujours pas satisfaite et représente une opportunité pour les éleveurs. Un partenariat avec Solani - le principal client des centres qui souligne la qualité du lait fourni par les centres – se développe actuellement. Les quantités collectées sont cependant très variables au cours de l’année avec un pic de collecte en janvier-février-mars et un creux de collecte pendant l’hivernage de mai à septembre. -
Proposition d'actions pour le développement des de chaines de valeurs et de micro-entreprises agroalimentaires au Niger
Ce document est le dernier volet d’une étude réalisée en 2021-2022 dont l’objectif a été de sélectionner puis d’étudier en profondeur six Chaînes de Valeur (CDV) Agro Alimentaires prometteuses en vue d’appuyer leur développement durant les 5 à 10 années à venir. En conclusion de ces études, le présent document présente les diverses interventions réalisables pour développer ces six Chaînes de Valeur. 21 Chaînes de Valeur ont d’abord été présélectionnées, puis analysées selon de nombreux critères pour déterminer lesquelles étaient les plus à-même de pouvoir se développer rapidement dans un proche futur, une fois leurs contraintes courantes levées par la mise en œuvre d’interventions ciblées. Ce processus de sélection a fait intervenir un panel de spécialistes nigériens de toutes origines, afin d’en valider les résultats, avant de débuter les analyses approfondies. -
Éléments de bilan du soutien public à l’élevage au Niger depuis Maputo
Cette note cherche à établir un premier bilan des efforts publics dédiés à l’élevage au Niger. Elle s’appuie sur la bibliographie existante et sur des entretiens réalisés fin 2013 avec des acteurs nigériens, en particulier des éleveurs membres d’Apess mais aussi d’autres acteurs du développement rural. -
Développement des petites exploitations d’élevage : note sur la transposition à plus grande échelle
D’après les estimations, il faudra accroître de 50 à 70% la productivité alimentaire mondiale pour nourrir neuf milliards de personnes à l’horizon 20501. L’élevage fournit environ 26% des protéines consommées par l’homme et 13% du total des calories. On estime que la demande de produits animaux devrait plus que doubler au cours des 20 prochaines années, en raison de l’urbanisation, de la croissance économique et des changements des modes de consommation dans les pays en développement2. Le secteur de l’élevage représente près d’un milliard de petits éleveurs dans les pays en développement, contribue au PIB agricole à hauteur de 40% et assure de 2% à plus de 33% du revenu des ménages3. -
Éléments de bilan du soutien public à l’élevage au Burkina-Faso depuis Maputo
La filière bétail est la plus dynamique, la plus forte en volume et en valeur. Tirée par une demande urbaine en pleine explosion, elle assure au Burkina le statut d’exportateur net vers les pays côtiers et ce, dans un contexte des plus hostiles sur le plan climatique (crises quasi bisannuelles depuis 10 ans) mais aussi sur les plans social et institutionnel (entraves à la mobilité du bétail). -
Étude de viabilité d'un projet de développement de filière agricole en Amérique Andine
Dans un environnement où l’insécurité alimentaire dans le monde est critique, avec 870 millions de personnes, soit 12.5% de la population mondiale, souffrant de sous-alimentation chronique entre 2010 et 2012 (Fonds Belge pour la Sécurité Alimentaire (FBSA), 2013), de nombreuses ONG sont actives dans le développement de projets visant à réduire l’insécurité alimentaire. On retrouve parmi les acteurs impliqués dans cette thématique Louvain Coopération, une ONG belge qui soutient des projets partout dans le monde autour de trois axes : la qualité des soins de santé (dispensaires, hôpitaux), l’accès aux soins de santé (mutuelles) et le développement de la sécurité alimentaire et économique. Dans le cadre de cette troisième approche, l’ONG a développé un partenariat avec les organisations El Taller et Ceder, il y a maintenant une dizaine d’années, afin de lancer un programme développement de filières agricoles dans les régions d’Arequipa et de Moquegua au sud du Pérou. L’objectif stratégique de ce type de projet est de réduire la pauvreté en renforçant la stabilité économique des populations, notamment en permettant aux populations locales d’accumuler des réserves, de développer des moyens de productions plus performants, d’augmenter leurs revenus et de créer des réseaux de solidarité plus fiables (Henin, 2013). -
Cahier de projet d’investissement
L’objectif de la mise en place de ces unités est de développer la production laitière par l’exploitation de vaches laitières métissées ou de races exotiques. La conception est faite de telle sorte que l’unité puisse être autonome sur le plan de l’approvisionnement fourrager par les cultures fourragères et la constitution de réserves à partir de la collecte de fourrages naturels et des résidus de récolte. Les besoins en financement ainsi que les recettes prévisionnelles relatifs à ce type de projets sont établis pour une unité de 20 vaches. -
Les stratégies de gestion de risques agricoles au Niger. Évidence empirique et implication pour les ménages agricoles
Cet article présente quelques statistiques sur les stratégies de gestion des risques agricoles au Niger. En utilisant les données du Recensement général de l’agriculture et du cheptel 2004-2008, il met en exergue la diversication intra-agricole et l’augmentation de la part relative des productions vivrières comme stratégies de gestion des risques agricoles au Niger. Toutefois, ces stratégies de gestion des risques agricoles impliquent des coûts d’opportunité importants qui ne permettent sans doute pas aux ménages agricoles de sortir de la pauvreté. -
Étude diagnostic des stratégies/politiques nationales agricoles au Niger et propositions d’amélioration
Les stratégies et politiques nigériennes accordent une place prépondérante à l’agriculture pour de nombreuses raisons dont :
1. le rôle que joue le secteur dans l’économie nationale ;
2. les emplois pour plus de 84% de la population active ;
3. la garantie de sécurité alimentaire pour plus de 90% de la population ;
4. l’importante contribution au budget des ménages ;
5. les potentialités en terres agricoles, pastorales et en ressources en eau que le pays recèle ;
6. l’intensité de la pauvreté en milieu rural. En effet 86% des pauvres vivent en milieu rural dont 36% sont considérés comme extrêmement pauvres (SRP 2002). -
INV-NIGER : Innovations pour l ´intensification durable des systèmes agricoles irrigués résilients face au changement climatique au Niger
L´objectif du projet est de contribuer à l’amélioration de la résilience des familles nigériennes face au changement climatique, grâce à l'innovation dans les agrosystèmes irrigués. Le premier objectif spécifique est le renforcement de la gouvernance et de la gestion des ressources en eau et des agrosystèmes irrigués. Le deuxième est l´intensification agro-écologique de la production agricole dans les agrosystèmes irrigués en facilitant l’accès au marché et l’inclusion des groupes vulnérables. -
Rapport d'activités : IFDC Niger
IFDC (International Fertilizer Development Center) créée en 1974 et basée à Alabama aux Etats-Unis, est une institution publique internationale œuvrant pour la sécurité alimentaire, la réduction de la pauvreté dans les pays en développement à travers le développement et la dissémination de technologies efficientes de gestion de la fertilité des sols, le développement de marchés d’intrants agricoles et de marchés de produits agricoles. -
Projet de sécurisation des systèmes maraîchers, pastoraux et forestiers au Niger
L'objet de la présente étude est de proposer, à partir d'un diagnostic des pratiques foncières et des institutions de gestion du foncier, des actions de sécurisation des systèmes maraîchers, pastoraux et forestiers à travers l'appui à la mise en place des Commissions foncières de Tchirozérine et d'Arlit. Le Ministère du Développement Rural, qui a la tutelle du Code Rural, souhaite étendre en effet la couverture du territoire en COFO, constatant que cette institution peut être au centre de la résolution de nombreux problèmes fonciers qui limitent la sécurité alimentaire du Niger. C'est pourquoi il a adressé au Service de Coopération et d'Action Culturelle de l'Ambassade de France (SCAC) une requête, en vue d'appuyer l'installation des COFO de Tchirozérine et d'Arlit dans le département d'Agadez.
Cette requête a été reçue favorablement et donne lieu à la présente étude. -
Projet d'intensification de l'agriculture par le renforcement des boutiques d'intrants coopératives
Le problème principal à résoudre réside dans la faiblesse des rendements vivriers, donc des revenus en milieu rural, la dégradation des conditions et milieux de production (fertilité), dans l'insécurité alimentaire plus ou moins chronique et structurelle qui en résulte. Un problème conjoint est celui de l'accès à la connaissance des techniques modernes correctrices des défauts de fertilité. En effet, les revenus des populations rurales proviennent de systèmes de production non durables, de type minier, et restent faibles et aléatoires ; De ce fait, Ils ont du mal à s'approvisionner en intrants de qualité pour fonder des systèmes productifs durables. De plus, leurs possibilités d'accès aux sources financières pour investir dans des activités rentables (approvisionnements, investissements fixes) sont très faibles et à des coûts élevés, sans compter qu'elles sont souvent endettées et obligées de vendre leurs produits à la récolte (au plus bas prix). -
Présentation du Projet Protection Intégrée des Ressources Agro-sylvo-pastorales dans le département de Tillabéri-Nord
Le Projet Protection des Ressources Agro-Sylvo-Pastorales dans le département de Tillabéri-Nord/PASP, se réfère à un accord Nigero-Allemand de 1980; mais il n'a effectivement démarré qu'en 1986 sous forme de projet d'appui institutionnel aux services techniques dans les quatre (4) arrondissements septentrionaux du département de Tillabéri à savoir: Filingué, Ouallam Téra et Tillabéri courant une superficie d'environ 70.000 Km2 et une population estimée à environ 1.200.000 d'habitants repartie dans 2.899 villages et hameaux. -
Plan de développement Stratégique du RECA 2009-2012
Le Plan de développement stratégique 2009-2012(PDS) est d'abord une expression de la volonté des membres du RECA de se donner des orientations claires pour les quatre prochaines années. Ces orientations stratégiques reposent sur les missions assignées au RECA par la LOI 2000-15 et son décret d'application. Le PDS est pour nous une référence, un outil de programmation et de planification, qui fera connaître à nos membres et nos partenaires au développement, les axes et les priorités du RECA sur lesquels il peut être évalué et apprécier. -
17èm Session ordinaire du Conseil d'Administration du CIRDES
L'année 2017 a connu un changement au niveau du Conseil d'Administration. La présidence du Conseil a été confiée au Mali après la Côte d'Ivoire au cours de la session ordinaire du Conseil d'Administration tenue à Ouagadougou en juillet 2017. La participation à plusieurs ateliers et conférences et les rencontres avec les partenaires ont fait partie des activités principales du CIRDES. Les activités scientifiques se sont également poursuivies malgré les difficultés fmancières chroniques mais des résuhats importants ont pu être obtenus. La situation financière du CIRDES a été encore au centre des préoccupations. Seulement, deux (2) pays (Côte d'Ivoire et Mali) sur huit (8) des pays membres, étaient à jour de leur contribution fmancière. Néanmoins, le CIRDES nourrit l'espoir que les Etats membres honoreront leur engagement vis-à-vis du Centre afm de lui permettre de mettre en œuvre le plan stratégique 2018-2022 approuvé par le CA en 2017. -
Étude sur la définition d'une stratégie de renforcement ou de création des centres de services gérés par les Organisations Professionnelles Agropastorales (OPA)
L'étude sur la définition d'une stratégie de renforcement ou de création d'un ou des centres de services gérés par les OPA, s'inscrit dans une optique (i) de recueillir des informations sur les centres de services existants, les services rendus actuellement aux producteurs et leurs besoins en matière, et (ii) de proposer des pistes ou scénarios possibles de renforcement ou de création de centres de services gérés par les OPA. Ces résultats seront soumis à l'appréciation des OP et partenaires, et serviront de base pour esquisser une stratégie de renforcement ou de création de centres de services. Cette étude s'est opérée par le biais d'entretiens et revue documentaire, et a touché plus de 120 personnes représentant des OP à différentes échelles de structuration, des services techniques et projets. -
Programme Éducatif et Opérationnel de Développement Durable (PEODD) 2004 - 2009 : commune de Bittinkodji
Durant l’année 2001, le chef de canton de Lamordé et Monsieur Yero Garba (notable de la région) ont pris contact avec le Syndicat mixte de la Vallée de l’Orge Aval (SIVOA) pour attirer son attention sur les difficultés que rencontre le canton de Lamordé Bitinkodji principalement en matière de dégradation de l’environnement. Suite à ce premier contact, une visite de terrain a été effectuée à la fin de l’année 2001 par le Sivoa afin de définir les actions de coopération décentralisée du Syndicat au Niger. Très vite la problématique de la lutte contre l’érosion et de la maîtrise du ruissellement est apparue opportune du fait de l’analogie avec les compétences du Syndicat en France qui sont entre autres la gestion de la rivière « Orge » et la lutte contre les inondations. -
Répertoire des distributeurs d'intrants agricoles du Niger
L’édition de ce premier répertoire des distributeurs d’intrants agricoles (agro-dealers) par le Consortium Santé du Sol au Niger a été possible grâce aux bases de données des institutions collaboratrices. C’est le lieu de remercier ces derniers notamment le Projet Appui au Système de Distribution d’Intrants Agricoles (PASDIN) et le Projet Renforcement des Associations des Fournisseurs d’Intrants Agricoles (RAFIA). L’objectif principal du Consortium est de réunir tous les acteurs de la GIFS et de partager l’information en leur sein en vue d’une meilleure synergie dans l’application de la GIFS. Ces distributeurs d’intrants, répartis dans les territoires des communes, constituent les premiers interlocuteurs des producteurs et des organisations paysannes (OP) en leurs fournissant notamment des engrais et des semences de qualité. Nous espérons que ce présent répertoire qui donne des adresses précises des distributeurs d’intrants agricoles, profite à leur clientèle et les incitera à constituer un véritable réseau de distribution. -
Comprendre l'économie des ménages ruraux au Niger
Les origines de la crise de 2005 sont plus complexes que celles des crises précédentes. Tout d’abord, elle n’a pas été précédée d’une grande sécheresse, malgré une pluviosité insuffisante dans certaines régions et quelques dégâts causés aux cultures par les criquets pèlerins. Bien que ces facteurs aient contribué à la crise, ils n’en expliquent pas la sévérité – la nourriture était malgré tout disponible sur la plupart des marchés dans l’ensemble du pays. -
Étude sur l’approfondissement du diagnostic et l’analyse des systèmes de production agro-sylvo-pastoraux dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de développement rural
Le présent document traite des informations recueillies dans la région d'Agadez. Les éléments d’analyse présentés sont les résultats d’intenses travaux entre les consultants et les cadres régionaux des ministères de l’hydraulique de l’environnement et de la lutte contre la désertification, du développement agricole, des Ressources Animales, du Développement Communautaire. D’autres structures ont été également associées. Il s’agit de l’éducation, la santé, le commerce, l’artisanat, des organisations de producteurs et de commerçants. -
PPAAO : les réalisations au Niger
Le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest et du Centre (PPAAO) s’investit dans 13 pays. Les dix années du programme ont été élaborées de sorte à rendre l’agriculture plus productive, durable et profitable pour les petits agriculteurs. En Afrique de l’Ouest, le programme a commencé en 2007 et s’active à améliorer les conditions de vie des consommateurs à travers l’approvisionnement de produits agricoles à des prix compétitifs, établir une masse critique de chercheurs pour des programmes de recherches solides efficaces et collaboratifs, et finalement pour s’assurer que les technologies générées au niveau national sont disponibles au niveau régional. Le PPAAO a été établi sur l’initiative de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) comme une réponse au nouvel engagement des états Africains à l’Implémentation du Programme détaillé pour le développement de l’agriculture Africaine (PDDAA). Les pays participants financent des fonds de 500 millions de dollars USD grâce à un système de prêt de la Banque Mondiale. Au niveau régional le programme est coordonné par le CORAF. Plus de deux cent technologies ont été générées et adoptées par près de 4,5 millions de producteurs et transformateurs sur environ 4,8 millions d’hectares. Ces technologies sont disponibles sur www.mita.coraf.org. Le PPAAO a financé des bourses de Master et PhD pour 1021 jeunes. -
Programme de développement de l’agriculture familiale dans la région de Diffa Revue à mi-parcours
Le ProDAF-Diffa est une extension géographique du ProDAF des régions de Maradi, Tahoua, Zinder, dans la région de Diffa. Ses objectifs
sont de contribuer à assurer durablement la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et les capacités de résilience aux crises des ménages
ciblés dans la région de Diffa. Ces objectifs demeurent alignés au plan d’action 2021-2025 de l’initiative 3N du Gouvernement du Niger
ainsi qu’à la note de stratégie de pays de 2022.
Une mission conjointe du Gouvernement de la République du Niger et du Fonds International de Développement Agricole (FIDA), avec
l’appui de la FAO (Centre d’Investissement), s’est déroulée du 09 au 24 Mai 2022, pour procéder à la revue à mi-parcours (RMP) du
Programme de Développement de l’Agriculture Familiale dans la région de Diffa (ProDAF-Diffa). L’objectif de la mission était de vérifier les
hypothèses faites lors de la conception, d’évaluer la performance globale du ProDAF – Diffa et ses effets sur l’amélioration des revenus,
l’adaptation aux changements climatiques et l’accès aux marchés des exploitations agricoles familiales, et l'insertion socioéconomique des
populations réfugiées, déplacées ou retournées. -
Projet d'appui au développement local dans les zones de N'Guiguimi et Mayahi
Les Projets de Développement Local de N’Guigmi (PADL-N) et de Mayahi (PADL-M) couvrent entièrement deux départements et une partie du département de Diffa (deux communes) avec des différences significatives. Le PADL-N’Guigmi se situe dans des territoires allant de savanes à fertilité moyenne et à des sols sablonneux peu fertiles où l’élevage prédomine et regroupe une population de 128 046 habitants pour une superficie de 118 000 km². Le PADL-Mayahi se situe dans une zone à tendance agro-pastorale regroupant une population d’environ 479 839 habitants sur une superficie de 6500 km² globale provoquant une forte pression sur les sols cultivables. -
Coup d’œil sur l’agriculture et les politiques agricoles au Niger
Le Niger a fait la une de l’actualité en 2023 suite aux soubresauts politiques que l’on connait. Si l’incertitude domine quant à l’avenir des politiques publiques mises en œuvre depuis une dizaine d’années, il a semblé utile de dresser un bilan des interventions publiques dans le premier secteur économique du pays : l’agriculture (élevage compris). Ce¬e synthèse est l’occasion de souligner la singularité de ce pays d’agriculteurs et d’éleveurs vivant aux portes du désert entre mobilité et sédentarité. On présente généralement le Niger comme un pays abonné aux dernières places des classements internationaux, que ce soit en matière de pauvreté, d’IDH, de scolarisation, de taux d’urbanisation, de croissance démographique, de volumes de précipitations etc. Mais, malgré ces réalités, on oublie parfois que les paysans, les éleveurs Nigériens et leurs OP ont développé des capacités de résilience étonnantes et des techniques d’agriculture « climato-intelligentes » parfois très avancées. C’est ainsi que, en dépit de conditions de vie très difficiles, le pays s’affiche par exemple comme un des plus gros producteurs de bétail, de lait, d’oignon ou de niébé de toute l’Afrique de l’Ouest. -
Impact du transfert d'argent sur la résilience des populations rurales du département de Filingué : cas du village de Louma et de Damana
Les récents changements environnementaux ont eu d’importantes répercussions sur la production des cultures pluviales contraignant ainsi les ménages agricoles à diversifier leurs sources de revenu. Il est analysé dans cet article, l’impact du transfert d’argent sur la résilience des ménages ruraux à travers la satisfaction de leurs besoins essentiels.
La méthodologie est construite autour de la recherche bibliographique, de la collecte des données socioéconomiques et de leur analyse. -
Programme d’Appui au Développement Agricole Durable dans la région de Dosso
Inscrit dans la mise en œuvre de l’I3N qui vise à renforcer les capacités nationales de productions alimentaires, d’approvisionnement et de résilience face aux crises alimentaires et aux catastrophes naturelles, le programme s’est concentré dans les domaines de compétences du MAG/EL, en particulier sur les deux premiers axes de la stratégie de l’I3N. Malgré la difficulté de mesurer le niveau d’impact du programme, notamment en raison de l’insuffisance du système de suivi/évaluation sectoriel, les interventions menées ont contribué significativement au développement des cultures irriguées et des filières agricoles. Par ailleurs, on note que certaines innovations sur le foncier ou l’aide financière à l’installation des jeunes agriculteurs, stimulées par le programme, seront rapidement mises à l’échelle. Comme le relève le rapport d’évaluation finale, l’intervention du programme a contribué significativement au développement agricole durable dans la Région de Dosso. -
Suivi des activités de la CRA dans le cadre du Projet Pôles Ruraux
La mission s’est déroulée du 13 au 20 décembre 2021 avec deux agents du RECA et les conseillers de la Chambre Régionale d’Agriculture d’Agadez. La mission a visité 7 sites de formation de jeunes agriculteurs et agricultrices, 6 sites de conseil de gestion à l’exploitation agricole (CGEF) et un site de démonstration oignon. Elle s’est entretenue avec les conseillers agricoles de la CRA, les formateurs et animateurs des structures privées partenaires (ONG ou GSC) et des producteurs ou productrices. -
Programme d’Appui au Développement de l’Élevage PRADEL Kiyo Arziki Niger
Les populations du Niger en général et les éleveurs en particulier restent confrontés à une insécurité alimentaire importante. Dans le même temps la problématique de l’amélioration des revenus et des emplois se pose avec acuité dans un contexte d’explosion démographique et d’importance des effets des changements climatiques. Le sous-secteur de l’élevage dispose d’un énorme potentiel de développement mais connait les mêmes contraintes et fait face aux défis (productivité, santé, alimentation, etc.). Le PRADEL, qui vise à contribuer à réduire l’insécurité alimentaire et à contribuer/consolider les emplois et les revenus des populations liées à l’levage, reste donc pertinent tant dans sa conception et que dans sa mise en œuvre par rapport aux besoins du groupe cible. -
Panorama des meilleures pratiques de montage et de mise en œuvre des projets d’adaptation dans l’agriculture
Ce panorama vise à restituer les leçons apprises et les bonnes pratiques dans la conception, le montage, la mise en œuvre jusqu’à la capitalisation des projets pilotes soutenus par le programme GCCA+ AO. Ceci afin de soutenir les futurs porteurs de projets et aboutir à une meilleure prise en compte de l’adaptation à chaque étape du cycle du projet. -
CORAF et UEMOA rendent les filières coton, maïs, bétail-viande, aviculture et aquaculture plus compétitives
A la suite de l’accord de coopération signé en 2006 entre le Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles (CORAF) et la Commission de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), des priorités de recherche agricole ont été identifiées et définies dans la zone UEMOA. Sur cette base, les deux institutions ont procédé à la signature d’une convention d’un montant de 1 500 000 000 de francs CFA pour la mise en œuvre d’un programme collaboratif qui cadre avec les objectifs de la Politique Agricole de l’Union (PAU) et avec ceux du deuxième Plan Opérationnel (2014-2018) du CORAF. Ce programme régional d’appui à la recherche agricole, est financé par la Commission de l’UEMOA eu égard au rôle stratégique du secteur agricole dans l’économie des Etats membres à travers l’alimentation des populations, la création d’emplois, la réduction de la pauvreté en milieu rural, la promotion d’une agriculture durable et l’atteinte des objectifs de la PAU. -
Projet d’appui au développement d’activités rurales et au financement des filières agricoles dans les régions d’Agadez et de Tahoua au Niger (2017–2023)
Le projet d’appui au développement d’activités rurales et au financement des filières agricoles dans les régions de Tahoua et d’Agadez communément appelé Projet Pôles Ruraux (PPR) s’est clôturé en juin 2023 après près de six années de mise en œuvre entre 2017 et 2023, dans les régions d’Agadez et de Tahoua au Niger. Au regard des résultats atteints par le projet et des dynamiques enclenchées sur ces deux territoires, l’ensemble des parties prenantes du projet et particulièrement son maître d’ouvrage, le ministère en charge de l’Agriculture et ses bailleurs de fonds (l’Agence française de développement et l’Union européenne), se sont accordés sur l’intérêt de programmer un exercice de capitalisation des processus et des démarches à l’œuvre dans le cadre du projet afin d’en tirer les enseignements pour l’avenir, tant en termes de conduite de projets et programmes sur les mêmes thématiques que de mise en œuvre des politiques publiques. -
Le PPR : une contribution à l’aménagement et à la gestion concertés du potentiel naturel productif des régions de Tahoua et d’Agadez
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation. Cette publication est réalisée par l’assistance technique au Projet Pôles Ruraux, le consortium IRAM–RAIL–ECO Consult–Interarchi. -
Le PPR : des dispositifs de formation et accompagnement au service de l’insertion des jeunes ruraux
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation. -
Le PPR : un dispositif intégré de soutien au financement de l’agriculture irriguée
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation. -
Le PPR : une contribution à l’aménagement et à la gestion concertés du potentiel naturel productif des régions de Tahoua et d’Agadez
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation.