Aujourd’hui, les maraîchers des Alpes-Maritimes rencontrent des difficultés
avec le mildiou du basilic principalement en période d’été ou de changement
climatique.
De plus, le nombre de protections chimiques diminue d’années en années. Pour répondre à la demande des producteurs bio et conventionnels, une expérimentation au CREAT et un suivi chez un producteur en bio ont été réalisés en 2017, à travers le projet Is@m.