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Outils d'évaluation en andragogie : Note d'orientation à l' intention des formateurs
Ce dossier a été élaboré pour servir de ressource aux personnes qui facilitent des formations. Il est divisé en différents thèmes :
-- Principes d'apprentissage;
-- Aide à la préparation d'une formation;
-- Aide à l'utilisation des méthodes participatives de formation;
-- Aide à l'écriture et à la production de documents d'appui et de transparents;
-- Suggestions pour l'évaluation de formations.
C'est un outil de référence susceptible de mettre à jour votre pratique actuelle. -
Schéma directeur d'aménagement hydraulique du Dallol Bosso
Cette étude sur le scéma directeur d'aménagement hydrolique du Dallol Bosso traite de la la géographie, du cadre hydrogéologique, du schéma géologique d'ensemble, de la climatologie de la pédologie et aptitude des sols, de la végétation etc; -
Etude sur l’approfondissement du diagnostic et l’analyse des systèmes de production agro-sylvo-pastoraux dans le cadre de la mise en oeuvre de la Stratégie de Développement Rural
Ce document précise les programmes et les propositions techniques de leur mise en oeuvre.
La présente étude propose :
- La revue régionale et nationale du zonage agro-écologique ;
- L’analyse et la typologie des systèmes de production pratiqués par les ruraux ainsi que les différentes stratégies développées face aux risques qui pèsent sur la production, face à l’insécurité alimentaire et à la pauvreté ;
- Le diagnostic des filières agro-sylvo-pastorales assorti des orientations d’amélioration des
performances ; - Les orientations et perspectives de développement agro-syslvo-pastoral tenant compte des potentialités et contraintes inhérentes aux systèmes de production, à la valorisation et à la commercialisation des productions. -
Etude de l’impact de la production et de la commercialisation du poivron dans la région de Diffa au Niger
L’étude réalisée à la fin de l’année 2005 porte sur l’impact de la production et de la commercialisation du poivron sur les revenus des ménages de producteurs le long de la Komadougou Yobè (région de Diffa, Niger) et de son poids dans l’atteinte de la sécurité alimentaire locale. Le rapport décrit l’organisation de la filière poivron et son fonctionnement, présente la rentabilité de la culture du poivron et indique de quelle manière les revenus de la culture du poivron permettent aux producteurs d’assurer leur sécurité alimentaire. Le recueil des informations primaires a été effectué au moyen d’interviews des acteurs dont un échantillon représentatif n’a pu être constitué en l’absence de base de sondage disponible. Les données obtenues apparaissent cependant réalistes et cohérentes, notamment ave la documentation disponible. -
Parcs agroforestiers sahéliens : de la conservation à l’aménagement
Au Nord-Cameroun, comme dans l’ensemble des zones semi-arides africaines, les agriculteurs ont depuis longtemps défriché les savanes arborées pour les mettre en culture. Ce défrichement a souvent été sélectif : les cultivateurs ont conservé les arbres peu gênants ou utiles. Par la suite, ils ont parfois enrichi ces systèmes agroforestiers en introduisant de nouvelles espèces ou en conservant une partie de la régénération naturelle. En fonction de la composition du peuplement arboré d’origine, des conditions écologiques, des savoirs et des besoins des populations et de leur environnement socio-économique, différents types de parcs arborés se sont ainsi construits, dont les plus connus sont les parcs à faidherbia (Faidherbia albida) et les parcs à karité (Vitellaria paradoxa). -
La fertilisation organique des cultures
Ce present fiche technique porte sur les techniques de fertilisations ecologiques -
Méthodes de compostage au niveau de l’exploitation agricole
Ce présent rapport porte sur les méthodes de compostage au niveau de l’exploitation agricole -
Typologie des cuvettes et bas-fonds et possibilité d’exploitation agricole et de valorisation
Les cuvettes (localement dénommées N’Gors) sont des dépressions interdunaires de section très variée (amiboïde) et dont la forme générale se rapproche de celle d’un tronc de cône renversé. La dénivelée oscille entre 10 et 40 m. Dans la dépression, la végétation et les types de sols s’organisent en auréoles concentriques descendant en pente douce vers le centre avec invariablement l’auréole externe constituée essentiellement de doumiers denses (Hyphaene thebaica) et la plage centrale nue plus ou moins natronnée, parfois occupée par une mare. Dans les cuvettes, la profondeur de la nappe varie généralement de 0 à 5 m et reste toujours inférieure à celle du plateau sableux environnant. Les bas-fonds (localement dénommés Fayas) sont des segments généralement étirés de vallées sèches, à dénivelée n’excédant pas 10 m, à fond plat occupé par une végétation ligneuse dense et variée dominée par Acacia raddiana. La profondeur de la nappe peut atteindre 10 m. -
Agrodok : Gérer la fertilité du sol
Ce guide technique explique comment faire le diagnostic des sols, ce que sont les constituants organiques et chimiques des sols, comment améliorer la fertilité du sol, etc. Il présente plusieurs techniques de fertilisation de sol -
Mission de capitalisation des expériences de crédits garantis par le warrantage des produits agricoles
L’idée de relancer le crédit aux producteurs agricole en le garantissant par le warrantage de leurs récoltes a été introduites en 1999 par le ‘’ Projet Intrant ‘’ (MDA/DCV-FAO, sur le financement de la Belgique). -
Agriculture urbaine : la culture des légumes en ville
L'exploitation agricole durable à petite échelle en zone urbaine. Etudes de terrains, de risques et des potentialités des cultures urbaines. Mobilisation et entretien des eaux et aspects sociaux économiques -
Agrodok 17 : La culture de la tomate : production, transformation et commercialisation
Ce guide technique du CTA montre comment cultiver, transformer et commercialiser la tomate -
La culture du soja et d’autres légumineuses
Cet Agrodok a pour objectif d’aider les cultivateurs et conseillers agri-coles à faire les bons choix en fonction des circonstances spécifiques à leur région. -
Économie familiale et innovation agricole en Afrique de l'ouest : vers de nouveaux partenariats
L’économie familiale occupe une place prépondérante dans les économies des pays de l’Afrique de l’Ouest et joue un rôle déterminant pour répondre aux besoins de cette population. L'agriculture contribue pour près de 30% du PIB , la plupart des activités agricoles sont organisées et mises en œuvre par les exploitations familiales qui sont la forme de production la plus importante au sein de l’économie familiale en milieu rural. -
Un jardin sans travail du sol
Ce guide présente les technique de jardinage sans travail du sol -
Les cultures légumières en agriculture biologique
Ces fiches ont pour objectif d’éclairer le maraîcher débutant sur la programmation des mises en culture, puis de l’aider à réaliser les différents travaux d’entretien depuis la fertilisation jusqu’à la vente. Elles peuvent aussi aider l'‘apprenant à élaborer son projet d’installation, en apportant un complément aux connaissances de base acquise par ailleurs. -
Produire des semences de chou dans un itinéraire agrobiologique
Ce document porte sur la production des semences de choux dans un itinéraire Agrobiologique -
Produire des agrumes en agriculture biologique
Cette fiche technique propose différentes solutions techniques pour produire des agrumes en production biologique -
Bilans des éléments nutritifs du sol à différentes échelles
Application des méthodes intermédiaires aux réalités africainesUne étude de 1990 au niveau global qui indiquait une baisse de la fertilité des sols en Afrique a déclenché des études de cas au niveau détaillé sur les flux d’éléments nutritifs. Ce rapport fait l’hypothèse qu’une approche de niveau intermédiaire peut offrir un point d’entrée valide pour les décideurs politiques et l’intervention du secteur privé. Le but est de permettre aux personnes intéressées de niveau intermédiaire de mieux articuler et cibler les mesures spécifiques augmentant la fertilité du sol à cette échelle. -
Interactions du genre, de la biodiversité agricole et des savoirs locaux au service de la sécurité alimentaire - manuel de formation
Ce manuel de formation représente un guide conceptuel
pour les formateurs qui peut être utilisé pour les guider dans les questions de genre et de savoirs locaux qui sont des éléments importants pour la gestion de la biodiversité agricole et la sécurité alimentaire -
Fonctionnement des élevages camelins de la zone périurbaine d’Agadez au Niger : enquête typologique
Le cheptel camelin est tributaire des ressources fourragères des parcours naturels dont le développement est soumis aux aléas de la pluviométrie, très mal répartie dans le temps et l’espace. Pour exploiter ces parcours, l’une des stratégies adoptée par les éleveurs est la mobilité. Cependant, depuis un certain temps, les mutations climatiques, socio-économiques et les conditions d’une urbanisation accélérée imposent de plus en plus des changements dans la règle de gestion des élevages. -
Synthèse bibliographique sur les filières laitières au Niger
Le lait est une composante stratégique de l’apport en protéines en Afrique sub-saharienne. Il a un poids économique considérable sur la balance des paiements dans la plupart des pays et représente un souci permanent dans le contrôle des équilibres macro-économiques puisque la production est largement en deçà des besoins des populations et le déficit est compensé par des importations massives (LY, 2001). Au Niger, La promotion de la filière laitière fait partie des programmes prioritaires retenus, en raison notamment du rôle important du lait dans le processus de sécurisation alimentaire. En effet, la consommation de lait a régulièrement baissé depuis les années 1960. -
Support de cours : Pédologie
Cours de pédologie, ayant pour objectif de donner les bases de la connaissance des sols, de leurs propriétés environnementales et agronomiques, et d'introduire les notions de couvertures pédologiques, ou chaînes de sol. -
Etude sur l’approfondissement du diagnostic et l’analyse des systèmes de production agro-sylvo-pastoraux dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie de Développement Rural
Le Niger s’est doté depuis janvier 2002 d’une Stratégie de Réduction de la Pauvreté (SRP) qui représente le cadre unique de référence en matière de politique économique et sociale du pays. L’objectif de cette stratégie est de réduire le nombre de pauvres d’au moins 50% d’ici 2015. La base économique du pays étant le secteur rural, la SRP l’a consacré dans son rôle de principal moteur de la croissance économique et lui a assigné l’objectif de relever sa contribution à la croissance du PIB de 1,2% à 2% à partir de 2004, à travers la mise en oeuvre de la Stratégie de Développement Rural (SDR). -
Programme d'appui à la production dans le nord TERA
Le trimestre 4 de l'année coïncide avec la fin de l'évaluation des cultures pluviales et le
démarrage des cultures de saison sèche ou de décrue dans la zone d'intervention du
programme production. Cette situation permet de faire un bilan de la campagne agricole et de présager des perspectives pour la suite de Tannée. Ce bilan de la campagne agricole est déficitaire. Car localement des zones entières n'ont pas pu récolter. C'est à cette situation que fait face le programme production dans les trois communes. Si le trimestre précédent les efforts étaient concentrés sur la gestion de la crise alimentaire et la mise à jour des documents de la crise, ce que celle -ci a beaucoup perturbé le cycle normal des activités du programme et a fait perdre aux producteurs tout espoir en envoyant certains dans des contrées où le retour est incertain.
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Projet Annuel de Performance 2021
Notre pays a déjà transposé en septembre 2012, les sept (7) directives sur sept (7) dans sa législation nationale dont les deux premières par loi et les cinq (5) dernières par décret. A travers la loi 2012-09 du 26 mars 2012, portant loi organique relative aux lois de Finances le Niger, a fait le choix de moderniser à la fois son cadre de gestion budgétaire et son processus d’élaboration du budget annuel. C’est dans ce cadre que le décret N°2014-135 PRN/MF du 07 mars 2014 a été pris en vu de remanier le calendrier budgétaire pour le mettre en phase avec les options pluri annuelles et l’instauration du débat d’orientation budgétaire. La nouvelle réforme budgétaire issue des directives de l’UEMOA, instaure de nouvelles règles pour l’élaboration, l’exécution et le suivi du budget avec pour objectif d’améliorer l’efficacité de la dépense et, à travers elles, l’’exécution des politiques publiques.
L’orientation de la gestion vers des résultats prédéfinis constitue le cœur de la réforme et doit amener les administrations publiques à réformer leurs organisations et leurs modes de fonctionnement. C’est conscient de cette donne que le Ministère des Finances à travers la Direction Générale du Budget (DGB) a été amené à procéder à une réforme institutionnelle majeure pour être en phase avec les exigences des Directives de l’UEMOA dont les points clés sont : (i) la passation d’un budget de moyen à un budget de résultats; (ii) la programmation pluri annuelle; (iii le renforcement de la transparence; (iv) la réforme des modes. -
Rapport final: Rencontre de son excellence monsieur le président de la république avec les organisation paysannes
Les 15 et 16 septembre 2005, son excellence Monsieur Mamandou Tandja le Président de la république, chef de l'Etat a rencontré les représentant des organisations des paysannes et artisanales dans l'auditorium monsieur Sani Bako en présence du premier ministre par intérim les ministres en charge du développement agricole -
Rapport de mission: supervision des activités du projet d'appui au développement agricole dans la region de zinder-PADAZ
Le gouvernement nigérien a mis en place une politique d'exploitation rationnelle des eaux issues du ruissellement -
Note sur la mission d'évaluation à mi-parcours du projet de promotion de l'irrigation privée ( PIP 2) : Décembre 2005
La mission de revue à mis parcours du projet, s'est tenue du 01 au 16 décembre 2005.La mission a été conduite pour la banque mondiale -
Rapport annuel d'activités 2004-2005
Il est important de situer le contexte particulier dans lequel se sont déroulées les activités au titre de l'année -
Conseiller en maraîchage - Visite du site de Yaowaré
Le site maraicher à Yaowaré est situé dans le 5ème arrondissement de la ville de Niamey. En saison sèche, les producteurs font du chou et du moringa, plus un peu d’aubergine et d’oignon. En saison sèche, dans leur grande majorité, les producteurs font du chou et du moringa, plus un peu d’aubergine et d’oignon. On trouve quelques parcelles de chou en culture pure (photo ci-contre), mais le chou est surtout cultivé en association avec le moringa. Les producteurs cultivent une seule variété, le chou Oxylus. -
Evaluation externe a mi-parcours du Projet de renforcement des organisations
Professionnelles agro-pastorales du Niger (propan) : rapport définitif
De fin 98 à fin 2002, la coopération française a exécuté le projet d'appui aux opérateurs associatifs du secteur rural (PAOpAs) 1 . A la demande des OPA•.et du MDA, le projet de renforcement des organisations professionnelles agopastorales du Niger (PROPAN), recentré sur l'appui aux organisations paysannes a été instruit. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre - Région de Tillabéri
Les éléments techniques et économiques suivants découlent du conseil de gestion aux exploitations familiales (CGEF) réalisé par la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Tillabéri au niveau de 19 producteurs de pomme de terre issus de deux bassins de production dans la commune d’Imanan. Selon les résultats du conseil de gestion, dans la commune d’Imanan, les superficies exploitées sont comprises entre 150 et 10.100 m2 avec une moyenne par exploitation agricole (EA) de 1700 m2. Avec des charges opérationnelles de 370.000 F.CFA/EA, on obtient une production de 4.528 kg/EA. Ce qui permet d’avoir un produit brut de 1.130.000 F.CFA/EA pour une marge brute 760.000 F.CFA/EA. Pour une superficie de 1000 m2, la production de pomme de terre est de 2.664 kg (26,64T/ha). Ce qui permet de générer des produits bruts de 666.000 FCFA pour 216.500 de charges opérationnelles, soit une marge brute de 449.500 FCFA et un ratio (Produits/ charges opérationnelles) de 3,08. Autrement dit, chaque franc investi dans la production de pomme de terre permet de générer trois (3) francs. -
Faidherbia albida (Delile) Tree Dieback Effects on Crop Production in the Parkland Agroforests of Southwestern Niger
Faidherbia albida is an agroforestry tree species playing important agroecological and socioeconomic roles in arid and semiarid zones in Africa. For many years, anthropogenic and abiotic stresses were considered as the main threats for the species in West African parkland agroforests. Considerable dieback has recently occurred in F. albida trees of parkland agroforests in central southwestern Niger, and the causes are unknown. The e objectives of this study are to (i) investigate the magnitude of dieback of F. albida trees and (ii) assess local community perceptions of the effects of F. albida dieback on crop production. The health status and phenology of 213 F. albida trees were observed in the area where the dieback is occurring. Similarly, a sample of 144 people, 86% of which were farmers, was surveyed. Dieback incidence of F. albida trees was 19%, with mortality of 6%. Large-diameter trees had greater dieback than small-diameter trees. The most affected parts of the tree were the branches at 54% and the trunks at 39%. The populations noted a 33–55% reduction in the yields of major crops. This dieback of F. albida trees poses a serious threat to the survival of rural communities. Further studies can be conducted to identify the cause or cause of the dieback to guide the suitable agroforestry parkland management strategies. -
Étude de cadrage du système agroalimentaire au Niger - Facteurs clés et chaînes de valeur prometteuses pour améliorer la durabilité du système alimentaire
Le projet AgrInvest-Systèmes alimentaires cherche à attirer des investissements conformes aux objectifs de développement durable (ODD) dans les systèmes alimentaires en tirant parti des fonds publics. Cette publication vient étayer le projet AgrInvest-Systèmes alimentaires en analysant le système alimentaire national du Niger par le biais d’une approche des systèmes alimentaires et de l’économie politique.
Cette étude de cadrage est la première étape du projet AgrInvest au Niger et poursuit les objectifs suivants :
1. Fournir une cartographie du système alimentaire au Niger et comprendre son contexte général.
2. Identifier les grandes lignes susceptibles d’améliorer la durabilité du système alimentaire du Niger et les points d’entrée prometteurs, en suggérant des pistes pour l’orientation ultérieure du projet AgrInvest en termes de chaînes de valeur à cibler.
3. Établir les bases d’une approche en termes de systèmes alimentaires et d’économie politique pour le projet AgrInvest. La compréhension du fonctionnement du système alimentaire du Niger et de l’influence de divers facteurs d’économie politique (c’est-à-dire ce premier résultat) constitue la base du déploiement d’une approche du système alimentaire politiquement informée pour promouvoir l’investissement durable dans les chaînes de valeur alimentaires, par la mise en œuvre du reste du projet AgrInvest. -
Premier essai de présentation des différents produits locaux transformés à base de céréales
Dans cette note, les produits pris en compte sont ceux développés par les groupements féminins et les petites entreprises. Les produits sont très variés et cette note devrait permettre de mieux de retrouver dans cette diversité des composants et des modes de préparation. Les céréales sont les aliments les plus transformées à Niamey : mil, riz, maïs, sorgho, fonio et blé
Les céréales sont les aliments les plus transformées à Niamey : mil, riz, maïs, sorgho, fonio et blé. Ces céréales sont transformées en toute sorte de produits finis, prêts à la consommation et faciles à préparer : semoules, couscous, farines, produits roulés (grumeaux, dégué), etc. Ces produits sont disponibles dans les alimentations, supermarchés, boutiques de quartier, etc.
- Qu’est-ce qu’un produit local transformé ?
- Les farines, semoules et brisures
- Couscous et dégué
- Ce que font les transformatrices et leurs appellations en français
- Les appellations locales
Cette note a été rédigée dans le cadre d’un partenariat entre le RECA et l’Agence luxembourgeoise pour la Coopération au Développement (LuxDev). -
Point sur les porte-greffes pour la plantation des agrumes au Niger
Au Niger, seulement deux variétés de porte-greffes adaptées au Sahel sont disponibles : le Bigaradier (Citrus aurantium), et le Volkameriana (Citrus limonia osbek). Ces deux espèces sont présentes depuis de nombreuses années. Elles peuvent être trouvées chez certains arboriculteurs qui utilisent leurs graines afin de produire des porte-greffes, sur lequel un greffon sélectionné sera ensuite ajouté. Il est également possible d’acheter des graines de ces porte-greffes. Chacune a ses caractéristiques. -
Les semences améliorées d’arachide disponibles pour la campagne 2021
Cette note analyse la production de semences de variétés améliorées d’arachide à partir des données contenues dans l’Annuaire National 2021 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger (MAGEL).
Le Ministère en charge de l’agriculture élabore chaque année l’Annuaire National de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger. C’est le document officiel qui contient la quantité et la liste exhaustive de toutes les semences des variétés améliorées produites au Niger et disponibles pour la campagne à venir (2021).
En surface l’arachide tourne autour de 900.000 ha (MAGEL, campagne 2019-2020), loin derrière le mil, le niébé et le sorgho. Cependant, c’est la seconde légumineuse cultivée au Niger. L’arachide est utilisée localement pour la fabrication d’huile, produit de première nécessité dont le Niger est fortement déficitaire. Les importations de matière grasse sont essentiellement constituées d’huile de palme pour la consommation. Ces importations représentent 37 milliards de F.CFA et sont nettement plus importantes que les importations de lait et autres produits laitiers, dont on parle beaucoup plus.
Dans l’optique d’une autosuffisance alimentaire du Niger, ou pour réduire la facture des importations alimentaires, la seule huile en production locale qui peut concurrencer l’huile de palme reste l’huile d’arachide. L’arachide est la culture pour laquelle la quantité de semences améliorées disponibles est très faible, voire insignifiante, à l’échelle nationale par rapport aux surfaces mises en culture. -
Annuaire National 2021 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger
Le Ministère en charge de l’agriculture a institué depuis 2010 l’élaboration d’un annuaire national de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger.
La production 2020 (semences disponibles pour la campagne 2021) est de 9 811 tonnes de semences toutes espèces, variétés et catégories confondues contre 8 326 tonnes en 2019. Le report des semences de l’année précédente est quasi nul (26 tonnes) donc la totalité des semences disponibles en 2020 a été distribuée ou vendues.
L’Annuaire National est un référentiel qui met à la disposition des utilisateurs des semences, les détails essentiels sur les acteurs (producteurs semenciers et agriculteurs multiplicateurs) de la chaine de production -
Les acquis de la loi pastorale - Ordonnance 2010-029 relative au pastoralisme et ses décrets d’application
Document de réflexion dans le cadre de l’élaboration de la politique foncière rurale de la République du Niger - La présente étude a permis d’identifier les acquis du code pastoral dans le but de faciliter l’élaboration de la politique foncière. De façon plus large, elle s’inscrit également dans le cadre de la mise en œuvre des Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts. -
Les bouillons cubes (souvent appelés cubes Maggi), des condiments qui peuvent être remplacés (épisode 1)
Cette note présente la composition de ces bouillons cubes à partir de la liste d’ingrédients énumérés sur les emballages. Pour certains cubes, ces ingrédients sont « en lettres » (inosinate disodique, glutamate, maltodextrine), et pour d’autres en chiffres (E150d, E631, E330) ou en abrégé (HVP), mais toujours en très petits caractères. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon en hivernage / Région d’Agadez
L’oignon est l’une des principales cultures maraichères pratiquées dans la région d’Agadez. Il est produit deux fois dans l’année. Toutefois, dans la région d’Agadez, la grande production est réalisée pendant la saison d’hivernage.
Il ressort des résultats issus du suivi des producteurs en conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) par la CRA dans les communes de Dabaga, Tabélot et Tchirozérine pendant les trois campagnes d’hivernage 2018, 2019 et 2020, que les superficies exploitées variant entre 500 m² et 21 000 m² par producteur avec une moyenne cultivée de 3 370 m2 par exploitation agricole (EA) pour une production moyenne de 140 sacs /EA. A l’issue de ces trois années de suivi CGEF, le rendement moyen est évalué à près de 21T/ha pour la région d’Agadez. Ainsi, pour une superficie de 2.500 m², on obtient une production de 113 sacs (5 200 kg, soit 5,2 tonnes). Cette production correspond à un produit de 1 380 000 F.CFA pour 576 800 F.CFA de charges opérationnelles, soit une marge brute de 779 000 F.CFA. -
Note d’information - La production de tomate sur billon
En décembre 2017, la Chambre Régionale d’Agriculture avait écrit une note sur les tomates de Téra : « Des tomates, de belles tomates en quantité au bord du barrage de Téra. »
Le chef d’exploitation de ces parcelles était Burkinabé. Cela avait fait des remous… Certains avaient parlé « d’accaparement des terres ». Si ces producteurs du Burkina Faso avaient lancé la production de tomate à Téra, ils avaient simplement loué des terres pour la saison de culture (pas d’achats). La main d’œuvre pour la culture, l’arrosage et la récolte, était locale, donc une initiative créatrice d’emplois. D’après l’animateur de la Fédération Mooriben, cette expérience commençait d’ailleurs à être imitée. Le côté intéressant de l’initiative était un possible « transfert de technologies ».
C’est bien ce qui s’est passé et des producteurs locaux (principalement d’anciens exodants) ont adopté les techniques des producteurs burkinabé, notamment la « culture sur billon ». Cette technique de production a la particularité de permettre aux producteurs de se passer de tuteurs. En culture tuteurée, avec une densité de 50 cm entre les plants, une parcelle de 500 m2 de tomate nécessite 2 000 tuteurs soit 40 000 tuteurs par ha. C’est une quantité difficile à trouver dans un pays sahélien et pour plusieurs dizaines d’hectares les prélèvements de bois provoqueraient une déforestation importante. L’achat de ces tuteurs représenterait également des charges élevées. -
Le système ouest-africain de stockage de sécurité alimentaire - Synthèse des enseignements et perspectives
Cette synthèse des acquis de l’expérience de la mise en œuvre de la stratégie régionale de stockage de sécurité alimentaire a été réalisée dans le cadre de la mise en œuvre de la politique agricole de la CEDEAO, l’ECOWAP. Elle s’inscrit dans le contexte de la Conférence internationale sur le système ouest-africain de stockage de sécurité alimentaire organisée par la CEDEAO et ses partenaires du 28 avril au 10 mai 2021. Elle constitue le résumé de la capitalisation approfondie du Projet d’appui au stockage de sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par l’Agence régionale pour l’agriculture et l’alimentation (ARAA) et la Direction Agriculture et développement rural de la CEDEAO (DADR). -
Le néré, une matière première de plus en plus rare pour fabriquer le soumbala au Niger
Le soumbala est le nom (en langue mandingue) d’un condiment obtenu à partir des graines d’un arbre appelé néré (Parkia biglobosa pour son nom scientifique). Au Niger, le soumbala de néré est appelé « dawadawa kalwa » ou « takalwa » ou tout simplement « kalwa » chez les Haoussas et « dosso maari » ou « namouno » chez les Zarmas. Il est couramment utilisé pour assaisonner c'est-à-dire à relever le goût des aliments ou des préparations culinaires notamment des sauces.
Au Niger, les graines de néré sont transformées par les productrices gourmantchés situées dans les villages des communes de Makalondi et Tamou, frontaliers avec le Burkina Faso par toute la population de la région de Tillabéry. Cette matière première est importée du Burkina par les grands fournisseurs de cette zone qui sont généralement des burkinabè venant écouler leurs marchandises les jours du marché de ces deux communes respectives : Tamou et Makalondi.
La production traditionnelle de soumbala de néré dure cinq à six jours et s’effectue suivant cinq étapes qui sont décrites dans cette note. -
Rapport d'évaluation de la campagne agricole d'hivernage 2020 et Perspectives Alimentaires 2020/2021
Au total, ce sont 2 680 395 chefs de ménage qui ont été dénombrés au titre de la campagne agricole d’hivernage 2020. Les résultats montrent que la majorité des ménages agricoles sont gérés par des hommes soit 93,15% contre 6,85% des ménages gérés par des femmes. La situation pluviométrique comparée à l’année passée reste très excédentaire dans la majeure partie de la zone agricole du pays. Les poches excédentaires sont localisées dans les régions de Tillabéri, Dosso, Zinder et Diffa. Les poches déficitaires à très déficitaires sont apparues dans les régions de Tillabéri, Dosso et Zinder. La production céréalière globale de la campagne agricole d’hivernage est estimée à 5 768 382 tonnes. En comparaison avec les productions de la campagne 2019 on observe une hausse de 9 %. L’évolution de ces productions sont également en hausse voire une stabilité de 1% par rapport à la moyenne des cinq (5) dernières années. Ce sont des hausses de 7%, 12% et 13% qui sont observées respectivement pour le mil, le maïs et le sorgho. Par contre les niveaux de production sont en baisse pour le riz et le fonio respectivement de 4 et 6% par rapport à l’année passée. L’analyse comparée de la production 2020 par rapport à la moyenne quinquennale présente des hausses de production pour le sorgho et le maïs. -
Programme national de mobilisation des eaux et de développement des cultures irriguées (PME/DCI)
Le Programme national de mobilisation des eaux et développement des cultures irriguées est une émanation de l’atelier de validation du Programme national d’investissement à moyen terme (PNIMT), atelier qui a clôturé la vaste concertation des acteurs du secteur rural sur l’identification des projets prioritaires pouvant être soumis par le Niger au Comité directeur du NEPAD. Ce programme s’inscrit dans la continuité du budget–programme 2004–2008 du Ministère du développement agricole, avec son volet « développement des cultures irriguées », qui est un des quatre instruments prévus pour la mise en œuvre de la Stratégie de la réduction de la pauvreté (SRP). En effet le développement agricole du pays est confronté à d’importantes contraintes liées au caractère aléatoire de la pluviométrie. Les sécheresses et l’avancée de la désertification enregistrées lors des dernières décennies renforcent bien l’orientation selon laquelle l’irrigation et la mobilisation des eaux constituent un élément de la Stratégie de développement rural (SDR) incontournable dans la satisfaction des objectifs de sécurité alimentaire et de diversification et accroissement des revenus agricoles. Dans le cadre du budget–programme 2004–2008, l’objectif annoncé est de faire passer la production des cultures irriguées de 2,6% (en 2001)à 12% à l’horizon 2008. -
Alerte : L’aflatoxine un tueur silencieux au Niger
Les aflatoxines sont des substances toxiques produites par plusieurs espèces de champignons du genre Aspergillus qui infectent diverses cultures, comme le maïs, le sorgho et l’arachide. La consommation d’aflatoxines peut causer de graves maladies, tant chez les humains que chez les animaux.
Au Niger, des collectes d’échantillons de maïs, de sorgho et d’arachide (418 échantillons, toutes espèces confondues) montrent que l’aflatoxine est présente dans toutes ces cultures et dans toutes les régions avec des concentrations inquiétantes. Le constat est amer, l’aflatoxine est présente partout au Niger et sur plusieurs cultures. Elle constitue un véritable problème de santé publique.
Pour réduire la contamination par les aflatoxines, un produit de biocontrôle a été mis au point : Aflasafe. Il s’applique aux cultures après semis, environ 2 à 3 semaines avant la floraison. Lorsqu’il est correctement appliqué en association avec certaines bonnes pratiques agronomiques, les souches Aflasafe s’associent à la culture et empêchent l’installation des souches de champignons toxigènes offrant ainsi une protection permanente et de facto, la réduction de la teneur en aflatoxines. -
Budget annuel 2021
En vue de l'exécution de son programme d'activités annuel, la Direction Générale du Centre National de Lutte Anti-acridienne (CNLA) a élaboré un projet de budget. Ce budget est équilibré en recette et en dépenses à la somme de trois cent vingt-six millions sept cent vingt-quatre mille six cent quatre (326 724 604). L'analyse de ce budget comparativement à celui de l'année 2020 qui était de un milliard cinq cent cinquante-huit millions cinq cent soixante-dix-neuf mille neuf cent soixante-deux (1 558 579 962) Francs cfa, fait ressortir une diminution d'un milliard deux cent trente-un millions huit cent cinquante cinq mille trois cent cinquante huit(1.231.855 358). -
10em session ordinaire du conseil d'administration du centre national de lutte anti-acridienne (CNLA)
La situation acridienne a été relativement calme sur l'ensemble des airs de reproduction et de grégarisation du Criquet pèlerin ainsi que dans le Sahel des pâturages. Toutefois,les prospections de novembre et décembre ont mis en évidence une augmentation des effectifs acridiens consécutives à une concentration, une une multiplication et une grégarisation, qui ont conduit à la formation de groupes solitario-transiens et de bande. -
Coopérative de Saadiya Aval : Ferme semencière
Le présent devis programme est le quatrième élaboré après celui du démarrage dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d'Appui à la Filière Riz. Il est d'une durée de 12 mois à compter du 1er janvier 2006 et devrait consolider les bases d'intervention du Programme et annoncer l'autorisation des structures mises en place afin d'assurer leurs pérennité. -
Soumbala d’oseille de Guinée, une alternative locale pour remplacer les « bouillons cubes » (épisode 2)
Au Niger, tout comme dans la plupart des pays ouest-africains, le soumbala d’oseille de Guinée (Hibiscus sabdarifa pour son nom scientifique) est un condiment couramment utilisé par la population. Il est connu sous le nom de dawadawa botso chez l’ethnie Haoussa et maari bi chez les Zarmas.
Le soumbala est l’un des condiments alimentaires qui peut parfaitement concurrencer les bouillons cubes. Au Niger, plus de 80% de la population nigérienne, en majorité rurale, utilise le soumbala d’oseille de Guinée dans les préparations culinaires. Le soumbala renferme des qualités exceptionnelles. Il contient des acides aminés naturels sans danger, tels que l’acide glutamique et aspartique qui relèvent parfaitement le goût des sauces accompagnant les plats à base de céréales tels que le riz, le mil, le sorgho, le maïs, etc. C’est un exhausteur de gout 100 pour cent naturel. Il constitue aussi une source de protéines et il est très riche en potassium. Le soumbala d’oseille de Guinée apporte aussi des probiotiques c’est-à-dire des micro-organismes vivants qui, ingérés en quantité suffisante, ont un effet bénéfique sur la santé.
La valorisation de soumbala passe nécessairement par une meilleure connaissance sur les procédés de fabrication, la formation des productrices sur les règles d’hygiène, les équipements améliorés nécessaires à la transformation, les techniques de séchage, la cuisson et l’emballage. -
Rapport final de la formation des jeunes agriculteurs et agricultrices pour la campagne sèche froide 2020-2021
La Chambre Régionale d’Agriculture de Tahoua anime la formation professionnelle, installation des jeunes agriculteurs/trices. La formation des jeunes est une activité que mène la CRA avec l’appui du Projet Pôle Ruraux. Pour la campagne de saison sèche 2020-2021, ces formations ont concerné 15 communes, 33 sites, 717 jeunes en formation, 7 opérateurs de formation (OP, GIE, ONG). -
Groupement GIE aaaa de Zinder : acquis et limites d’un exemple reconnu dans la transformation des produits agroalimentaires au Niger
Pour cette étude de cas, ce n’est pas le groupement qui nous intéresse mais son fonctionnement de manière générale. Aussi, nous avons enlevé son nom pour le rendre anonyme. Après une description des activités du groupement cette note débouche sur plusieurs questions sur la nature économique ou entrepreneuriale de ce groupement. -
Disponibilité en semences pour la campagne 2005
Depuis l'an 2000, la Direction des Cultures Vivrières (DCV), à travers son Service des Intrants, du contrôle de conditionnement et de la Législation Agricole (SICCLA) avec l'appui financier et méthodologique du Projet de Promotion de l'utilisation des Intrants Agricoles par les Organisations des Producteurs (Projet Intrants MDA), a continué annuellement à mener des enquêtes sur la disponibilité en semences. En début de chaque campagne d'hivernage, le SICCLA mène une sensibilisation dans toutes les régions et place des fiches d’enquêtes au niveau des producteurs ou associations. -
Documents introductif à l'atelier de révision des programmes de formation à l'IPDR de Kollo
L'Institut Pratique de Développement Rural (IPDR/Kollo), unique école de formation des cadres moyens de développement rural, est un établissement d'enseignement professionnel technique de l’État doté de la personnalité morale et de l'autonomie financière. -
Note sur la production de blé au niveau du périmètre irrigué de Djirataoua et du site de Madarounfa
Au Niger, les bassins de production de blé sont : les vallées de la région d’Agadez, le périmètre de Konni (Tahoua) et le périmètre de Djirataoua (Maradi). La production de blé est faible ; elle est de 4807 tonnes par an (FAO, 2018). Le blé est surtout cultivé avec des faibles superficies variant de 0,1 à 0,5ha par exploitation (AcSSA-Afrique Verte, 2011). Au niveau de la région de Maradi, le périmètre irrigué de Djirataoua et le site Maraicher ‘’Alkamomi’’ de Madarounfa sont des ‘’anciens’’ bassins de production de blé.
Cette note présente des informations sur les itinéraires techniques de production de blé collectées sur le périmètre irrigué de Djirataoua et le site Maraicher ‘’Alkamomi’’ de Madarounfa suite aux entretiens avec 11 producteurs et les comptes d’exploitation de 5 producteurs -
La conservation du poisson et de la viande
La conservation est le processus de transformation des aliments permettant de les stocker plus longtemps. L’alimentation de l’homme dépend de produits d’origine végétale et animale. Comme la plupart de ces produits ne sont disponibles que pendant certaines saisons de l’année et qu’ils s’avarient rapidement lorsqu’ils sont frais, des méthodes ont été développées pour les conserver. -
Mise en valeur et gestion durable des investissements réalisés dans le cadre des ressources PPTE pour le secteur rural
Grace aux ressources dégagées par le gouvernement du Niger, depuis 2001 le Programme spécial de réduction de la pauvreté a entrepris la construction des minis-barrages à usage hydroagricole. -
Note sur la reforme du secteur des engrais au Niger
Le Gouvernement du Niger a adopté un Plan de réforme du secteur des engrais en Janvier 2018. Cette réforme est conduite avec l'appui du Gouvernement américain dans le cadre du Programme COMPACT avec le MCC dont la convention a été négociée par l'Assemblée Nationale. -
Programme d'activités et budget prévisionnel 2005
Le projet d'Appui au Développement Local dans la région de Diffa (PADL-Diffa) sera exécuté sur une période de six ans (2004-2009). Conformément au programme d'activités 2005 établi par la Cellule de Gestion du projet (CGP), cet exercice budgétaire sera consacré essentiellement à la réalisation d'actions prioritaires pouvant être menées au cours de cette période et qui serviront d'ancrage à la bonne exécution du projet. -
Programme d'installation des fermes modernes agricoles au Niger
Le Niger est un pays enclavé de 1.267.000 km², désertique sur les 2/3 de sa superficie avec seulement 11% des terres qui sont favorables à l'agriculture, dont 1% réellement sécurisé par la pluviométrie. Selon les résultats définitifs du RGP/H 2001 la population nigérienne, est évaluée 11.60.291 habitants, a un taux de croissance élevé de 3,3%. -
Programme d'urgence d'appui en semences aux villages déficitaire de la campagne agricole d'hivernage 2004/2005
La campagne agricole d'hivernage 2004/2005 a enregistré un important déficit céréalier de l'ordre de 20.000 tonnes consécutivement à la sécheresse et aux invasions acridiennes. Ainsi, au sortir de cette campagne quelque 3.815 villages totalisent une population de 3.627.817 habitants ont été identifiés comme déficitaire à des degrés supérieur ou égale à 50%. -
Projet de Plan de Travail Intérimaire : Juin-Décembre 2005
Initié par le Gouvernement du Niger, appuyé par ses partenaires au développement notamment le FIDA et l'AFD et s'intégrant dans la stratégie nationale de lutte contre la pauvreté, le Programme de Développement des Services Financiers Ruraux a pour objectif global d'améliorer le niveau de vie des populations rurales à travers le développement du secteur de la micro finance au Niger. -
Requete du Gouvernement de la République du Niger pour une 2em phase du Projet de Promotion des Exportations Agro-Pastorales (PPEAP)
Pays sahélien et enclavé, avec une superficie de 1.267.000 km² et une population de 11.060.291 habitants (RGPH 2001), le Niger fait partie des pays les plus pauvres de la planète. Ses performances économiques sont faibles avec un revenu annuel par habitant inférieur à 250 dollars US. -
Rapport d'analyse des offres relatives à l'exécution des travaux de construction des Barrages de Kassama,Toumbala et Bakatchiraba dans la zone d'intervention du PADAZ
Suite à l'ouverture publique des offres relatives à l'exécution des travaux de construction des barrages de Kassama, Toumbala et Bakatchiraba et du périmètre irrigué de Kassama dans la zone d'intervention du PADAZ suivant AOI N°001/AO/2005/PADAZ du 04 Aoùt 2005, le Mardi 01 Novembre 2005, il a été mis en place une sous-mission technique chargée de l'analyse des dites offres. -
Rapport de pré-évaluation de la campagne agricole d'hivernage : 2005/2006
La campagne agricole d'hivernage 2005 a connu un démarrage précoce par rapport à l'année précédente. les premières précipitations utiles ont été enregistrées entre les 2 et 3 Mai soit une avance de deux (2) semaines par rapport à l'année 2004. Les premières semis ont concerné environ 662 villages (25% des villages agricoles). -
Rapport d'évaluation de la campagne pastorale 2005
Au cours du mois d'Octobre 2005, une mission de la Direction Régionale des Ressources Animales de Dosso a sillonné la Région pour évaluer la situation pastorale. La mission s'est surtout appesantie sur les points suivants : La pluviométrie; la situation des paturages et l'alimentation du betail; la sitution des points d'eau et l'abreuvement du cheptel; la situation sanitaire du cheptel; les mouvements et concentration des animaux; la commercialisation du bétail; la production de la biomasse herbacée; l'appréciation de la production fourragère. -
Note de suivi des unités communautaires de fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés (BMND) pour bétail dans le département de Mayahi (Région de Maradi)
Pour résoudre le problème crucial de la sous-alimentation et la mortalité d’animaux, des technologies ont été développées dont la fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés (BMND) pour le bétail. C’est une technologie simple mise au point par l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) en collaboration avec le PPAAO-Niger et la FAO. Ces blocs sont fabriqués à base de fourrages locaux, de tiges de mil (entières et broyées), de gousses de Faidherbia albida entière et broyées (gao), de tourteaux de coton broyés, de sons de blé, de minéraux (sels, phosphate, calcaire) et de liants (gomme arabique ou farine de manioc).
Le BMND fournit aux ruminants les nutriments dont ils ont besoin pour leur entretien quotidien. Sa consommation favorise l’assimilation rapide des fourrages grossiers, augmente la consommation d’eau et améliore leur état de santé et leur résistance au stress d’origines diverses. La technologie de fabrication de BMND est de plus en plus maitrisée par les organisations paysannes (OP) notamment grâce à l’appui de projets. En effet, depuis 2014, Sahel Bio vulgarise cette technologie dans le département de Mayahi, grâce au financement de la fondation Suisse HEKS-EPER. La production-vente du BMND est, de nos jours, une source de revenu pour les populations des zones concernées. La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Maradi a effectué un suivi au niveau de quatre (4) unités communautaires de fabrication de BMND du département de Mayahi. -
Réunion annuelle des cadres du Ministère du développement agricole - édition 2005 : Niamey du 12 au 13 Mai 2005
La réunion annuelle des cadres du Ministère du Développement Agricole est un cadre d'échange entre l'ensemble des structures de ce ministère sur la problématique du développement agricole et sur la contribution du ministère au développement socioéconomiques du pays. Compte tenu des nouvelles orientations politiques et stratégiques du gouvernement l'édition 2005 de la réunion annuelle des cadres s'est penché sur l'examen et l'appropriation du programme de travail 2005-2006 du MDA. -
Formation Initiale Professionnalisante - Module 5 : Système d'irrigation goutte à goutte et autres systèmes d'irrigation innovateurs
Le présent module de Formation Initiale Professionnalisante en ** Système d'irrigation goutte à goutte et autres systèmes d'irrigation innovateurs **, s’inscrit dans une série de modules de formation dans le domaine de l’hydraulique agricoles.
Il vise à doter les jeunes déscolarisés et/ ou non scolarisés, de compétences en installation de système d'irrigation goutte à goutte et autres systèmes d'irrigation innovateurs, en technique d’acquisition de petits équipements et matériel de travail pour l’installation d’un système d'irrigation goutte à goutte et en entretien et réparation de pompe électrique immergée. Il est constitué de 8 séquences divisées en séances présentées sous forme de fiches techniques.
Il est pratique et simple. En fin de formation le participant est capable de créer et d’exercer une activité professionnelle durable et rentable qui lui permet de tirer ses moyens d’existence. -
Formation Initiale Professionnalisante - Offre de transport à travers des charrettes
Le présent module de formation en offre de transport à travers des charrettes s’inscrit dans une série de module dans le domaine de la Mécanique Rurale. Il vise à doter les jeunes déscolarisés et/ ou non scolarisés, de compétences sur l’alimentation des animaux de trait et les conditions optimales d’utilisation des animaux de trait et sur la maintenance et l’entretien des charrettes.
Il est constitué de séquences divisées en séances présentées sous forme de fiches techniques
Il est pratique et simple et durera 80 heures. Enfin de formation tout participant peut créer et d’exercer une activité professionnelle durable et rentable qui lui permet de tirer ses moyens d’existence. -
Formation Initiale Professionnalisante - Module 4 : Plombier-installateur réseaux californiens
Le présent module de Formation Initiale Professionnalisante en Plombier – installation réseaux californiens et autres systèmes d’irrigation, s’inscrit dans une série de modules de formation dans le domaine de l’hydraulique agricole. Il vise à doter les jeunes déscolarisés et/ou non scolarisés, de compétences en plomberie, en installation de sanitaires, en installation de réseaux californiens, en technique d’acquisition de petits équipements et matériel de travail pour l’installation d’un système d’irrigation innovateurs
Il est constitué des séquences divisées en séances présentées sous forme de fiches techniques. Il est pratique et simple. En fin de formation le participant est capable de créer et d’exercer une activité professionnelle durable et rentable qui lui permet de tirer ses moyens d’existence. -
Analyse de la Rentabilité Économique du Maraîchage d’hivernage dans les Communes d’Imanan et de Tagazar au Niger
Dans leur quête de sécurité monétaire, les ménages s’adonnent au maraîchage d’hivernage qui de nos jours, représente une véritable alternative de diversification de revenu. La présente étude analyse aussi bien la rentabilité économique des exploitations maraîchères d’hivernage que les facteurs socioéconomiques et techniques influençant cette rentabilité dans les communes d’Imanan et de Tagazar au Niger. Les données primaires ont été obtenues au moyen d’enquêtes individuelles et des focus groups. Au total, 102 maraîchers, choisis de façon aléatoire, ont été enquêtés. L’analyse des données basée sur l’approche budgétaire, a permis d’évaluer les éléments comptables des exploitations. Une fonction stochastique de type Cobb-Douglass a été estimée à l’aide du logiciel STATA 14.1. Les résultats montrent que le modèle est hautement significatif (p< 0,001) avec un coefficient de détermination multiple ajusté R² de 0,79. Il résulte que les exploitations maraîchères d’hivernage étudiées sont rentables, étant donné qu’un franc investi rapporte 3,47 FCFA. En ce qui concerne les déterminants, les résultats montrent que l’expérience des maraîchers, la superficie cultivée et la vente individuelle au marché ont un effet positif significatif sur la marge nette dégagée. Pendant que la vente groupée bord parcelle l’influence négativement. Le maraîchage d’hivernage doit être davantage promu au Niger tout en mettant l’accent sur la vente individuelle au marché. -
Situation pastorale 2005
Couvrant une superficie d'environ 146.170 km² la région de Zinder dispose de frontière naturelles avec la République Fédérale du Nigéria au sud, la région de Maradi à l'Ouest, celles d'Agadez au Nord et de Diffa à 'Est. Elle est subdivisée en cinq (5) département, cinq (5) postes administratifs, un sultanat, 33 cantons, 22 groupements nomades (touaregs, peulhs, toubous et arabes). 2122 villages administratifs, 2843 villages agricoles tribus. -
Synthèse du rapport d'évaluation finale du projet de promotion des exportations agro-pastorales (PPEAP)
Le projet de promotion des exportations Agro-Pastorales (PPEAP) a réalisé un certain nombre de résultats pendant que sa phase actuelle prend fin le 31 octobre 2005. C'est dans cette perspective que le Ministre du Développement Agricole a crée un Comité National d’Évaluation Finale par arreté N°056/MDA/CAB du 03 juin 2005 et a nommé les membres dudit comité par arrêté N°059/MDA/CAB du 30 juin 2005 en lui assignant des termes de référence bien définis. -
Annuaire National 2021 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger
Au Niger, le secteur rural reste le plus grand pourvoyeur d’emploi et contribue plus que tout autre secteur au PIB par habitant constituant pour ainsi dire l’un des secteurs productifs à même de tirer la croissance économique de notre pays. La contribution de l’agriculture à l’essor national est cependant continuellement entravée par la faible capacité de production agricole et végétale. Bien que les effets néfastes du changement climatique soient indexés comme étant une cause non négligeable qui contribue à obstruer les bons rendements agricoles, il s’est avéré que la faible utilisation des semences de qualités demeure un facteur limitant dans l’accroissement des rendements agricoles. -
Évaluation des systèmes d'alerte précoce sur la sécurité alimentaire au Niger
La "Sécurité alimentaire" (SA) est assurée quand toutes les personnes, en tout temps, ont économiquement, socialement et physiquement accès à une alimentation suffisante, sûre et nutritive qui satisfait leurs besoins nutritionnels et leurs préférences alimentaires pour leur permettre de mener une vie active et saine" (définition du SICIA V suite au Sommet mondial de l'alimentation). Le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS), qui comprend neuf (9) pays sahéliens dont le Niger, a pour mandat de "S'investir dans la recherche de la Sécurité alimentaire et dans la lutte contre les effets' de la sécheresse et de la désertification, pour un nouvel équilibre écologique au Sahel". -
Projet de plan de travail intérimaire : Juin - Décembre 2005
Initié par le Gouvernement du Niger, appuyé par ses partenaires au développement notamment le FIDA et l'AFD et s'intégrant dans la Stratégie nationale de lutte contre la pauvreté, le Programme de Développement des Services Financiers Ruraux a pour objectif
global d'améliorer le niveau de vie des populations rurales à travers le développement du secteur de la micro finance au Niger. -
Document sur la création de Haute Autorité de l'Agriculture de la CEN-SAD
La Communauté des États Sahélo Sahariens (CEN-SAD) a été créée le 4 février 1998 à Tripoli. Elle regroupe aujourd'hui 21 états membres
L'espace de la CEN-SAD, en dépit de quelques spécificités nationales, se caractérise par son déficit vivrier et le faible revenu de ses populations. La situation de l'agriculture et de la sécurité alimentaire des Etats membres de la CEN-SAD, à l'instar des autres Pays africains, est marquée par la faible performance des systèmes de production agricoles, le volume important des importations alimentaires, la fréquence élevée des catastrophes naturelles et des conflits. -
Évaluation de la convention de maitrise d’œuvre déléguée signée entre le MDA et l'ANPIP dans le cadre du projet PIP2
En dépit de la complexité du montage juridico-institutionnel dont elle est l'expression, et de son caractère novateur,des efforts considérables ont été fournis par les différentes parties prenantes dans l'exécution de la convention de maîtrise d'œuvre déléguée du PIP2. Ces efforts ont permis sur plusieurs points , la mise en œuvre de la convention dans les proportions prévues par ses dispositions et celles des autres documents pertinents qui la complètent. Des faiblesses ont cependant été mises en évidence. Elles se sont nourries des brèches offertes par des facteurs endogènes et exogènes. -
Le développement agricole et la sécurité alimentaire dans les pays membres de la CEN-SAD
Le présent document a été préparé en vue de la Réunion des Ministres de l'agriculture, des ressources en eau et de l'environnement de la Communauté, prévue du 5 au 7 mars 2005 à Bamako. Il vise à servir de base de discussion, dans la perspective d'une future politique agricole et alimentaire commune. L'analyse de la situation agricole et alimentaire des pays membres de la CEN-SAD permet de mettre en évidence que ces pays sont aujourd'hui soumis à des défis similaires: (i) ils sont, dans leur grande majorité, fortement dépendants de l'agriculture mais très soumis aux aléas climatiques; (ii) leur situation alimentaire et agricole a, pour beaucoup d'entre eux, tendance à se dégrader. -
Projet de Promotion des Exportations Agro~Pastorales (PPEAP) huitième mission de supervision
Cette mission fait suite à celle qui s'est déroulée du 10 au 20 Janvier 2005 au cours de laquelle a été établi un plan d'actions pour améliorer la performance du projet. Les objectifs de cette dernière mission avant la fin du projet sont: (i) d'évaluer la mise en œuvre de ce plan d'actions, (ii) d'analyser les résultats obtenus par le projet à date, (iii) d'établir un calendrier de préparation du rapport d'achèvement du projet; (iv) de prévoir les dispositions administratives et techniques à prendre avant la clôture du projet. -
Proposition de financement
Le projet s'inscrit dans le cadre de la stratégie de coopération Niger-DE du 9ème FED (2001-2007) adopté en mars 2002 qui définit deux secteurs de concentration, d'une part le développement rural et la sécurité alimentaire, et d'autre part le secteur des transports et communication. Le projet contribue directement à l'atteinte de l'objectif défini pour le développement rural et la sécurité alimentaire qui est de permettre à la petite production privée de tirer parti du potentiel de croissance qui existe dans le secteur rural, tout en réduisant la vulnérabilité des populations les plus pauvres. -
Note d'information n°1
Le Projet de Lutte d'Urgence contre le Criquet Pèlerin (PLUCP) a été mis en œuvre le 28 juillet 2005 et durera 4 quatre ans. Il est financé par la Banque Mondiale et le Niger pour un montant global de 12 820000 US $ dans le cadre de la lutte contre le criquet pèlerin et la recherche de l'atténuation des effets néfastes sur les populations. Il s'inscrit dans le cadre du projet africain de lutte contre le criquet pèlerin qui concerne 7 pays de la sous région (Niger, Mali, Sénégal, Burkina Faso, Mauritanie, Tchad et Gambi). -
Note sur la mission d'évaluation à mi-parcours du projet de promotion de l'irrigation privée (ANPIP2)
Il est prévu dans l'Accord de Crédit 3621 NIR annexe 3 section 11.2 qu'une revue à mi-parcours soit menée conjointement par la Banque Mondiale et le Gouvernement du Niger et l'Association Nigérienne pour la Promotion de l'Irrigation Privée (ANPIP) pour faire le point de la mise en œuvre du Projet. De manière plus spécifique elle a pour but: d'évaluer les résultats atteints du projet par rapport aux objectifs globaux de développement ; d'évaluer les résultats de suivi et évaluation des activités du projet; d'évaluer les résultats atteints par rapport aux indicateurs de performance tels que décrits dans l'annexe 5 à l'Accord de Crédit; d'élaborer un plan d'action pour améliorer la performance du projet au cours de la période restante. -
Réalisation du PSSA de 2003 à Aout 2005
L'objectif principal du PSSA est d'aider le Niger à améliorer sa sécurité alimentaire nationale grâce à une augmentation rapide de la productivité et de la production vivrière su r une base durable tant du point de vue économique et écologique. -
Après la famine au Niger...quelles actions de lutte et de recherche contre l'insécurité alimentaire au Sahel?
L’année 2005 a été marquée par les terribles images de la famine au Niger, qui faisaient écho à celles reçues en 1974 sur la famine dans le Sahel. En 2005 aussi, les médias ont rapporté les tentatives dramatiques de migrants fuyant le Sahel pour des raisons le plus souvent économiques et liées à la pauvreté. En 2004 déjà, des images nous montraient d’impressionnantes invasions de criquets pèlerins dévastant les cultures des paysans sahéliens, envahissant les routes et bloquant les aéroports. -
Lutte biologique contre la MEM
General objective: to determine the level of millet resistance varieties to millet head miner damage. For this purpose, 25 varieties of millet were tested to assess their behavior to the pest. The study was in Burkina Faso, Mali and Niger. He infestation varied from 10.20 to 86.98% with an average of51.37%. -
La formation continue des agriculteurs et agricultrices
Ce rapport présente les résultats de l’étude réalisée par l’Institut de Recherches et d’Applications des Méthodes de Développement(IRAM) pour le compte du Réseau international Formation Agricole et Rurale(RIFAR) : « La formation continue des agriculteurs et agricultrices - Éclairages sur les enjeux et nouvelles approches pour l’Afrique subsaharienne ». Le principal objectif de l’étude est de faire le point sur l’évolution de l’offre de formation continue destinée aux agriculteurs et agricultrices en Afrique subsaharienne au cours des quinze dernières années, tout en s’intéressant à des initiatives développées dans d’autres contextes. À travers l’analyse d’une diversité d’expériences, l’étude vise à identifier les éléments clés concourant à la qualité, au changement d’échelle et à la durabilité de l’offre de formation et sur lesquels les professionnels et responsables institutionnels de la formation agricole et rurale (FAR) devront porter une attention particulière dans le développement de futur(e)s politiques et dispositifs de formation continue. -
Catalogue National des Espèces et Variétés Végétales (CNEV)
En conformité au règlement du C/REG du 05/2008 portant harmonisation des règles régissant le contrôle de qualité, la certification et la commercialisation des semences végétales et plants dans l'espace CEDEAO, le Niger élabore et édite un catalogue National des Espèces et Variétés Végétales (CNEV). La présente édition de 2021 constitue la révision de la dernière édition de ce catalogue datant de 2012. Le catalogue présente des variétés mises au point et/ou introduites par les institutions de recherches agricoles nationales ou internationales et les entreprises semencières et validées par le Comité National des Semences (CNS). -
Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA)
Dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif du Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA) dans les régions d’intervention du PromAP1, l’approche « visite terrain » a été privilégiée, afin de permettre autant que possible l’adéquation des services fournis avec les réalités du terrain. Des visites terrains dans les départements de Say et de Balleyara (zones prisées par les promoteurs et représentant un pourcentage important des investissements de type agrobusiness, du fait de leur caractère propice à l’irrigation ainsi que de la proximité de la ville de Niamey) ont été réalisées par une équipe de la Chambre Régionale d’Agriculture de Tillabéri et du RECA. Ces visites ont pour but de mettre en lumière les expériences existantes au Niger en matière d’irrigation et de techniques de production innovantes. Elles sont centrées autour de promoteurs privés, en particulier ceux possédant un ou plusieurs systèmes techniques innovants au sein de leur exploitation : utilisation de serres « filet » ou en plastique, réseau d’irrigation goutte à goutte ou Hadari avec ou sans réservoir d’eau (château d’eau, bassin de stockage d’eau, ou réseau d’irrigation direct sans retenue d’eau), système californien adapté… -
Catalogue National des Espèces et Variétés Végétales (CNEV)
Le règlement C/REG. 05/2008 portant harmonisation des règles régissant le contrôle de qualité, la certification et la commercialisation des semences végétales et plants dans l'espace CEDEAO, adopté le 18 mai 2008 par les États membres de la CEDEAO, prévoit en son article 9 alinéa 3, que chaque État membre élabore et édite un Catalogue National des Espèces et Variétés Végétales (CNEV). Ce catalogue doit être périodiquement révisé et édité afin de prendre en compte les nouvelles variétés homologuées. -
Catalogue de l'offre de formation continue en petite irrigation
Ce catalogue regroupe les offres de formation continue en petite irrigation des institutions de formation agricole et para-agricole intervenant dans la région. Les offres de formation présentées dans ce catalogue s’appuient sur des modules issus d’un processus rigoureux d’élaboration,incluant des ajustements successifs aux besoins des acteurs en situation professionnelle, notamment à travers des formations-test. Ces modules ont été validés au niveau national par le Comité Technique de Renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (CTRCA-PI). Ils font référence au niveau ministériel pour la formation des acteurs. Ils ont été développés dans le cadre du Plan Stratégique de Renforcement des Capacités des Acteurs de la Petite Irrigation 2014-2024 (PSRCAPI), dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SPIN). Cette stratégie, qui constitue le cadre d’harmonisation des approches, des mécanismes de financement et des synergies dans le domaine de la petite irrigation, met au-devant l’exploitant agricole. Celui-ci doit être accompagné par tous les acteurs, en particulier les prestataires publics et privés, dont les capacités doivent alors être nécessairement renforcées. -
Faire rayonner les efforts de la filière lait au Niger : Actualités et découvertes
Il y a de cela 5 ans, le lait local n’avait sa place dans les rayons des boutiques et super marché, du moins pas comme aujourd’hui. Mais avec les efforts des uns et des autres, aujourd’hui les produits laitiers locaux ont fière allure partout à Niamey et n’ont rien à envier aux autres produits importés si ce n’est le manque de marketing. Preuve que la demande est réelle surtout avec l’émergence d’une classe moyenne qui prend conscience de la qualité et du caractère naturel que revêt le lait local. L’Etat du Niger a vite compris l’enjeu et les autorités actuelles font de la filière lait, un levier de développement économique, pourvoyeur d’emploi. C’est dans le même ordre d’idées que le Niger dont 87% de la population vit de l’élevage, participe activement à l’opérationnalisation de l’offensive lait de la CEDEAO. Le beau jour viendra où les 20 milliards de Fcfa que perd le Niger chaque année dans la consommation du lait importé rentreront dans les caisses nationales et financeront les programmes structurants pour le bien-être collectif. -
Une coopérative de production sur un site irrigué communautaire qui marche bien
Dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif du Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA) dans les régions d’intervention du PromAP, l’approche « visite terrain » a été privilégiée, afin de permettre l’adéquation des services fournis avec les réalités du terrain. Des visites ont réalisé dans la région de Dosso pour élargir les références sur des exploitations / fermes souvent qualifiées de « type agrobusiness » qui ne sont pas des exploitations agricoles familiales classiques.Ces exploitations se caractérisent, en général, par des investissements importants en équipement et matériel et sont dirigées par des personnes ayant ou ayant eu une autre activité que l’activité agricole. Ces visites ont pour but de mettre en lumière les expériences existantes au Niger en matière d’irrigation et de techniques de production innovantes, mais également les besoins pouvant être exprimés par ces exploitants afin de mieux cerner leurs attentes. -
Note sur les visites des fermes / exploitations agricoles Investissement réduit, main d’œuvre locale et cultures pluviales
Dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif du Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA) dans les régions d’intervention du PromAP, l’approche « visite terrain » a été privilégiée, afin de permettre l’adéquation des services fournis avec les réalités du terrain. Des visites ont réalisé dans la région de Dosso pour élargir les références sur des exploitations / fermes souvent qualifiées de « type agrobusiness » qui ne sont pas des exploitations agricoles familiales classiques. Ces exploitations se caractérisent, en général, par des investissements importants en équipement et matériel et sont dirigées par des personnes ayant ou ayant eu une autre activité que l’activité agricole. -
Visite de la ferme d’un promoteur à Balleyara : Particularité du site arboriculture et aliment bétail
Dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif du Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA) dans les régions d’intervention du PromAP, l’approche « visite terrain » a été privilégiée, afin de permettre l’adéquation des services fournis avec les réalités du terrain. Des visites sont réalisées dans les départements de Say et de Ballayara (zones prisées par les promoteurs et représentant un pourcentage important des investissements de type agrobusiness, par une équipe de la Chambre Régionale d’Agriculture de Tillabéri et du RECA, composée de responsables du conseil agricole, du Centre d’Appels, et du chargé du CIAPA. Ces visites ont pour but de mettre en lumière les expériences existantes au Niger en matière d’irrigation et de techniques de production innovantes, mais également les besoins pouvant être exprimés par les producteurs afin de mieux cerner leurs attentes. Les visites ont été centrées autour des promoteurs possédant un ou plusieurs systèmes techniques innovants au sein de leur exploitation : utilisation de serres, réseau d’irrigation goutte à goutte ou Hadari avec ou sans réservoir d’eau (château d’eau, bassin de stockage d’eau, ou réseau d’irrigation direct sans retenue d’eau), système californien adapté… -
La jeunesse du Niger : la migration, un outil à double tranchant pour l'insertion
Pour les jeunes nigériens, la migration est une stratégie de subsistance importante pouvant aider les ménages à sortir de la pauvreté. Mais ces sorties se heurtent à des obstacles dont il faut tenir compte dans l'élaboration des politiques en faveur des jeunes. -
L'inclusion de la jeunesse dans les marchés du travail au Niger: Moyens de subsistance et dynamiques de genre
Dans le présent article, nous combinons des méthodes mixtes visant à identifier les facteurs remettant en question et permettant l’inclusion des jeunes adultes dans le monde du travail au Niger. Pour ce faire, nous avons opté pour une analyse de genre portant sur différents parcours dans un contexte de pauvreté et sur l’impact de la formation, de l’éducation et de la migration. Nous constatons une forte prévalence de l’autoentreprenariat informel dans les contextes ruraux et urbains des régions de Tahoua et de Zinder, caractérisées par une faible sécurité des revenus, des professions genrées et la dépendance aux ressources comme échappatoire à la pauvreté. Les frais de scolarité élevés sont un des obstacles à l’inclusion professionnelle. Ils réduisent considérablement les perspectives d’emploi, en particulier chez les plus démunis. Les individus scolarisés témoignent de l’absence d’offres stables ou de contrats de service public, et s’engagent plutôt dans la prestation de services informels. -
Analyse des conflits liés à la transhumance dans la région de Diffa
Située dans la partie orientale de la République du Niger, la région de Diffa est constituée d’une très vaste étendue semi-aride dont les potentialités sont valorisées en majeure partie par des systèmes agraires composites qui coexistent dans l’espace. Pendant longtemps, le fonctionnement de ces systèmes a reposé sur la valorisation de la complémentarité entre les zones pastorales, agropastorales et agricoles. L’abondance relative des ressources pastorales, qui permettait d’assurer correctement l’alimentation du bétail dans les années 1960, a fait place, au cours de la période récente, à des campagnes pastorales de plus en plus aléatoires. Actuellement, on constate un accroissement de la vulnérabilité des systèmes d’élevage pastoral qui résulte des effets combinés de deux facteurs principaux, à savoir: (i) le grignotage des terres des parcours, qui sont progressivement annexées par les champs; et (ii) le surpâturage qui entraîne une régression de la diversité floristique et un appauvrissement des pâturages. Par conséquent, les équilibres anciens entre les activités agricoles et pastorales sont bouleversés par de nouvelles concurrences pour l’accès aux ressources naturelles qui s’expriment de manière accrue entre les agriculteurs et les éleveurs, mais aussi entre les éleveurs autochtones et les pasteurs transhumants.
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Situation de référence des producteurs suivis dans le dispositif du Conseil de Gestion aux Exploitations Familiales (CGEF) pendant la campagne 2020-2021
Au cours de la campagne maraîchère 2020-2021, la CRA de Maradi a mis en place un dispositif de Conseil de Gestion avec 6 OP et un prestataire privé avec les quels des conventions de partenariat « dites d’objectif » sont signées. Il s’agit des structures suivantes : FCMN Niya, ANFO, FUMA Gaskiya, AYI NOMA, Union de Coopérative de Djirataou, Union de Goudjia et GSC Alhéri. Au total, 32 sites ont été identifiés pour conduire le CGEF au niveau de la région de Maradi. Avec un échantillon de 15 producteurs pour un animateur endogène à suivre par site, le dispositif CGEF a sélectionné 480 producteurs volontaires pour le suivi et la collecte des informations relatives aux exploitations suivies. -
Qu'est ce que l'agriculture biologique?
En tant qu’agricultrice ou agriculteur en Afrique, vous pouvez faire face à certains défis, par exemple la perte de terres arables, une fertilité diminuée des sols, une sécheresse fréquente et une augmentation des frais de semences, d’engrais, de pesticides ou de médicaments vétérinaires. De tels défis mènent généralement à des difficultés récurrentes lorsqu’il s’agit de produire suffisamment pour nourrir la famille et la communauté. Il est donc important d’établir des méthodes agricoles à bas coûts qui respectent l’environnement et vous permettent d’affronter les problèmes urgents de sécurité alimentaire. -
Manuel de formation en agriculture biologique pour l’Afrique
Plus de 60 pour cent de la population d’Afrique subsaharienne vit en zone rurale et dépend de l’agriculture comme source principale de revenus. La dominance de l’agriculture dans les économies africaines fait de ses performances un facteur majeur du développement économique sur ce continent. Malgré de vastes terres arables qui pourraient nourrir les Africains et produire des surplus pour l’exportation, la sous-alimentation et la famine y sont très répandues et continuent même d’augmenter. Aujourd’hui, l’Afrique est un importateur net de nourriture et son déficit de la balance du commerce agro-alimentaire est également grandissant. La basse productivité du travail agricole et des terres est une indication claire du potentiel inexploité des fermes africaines. -
Comment gérer au mieux la fertilité de mes sols?
Un sol peut être vivant ou mort. Un sol vivant nécessite en permanence suffisamment d’air, d’eau et de matière organique pour offrir aux plantes et aux organismes du sol un bon environnement de croissance. Si on lui fournit ces éléments, même un sol mort peut réussir à revivre. -
Comment préserver les nutriments du sol et l'eau?
Pour bien se développer, les plantes et les animaux ont besoin d’eau disponible à tout moment. Le manque d’eau réduit la capacité du sol à fournir des nutriments aux plantes, aussi fertile soit il. -
Comment augmenter la teneur en matière organique du sol ?
La matière organique du sol est essentielle, car elle permet au sol de retenir l’eau et les nutriments et fournit ces derniers aux plantes quand elles en ont besoin.
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Comment compléter les besoins en nutriments de mes cultures?
Les engrais peuvent être utiles pour répondre aux besoins en nutriments à court terme des cultures et stimuler la croissance des plantes, mais ils doivent être utilisés en dernier recours. -
Gestion de la fertilité des sols
La durabilité à long terme de l’agriculture suscite de plus en plus de préoccupations. Des terres fertiles et de l’eau en quantité suffisante sont indispensables pour maintenir l’agriculture et assurer les moyens d’existence. Toutefois, en Afrique, la productivité a diminué en raison de l’intensification de l’agriculture qui dégrade les terres. Les causes majeures de la dégradation des terres sont les pratiques agricoles non durables telles que l’agriculture sur les pentes raides sans prendre de mesures suffisantes de conservation du sol et de l’eau, la monoculture, le travail excessif du sol, l’abandon de la jachère sans réapprovisionner le sol en nutriments, la culture sur brûlis, la conversion des forêts, des bois et des brousses en zones agricoles permanentes ou leur exploitation excessive en bois de chauffe et de construction, le surpâturage des prairies et le manque de gestion de la matière organique des sols. -
Comment gérer les mauvaises herbes?
Les mauvaises herbes peuvent jouer un rôle crucial dans l’écosystème de la ferme. Mieux vous connaissez leurs caractéristiques, plus elles peuvent contribuer à la réussite de l’exploitation sans devenir nuisibles.
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Comment gérer les ravageurs des stocks de grains?
Une partie considérable des grains est perdue après la récolte en raison d’une mauvaise gestion et de mauvaises pratiques de stockage, qui exposent les grains stockés aux insectes nuisibles et aux maladies. -
Gestion des adventices dans les champs bio
Les adventices sont des mauvaises herbes qui empêchent les cultures de se développer. Cette affiche propose des pratiques simple pour les éliminer et les réutiliser à des fins de composte. -
Influences environnementales sur la santé des plantes
L'agriculture et l'environnement ne font qu'un. Cependant, toutes les terres ne sont pas bonnes pour développer une activité culturale. Il est important de choisir un endroit naturel et sain pour permettre aux planter de mieux pousser. -
Comment élever au mieux mes animaux?
La détention des animaux de ferme de toutes espèces en leur
donnant de bonnes conditions de vie favorise leur bien-être et
leur santé sans recours aux traitement chimiques. -
Élevage
L’élevage animal bio implique que les animaux soient détenus de manière naturelle et favorisant leur bien-être de même que leur santé. Cela ne signifie pas que les animaux doivent être détenus dans un environnement entièrement naturel, mais qu’il faut leur offrir la possibilité d’exprimer des comportements et un mode de vie naturels. Chaque espèce animale possède des organes spécialisés qui leur donnent des capacités fonctionnelles et des caractéristiques spécifiques ainsi qu’un mode de vie particulier. Ces différences sont intrinsèques, immuables, et il convient de les respecter. -
Production animale et cycle des éléments nutritifs
L’élevage animal bio implique que les animaux soient détenus de manière naturelle et favorisant leur bien-être de même que leur santé. Cela ne signifie pas que les animaux doivent être détenus dans un environnement entièrement naturel, mais qu’il faut leur offrir la possibilité d’exprimer des comportements et un mode de vie naturels. Chaque espèce animale possède des organes spécialisés qui leur donnent des capacités fonctionnelles et des caractéristiques spécifiques ainsi qu’un mode de vie particulier. -
Comment gérer ma ferme biologique?
La gestion d’une exploitation biologique poursuit le même objectif sous-jacent que toute autre entreprise : elle vise à améliorer les bénéfices de l’agricultrice ou de l’agriculteur et à l’aider à surmonter les principales difficultés. -
Gestion d'une ferme biologique
La gestion d’une ferme biologique poursuit le même objectif sous-jacent que toute autre entreprise : elle vise à augmenter les bénéfices pour l’agriculteur/ agricultrice ou le groupe d’agriculteurs. Cela se fait généralement en suivant deux approches. Premièrement, les agricultrices et agriculteurs biologiques se concentrent sur la réduction des dépenses en optimisant l’utilisation des ressources propres de la ferme. -
Défis typiques de la gestion d’une ferme
La ferme biologique renferme beaucoup pour les paysans. Dans un premier temps, elle leurs procure des revenus financières et permet aussi d'accroitre la valeur des produits agricoles. -
Comment procéder pour vendre des produits biologiques?
Le marketing a pour but d’augmenter les ventes et les revenus d’une
entreprise agricole tout en créant de la valeur pour vos produits. -
Comment prouver que ma production est biologique?
La certification biologique est un outil de marketing. Elle garantit
que tous les membres de la chaîne d’approvisionnement adhèrent aux réglementations bio. Elle instaure la confiance chez le consommateur et protège des fraudes. -
Marketing et marchés
Le marketing est un outil de gestion de toute entreprise visant à augmenter les ventes et les revenus. Le marketing commence par choisir quoi produire en fonction des besoins du marché. Le marché, dans ce contexte, se réfère aux personnes ou aux organisations qui demandent que les produits leur soit fournis pour consommation, revente ou transformation. La connaissance du ou des marchés cibles est un facteur extrêmement important, déterminant pour le succès d’une opération de marketing. -
Autarcie versus agriculture de marché
Le marketing est un moyen pour les agriculteurs de donner de la valeur à leurs produits unique, rendre accessible les produits aux clients et comprendre les opportunités et exigences du marché. -
Évaluation du potentiel en terre irrigable au Niger : Rapport de synthèse générale
Le secteur agricole est fortement dépendant de la pluie, mais du fait de son insuffisance et de sa mauvaise répartition dans le temps et dans l’espace, le Niger enregistre fréquemment d’importants déficits dans la production agro-pastorale, et le pays se trouve confronté à une insécurité alimentaire chronique. -
Diagnostic des besoins en renforcement des institutions de formation en petite irrigation dans les régions d’Agadez, Tahoua et Tillabéri.
Cette étude a été réalisée par le programme de Promotion de l’Agriculture Productive (PromAP) dans le but d’identifier les besoins en renforcement des institutions de formation susceptible d’être mobilisées pour la formation des conseillers agricoles et prestataires de métiers connexes dans le domaine de la petite irrigation. Elle repose sur une enquête de terrain auprès des institutions de formation agricole dans le champ de la PI, menée dans les 3 régions d’intervention du PromAP : Agadez, Tillabéri, Tahoua. Les enquêtes ont été conduites entre mai 2019 et octobre 2019. -
Étude sur l'état de mise en œuvre de la stratégie de petite irrigation au Niger
La Stratégie de la Petite Irrigation au Niger ambitionne de développer les productions sous irrigation et de contribuer ainsi à lutter contre l’insécurité alimentaire et la pauvreté. Elle constitue ainsi le cadre unique d’harmonisation et de programmation du sous-secteur de la petite irrigation en regroupant toutes les actions de réponse aux expressions de demande du renforcement de l’appareil productif des producteurs et permettant de fait i) de contribuer à la gestion durable des ressources en terres et en eau, ii) d’appuyer les producteurs à mettre en valeur de manière optimale les terres irrigables et iii) de faciliter l’accès aux marchés des produits issus de la petite irrigation. -
Partenariat entre organisations de producteurs et entreprises : leçons à tirer d'expériences récentes en Afrique de l'Ouest et de l'Est
Les partenariats entre organisations de producteurs (OP) et entreprises sont promus comme un modèle de structuration des filières pour intégrer plus équitablement et durablement les petits producteurs et productrices. Différents modèles de partenariat entre OP et entreprises de l’aval (transformation agro-alimentaire et commercialisation) sont actuellement expérimentés en Afrique de l’Ouest et de l’Est: contrat d’achat ou de fourniture d’intrants; systèmes d’agriculture contractuelle plus ou moins intégrés; co-entreprises où l’OP et l’entreprise prennent des parts au capital. Ces partenariats présentent de fortes opportunités, en particulier pour les petits producteurs et productrices et leurs organisations. Mais ils présentent aussi des risques et les cas d’échec sont encore fréquents. Les enseignements tirés de la capitalisation de 4 expériences récentes (Bénin, Burkina Faso, Sénégal et Kenya) peuvent apporter des éléments de réflexion pour améliorer la conception et la mise en œuvre de partenariats véritablement «gagnant-gagnant» entre OP et entreprises. -
Technologies agricoles climato-intelligentes pour le Sahel et la Corne de l'Afrique de l'Afrique
Ce catalogue décrit une série de solutions agricoles pour les zones arides du Sahel et de la Corne de l'Afrique, utiles pour l'adaptation au changement climatique et l'atténuation de ses effets. Il est basé sur les interventions du programme Technologies pour la transformation de l'Agriculture en Afrique (TAAT). Ce programme, dirigé par l'Institut International d'Agriculture Tropicale (IITA),est à l'origine de nouvelles approches pour le déploiement de technologies éprouvées auprès des agriculteurs africains. TAAT est né d'un effort commun de l'IITA et de la Banque Africaine de Développement (BAD) et constitue un élément important de la stratégie « Nourrir l'Afrique » de cette dernière. TAAT fait actuellement progresser plus de 76 technologies à travers 88
interventions dans 28 pays, dont neuf pays de la zone agro-écologique sahélienne: Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Soudan du Sud, Tchad et Éthiopie. -
Rapport régional sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle
La disponibilité alimentaire est relativement satisfaisante, en raison des conditions agroclimatiques favorables, à l’issue de la campagne agro-pastorale 2020-2021. Il est ressorti en général que les productions agricoles et pastorales sont en hausse comparées à la moyenne quinquennale. Par contre, les conséquences de la pandémie de la COVID-19 et le ralentissement des demandes locales, régionale et internationale ont conduit à des baisses importantes de certaines productions de culture de rente, comme le Coton et le Cacao, entraînant ainsi une baisse de revenus tirés de ces cultures et une dégradation des moyens d’existence et des conditions de sécurité alimentaire de certaines populations.
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Économie des ressources naturelles
Chacun d’entre nous peut donner des exemples de ressources naturelles, comme le pétrole, le charbon, le bois, les fruits sauvages…, si bien qu’il ne semble guère nécessaire d’en dire davantage, tellement l’expression paraît parler d’elle-même. « Ressource » renvoie à quelque chose d’utile à l’homme et « naturelle » au milieu dont elle provient, milieu qui est lui même déjà donné et extérieur à l’activité humaine. Nous allons montrer que le concept économique de « ressource naturelle » demande à être mieux précisé. Ceci nous conduira à faire une distinction fondamentale entre deux types de ressources naturelles : les ressources épuisables et les ressources renouvelables. -
Rural livelihoods and poverty reduction policies
This book arises from rural livelihoods research conducted in eastern and southern Africa in the period 2000 to 2003. The central theme of the book is the connection that needs to be made between patterns of rural livelihoods as they actually occur and the Poverty Reduction Strategy Papers (PRSPs) that are the centrepiece of government-donor efforts to reduce the incidence of absolute poverty in low income countries. It might be thought that this connection is obvious and hardly requires further elaboration, particularly given the efforts that are made to inform PRSPs by consultative exercises with civil society organisations and participatory poverty assessments. However, such a presumption would be seriously wide of the mark. The reality is that despite their stated intentions to be innovative and cross-cutting documents, most PRSPs end up looking rather like sectoral expenditure plans, even a bit like those monolithic national development plans that were so popular three or more decades ago. Meanwhile, livelihoods are not like that at all; they are multiple, diverse, adaptive, flexible and crosssectoral. Evidence provided in the chapters of this book suggests a serious mismatch between macro level poverty reduction strategies and the realities of micro level livelihoods. -
État des lieux de la prise en compte des transitions agroécologiques dans la fourniture des services de conseil Agricole au Niger (Synthèse)
L’agroécologie, sous forme de pratiques ou de systèmes, est belle et bien présente au Niger bien qu’elle soit trop peu soutenue par les politiques Agricoles qui préfèrent parler « d’agriculture durable » et « d’agriculture intelligente face au climat ». En particulier le Niger dispose d’une longue expérience en matière de gestion durable des terres, de pastoralisme et de sécurisation des systèmes pastoraux. Il existe également d’autres expériences d’agroécologie plus ponctuelles conduites par les femmes de CERNAFA (Djoga), par quelques OPA/OPEL, par des ONG, par des entrepreneurs sociaux, etc. Pourtant des transitions agroécologiques sont nécessaires au Niger, mais complexes à mettre en œuvre. Certaines sont même nécessaires de façon urgente pour sortir des impasses techniques dans lesquelles les systèmes intensifs en intrants sont enfermés ou pour résoudre
les crises agraires des systèmes pluviaux et pastoraux. -
État des lieux de la prise en compte des transitions agroécologiques dans la fourniture des services de conseil agricole (Rapport)
Différents travaux/études ont déjà été conduits au Niger sur des questions d’agroécologie (la plus récente étant une étude FAO de 2019). Différents travaux et études ont également été conduits sur le Conseil Agricole au Niger, en particulier dans le cadre de l’I3N et de la relance du Conseil Agricole depuis 2016 (et même avant dans le cadre de la SDR). En revanche cette étude sur la prise en compte des transitions agroécologiques dans la fourniture des services de conseil agricole est une première. Elle a été réalisée dans le cadre du projet ACOTAF simultanément dans cinq pays : le Niger, le Bénin, Burkina Faso, la Côte d’Ivoire et la Guinée. S’agissant d’une première elle est forcément non-exhaustive, mais apporte des éclairages sur les questions suivantes : Où en est l’agroécologie aujourd’hui au Niger ? Quels sont les besoins de transitions agroécologiques selon les filières et territoires ? Où en est le Conseil Agricole aujourd’hui au Niger ?
Comment accompagne-t-il ces transitions agroécologiques ? Par ailleurs l’étude avait aussi une vocation méthodologique de développer des outils d’analyses. -
Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA)
Dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif du Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA) dans les régions d’intervention du PromAP1(Régions d’Agadez, Tahoua et Tillabéri), l’approche « visite terrain » a été privilégiée, afin de permettre l’adéquation des services fournis avec les réalités du terrain. Des visites sont réalisées dans la région de Dosso pour élargir les références sur des exploitations / fermes souvent qualifiées de « type agrobusiness » qui ne sont pas des exploitations agricoles familiales classiques. Ces exploitations se caractérisent, en général, par des investissements importants en équipement et matériel et sont dirigées par des personnes ayant ou ayant eu une autre activité que l’activité agricole. Ces visites ont pour but de mettre en lumière les expériences existantes au Niger en matière d’irrigation et de techniques de production innovantes, mais également les besoins pouvant être exprimés par ces exploitants afin de mieux cerner leurs attentes. -
Comprendre le cadre existant : quelles ouvertures pour cultiver la biodiversité ?
L’approche de gestion dynamique de la biodiversité cultivée pratiquée avec les semences paysannes est globale. Les étapes de conservation, de sélection et d’utilisation de la semence sont menées conjointement dans les fermes et les jardins par des paysan·ne·s, des jardinier·ère·s et des artisan·e·s semencier·ère·s qui travaillent en réseau.Les différents cadres réglementaires actuels (commercialisation, droits de propriété, normes sanitaires, biosécurité...) ont été pensés pour le développement d’une filière industrielle après la seconde guerre mondiale. Ils ne sont pas adaptés à cette approche dynamique et décentralisée dans
les fermes et les jardins. On constate que les différentes règles en place ne favorisent pas la diversité des pratiques nécessaire au maintien durable de la biodiversité cultivée. -
Évolution du prix de gros de la tomate sur la période 2018 à 2021 sur le marché de Niamey (Djémadjé)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015. Les informations présentées dans cette note concernent les quatre dernières années (2018-2021). Les prix sont fournis par des « informateurs » qui sont des professionnels de la commercialisation des produits maraîchers, des grossistes ou des collecteurs. Le prix relevé est un prix de vente en gros sur les marchés de Niamey. C’est donc le prix d’achat au producteur + le transport + la marge du collecteur plus la marge du grossiste. -
Bulletin de surveillance pastorale sur le Niger
Le programme des sites sentinelles de surveillance pastorale, est mis en œuvre par Action Contre la Faim, en collaboration avec la Direction du Développement Pastoral (DDP) du Niger. Un dispositif désormais composé de 25 sites sentinelles est mis en place. Ces sites sont répartis dans les régions de Agadez (2 sites), Diffa (4 sites), Maradi (4 sites), Tahoua (8 sites), Tillabéry (3 sites), Zinder (4 sites). Au niveau de chaque site, un relai assure la collecte et fait remonter des informations relatives aux ressources pastorales. Les relais sont choisis parmi les agents du service d’élevage. La collecte des informations est faite à une fréquence hebdomadaire et en temps réel. Les relais collectent les informations avec des téléphones cellulaires (Smartphones), utilisés à la fois comme canal d’envoi et de réception. Le service Telerivet permet d’assurer la gestion des questionnaires et des réponses ainsi que l´envoi des messages. Les données résultantes sont disponibles au format de fichier .csv sur demande. -
Une femme transformatrice au parcours exemplaire
Au Niger, la transformation de produits locaux est une activité dominée par des femmes et Niamey est le plus grand centre de commercialisation des produits transformés. Les céréales représentent la base des produits les plus transformés. L’histoire de Madame Keffi Fatoumata est originale. Elle est l’une des femmes transformatrices de produits céréaliers. Elle est la promotrice de l’unité de transformation (entreprise de transformation des produits céréaliers) FANTA HOUSE. Après avoir travaillé dans une pâtisserie de la place, dans une banque et une institution de micro finance, notre promotrice, dans la crainte de perdre régulièrement son emploi, décide de se lancer dans ses propres affaires. -
Plan de soutien aux populations vulnérables du Niger
Le Plan de soutien est l’outil principal du Gouvernement du Niger et de ses partenaires pour la planification, la programmation et le suivi des interventions en réponse aux besoins des populations dans les domaines de la sécurité alimentaire, de la nutrition, et du pastoralisme.
Cadre de référence du domaine, il est utilisé pour faciliter le plaidoyer et la mobilisation des ressources nécessaires tout en précisant les normes techniques d’intervention à retenir dans la mise en œuvre des interventions. Il est considéré comme le principal outil permettant la prise de décision du Gouvernement dans des situations de crises exceptionnelles comme celle vécue en 2020 suite à la pandémie de la COVID19. Ses normes techniques qui ont pour objectif d’harmoniser les pratiques d’interventions de tous les acteurs ont été révisées et retenues dans le cadre de l’exercice de la « Revue des Outils d’intervention du Dispositif » avec la formulation de lignes directrices par opération devant faire évoluer, dans le contexte changeant de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, l’architecture et le contenu de chacune d’entre elles. -
Faidherbia albida (Delile) Effets du dépérissement des arbres sur la production végétale dans les parcs agroforestiers du sud-ouest du Niger
Faidherbia albida est une espèce d'arbre agroforestier jouant un rôle agroécologique et socioéconomique important dans les zones arides et semi-arides d'Afrique. Pendant de nombreuses années, les stress anthropiques et abiotiques ont été considérés comme les principales menaces pour l'espèce dans les parcs agroforestiers d'Afrique de l'Ouest. Un dépérissement considérable s'est récemment produit dans les arbres F. albida des parcs agroforestiers du centre-sud-ouest du Niger, et les causes sont inconnues. Les objectifs de cette étude sont (i) d'étudier l'ampleur du dépérissement des arbres F. albida et (ii) d'évaluer les perceptions des communautés locales sur les effets du dépérissement de F. albida sur la production agricole. L'état de santé et la phénologie de 213 F. albida ont été observés dans la zone où se produit le dépérissement. De même, un échantillon de 144 personnes, dont 86% d'agriculteurs, a été interrogé. L'incidence du dépérissement des arbres F. albida était de 19%, avec une mortalité de 6%. Les arbres de grand diamètre ont un dépérissement plus important que les arbres de petit diamètre. Les parties les plus touchées de l'arbre étaient les branches à 54% et les troncs à 39%. -
Un fonctionnaire qui prépare sa retraite en investissant dans l’agriculture
Installé il y a de cela 5 ans, le jardin Kallon Mota « Ataymatchi Al Oumma » est l'œuvre d’un fonctionnaire. Le jardin est situé à 15 km de Doutchi sur la route goudronnée allant vers Dosso, non loin de la Commune de Kiéché. Il couvre une superficie de 3,5 ha, clôturée en matériaux définitifs. Le jardin est placé sous la responsabilité de son frère (un agriculteur traditionnel) assisté par deux employés permanents (ouvriers sans formation spécifique), résidant sur le site, et deux employés semi-permanents. En dépit de la présence des cultures commercialisables comme le moringa, le manioc, la tomate, le poivron, le piment, la pomme de terre, le jardin continue à être financé exclusivement par le « Propriétaire Entrepreneur » pour les dépenses liées aux salaires des employés, à l’achat des intrants (semences/plants, coque d’arachide, fumier, etc.). -
Note sur les visites des fermes / exploitation agricoles Visite de la ferme semi-moderne (route Say)
Située sur la route de Say, cette ferme créée il y a 4 ans appartient à une personne passionnée par l’agriculture et l’élevage depuis son plus jeune âge. Il a réalisé cette activité en vue d’une future rentabilité financière pour sa retraite. D’une superficie de 7 ha, deux employés permanents y travaillent, chacun avec des blocs de cultures à sa charge. Depuis le démarrage des activités, la ferme est divisée en plusieurs parties. -
Les douze (12) points clés de l'étude sur la formation des agriculteurs et agricultrices
L’étude IRAM/Réseau FAR, diffusée en juillet 2021, analyse l’évolution de l’offre de formation continue destinée aux agriculteurs et agricultrices en Afrique subsaharienne au cours des quinze dernières années. -
Systèmes alimentaires : Quelles contributions apportent les partenariats entre producteur·rice·s et entreprises ?
En Afrique sub-saharienne, les systèmes alimentaires sont très diversifiés que ce soit au niveau de la production, de la transformation ou de la distribution. Malgré l’augmentation de l’importation de certains produits, ils assurent l’essentiel de la demande intérieure et constituent une des premières sources d’emplois et de revenus pour une grande partie de la population. Quelles en sont les spécificités ? À quelles conditions peuvent-ils contribuer à un développement plus équitable et plus durable ?
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Plan d’actions participatif pour une gestion inclusive des parcs à karité dans les communes de Bougnounou et Nébiélianayou
En Afrique subsaharienne, les ressources naturelles (RN) contribuent énormément à l’économie, notamment domestique. Elles « constituent un élément central des moyens de subsistance des populations rurales ». Pendant longtemps, l’utilisation des RN par les populations rurales au Burkina Faso a été influencée par des modes de gestion traditionnels, soumis aux normes et coutumes locales. A côté de cette forme motivée essentiellement par la satisfaction des besoins de sécurité alimentaire et nutritionnelle, on note une autre forme de gestion par l’État, à travers ses services techniques qui ont pour mandat de réguler l’exploitation des RN et d’en assurer leur durabilité notamment lorsqu’il s’agit des besoins d’utilisation commerciale. -
L’impact de la crise du Covid-19 sur les communautés pastorales
Une vulnérabilité aggravée dans un contexte de crises multiples
Dans le souci d’endiguer la pandémie, les gouvernements de la plupart des pays de la région ont adopté des plans de riposte. Bien qu’étant justifiées par des impératifs sanitaires, les mesures publiques de confinement total ou partiel, ainsi que les décisions de restriction des déplacements et de fermetures des marchés ont entraîné des impacts socio-économiques importants qui ont affecté les conditions de vies des communautés pastorales et agropastorales, ainsi que les activités d’élevage.