Recherche
7 items
-
Contribution de la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-niya) au renforcement des capacités des producteurs maraîchers de l’arrondissement communal Niamey 5
Ce travail est consacré à la problématique de renforcement des capacités des producteurs maraîchers dans un contexte d’usage concurrentiel du foncier entre activité maraîchère et habitation. Dans cette situation où la dynamique foncière se développe en défaveur du maraichage urbain, la FCMN-Niya mène des actions en collaboration avec ses partenaires techniques et financiers (appui-conseil de proximité, accès aux intrants) pour la sauvegarde et le développement du maraichage. Pour montrer l’usage concurrentiel du foncier qui caractérise le maraichage urbain ainsi que le rôle de la FCMN-Niya dans le développement des activités maraîchères. -
Analyse du prix au poids vif de bovins de l'opération vente au poids : cas de marché à bétail pilote de Gothèye (Tillabéri) au Niger
L'étude sur l'analyse de la vente au poids de bovin : cas de marché à bétail pilote de Gothèye Tillabéri au Niger a pour objectif de déterminer et d'analyser le référentiel de prix de kg de poids vif de l’espèce bovine sous l'influence de certains facteurs -
Élaboration du schéma d’aménagement des cuvettes et terrasse de Tanda Koullou et étude APS/APD/EIES/DAO d’aménagement hydroagricole de 150 HA dans la cuvette de Koullou région de Dosso
Le Niger est un pays à vocation essentiellement agro-sylvo-pastorale. Ainsi, le secteur
primaire représente la principale source d’activité économique du pays, ils occupent plus de
80 % de la population active. La contribution du secteur primaire à l’économie nationale est
estimée1 en moyenne à 42,30% du PIB en 2014. Sur la période 2011-2015, les valeurs
ajoutées de ces secteurs ont progressé2 en moyenne de 11,9% pour l’agriculture, 3,60% pour
l’élevage, 2,90% pour le secteur forestier et 3,10% pour la pêche. Cette prééminence du
secteur rural résulte de son importance dans l’économie nationale. Selon les données de la
Banque Mondiale, en 2012, sur les 17 millions d’habitants que compte le pays, 83 % sont des
ruraux, avec comme activités principales l’agriculture, l’élevage et l’exploitation des forêts -
Fonctionnement de la filière mangue dans la communauté urbaine de Niamey
La communauté urbaine de Niamey est une localité implantée dans la vallée du fleuve Niger. Les potentialités qu’offre ce type de milieu ont favorisé le développement de la filière mangue. Mais celle-ci reste moins intéressée par les chercheurs. C’est ce qui a motivé le présent travail de recherche qui se veut une contribution à l’analyse du fonctionnement de la filière mangue dans la communauté urbaine de Niamey. La réalisation de ce travail suppose étudier quelques segments de la filière mangue à Niamey à savoir : la production, la commercialisation, la transformation et consommation qui sont autant des variables qu’on peut utiliser pour analyser une filière. La méthodologie adoptée est basée sur la recherche documentaire et les travaux du terrain. Les enquêtes (questionnaires et entretiens) constituent l’essentiel de ces travaux de terrain. Le traitement et l’analyse des données collectées ont permis d’avoir des résultats portant sur le nombre d’hectares implantés des manguiers et le nombre des manguiers productifs. Elles rapportent aussi des informations non seulement sur la quantité des fruits mangues qu’on peut récolter au niveau des vergers de Niamey par année, mais aussi de la quantité importée pour satisfaire les besoins des populations urbaines. Cela a donné également une idée de prix aux consommateurs surtout par unité de mesure exprimée en kg. L’étude a également permis de relever que la transformation reste jusqu’à présent artisanale à cause de manque des moyens techniques et financiers. En ce qui concerne la consommation, elle est considérable du fait de la demande croissante de la population urbaine qui ne cesse d’augmenter. -
Impact du climat et des activités anthropiques sur les écosystèmes dans le nord-ouest de la région de Tillabéri au Niger
Les communes de Tondikiwindi et de Ouallam, appartiennent au département de Ouallam, région de Tillabéri, nord-ouest du Niger. Cette zone, comme le reste du sahel, a été le théâtre d’importantes variabilités climatiques et d’autres aléas liés au climat, depuis la décennie 1970. L’objectif principal de cette thèse est de contribuer à une meilleure connaissance des impacts du climat, conjugués aux activités anthropiques sur les différentes unités de l’occupation des sols dans les communes de Tondikiwindi et Ouallam. L’analyse de certains paramètres hydro-climatiques (pluviométrie, températures, séquences sèches, Etp, vents), de la station synoptique de Tillabéry et des stations pluviométriques proches de celle-ci et des données des enquêtes menées auprès des populations ont permis d’aboutir à des résultats intéressants et de proposer une stratégie de développement durable, permettant d’inverser les tendances. -
Proposition d’une Stratégie de Communication pour l’adoption des semences améliorées face aux changements climatiques dans la Commune rurale de Djiratawa, Département de Madarounfa, Région de Maradi (Niger)
Dans le cadre de la validation du Master II en Communication pour le Développement à l’Institut de Formation aux Techniques de l’Information et de la Communication (IFTIC) de Niamey, nous avons eu l’opportunité de réaliser un stage de mémoire. Ce mémoire porte sur le sujet de proposition d’une stratégie de communication pour l’adoption des semences améliorées face aux changements climatiques dans la Commune rurale de Djiratawa, Département de Madarounfa, Région de Maradi (Niger), avec comme question de recherche l’adoption et l’utilisation des semences améliorées pourrait-elle faire face aux changements climatiques dans la Commune rurale de Djiratawa? L’hypothèse principale de l’étude est la suivante : une bonne stratégie de communication proposée favoriserait l’adoption des semences améliorées afin de faire face aux changements climatiques et de contribuer à la sécurité alimentaire. -
Bilan environnemental et social de la mise en œuvre des activités du Projet de Gestion Intégrée des Écosystèmes entre le Niger et le Nigeria de l’antenne du projet de Birni N’Konni dans la région de Tahoua au Niger
Le présent TFE s’est intéressé au bilan environnemental et social du Projet de Gestion Intégrée des Ecosystèmes entre le Niger et le Nigeria de l’antenne du projet de Birni N’Konni dans la région de Tahoua au Niger. La méthodologie appliquée est axée sur la recherche documentaire et à la collecte de données sur le terrain à travers les entretiens et les visites terrains. Le projet a consisté à réhabiliter 120 ha de terres dégradées, à planter 30.000 plants forestiers, à construire 1.200 foyers améliorés, à installer 300 ml de cordons de pierres et à élaborer 3 plans communautaires de base et de gestion de ressources naturelles. A l’issue de la campagne d’entretiens et observations, nous avons démontré la contribution du projet à l’amélioration de conditions de vie dans les villages et la ré-végétalisation de l’environnement de la zone de Birni N’Konni. L’analyse de résultat fait montrer que le projet a enregistré des impacts plus positifs que négatifs (la végétalisation de plateaux ; l’amélioration de condition de vie des bénéficiaires, la réduction de consommation de bois énergie;). Les impacts négatifs sont liés aux activités de faucardages de mares où le résultat enregistré a été non satisfaisant et les personnes blessées identifiées.