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Coopération entre la Commission Européenne et la République du Niger -- Rapport annuel 2008
Ce rapport fait le point sur l'état de mise en œuvre des programmes en cours , dans les domaines prioritaires de la Coopération, (8ème et 9ème FED). -
Matakan Tsapta: sapta jiki -- L’hygiène du personnel dans la transformation des produits maraîchers de la petite irrigation -- Bonnes et mauvaises pratiques
Ces affiches présentent les bonnes et mauvaises pratiques relatives à l’hygiène du personnel dans la transformation des produits maraîchers de la petite irrigation:
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Le dispositif institutionnel de la SPIN
Cette affiche présente le cadre institutionnel de la SPIN avec les différents organes. -
Fertilisation : modes d'utilisation de l’Urée et du NPK sur les cultures irriguées
Cette affiche explique la fertilisation et montre les modes d'utilisation de l' Urée et du NKP sur les cultures irriguées. C'est un outil pédagogique conseillé aux acteurs du Conseil Agricole. -
La lutte contre la pourriture blanche et sèche -- Fusarium oxysporum
Cette affiche présente les symptômes de la maladie "Fusarium oxysporium"et les méthodes de luttes appropriées -
Méthode de compost en tas
Cette affiche présente les techniques et méthodes de compost en tas -
Méthode de compostage en fosse multiple
Cette affiche présente les techniques et méthodes de compost en fosse multiple -
Méthodes simple de caractérisation du sol
Cette affiche illustre des méthodes simples de caractérisation des sols, notamment par -- Observation de la faune et de la flore --Le test de la pression -- Le test du lancer de boule -- Le test du boudin -- Le test de la bouteille ou du bécher -
Module de formation à l'approche "bassin versant"
Le concept « aménagement de bassins versants » regroupe l’ensemble des actions conduites et mesures prises en amont d’un bassin de production (généralement une vallée ou un bas fond) pour le protéger d’une dégradation liée à l’érosion hydrique et éolienne. . Le présent module est une capitalisation des expériences pour l’aménagement des bassins versants en vue de protéger et de valoriser durable les bassins de production des cultures irriguées... -
Lutte contre l'érosion hydrique
Ce module 2 traite d'un sujet préoccupant , la lutte contre l' érosion hydrique; il aborde la définition, l'origine et le mécanisme d'érosion hydrique dans le détail. -
Adaptation au changement climatique : module de formation
Ce module aborde la notion du changement climatique, la définition de quelques concepts, les effets du changement climatique sur les secteurs clés et quelques stratégies d’adaptation. -
Lutte contre l'érosion éolienne
Ce module 3 traite de la lutte contre l' érosion éolienne; il aborde l a définition, l'origine, les signes et les effets néfastes de l'érosion éolienne. L’objectif de ce module est de renforcer les capacités des formateurs-encadreurs à comprendre les phénomènes de l’érosion éolienne, les mesures de luttes et l’organisation d’un chantier de récupération des terres. -
Manuel d’irrigation goutte à goutte dans la Région de Zinder
Le présent manuel présente les techniques d'irrigation aux goutte à goutte appliquées aux spécificités de la région de Zinder -
Utilisation du réseau californien pour les cultures irriguées
Le réseau californien est un système de micro-irrigation développé en Californie. Le principe du système californien consiste à distribuer l’eau aux cultures par des tuyaux souterrains en PVC rigide (diamètre 40-50 m). Le réseau de tuyaux est enterré à 0,5 m pour les protéger des UV et des travaux agricoles. -
Étude d’évaluation des capacités des institutions de formation à assurer le renforcement des compétences des agents prestataires de services
La présente étude menée par une équipe composée d’un consultant international et d’un consultant national vise à déterminer les capacités réelles des institutions de formations à assurer cette activité de formation continue.
le résultat a permis d’évaluer les capacités des institutions de formation agricole dans les trois régions d’intervention du PromAP (Agadez, Tahoua et Tillabéry) et de la communauté urbaine de Niamey, à animer des sessions de formation des agents PDS et autres acteurs dans la petite irrigation sur la base des curricula et modules standardisés. -
Étude au laboratoire sur les risque liés à l'utilisation du gaz butane comme source d'énergie sur les moteurs à 4 temps sur l'homme et son environnement
Cette étude fait l’analyse au laboratoire des risques liés à l’utilisation du Gaz Pétrolier Liquéfié (GPL), comme source d’énergie sur les moteurs thermiques 4 temps à essence, sur l’homme et son environnement en petite irrigation. Cas d'un motopompe à essence au Niger. -
Comment adapter une motopompe pour l’alimenter au gaz butane ?
Trois étapes sont nécessaires pour modifier l’alimentation d’une motopompe afin qu’elle fonctionne avec du gaz butane. -
Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ? Haoussa Document 5
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Revue stratégique nationale faim zéro du Niger
Le Niger avec l’appui du Programme Alimentaire Mondial (PAM), s’est lancé dans la revue de sa stratégie nationale « Faim Zéro » pour l’atteinte de l’ODD2 : « Eliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l’agriculture durable ».
Placée sous l’égide du Ministre d’État, Ministre de l’Agriculture et de l’Élevage elle a permis de :
-i) réaliser un état des lieux de la prévalence de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle et leur tendances évolutives;
- ii) analyser les liens entre l’ODD2 et la situation des autres ODD de l’Agenda 2030;
- iii) analyser la prise en compte des cibles et indicateurs de l’ODD2 dans les politiques publiques, les plans;d’actions et les projets d’investissement;
- iv) les enjeux et défis à relever et v) tirer des leçons de la revue.
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Tsutsar masara da ake cema da turanci : Spodoptera frugiperda
A shekara ta 2016, wata sabuwar tsutsa ta bayana a kasar africa,wanan tsutsar.ta.mamaye.kasashen.africa da dama kamar su nigeria,benin,togo,africa ta kudu da sauran su ; tsutsar masara.spodoptera frugiperda tayi banna sosai a cikin gonankan masara. Wannan tsutsar masara ana.ce mata spodoptera frugiperda a turance,an ganota ne a karon farko jikin masara a garin torrodi.da maradi shekara ta 2016 ;tun daga wanan lokaci sai ta bazu a dukan fadin kasa. Abun.al’ajabi wanan tsutsar bata tsaya ga masara kadai ba, a lokacin daminar bara a garin maradi da.torodi ta apkama gonankan hatsi inda tayi bana sosai ;wanan tsutsa dai babbar matsala ce ga hatsi.da dawa, ya kamata manoma su nemi saninta don su yaketa. -
Kolkoto noonizo kan si gane annasarakine ga spodoptera frugiperda
Annasara jiiri 2016 nga no noonize tagi fo bangay iri africa laabu bobo yan ra,laabey kan yan ra a go nga gati(nigeria,benin,togo afrique du sud,kala ama koy laabu gerey ra) nankanyan ana hasarawo bobo te kolkoto ga. I sintin ga diya Torodi nda Maradi gandara novembre hando 2016, sonhon nango bobo na go iri niijer laabo ra. Nankan haya ga hunburandi koyne noonizo din halada haynay nadi manan kayidiya wate, Maradi Torodi batama beeri yan ra yadin ga hasarawo bobo no aga te dumizey kan yan I ga fare bon ihima no ga fondo konno sanbu ga duga tangame nda. -
Rapport de formation des producteurs de riz hors aménagement sur le système de riziculture intensive (sri)
Dans le cadre de la mise à l’échelle de l’approche SRI (Système de Riziculture Intensive) par le PPAAO au Niger, une formation pratique des producteurs de riz hors-aménagement s’est tenue du 13 au 14 Aout 2018 sur le périmètre rizicole de Sébéri. L’objectif principal était de former des champions SRI capables à leur tour de disséminer l’information à d’autres producteurs de riz de leur zone. De façon spécifique, il s’agissait d’augmenter le nombre de producteurs spécialisés en SRI qui peuvent être utilisés comme des facilitateurs dans les champs écoles paysans en vue d’une vulgarisation à grande de cette nouvelle approche écologique de produire du riz. -
Contribution de la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-niya) au renforcement des capacités des producteurs maraîchers de l’arrondissement communal Niamey 5
Ce travail est consacré à la problématique de renforcement des capacités des producteurs maraîchers dans un contexte d’usage concurrentiel du foncier entre activité maraîchère et habitation. Dans cette situation où la dynamique foncière se développe en défaveur du maraichage urbain, la FCMN-Niya mène des actions en collaboration avec ses partenaires techniques et financiers (appui-conseil de proximité, accès aux intrants) pour la sauvegarde et le développement du maraichage. Pour montrer l’usage concurrentiel du foncier qui caractérise le maraichage urbain ainsi que le rôle de la FCMN-Niya dans le développement des activités maraîchères. -
L’insémination artificielle et la gestion de troupeaux de sélection
Ce petit manuel de formation à l’insémination artificielle (I.A.) a été préparé dans le but de donner les connaissances essentielles pour les personnes débutant dans ce domaine. On donnera d’abord des rappels d’anatomie et de physiologie de l’appareil reproducteur, ensuite on décrira comment collecter et conserver la semence et enfin comment inséminer artificiellement les femelles. Par ailleurs, on voudrait également atteindre un autre objectif : la sensibilisation des personnes travaillant dans ce domaine et dans celui de l’élevage au sujet des avantages de l’I.A., en vue de favoriser l’amélioration du cheptel animal en milieu tropical et subtropical. L’amélioration du rendement et de l’efficience reproductrice sont certainement les deux objectifs principaux de l’insémination artificielle. -
Décret relatif à l’entrepôt au récépissé d’entrepôt et au warrant
Le présent décret a pour objet de règlementer les entrepôts, les récépissés d’entrepôt et le warrant. Il s’applique aux récépissés d’entrepôt, aux warrants, aux entrepôts de stockage de marchandises ayant reçu l’agrément de l’organe de régulation pour émettre lesdits récépissés ainsi qu’à toutes les personnes concernées par l’entreposage, les récépissés et les warrants. -
Récupération de terres, visite de deux sites sur le plateau de Guelielh
Une note de travail sert à présenter un cas et à poser des questions, c’est donc une note provisoire qui sera reprise avec les éléments complémentaires qui pourront être récupérés. Cette note est écrite après plusieurs visites sur les sites entre 2015 et 2018. Le contenu de cette note n’engage que l’équipe technique du RECA et de la CRA Tillabéri. Les sites de « récupération des terres » visités sont sur un plateau se trouvant sur la commune de Youri (Région de Tillabéri), à l’Est de la route goudronnée au niveau du marché de la commune. La photo satellite ci-dessous indique quatre types d’aménagement réalisés entre 2014 et 2016. Ces quatre sites de récupération représentent une surface totale d’un peu plus de 350 ha. -
Suivi des sites PASEC Site de Tokaraoua (commune de Gabi)
Le site de Tokaraoua se situe dans la commune de Gabi dans une forêt classée à une distance d’environ 5 km de la ville de Gabi. Il une vocation pastorale. Cinq villages sont riverains et bénéficiaires de ce site, à savoir : Tokaraoua Tabodi, Takaraoua Tagabas, Tokaraoua Tajaé, Hassaou, Dan Takobo. Ce site était envahi par le Sida cordifolia qui est une plante non appétée par les animaux. Ce fléau a pu bien se développer dans la zone et a couvert les espaces d’aires de pâturage pour les animaux. Les peuplements de cette espèce sont parvenus à dominer les autres espèces herbacées appétées par les animaux. -
Plan de réforme du secteur des engrais au Niger : Synthèse
Le Gouvernement s’est engagé dans un Plan de réforme du secteur des engrais au Niger. Cette réforme s’avère nécessaire du fait de la faible contribution du secteur des engrais aux objectifs d’une agriculture forte au Niger. Ce Plan devrait contribuer à mettre en place un système efficace et durable, capable d’assurer la disponibilité et l’accessibilité d’engrais de qualité dans toutes les régions du Niger. Il vise également à élaborer un cadre opérationnel de la subvention aux engrais destinée aux producteurs ciblés. Ce Plan s’appuiera sur une participation plus dynamique du secteur privé dans l’importation et la distribution des engrais. Il s’appuie également sur le rôle de régulation de l’Etat dans la promotion d’un secteur des engrais plus transparent et concurrentiel. Pour élaborer le plan de réforme, la démarche a consisté en quatre étapes : i) une revue documentaire et la mobilisation d’une expertise nationale et internationale ; ii) la conduite des études thématiques complémentaires ; iii) la consultation de toutes les parties prenantes dans les huit régions ; iv) un atelier national de validation du projet de plan de réforme. Ce Plan de réforme comprend un Cadre Institutionnel et Réglementaire : un Programme Opérationnel de la Subvention ; et un rôle adapté de la CAIMA. -
La culture de souchet (Cyperus esculentus) au Niger : Origine, atouts et contraintes
Le souchet (Cyperus esculentus) est une plante alimentaire à tubercules, appartenant à la famille des Cypéracées. Au Niger, la culture du souchet prend de plus en plus d’ampleur mais les études sur ce produit sont quasi-inexistantes. Cette étude la première du genre vise à valoriser la culture du souchet au Niger en traçant son historique, son importance et ses contraintes. Des entretiens en focus groupe dans les marchés des régions productrices ont été conduits pour répertorier les terroirs villageois producteurs et situer les zones de production du souchet au Niger. Ainsi, parmi les villages répertoriés, dix sites ont été visités. Dans chaque site, des entretiens individuels sur les aspects socio-économiques de la culture ont été conduits. Les données des investigations ont révélé que la culture du souchet se pratique essentiellement sur l’ancien bassin arachidier de la région de Maradi et dans la région de Dosso. Selon la typologie locale, le souchet est composé de type à gros tubercules et de type à petits tubercules. Selon les producteurs, le souchet à gros tubercules a été introduit il y a plus de 100 ans. Par contre le souchet à petits tubercules serait plus récent et résulte d’une domestication de la forme sauvage. L’apport des revenus est la principale raison qui pousse les paysans à s’adonner à cette spéculation. Les principales contraintes de la culture du souchet sont : L’insuffisance d’engrais minéraux, la pénibilité de la récolte et la commercialisation du souchet. -
Note visite des sites maraichers de Tiss et Midick
La CRA a initié le lundi 22 janvier 2017 une sortie sur les sites maraichers de Tiss et de Midick en périphérie de Zinder. La Direction Régionale de l’Agriculture et la Fédération de Coopératives Maraichères du Niger (FCMN-Niya) ont été associées à cette visite dont l’objet est d’observer les pratiques de production maraîchère et d’échanger avec les producteurs sur les techniques de production, l’approvisionnement en intrants, l’accès à l’eau, les problèmes phytosanitaires rencontrés et le crédit agricole. -
Fiche technico-économique pour la culture de la courge Bagobira
La courge, Kabewa en Houassa, est une culture que l’on retrouve sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder, particulièrement dans les départements de Mirriah (sites de Falki et Mirriah), DamagaramTakaya (site de Guidimouni), Kantché (sites de Doungou et Massassaka Haousa), Magaria (site de Bandé), Doungass (sites de Wacha, Kakibaré et Gayi), Gouré (site de Gassafa) et à Zinder (site de Tiss). Les parcelles exploitées varient de 250 m2 à 2 500 m2. En moyenne, pour 2 500 m2, un cycle de production de la courge dure 90 jours et donne un rendement de 24 Kwarya (12 tonnes) avec des récoltes pouvant s’échelonner sur 6 mois. Elle permet de dégager une marge brute de 1.668.500 F.CFA pour 131.500 F.CFA de charges. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche froide
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. Dans la région de Dosso, la principale zone de production est le Dallol Maouri, Département de Tibiri, avec des surfaces cultivées variant de 0,05 ha à 1 ha par producteur. Elle est souvent cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 9,24 tonnes (42 korya) de pastèque permet de dégager des revenus de 840.000 F.CFA pour 230.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 610.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour l’oignon rouge
L’oignon rouge de Sokoto ou encore appelé Dan Yaouri en haoussa est une des principales cultures irriguées de la commune de Gaya. Cet oignon a un cycle de 90 à 115 jours du repiquage à la récolte. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 0,1 ha et 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 7 tonnes permet de dégager des revenus de 788.000 F.CFA pour 158.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 630.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l'oignon blanc
L’oignon blanc appelé « albassa koiraye » en Djerma ou « faral albassa » en Haoussa est cultivé principalement dans la Commune rurale de Soucoucoutane, département de Doutchi. Cela reste une variété peu connue, avec une production limitée, mais qui pourrait trouver une meilleure place sur les marchés dans les années à venir (diversification). Le cycle de la culture varie entre 90 à 120 jours quand les bulbes produits sont destinés à la vente directe sur le marché, et entre 120 et 150 jours quand il s’agit des bulbes de conservation. En moyenne, pour 1000 m², on obtient une production d’environ 3.640 kg qui permet de dégager un produit de 448.000 F.CFA pour 130.000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 318.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la laitue
La laitue ou « salati » en haoussa est l’une des principales cultures irriguées du département de Doutchi (région de Dosso). Les bassins de production sont Matankari, Kiéché et Doutchi. Au cours de l’année, un producteur peut effectuer 5 à 6 cycles de production. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 500 à 1 500 m2. En moyenne pour une surface de 1000 m² on obtient une production de 1 650 kg (64 planches de 10 m²) qui permet de dégager par cycle de production 272 000 F.CFA pour 23 410 F de charges opérationnelles et une marge brute de 248 590 F. -
Fiche technico-économique pour la culture de la carotte
La carotte est une production très cultivée sur le site de Soumarana situé à 5 km de Maradi. La production se fait en une campagne en saison sèche froide. La variété la plus cultivée est la carotte « Touchon » en provenance du Nigeria. Elle est vendue sur le site et acheminée par les acheteurs sur les marchés de Maradi pour sa commercialisation. Le cycle de la carotte varie de 90 à 120 jours avec un rendement de 19 à 49 tonnes à l’hectare, soit près de 290 planches de 3 m2. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 3,5 tonnes permet de dégager des revenus de 159.500 F.CFA pour 89.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 70.500 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds autour des puits et forages. Les principales zones de production sont : Mafalia (Maradi), Garin Daouré (Tibiri), Gourjia et Laouni (Gazaoua). Le chou est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou dure 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 1.680 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un revenu de 118.600 F.CFA pour 39.100 F.CFA de charges et donc une marge brute de 79.500 F.CFA. -
Jan tauttau ko lalaba da turawa ke cema : acarien rouge
Yau zamu baku labarin wata karamar hallita aman ana iya ganinta ido da ido,wanan hallita ita ce jan tattau ko lalaba. Manoma sun san wanan tsutsar tunda tana saka gidan tane saman ganyen shipkokin gapta ko aubergine,tumati,tattasey,tashi da dankalin turawa. Wannan tsutsar na boyewa kalkashin ganyen shipkoki,manoma sun santa sosai domin a cikin lokaci kalilan take hallaka gona ga baki daya musaman ma in shipkokin dake cikin gonar sun danganta da wanda muka zana can sama. -
Dadara kira kan se ngane annasara ciine ga : acarien rouge
Hunkuna day iri ga salan aran se no nda anwarize kaynafo kan booro ga hini ga diya moga kan zi gane dadara kira. Alfarey ga bay zama a ga nga fuwo ciina dumizey koptey ga wana wana wana obergino tomato tattasey,tonko,nda pommpi terro. dabayan a ga lanba ga nga fuwo ciina dumizey koptey bandey ga alfarey ga bay zama aga hini ga dumizey me a me hasara wane wane dumizey kanyan iri ki za bene. -
Plan de réforme du secteur des engrais au Niger
Ce rapport porte sur la réforme du secteur des engrais au Niger -
Plan d'investissement climat pour la région du Sahel - Volume 2 : plan d’investissement climat pour la région du sahel
Ce présent rapport porte sur le processus d’élaboration d’un Plan d’Investissements Climat pour la Région du Sahel, qui tire son fondement du « Sommet Africain de l’Action en faveur d’une co-émergence continentale » tenu le 16 novembre 2016 à Marrakech et qui a regroupé plusieurs Chefs d’État et de délégation d’Afrique, en marge de la 22ème Conférence des parties à la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (COP 22). -
Plan d'Investissement Climat pour la Région du Sahel - Programme régional prioritaire (PRP 2018-2020)
Ce présent rapport porte sur le plan d’Investissement Climat de la Région du Sahel (PIC-RS), -
Plan d'Investissement Climat pour la région du Sahel -- Annexe 3 : plan de suivi - évaluation pour la mise en œuvre du pic-rs (2018-2030)
Ce rapport porte sur le plan de suivi-évaluation pour la mise en œuvre du PIC-RS -
Plan d'investissement climat pour la région du Sahel - Volume 4 : dispositif institutionnel de mise en œuvre
Le présent volume traite du dispositif institutionnel de mise en œuvre du PIC-RS 20182030, ainsi que des différentes parties prenantes qui y contribuent. Il fait partie intégrante du Plan d’Investissement Climat de la Région du Sahel. -
Le sésame une culture à bonne valeur ajoutée
Le sésame est une culture en expansion dans la région de Diffa. En effet, ces 5 dernières années les superficies emblavées en sésame pendant la saison des pluies prennent de plus en plus d’ampleur particulièrement dans les départements de Goudoumaria, Mainé Soroa, Chétimari et Diffa. C’est pourquoi la CRA de Diffa s’est intéressée depuis trois ans à cette culture à bonne valeur ajoutée. -
Note sur l’écoulement des semences améliorées au niveau des producteurs de la région de Zinder
En avril 2018, la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Zinder a rédigé une note sur la disponibilité en semences améliorées de mil, sorgho, niébé et arachide qui a fait l’objet d’émissions radios diffusées sur 15 radios communautaires de la région. -
Guide du Formateur sur « Les techniques de CES-DRS dans la petite irrigation »
Le présent guide s’inscrit dans le cadre des activités du programme de promotion de l’agriculture productive (PromAP) finance par la coopération allemande. Le PromAP à travers la composante 2, a prévu : « le renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation pour améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et prives dans le domaine de la petite irrigation. Quatre (4) thèmes sont développés à travers ce manuel à savoir : ✓ Adaptation au changement climatique; ✓ Lutte contre l’érosion hydrique; ✓ Lutte contre l’érosion éolienne; ✓ L’approche bassin versant -
Gestion rationnelle de l'eau d'irrigation
Ce présent document porte sur la gestion rationnelle de l'eau d'irrigation -
Guide pour la conduite des tracteurs
Ce présent document est composé d’une présentation des organes et des rôles du tracteur, mais aussi des conseils élémentaires sur la conduite. Il présente également les principales opérations d’entretien de base et les quelques bons réflexes à adopter.
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Evolution du prix de gros de la tomate sur trois ans au marché de Niamey Djémadjé
Le suivi des prix de gros des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en avril 2015 (la semaine 17). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 40 (début octobre) de l’année 2018. Les informations présentées portent sur trois ans et demi. -
Etude diagnostique des potentialités du Conseil Agricole en Petite Irrigation dans les 3 régions d’intervention du PromAP : Tillabéri, Tahoua et Agadez
Dans le cadre de la Stratégie de Développement Rural (SDR), stratégie sectorielle nationale de référence entre 2002 et 2012, une tentative a été entreprise pour mettre en place un dispositif national d’appui conseil. Sur la base d’une étude diagnostic appuyée par la FAO, ce dispositif intègre l’ensemble des évolutions contextuelles, en proposant un appui conseil à la demande, fourni par des prestataires de service, à travers une coordination par les services de l’Etat et un cofinancement des bénéficiaires de l’appui-conseil, selon leur capacité économique (notamment par rapport aux filières portées sur le marché). Compte tenu des évolutions institutionnelles dans la période, ce dispositif bien qu’approuvé en 2011, n’a jamais été mis en oeuvre. Il contient cependant des éléments pertinents, qui sont d’actualité et qui pourraient constituer le socle du nouveau dispositif à mettre en place. A l’absence d’un dispositif structuré de conseil fourni par l’Etat, les projets de développement mettent en oeuvre des actions ponctuelles de conseil agricole, en s’appuyant souvent sur les services techniques de l’Etat. Bien que celles-ci ne s’inscrivent pas tout à fait dans une approche d’émergence durable des services de conseil, ils ont comme mérite de développer et de tester des nouvelles approches. Il convient notamment de citer l’approche « Champ école », dont les principaux promoteurs sont la FAO et le FIDA. -
Étude de faisabilité pour l'investissement dans le système d'accès à l'information au Niger
Aujourd’hui, il est clairement établi que l’information, tout comme les services financiers,
sont des intrants agricoles au même titre que les produits phytosanitaires ou les engrais, et
l’exploitation par les petits producteurs d’informations techniques, climatiques, ou
commerciales peut avoir un impact considérable sur leurs récoltes, leur niveau de vie et leur
sécurité alimentair -
Protection Biologique Intégrée
Ce guide donne des informations sur les techniques de protection biologique intégrée -
Processus de définition des cibles de neutralité en matière de dégradation des terres
Ce document a été conçu avec le soutien du Programme de définition des cibles de neutralité en matière de dégradation des terres (PDC NDT), une initiative de partenariat mise en oeuvre par le
Secrétariat et le Mécanisme mondial de la CNULCD avec l'apport des partenaires suivants :
France, Allemagne, Luxembourg, République de Corée, Espagne, Trinidad et Tobago, Turquie, l’Agence spatiale européenne, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, le Fonds pour l’environnement mondial, le Système mondial d'information sur les sols de l'ISRIC, l’Union internationale pour la conservation de la nature, le Centre commun de recherche de la Commission européenne, Soil Leadership Academy, le Programme des Nations Unies pour le développement, le Programme des Nations Unies pour l’environnement, et l’Institut de ressources mondiales. -
Formation Régionale sur la Gestion des Risques Agricoles au Sahel
Cette présentation montre différentes bonnes pratiques vulgarisées par le projet Sahel Bio -
Usages, représentations, évolution de la biodiversité chez les Haoussa du Niger
Ce présent document porte sur les usages, représentations, évolution de la biodiversité chez les Haoussa du Niger -
Module de formation : irrigation au goutte à goutte
Ce module porte sur l'installation et la maintenance d'un systèmes d'irrigation en goutte à goutte. L'irrigation au goutte-à-goutte est, par définition une agro technologie globale, modifiant les techniques agronomiques et élargissant les horizons de l'agriculture moderne. Le goutte-à-goutte a amélioré l'efficacité de l'utilisation de l'eau en irrigation et amorcé l'introduction et le développement de la fertigation, et la distribution intégrée d'eau et d'engrais. -
Rapport d'évaluation de la campagne agricole d'hivernage 2017 et Perspectives Alimentaires 2017/2018
La campagne agricole d’hivernage 2017 a démarré à partir de la troisième décade du mois d’Avril avec des semis intervenus au niveau de cinq (5) villages du département de Dogondoutchi.
A la faveur des précipitations enregistrées, les semis se sont poursuivis jusqu’à la troisième décade de juillet dans les régions d’Agadez, Dosso, Tahoua et Zinder. Au cours de cette campagne agricole d’hivernage, les semis sont intervenus en majorité au cours des mois de Mai et Juin atteignant un taux d’au moins 88 % de villages ayant semé. Plusieurs cas de ressemis ont été signalés suite aux pauses pluviométriques enregistrées avant l’installation définitive de la campagne.
La situation phénologique des cultures est dominée par la maturité pour le mil et la floraison pour le sorgho. La maturité du sorgho concerne toutes les régions du pays. Concernant les cultures de rente, niébé et arachide principalement, les stades avancés de maturité sont également observées dans toutes les régions...
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Version finale adoptée par un comité national du code rural ( CNCR )
Les conclusions de l’étude-bilan des 20 ans de mise en œuvre du code rural (2013), celles de la réunion du comité national du code rural (octobre 2014) ainsi que celles des états généraux du foncier rural (2018) s'accordent toutes sur la nécessité de formuler une politique foncière rurale (PFR) pour le Niger. cette politique doit anticiper en planifiant les actions et activités nécessaires pour attendre des situations souhaités sur le long terme en partant de dynamiques identifiées. -
Guide du Formateur sur « Les techniques de CES-DRS dans la petite irrigation »
Le présent guide s’inscrit dans le cadre des activités du programme de promotion de l’agriculture productive (PromAP) finance par la coopération allemande. Le PromAP à travers la composante 2, a prévu : « le renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation pour améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et prives dans le domaine de la petite irrigation. La composante 2 du PromAP appuie le développement des curricula conformément a la spin, a travers son plan stratégique de renforcement des compétences des acteurs de la petite irrigation pour une validation par le comite technique pluri institutionnel -
La lutte contre l'érosion hydrique
Le mot érosion vient de "ERODERE", verbe latin qui signifie "ronger". L'érosion ronge la terre
L’érosion hydrique est donc un processus naturel de dégradation des sols dû à l’eau de ruissellement, on retient alors que sans ruissellement, pas d’érosion hydrique.
Il n’est pas forcement souhaitable d’arrêter l’érosion hydrique, mais il faut la circonscrire, la réduire et la maintenir à un seuil de tolérance acceptable
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La lutte contre l'érosion éolienne
L’érosion éolienne est le phénomène de dégradation du sol sous l’action du vent.
En effet, les vents qui soufflent, arrachent des quantités des terres (particules superficielles du sol), qu’ils transportent et déposent ailleurs.
L’érosion s’installe quand
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Approche bassin versant
Bassin versant : c'est une zone topographiquement délimitée, drainée par un cours d’eau et ses affluents. Il correspond à la superficie totale des terres drainées en un point donné
d'un fleuve ou d'une rivière. Il s'agit enfin d'une entité hydrologique qui a été décrite et utilisée comme entité socioéconomique, politique en vue de la planification et de la gestion des ressources naturelles (SHENG, 1993), cité par ULYSSE (2001). -
Guide d'utilisation de "Normal GPS"
Que vous soyez forestier, agronome, pastoraliste. Que ce soit pour le plaisir, pour sauver des vies, pour se rendre plus rapidement à un endroit, ou pour tout ce dont vous pouvez rêver, la navigation GPS se banalise chaque jour.
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Rapport annuel d'activités
campagne de lutte phytosanitaire
Pour contribuer à l'atteinte des objectifs visés par l' initiative "3N les nigeriens nourrissent les nigeriens" la direction générale de la protection des végétaux a engagé des actions permettant d'assurer la couverture phytosanitaire des cultures pluviales et irriguées en 2018. -
Programme: "petite irrigation et sécurité alimentaire"
Rapport des activités PTBA 2018L'objectif du PISA est de contribuer à la promotion d'une agriculture productive et à la sécurité alimentaire au Niger -
Rapport trimestriel n°5
Ce rapport porte sur toutes les activités technique et financière de mise en œuvre de PISA , de gestion administrative , de passation des marchés de suivi-évaluation et reportage -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°5
Le présent rapport semestriel n°5 du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire concerne la période s'étalant de février à juillet 2018.Il s'articule autour des activités techniques et financière de mise en oeuvre du PISA, ainsi que celles de gestion administrative -
Rapport trimestriel n°6
Le rapport trimestriel n°6 porte sur l'état d'avancement du programme sur la période d'août 2018. Il traite sur le contexte des interventions de l'état d'exécution des activités des résultats obtenus , des difficultés rencontrées et des mesures prises pour les surmonter ; des modifications apportées à la mise en œuvre du programme ; de la gestion financière sur la base des appels de fonds en rendant compte d' utilisations qui a été faite des fonds reçus -
Programme de petite irrigation et sécurité alimentaire : rapport semestriel n°4
Le présent rapport n°4 du programme de petite irrigation et sécurité alimentaire concerne la période allant d’août 2017 à janvier 2018. -
Etude d'établissement de la situation de référence des indicateurs du PISA : Rapport final
Etablissement de la situation de référence des indicateurs PISA , s'est déroulé pendant la période de novembre 2017 à janvier 2018 dans la zone d'intervention constituée par les régions d'Agadez Tahoua et Tillabéry. -
Appui à la définition d'un cahier de charges sur la qualité du riz local nigérien
L'étude s'inscrit dans le cadre de la politique agricole de l'UEMOA dont l'objectif globale consiste à contribuer à la satisfaction des besoins alimentaires des populations de l'union au développement économique et social des états membres et à la réduction de pauvreté en milieu rural -
Contribution à l’évaluation des risques et santé dans les exploitations agricoles , pastorale et halieutiques du Niger
Dans les PED, l'agriculture à forte intensité de main d'oeuvre est la plus répondue avec une grande diversité de type d'exploitation et d'emploi -
Rapport d'activité 2017 et programmation 2018
Dans le cadre de l’élaboration du rapport annuel des activités de 2017, la Direction de la Règlementation Phytosanitaire et du Suivi Environnemental, avec le concours de tous les agents de ladite direction, fait le bilan annuel de 2017 et la programmation 2018.
En rappel, sous l’autorité du Directeur Général de la Protection des Végétaux, la Direction de la Règlementation Phytosanitaire et du Suivi Environnemental est responsable de la conception, de l’élaboration et de la mise en œuvre de la politique nationale en matière de règlementation phytosanitaire et suivi environnemental.
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Rapport annuel 2017
La direction de la logistique et des équipements phytosanitaires a assuré la réception et la ventilation des pesticides et autres matériels en début et au cours de cette campagne. Le suivi de la gestion dans les régions a été assuré par des missions menées à l’intérieur du pays et la réception régulière des documents de gestion. -
Etude de faisabilité pour investissement : contrat à terme et le réseau du warrantage en appui aux stratégies nationales
Au Niger, le plan d’investissement 2012-2015 de l’initiative « les Nigériens nourrissent les Nigériens (I3N) a visé principalement le financement de projets d’irrigation, avec un certain succès (production irriguée en hausse de 30% par an en moyenne). Ce choix a été conforté par une évaluation des risques agricoles de la Banque Mondiale (2013) qui avait identifié comme prioritaires les risques liés aux aléas climatiques, les invasions acridiennes et les risques de hausse des prix pour les consommateurs. En 2014, le Haut-Commissariat I3N et PARM sont convenus d’intégrer les petits producteurs dans le cadre du Plan d’Action pour la Gestion des Risques Agricoles (PAGRA). Trois domaines stratégiques ont été identifiés : l’accès des petits producteurs aux services financiers (crédits et épargnes), aux marchés et à l’information. Cette orientation est cohérente avec une étude de l’IRAM (2016) qui identifiait la dépendance de la production au climat, le risque prix, le risque de marché et le risque de conservation physique des stocks comme des risques agricoles majeurs. C’est dans ce contexte que PARM a suscité la présente étude sur les contrats à terme et le warrantage, et leur rôle en appui au Dispositif National de Prévention et de Gestion et des crises alimentaires (DNPGCA). Le warrantage et les contrats à terme sont en effet les deux principaux ensembles d’outils de gestion des risques de marché au Niger, qui peuvent également jouer un rôle dans la politique nationale de sécurité alimentaire. -
Le marché des produits transformés au Niger
L’étude a pour objectif de comprendre les comportements alimentaires des ménages et la demande des consommateurs urbains vis-à-vis des produits transformés locaux, et de préciser l’offre actuelle en produits transformés locaux.
Le rapport rend compte principalement d’une mission conduite au Niger dans les villes de Niamey et de Zinder en novembre 2017. Lors de cette mission, les points de vente de Zinder ont été visités et des entretiens et des focus group ont été conduits avec des consommateurs dans les villes de Zinder et de Niamey. Elle a été précédée par un inventaire des produits transformés locaux (ciblant les produits d’intérêt pour le FOPAT c’est-à-dire les céréales, les légumineuses et les oléagineux) dans la capitale conduit par les équipes du Gret.
Ce travail couplant inventaire dans les points de vente et entretiens individuels (EI) /focus groups (FG) pour recueillir le point de vue des consommateurs et identifier leurs motivations d’achat a été réitéré par l’équipe GRET dans les autres localités ciblées par le projet (Dosso, Maradi et Tahoua).
Le rapport compile les informations collectées dans les 5 localités enquêtées. -
Itinéraires techniques de production de niébé de qualité
Le raccourcissement de la saison pluvieuse et la mauvaise répartition des pluies au Niger dû aux manifestations des changements climatiques, exigent que les pratiques agricoles soient revues et adaptées à ces nouvelles conditions afin d’assurer une résilience des agriculteurs. Ces pratiques d’adaptation peuvent se faire à travers une bonne maîtrise des itinéraires techniques des principales cultures (mil, sorgho, niébé, etc…). C’est dans ce cadre que cette fiche a été élaborée pour décrire ainsi les itinéraires techniques à suivre par les producteurs pour une production de niébé de qualité au Niger. -
Analyse Intégrée du Contexte (AIC)
Se nourrir est un besoin humain fondamental et essentiel pour assurer la survie. L’accès à une nourriture saine et nutritive reste un défi, et devient extrêmement compliqué lors de catastrophes naturelles. La relation complexe entre la récurrence de l'insécurité alimentaire et les risques naturels est illustrée par l'analyse intégrée de tous les contextes corrélés.
Ainsi cette analyse connue sous le terme « Analyse intégrée du Contexte (AIC) » se révèle être un outil programmatique qui a fait ses preuves, susceptible d’apporter un appui aux décideurs - basé sur l’évidence - pour améliorer la planification et la mise en oeuvre des programmes de renforcement de la résilience, de mise en place de filets de sécurité, de réduction des risques de catastrophe, et de préparation aux chocs. -
Rapport annuel AREN 2018
En vingt-cinq (25) ans d’existence, AREN a connu une croissance importante tant par le nombre de ses membres au plan numérique qu’au plan organisationnel. De quelques groupements au départ, AREN compte plus d’un millier de groupements de nos jours. La structuration prévue par les textes fondateurs d’AREN semble ne plus être d’actualité. Cette évolution structurelle est bien la preuve de la vitalité de l’organisation qui a atteint sa pleine maturité dans son cycle de vie. Outre son expertise sur le plan de la défense des droits des éleveurs, de l’humanitaire et de l’urgence, AREN s’est investie pleinement dans la mise en oeuvre de projets dont elle est maître d’ouvrage ou maître d’oeuvre. Un plan d’action 2013-2017 a été élaboré et évalué récemment. -
Service Vétérinaire Privé de Proximité (SVPP)
Face aux différents défis de santé animale, VSF-B accompagne depuis plus de 15 ans la politique de libéralisation de la profession vétérinaire adoptée par les Etats aussi bien en Afrique centrale, de l’Est que de l’Ouest. La vision de ce dispositif est de permettre aux ménages d’agropasteurs, pasteurs - notamment les transhumants - de sécuriser la santé de leurs troupeaux grâce à un accès permanant et durable aux services de santé animale de qualité et en toute saison au sein des pays de départ, de transit et d’accueil. -
Etat des filières laitières dans les 15 pays de la CEDEAO, de la Mauritanie et du Tchad - Annexe 9 : Fiche Niger
Ce rapport Niger constitue l’un des treize documents nationaux servant de base au rapport de synthèse sur les « Etude relative à la formulation d’un programme régional de promotion des chaînes de valeur lait local au sein de la CEDEAO, de la Mauritanie et du Tchad » (Corniaux et al, 2018). Il a été réalisé pour le compte du Hub Rural dans le cadre de l’Offensive Lait portée par la CEDEAO.
Cette étude s’articule autour de deux principales activités : le diagnostic des filières laitières dans la zone CEDEAO, de la Mauritanie et du Tchad et la programmation des actions et des investissements.
Ce présent travail s’intègre dans la première activité. L’objectif est d’actualiser les données et les informations relatives : aux statistiques sur l’élevage et sur les filières laitières (production, importations, consommation) ; aux projets et aux investissements en cours ; aux politiques publiques à l’œuvre. Ce document est élaboré sur la base du rapport de G. Vias (2013). -
Fonctionnement de la filière mangue dans la communauté urbaine de Niamey
La communauté urbaine de Niamey est une localité implantée dans la vallée du fleuve Niger. Les potentialités qu’offre ce type de milieu ont favorisé le développement de la filière mangue. Mais celle-ci reste moins intéressée par les chercheurs. C’est ce qui a motivé le présent travail de recherche qui se veut une contribution à l’analyse du fonctionnement de la filière mangue dans la communauté urbaine de Niamey. La réalisation de ce travail suppose étudier quelques segments de la filière mangue à Niamey à savoir : la production, la commercialisation, la transformation et consommation qui sont autant des variables qu’on peut utiliser pour analyser une filière. La méthodologie adoptée est basée sur la recherche documentaire et les travaux du terrain. Les enquêtes (questionnaires et entretiens) constituent l’essentiel de ces travaux de terrain. Le traitement et l’analyse des données collectées ont permis d’avoir des résultats portant sur le nombre d’hectares implantés des manguiers et le nombre des manguiers productifs. Elles rapportent aussi des informations non seulement sur la quantité des fruits mangues qu’on peut récolter au niveau des vergers de Niamey par année, mais aussi de la quantité importée pour satisfaire les besoins des populations urbaines. Cela a donné également une idée de prix aux consommateurs surtout par unité de mesure exprimée en kg. L’étude a également permis de relever que la transformation reste jusqu’à présent artisanale à cause de manque des moyens techniques et financiers. En ce qui concerne la consommation, elle est considérable du fait de la demande croissante de la population urbaine qui ne cesse d’augmenter. -
Diagnostic des besoins des dix (10) Unions de Sociétés Coopératives du Projet Fortification de Produit transformé (FOPAT) de consommation courante au Niger
Le diagnostic a eu pour but,de faire l’état des lieux du niveau d'organisation, de fonctionnement, de production et des compétences techniques en matière de marketing des dix (10) Unions des Sociétés Coopératives du FOPAT, en vue d'identifier leurs forces et faiblesses dégager une stratégies adoptée de renforcement. l'activité s'inscrit dans la stratégie d'intervention du FOPAT qui entend par cette action, apporter sa contribution à l'émergence du nouveau monde paysan à travers l’accompagnement des populations pauvres disposant de moyens de production rudimentaire. -
Étude diagnostique du dispositif de formation agricole et rural du Niger
La présente étude s’inscrit dans l’appui du réseau international FAR et de l’AFD à la rénovation du dispositif de formation agricole et rurale du Niger, dans le cadre du programme ADEX -FAR 2. L’étude a permis de réaliser un état des lieux du dispositif de formation agricole, public et privé du Niger et de proposer un plan d’action visant à améliorer le dispositif FAR du Niger. -
Etude sur les systèmes financiers décentralisés et la finance rurale : Mécanisme inclusifs de financement alternatif en zone agropastorale des régions de Tahoua, Maradi et Zinder
La nouvelle stratégie pays du FIDA pour le Niger (COSOP 2013 – 2018) recentre les opérations du portefeuille sur l’amélioration durable de la sécurité alimentaire des ménages ruraux dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder. Elle se traduira par une approche-programme axée sur la mise en cohérence progressive des projets en voie de démarrage, en l’occurrence le Projet d’appui à la sécurité alimentaire dans la région de Maradi (PASADEM) et le Projet d’appui à la petite irrigation (Ruwanmu) dans les trois régions. Ceux-ci feront place, à l’horizon 2015, à un programme unique dont les arrangements de mise en œuvre seront définis au moment de la formulation dudit programme. -
Manuel des procédures de gestion administrative, financière, comptable et de passation de machés
Le présent manuel de procédure formalise les principales procédures de gestion administratives, financières, comptable et passation de marché de ProDAF de Diffa. -
Manuel des procédures d'exécution technique du ProDaf Diffa
Le manuel de procédure technique est une synthèse des dossiers techniques élaborés lors de la formulation du ProDaf-Diffa. Il est élaboré dans le but de clarifier les dispositifs et les procédures d'exécution technique et de financement des différentes activités structurantes du ProDaf-Diffa. Il indique les différents acteurs qui seront impliqués dans la mise en œuvre ainsi que leurs rôles et relation fonctionnelle avec l'Unité de Gestion du Projet (UGP). -
Plan stratégique national pour le contrôle et l'éradication de la Peste des Petits Ruminants (PPR) : 2018-2025
Situé au cœur de l’Afrique de l’ouest dans la marge du sud Sahara, le Niger couvre une superficie de 1 267 000 Km².C’est un pays sahélien à vocation essentiellement agro-pastorale ou 80% du territoire sont en zone aride ou semi-aride. L’économie du Niger repose avant tout sur l'agriculture, qui représente 50 % du PIB. L'industrie y est peu représentée, l'extraction et le traitement du minerai d'uranium constituant sa principale source de revenu. Le pays connait un taux de croissance moyen significatif sur les 10 dernières années, mais il reste l'un des plus pauvres du monde avec un PIB de 2 $ par jour par habitant. -
Programme de travail et budget annuel 2018
Le Gouvernement du Niger a obtenu l'Appui financier du Groupe Areva pour un montant de 11,4 milliards de francs cfa suite à un protocole d'accord signé le 1er Décembre 2006. Ce protocole est relatif au Projet d'Aménagement et de mise en valeur de Périmètres irrigués dans la Vallée de l'Irhazer et la plaine du Tamesna (PAMP/VI-PT), pour une superficie de 5.000 hectares. -
Plan de travail et budget annuel 2018
Le Niger a sollicité et obtenu de ses partenaires techniques et financiers sous le leadership du Fonds International de Développement Agricole (FIDA), le financement du Programme de Développement de l'Agriculture Familiale(ProDAF). La mise en œuvre du ProDAF s'inscrit dans le Programme d'actions stratégiques pour le pays (COSOP 2013-2012) et du Plan d'Action 2016-2020 de l'Initiative 3N "Les Nigériens Nourrissent les Nigériens" dont l'objectif global est de" Contribuer à mettre durablement les populations nigériennes à l'abri de la faim et de la malnutrition et leur garantir les conditions d'une pleine participation à la production nationale et à l'amélioration de leurs revenus". -
Le potentiel des IG au Niger et leur stratégie de développement
Le Niger s'étend sur une superficie de 1.267.000 km² avec 300 000 km² de zone agricole, 240.000 km² de zone pastorale et 727.000 km² de zone désertique (environ 3/4). Le Niger est caractérisé par de basses altitude (200 à 500 m) avec un relief marqué par des massifs montagneux au Nord-Ouest (massif de l'Air), des plaines et des plateaux au sud. Le climat est de type tropical sec avec une longue saison sèche de 7 à 9 mois et une courte saison de pluie de 3 à 5 mois. -
Profil national genre des secteurs de l’agriculture et du développement rural
La FAO et la Commission de la CEDEAO ont commandité une évaluation genre des secteurs de l’agriculture et du développement rural au Niger, dans le cadre de leur Projet de Coopération Technique «La réponse genre aux Plans régionaux et nationaux d’investissement agricole pour relever le Défi Faim Zéro dans la région de la CEDEAO». Cette évaluation a appréhendé, d’une part, les inégalités entre hommes et femmes dans le secteur agricole et rural et, d’autre part, l’aspect genre dans le Programme National d’Investissement Agricole (PNIA), notamment l’Initiative les Nigériens Nourrissent les Nigériens (I3N), ainsi qu’au niveau des institutions étatiques et des partenaires au développement. -
Programme de Travail et Budget Annuel (PTBA) du PIPA/SA
Le Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA) dans la région de Tahoua et Tillabéri est conjointement financé par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), l'Etat du Niger et les populations bénéficiaires pour un montant global de 10 milliards de 484 millions de FCFA hors taxes et hors douane. L'objectif global du PIPAS/SA est de contribuer à l'occasion de la production agricole nationale tout en améliorant les conditions et niveaux de vie des populations de la zone d'intervention du projet (ZIP). -
Plan de Travail et Budget Annuel 2018 : 01 Janvier-31 Décembre 2018
Le PACRC est l'un des quatre projets du PSRC. Il a pour objectif de développement "l'amélioration de la protection des populations et des systèmes de productions face à la modification et à la variabilité du climat dans les communes cibles". -
Projet de budget 2018 du Système CILSS
Le budget 2018 a été préparé conformément aux dispositions du Règlement financier du CILSS et est exprimé en FCFA. -
Rapport administratif et financier au 31 Décembre 2017
Le système comptable du CILSS se compose d'une comptabilité budgétaire et d'une comptabilité générale. Ces deux comptabilité sont tenues en francs CFA par une année civile allant du 01 Janvier N au 31 décembre N. -
Rapport annuel d'activités 2017
Le Gouvernement de la République du Niger et la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) ont signé le 18 Janvier 2011, l'accord de financement de la mise en œuvre du Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA). Il est conjointement financé par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), l’État du Niger et les populations bénéficiaires pour un montant global de 10 milliards 484 millions de FCFA hors taxe et hors douane. -
Rapport d'activités : Diagnostic de la transformation et du contrôle de qualité des USCOOPS
Le Projet de Fortification de Produits Alimentaires Transformés (FOPAT) de consommation courante au Niger mis en oeuvre par le PAM en partenariat avec le GRET, vise à appuyer la structuration des filières locales de produits alimentaires transformés. Le projet permettra de développer les capacités adéquates pour que les produits localement transformés puissent être valorisés de manière sure et fiable. -
Rapport d'avancement de l'exécution physique et financière du PIPA/SA au 31 aoùt 2018
Le Gouvernement de la République du Niger et la Banque Ouest Africaine de Développement ont signé le 18 janvier 2011, l'accord de financement de la mise en oeuvre du Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA). Il est conjointement financé par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), l'Etat du Niger et les populations bénéficiaires pour un montant de 10 milliards 484 millions de fcfa hors taxe et hors douane. -
Rapport d'avancement des activités du PTBA au 31 août 2018
Le Gouvernement de la République du Niger et la Banque Ouest Africaine de Développement ont signé le 18 janvier 2011, l'accord de financement de la mise en oeuvre du Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA). Il est conjointement financé par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), l'Etat du Niger et les populations bénéficiaires pour un montant de 10 milliards 484 millions de fcfa hors taxe et hors douane. -
Rapport du diagnostic Marketing (volet transformation) des Unions de Sociétés Coopératives Simplifiées (USCOOPS) sélectionnées dans le cadre du projet FOPAT.
Le projet FOPAT (Fortification des Produits Alimentaires Transformés), financé par l'UE, est mise en œuvre par le PAM et le et le Gret. Il vise à renforcer l'accès durable et la consommation d'aliments fortifiés de qualité pour la consommation courante au Niger. Dans le cadre de ce projet, le Gret doit appuyer des transformateurs locaux ( Union des Sociétés Coopératives Simplifiées - uscoops-) à produire, commercialiser et promouvoir des produits locaux fortifiés de qualité et d'un processus de certification au niveau national. -
Rapport annuel 2018 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger pour la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution vivant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2018, le cheptel est estimé à 48.460.804 têtes toutes espèces confondues soit 19.016.316 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 4.100 milliards de francs CFA. -
Gestion et prévention des conflits fonciers au Sahel, quel rôle pour les collectivités locales ? Document de capitalisation d’expériences
La situation actuelle des pays du Sahel est caractérisée par une forte croissance démographique et l’épuisement des ressources naturelles, ce qui conduit à une compétition accrue pour l’exploitation des ressources naturelles, provoquant des conflits entre les opérateurs ruraux.
Les conflits constituent une contrainte majeure à la gestion durable des ressources naturelles et de développement local. L’enjeu n'est pas de faire disparaître les conflits, mais de les gérer au mieux et si possible de les prévenir. La gestion des conflits s’inscrit pleinement dans la lutte contre la pauvreté, la conservation de la biodiversité et l’adaptation aux changements climatiques.
Tous les acteurs du développement ont leur rôle à jouer, et les collectivités locales sont en premières lignes. Elles ont la responsabilité de veiller à une meilleure cohabitation entre les opérateurs ruraux sur leurs territoires.
De même, les autres structures de la société notamment, les familles, les villages, les communautés, les collectivités décentralisées doivent apporter leur contribution à la création des conditions de stabilité et de paix sociale dans leurs localités, gage d’un développement à la base. -
Annuaire National 2018 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger
La semence est à juste titre le levier de commande du développement de l’agriculture car elle constitue, le premier élément à travers lequel sont valorisés les autres facteurs de la chaine de production. C’est cet état de fait qui a conduit les institutions d’intégration sous régionale (CEDEAO, UEMOA, CILSS) a assainir la filière semencière en élaborant un règlement régional portant harmonisation des règles régissant le contrôle de qualité, la certification et la commercialisation des semences végétales et plants dans leurs espaces communs. -
Comment évaluer les performances globales de l'irrigation sur un aménagement hydro-agricole rizicole?
L'amélioration et la consolidation des aménagement hydro-agricole existants passent nécessairement par une évaluation de leurs performances. Il est donc nécessaire, pour se faire, de mettre à la disposition des techniciens de terrain des méthodologies avec des indicateurs simples pour procéder au diagnostic du fonctionnement des périmètre. -
Comment développer la production du riz par le système de riziculture intensive?
Le riz constitue la troisième céréale produite au Niger et représente 2,3% de la production de céréales. Tandis que le potentiel de terres irrigable est estimé à 270 000 ha, les terres exploitables en riziculture représentent 24 000 ha. Ces terre sont surtout localisées dans la vallée du fleuve dans les régions de Tillabéri et Dosso et autours du Lac Tchad. -
Restauration agronomique des glacis encroutés par la technique Zai+Paillage
Les techniques consistent à la réalisation des étapes suivantes : Épandre de la paille sur le sol encrouté juste après la récolte en raison de 150 à 200 g de tiges/m² soit 1,5 à 2 t/ha; creuser avec des dabas, des poquets de 20-30 cm de diamètre et 30 cm de profondeur, trois mois avant la saison prochaine, identifier le sens de la plus grande pente. -
Étude de la contribution des plantes ligneuses pérennes à l'approvisionnement en fourrage et à la sécurité alimentaire : Bauhinia rufescens Lam.
Arbuste de la famille des Fabaccae, très branchu, généralement de moins de 8 m de hauteur, le plus souvent buissonnant. La plante présente une écorce de couleur gris pale, le plus souvent écailleuse. Les feuilles persistantes et bilobées sont alternes. -
Amélioration de la conduite alimentaire des troupeaux allaitants
L'élevage laitier en dépit de sa proximité de la ville et des dépenses importantes engendrées par l'alimentation, est confronté à un faible niveau de performance de production. Ceci est du à plusieurs raisons, à savoir notamment le bas niveau nutritionnel, le faible potentiel génétique des animaux, la non maitrise de santé animale et le faible niveau technique des éleveurs. -
Fabrication d'aliment de bétail sous forme de poudrette
Au Niger, l'élevage se trouve au deuxième rang après l'agriculture parmi les activités qui procurent des revenus importants dans les zones rurales. Il occupe plus de 80% de la population nigérienne. Il contribue pour 11% du PIB national, 35% au PIB agricole (INS-Niger, 2013). -
Amélioration de l'élevage de jeune poussins et pintadeaux en aviculture traditionnelle ou villageoise
Les jeunes sujets représentent la base de réussite d'un élevage avicole. Cependant, ils sont confrontés à des nombreux aléas qui limitent ainsi la productivité d'un élevage de basse-cour en milieu villageois. Les caractéristiques d'un tel élevage sont notamment: Exposition aux intempéries et prédateurs ; Faible couverture sanitaire; Mortalité très élevé après éclosion; Faible performance de croissance. Ceci suppose qu'il y a nécessité d'adopter un plan rigoureux de soins intensifs d'hygiène et de prophylaxie. -
Rapport annuel AREN 2018
En vingt-cinq (25) ans d’existence, AREN a connu une croissance importante tant par le nombre de ses membres au plan numérique qu’au plan organisationnel. De quelques groupements au départ, AREN compte plus d’un millier de groupements de nos jours. La structuration prévue par les textes fondateurs d’AREN semble ne plus être d’actualité. Cette évolution structurelle est bien la preuve de la vitalité de l’organisation qui a atteint sa pleine maturité dans son cycle de vie. Outre son expertise sur le plan de la défense des droits des éleveurs, de l’humanitaire et de l’urgence, AREN s’est investie pleinement dans la mise en œuvre de projets dont elle est maître d’ouvrage ou maître d’oeuvre. Un plan d’action 2013-2017 a été élaboré et évalué récemment. -
Genetic and geographic variation in growth of Balanites aegyptiaca in Niger: comparing results from provenance/progeny tests in the nursery and field
Some tree improvement programs in Africa use nursery tests to investigate genetic and geographic variation in growth, but do they lead to the same conclusions as field tests? We investigated this question using provenance/progeny tests (12 provenances, 108 families) of Balanites aegyptiacafrom semi-arid Niger. The nursery test included treatments for time (12–16 months) and watering regime (reduced and normal). Family variation was significant for shoot diameter (Sdia), height (Sht), dry weight (Swt) and root dry weight (Rwt) in the nursery, and for tree height at 1 and 2 years (Fht-1, Fht-2) but not at 13.5 years (Fht-13.5) in the field. Provenance variation was significant only for root/shoot weight ratio (RSwt) in the nursery. Family mean Fht-1 and Fht-2 were positively correlated with all nursery growth variables except RSwt. Provenance mean Fht-2 was positively correlated with Sht, while provenance mean Fht-13.5 was negatively correlated with Swt and positively correlated with RSwt. Family mean survival at 13.5 years was positively correlated with Swt, Sdia, Fht-1 and Fht-2. Family mean Rwt, RSwt and Fht-2 increased from the more humid western to the drier eastern locations. -
Diversité, productivité et qualité des pâturages des écosystèmes dunaires du Département de Gouré (Niger)
Une étude phytosociologique a été menée sur la végétation herbacée pour mettre en évidence les facteurs déterminants de la diversité, de la productivité et de la qualité des pâturages des parcours transhumants dans le Département de Gouré à l’Est du Niger. Au total, 69 relevés de végétation ont été réalisés suivant la méthode sigmatiste de Braun Blanquet et des plateaux de biomasse ont été récoltés. La matrice de données a été soumise à une « Detrended Correspondence Analysis » pour la typologie des pâturages. Ensuite, des tests de comparaison ont permis d’apprécier la significativité des différences entre les pâturages par rapport à leurs productivités et leurs qualités. -
Productivité, valeur pastorale et capacité de charge des parcours naturels de la région de Maradi, Niger
La région de Maradi dispose d’importantes ressources animales et pastorales. Mais l’extension des terres agricoles et l’accroissement du cheptel entrainent une forte pression sur les pâturages,ressources essentielles pour l’élevage au Sahel.Ainsi, cette étude vise à connaitre l’état actuel de ces pâturages en les caractérisant en termes de valeur pastorale, de productivité et de capacité de charge.Les données ont été collectées par la méthode linéaire de Daget et Poissonet (1971) et la méthode de récolte intégrale de biomasse. Les résultats montrent que la valeur pastorale des pâturages augmente avec le gradient climatique Sud-Nord tandis que la productivité des pâturages,elle,est plus élevée au Sud et plus faible au Centre de la région. La capacité de charge de tous les pâturages est très faible mais très variable entre les zones bioclimatiques,les pâturages du Sud présentant les plus grandes capacités de charge suivis des pâturages du Nord. Ainsi, la faible capacité de charge, l’extension des cultures au détriment des pâturages et l’accroissement du cheptel vont accentuer la dégradation de ces écosystèmes sahéliens déjà fragilisés ce qui aura une conséquence néfaste sur les performances zootechniques
du cheptel et l’économie de la Région. -
Valeurs pastorale et productivités inter-décennale des parcours de la vallée de Goulbi N'Kaba au Niger
La présente étude est conduite sur la vallée de Goulbi N’Kaba au Niger. L’objectif de cette étude estde déterminer la valeur pastorale et la productivité de cette zone. Méthodologie :La démarche méthodologique est axée sur les sites de sites de réhabilitation pastorale et sur deux (2) transects(GuidanBaoua- GuidanTawayé et KorinHabdjia- DanKibia), d’environ 6,5 km de longueur, parcourant les terrasses adjacentes (champs), les couloirs de passage et la zone sylvo-pastorale (ZSP) de la vallée. Les relevés phytosociologiques basés sur l’abondance (nombre) et la dominance (recouvrement)des espèces, et la récolte de la phytomasse ont été régulièrement faits dans des placettes de 2500 m². La méthode de points quadrats alignés et celle de la récolte de la biomasse intégrale ont été appliquées. Les valeurs fourragères et pastorales, les productivités et les capacités de charges ont été appréciées. -
Trend and Structure of Populations of Balanites aegyptiaca in Parkland Agroforestsin Western Niger
In Sub-Saharan Africa, trees and shrubs are intentionally cultivated with crops for multiple ecological and socioeconomical benefits [1-3]. Agroforestry systems are important for improving crop productivity, maintaining ecosystem integrity, and limiting capital resources depletion such as water, nutrients and soil [4,5]; mitigating the effect of global climate changes due to permanent tree cover that stores terrestrial carbon [6-9]; and reducing forest destruction by providing wood and non-timber products for human wellbeing [10]. Classically, agroforestry systems have been classified into six categories in which the woody plant component has the central role in the functioning of the agroforestry systems. These systems include crops under tree cover, agroforests, agroforestry in a linear arrangement, animal agroforestry, sequential agroforestry and minor agroforestry techniques [11]. The systems of crops under tree cover include all combinations of trees and crops in which the woody component creates an upperstorey covering the crops. -
Flore et structure des peuplements ligneux des pâturages naturels de la région de Maradi
Ce travail porte sur la flore et la structure des peuplements ligneux des pâturages naturels de la région de Maradi au Niger. Les données, collectées à l’aide de relevés phytosociologiques de la strate ligneuse ont été soumises à une Analyse des Correspondances Détendancée suivie d’une Classification Hiérarchique Ascendante, ce qui a permis de distinguer les différents peuplements ligneux. Les mesures dendrométriques effectuées sur tous les pieds adultes ont permis d’établir la structure dendrométrique de ces peuplements. Seules 22 espèces ligneuses ont été recensées sur ces pâturages. Elles sont réparties dans 11 familles dont les plus dominantes sont les Combretaceae (18,18 %) et les Mimosaceae (18,18 %). La diversité spécifique est faible dans tous les peuplements ligneux mais augmente avec le gradient climatique sud-nord. La structure dendrométrique montre que ce sont des formations arbustives (72,72 % de microphanérophytes), très ouvertes (4,1 à 11,6 % de recouvrement) et dégradées (structures endiamètres et en hauteurs en dents de scie pour la plupart des peuplements). Le taux de régénération est cependant très élevé dans certains peuplements, ce qui leur confère une grande capacité régénératrice. -
Analyse de la variabilité des rendements du riz selon les variétés et les pratiques culturales : cas des périmètres irrigués de Toula, Bonféba et de Diomana au Niger
La riziculture (Oryza sativa L.) est une activité très importante au Niger pour sa contribution à l’amélioration dela sécurité alimentaire et des revenus des populations. Cependant, malgré l’existence de plusieurs potentialités(potentiel irrigable, création de plusieurs périmètres irrigués), les nigériens continuent à être dépendants du riz en provenance de l’extérieur . Parmi les difficultés que rencontre la production rizicole, la principale reste la stagnation des rendements. C’est pour comprendre les causes qui sont à la base de cette stagnation que cette étude a été menée. L ’objectif principal visé est de déterminer les facteurs induisant les écarts de rendements entre les variétés de riz selon les pratiques culturales des producteurs. -
Diversité Inter Décennale de la végétation de la vallée De Goulbi N’Kaba
La présente étude est conduite dans la zone sylvo-pastorale (ZSP) et la zone agricole (champs sur les terrasses adjacentes) de de la vallée de Goulbi N’Kaba, au centre sud du Niger. L’objectif de l’étude est d’évaluer la biodiversité végétale interdécennale (2004-2014). Ainsi,les relevés phytosociologues (Daget et Poissonet, 1971) ont été effectués dans des placettes de 2500 m², le long des transects de 6,5 km suivant l’échantillonnage stratifié. Une classification hiérarchique ascendante, suivie d’une ordination par Nonmetric Multidimensional Scaling (NMS) ont permis d’identifier les groupements végétaux. La diversité de chaque groupement a été évaluée. Les résultats montrent que les familles des Poaceae et des Fabaceae sont les plus abondantes en 2004 (15,58% et 11,69%) et en 2014 (18,75% et 7,29%). -
Effets d’acacia senegal (L.) Willd. sur le rendement du niébé (Vigna unguiculata) au Niger, Afrique de l’ouest
L’agriculture nigérienne est une agriculture de subsistance avec peu d’apport de fumure organique et minérale (Ibrahim, 2010). La consommation d’engrais minéraux au Niger est extrêmement faible ; en moyenne, elle est de l’ordre de 20.000 t sur 5,35 millions d’hectares soit 4,3 kg ha cultivé et par an (RECA, 2010). Cet état de fait trouve son explication dans l’inaccessibilité de cet intrant et la pauvreté de la population. Pourtant, même s’ils sont accessibles, les engrais minéraux seuls ne suffisent pas, sur le long terme, à maintenir la fertilité des sols ou augmenter le rendement des cultures (Bado2002). En effet, nombreuses études ont montré leurs effets négatifs à long terme sur la dégradation chimique des sols, entraînant de ce fait une réduction de rendement (Koulibaly et al., 2010). Face à cette situation, les systèmes de cultures plus durables à faibles intrants et les processus naturels doivent être exploités. -
Gestion des forêts naturelles et approvisionnement durable en bois-énergie des villes du Sahel
Depuis une trentaine d’années, l’accroissement démographique des villes de Bamako au Mali, de Ouagadougou au Burkina Faso, et de Niamey au Niger accompagnée de la dégradation concomitante des formations forestières périurbaines dans un contexte de pauvreté des populations rurales mais aussi urbaines, impose les conditions d’une meilleure organisation de leur approvisionnement en bois énergie. La production de bois-énergie pour l’approvisionnement des centres urbains et ruraux et les défrichements agricoles font partie des principaux facteurs de dégradation des forêts qui entrainent la réduction de la capacité de stockage du carbone des formations forestières et donc d’absorption des gaz à effet de serre. Le bois énergie est en effet le principal combustible utilisé par plus de 90% des ménages comme essentielle source d’énergie. Les projections montrent que l’usage du bois-énergie continuera d’être dominant, mais devrait être concurrencé en milieu urbain par celui du gaz de pétrole liquéfié (GPL) et des autres combustibles dits « modernes ». Le bois de feu restera le combustible le plus utilisé en milieu rural pendant encore de nombreuses années, avec une forte progression de l’usage du charbon de bois. -
Proposition d’une Stratégie de Communication pour l’adoption des semences améliorées face aux changements climatiques dans la Commune rurale de Djiratawa, Département de Madarounfa, Région de Maradi (Niger)
Dans le cadre de la validation du Master II en Communication pour le Développement à l’Institut de Formation aux Techniques de l’Information et de la Communication (IFTIC) de Niamey, nous avons eu l’opportunité de réaliser un stage de mémoire. Ce mémoire porte sur le sujet de proposition d’une stratégie de communication pour l’adoption des semences améliorées face aux changements climatiques dans la Commune rurale de Djiratawa, Département de Madarounfa, Région de Maradi (Niger), avec comme question de recherche l’adoption et l’utilisation des semences améliorées pourrait-elle faire face aux changements climatiques dans la Commune rurale de Djiratawa? L’hypothèse principale de l’étude est la suivante : une bonne stratégie de communication proposée favoriserait l’adoption des semences améliorées afin de faire face aux changements climatiques et de contribuer à la sécurité alimentaire. -
Décret n°2018-458/PRN du 06 juillet 2018 relatif à l’entrepôt et au warrant
Le présent décret a pour objet de réglementer les entrepôt, les récépissés d’entrepôts et le warrant. -
Revue annuelle de mise en œuvre du PromAP II : État d'avancement du programme et niveau de mise en œuvre du plan de travail 2018
L’année 2018 constitue la dernière année de mise en œuvre de la deuxième phase du PromAP. Le bilan d’exécution du plan annuel de travail 2018 est plutôt positif avec beaucoup de progrès au niveau de certains résultats/changements visés par le programme. Ainsi, le PromAP II a accompagné au cours de cette année un total de 327 sites de production de petite irrigation contre 231 sites au démarrage la phase du programme en 2016 ; soit une augmentation de plus 41 %. Le nombre de producteurs accompagnés a augmenté de plus de 38% (49.302 contre 35.694 en 2016). Les superficies exploitées ont connu une augmentation de 63% avec une progression en 8.900 hectares par rapport à 2016. -
Régénération Naturelle Assistée (RNA) : outil d'adaptation et résilience des ménages ruraux d'Aguié au Niger
Cette étude a été conduite au niveau des cinq villages de la grappe de Dan Saga dans la commune d’Aguié où l’agriculture et l’élevage, principales activités socio-économiques des populations sont confrontées à une dégradation sans cesse croissante des ressources naturelles. Pour y faire face, la Régénération Naturelle Assistée (RNA) était l’une des techniques utilisées par les producteurs. Les données de l'étude ont été obtenues en recueillant des informations quantitatives et qualitatives sur la perception de la communauté. L’objectif visé à travers cette étude est d’évaluer la contribution de la RNA dans l’économie des ménages vulnérables. L’enquête a concerné 99 chefs de ménage agricoles tirés de l’ensemble des villages. Les critères de choix des enquêtés est la pratique de la RNA dans leurs champs et le statut de vulnérabilité de l’exploitant issu de la catégorisation sociale. -
Rapport complet Septembre 2018 - Étude de faisabilité pour l’investissement dans le systèmes d’accès à l’information
Du fait de sa situation géographique, et des effets du changement climatique, le Niger traverse régulièrement, depuis plusieurs décennies, des crises (sécheresses, inondations, ravageurs, …) plus ou moins sévères qui affectent durement les récoltes et la sécurité alimentaire des populations, faisant du Niger un des pays les plus pauvres de la planète (classé par les Nations Unies, 2ème pays le plus pauvre au monde en 2016). -
Manuel du référentiel technique et des standards minima pour la conception et le dimensionnement des aménagements types pour la petite irrigation
La petite irrigation contribue à assurer la satisfaction des besoins alimentaires de base des populations et à sécuriser la production agricole en la rendant moins dépendante des conditions climatiques. Elle permet ainsi de rendre les populations moins vulnérables aux crises alimentaires répétitives. Les cultures de contre-saison sont donc devenues primordiales dans le cadre de la recherche de la sécurité et l’autosuffisance alimentaires. Le développement harmonisé du sous-secteur de la petite irrigation sur la base des principes de la SPIN est primordial. Le plan d’actions pluriannuel de la SPIN est l’un des principaux outils de gestion, suivi et évaluation sous sectoriel de référence pour consolider l’approche programmatique sous sectoriel. Ce même et unique document est révisable annuellement et subira une évaluation et nouvelle programmation. De plus, il servira de base commune permettant un suivi de performance annuel. -
Manuel du référentiel technique est des standards minima pour la conception et le dimensionnement des aménagements types pour la petite irrigation (Module 2)
La petite irrigation contribue à assurer la satisfaction des besoins alimentaires de base des populations et à sécuriser la production agricole en la rendant moins dépendante des conditions climatiques. Elle permet ainsi de rendre les populations moins vulnérables aux crises alimentaires répétitives. Les cultures de contre-saison sont donc devenues primordiales dans le cadre de la recherche de la sécurité et l’autosuffisance alimentaires. -
Un modèle de dispositif de conseil multi-acteurs, porté par une filière locale et autour d'un acteur pivot, un centre de collecte laitier paysan multi-service
Au Niger, une grande réforme du conseil agricole a été lancée en 2016. Le nouveau système national de conseil agricole SNCA se base sur une multitude de dispositifs de conseil sur le terrain - publics, de la profession agricole et privés. Les dispositifs publics sont d’ailleurs aujourd’hui minoritaires. Parmi ces dispositifs, il existe des dispositifs originaux portés par la filière lait local autour de centres de collecte laitiers paysans multiservices. Les centres de collecte reposent sur cinq piliers : (1) un bassin de production à l’amont ; (2) la contractualisation avec un industriel à l’aval ; (3) une gouvernance paysanne ; (4) multiservices : approvisionnement, collecte/commercialisation, conseil ; (5) collecter, refroidir, contrôler la qualité et vendre du lait cru plutôt que de le transformer (ce ne sont pas des mini-laiteries). -
Informer les producteurs et productrices sur l’utilisation de semences améliorées Note de travail n°1
Dans le cadre du PASEC, il est attendu des Chambres Régionales d’Agriculture qu’elles fournissent des informations aux producteurs et productrices. Ainsi, si l’on veut que les producteurs utilisent des semences améliorées, et notamment de semences « résistantes à la sécheresse », il faut être capable de leur donner une information sur l’intérêt d’utiliser ces variétés, lesquelles répondent au critère de résistance à la sécheresse (selon les sélectionneurs), où les trouver et à quels prix. Afin de préparer une information précise, le RECA a regardé les disponibilités en semences pour la campagne 2018 à partir des données de « l’Annuaire National1 2018 de disponibilité en semences des variétés améliorées au Niger » élaboré par le Ministère de l’Agriculture et de l’Élevage. -
Étude participative sur les aspirations des jeunes et l’efficacité des politiques publiques en matière de jeunesse au Niger
Au Niger, la structure démographique fait ressortir le poids important des jeunes1 dont le taux d’accroissement naturel est estimé à 3,81% en moyenne sur la période 2001-2011. Environ 60% (13 millions) de la population a moins de 18 ans et près de 500.000 jeunes entrent sur le marché du travail chaque année. Cette progression rapide de la population active soulève la problématique de la place des jeunes dans la société nigérienne. L’approche participative mise en œuvre dans le cadre de cette recherche consiste à donner la voix aux jeunes pour comprendre leurs aspirations et capter leurs perceptions. Trois thématiques majeures ont été abordées pour lesquelles l’étude a fait ressortir les principaux messages clés. -
Innovation rurale : contribution de la pomme de terre à la sécurité alimentaire dans la Commune rurale de l’Imanan
La presse présente généralement les sociétés rurales africaines, en particulier celles de l’Afrique subsaharienne comme étant essentiellement constituées de populations pauvres et vulnérables. Cette approche est largement erronée car, à l’exception des zones de guerres, ces populations subviennent la plupart du temps à leurs besoins essentiels grâce à l’exploitation ingénieuse des ressources disponibles. Elles font preuve de créativité et d’initiatives pour assurer la survie de l’unité familiale, en mettant en œuvre des savoir-faire locaux et de nouvelles pratiques pour s’adapter à la variabilité et la singularité des situations rencontrées. Elles s’adaptent quotidiennement à des milieux changeants. -
Guide de formation : l'agroécologie pour sortir des pesticides - Promotion d'alternatives au pesticides : Module 3
L’objectif de ce module est de permettre de développer la lutte biologique et une meilleure connaissance des ravageurs et auxiliaires afin de mettre en place une stratégie de protection des cultures sans pesticides. Concernant les principes globaux, la pyramide ci-dessous présente les différents outils et méthodes pouvant être mis en œuvre par les paysans afin de leur permettre d’éviter au maximum l’utilisation de pesticides. Pour obtenir des cultures les plus saines possibles, les principes de base de l’agroécologie se situent en socle avec une diversité de pratiques, de systèmes de culture et de paysages. Ensuite interviennent les observations, étape déterminante pour établir le bon diagnostic et choisir la stratégie. -
Projet de renforcement de la résilience par le biais des services BRICKS liés à l’innovation, à la communication et aux connaissances
Cette note, la troisième du genre consacrée à la fixation des dunes , s’inscrit dans le cadre des semaines thématiques initiées par le Projet de renforcement de la résilience par le biais de services liés à l’innovation, à la communication et à la gestion de connaissances (BRICKS) en appui au Programme Sahel et Afrique de l’Ouest (SAWAP) en appui à l’initiative de la Grande muraille verte (GMV). L’objectif du projet est de favoriser la mise à l’échelle des bonnes pratiques de gestion durable des terres en partageant des informations techniques, institutionnelles, économiques et de contraintes pour la mise à l’échelle. -
Stratégies d’adaptation du Mil (Pennisetum glaucum [L.] R.Br) face à la variabilité et au changement climatique au Niger : Prise en compte des Perceptions communautaires et des techniques agronomiques dans la gestion des risques agroclimatiques.
L’objectif de ce travail est de rendre la culture du mil encore plus résiliente face au changement accentué du climat en liant les connaissances scientifiques aux perceptions communautaires. Pour cela, une enquête sur les risques agroclimatiques a été conduite sur 361 chefs de ménage de l’ouest du Niger et des techniques de transplantation et des coupes des feuilles des jeunes plants ont été testées au Centre Régional AGRHYMET. Les résultats des essais ont été évalués avec le Modèle SARRA_H par rapport au climat futur et auprès des paysans. Les résultats de l’enquête ont montré que les communautés sont conscientes des risques agroclimatiques, dont les plus fréquents et les plus sévères sont la fin précoce des pluies, les vents de sable en début de saison et les séquences sèches. -
Loi N° 2018-20 du 27 Avril 2018 portant régime des Organisations Interprofessionnelles Agricoles au Niger
La présente loi a pour objet la règlementation des organisations interprofessionnelles du Secteur Agricole au Niger. -
Pratiques d’éleveurs et résultats économiques d’élevage dans les exploitations urbaines et périurbaines de Niamey
Cette étude a été conduite afin de caractériser les pratiques d’élevages dans la communauté urbaine de Niamey. Il a été réalisé une enquête transversale à l’issue de laquelle 344 éleveurs ont été enquêtés dans 27 quartiers et 9 villages agricoles. Les résultats ont montré que la pratique d’élevage repose le plus souvent sur la passion (50,19%) et l’héritage (45,65%) respectivement en milieu urbain et périurbain. L’élevage ovin prédomine et l’allotement est quasi inexistant. Les animaux sont majoritairement élevés soit dans des habitats couverts en matériaux provisoires, soit sans habitat. La main d’œuvre utilisée est principalement familiale (86,51%) en milieu urbain et (58,06%) en périurbain. -
Cadre de gestion environnementale et sociale du Projet d'Appui au Désenclavement des Zones Agricoles (PADEZA) Dosso-Tahoua-Zinder au Niger
Dans le cadre de sa politique de développement, le Niger a sollicité et obtenu de l’Agence Internationale pour le Développement (IDA) un prêt pour le financement du Projet d’Appui au Désenclavement des Zones Agricoles (PADEZA). Ce projet est une suite des financements antérieurs dans le cadre d’appui et/ou financement additionnel des projets d’appui au programme sectoriel des transports et compte se focaliser dans les régions de Dosso, Tahoua Maradi et Zinder, qui ont une forte densité humaine mais aussi un taux élevé de pauvreté par rapport à la moyenne nationale. Ces régions sont également des zones à hautes potentialités agricoles, où des projets comme le PARIIS (Projet d'Appui Régional à l'Initiative pour l'irrigation au Sahel) et le PASEC (Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible aux risques Climatiques) sont déjà mis en œuvre. Donc l’intervention de PADEZA développera une synergie entre les trois (3) projets surtout dans le désenclavement des grands bassins de productions agricoles. -
Effet de l'adoption de la technique du microdosage d'engrais sur la disponibilité et l'accessibilité céréalière des exploitations agricole à base de mil et de sorgho au Mali
Cette étude examine l’effet de l’adoption de la technique de microdosage d’engrais sur l’autosuffisance céréalière des exploitations agricoles à base de mil et de sorgho au Mali. Des données ont été collectées au cours de deux campagnes agricoles, à partir des enquêtes auprès de 108 exploitations agricoles. Les résultats montrent que l’application de la technique de microdosage par les producteurs sur les cultures de mil et de sorgho permet d’obtenir des rendements plus élevés comparativement à l’ancienne pratique des producteurs. Les résultats montrent aussi que l’adoption de la technique à grande échelle par les agriculteurs contribue l’amélioration de la sécurité alimentaire par la couverture des besoins céréaliers des exploitations agricoles. -
Plan d'Action pour les zones humides du Niger 2019-2021
Le Niger, pays de l’Afrique de l’Ouest, couvre une superficie de 1.267.000 km² s’étendant essentiellement à la partie méridionale du Sahara. Son relief se caractérise par une alternance de plaines et de plateaux entrecoupés d’affleurements rocheux précambriens à l’Ouest, de chaînes de collines du crétacé et du tertiaire au centre et à l’Est, des vallées et cuvettes d’Ouest en Est et dans sa partie Nord par le massif montagneux de l’Aïr (1800 m) ; l’Erg du Ténéré se trouvant au centre. A l’ouest, on débouche sur les grandes zones d’épandage des écoulements venant de l’Aïr et de l’Irhazer; sur le Tadress au sud, le Kawar à l’Est, les vastes plateaux désertiques, les massifs du Termit et les vastes étendues sableuses (PAN-LCD/GRN, 2000). Le climat est de type continental sahélien, caractérisé par deux saisons : une courte saison pluvieuse (juin à septembre), et une longue saison sèche (octobre à mai). Les zones agroécologiques rencontrées sont la zone saharienne, saharo sahélienne, sahélienne, sahélo-soudanienne et soudanienne (Atlas du Niger, 2015). -
Assistance technique en statistiques de l'élevage au Niger : une analyse descriptive des résultats des enquêtes tests sur le recensement du cheptel nomade et transhumant et la productivité du cheptel dans les communes de Kao et Kornaka
L'élevage est l'un des secteurs clés du Niger, représentant 40% du Produit Intérieur Brut (PIB) agricole et 11% du PIB global. Il emploie environ 87% de la population active et est pratiqué par presque tous les ménages en zone rurale. Par conséquent, disposer de statistiques plus précises sur le cheptel au Niger aiderait à mettre en œuvre de meilleures politiques et à suivre les différents programmes mis en place par le gouvernement et les autres partenaires internationaux. -
Profil pays Niger sur l'enrichissement des aliments
Ce document donne un aperçu de l’enrichissement des aliments au Niger. Il fait partie d’une série de documents similaires sur l’enrichissement des aliments préparés pour un certain nombre de pays par le « Food Fortification Advisory Services », 2FAS. Ces profils couvrent un large éventail d’approches d’enrichissement des aliments incluant la bio fortification l’enrichissement à domicile, ainsi que des véhicules potentiels pour l’enrichissement. -
Evaluation des effets des opérations 2018 mises en oeuvre par le Dispositif national de prévention et de gestion des crises alimentaires (DPNGCA)
Le Plan de Soutien 2018 du Gouvernement et de ses partenaires a prévu d’intervenir en faveur des groupes de population en insécurité alimentaire et nutritionnelle (une cible totale de 1.624.000 personnes en Insécurité Alimentaire Sévère (IAS) et 2 238 000 personnes en Insécurité Alimentaire Modérée (IAM)) en combinant des actions de prévention, d’urgence et de réhabilitation. Parmi l’ensemble des 14 opérations prévues1
dans le cadre du Plan de Soutien du Dispositif de Prévention
et de Gestion des Crises Alimentaires (DNPGCA). -
Bilan environnemental et social de la mise en œuvre des activités du Projet de Gestion Intégrée des Écosystèmes entre le Niger et le Nigeria de l’antenne du projet de Birni N’Konni dans la région de Tahoua au Niger
Le présent TFE s’est intéressé au bilan environnemental et social du Projet de Gestion Intégrée des Ecosystèmes entre le Niger et le Nigeria de l’antenne du projet de Birni N’Konni dans la région de Tahoua au Niger. La méthodologie appliquée est axée sur la recherche documentaire et à la collecte de données sur le terrain à travers les entretiens et les visites terrains. Le projet a consisté à réhabiliter 120 ha de terres dégradées, à planter 30.000 plants forestiers, à construire 1.200 foyers améliorés, à installer 300 ml de cordons de pierres et à élaborer 3 plans communautaires de base et de gestion de ressources naturelles. A l’issue de la campagne d’entretiens et observations, nous avons démontré la contribution du projet à l’amélioration de conditions de vie dans les villages et la ré-végétalisation de l’environnement de la zone de Birni N’Konni. L’analyse de résultat fait montrer que le projet a enregistré des impacts plus positifs que négatifs (la végétalisation de plateaux ; l’amélioration de condition de vie des bénéficiaires, la réduction de consommation de bois énergie;). Les impacts négatifs sont liés aux activités de faucardages de mares où le résultat enregistré a été non satisfaisant et les personnes blessées identifiées. -
Pastoral and agropastoral household economy in the region of Diffa (Niger): between poverty and vulnerability
L'élevage est la principale activité économique de la région de Diffa. Il emploie 95% de la communauté et contribue à hauteur de 55% dans le Produit Intérieur Brut (PIB) pour la région. Cet article a pour but d'analyser l'économie des communautés pastorale et agropastorale dans la région de Diffa en tenant compte des aléas environnementaux. -
Les cuvettes du Manga, un écosystème unique en milieu semi-aride objet d’une recherche interdisciplinaire et pluri-institutionnelle
Depuis un peu plus de trois décennies, le sud-est du Niger et plus particulièrement les Départements de Gouré, Goudoumaria et de Mainé-Soroa sont confrontés à un processus de désertification dû aux variations climatiques et aux activités anthropiques. Dans cette zone, l’une des formes les plus visibles du phénomène est la remobilisation des sables des dunes autrefois fixés par la végétation. Dans leur progression, ces sables menacent d’ensevelir les villages, les infrastructures socio-économiques, les espaces agro-pastoraux, mais aussi et surtout les cuvettes oasiennes qui constituent de véritables sources de productions agricoles et de revenus pour les populations. Le système oasien du Manga constitue un écosystème particulier qui renferme un potentiel de production agricole et des ressources environnementales à nul autre pareil dans ce milieu semi-aride. Pour aider à faire face au défi de la dégradation des systèmes oasiens du sud-est du Niger, la Commission Universitaire pour le Développement (CUD) a financé une première phase d’un programme interuniversitaire ciblé (PIC) intitulé « Envahissement des cuvettes du sud-est nigérien par apports éoliens : processus, impacts et moyens de lutte » qui a opté pour une démarche interdisciplinaire pour rechercher des solutions à ce problème d’ensablement des cuvettes dans le sud-est nigérien. -
Determination of the Optimal Dose of Tomato Irrigation in the Maraicher Site of Falki / Zinder (Republiqued of Niger)
The objective of this study is to determine the optimal irrigation dose of tomato through a test by varying the doses by the restrictive method of irrigation, 100% Db, 90% Db and 80% Db respectively for D1; D2 and D3. It is conducted in microirrigation at the Falki / Mirriah / Zinder vegetable site in Niger. The estimation of the dose is based on the knowledge of the ETo, the SEM knowing the crop coefficients and the useful reserve knowing the soil data. These calculations are done by the FAO CROPWAT 8.0 software. Irrigation water intakes during the experiment were 1517.45; 1365.73 and 1213.99 mm respectively for D1; D2 and D3. During this test on the device Full Block Reassonated (BCR 3x3); observations and measurements are made on the parameters taken into account (HMP; NMF/P; PMF and the yield per unit plot and per hectare). The statistical analysis of yield showed a significant effect for the treatments and describes the influence of the variation of the irrigation doses as such: the yield given by the D2 (46.69 t/ha) is superior compared to the D1 (36.04 t/ha) and D3 (37.80 t/ha). This variation shows that the optimal dose under local climatic conditions is D2 which gives the best yield and is water efficient with the use of 90% of the calculated gross dose. -
Fixation de l'azote chez l'arachide et le niébé en condition de sécheresse pour l'amélioration de la productivité au Sahel
L'identification des variétés d'arachide et niébé tolérantes à la sécheresse et bonne fixatrices d'azote augmenterait leurs productions et celles des céréales associées ou en rotation. Des variétés d'arachide et de niébé ont été évaluées, au champ et en pots, en condition de sècheresse ont réduit la plupart des paramètres étudiés , dont notamment le nombre nodules (40%) et le poids des gousses (30%).