Moringa (Moringa oleifera Lam) est une culture qui prend de plus en plus de l’importance au Niger mais très peu d’intérêt a été porté aux problèmes phytosanitaires. L’objectif de l’étude était d’identifier les nématodes parasites qui lui sont associés.
Moringa (Moringa oleifera Lam) is a cropthat is becoming more and more important in Niger, but very little attention has been devoted to its pest problems. Nematode fauna survey was undertaken inthree important Moringa producing sites inwesternNiger. Soil and roots samples were taken fr -30-cm deep. Nematological analysis of these samples revealed the presence of 11 genera of plant-parasitic nematodes among which the most frequent and abundant were Meloidogyne spp., Helicotylenchus spp. and Hoplolaimus spp. The average prominence values of these three nematodeswere 236.69, 105.25 and97.93, respectively. Inroots, Meloidogyne spp. alone represented up to 90% of the plant-parasitic nematode communities. Itsaverage prominent value was591.46.
L’eau étant un élément « vital » pour l’agriculture, une meilleure gestion de l’eau est cruciale à une production alimentaire durable. La gestion durable de l’eau agricole est l’un des principes sur lesquels l’agro-écologie base ses fondamentaux. La gestion de l’eau en agro-écologie se réfère à un usage durable des ressources en eau au champ, par une meilleure gestion du système sol-eau-plante à travers un usage optimisé des sources d’eau : eau de pluie, d’irrigation ainsi que la réduction des pertes d’eau (dues par exemple au ruissellement et à l’évapotranspiration).
Ce rapport présente un examen des politiques internationales et régionales en matière d’agroécologie (AE) et de souveraineté alimentaire (SA) et évalue l’ampleur de leur mise en œuvre dans certains pays : Éthiopie, Togo et Zambie. L’examen a été entrepris pour faciliter la fourniture d’un soutien politique de grande qualité afin d’influencer les décideurs de la région à développer et à mettre en œuvre l’AE et la SA. Le rapport identifie également les goulots d’étranglement existants et les lacunes politiques qui empêchent l’avancement de la SA et des AE dans la région. Il recommande en outre des stratégies pour informer le travail de l’AFSA et de ses partenaires à l’avenir pour faire avancer les voix des communautés sur la transition vers l’agroécologie en Afrique.